dimanche, décembre 22, 2019

22 Décembre, la "Boy Love Day"



Le symbole des boylovers (boypredators) 



Les pédophiles du monde entier célèbrent leur penchant pour de jeunes garçons le 22 décembre, Journée internationale de l'amour des garçons (JIAG). Les anglophones utilisent l'acronyme IBLD pour International Boy Love Day. Les néerlandophones l'utilisent également. Dans les pays hispanophones, la Journée internationale de l'amour des garçons est connue sous le sigle DIAM (Día Internacional del Amor por los Muchachos).

L'International Boy Love Day est célébré deux fois par an. Ils avaient lieu aux solstices d’été et d’hiver. Mais depuis quelques années ils sont communément fêtés, en juin comme en décembre, le samedi qui tombe entre le 21 et le 27.

"L'attraction des boylovers pour les garçons n'est pas toujours exclusive. Un boylover peut également être attiré par les filles... […] Il y a les boylovers qui sont principalement attirés par les très jeunes enfants de 3 à 6 ans et ceux qui sont principalement attirés par les garçons qui sont dans la puberté ou dans l'adolescence. Chez les anglophones, Ils sont souvent décrits par les termes « little boy lover » et « teen boy lover » (pédéraste)", selon le site BoyWiki. 

BoyWiki est au confluent d'une mouvance pédophile militante appelée Free Spirits Coalition (FSC). La FSC est le cadre dans lequel opèrent plusieurs sites pédophiles en langue anglaise : BoyChat, BoyLinks, BoyWiki, LifeLine, BoyWrite... La FSC est associé a une autre ligue de sites Internet pédophiles non-anglais qui comprend : El Castillo Azul (discussion en espagnol), Jongens (discussion en néerlandais), Jungs (discussion en allemand), La Garçonnière (discussion en français)... Des membres des Free Spirits ont créé le collectif Montréal Ganymède qui permet aux pédophiles de se rencontrer en personne. 

Échanges pédocriminels sur le site La garçonnière
(Archive de 2012) 

« Arracher la peau de jeunes garçons blancs... Prendre cet enfant et le bouffer... » 

Jeuneblack 

J'ai une obsession maladive des petits garçons et des ados de race blanche. Enfin, ceux qui sont mignons. En même temps, c'est rare que je trouve des jeunes garçons blancs qui soient moches. Par contre quand ils deviennent des hommes, ils perdent beaucoup de leur beauté et deviennent souvent laids, à mon avis (ce n'est qu'un avis esthétique, je cherche pas des noises en disant ça).

Hier encore, je fixais et dévisageais ce gamin d'environ 8 bonbons accompagné par sa mère dans le métro, il m'a souri, je lui ai souris, il a élargi encore plus son sourire, j'ai fais de même, ensuite je lui ai carrément envoyé une bise a distance et il me l'a rendue. J'aurais voulu prendre cet enfant et le bouffer (métaphoriquement) et le faire mien. L'élever, le nourrir de ma bite qui le fera grandir, ensuite boire sa toute première semence lorsque sa puberté sonnera. 

Je fantasme parfois d'arracher la peau de jeunes garçons blancs pour les porter sur moi, comme on porte un joli costume ou un déguisement. 

Quand j'étais adolescent, je bossais en colos et des tas de petits garçons blancs ou ados m'obsédaient. Ils sont aujourd'hui eux-mêmes ados et le fait de les voir changer avec les années me fascinent beaucoup. 

Je ne fantasme pas autant sur des gamins noirs car je les voient comme mes frères, et j'aime pas l'inceste.

Bref, comment arrêter cette fixation sur des gamins blancs ? J'entretiens une relation amour-haine homo-érotique avec les ados blancs que je vois traîner leur copine, j'ai envie d'eux, je les veux, mais je les déteste en même temps pour s'intéresser autant aux filles, ces créatures immondes et sans intérêt qui a mon sens ne servent qu'à la reproduction et l'apprentissage du ménage.

J'ai du mal a concevoir un ado qui s'intéresse au domaine du couple hétérosexuel, pour moi c'est un truc d'adultes, la phase de se caser quoi, pour moi tous les ados devraient baiser des hommes jusqu'au moment ou ils fondent une famille. L'intérêt que semble porter les ados blancs aux filles m'apparaît complètement faux et forcé, j'ai du mal a croire qu'un gamin de 14 piges s'intéresse autant aux femelles.

J'aimerai avoir des conseils pour arrêter cette fixation sur garçons blancs, car franchement c'est une obsession qui me bouffe la vie... 

Hésiode

Mon premier amour était un garçon blanc de 10 ans, mon premier amant était un petit noir de 8 ans, même si lui disait qu'il était marron, le dernier gamin que j'ai choppé était un petit arabe de 11 ans et avant lui c'était un petit blond de 10 ans au sexe rose... C'est vrai que je ne comprends pas bien l'obsession pour telle ou telle caractéristique, le sens érotique et esthétique se nourrit et s'enrichit de la diversité.

Cela dit, tu ne devrais pas t'inquiéter de l'exclusivité de tes goûts, encore que ... il y a déjà beaucoup de diversité chez les petits blancs, blonds, bruns, dodus, longilignes, musclés, malingres ... Mais bon, si c'est vraiment ce qui t'inquiète, il n'y a qu'un moyen de passer le cap, c'est de passer à l'acte. Oui, peut-être qu'à force de fourrer des petits blancs tu vas passer à autre chose.
D'autant qu'il est notoire que les petits blancs fantasment sur les adultes noirs ; je me rappelle quand j'avais 9 ans, c'était mon fantasme, mon seul fantasme homosexuel d'ailleurs, et je ne crois pas être le seul dans ce cas. Bien sûr, tout n'est pas si simple, il faut pour cela que tu aies une grosse bite. Les fantasmes enfantins sont assez primaires... mais qu'à cela ne tienne, si jamais tu n'as que des proportions "moyennes", dis toi que pour un garçon de 7 ans, tout paraît plus grand ! 

Voilà, pas de quoi se pourrir la vie. Il n'y a pas d'âge pour "bosser en colo", occupe donc tes congés à cela, et cette fois-ci amuse toi bien… 

Jeuneblack : 

LOL, j'adore ton humour noir et décalé. Je crois qu'en tant que noir c'est beaucoup plus difficile de séduire un garçon blanc, a cause de la différence culturelle. Mais en même temps on évite plus facilement les soupçons car les pédos ''c'est connu, c'est que des blancs''.

J'aurai aimé avoir ta facilité a pécho des gamins, tu semble avoir eu pas mal d'expériences sexuelles. 

Bon 

Moi, je suis blanc et je suis fasciné par les gamins noirs à la chair si ferme et la bouche incroyable...

A mon avis, tu vas être déçu par les petits blancs : ils sont mous, ils ont la fesse plate, ne sentent pas très bon et bandent par erreur.

Mais bon, chacun ses goûts... Bref on pourrait faire des échanges culturels. Moi, j'ai des neveux impubères mignons de l'avis général, mais insipides à mon goût, je t'échange chacun d'entre eux contre un de tes petits frères.

Jeuneblack :
Tiens, tu m'apprends des choses sur les petits blancs ; finalement je vois bien que tous les goûts sont dans la nature. 

Tibère : 

"J'aurais voulu prendre cet enfant et le bouffer "

Arrête, tu vas réveiller les vieilles lunes racistes d'ici qui fantasment encore sur l'idée que les noirs sont cannibales et qu'ils ont tous une trompe d'éléphant entre les cuisses .

Je parle de ceux qui sont assez vieux pour avoir connu "le temps béni des colonies" que chante Sardou. Remarque, il n'y en a plus beaucoup, de ces vieux-là, tout se perd. 

