mercredi, janvier 22, 2020

La pêche, une exploration initiatique de l'univers

L'inspiration - Kaamelott - Livre IV

(Durée 3:32)

"Perceval et Arthur parlent au bord du lac. Un beau moment de réflexion sur la situation et la condition humaine. Perceval est moins bête qu'il n'en donne l'impression. 

Ve siècle après Jésus-Christ. L'Angleterre s'appelle encore la Bretagne. Le Christianisme naissant, les anciennes traditions celtes s'entrechoquent pendant que l'Empire Romain s'effondre. Au carrefour de l'histoire, le Royaume de Kaamelott apparaît alors comme le nouveau phare de la civilisation. Investi d'une mission divine, le Roi Arthur tente de guider son peuple vers la lumière."


La quête du Graal
Exploration initiatique de l’univers


Lorsque, selon le récit de Chrétien de Troyes, auteur champenois de la seconde moitié du XIIe siècle, le jeune héros Perceval le Gallois se trouve spectateur involontaire du mystérieux Cortège du Graal, il ne s’étonne en rien de ce qui se présente à ses yeux, à savoir, un tailloir d’argent porté par un jeune homme, une « lance qui saigne » également portée par un jeune homme, et enfin un Graal d’où émane une étrange lumière plus intense que celle du soleil et des étoiles, et qui, lui, est entre les mains d’une jeune femme à la merveilleuse beauté.

On apprendra plus tard que Perceval a eu tort de ne pas s’étonner et de ne pas poser de questions sur ce qu’il voyait. Et l’on apprendra encore plus tard, grâce aux continuateurs de Chrétien de Troyes, que ce graal (nom commun signifiant simplement « récipient », de l’occitan ancien gradal, provenant du latin cratalem) contenait le sang du Christ, recueilli, lors de la descente de croix, par Joseph d’Arimathie, celui qui était disciple secret de Jésus et qui avait obtenu des autorités romaines la permission, tout à fait exceptionnelle, d’enterrer un criminel coupable de subversion et crucifié pour ce motif. Alors, c’est à nous de nous poser certaines questions, non seulement à propos de ce sang du Christ, mais aussi du fait que cette « chose la plus sainte au monde » soit portée par une femme, alors qu’à l’époque de la rédaction de ces récits, seuls les prêtres, des hommes, avaient le droit de toucher le calice dans lequel s’opérait la transsubstantation, c’est-à-dire, selon les normes théologiques, la métamorphose, opérée au cours de la célébration eucharistique, du vin en sang divin versé pour le salut des êtres humains. La « Porteuse de Graal » serait-elle donc la prêtresse d’une religion des temps lointains occultée ou refoulée, mais qui se manifeste cependant à travers des schémas stéréotypés que le Christianisme médiéval n’a jamais pu extirper de la mémoire collective des populations de l’Europe occidentale ?

Ces questions sur la « Porteuse de Graal » en appellent bien d’autres, tout aussi intrigantes, et qui touchent des domaines interdits, pour ne pas dire « diaboliques », puisqu’elles concernent le rôle de la Femme dans les multiples aventures et errances des chevaliers partis à la recherche du Graal. En effet, tous les quêteurs de Graal, à un moment ou à un autre de leurs pérégrinations, se trouvent en présence de personnages féminins dont l’ambiguïté n’est plus à démontrer tant elle est évidente à travers les descriptions qu’en font les divers auteurs. Au Moyen Âge, toute trace d’un culte de type féminin est classée comme diabolique, à l’image de ce qui est consigné dans la Bible hébraïque à propos de la lutte perpétuelle entre l’orthodoxie mosaïque, tout entière vouée à la glorification du Dieu-Père, et la déviance d’origine chananéenne, ce que les rédacteurs appellent la prostitution, qui fait remonter à la surface les troubles représentations de la Déesse des Commencements, telle qu’elles apparaissent dans les plus anciennes traditions du Moyen- Orient.

