Pour la première fois, Matthieu Ricard, proche conseiller du dalaï-lama, qualifie d'"inadmissibles" les agissements de Sogyal Rinpoché. Régulièrement brocardé pour ses violences et abus sexuels, le lama qui officie dans l'Hérault jouissait jusqu'à maintenant d'un silence total de la part des plus hautes instances du bouddhisme tibétain.
Depuis des années, le lama Sogyal Rinpoché agit en toute impunité, dans son centre de retraite situé dans l’Hérault, mais aussi ailleurs en Europe et dans le monde. Malgré sa position à la tête d’une association bouddhiste d’envergure internationale (Rigpa), aucune des plus hautes autorités bouddhistes n’a jusqu’à maintenant dénoncé les abus sexuels dont le tibétain est régulièrement accusé.
Hier, Marianne publiait de larges extraits d’une lettre signée par huit de ses plus proches disciples, qui révélait des détails inédits et glaçants sur la violence des pratiques du maître.
Suite à nos sollicitations, le plus célèbre moine bouddhiste de France et proche conseil du dalaï-lama, Matthieu Ricard, a fini par envoyer un texte de réaction à notre journal.
« Je connais personnellement deux des auteurs de la lettre récemment envoyée à Sogyal Rinpoché et suis convaincu qu’ils sont honnêtes et que leur parole est fiable, écrit le co-auteur du best-seller "Trois amis en quête de sagesse". Les comportements décrits dans cette lettre et dans d’autres témoignages passés sont à l’évidence inadmissibles, du point de vue de la morale ordinaire et à plus forte raison de l’éthique bouddhiste, notamment du fait que les comportements incriminés ont été sources de nombreuses souffrances ».
"Il n'y a pas de police des mœurs dans le bouddhisme"
Contacté par téléphone, et pour justifier que des années se soient écoulées avant qu’il ne prenne la parole à ce sujet, Matthieu Ricard argumente « qu’il n’y a pas de police des mœurs dans le bouddhisme » et que c’est « aux personnes qui connaissent les choses de l’intérieur de les dénoncer ». Et, le cas échéant, de porter plainte auprès de la justice. Dans son courrier, le moine insiste sur ce point en rappelant que les enseignements recommandent « de ne pas se confier à un maître avant de l’avoir minutieusement examiné, de loin d’abord, en s’informant auprès de tierces personnes, puis de près en vérifiant par soi-même si l’opinion que l’on s’est faite est conforme à la réalité. Il est même conseillé d’attendre plusieurs années avant d’accorder toute sa confiance à un maître et de suivre ses enseignements. On ajoute que se confier à un maître non qualifié revient à absorber du poison ».
"Ne pas se confier à un maître avant de l'avoir minutieusement examiné"
Autrement dit, Sogyal Rinpoché a beau avoir été adoubé par le dalaï-lama et Matthieu Ricard lors de l’ouverture de son temple en 2008, charge aux disciples, et à eux seuls, de démasquer l’imposture. « Ce n’est pas notre rôle d’œuvrer en justiciers », affirme Ricard. « Il existe maintenant des milliers de centres bouddhistes dans le monde, tous indépendants les uns des autres »,rappelle-t-il, soulignant que « le bouddhisme n’est pas organisé de façon hiérarchique comme c'est le cas, par exemple, de l’Eglise Catholique ».
A ceux qui accusent le dalaï-lama de s’être tu pour des raisons financières ou pour protéger le bouddhisme, Matthieu Ricard oppose un démenti catégorique. Selon lui, le seul rôle qui incombe au maître spirituel est de « servir de référence en enseignant et en incarnant clairement ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour être un pratiquant du bouddhisme digne de ce nom ». Et pour expliquer que l’organisation de Sogyal Rinpoché, Rigpa, figure à la liste des donateurs de sa propre association Karuna shechen, il évoque une donation d’à peine 5 240 € en 2015, destinée aux victimes du tremblement de terre au Népal.
Matthieu Ricard a beau minimiser la portée de sa prise de parole, se décrivant comme « un pauvre moine errant de droite à gauche », nul doute que ses mots auront un impact sur les 600 000 pratiquants de la religion bouddhiste en France. Et plus encore sur les victimes, qui craignent toujours, en prenant la parole, de nuire au bouddhisme tibétain dans son ensemble.
De
son temps, Georges Bernanos avait prévu ce qui nous arrivera si nous
acceptons cet asservissement qu'on cherche à nous imposer et qui
mènerait au «Nouvel Ordre Mondial», évoqué en 1991 par l'ancien
Président américain, Georges Bush senior, et relancé avec les
attentats du 11 septembre 2001 par son fils Georges W. Le Congrès
des Etats-Unis n'a-t-il pas accordé les pleins pouvoirs au
Gouvernement fédéral, en votant l'USA Patriot Act, le 26 octobre
2001 (toujours en vigueur en 2017) et en publiant la stratégie
nationale de sécurité, le 11 septembre 2002, avec The Madel
Emergency Health Powers Act, permettant d'exiger la vaccination pour
tous les américains, tout refus étant considéré comme un délit ?
Face
aux méthodes de destruction de plus en plus efficaces, qui finiront
par rayer notre espèce de la planète, Georges Bernanos mettait déjà
en avant, il y a un demi siècle, « la docilité, l'absence de
responsabilité de l'homme moderne, son acceptation vile et servile
du moindre décret public ».
L'obéissance
aveugle n'est plus une vertu lorsque la confiance s'effondre. Elle
devient alors la plus sournoise des tentations, contre laquelle nous
devons évidemment lutter. Car, en l'absence du rétablissement de la
confiance et de réelles prises de conscience de nos autorités, qui
doivent impérativement se libérer de toute pression
économico-politique, la docilité contagieuse de l'homme ira de pair
avec le développement de nouvelles maladies émergentes, qui
finiront par détruire la planète et ses habitants.
À
moins que le trop célèbre « responsable mais pas coupable », qui
définit l'irresponsabilité du politique, ne génère, avec
l'instinct de survie, la désobéissance civile. Dans le cadre du
scandale du sang contaminé, que nos politiciens actuels semblent
avoir bien vite oublié, André Glücksmann stigmatisait cette même
désobéissance civile, « forme de responsabilité qui appelle à
davantage de responsabilité ». Dans la dernière affaire des
paillotes corses, le Premier ministre de l'époque, Lionel Jospin,
avait à son tour évoqué cette désobéissance en déclarant : «
le préfet et les gendarmes auraient dû désobéir à des ordres
illégaux », sans toutefois préciser l'origine de ces ordres !
Devant
la puissance financière des multinationales agroalimentaires et
pharmaceutiques, et la persistance de leur mainmise sur la politique
de santé et sur la gestion des crises sanitaires, au niveau de l'OMS
et des institutions sanitaires, sommes-nous condamnés à développer
cette désobéissance civile?
En
suivant les conseils éclairés de la fable de Jean de la Fontaine, «
le rat des villes et le rat des champs », que nos dirigeants
semblent également méconnaître, nous pourrions retrouver, tel le
rat des champs, le contact avec nos racines et la confiance perdue,
restaurant ainsi la conscience et le bon sens institutionnels et
individuels, tout en
respectant la nature. Ces institutions doivent donc impérativement
se libérer du joug des lobbies de l'industrie notamment, tandis que
l'homme doit retrouver le contact avec ses racines.
Comme
le souligne Edgar Morin : « toute notre philosophie s'écroule, mais
un être nouveau peut être procréé. Le vrai problème, le seul non
technique, c'est celui du modèle d'homme ou plutôt de post hominien
qu'il faut édifier. Ce modèle devra être la réalisation concrète
de l'humanisme au moment où celui-ci tombe en miettes.»
Cet
« humanisme » doit bien évidemment intégrer et même contaminer
nos institutions, manipulées par des experts inféodés à l'argent
roi des multinationales, pour lesquelles le marché prime sur tous et
sur tout, sauf les indices boursiers ...
Comme
le disait fort justement Alexis Carrel, nous ne pourrons entreprendre
la propre restauration de l'homme et celle de nos institutions, «
sans avoir réformé notre mode de pensée », lequel doit retrouver
toute sa liberté d'expression, aux antipodes de la pensée unique.
La plupart des bouddhistes qui participent à la gestion des centres du dharma sont francs-maçons. Le psychiatre grenoblois Jean-Pierre Schnetzler, qui est membre de la loge Villard de Honnecourt, a même créé le centre tibétain de Karma Mygiur Ling à Montchardon, dans l'Isère.