Plus sérieusement, être attiré par différent de soi est une chose assez commune. Boris Vian (alias Vernon Sullivan) a même fait de ce thème une belle histoire très drôle et très morale ("Et on tuera tous les affreux").

Personnellement, je ne suis pas très attiré par les petits blancs. Trop laiteux. Je ne leur trouve pas assez d'attraits, sauf quand je suis en Afrique ou aux Antilles : ce qui est rare est "cher". 

En revanche, la douceur des jeunes blacks, j'adore. Qui ne s'est jamais frotté à une peau noire ne peut pas comprendre. 

Calaf : 

A ce que j'ai compris, tu vis et tu as grandi dans un pays de blancs. C'est pas étonnant que tu fantasmes sur les blancs alors. Quand tu dis que tu voudrais revêtir leur peau... je comprends ça. Moi je suis blanc dans un pays de blancs, mais le désir de se fondre dans un autre garçon, celui qui a l'air heureux, bien plus que moi, je l'ai ressenti. Tu te sentais exclu étant gamin ? A part ? Pas besoin d'avoir une différence visible pour ça. Et j'aime les garçons de toutes les couleurs...

Et quel est ton but exactement ? Arrêter de fantasmer sur les blancs ? Sur les garçons ? Arrêter de fantasmer tout court ? 

Jeuneblack : 

En fait, c'était pas vraiment un but précis, c'était surtout pour m'exprimer et avoir des avis sur ma fixation sur les gamins blancs et savoir si je suis pas trop zarb.

Et oui, enfant je me sentais exclu, j'enviais un peu les garçons blancs pas a juste cause de leur couleur mais surtout parce qu'ils avaient une meilleure existence que la mienne, j'ai grandi dans la cité, pas dans le luxe comme eux, je connais pas Neuilly-sa-mère et tout, enfin bref je trouvais qu'ils avaient une vie facile qui m'était inaccessible c'est tout.

Mais aujourd'hui, si je fantasme de porter la peau d'un jeune garçon blanc sur moi, c'est pas par envie d'identification, c'est purement sexuel. Je veux comme les posséder sur mon corps, sentir leur peau sur moi sur base régulière, ça m'excite a y penser, comme certains mecs qui se travestissent en femme pour avoir l'impression d'avoir le corps d'une femme sur eux 24h sur 24.

C'est pas tant l'envie d'être blanc car je suis au contraire ''noir et fier'', du genre Césaire, Frantz Fanon et tout, c'est juste un fantasme sexuel de garçon blanc très obsessif. Un goût marqué. 

Ours serein : 

Essaye les métis. Par exemple, moi, je fantasme plutôt sur les asiatiques, leurs yeux et leur bouche charnue me rendent fou ! mais je n'en souffre pas, j'en suis plutôt heureux.

Bon, je suis blanc, et j'ai pas le complexe d'infériorité (complètement infondé, entendons-nous bien) que tu as peut-être, donc je ne vois pas où se situe le problème, assume ta préférence.
Pour le reste je comprends le lyrisme de ton propos, mais aux oreilles d'un non averti, il pourrait te faire passer pour un ogre un peu trop excité.

Ton avis sur ces pauvres ados embrigadés par la société dans la soumission aux attraits fallacieux des femelles avant l'âge adéquat (18/20 ans) est aussi le mien. 

Source : 





La France doit se débarrasser de 50 000 parasites

En marche pour écrire l'histoire


"La réforme des retraites, c’est du cyanure dans le contrat social. Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle envisageable ? Non ! Rien n'est perdu dans notre beau pays."

L'ironie du début de l'édito de Denis Robert fait ensuite place à un réquisitoire aux accents gaulliens contre un régime devenu quasiment dictatorial en France.

Ce titre, "En marche pour écrire l'histoire", signifie que le peuple français est entré dans la Résistance, la vraie, celle qui restera dans l'Histoire de notre pays et qui peut s'écrire avec encore plus de sang.

Denis Robert :

"(...) et j'ai pensé à de Gaulle et à son Appel du 18 Juin. J'ai remplacé les Allemands par les Macroniens. [...] L'heure est grave les amis. [...] l'inféodation de notre nation aux forces de l'argent. 

Le pays résiste, les Français par millions, malgré les bavures policières, les coups de matraque, les tirs de flashball en pleine poire, malgré les suicides et les morts violentes dont Macron et Castaner sont in fine responsables. Anas, Zineb, Steve... Les Français par millions dis-je, malgré les frigos vides, les jours de grèves pas payés, les menaces télévisuelles, sont dans la rue. [...]

Ils ont payé leur police, leur offrant un régime de retraite et des primes particulières pour neutraliser, "nasser", asphyxier les foules...

Les ennemis du peuple français ne sont pas aussi nombreux que les occupants nazis contre lesquels le général de Gaulle lança son célèbre appel du 18 juin 1940 et exhorta les Français à poursuivre le combat, marquant ainsi la naissance de la France libre.

Denis Robert, lui aussi, à sa façon, exhorte les français à se libérer des parasites, des "doryphores", surnom donné aux occupants hitlériens.

Denis Robert :

"Vous êtes combien ? Une trentaine au gouvernement. Un petit millier entre l'Assemblée, le Sénat et vos troupes d'enmarcheurs. Une centaine d'ultra-riches en France. Une dizaine de millier de gens très riches qui continuent à soutenir la politique fiscale surtout. Et puis quelques patrons, en particulier les patrons des médias. Une bonne centaine de journalistes. Si je fais le calcul, vous êtes combien à servir ce régime ? Et à vous servir au passage. 20 000, 30 000, allez 50 000..."

Que représentent 50 000 "doryphores" face à l'embrasement révolutionnaire de tout un peuple ?

samedi, décembre 21, 2019

Pourquoi le premier pape jésuite détruit l'Eglise

(Durée 1:08)
Le pape accusé d'hérésie


Mgr Carlo Maria Viganò accuse le pape François de mentir, de démanteler le Siège de Pierre par ses hérésies et de souffrir d’« intolérance mariale »...

"Depuis plus de six ans maintenant, écrit Christian Lassale, nous sommes empoisonnés par un faux magistère, une sorte de synthèse extrême de toutes les idées fausses conciliaires et des erreurs post-conciliaires qui se sont propagées imparablement, sans que la plupart d’entre nous ne s’en aperçoivent. [...]

(...) le Dépôt sacré de la Foi a été progressivement dilapidé, les Dogmes dénaturés, le Culte sécularisé et progressivement profané, la Morale saccagée, le Sacerdoce diffamé, le Sacrifice eucharistique protestantisé et transformé en Banquet convivial… [...]


Avec le pape Bergoglio – comme avec tous les modernistes – il est impossible de chercher la clarté, car la marque distinctive de l’hérésie moderniste est précisément la dissimulation. Maîtres de l’erreur et experts dans l’art de la tromperie, ils « s’efforcent de faire accepter universellement ce qui est ambigu, présentant le côté inoffensif, qui servira de passeport pour introduire le côté toxique, qui a été initialement gardé caché » (P. Matteo Liberatore S.I.). Ainsi, le mensonge répété avec obstination et obsession finit par devenir « vrai » et accepté par la majorité.

Typiquement moderniste, aussi, est la tactique de soutenir ce que l’on veut détruire, en utilisant des termes vagues et imprécis, en favorisant l’erreur sans jamais la formuler clairement. C’est exactement ce que fait le Pape Bergoglio, avec son amorphisme qui dissout les Mystères de la Foi, avec l’approximation doctrinale qui lui est propre, par laquelle il « métisse » et démolit les dogmes les plus saints, comme il l’a fait avec les dogmes mariaux de la Mère toujours Vierge de Dieu.