Le cas de Perceval, selon toute vraisemblance le plus ancien héros du Graal, met en lumière cette incessante présence de la Femme au coeur de l’action menée par les hommes. Chaque étape de ses errances est en effet marquée par un personnage féminin qui se révèle incontournable. C’est d’abord sa mère, la Veuve Dame, qu’il quitte pour courir les aventures, coupant ainsi le cordon ombilical qui le relie encore à ses origines. C’est ensuite la Demoiselle au Pavillon à qui il dérobe un baiser, un anneau et un pâté, symboles éclatants de son éveil à la sexualité. Ce sera ensuite la jeune femme que Chrétien de Troyes appelle Blanche-fleur et Wolfram von Eschenbach Condwiramur, celle qui conduira le héros à sa maturité sexuelle. Puis se succéderont la Porteuse de Graal, révélatrice de mystères qu’il est encore incapable de comprendre, Sigune, sa propre cousine qui, après l’avoir maudit, lui enseignera le sens de sa mission, beaucoup plus tard sa sœur, double épuré du héros, et bien d’autres « pucelles », en particulier l’intrigante et « hideuse » Demoiselle à la Mule, cette fameuse Cundrie la Sorcière du récit allemand, qui se présenteront devant lui chaque fois qu’il devra franchir un degré dans cette exploration initiatique de l’univers que constitue la Quête du Graal.

Auzon-Poul Fetan





Jean Markale 

Amantes passionnées, fées bienfaisantes ou maléfiques, sorcières hideuses, les dames ou « pucelles » qui traversent et inspirent les récits du Graal, imprégnés de merveilleux et de fantastique, sont loin d'être insignifiante. Leurs noms habitent les mémoires : Guenièvre, Morgane, Viviane, la Dame du lac. Mais les connaît-on vraiment ? Car elles sont beaucoup plus mystérieuses et insaisissables qu'il n'y paraît. À la fois humaines et dotées de pouvoirs féeriques, elles manœuvrent en coulisses et infléchissent la marche des événements. Tantôt elles soutiennent les chevaliers dans leurs exploits, tantôt elles les égarent. Méfions-nous des apparences si les hommes semblent mener le jeu, ils n'en agissent pas moins sous la haute surveillance de leurs dames. 

À la lumière des textes qu'il connaît comme nul autre, Jean Markale brosse les portraits complexes de chacune de ces envoûtantes créatures. Qui sont-elles vraiment ? Ne s'agit-il pas, en fait, des multiples visages d'une seule femme, la Déesse des Commencements, détentrice de sagesse et de souveraineté, qui hante les plus anciennes croyances du monde civilisé ?


mardi, janvier 21, 2020

Les Simpson ont-ils prédit l'assassinat de Donald Trump ?



En février 2017, une image, prétendument extraite d'un épisode de la longue série télévisée d'animation Les Simpson, représentait le président Donald Trump couché dans un cercueil.

L'image a été fréquemment partagée sur les réseaux sociaux avec parfois des messages indiquant que les Illuminati auraient planifié l'assassinat du président américain. Le créateur de la série télévisée, Matthew Abraham Groening, serait un franc-maçon du 33e degré du rite écossais. 

Mais il faut savoir que cette image ne provient pas d'un épisode des Simpson. 

L'image de Trump dans un cercueil (seulement l'image) est apparue pour la première fois dans un fil de discussion sur le forum 4chan.org où toutes sortes d'idées et de théories fusent quotidiennement.



Weinstein


GRONEWS

lundi, janvier 20, 2020

"J’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses..."

GABRIEL MATZNEFF en lien avec un réseau pédocriminel sectaire ? L'arbre qui cache la forêt...