Johan Livernette, auteur catholique anti-libéral et contre-révolutionnaire, dénonce le complot mondialiste qui trouve ses sources dans le talmudisme et la franc-maçonnerie.
La franc-maçonnerie, 300 ans d'imposture
par Johan Livernette
Ce livre est dans la continuité du précédent, Le complot contre Dieu, qui démontait le mondialisme, ce projet de destruction à grande échelle. Cette fois, La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture est centré uniquement sur la secte maçonnique. Mon but fut de publier le livre le plus complet et le plus documenté possible sur le sujet, en structurant mon travail sur différents axes, de manière à faire le tour de la question en 372 pages. Lorsque j’ai vu que la franc-maçonnerie allait fêter son tricentenaire, je me suis dit que c’était le bon moment pour fournir ce travail de synthèse.
Sur des francs-maçons qui, par le passé, se sont permis de dévoiler leur secte : le célèbre Albert Pike, le palladiste Domenico Margiotta, mais aussi François Clavel, Jean-Marie Ragon, Alexandre Lenoir, Oswald Wirth… Et puis surtout de nombreux auteurs antimaçonniques de référence comme Mgr Ernest Jouin, Mgr Henri Delassus, Mgr Léon Meurin, Léon de Poncins, AG Michel, l’abbé Barrruel, l’abbé Barbier, Henry Coston, Epiphanius, Jacques Ploncard d’Assac ou encore Jean-Claude Lozac’hmeur sur les origines de la franc-maçonnerie. Dans L’Église romaine en face de la révolution, l’historien Jacques Crétineau-Joly avait diffusé les documents de la Haute-Vente, à l’instar de Mgr Delassus dans Le problème de l’heure présente.
Pour les compte-rendus du Grand Orient, il y a l’ecclésiastique AG Michel.
Pour l’infiltration au sein de l’Église : l’abbé Emmanuel Barbier ;
L’étude d’Emmanuel Ratier sur le B’naï B’rith est incontournable, tout comme celle d’Antony C. Sutton sur la Skull and Bones ou celle de l’Américain Craig Heimbichnersur l’Ordo Templi Orientis.
Pour les francs-maçons décrits par eux-mêmes et les origines de l’ONU, le travail de Léon de Poncins est très précieux. Quant à l’action maçonnique durant l’histoire, il y a l’immense ouvrage du père Nicolas Deschamps intitulé Les sociétés secrètes et la société (éditions Saint-Rémi). Lors de mon étude, il m’a semblé nécessaire de rassembler un maximum d’informations et de documents, afin d’effectuer la synthèse de tous ces travaux. »
Allusion au 9/11 et à la
franc-maçonnerie dans un épisode des Simpson datant de l'année
1997.
Lisa Simpson montre un
magazine de 9 $ intitulé "New York" sur lequel apparaît un 11, la silhouette des deux tours jumelles du World Trade Center. Ce magazine serait une
allusion aux attentats du 11 septembre (9/11) qui auront lieu quatre ans
plus tard. Dans la même scène, Bart Simpson exhibe des billets verts, d'étranges dollars dont le dessin représenterait les 2 colonnes (Jakin et Boaz) des temples maçonniques...
Sans aucune concertation, Emmanuel Macron a décidé le 4 juillet 2017 que 11 vaccins chargés d’aluminium seront injectés aux enfants. Les parents récalcitrants encourront une peine de prison. La ministre de la Santé Agnès Buzyn souhaite que la loi concernant les 11 vaccins obligatoires soit rapidement votée.
Agnès Buzyn, la ministre des Solidarités et de la Santé, s’était déclarée favorable à l’euthanasie lors d’un colloque au Grand Orient de France en 2015 sur la « fin de vie des enfants ».
Hématologue (née le 1er novembre 1962 à Paris), Agnès Buzyn est l’aînée des trois enfants d’Élie Meir Buzyn, né le 7 janvier 1929 à Lodz (Pologne). Ce chirurgien orthopédique aujourd'hui retraité est membre actif de la loge Sigmund Freud du B’naï B’rith. La grand-mère de la ministre de la Santé était engagée dans le mouvement des femmes sionistes (Wizo).
"Aujourd’hui, seuls 3 vaccins sont obligatoires en France pour les nourrissons (Diphtérie, tétanos, poliomyélite), ça fait déjà 9 doses (vaccins plus rappels) injectées la première année de la vie du bébé. Mais avec 11 vaccins, ce sont 25 à 40 doses qui doivent être encaissées par leur système immunitaire immature. Avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé", s'inquiète Stéphane Guibert.
Pour améliorer ses finances, l'église de Springfield loue son espace mural aux annonceurs locaux. Horrifiée par ce
mercantilisme, Lisa Simpson renonce au christianisme et se convertit
au bouddhisme.
Le bouddhisme ne serait pas aussi vénal que le christianisme.
LOL !
"A tous ceux que la science ne laisse pas indifférents - qu'ils soient profanes ou savants - Marco Malaspina propose de redécouvrir les grands problème scientifiques d'aujourd'hui avec humour... dans le canapé des Simpson ! Au programme : le nucléaire, les OGM, la querelle du créationnisme et bien d'autres questions que nous pose très sérieusement la science au quotidien.
En zappant entre les meilleurs épisodes - dont les dialogues irrévérencieux et sarcastiques sont fidèlement restitués - l'auteur met en lumière le regard critique que porte sur la science la célèbre série télévisée. Pour tous les fans qui veulent redécouvrir leur dessin animé fétiche sous l'angle de la vulgarisation scientifique, mais aussi pour tous ceux qui recherchent une approche non académique de la science, ce livre est un guide sans équivalent. Il permet de saisir toute la modernité de la série et la pertinence de son regard su la société occidentale. C'est en effet nos valeurs et notre mode de vie qui, par l'intermédiaire de cette famille américaine moyenne, sont auscultés et critiqués."
R.
C. Christian, le nom du commanditaire des Georgia Guidestones évoque
Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-croix (R.C.), le mythique fondateur de la société secrète
des rose-croix et fait allusion au 18ème degré de la
franc-maçonnerie (chevalier rose-croix).
La
franc-maçonnerie a toujours été présente dans les coulisses du pouvoir républicain et ploutocratique. Des
francs-maçons occupent des postes importants dans le gouvernement actuel.
La cérémonie de la
pyramide du Louvre inaugure un quinquennat totalement contrôlé par
la loge (ou la synagogue) de Satan. D'ailleurs, à peine élu et selon le 1er commandement des Georgia Guidestones, Macron projette d'empoisonner lentement les enfants avec 11 vaccins obligatoires bourrés d'adjuvants toxiques. Le
nombre 11 est un nombre maçonnique qui symbolise le chaos et
l'instauration du nouvel ordre mondial. « Le 11 exprime
l'ambivalence, le débordement, la violence d'un renouveau, la
rupture de l'unité, et annonce un conflit virtuel, une faille de
l'univers. »
http://homme-et-espace.over-blog.com/article-le-11-septembre-a-la-lumiere-des-nombres-58249780.html
Les
Georgia Guidestones
par
Claire Séverac
Les
Georgia Guidestones,
appelé aussi le Stonehenge américain, c'est un monument en
granite érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, près d'Elberron en
Géorgie.
Commandé
par un homme s'étant présenté sous le nom de R. C. Christian , il
a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company. Le
banquier qui s'est occupé de la transaction a dû signer une clause
de confidentialité et a reçu l'argent et les documents relatifs à
cette transaction de diverses banques et villes des États-Unis afin
que les commanditaires ne soient jamais localisés, identifiés ou
divulgués.
C'est
un ensemble de six blocs de granite de 5,87 mètres de haut pour un
poids total de 107 840 kg, sur lesquels sont gravés « dix
commandements » en huit langues modernes différentes : l'anglais,
l'arabe, le chinois/mandarin, l'espagnol/castillan, l'hébreu,
l'hindi, le russe et le swahili.
Et
sur la pierre du haut, une courte inscription en quatre langues
anciennes : babylonien, grec ancien, sanskrit et hiéroglyphe
égyptien.
La
plaque sur le sol donne les explications avec des références
astronomiques, et indique la présence d'une capsule temporelle
enterrée deux mètres en dessous, « à
ouvrir
le . . . » sans préciser de date.