Le résultat de cet abus de pouvoir, nous l’avons sous les yeux : une Eglise catholique qui n’est plus catholique, un récipient vidé de son contenu authentique et rempli de marchandises de pacotille.

L’avènement de l’Antichrist est inévitable..."  Lire l'article de Christian Lassale


Le pape François, élu en mars 2013, est le premier pape jésuite.

"La Compagnie de Jésus, qui fut bannie près de 80 fois d’à peu près tous les pays, est donc à compter parmi les agents les plus actifs de la dissolution moderne, et ce depuis cinq siècles.

Fondements judaïques, influence originelle probablement islamique, forme religieuse catholique, politique œcuménisme, conceptions matérialistes, tendance à l’orientalisme tout en condamnant les véritables traditions de l’Orient (comme l’hindouisme) : il ne fallait pas s’attendre à ce que cet ordre pour le moins étrange soit le sauveur du Christianisme !

Mais, aujourd’hui, dénoncer la Compagnie de Jésus semble relever d’un « conspirationnisme paranoïaque » lorsque l’on connaît les théories invraisemblables qui peuvent circuler sur le Web à propos des jésuites. Et ne parlons même pas des révoltés qui s’insurgent naïvement devant le fait qu’on demande aux jésuites de faire vœu d’obéissance absolue, ne trouvant pas d’autres angles sous lesquels les dénoncer.

Mais il est évident que ces dénonciations futiles de la Compagnie de Jésus servent celle-ci plus qu’autre chose, étouffant les véritables raisons pour lesquelles elle mériterait d’être dénoncée.


Il faut comprendre que les jésuites placent Jésus avant le Christ, et qu’ainsi, progressivement, le Rédempteur va devenir un prophète qui sera absorbé parmi ceux de l’Ancien Testament. Ce fait échappe aux catholiques, globalement "enjésuités".

Le jésuitisme est le rêve d’un royaume terrestre et matériel en opposition absolue avec le plan de Salut du Christ dont le « Royaume n’est pas de ce monde ». Teilhard de Chardin appelait Dieu : « Mon Dieu de la matière ».

Les jésuites ont permis à œcuménisme d’évoluer vers une nouvelle religion mondiale de synthèse. Le jésuitisme ne reconnaît qu’un monde homogène où tout se vaut. Mais qui en aura le contrôle ? C’est là l’enjeu de leur combat.

Les loges maçonniques, composées de petits bourgeois se réunissant le week-end, ne valent pas mieux que des associations de boy-scouts à côté de cet ordre puissant, qui a un réel pouvoir occulte. Ordre qui, rappelons-le, est international, ultra-centralisé et exclusivement composé de soldats sur-formés et ayant fait le sacrifice intégral de leur vie.

Cela les a placés en pole position avec le judaïsme dans la gestion des affaires terrestres. Les deux, à plusieurs reprises, ont d’ailleurs collaboré à travers l’Histoire.

Aucune autre organisation ne fonctionne avec autant de discipline et d’efficacité sur cette Terre.

Même un agent des services secrets, en temps ordinaire et une fois son travail terminé, rentre chez lui comme tout le monde pour passer du bon temps avec sa femme et ses enfants.

Le jésuite, lui, est constamment au service de son armée, qui est aussi sa famille, son école et son église. Lorsqu’il parle de l’amour du Christ, il parle de l’amour de la Société de Jésus. Il ne connaît rien d’autre, et dans le cas contraire, il ne pourrait tenir au sein de la Compagnie.

Il n’est pas étonnant qu’un tel ordre ait réussi à surpasser toutes les épreuves et à s’imposer au monde entier !

Ayant perdu son utilité, on le croit inoffensif, alors qu’il domine l’Église et d’autres institutions religieuses et civiles, y compris au sein des armées.

Il est donc nécessaire de rappeler aux patriotes, et en particulier aux catholiques, la véritable nature de la Compagnie de Jésus qui parvient à garder auprès de ceux-ci l’image d’un ordre de prêtres sympathiques et plutôt conservateurs, alors que son idéal est strictement à l’opposé du leur. L’Église n’a été que leur cheval de Troie et le pape François est le couronnement d’un plan d’une duplicité inouïe. S’affubler du nom du Poverello Francisco est le comble du cynisme et de la démagogie, mais ce n’est que du pur jésuitisme.

Chez les antimondialistes d’Occident, peu importe leurs tendances idéologiques, on s’accorde généralement à dénoncer un ennemi extra-européen, comme l’Islam, le sionisme ou les États-Unis d’Amérique, et cela pour protéger la civilisation européenne et, particulièrement, le christianisme.

Mais l’ennemi le plus dangereux n’est-il pas celui qui est considéré comme fondamentalement européen, inoffensif ou, pire encore, comme faisant partie des alliés à protéger ?

Les nationalistes et les défenseurs des identités voudraient défendre la « tradition européenne et chrétienne » prise en un bloc, mais le ver est dans le fruit depuis déjà bien longtemps...

Avant de dénoncer l’immigration de masse ou l’américanisme, contre lesquels toute personne de bon sens est censée s’ériger, peut-être faudrait-il dénoncer ceux qui, se cachant en prenant le masque de la tradition chrétienne, la détruisent de l’intérieur ?

À méditer..."

Extrait du dossier "La Compagnie de Jésus"


vendredi, décembre 20, 2019

Le gourou du fist-yoga, Ganymède


Comme les ascètes de la fête shivaïte du Thaipusam, "His Holiness" a les joues transpercées.  


Ganymède est un néo-chaman qui éveille la kundalini avec le poing. Il enseigne une sorte de fist-yoga. "Beaucoup d'hommes, dit Ganymède, ont de profondes expériences spirituelles lorsqu'ils se livrent au fisting". 

L'enseignement de Ganymède traite des techniques concernant cette forme particulière d'activité érotique qu'il associe au tantrisme, afin, dit-il, de "parvenir à l'intégration esprit-corps".

Ganymède a co-fondé la tribu "Black Leather Wings". C'est une sorte d'église queer où confluent joyeusement la magie sexuelle, des rites chamaniques lubriques, les pratiques sado-masochistes, des rituels païens et bien entendu le tantrisme.

Homme de lettres, Ganymède a contribué à l'anthologie "LeatherFolk : Radical Sex, People, Politics, and Practice", édité par Mark Thompson, et au livre "The Divine Androgyne According to Purusha : Adventures in Cosmic Erotic Ecstasy and Androgyne Bodyconsciousness".


jeudi, décembre 19, 2019

A propos du Traité du Rebelle

(Durée 7:40)

Sur Radio Ici & Maintenant, Jean-Paul Bourre lit un extrait du "Traité du rebelle" d'Ernst Jünger, apparemment disparu des librairies.