(Durée 2:55)


Gabriel MATZNEFF :

« Certes, la nostalgie du harem, qui peuple les fantasmes de Sade et de Fourier – ces sociétés, ces phalanstères où les objets les plus désirables de l’un et l’autre sexe sont à la portée de la main, et où il suffit de désirer pour obtenir – me traverse parfois, mais ma nature donjuanesque aime trop la conquête, la drague, la séduction pour s’y attarder, et mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses, et où l’unique séduction est celle du portefeuille (qui joue, de façon ou d’autre, un rôle d’importance dans les relations sexuelles entre adultes et enfants, où la frontière qui sépare l’amour de la vénalité n’est jamais clairement tracée). » « Les Passions schismatiques », édition 2005.



"On utilise Matzneff comme paravent" 

Selon Alain Soral, l'affaire Gabriel Matzneff cherche à "nous faire passer pour identique, sur le plan de la morale et du trauma, la séduction, dans un cadre bourgeois parisien, d’une jeune fille de bonne famille à la recherche d’un initiateur amoureux, par un écrivain mondain, et la consommation dans le tiers-monde et le quart-monde d’enfants loués et vendus pour y être violés, voire sacrifiés, lors de rituels pédo-satanistes dans lesquels sont impliqués les plus hautes instances oligarchiques. Cf. l’affaire Dutroux et en ce moment même l’affaire Epstein, scandaleusement négligée par les mêmes médias français qui s’acharnent aujourd’hui sur Matzneff… [...]

Affaire Matzneff : Alain Soral remet les pendules à l’heure !

(Durée 1:03:07)


"(...) le bon peuple français commence à prendre conscience du lien étroit existant entre élite et pédocriminalité organisée, et forcément la colère monte, puisque personne, à part les détraqués, les sadiques, n’aime qu’on fasse du mal aux enfants…

Affaires Polanski, Woody Allen, Epstein… qui réveillent les vieilles affaires Cohn-Bendit, Polac… Les rumeurs sur Jack Lang, les aveux de Frédéric Mitterrand, de feu Me Thierry Lévy et autres sorties de Luc Ferry sur... Douste-Blazy ? (Pas beaucoup d’orthodoxes russes dans tout ça !) Sans oublier notre président dégénéré, dévoyé par sa vieille prof de femme !

Face à la colère qui monte, il devenait urgent d’en sacrifier un et, si possible de faire coup double avec, en prime, un beau coup d’édition ! Jeter un lampiste en pâture au tribunal des médias, pile à l’ouverture du procès Weinstein (à prononcer Weinstine, comme Poutine…).

Et pourquoi pas Matzneff le vantard ?"


Lire l'intégralité de l'article d'Alain Soral :

dimanche, janvier 19, 2020

Sauvons la France

Premièrement, découvrons l'étonnant pouvoir de la visualisation :

(Durée 4:36)

Deuxièmement, visualisons ceci :







Virilité messianique

Les Brigandes - Ragnarr

Lecture : La Saga de Ragnarr Lodbrok. Le Viking dans toute sa gloire, sillonne les mers en quête d'exploits. Mais lorsqu'il s'élance à la conquête de l'Angleterre, il affronte un sort funeste : il est précipité dans une fosse aux serpents. Là, il déclame son chant funèbre, le Chant de Kraka, un somptueux poème scaldique. Ses redoutables fils, Ivarr sans Os, Hvitserkr le vigoureux, Björn Flanc de Fer et Sigurôr Serpent dans l'Œil, viendront assouvir une horrible vengeance sur son meurtrier, le roi Ella d'Angleterre. La Saga de Ragnarr loobrok est un chef-d'oeuvre de la littérature scandinave ancienne. Elle hante l'Occident depuis des siècles ; aujourd'hui, la série Vikings lui est consacrée.


Virilité messianique

par Lotfi Hadjiat


Frédéric Taddéi a posé récemment la question de la crise de la virilité et j’aimerais y répondre, de la manière la plus virile, en précisant toutefois que, contrairement à la véritable autorité qui se légitime sans violence, la tyrannie n’est pas virile.