Ces
« dix commandements », censés nous guider vers un « Âge de
Raison » et aider les survivants d'une probable apocalypse à
reconstituer une meilleure civilisation, sont :
1.
Maintenir l'humanité en dessous de 500 000 000 d'individus, en
perpétuel équilibre avec la nature. (Il y avait, à l'époque, 4,5
milliards d'humains sur la planète, ce qui voulait dire que huit sur
neuf devaient disparaître ; aujourd'hui ce serait environ 12 sur 13
!)
2.
Guider la reproduction avec sagesse en améliorant l'aptitude et la
diversité.
3.
Unifier l'humanité avec une nouvelle langue vivante. (Certains
craignent le Livre des Révélations, qui prévenait qu'une langue
commune et un gouvernement mondial verrait
l'accomplissement de l'Antéchrist.)
4.
Gouverner la passion, la foi, la tradition et toutes les autres
choses (qui divisent) par l'usage de la raison et de la modération.
5.
Protéger le peuple et les nations par des lois équitables et des
tribunaux justes.
6.
Laisser toutes les nations gérer les problèmes internes, et régler
les conflits internationaux devant un tribunal mondial.
7.
Éviter les lois insignifiantes et les fonctionnaires inutiles.
8
. Contrebalancer les droits personnels par les devoirs sociaux.
9.
Privilégier la vérité, la beauté, l'amour, et chercher l'harmonie
avec l'infini.
10.
Ne sois pas un cancer sur la Terre. Laisse de la place à la nature.
Il
est évident que ces commandements vont dans le sens du Nouvel Ordre
mondial, comme la réduction massive des populations, le contrôle de
la reproduction, un gouvernement mondial unique, la raison froide qui
doit prendre le pas sur toute individualité, sur notre héritage...
En
fait, sous le vernis écaillé de la démocratie, c'est bien une
dictature mondiale absolue qui est en train de se mettre en place, où
une hyperclasse fasciste dominera des hordes de pauvres exécutants,
et où, dissimulé (pour l'instant) derrière des déclarations
d'intention humanistes ou des prétextes bidons, tout est mis en
œuvre pour atteindre ce but en repérant, écartant et supprimant
tous les dissidents jusqu'à extinction
de la race !
«
Ce que nous voulons ne compte plus. Ce qui compte, c'est leur propre
agenda », nous avertissait Aaron Russo dans America : Freedom to
Fascism peu avant sa mort dans une interview pour Alex Jones.
« Ils ont les machines à billets. Ce n'est pas une question
d'argent, ils ont tout l'argent qu'ils veulent. C'est une histoire de
pouvoir et de leur vision du monde. »
Macron imposera l'injection de 11 poisons vaccinaux à tous les enfants de France.
« Pourquoi a-t-on triplé le nombre de vaccins que les enfants reçoivent et développent-ils autant de maladies auto-immunes dans le sillage de ces vaccinations ? Les élites ne vaccinent pas leurs enfants et ne mangent pas non plus les OGM ni la nourriture industrielle que l'on trouve à foison dans les supermarchés et que « la crise économique » oblige « les sans dents » à consommer ! » (Claire Séverac)
Le livre de Claire Séverac, « La Guerre Secrète contre les Peuples », appartient à la catégorie des ouvrages qui vous marquent. L'auteur présente et explique, à partir de documents officiels et multiples, qu'une élite financière, scientifique, industrielle et politique s'est engagée dans une voie d'optimisation maximale des richesses à leur profit dans le cadre d'un nouvel ordre mondial en cours d'élaboration.
Manipulations génétiques, épandages (chemtrails), portables, OGM, armes électromagnétiques, projet HAARP, etc sont autant d'éléments permettant la soumission, l'abrutissement mais aussi la destruction de l'humanité à plus ou moins long terme. Pour les survivants ayant échappé à ce rouleau compresseur, leur réduction à l'état de serf au profit d'une oligarchie prédatrice n'est finalement que leur seule ligne d'horizon. Le lecteur peut être choqué par de tels propos. Après tout, il n'entend pas un tel discours dans les médias officiels. Ce lecteur oublie que ces médias sont, eux aussi, étroitement liés à ces élites politico-financières et qu'ils ne délivrent comme messages que ceux conformes à la doxa du système. Ce ne sont sûrement pas eux qui présenteront les origines profondes de l'étrange et révélateur Georgia Guidestones. Cet ensemble de blocs granitiques érigé en 1980 aux États-Unis présente dans de nombreuses langues, mais pas en français, une série de mesures dignes d'un régime dictatorial (limitation de l'humanité à 500 millions d'habitants, unification du genre humain, tribunal mondial... ). Toutes ces menaces recensées par Claire Séverac ne sont pas le fruit d'élucubrations. L'intérêt de ce livre est de dresser une liste très complète des acteurs œuvrant dans l'élaboration de techniques de pointe permettant l'assujettissement de l'humanité.
D'une certaine manière en raisonnant à froid et en faisant abstraction de toute morale, on peut dire que ces actions sont « logiques ». En effet, la volonté d'établir un nouvel ordre mondial oblige à une restructuration complète du monde. Celui-ci obéit à deux étapes. Premièrement, il s'agit de mettre en place des blocs continentaux (Union européenne, Unasur, Union eurasienne, Union africaine, .. . ) constituant une gouvernance mondiale. Cette dernière se doit, pour des raisons d'efficacité, d'être en mesure d'appliquer un modèle commun planétaire diffusé via des unions régionales. Celles-ci, à l'instar des « Administrations régionales » du « Meilleur des mondes » d'Aldous Huxley, répercutent ces mesures afin de les diffuser en profondeur dans leur espace géographique. Ainsi, l'humanité entière, subdivisée en blocs régionaux régis de manière technocratique, peut recevoir sa dose de poison de Monsanto et consorts. Cependant, le projet de gouvernance mondiale lié aux mesures décrites par Claire Séverac va plus loin encore et c'est le deuxième point. La finalité du est d'aboutir à une fusion de ces unions régionales avec mélange complet et indifférencié de tous les peuples de la terre. C'est le principe du « glocal » ou « région-monde »Une surface territoriale réduite (le local) doit représenter l'échantillon planétaire humain. La multiplication de ce « local » sur toute la surface de la terre doit constituer le « global ». L'idéal suprême pour l'oligarchie est d'avoir un simple individu, déraciné, psychologiquement déstructuré et nomade afin de mieux le soumettre, en paraphrasant le général Eisenhower, au complexe militaro-industrialo-pharmaco de la gouvernance mondiale. Pour l'oligarchie et en liaison avec les techniques les plus développées, une humanité réduite à 500 millions d'habitants, comme le prescrit le Georgia Guidestones, représente le profil adéquat de la rentabilité maximale.
L'ironie dans cette histoire est que le système teste déjà les réactions psychologiques des peuples par des films annonçant, par la voie de la science-fiction, un avenir ressemblant furieusement au programme concocté dans les cénacles oligarchiques. C'est le cas du film Elysium sorti en 2013 avec Matt Damon et Jodie Foster. Tandis qu'une humanité mélangée, appauvrie et vivant d'expédients survit péniblement, une minorité oligarchique jouit des meilleures conditions de vie (alimentation, soins médicaux... ) dans un immense vaisseau spatial arrimé à l'orbite terrestre. Vue de terre, cette île spatiale flottante réunissant la crème oligarchique représente un pentagramme renversé, l'emblème par excellence du satanisme. Et c' est aussi l'intérêt du livre de Claire Séverac. Outre la diversité des mesures pour soumettre et avilir l'humanité, on ne peut qu'être frappé du caractère démoniaque de ces politiques touchant tous les secteurs propres au bon développement de la vie.
Un tel degré de perversité et cette persévérance inouïe pour mener à terme ces projets ne peuvent pas être seulement l'œuvre d'êtres dépravés.
"Jenna Miscavige Hill, la nièce du chef actuel de la Scientologie, dévoile, pour la première fois, comment elle a grandi dans la Scientologie et comment elle a réussi à en sortir. Le récent divorce de Tom Cruise et de Katie Holmes a attiré l’attention sur les conditions de vie des enfants dans la Scientologie. Dans son livre, Jenna révèle comment elle a été séparée de ses parents, et comment elle a intégré la Sea organisation qui chapeaute l'ensemble de la Scientologie dans le monde entier.