A propos du Traité du Rebelle, de Jünger 

Anna Sprengel

« Qui n’a jamais eu l’impression que sa vie (...) 
attend un exaucement inconnu - un complément pour se parfaire ? »
Ernst Jünger in Polarisations 


Offrir des ressources à tous les peuples écrasés par un pouvoir totalitaire

Ce qui d’emblée frappe à la lecture du Traité du rebelle (plus de 100 € pour les derniers exemplaires de l'édition de 1986), petit ouvrage écrit en 1951, dense et lumineux, d’un auteur que l’on ne connaît pas encore assez, c’est son actualité. Sans doute en est-t-il ici comme du "Discours de la servitude volontaire", de La Boétie : il traversera les siècles avec la légèreté d’un texte sans âge, offrant ses ressources à tous les peuples écrasés par un pouvoir totalitaire, en appelant sans délais à un mouvement de résistance. Car quoi de plus banal que de constater, au fil des ans, le nombre toujours plus accablant de petits chefs, de dictateurs, et autres assemblées exécutantes plutôt qu’exécutives, dès lors qu’il n’y a plus de contre-pouvoir ? Résister, c’est alors le mot d’ordre le plus commun, le plus inactuel, qu’il faut sans cesse répéter, avec le courage qui chaque fois l’accompagne. Et si hic et nunc nous ne sommes pas en temps de guerre, sachons cependant repérer les censures, les autocensures, et les abus de pouvoir amoindrissant les libertés.

Dire « non » ne suffit pas, il faut frapper...

Il n’est ainsi qu’à songer aux récentes actions des comités « anti-pub » pour s’en convaincre : la résistance au consumérisme, à la propagation publicitaire dans tous nos lieux de vie, n’a pas été sans répression. Si l’on a bien voulu que quelques-uns s’amusent à crayonner ou taguer sur les grands panneaux d’affichage polluant et ponctuant nos cheminements quotidiens, la permission ne valait que pour un espace limité, que l’on pouvait surveiller, un espace qui du coup s’est avéré stérile : la résistance, institutionnalisée, s’était transformée, perdant son acuité et sa force. L’opposition des rebelles s’était dissoute dans la propagande marchande, pour aller du côté d’un combat entre David et Goliath qui était perdu d’avance, parce qu’il était codé, et que les personnages étaient d’avance neutralisés. C’était là oublier un des premiers points de Jünger, l’un de ses premiers principes : dire « non » dans un lieu agréé, autorisé, ne suffit pas ; il faut frapper précisément là où l’on ne s’y attend pas, sans quoi la protestation reste vaine et sans trace. Elle servirait même, plutôt, ceux dont on veut se défendre, en étant discréditée puis récupérée. Et c’est bien ce qui, pour les comités « anti-pub », s’est passé.

La Police est en hypertrophie, où, au lieu de protéger, elle tend à générer un sentiment d’insécurité

Même si nous ne sommes pas sous le joug d’une dictature, nous ne sommes pas non plus sortis d’une ère où la Police est en hypertrophie, où, au lieu de protéger, elle tend à générer un sentiment d’insécurité. Car croiser partout des hommes en uniformes et armés provoque la peur, plutôt qu’elle ne l’atténue : elle nous confine dans un état d’urgence permanent, elle nous inquiète et finirait même par énerver : les armes, trop nombreuses, appellent la guerre, après que l’on s’est occupé de sa propre sécurité. Seules réponses face à la peur, cette grande peur que notre société est censée toujours éprouver, face à la délinquance, au vieillissement de la population, à la précarité, au chômage, et autres virus, les armes l’accentuent au lieu de nous en libérer, et se trompent de cible, n’atteignant que la surface d’un malaise profond dans les marges de notre société, marges qui se retrouvent au centre des dispositifs de surveillance et de contrôle continu : ainsi les armes finissent par générer la peur, au lieu de s’en dégager. C’est elle qu’analyse d’abord Jünger. C’est elle que l’on doit comprendre, avec ses corollaires que sont la contrainte, et l’isolement, si l’on veut qu’advienne une ère de liberté, s’articulant mieux avec les nécessités du temps.

Des antidotes aux poisons qui s’insinuent dans nos esprits

Ainsi commence et finit le Traité du rebelle : pourrons-nous délivrer l’homme de la peur ? Pourrons-nous dessiner, face aux nécessités de notre temps, un nouvel espace de liberté ? Le chemin pour y parvenir est sinueux, escarpé, mais il existe en chacun de nous, en chaque personne digne de ce nom, douée de courage, et que la figure du Rebelle, après celle du Travailleur, guide. Chaque époque a ses démons, chaque époque a aussi ses antidotes aux poisons qui s’insinuent dans nos esprits, que le Traité nous apprend à voir.

 Le vote 

Reprenons ce chemin inauguré par Jünger : le vote est-il toujours une manière d’expression libre et légale, où l’électeur, en pleine assurance de son pouvoir, peut faire valoir son opposition ? N’est-il pas bien plutôt un questionnaire guidé, l’espace d’une résistance toute surveillée, qui n’admet pas même le "non" du silence abstentionniste, ou le bulletin blanc ? Car au fond les décisions sont déjà prises, et tout n’est affaire que de communication. Cette forme de rébellion, pauvre dans son effet, n’est pas à la hauteur des exigences du temps, comme la demande d’une démocratie participative, en lieu et place de la désaffection logique du politique qui sévit chez les jeunes générations en particulier. Mais, le pouvoir en place s’adosse bien plutôt aux chiffres tout abstraits des sondages et des statistiques, où l’on confond, par-delà le relatif des chiffres et des questions posées habilement, la voix reconstruite d’une prétendue majorité, et celle de la vérité. Il y trouve une pseudo-légitimité où la contestation devient presque impossible : en évitant les référendums ou les votes qui pourraient aller à son encontre, le pouvoir étouffe le tumulte démocratique, voire l’invalide. A dire vrai, nos gouvernements se sont éloignés de longue date de leur "base", le peuple, avec l’opinion implicite que la minorité éclairée des dirigeants pouvait administrer une majorité confuse, inculte et naïve, puis se reconduire pour les prochains mandats.

Faire confiance à une infime frange de la population qualifiée de Rebelle

C’est dans ce contexte que naît l’élitisme particulier de Jünger, en 1951 : faire confiance à une infime frange de la population, qualifiée de Rebelle, quitte à ce qu’elle n’en représente que 1 %, était pour lui chose acquise, selon un ordre de valeurs opposé à l’ordre des chiffres, de toute façon truqués. Animée d’une puissante force et de courage, cette élite devait assurer le salut d’une société écrasée sous le joug des milices et des censeurs, et lutter contre la nomenklatura cooptée qui inspirait et renforçait la crainte des peuples, balancés entre les blocs Est et Ouest. Sa minorité raisonnable ouvrait à des valeurs humanistes, appelait de grands hommes et femmes qui pourraient découvrir de nouveaux champs de liberté, tandis que de l’autre côté l’on subissait les ferments de diktat, les minorités intégristes et totalitaires évacuant les urnes et exerçant des contraintes de tout ordre.

Faire un parallèle entre le libéralisme et l’augmentation constante des "forces de l’ordre"

On peut, curieusement, faire un parallèle politique entre d’une part la mise en place lente et assurée d’un libéralisme sauvage, et d’autre part l’augmentation constante des "forces de l’ordre", des vigiles, des caméras de surveillance, dans des lieux publiques ou privés. A croire que les réformes ne se font que sur un terrain de révolte, où l’Etat policier doit imposer des lois sans que celles-ci aient été validées par ceux qui la vivent. Mais, confiné dans la crainte du lendemain, quand ce n’est pas dans la peur exagérée de groupes en marge qui font office de boucs émissaires, l’homme d’aujourd’hui, perdu dans la jungle économique, se voit acculé à une précarité inconfortable, cynique, et embarqué sur un navire - pour reprendre l’image de Jünger - qui semble s’emballer vers la catastrophe. C’est là que se jouent les tours de force : mais cette réponse par la contrainte ne fait que maintenir et reconduire la peur, l’automatisme en jeu dans notre société, par quoi il semble que l’homme n’ait aucune prise sur les événements qui font son quotidien. Mené contre son gré, son angoisse et son ressentiment refluent dans les bas-côtés, alors que la communauté selon le pacte devait lui offrir le confort et la sécurité.