Commençons par là, la question de la virilité et celle du pouvoir sont absolument indissociables. Aujourd’hui il y a crise car virilité et pouvoir ont été dissociés. Les monarques, les rois, les empereurs étaient fiers de leur nom et assumaient virilement la responsabilité de leurs actions même si elles devaient entacher leur nom, ils agissaient à visage découvert sous leur propre nom et ne craignaient donc pas d’être démasqués, ils craignaient plutôt Dieu.

Ceux qui détiennent actuellement le pouvoir réel, le pouvoir financier, agissent dans l’anonymat, dans la plus grande lâcheté et la crainte d’être démasqués, tout le contraire de la virilité donc. En effet, un des grands piliers de la haute-finance internationale c’est l’anonymat, en plus du libre-échange, un anonymat qui n’assume donc aucune responsabilité. C’est-à-dire que de puissants financiers pourtant responsables de la ruine de pays entiers ne seront jamais inquiétés par la justice. Pour tout dire, les États sont maintenant à la merci de ces puissants intérêts privés, décennies après décennies ils cédèrent peu à peu aux exigences sournoises de la finance privée, et ainsi de nouveaux statuts apparurent, Société Anonyme, Société À Responsabilité Limitée, etc… Le groupe privé BlackRock, dirigé par Larry Fink, un juif américain, pèse 7000 milliards de dollars, et le budget annuel de la France tourne autour de 300 milliards… Qui contrôle qui ? Qui est à la merci de qui ?

La seule virilité aujourd’hui consiste à tenter de démasquer ces puissances financières qui répandent le chaos et qui tiennent à rester anonymes… Virilité messianique… Arrivé à ce point de mes réflexions épuisantes, la secrétaire de Frédéric Taddéi serait gentille de m’apporter un café, ou plutôt un thé à la menthe, merci. Je profite de cette petite pause pour rappeler que l’humour n’est pas le monopole de l’homme, les femmes peuvent tout à fait être drôles, une femme qui s’échine à avoir des manières d’homme c’est amusant. Mais pas séduisant, et encore moins gracieux. La grâce féminine, si rare de nos jours, est précieuse en cela qu’elle est un appel vers la grâce divine. Oui, un thé à la menthe, sans sucre, merci.

Oui…, je disais que les femmes sont capables des mêmes actions héroïques guerrières que les hommes : l’Égyptienne Iâhhotep Ire, régente de la XVIIIe dynastie pharaonique, la Kahina, reine berbère, ou Jeanne d’Arc…

Il est vrai que la virilité se développe dans son rapport à la femme. Un homme qui ne cède pas aux artifices, aux simulacres d’une femme, c’est viril. Un homme qui incline plus vers la justice que vers la vengeance, c’est viril ; méfiez-vous de la vengeance d’une femme ! La virilité se développe aussi dans son rapport à la morale.

Un homme qui vit d’arnaques, d’escroqueries ou de commerce cocaïné, ce n’est pas viril, même s’il circule en Lamborghini avec trois putes de luxe accrochées à son cou. Un homme laborieux qui fait vivre honnêtement sa famille lors même qu’il pourrait céder à la facilité de trafics très lucratifs mais sordides, c’est viril. Imposteurs et parasites ne sont pas virils. L’immoralité n’est pas virile.

Et rien n’est plus immoral que la haute finance apatride. À ce propos, un grand administrateur de cette haute finance, Lloyd Blankfeïn, un juif américain, déclarait il y a peu qu’il n’était « qu’un banquier faisant le travail de Dieu » et « que la morale n’était pas son buziness ». Du coup, si je comprend bien, son « Dieu » n’est pas moral, il est même carrément immoral. Et comme ce type est juif… alors Yahvé… Bref.