Fondée en 1952 par L. Ron Hubbard, la Scientologie suscite dans le monde entier de nombreuses interrogations et controverses. Dans ce livre évènement Jenna Miscavige Hill met en lumière les aspects les plus troubles de l’organisation : des pratiques de récolte d’argent au travail des enfants. Jusqu’à révéler comment la Scientologie recrute des stars pour assurer la promotion de l’organisation."
Un
documentaire de la BBC prétend que Jésus était un moine
bouddhiste nommé Issa.
Jesus
was a Buddhist Monk
BBC
Documentary
D'après un article du site Nouvel Ordre Mondial : "les trois rois mages pourraient avoir été des bouddhistes en quête de localiser la réincarnation du dernier Lama (Jésus)".
L'article précise :"Suite à la mort d’un Saint ou d’un grand bouddhiste, on a dit
que les rois mages avaient consulté les étoiles et ont ensuite
entrepris un long voyage dans l’espoir de trouver le bébé divin
qu’ils croyaient être la réincarnation du vrai Dalai Lama. Une
fois que cet enfant a atteint l’âge d’être retiré de chez ses
parents, il a été élevé et éduqué dans l’esprit du
bouddhisme."
Jésus "réincarnation du vrai Dalaï-lama". Cette déclaration est surprenante quand on sait que l'institution des Dalaï-lamas n'existait pas à l'époque du Christ.
De plus, l'auteur de l'article se réfère à Nicholas Roerich. Or, ce personnage né en 1874 à Saint-Pétersbourg et mort en 1947 en Inde, a fait beaucoup de prosélytisme pour le compte de la Société théosophique de Madame Blavatsky.
Les écrits de Nicholas Roerich sont, n'en doutons pas, inspirés par la contre-initiation qui a contaminé le spiritualisme contemporain.
Un membre de la minorité musulmane rohingya a été lynché et six autres blessés par une foule bouddhiste en Birmanie, dernier cas de violences religieuses dans ce pays en proie à un bouddhisme radical, a annoncé la police mercredi. L'incident s'est produit mardi alors que sept Rohingyas étaient sous escorte policière pour se rendre du camp où ils vivent vers la capitale régionale de l'Etat Rakhine (ouest).
Plus de 100.000 personnes, essentiellement des Rohingyas, vivent dans ces camps de déplacés de l'Etat Rakhine depuis des violences intereligieuses ayant fait plusieurs centaines de morts en 2012.
Les Rohingyas, considérés comme une des minorités les plus persécutées au monde par l'ONU, ne peuvent sortir de ces camps qu'au compte-gouttes et sur présentation d'autorisations. Un mort et six blessés "Un musulman a été tué et les six autres blessés. Deux sont toujours hospitalisés", a précisé un policier, sous couvert de l'anonymat, à l'AFP. Les violences ont été déclenchées par une discussion animée sur le port de Sittwe entre ce groupe de Rohingyas et un entrepreneur local, au sujet d'un bateau qu'ils souhaitaient acheter.
Dispute "Sur la jetée du port, une dispute a éclaté", écrit le journal officiel Global New Light of Myanmar et "une pierre a été lancée, qui s'est révélée fatale". Le journal ne précise pas que les victimes sont des Rohingyas musulmans, le sujet étant tabou en Birmanie. "Crimes contre l'humanité". Le gouvernement birman, au premier rang duquel l'ex-opposante Aung San Suu Kyi, rejette les accusations de l'ONU de possibles "crimes contre l'humanité" commis par l'armée depuis fin 2016 contre les Rohingyas. Traités comme des étrangers en Birmanie, ils y restent apatrides, privés de tout droit, même si certains vivent dans le pays depuis des générations.
"Pour ce qui concerne "Comprendre l’empire" d’Alain Soral, il me semble que la filiation n’est pas aussi nette, même si l’on sent poindre ici ou là quelques références à la pensée traditionnelle (Guénon/Evola)." David Bisson – Propos recueillis par E&R Aquitaine. (David Bisson est l'auteur du livre "René Guénon : Une politique de l'esprit".)
Alain
Soral n'hésite pas à boxer le polémiste raciste Daniel Conversano qui envisage de recourir à la violence armée
contre les immigrés.
Soral dit à qui veut l'entendre qu'il est « judéophobe,
antisioniste, mais pas antisémite ». Et, contrairement aux racistes comme Conversano, il a lu le livre de Julius Evola « Le Mythe du Sang » :
Racisme
et antisémitisme Extrait du "Mythe du Sang"
"Nous
avons été confrontés souvent à des idées antisémites. Ces
idées, dans les formes contemporaines du racisme, ont pris un
caractère toujours plus précis, donnant même lieu à un équivoque
: selon certains, le racisme et l'antisémitisme ne feraient qu'un,
et il suffirait donc de n'être ni juif ni de couleur pour appartenir
à la race « aryenne ». Bien que des formes peu réfléchies de
racisme aient entretenu pareille confusion, il faut soutenir que
l'antisémitisme, et en particulier l'antijudaïsme, sont des aspects
subordonnés à la théorie de la race : ils tirent d'elle leurs
principes, mais ne s'identifient certainement pas à elle.
Nous
nous proposons ici d'éclaircir les points de vue principaux de la
question hébraïque et de la polémique qui lui est relative. Nous
nous rapporterons aux opinions de certains antisémites étrangers
mais nous ferons valoir les points de vue de l'antijudaïsme italien,
surtout du courant de Giovanni Preziosi et de sa revue La Vita
italiana, puisque de tels points de vue offrent souvent un caractère
complet.
Les
Juifs ne constituent pas une race
Faisons
d'abord allusion à la question juive d'un point de vue ethnique et à
proprement parler racial. Selon le racisme, les Juifs ne constituent
pas une race au sens propre, mais un peuple de métis (Fritsch,
Günther). Les Sémites auxquels les Juifs appartiennent sont
considérés déjà par Gobineau comme des métis dérivés d'un
croisement entre la race blanche et la race noire. On tend à y voir
un mélange entre la race désertique (ou orientaloïde) et la race
levantine (ou arménoïde) : dans le cas précis des Juifs, ce
mélange serait compliqué d'autres composants raciaux, variables
selon les lignées, de race soit ancienne, soit encore existante
(race méditerranéenne et race alpine). Du reste, déjà la Bible
parlait des sept peuples qui auraient contribué à la formation du
sang et de la « semence » juive, en mettant de coté les influences
chamitiques (égyptiennes) et philistines... A l'époque de la
Diaspora (dispersion) et du dernier prophétisme, d'autres éléments
résiduels de la décadence ethnique et spirituelle méditerranéenne
se coagulèrent au judaïsme.
Le
Juif a été fabriqué par ses livres et ses rites
Si
Israël n'est pas une race mais un mélange de races, on se demandera
à quoi il doit son indiscutable unité, comment il a tiré d'un
pareil mélange un type clairement reconnaissable, lequel a eu la
force de résister à travers les siècles aux conditions les plus
défavorables, et chez qui la solidarité et la fidélité au sang
sont tellement vives, que le peuple juif se présente comme l'un des
peuples les plus racistes de l'histoire.
La
raison d'une telle unité ne doit pas être cherchée dans la race au
sens strict, mais dans la force formatrice exercée par une idée et
une tradition. C'est un Juif, James Darmesteter, qui a écrit « Le
Juif a été formé, pour ne pas dire fabriqué, par ses livres et
ses rites. Comme Adam est issu de Jéhovah, il est issu des mains de
ses rabbins ».
C'est
la Loi, la Torah, qui a créé le type juif et l'unité juive : cette
loi pour les Juifs se substitue à la patrie, à la terre, à la
nation, au sang lui-même ; cette loi a survécu à un mélange
racial originel, chaotique et détritique, lui a imposé une forme, a
élaboré les instincts
et les attitudes d'un type spécial, qui à travers les siècles,
allait devenir héréditaire.
Il
a été dit, à travers les siècles, comment les antisémites ont
relevé l'erreur de ceux qui croient qu'après l'Ancien Testament et
à l'arrivée du christianisme, l'influence de la loi juive ait été,
pour ainsi dire, neutralisée et presque arrêtée. C'est l'opposé
qui est vrai. L'ancienne loi, la Torah, déjà complétée par la
Misnah (répétition, la loi répétée), c'est-à-dire
par une tradition diverse, d'abord orale puis, vers le 3ème siècle,
fixée par écrit, a trouvé son développement dans la littérature
rabbinique recueillie dans le Gemara, qui signifie l'accomplissement
et qu'on appelle communément le Talmud, et aussi dans les
développements propres à la Kabbale et les formulations du
Schulchan Arukh. Tout ceci doit être compris comme un tout, et comme
une continuité parfaite à travers
les siècles, avant et après le christianisme, jusqu'à nos jours.