Les corps sont contrôlés, les groupes surveillés

S’il prend conscience de cet état de passivité obligée, et qu’il veuille alors quitter le navire : différents discours de propagande l’incitent à ne pas s’y opposer : on lui parle de liberté, quand il s’agit d’être sans cesse mobilisé pour des combats qui ne sont pas les siens. On lui parle de confort, quand il s’agit de toujours se dépasser sans compter, de participer au mouvement continu d’une société incapable de le protéger. Il ne cherche plus qu’à s’abriter et à survivre, mais on lui offre un maigre asile consumériste où les corps sont contrôlés, les groupes surveillés. Sa grande précarité l’empêche de bien voir où il va ; embarqué, il perd la distance qu’il lui faudrait pour analyser sa situation de servitude volontaire, aveugle et impuissant face à l’autorité.

Etre dompté, maîtrisé politiquement, et combattre pour sa propre survie

L’isolement est le revers de la solitude : imposé, il défait les liens de solidarité, empêche le regroupement des intérêts dans une communauté. Résultat d’une exclusion, d’une concurrence à l’œuvre entre les personnes mêmes, l’ordre qu’on lui propose et la place qui lui incombe ne sont en rien rassurants, puisque cette place ne lui est dédiée que s’il est compétitif et impliqué. Jugé d’après le modèle d’une nature inhabitable et sauvage, il doit à la fois être dompté, maîtrisé politiquement, et combattre pour sa propre survie d’individu isolé en matière d’économie.

Les failles où s’engouffrent religions et sectes

Chaque époque a sa forme de liberté, en fonction de cette nécessité. Dans leur tension se fait l’histoire, nous dit Jünger. Dans ce jeu de forces contraires, quelques-uns sont capables de traverser les déserts, à la poursuite de leurs rêves, et de rompre une logique déshumanisante. Les autres cherchent leur salut mais ne trouvent que vide à combler dans le chaos des villes. Et pourtant, n’a-t-on pas ce sentiment, en notre fort intérieur, d’un destin à accomplir, autre que la poursuite sans fin des objectifs économiques ? N’est-on pas obscurément en train d’attendre quelque chose, un accomplissement ? L’Etat voudrait prendre le risque de combler les manques, les failles où s’engouffrent religions et sectes, mais il y échoue par avance, n’étant pas, ou plus, la providence, mais une société publique de surveillance.

La quête

Alors commence la quête. Avec le soutien de l’art, de la philosophie, et de la théologie, s’annonce la communauté vraie de la résistance, faite de petites actions individuelles, de discrétion, d’humilité. Contre la transparence imposée par le pouvoir, qui n’est que l’alibi d’un contrôle accru des individus, contre la rationalisation et l’encerclement de l’humain, elle a sa part cachée de ressources insoupçonnées, de culture underground, d’espérance au-delà d’elle-même en la continuation des luttes, en la prolifération de possibles inexploités, que chacun recèle en lui.

Les forêts

Le Recours aux forêts, c’est "l’examen de la liberté de la personne dans le monde", nous dit Jünger. L’enracinement dans l’imaginaire, dans le mythique, le symbolique est une décision que chacun peut prendre, qu’il connaît pour l’avoir toujours senti en soi, comme une partie de lui-même qu’il aurait touchée dans l’enfance, puis qu’il aurait oubliée. Cette forêt-là n’est pas l’environnement hostile qu’après Descartes nous avons dû maîtriser, contre laquelle il a fallu penser, conquérir, et désacraliser. C’est celle où nous construisions des cabanes, où nous jouions sans avoir peur du danger, à l’abri de ses cimes, nourris de ses ressources. Mais nous sommes partis en exil dans les cités urbaines. Il a fallu, seul, accomplir un travail pour se découvrir ou se retrouver, comme on part à la recherche d’un trésor perdu, que l’on avait en fait caché au fond de soi.

 Une réponse à une société invivable

Que de solitude assumée peut-on voir dans les écrits de Knut Hamsun, et dans la figure du Rebelle telle que le Traité la dessine...C’est là le courage et la ténacité du proscrit, du Waldgänger, coureur des bois, appelé par la forêt comme par sa terre natale, traversée de mythes. L’isolement peut être librement choisi, comme une réponse à une société invivable, perdue dans l’automatisme des tâches, des troubles, des tragédies, c’est-à-dire dans le fatalisme du malheur. Il est alors le temps de la pensée sereine, de la méditation. Il est le temps du retour à nos racines, à notre enfance bercée par le mouvement des roseaux. Du côté du Rebelle la liberté vaut la clairière, lumineuse et douce, de nos forêts rêvées et arpentées.

Il ne s’agit pas non plus de fuir

Mais Jünger insiste : le chemin du Rebelle est pavé de sacrifices. Originairement exclu de la communauté, il s’inscrivait dans l’autonomie du paria, dans la réclusion hors des villes et villages, où il ne s’aventurait pas, sous peine de mort. Aujourd’hui, s’il prend ses distances, il ne s’agit pas non plus de fuir, mais d’observer, sans quitter le navire, car alors le danger est grand, comme de se noyer dans la pleine mer. En accord avec lui-même, il risque l’échappée belle et le mérite du sage, amadouant ses propres craintes, mais, entre combattant et esclave, il fait son choix, sachant que toujours la peur sera là, entre le danger et le confort de la médiocrité. Le poète est ainsi un Rebelle, ouvrant de nouvelles voies, indépendant et résistant à toutes les sirènes.

Se réconcilier avec la nature, sans désaffecter le politique, ni la pensée

Contre la société désenchantée, contre la société du spectacle, il a d’autres valeurs que le mouvement continu des actualités et nouveautés. Echappant au contrôle des comportements, le Rebelle refuse la stimulation des désirs consuméristes, et ses seules contraintes sont celles qu’il s’est choisi, avec son libre-arbitre. La forêt est son refuge, où il se réconcilie avec la nature, sans désaffecter le politique, ni la pensée. Discret, tapi dans l’à côté, son élitisme solitaire s’oppose à l’unisson des masses, des chiffres et des statistiques : c’est en quoi il gêne, mais peut aussi se fondre dans les foules anonymes du navire, pour n’être pas repéré.

Maquis, guérillas, mouvements underground

La résistance ne s’effectue pas forcément à visage découvert : on la trouverait plutôt dans les maquis, les guérillas, les mouvements underground. C’est une manière de dire l’homme ou la femme, libres en nous, l’exigence d’une éthique noble, de la valeur de l’homme. C’est un choix qui s’impose entre administrer la misère ou lutter, dégrisailler la ville, la vie : car y a-t-il une neutralité possible, entre l’appel aux forces de l’ordre, qui coûte le confort contre la panique du chaos, et l’engagement personnel à trouver de nouvelles formes de liberté contre les nouvelles formes du pouvoir et de la publicité ? Et puisque l’un et l’autre choix demandent des sacrifices, autant prendre le chemin de la liberté, de la morale, du droit. Mais à chacun, seul, revient ce choix.

 Une communauté libre et solidaire 

Car rappelons que le Rebelle de Jünger n’est qu’une figure, un idéal inatteignable, mais simplement capable de nous guider, comme nous guident les mythes ancestraux, en temps de guerre. Chacun aura-t-il ce courage de passer la limite de la forêt, et, en la traversant, de vaincre la peur de la mort, c’est-à-dire, toutes les peurs ? Il y faut des initiateurs, des éclaireurs, pour que nos pas se dirigent dans la pénombre touffue des arbres séculaires. Il y faut des poètes, des exemples concrets, des personnes exemplaires, pour nous convaincre que, oui, cela est possible, et comme nous choisissons alors de respirer l’air pur des forêts, il y faut une communauté libre et solidaire pour penser que là se trouve une réponse plausible, paisible, aux maux que nous subissons encore.