Pour revenir à nos moutons, le Veau d’or n’est pas viril, Lucifer déchu n’est pas viril, Satan n’est pas viril… les démons ne sont pas virils. Être possédé par le démon de l’argent ou du pouvoir ce n’est pas viril. Être possédé, être pris… dans tous les sens du terme…, ce n’est pas ce qu’il y a de plus viril. L’excès, la démesure, le vice ne sont pas virils. Violer une femme après l’avoir tabassée, est-ce vraiment viril ? Inversement, protéger ou sauver une femme sans abuser d’elle est tout à fait viril. La maîtrise des instincts réclame parfois plus de force que leur virile libération…

Au fond, la probité, la loyauté, la fidélité, l’affrontement à la vérité, à la justice, le combat héroïque pour repousser menaces et dangers au péril de sa vie, sont éminemment virils… choses dont sont éminemment capables les meufs, enfin je veux dire les femmes…, c’est la fatigue. Je rajouterais bien un peu de thé à la menthe. Oui…, je disais que les femmes sont capables des mêmes actions héroïques guerrières que les hommes : l’Égyptienne Iâhhotep 1ère, régente de la XVIIIe dynastie pharaonique, la Kahina, reine berbère, ou Jeanne d’Arc tant admirée par les nationalistes français actuels qu’elle aurait menés à coups de trique ! Arrivé à ce point de ma réflexion, je me rends compte que la virilité n’est pas du tout propre aux hommes, et que je ne sais plus ce qui est propre aux hommes en définitive. La science ? Non. Les femmes ont prouvé qu’elles pouvaient être brillantes dans ce domaine. Peut-être le génie créateur ? Non ?… Vous avez déjà écouté les compositions musicales de Clara Schumann ?… Bof. Et je vous parle pas du blabla incessant de George Sand. En tous cas, il y a une situation où homme et femme se différencient nettement : face à un serpent dans la cuisine. La femme hurle et fuit, l’homme garde le silence et trouve un moyen de se débarrasser de la bestiole. Finalement, tout bien considéré, être viril c’est écraser victorieusement la tête du Serpent, et être féminine c’est préparer un bon repas pour célébrer cette victoire.

Finissons cette réflexion philosophique avec une touche de poésie. Tout ce dont est capable une femme n’est pas forcément féminin. Le féminin a plus à voir avec la vie qu’avec la science ou la guerre. Le féminin est la voile dionysiaque d’un navire qui accueille les intuitions, les sentiments, les émotions, l’ivresse des sens, les passions qui agitent le navire en tous sens, qui le font « vivre », et la virilité est le gouvernail apollinien qui fait avancer ce navire, voile et gouvernail étant aussi nécessaires l’un que l’autre.

Résumons-nous sans caricature, le chaos est féminin (Anne Hidalgo nous l’a suffisamment démontré), voilà pourquoi, assez souvent, les femmes, les Juifs et assimilés sont si heureux dans le chaos néolibéral ; quant à l’ordre, lui, il est viril. Un tout dernier mot, la virilité n’est pas une fin en soi, ni la féminité d’ailleurs, l’un comme l’autre ne sont qu’un chemin vers la libération de l’âme. On pourrait dire simplement que, au bout du compte, féminité et virilité sont une dialectique spirituelle vers la connaissance de soi.

Source :

samedi, janvier 18, 2020

Kierkegaard, Pensées subversives

"Le monde est malade. Si j'étais médecin et si l'on me demandait quel remède préconises-tu ? Je répondrais, fais le silence."

(Durée 59:26)

"Ce fin observateur de la nature humaine abordait déjà en son temps des thèmes qui aujourd'hui, à l'ère de l'individualisme et des médias tout-puissants, paraissent on ne peut plus actuels : l'identité, l'angoisse, l'amour, la foi et le doute, mais surtout la liberté et la responsabilité individuelle. Ce docu-fiction retrace la vie de Kierkegaard, dont les déconvenues personnelles - en matière amoureuse, religieuse ou critique - semblent indissociables de l'oeuvre prolifique. Le penseur, qui quittait rarement Copenhague, voyage ici dans le temps et dans l'espace."