En outre, les formulations postchrétiennes, talmudiques, de la loi
juive, sont celles qui ont le plus renforcé et caractérisé la
façon d'être et l'instinct juif, surtout dans leurs rapports avec
les non-Juifs.
Action
anti-traditionelle
Le
front aryen et raciste considère le judaïsme comme une force
destructrice pour toute race ou culture. Examinons les éléments qui
justifient cette idée et, plus précisément, les voies par
lesquelles se manifestent les caractères effectivement destructeurs
du judaïsme. Le point de vue prédominant dans l'antisémitisme est
que, de même que la force germinative d'une graine ne se développe
que quand elle se casse et agit alors sur la matière environnante,
ainsi le judaïsme n'aurait commencé à avoir une influence délétère
qu'avec la crise de l'ancienne tradition nationale juive, avec
l'écroulement politique et la dispersion de par le monde du peuple
élu.
Comme
premier élément, on doit considérer les influences que devraient
exercer les éléments ethniques chaotiques et impurs déjà tirés
de la loi, au moment où ils se délient et passent à l'état libre.
Guénon
a relevé justement que les rapports entre le Juif et sa tradition
diffèrent de ceux observés dans les autres races. Pour le non-Juif
qui se détache de sa tradition comme loi religieuse, il existe
encore d'autres formes de soutiens : la terre, le sang et la patrie.
Mais dans le Judaïsme, la loi tient lieu de tout cela à la fois. Au
point que si les Juifs s'en délient, elle devient automatiquement un
facteur de dissolution. C'est ainsi que, eux-mêmes sans race, les
Juifs deviennent alors l'anti-race ; eux-mêmes sans nation, ils
deviennent l'anti-nation. Mommsen écrivait : « Déjà dans le monde
antique, le judaïsme fut un ferment de cosmopolitisme et de
décomposition nationale ». Substance insaisissable, fuyante et sans
patrie à l'intérieur de toute patrie, Wolf
voit dans l'élément hébraïque le principe même de l'anti-race,
de l'anti-tradition, de l'anticulture : non pas l'antithèse d'une
culture particulière, mais l'antithèse de toute culture racialement
et nationalement déterminée. Dans le composé juif, la part
désertique ou orientaloïde renforce cette influence : par leur
esprit nomade, apatride, les Juifs auraient injecté dans différents
peuples – en commençant par les Romains – le virus de
l'anti-nationalisme, de l'universalisme, de l'internationalisme
culturel. Ils exercent une action incessante de corrosion contre tout
ce qui est différencié, qualitatif, lié au sang et à la tradition
: ceci aboutit, en politique, à l'idéologie maçonnique,
judaïsante, avec pour corollaire les mythes humanitaires sociaux et
internationalistes.
La
dégradation de toute valeur supérieure
Second
élément, les influences destructrices du judaïsme tiennent aussi à
la part qu'occupe en Israël la race de l'homme levantin et la
psychologie décrite par Günther et surtout par Clauss, qui en fait
« l'homme de la rédemption ». Cet homme est caractérisé par le
dualisme du corps et de l'esprit. Le corps n'est plus que
l'expression instrumentalisée
de l'esprit, mais entendu comme « chair », comme une matière
coupable dont il faut se racheter. Cet élan confus vers la «
rédemption » peut échouer : alors l'homme, retombant, se noie dans
la matière, il en jouit et se saoule, comme pour oublier sa nature,
et ensuite il tend à contaminer tout ce vers quoi il tendait, toutes
ces valeurs supérieures qu'il n'a pu rejoindre. Il jouit de toutes
les crises où il voit se refléter sa propre crise intérieure. Il
prend plaisir partout où s'exprime l'omnipotence de cette
matérialité crasse et oblique dans laquelle il est retombé. Il
s'en sert comme d'un alibi, comme d'une justification. C'est ainsi
que l'élément hébraïque, comme nous le verrons d'un peu plus
près, s'est toujours manifesté à travers une action, consciente ou
inconsciente, de contamination et de dégradation de toute valeur
supérieure.
Tu
dévoreras tous les peuples que Yahvé ton Dieu te livrera
On
doit considérer, comme troisième point, l'efficience particulière
qu'ont eue les causes fondamentales de cette loi sur la formation des
instincts et des comportements de base, aboutissant à la forme
séculaire, matérialiste et mécanique d'agir de ces instincts chez
les Juifs persécutés de la Diaspora. Comme on le sait, le thème
central de l'ancienne
loi est qu'Israël est le « peuple élu », destiné
à dominer tous les hommes, toutes les terres et les richesses du
monde, de telle sorte que tous les royaumes devront lui obéir. Ce
sont les thèmes du mosaïsme : « Yahvé te mettra à la tête, et
non à la queue; tu seras toujours en haut et tu ne seras jamais en
bas » (Deutéronome, 28, 13). « Tu dévoreras tous les peuples que
Yahvé ton Dieu te livrera; ton œil sera sans pitié pour eux, et tu
ne servira point leurs dieux » (Deutéronome, 7, 16). Ce sont aussi
des thèmes de la littérature prophétique : « Et le règne, la
domination et la grandeur des royaumes qui sont sous tous les cieux
seront donnés au peuple des saints du Très Haut : son règne est un
règne éternel, et toutes les puissances le serviront et lui
obéiront » (Daniel, 7, 27). « Les fils de l'étranger rebâtiront
tes murailles, et leurs rois seront tes serviteurs » (Isaïe, 60,
10). « Mais vous, on vous appellera prêtres de Yahvé ; on vous
nommera 'ministres de notre Dieu'; vous mangerez les richesses des
nations, et vous vous parerez de leur magnificence » (Isaïe, 61,
6).
Qu'on
pense aux sentiments que devait fatalement inspirer à Israël cette
certitude de la domination universelle au moment où il cessa
d'exister comme puissance politique. Qu'on pense à ce peuple qui
continua, après le triomphe du christianisme, à se sentir « élu
», et fut identifié au dernier des peuples, à une lignée maudite
et déicide digne de toutes les persécutions, condamnée à la
servitude, par une juste punition. Le potentiel généré par cette
idée de la loi devait fatalement se traduire par une haine profonde
et sans limite pour tous les non-juifs et se concrétiser par une
pratique pour ainsi dire, serpentine. C'est ce que montre le
développement ultérieur, talmudique, de l'ancienne loi.
Voici
quelques passages talmudiques, rappelés à juste titre par les
Preziosi et De Vries de Heekelingen :
«
Que signifie Har Sinaï ? Il s'agit du mont à partir duquel a
irradié Sina, c'est-à-dire la haine contre les peuples du monde ».
«
Vous, Juifs, vous êtes appelés hommes, alors que les nations du
monde ne méritent pas le nom d'hommes, mais de bestiaux ». « La
semence d'un goy (non-Juif) est comme la semence d'un animal. »
«
Le meilleur parmi les goyim, tu dois le tuer ».
«
Fais-le mourir en lui serrant les mâchoires pour qu'il ne crie pas
».
« Qu'est-ce
qu'une prostituée ? Toute femme qui n'est pas juive. » Et ainsi de
suite.
Les
expressions contenues dans une prière, que tout Juif orthodoxe
devait réciter journellement, dans le Shemoné Esré, sont : « Que
les apostats perdent tout espoir, que les Nazaréens et les chrétiens
périssent sous les coups, qu'ils soient rayés du livre de la vie et
ne soient pas comptés parmi les justes ».