Rebelles

Mais comme nous nous levons, chaque matin, pour assurer notre subsistance, le Traité nous montre qu’il est plusieurs chemins possibles, qui ne sont pas forcément contraires à notre salut, qui ne nous amènent pas nécessairement à la catastrophe, mais des chemins de traverse qui nous forgent jour après jour un destin. C’est à les choisir que la personne engage le plus grand courage ; c’est de la découverte de ses ressources, des mythes ancrés en nous, que naissent tous les Rebelles, rares hélas, qui nous ouvrent au lendemain.

Source :


mercredi, décembre 18, 2019

SOROS Connection

Krachs - Migrants - ONG - Révolutions
Le grand remplacement, c'est MERVEILLEUX (Wunderbar !) 

L’Union européenne doit accepter un million de migrants par an 

"Aujourd’hui, écrit Thibault Kerlirzin, c’est Emmanuel Macron, le président de la République française, qui marche très clairement dans les traces de George Soros."

(Durée 22:10)

Pour se procurer "Soros, L'impérial" de Thibault Kerlirzin :


Thibault Kerlirzin :


- L’Union Européenne doit accepter un million de demandeurs d’asile (e. de migrants) par an, que les pays se répartiront de manière équilibrée – en s’appuyant sur les préférences des demandeurs. 

- L’UE donnerait 15 000 euros à chaque migrant pour leurs deux premières années afin de les accompagner dans leurs frais. Comment l’UE financerait-elle ? Elle emprunterait sur les marchés financiers…" 

- L’UE doit financer le Liban, la Jordanie et la Turquie, à hauteur de 5 000 euros par réfugié, soit un total de 20 milliards, ces trois pays cumulant 4 millions de migrants. Les affaires n’étant jamais loin des préoccupations de Soros, l’Union Européenne devrait aider à créer des zones économiques spéciales avec un statut commercial adéquat, en particulier au Maroc et en Tunisie (zones par lesquelles arrivent également les migrants, avant de traverser la Méditerranée), afin d’attirer les investissements et de créer des emplois pour les réfugiés et les citoyens de ces pays. [Rappelons que Soros avait déclaré, en septembre 2016 : « Je vais investir dans des startups, des sociétés établies, des initiatives sociales et des activités fondées par les migrants et les réfugiés eux-mêmes », ce qu’a confirmé le budget prévisionnel de l’Open Society.]

- L’UE doit homogénéiser son système d’asile et établir des règles communes à ce titre.

- Des routes sécurisées (des corridors) doivent être créées, qui puissent mener sans encombre les migrants de Grèce et d’Italie jusqu’à leur destination finale. Dans un deuxième temps, l’UE devra agrandir ces routes pour sécuriser les passages des migrants via la mer Méditerranée. Ceux-ci seront alors moins disposés à se cantonner à un lieu de transit… mais seront incités à poursuivre leur voyage.

- Les mécanismes pratiques et financiers mis en place par l’UE devraient servir à établir des normes globales (mondiales ?) dans le traitement des demandeurs d’asile et des migrants.

- Pour pouvoir absorber et intégrer plus d’un million de migrants par an, l’UE devra impliquer le secteur privé (ONG, groupes religieux et entreprises), notamment pour garantir un apport de fonds suffisants.


Aux Etats-Unis, on a lancé une pétition pour l’arrestation de George Soros :



Pour en savoir plus sur la Soros Connection (Migrants, révolutions colorées et déstabilisations financières : suivez la piste Soros et plongez dans l’œil du cyclone) :




mardi, décembre 17, 2019

Quand les ministres soutenaient Delevoye

L'indulgence de la caste des parasites

"Selon nos informations, le secrétariat général du gouvernement était au courant du cumul de rémunérations opéré par le haut-commissaire lorsqu’il était chargé de la réforme des retraites." Le Monde

(Durée 1:20)

"Erreur, bénévolat, bonne foi..." "De Blanquer à Le Maire, en passant par de Montchalin, Denormandie ou Le Drian, les ministres ont dépensé beaucoup d'énergie sur les radios et les télés, répétant les mêmes éléments de langage pour tenter de secourir Delevoye. Malgré tous leurs efforts, le haut-commissaire aux retraites a fini par démissionner du gouvernement."

Le parasite-apparatchik Delevoye, Delevoyou, haut-commissaire des bas-fonds de la voyoucratie talmudo-maçonnique, avait-il des accointances avec le milieu de l'assurance retraite par capitalisation ? 


Une certitude, le "Monsieur Retraite" de Macron était missionné pour tromper les Français, les faire exploiter jusqu'à l'âge de 64 ans et les soumettre à un système de retraite qui ne profite qu'aux sociétés comme BlackRock. Cette multinationale, premier gérant d'actifs mondial, influence la réforme des retraites pour servir ses intérêts.

Il y a quelque temps, Delevoye, 72 ans, avait déclaré sans rire qu'il faut faire entrer en Europe 50 millions de migrants pour financer les retraites. George Soros lui aurait-il donné un gros bakchich ?

Quoi qu'il en soit, cette idée ubuesque attira probablement l'attention du mondialiste Macron qui fit entrer Delevoye dans son gouvernement par décret présidentiel du 3 septembre 2019.


Delevoye, l'hydre à 14 têtes

Quatorze. C’est le nombre de mandats ou de fonctions – actuellement connus – que l’ex-haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, occupe ou a occupé au cours des cinq dernières années. Et non pas quatre, comme il l’avait mentionné dans sa première déclaration d’intérêts, adressée mi-novembre à la HATVP (Haute Autorité pour la transparence de la vie publique).


1 - Président de Parallaxe (rémunéré)

Jusqu’à sa démission de ce poste la semaine dernière, Jean-Paul Delevoye présidait – depuis janvier 2018 – le think tank Parallaxe, dépendant du groupe d’enseignement privé IGS fondé par son ami Roger Serre. Gratification : 73 338 euros net en 2018 (6 100 euros par mois) et 62 216 euros nets en 2019, selon le Monde, et non pas 64 420 euros en 2018, puis en 2019, comme évoqué dans sa première déclaration.

C’est cette fonction qui pose le plus de difficultés, dans la mesure où, comme nous l’avons déjà évoqué, son cumul depuis trois mois avec son poste au gouvernement (il y est entré le 3 septembre) est proscrit par la Constitution. Le haut-commissaire s’est engagé à rembourser toutes les sommes perçues grâce à Parallaxe depuis sa nomination comme haut-commissaire en septembre 2017, soit quelque 120 000 euros.

2 - Conseiller au sein du groupe IGS (rémunéré)

Toujours au sein du groupe IGS, il était, de juillet 2016 à septembre 2017, conseiller du délégué général, à savoir Roger Serre. Et là aussi, sa rémunération a été revue à la hausse dans sa nouvelle déclaration : 78 408 euros net en 2017 (6 500 euros par mois), contre 40 000 euros mentionnés jusqu’ici. Son rôle : mettre en place le module «humanisme» dans les cursus de formation du groupe.

dimanche, décembre 15, 2019

La fin de la mondialisation

(Durée 5:57)

La chaîne YouTube "Elia Iliushina" expose les objectifs de la gouvernance mondiale (un de ses agents, Alain Minc, révéla son existence sur France Inter le 26 septembre 2009) et résume le projet Avatar 2045, l'"immortalité" contre-initiatique qui a séduit le dalaï-lama. 