A
l'époque moderne, la justification religieuse de ces sentiments est
moins claire, bien que l'efficience en ait survécu en termes
d'instinct, d'aptitude innée. Et on peut en dire autant aujourd'hui,
de la conviction originelle selon laquelle entre Israël et les
autres peuples il n'existe rien de commun. D'où l'absurdité de
vouloir adopter les mêmes critères de conduite avec les Juifs et
les Gentils, ces derniers étant des êtres inférieurs qui n'ont
droit qu'à être exploités comme du bétail. Les préceptes
talmudiques sont clairs : ils établissent deux morales, l'une qui
s'applique au prochain, c'est-à-dire aux Juifs, et l'autre qui sert
dans les rapports avec les goyim, les non-Juifs ; Et toute action
délictueuse ou indigne selon la première morale cesse de l'être
pour la seconde. C'est ainsi que le Talmud et le Schulchan Arukh
autorisent à voler le non-Juif ; du prêt usuraire ils font non
seulement un droit, mais presque un devoir ; ils prescrivent de ne
pas témoigner ou de faire un faux témoignage lors d'un procès
opposant un Juif et un non-Juif; ils considèrent que « le
patrimoine et les biens des non-Juifs doivent être considérés sans
propriétaire et que le premier arrivé a des droits sur eux » ; ils précisent
seulement que si plusieurs Juifs procèdent à une tromperie, ils
sont seulement tenus d'en partager équitablement le fruit ; ils
exhortent à prêter de l'argent, mais refusent d'en emprunter ; ils
ne respectent pas la parole donnée, et ainsi de suite. La polémique
antisémite a recueilli toute une série de maximes de ce genre, avec
l'indication de leur origine et de leur caractère orthodoxe.
D'ailleurs, si on lit aussi dans le Talmud « qu'un goy qui étudie
le Talmud et un Juif qui l'aide, doivent être mis à mort » ; s'il
est précisé que « communiquer quoi que ce soit de notre loi à un
goy, équivaut à un massacre de tous les Juifs, puisque si les goyim
savaient ce que nous enseignons à leur égard, ils nous auraient
sans aucun doute exterminés »; si on lit de telles phrases, on a la
confirmation précise de la pleine conscience que les Juifs avaient
de la double morale contenue dans leurs textes orthodoxes.
Mais
ici, on objecte d'habitude qu'il s'agit de textes anciens,
pratiquement tombés en désuétude. C'est une erreur. Comme nous
l'avons dit, pendant des siècles ces idées, ces préceptes ont agi
de façon formelle dans l'intimité de la conscience juive : ils ont
laissé leur trace indélébile.
De
la volonté de domination, de la haine et enfin de la double morale
talmudique, on aura perdu la justification première, religieuse et
messianique : mais on aura pas perdu l'ensemble des instincts, des
comportements qui, sur un plan sécularisé et pratique, se
manifestent simplement comme une manière d'être, comme une qualité
héréditaire de la race, ayant pour ainsi dire son existence
autonome. Voilà pourquoi l'élément religieux ne prend aucune part
au problème juif, que pourtant le racisme moderne a voulu lui
imposer. Dühring a eu raison d'écrire : « La question juive
existerait même si tous les Juifs avaient abandonné leur religion
pour rejoindre nos Eglises dominantes ». Telle est bien la vision de
l'antisémitisme moderne, concordante avec celle de la plupart des
Juifs et discordante, en revanche, avec celle de l'ancien
antisémitisme d'origine catholique. « Un Japonais ou un Noir
converti ou baptisé
reste japonais ou noir. Ainsi un juif baptisé reste juif [...]
Convertis de bonne foi ou non, les Juifs baptisés restent juifs, à
se sentir juifs et à être considérés comme juifs par leur anciens
coreligionnaires » (De Vries de Heekelingen).
Des
révolutions à la domination mondiale
Dans
un texte talmudique, on lit : « Partout où les Juifs
s'établissent, ils doivent devenir les patrons ; et tant qu'ils
n'auront pas le pouvoir absolu, ils se considéreront comme des
exilés, des prisonniers... tant qu'ils ne dominent pas entièrement,
ils ne doivent pas cesser de crier : Quel tourment ! Quelle indignité
! » Il s'agit, là encore, d'un thème de la Loi, dérivé de
l'ancienne Promesse qui, une fois oubliée la justification
religieuse, devait laisser comme trace un instinct révolutionnaire
agissant par lui-même comme ferment d'agitation et de subversion
continuelle. C'est ainsi que les Juifs furent largement représentés
dans tous les mouvements subversifs révolutionnaires modernes, sans
exception, et particulièrement dans le communisme
et
le socialisme dont les principaux représentants sont juifs, Karl
Marx, Lassalle, Rosa Luxemburg, Kautsky, Trotsky... Quant à la
structure de l' Etat à détruire, elle importe peu : « Dans une
monarchie, les Juifs sont républicains; dans une république conservatrice,
ils seront socialistes ; dans une république socialiste, ils seront
communistes. Tout ceci revient au même pourvu qu'ils détruisent
l'Etat existant. Ils s'opposeront à la société en place tant
qu'elle conservera un reste de base non-juive ».
A
nouveau, c'est un instinct qui subsiste comme un héritage, ayant
pour origine lointaine et inconsciente l'idée que tout système qui
ne remplit pas encore la promesse de domination dévolue au peuple
élu est un système injuste, illégitime et usurpé.
Ultralibéralisme
et finance internationale
Dans
le judaïsme moderne, l'envers de la médaille révolutionnaire est
le capitalisme et la finance internationale. On doit se souvenir que
le « règne » de la Promesse juive ne fut pas conçu en termes
mystiques et surnaturels, mais comme celui qui aura recueilli toutes
les richesses de la terre. « Ton Dieu te veut riche » et « tu
prêteras de l'argent à de nombreux peuples mais tu n'emprunteras à
personne » sont déjà des maximes bibliques ; si l'on y ajoute
l'inclination des peuples sémitiques (en particulier ceux du désert)
à considérer la richesse comme essentiellement vagabonde, on rendra
compte peu à peu, avec le matérialisme et la sécularisation,
d'inclinations épousant les formes typiquement juives de
capitalisme, pour en arriver à l'omnipotence d'une économie sans
esprit et d'une finance sans patrie : dans ces formes actuelles,
s'exprime l'ancienne volonté de puissance juive, soit directement,
soit en vue de la destruction et de l'avilissement des valeurs que
cette omnipotence porte en elle. Des traits pareillement juifs –
selon Halfeld – seraient la déification de l'argent, la
transformation du temple en banque, la glorification puritaine du
succès et du gain, l'impresario un peu prédicateur, l'homme
d'affaires et l'usurier n'ayant que le mot Dieu à la bouche,
l'idéologie humanitaire et pacifiste au service du matérialisme...
On rappellera volontiers l'affirmation de Sombart selon qui
l'Amérique est un pays juif jusque dans ses moindres recoins et
l'américanisme, un « esprit juif distillé » ; ou celle de
Günther, selon qui les représentants de cet esprit sont
majoritairement juifs ; ou bien celle de Wolf, pour qui le lien
étroit entre Anglo-saxons et Francs-maçons sous l'influence des
Juifs expliquerait l'histoire occidentale de ce temps. Du reste, Karl
Marx lui-même n'écrivait-il pas : « Quel est le principe terrestre
du judaïsme ? Le sens pratique, l'utilité propre. Quel est son dieu
terrestre ? L'Argent. Le Juif s'est émancipé hébraïquement en
s'appropriant le pouvoir de l'argent, mais aussi en réussissant à
faire de l'argent une puissance mondiale. Ainsi, l'esprit utilitaire
juif est devenu l'esprit utilitaire des peuples chrétiens. Les Juifs
se sont émancipés en judaïsant les chrétiens. Le Dieu des Juifs
s'est sécularisé et est devenu le dieu de la terre.
Le taux de change est le vrai dieu des Juifs ».
L'intelligence
perverse
A
la puissance de l'or fait écho, dans l'action du judaïsme
contemporain, la puissance de l'intelligence au service de la
révolution. Nous faisons ici allusion au ferment de subversion qui
ne se limite plus au champ social, mais agit sur le plan spirituel et
culturel sous les formes les plus variées, trouvant sa source dans
l'inclination de « l'homme de la rédemption » incarné. Il est
incontestable que, dans le domaine de la culture, de la littérature,
des arts et même de la science, les contributions juives, directes
ou indirectes, convergent toujours vers un même effet : falsifier,
ridiculiser, montrer sous un jour injuste et illusoire tous les
idéaux des peuples aryens, en poussant au premier plan tout ce qui
se cache de sensuel, d'inférieur et d'animal dans la nature humaine.
Souiller tout ce qui est sacré, faire vaciller les certitudes sur
leur socle, inspirer un effroi spirituel de nature à encourager les
forces les plus viles, ainsi se manifeste l'action juive, action par
ailleurs essentiellement instinctive, naturelle, procédant
de l'essence, de la « race interne », comme il est propre au feu de
brûler et à l'acide de corroder.
Le
relativisme d'Einstein, qui a poussé le profane à croire que la
science allait confirmer l'impossibilité de tout point de référence,
alors que d'un autre coté il donnait la dernière main à un type
concret de découverte physique, y substituant un système purement
formel de données mathématiques et algébriques ; Bergson, avec sa
théorie qui exalte la vie dans son immédiateté, son
irréductibilité aux certitudes intellectuelles, son devenir
incoercible, son antithèse par rapport au monde classique de l'être
; Freud, Adler et d'autres psychanalystes juifs, qui ont découvert
l'univers trouble de l'inconscient et qui ont voulu démontrer son
omnipotence – faite d'instincts ataviques sauvages, de libido
primordiale et des fameux « complexes » - sur toute faculté ou
inclination du « moi » en veille ; l'école sociologique juive, qui
s'est mise à interpréter les religions et les mythologies non plus
sur la base d'un élément transcendant, mais seulement comme de
pures créations sociales et donc purement humaines ; le Juif
Lombroso qui, non content d'établir des relations aberrantes entre
le génie et l'anormal, considère le délinquant comme le descendant
résiduel et encore pur d'une « race », qui serait exactement la
race dont nous serions issus ; Max Nordau, résolu à démasquer «
les mensonges conventionnels de notre culture » comme un certain
nombre de romanciers juifs, à commencer par Wassermann, qui se sont
spécialisés dans la découverte des injustices et des inadaptations
des idées-bases de la société moderne; le matérialisme historique
de Karl Marx qui nous présente comme seule force créatrice de
l'histoire, le processus économique brut, donnant au reste la valeur
d'une pure superstructure (d'où ce jugement de Franck : « La
doctrine marxiste ne correspond pas à la réalité, mais à l'esprit
et au besoin du judaïsme, lequel ne considère que les problèmes de
matérialité et d'argent et se moque de tout idéal et de toute
forme spirituelle. C'est une forme niveleuse lancée contre toute
valeur de race et de sang »).
L'action
des soi-disant spécialistes de la question sexuelle, en grande
partie juifs, à commencer par le célèbre Magnus Hirschfeld,
résolus à faire de l'éros une vraie obsession et à attirer
l'attention, au moyen de publications pseudo-scientifiques et de
divagations, sur toutes les formes anormales et dégénérées de la
sexualité ; la « découverte » de la mentalité des « primitifs »
par Levy-Bruhl et Durkheim, à laquelle fait pendant l'action d'une
nombreuse troupe de Juifs dans le domaine de l'art moderne, où c'est
à nouveau l'informel, le primitivisme, le sensualisme qui ont le
dessus – et ainsi de suite, voilà les exemples précis et qu'on
pourrait multiplier, d'une action aux mille visages mais ayant un
seul effet : dégrader, subvertir, désagréger. C'est la «
Schadenfreude » : la jouissance de l'avilissement, du gâchis, de la
souillure, du sensualisme, ouvrant la porte à la part souterraine de
l'âme humaine, afin qu'elle se déchaîne et soit satisfaite. La
Schadenfreude est caractéristique de l'âme judaïco-levantine,
l'âme de « l'homme de la rédemption ».
Les
antisémites extrémistes tendent à considérer comme volontaire
cette convergence d'effets. Le point de vue dominant et plus sage
est, cependant, qu'il ne s'agit pas en la matière, d'une intention
précise ni d'un plan établi, mais justement d'un instinct, d'une
manière d'être naturelle et spontanée. La convergence se réalise
par syntonie, par affinité d'instinct et d'inspiration. A l'égard
de ces Juifs, on ne peut même pas parler d'une vraie responsabilité
: le Juif ne peut s'en empêcher, comme l'acide ne peut faire
autrement que de corroder. C'est sa façon d'être, déterminée par
les causes ataviques et raciales évoquées. Donc, il faudrait moins
le haïr que prendre les mesures pour en limiter et neutraliser
l'action – pour qu'il ne puisse pas nuire.
L'antisémitisme
voit en outre persister, sous des formes modernisées, l'ancienne
solidarité juive cimentée par la double morale, au point que la
communauté juive, nous dit Fritsch, a moins les caractéristiques
d'une communauté religieuse que ceux d'une conjuration sociale : et
les Etats aryens, ignorant cette double morale et ne se défendant
pas, concèdent inconsidérément aux Juifs des droits égaux comme
s'ils respectaient leur morale, se posent virtuellement en position
d'infériorité, remettant leur destin aux mains du peuple qu'ils
avaient accueilli, aux mains d'une race étrangère, internationale
et antinationale.
Conscients
de cela, il faut réagir par deux voies : l'une morale, l'autre
politique. Il ne faut lier aucun rapport entre les Aryens et une «
race privée du sentiment d'honneur et
de loyauté », et agissant par deux voies principales : la tromperie
et l'argent. Le concept social aryen serait : « L'homme sincère et
conscient place son orgueil dans une vie méritoire d'action loyale
et de production droite. Il préfère mourir plutôt que d'obtenir
des avantages par des actions déshonorantes. L'idée rigoureuse de
l'honneur et de la justice sans condition envers les autres hommes
constitue le fondement de toute vie héroïque et prend racine dans
un élément profond de l'âme : dans le sentiment de honte. Un
peuple qui renonce au sentiment d'honneur et de honte est indigne
d'une qualification humaine : c'est une soushumanité (Fritsch). Il
est donc absurde – conclut-il – de prétendre établir des lois
égales pour les Juifs et les Aryens.
Des
mesures prophylactiques s'imposent. Donner entière liberté aux
Juifs signifierait qu'ils se jouent de nous. Et c'est pour cela que
l'idéologie libérale, individualiste et démocratique
a eu, à juste titre, les Juifs comme défenseurs fervents ».
D'où
le passage à l'action politique et aux mesures que les Etats
[nationalistes], acceptant les thèses de l'antijudaïsme, ont
adoptées pour écarter les éléments juifs des postes de commande
de la vie politique, économique et intellectuelle, accaparés en
masse ces derniers temps. La polémique antisémite a permis de
mettre en lumière que dans le commerce, le trafic, dans les postes
de direction ou indépendants, l'élément juif était effectivement
prédominant, alors qu'il diminuait dans les postes subalternes,
parmi les ouvriers, les agriculteurs, où le pourcentage de Juifs
devenait presque négligeable comparé au nombre de non-Juifs. En
tout cela, l'antisémitisme a noté un phénomène de parasitisme non
exempt de liens avec l'instinct juif héréditaire les poussant à «
sucer le lait des gens, et à téter les mamelles des rois », à «
dévorer les peuples que Dieu lui aura livrés », selon les
anciennes expressions de la Loi. Les Juifs ne fabriquent pas, ne
produisent pas, mais spéculent et trafiquent sur ce que les autres
font et s'enrichissent à leurs frais et dominent. Les Juifs visent
directement les occupations intellectuelles et les postes de
direction, et ainsi haut placés, peuvent exercer
une activité souvent suspecte et corruptrice, laissant aux autres,
aux Aryens, les formes inférieures de travail.
De
là, donc, les mesures politiques tendant à bannir les Juifs des
charges publiques et à en limiter la représentation dans chacune
des professions. Le Manuel de la question juive, écrit par Fritsch,
conclut par ces mots révélateurs : « Les Juifs sont dangereux non
seulement économiquement, mais aussi spirituellement et moralement.
Par la loi rabbinique,
le Juif est lié à un Etat particulier, qui comprend tous les Juifs
du monde. Il lui est donc impossible d'être sincèrement membre d'un
autre Etat. Chaque peuple qui tient à sa liberté et à son honneur
et entend se défendre face à toute tentative d'affaiblissement de
son droit et à toute dégénérescence morale, ne pourra à l'avenir
tolérer de Juifs en son sein. Où doivent-ils aller, alors ? Ceci
les regarde. Certainement pas là où les paysans et les artisans
[non-Juifs] seraient obligés d'abandonner leurs biens et leurs
maisons. Du reste, ils possèdent assez d'argent pour acquérir une
part entière du globe, en Australie ou en Afrique. Là, ils pourront
vivre en paix selon leurs coutumes et montrer au monde qu'avec leur
force, ils savent créer une culture. A nous, s'impose l'abolition de
l'émancipation des Juifs ». Et De Vries de Heekelingen
d'ajouter : « Nous ne reprochons pas aux Juifs de travailler pour la
grandeur de leur race. Nous admirons même la ténacité avec
laquelle ils poursuivent la réalisation de leur but. Nous ne pouvons
comprendre, en revanche, l'aveuglement de tant de non-Juifs qui ne
montrent pas le même enthousiasme et la même ténacité pour
défendre leurs intérêts les plus sacrés ».