Sur cette pseudo immortalité :
https://bouddhanar.blogspot.com/2012/08/immortalite.html


De son côté, Joseph prodigue des conseils pour mettre en échec le mondialisme :



La fin de la mondialisation

par Joseph


La mondialisation, alias globalisation, alias village global, alias… Nouvel Ordre Mondial est un système imposé par une caste élitiste. Comme tout système matériel, elle finira par disparaître, car la matière est caractérisée par des limites autant spatiales que temporelles, au contraire de l’esprit. En attendant, la masse des hommes se contraint à vivre dans ce système de plus en plus coercitif. Pourtant, en connaissant son moteur et ses mécanismes fondamentaux, il est possible d’en accélérer la chute, alors même que les élites espèrent illusoirement le rendre immortel. Elles le renforcent législativement par des lois contrôlantes, scientifiquement par des technologies invasives, politiquement par la fusion du marxisme et du capitalisme, etc.

La mondialisation est l’aboutissement d’un long processus de recherche de contrôle sur la vie terrestre, ceci incluant les ressources énergétiques, minérales, végétales, animales… et humaines par une lignée d’élites autoproclamées qui relèvent le plus souvent de psychopathie, pathologie provenant d’une coupure du lien avec l’âme. Celle-ci est pourvoyeuse de la conscience morale innée, de la volonté de vivre, de la sensibilité émotionnelle permettant l’empathie et la compassion, et de l’entendement mental qui permet notamment la compréhension humaine et le discernement. Coupé de son âme, le psychopathe est marqué par une peur viscérale de la mort (qui peut être profondément enfouie, par une forme de déni) et compense par une recherche de contrôle sur sa vie et sur celle des autres, vie qu’il espère prolonger jusqu’au point de l’immortalité physique. La volonté naturelle de vie, stimulée par l’instinct de survie, devient chez lui hypertrophiée, d’autant plus qu’il ne reconnaît aucune source spirituelle ou divine à son existence et ne jure par conséquent que par le matérialisme.

Pour un psychopathe, tout se passe comme si les attributs habituels de l’âme ne s’écoulaient plus que par le canal de la volonté, au détriment de la sensibilité, de l’entendement et de la conscience morale. Si la coupure du lien était totale, ce serait tout simplement la mort. Comme le psychopathe ne l’est manifestement pas, il conserve ce type de lien. En conséquence il est marqué par l’absence d’empathie, de scrupules, de compréhension des autres, et d’altruisme, le tout amenant automatiquement les mensonges et la manipulation dans le but d’obtenir plus facilement et plus rapidement ce qu’il cherche : le contrôle.

Par leurs caractéristiques fondamentales, les psychopathes tendent à écraser autrui pour se propulser au sommet des hiérarchies dans lesquelles ils se trouvent au départ ou dans celles où ils parviennent à se glisser par différents moyens (ruse, mensonge, subterfuges, chantage, manipulation, etc.). À l’époque actuelle, nous les retrouvons ainsi massivement à la tête des gouvernements, des institutions financières (dont les banques et les banques centrales), des multinationales, des armées, des administrations, des systèmes éducatifs, des sociétés secrètes et semi-secrètes, des services secrets, etc. Le Nouvel Ordre Mondial marque l’aboutissement de leur œuvre d’origine multimillénaire. Il est en voie d’achèvement, étant réalisé à 80 ou 90 %. Sa structure de contrôle de modèle pyramidal couvre tous les secteurs de la vie humaine : politique, économique, militaire, policier, médical, éducatif, scientifique, judiciaire, religieux, etc. Chacun de ces secteurs y dispose de sa propre pyramide hiérarchique, dans pratiquement tous les pays du monde.


Le système de contrôle total que les psychopathes nous fabriquent est bien sûr à leur image : froid (notamment des machines au détriment de l’organique), matérialiste, manipulateur, coercitif, invasif, rusé… Il utilise les médias dominants (en très grande majorité détenus par les élites mondialistes) pour sa propagande quotidienne basée sur la manipulation et la peur. Il engendre une pensée unique qui écarte toute alternative comme étant conspirationniste ou complotiste. Il égare les gens sur les symptômes des problèmes mondiaux sans exposer leurs causes profondes, ceci pour mieux proposer ses solutions qui ne résolvent rien, mais qui nous emprisonnent chaque jour davantage. Pourtant, nous pouvons le faire tomber.

Nous pouvons contribuer individuellement à l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial en adoptant des mesures et des comportements tels que les suivants :


- Cesser de craindre la mort, ceci en redécouvrant au besoin notre dimension spirituelle, notre conscience morale, notre essence… ;

- Cesser de chercher à contrôler sa vie ;

- Cesser de mentir et de manipuler les autres ;

- Développer et manifester la compassion, l’entraide, la compréhension d’autrui, la fraternité, l’amitié sincère, de manière inconditionnelle (sans attentes, sans chercher du retour ou des remerciements, sans craindre les trahisons) ;

- Cesser de surconsommer, mais tendre plutôt vers la simplicité volontaire et un mode de vie plus spartiate et plus respectueux de l’environnement ;

- Boycotter les multinationales le plus possible et leur préférer les petits producteurs locaux ;

- Prendre sa santé en main ;
  
- Etc.

Le Système actuel disparaîtra quand nous adopterons les tendances contraires à ce qui le caractérise et l’alimente.

Joseph

Source :

samedi, décembre 14, 2019

Terrorisme sioniste, Tsahal, Mossad


Youssef Hindi : Tsahal, Mossad, terrorisme...


C'est inévitable, l'oligarchie rothschildienne supprimera cette vidéo. La France n'est plus un pays où règne la liberté d'expression.

Rappel :

Lire l'article de Laurent Guyénot, Le 11 septembre était une opération israélienne.

Olivier Demeulenaere : "Cet article, paru sur le site Unz Review, est remarquable. Je l’ai traduit car il offre la synthèse la plus dense, la plus cohérente et la plus convaincante que j’aie jamais pu lire sur cette psy-op machiavélique (pour ne pas dire démoniaque) du 11 septembre. Attention : Si vous en êtes encore à la version “Ben Laden et Al Qaïda”, votre représentation du monde risque d’en être bouleversée.

Télécharger gratuitement le pdf JFK-11 Septembre : 50 ans de manipulations de Laurent Guyénot.


Version papier ICI (Amazon)


vendredi, décembre 13, 2019

"Antisémite !" l'alléluia du peuple-prêtre



L'antisémite ! Absurdité, hystérie et pouvoir illégitime du "lobby-qui-n'existe-pas".

"Des extrémistes de la pensée, autoproclamés gardiens et protecteurs de la morale de leur peuple, ont besoin pour exister de se sentir détestés. Ils tentent d’imposer au monde, à grands renforts de propagande, l’idée qu’il existe un antisémitisme omniprésent afin d’êtres considérés comme une minorité persécutée depuis la nuit des temps et pour l’éternité. Ils se complaisent dans la pensée qu’il n’existe que deux peuples sur terre ; les « élus » et les « antisémites ».

Exaspérés par l’inexistence d’un antisémitisme réel, certains en viennent à élaborer de toutes pièces, de fausses agressions antisémites. Les plus fanatiques d’entre eux vont même jusqu’à s’auto mutiler afin de se faire passer pour des victimes opprimées, éternellement agressées pour leur seule appartenance à cette communauté. Et après, on vient nous parler de « cerveaux malades » !

Ce réel antisémitisme n’existant pas, à part, peut être, pour quelques nazillons de comptoir sans cervelle, ces extrémistes de la pensée ont depuis peu trouvé un nouveau moyen pour tenter de persuader l’opinion publique que tout le monde les détestent : L’anti-sionisme !!! Youpi !