Par
les considérations ici évoquées, on a mis en lumière le coté
essentiellement « racial », outre que politique ou social, du
problème juif : racial non pas en référence à une race pure, mais
à des instincts devenus, pour ainsi dire, un héritage organique capable
d'épouser des formes variées de manifestation, mais ne
disparaissant jamais complètement.
Les
Protocoles des Sages de Sion
Nous
devons maintenant dire quelque chose sur un livre qui a suscité
toutes sortes de discussions et a eu une part fondamentale dans la
polémique antijudaïque : il s'agit des fameux Protocoles des Sages
de Sion. Puisque nous avons déjà traité de ce livre dans
l'introduction de sa dernière édition italienne, nous nous
limiterons à un aperçu général, car on ne peut évoquer la
question juive sans un éclairage à son propos.
Les
Protocoles sortirent sous leur forme actuelle en Russie en 1904,
édités par un certain Sergueï Nilus qui les présenta comme un
document soutiré à une mystérieuse
organisation
judéo-maçonnique. En réalité, il a été prouvé qu'une partie de
ces textes avaient
été divulgués, publiés et Bismarck lui-même en aurait eu
connaissance. Les idées centrales des Protocoles sont les suivantes
:
1.
Les différents événements et les différentes idéologies qui ont
conduit l'Europe traditionnelle, aryenne et chrétienne au déclin ne
sont pas fortuits, mais obéissent à un plan précis de destruction.
2.
Ce plan de destruction émane d'une organisation occulte, qui l'a
élaboré dans tous ses détails, étudiant en même temps, sur les
bases de la connaissance des lois précises qui lient les causes aux
effets, les voies de sa réalisation progressive.
3.
Cette organisation agit surtout par l'intermédiaire de gens qui ne
se rendent pas compte, souvent, qu'ils en sont les instruments. Son
action se développe sur trois plans.
D'abord
un plan idéologique : on distille des idéologies auxquelles on ne
croit pas, que les Sages de Sion méprisent, mais qui servent leurs
desseins machiavéliques, pour faire avancer la subversion, pour
désagréger les sociétés et les Etats : libéralisme,
rationalisme, internationalisme, démocratie.
En
second lieu, on fait en sorte que les principaux centres de
fabrication de « l'opinion publique », c'est-à-dire la presse
internationale, soient sous contrôle.
En
troisième lieu, l'objectif est de contrôler la part maximale des
richesses du monde, c'est-à-dire la finance internationale.
Agissant
par ces trois instruments, ils poussent partout le ferment de la
subversion, déracinent spirituellement et socialement les hommes, en
font une bouillie matérialiste, sans patrie ni tradition, sans force
intérieure ni personnalité ; vraies révolutions
(qui devront avoir comme point de départ la Russie – à noter que
les Protocoles furent du domaine public à partir de 1904) et guerres
suscitées de manière occulte devront conduire la crise de l'homme
occidental jusqu'à un tel degré qu'à la fin il deviendra une chose
passive entre les mains de dirigeants invisibles. Alors ceux-ci se
révéleront pour assumer le pouvoir universel. A leur tête, un roi
de race juive.
Une
fois informé du contenu des Protocoles, on vient à se demander
s'ils sont authentiques. Cette question n'a pourtant pas de sens car,
comme le relève bien René Guénon, « aucune organisation vraiment
et sérieusement secrète, quelle que soit sa nature,
ne laisse derrière elle des documents écrits ». Il ne faut donc
pas se demander s'ils sont authentiques mais s'ils sont véridiques.
Le document doit être examiné pour la vérité qu'il contient au
sens des sciences positives, modernes, c'est-à-dire des hypothèses
de travail qui servent à orienter le procédé inductif qui les
confirme, un ensemble
de faits qui, en vertu d'elles, vont révéler une intime connexion
et une loi unitaire. D'un tel point de vue, on peut dire que même si
les Protocoles n'étaient pas vrais, c'est comme s'ils l'étaient,
pour deux raisons :
1.
Parce que les faits qui se sont produits après leur publication les
confirment. Hugo Wast écrivait : « Les Protocoles peuvent être
faux ; mais ils se réalisent merveilleusement » et Henry Ford : «
L'unique jugement que je puis émettre sur les Protocoles
est qu'ils s'accordent parfaitement avec ce qui advient. Depuis
qu'ils ont été écrits, ils correspondent exactement à la
situation mondiale et aujourd'hui encore ils indiquent le rythme ».
2.
Parce que les idées fondamentales dont ils s'inspirent sont celles
du judaïsme international, et donc si les Protocoles ont été
inventés, l'auteur a simplement écrit ce que chaque Juif fidèle à
sa tradition, à la volonté profonde d'Israël et conscient de ses
instincts, aurait pu écrire.
Sur
le premier comme sur le deuxième point, l'édition italienne des
Protocoles donne une ample et convaincante démonstration. Le
problème ainsi posé, la question du « plagiat », qui a provoqué
le vieux procès de Berne apparaît, au fond, frivole. Il ne fait
aucun doute qu'on trouve dans les Protocoles des éléments tirés
d'ouvrages antérieurs, en particulier une plaquette écrite en 1865
par un franc-maçon révolutionnaire, Joly. Mais on ne se situe pas
ici dans le domaine de la littérature, où emprunter aux autres
jette le discrédit sur l'œuvre. Un stratège peut utiliser des
choses exposées par d'autres et en conserver même leur formulation
littérale si elle sont susceptibles d'entrer dans son plan, sans que
la signification de ce dernier s'en ressente.
Il
est plus sérieux et concluant de constater la présence de toute une
série d'antécédents des Protocoles, antécédents qui nous
ramènent à des temps lointains et qui, de manière plus ou moins
romancée ou mythologique, reproduisent le pressentiment obscur de
cette double vérité :
-
Que tous les principaux événements de l'Histoire ne sont pas
fortuits mais ont leur logique et obéissent à une certaine
intention.
-
Qu'il existe un centre occulte du monde.
La
caractéristique des Protocoles réside dans une formulation spéciale
de ces deux motifs généraux : ce sont les événements de la
subversion moderne qui obéissent à une certaine intention et qui
ont une direction – et par conséquent, le centre occulte du monde
a un caractère ténébreux, il est le centre de forces maléfiques,
dévolues à la destruction de l'Europe traditionnelle. Cette
formulation particulière est l'effet d'une espèce de retournement
ou de contrefaçon d'une tradition préexistante, en soi ni juive ni
maçonnique ; de quoi le lecteur pourra se convaincre en lisant la
dernière partie de notre
livre "Le Mystère du Graal".
De
toute façon, il se demandera si au centre de ce plan destructeur
annoncé par les Protocoles et vérifié, souvent avec une exactitude
impressionnante par les événements successifs, on trouve vraiment
des Juifs. Dans les Protocoles, on se réfère tantôt aux Juifs
tantôt aux francs-maçons, ce qui n'est pas tout à fait la même
chose... Pour notre part, nous croyons prudent d'utiliser seulement
l'expression : dirigeants secrets de la subversion mondiale. Il est
indiscutable que de nombreux éléments juifs ont été utilisés par
ces chefs anonymes, car à cause de leurs instincts et de la
déformation de leurs idées traditionnelles, les Juifs paraissaient
être les instruments les plus qualifiés et adaptés. Mais il n'est
pas prudent de généraliser au-delà d'une certaine limite.
Il
faut, du reste, se rendre compte d'un autre point : que l'on ne peut
pas faire des Juifs la cause unique et suffisante de toute subversion
mondiale – comme le voudraient certains extrémistes – sauf à
reconnaître une humiliante infériorité. Les Juifs auraient donc
été plus forts que le monde aryen supposé en ordre et en pleine
possession de ses moyens ? C'est un non-sens. L'action juive a été
possible seulement parce que dans l'humanité non-juive s'étaient
développés des processus de dégénérescence et de désagrégation
: l'élément juif s'est greffé à ces processus, avec l'esprit, les
instincts et les méthodes qui lui sont propres, il les a accélérés
jusqu'à l'exaspération, les conduisant là où, seuls, ils ne
seraient pas parvenus aussi rapidement."
Julius EVOLA, "Le Mythe du Sang".
Le
combat de Dieudonné et Soral vu par un juif Ashkénaze.