Ils ont trouvé de nouveaux antisémites en tous ceux qui critiquent la politique agressive et coloniale d’Israël. Ils vont pouvoir ainsi continuer à vivre comme ils aiment : En tentant de nous persuader qu’ils sont haïs par la terre entière !

Quant à nous, pauvres Goyim, déclarer que l’on n’aime pas les Falafels ou préférer les Oranges d’Espagne, peut désormais nous ranger dans la catégorie des… antisémites !

Personnellement, leur « jeu » m’amuse… J’en fais des chansons."
L'Éveillé


Bientôt le noachisme
On nous fait peur avec le califat, mais on nous impose le rabbinat


"(...) nous dirigeons l'élite..."

La proposition de loi du député LREM Sylvain Maillard, portant sur la définition de l’antisémitisme a été adoptée le 3 décembre 2019. 

La communauté talmudiste, "qui a beaucoup souffert", devrait devenir le peuple-prêtre de l'humanité. 

Les goyim-moutons seront convertis au noachisme, la nouvelle religion planétaire d'inspiration judaïque. Donc, ils ne doivent plus émettre la moindre critique contre ceux qui deviendront leurs bergers dans le domaine religieux.

"Ce sacerdoce israélite, constituant le cœur de l’humanité, est l’intermédiaire entre les Gentils et le Dieu unique (le monothéisme). Dans cette pensée, le catholicisme est considéré comme un polythéisme en raison du concept de la Sainte Trinité (idolâtrie ou trithéisme selon les rabbins talmudiques).

Afin de correspondre au schéma du noachisme, la religion catholique doit procéder à une refonte complète rejetant la Sainte Trinité et la divinité du Christ. Cette mutation doit aboutir au « catholicisme d’Israël » selon l’expression du livre du rabbin Elie Benamozegh (« Israël et l’humanité »), ouvrage recensant la pensée talmudique. Comme le précise logiquement l’auteur : « Quiconque abjure l’idolâtrie est un véritable Juif. Quiconque rejette le polythéisme confesse toute la loi. » Dans le prolongement de cet idéal, le judaïsme talmudique reconstruit l’unité de la famille humaine afin de la mener vers un nouveau jardin d’Eden — la perfection étant à la fin — dans l’attente de l’arrivée du Messie. Logiquement, le rabbin Benamozegh précise : « De là cette belle théorie de la Kabbale qui fait de l’union et de la concorde des esprits ici-bas le moyen de réaliser la descente et l’établissement de la divinité sur la terre. »

Cette espérance du bonheur purement terrestre reposant sur l’idée du « Progrès », que nous retrouvons sous des formes variées dans le marxisme et le libéralisme, est en contradiction complète avec le catholicisme. La religion trinitaire, considérant le passage sur terre comme une série d’épreuves et comme un tremplin, a une espérance céleste. Ces deux universalismes sont incompatibles. Cela n’a pas empêché les autorités de l’Église, depuis Vatican II, d’affirmer dans un ouvrage « Le peuple juif et ses saintes Écritures dans la Bible chrétienne », que « L’attente juive messianique n’est pas vaine » (chapitre II, A5). D’un point de vue catholique, cette affirmation est une hérésie car le Christ est le Messie, passé il y a 2000 ans. Cette contradiction flagrante n’a pas empêché ce livre, paru en 2001, d’avoir comme préfacier… le cardinal Joseph Ratzinger.

Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des États-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. Il semblerait que les choses s’accélèrent. En effet, le 23 septembre 2012, toutes les communautés juives du monde ont appelé, par une courte prière, à l’arrivée du Messie (Mashia’h). Pour les catholiques, cela équivaut à appeler l’antéchrist. Compte tenu de la déliquescence de l’Église depuis Vatican II, cette prière est comme un appel à une mutation profonde. Il est vrai que le mondialisme est un messianisme pressé."


Lire l'intégralité de l'article :




jeudi, décembre 12, 2019

Macron est-il un contre-initié féru de magie noire ?

"Seul le fantastique a des chances d'être vrai." 
Pierre Teilhard de Chardin


Beaucoup de personnes connaissent l'analyse du profil psychologique d’Emmanuel Macron par le professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien, analyse basée notamment sur la biographie et les images de campagne de Macron. La conclusion du psychiatre est lapidaire : "Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même."

En revanche, le grand public ignore que Macron est l'objet d'une véritable aversion parmi des médiums youtubeurs.

La médium Margot Velazquez, qui anime sa propre chaîne YouTube, s'est intéressée à la véritable personnalité de Macron, à l'entité réelle, celle qui transmigrerait depuis des âges immémoriaux. Ses révélations évoquent le monde de Tolkien. (Selon la médium, cet auteur est devenu célèbre en puisant son inspiration dans de réelles sagas inscrites dans les archétypes de l'histoire de l'humanité.)

En résumé : 

"Macron, a commis des abus de pouvoir dans une très ancienne civilisation." Il était parvenu à corrompre l'instance suprême du gouvernement, le grand conseil théocratique, et à exercer un pouvoir tyrannique en tant que roi-sorcier. Mais, le peuple le renversa. Lui et son épouse furent condamnés et exécutés. Au moment de son exécution, Macron jura de se venger du peuple qui l'avait destitué. Or, toujours d'après la médium, le peuple réfractaire de ces temps très lointains s'est lui aussi réincarné en France. Et voilà pourquoi Macron déteste autant les Français.

Instant divertissement :

Pourquoi Macron déteste-t-il les Français ?

(Durée 15:23)




La France en flammes, des Gilets jaunes à Notre-Dame de l'Apocalypse

(Durée 23:47)

"Immigration de masse, justice sous influence, vente du patrimoine industriel... voilà selon Jean-Michel Vernochet, le "cahier des charges" auquel doit répondre le président Macron, et qui un jour amènera les Français, non plus à vivre côte à côte mais face à face ! Dans son dernier ouvrage "La France en flammes", le géopolitologue l'affirme tout net, ce déferlement de violence est le fruit d'un plan mûrement élaboré par l'Etat profond. Et qui a débuté avec l'incendie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris

Face à la situation catastrophique dans laquelle se trouve la France, Jean-Michel Vernochet estime que l'Etat n'hésitera pas une seconde à se lancer dans une nouvelle guerre pour tenter de redresser l'économie..."


Des Gilets jaunes à Notre-Dame de l'Apocalypse
Jean-Michel Vernochet

« La révolte populaire et sociale des Gilets jaunes a défrayé l’actualité de nombreux mois… Mais a-t-on bien mesuré l’ampleur du phénomène et compris sa nature ?

Que veulent vraiment ces « Gaulois réfractaires » stigmatisés par Emmanuel Macron ? 
Les reproches qu’ils adressent au régime sont-ils légitimes ?

Dans cette rétrospective des événements, l’auteur apporte des réponses et propose des analyses percutantes, au mépris du politiquement correct.

Sous une plume acérée, cette chronique se déroule jusqu’à l’incendie de Notre-Dame, à propos duquel sont rappelés certains enjeux mal connus et certains faits troublants ; le moins que l’on puisse dire est que le Système politico-médiatique en place n’en sort pas grandi…

L’auteur :
Géopolitologue et essayiste, ancien enseignant à l’École supérieure de journalisme de Paris, Jean-Michel Vernochet se consacre depuis des décennies au journalisme pour de nombreux médias. »


"L'Occident moderne est la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde"

Une performance d'art moderne occidental : Être traîné avec une bougie dans l'anus sur un sol inondé et sale. La Russie est en train...