 
"Søren Kierkegaard fut le premier philosophe existentialiste, clair et net, ironique et terre à terre à la fois. Ses écrits peuvent être difficiles à comprendre. [...]

Kierkegaard a apporté une contribution inestimable à la philosophie moderne et en particulier dans le cadre chrétien dans lequel tout son épanouissement s'est déroulé, bien qu'il puisse être un critique acharné des luthériens à l'église. Kierkegaard est décédé en 1855 à seulement 42 ans. Il passe presque toute sa vie ici à Copenhague, en fait dans mon quartier et je passe chaque jour par plusieurs de ses maisons. Il n’aimait pas voyager et utilisait tout son temps à travailler, à écrire et à souffrir dans des relations difficiles. Il n'a jamais gagné d'argent mais a vécu entièrement d'un grand héritage, ce qui lui a permis de vivre comme un ancien philosophe grec."

 Des livres et écrits de Søren Kierkegaard en anglais sont téléchargeables gratuitement à cette adresse :






Søren Kierkegaard

Les deux premiers ouvrages ont été écrits en 1844, la même année où Marx rédigeait ses fameux Manuscrits de Paris : cette année est le symbole de la réaction antihégélienne, c'est-à-dire de la réaction antiphilosophique au sein de laquelle nous sommes encore plongés. Le Traité du désespoir date de 1849. Ces textes préparent la critique nietzschéenne, car ils manient la même ironie, prêtent la même attention au style philosophique, attaquent de front la tradition et ses principes les mieux établis. Kierkegaard reste le fondateur de la pensée "existentialiste", qu'elle soit chrétienne, athée ou marxisante.


vendredi, janvier 17, 2020

L'archéosophie, un ésotérisme chrétien



Astrologue, médium, Théosophe, directeur d’une école de yoga et fondateur d’un ordre initiatique à Turin pendant les années 1940, Tommasso Palamidessi (1915-1983) crée à Rome, en 1968, l’« Archéosophie », doctrine ésotérique soutenue par une forte inspiration chrétienne, à laquelle fait pendant l’école initiatique Archeosofica. Si le discours du Palamidessi occultiste montre à l’historien les premières traces de la diffusion, dans l’Italie du XXe siècle siècle, de tout un faisceau d’intérêts encore assez exotiques à l’époque en question, l’Archéosophie, elle, se fonde sur une réélaboration originale de la notion d’« ésotérisme chrétien », issue des milieux ésotériques européens du début du siècle, et qui n’avait trouvé en Italie qu’un écho très discret. En arrière-plan de cette réécriture on lit le besoin, typique de bien des nouveaux mouvements religieux, de légitimer son existence par le recours à une « tradition inventée ».


Une tradition inventée 


par Francesco Baroni 

L’Archéosophie appartient de plein droit à la catégorie des « nouveaux mouvements religieux » : il s’agit d’une association construite autour d’une doctrine originale, soit d’une organisation débutante, sans histoire, dépourvue de liens institutionnels avec les structures sociales, culturelles et politiques de son époque. Contrairement à un certain type de nouveaux mouvements religieux que l’on a pu qualifier de « world-rejecting », en outre, l’Archéosophie est caractérisée par une ouverture certaine vis-à-vis de la société : elle a été créée par Palamidessi pour se répandre dans le monde et [...] elle ne fait rien pour cacher ses activités, qu’elle choisit aussi en fonction de l’attrait qu’elles peuvent exercer auprès du grand public.


De ce fait, l’Archéosophie se trouve confrontée à un besoin de légitimation, tant interne (vis-à-vis de ses propres adhérents), qu’externe (vis-à-vis du reste de la société). C’est surtout ce dernier aspect, du reste, qui pose problème, s’il est vrai, comme le montrent les études de Melton et Stark, que les conflits avec la société environnante constituent une des principales caractéristiques des nouvelles religions. C’est précisément à ce besoin de légitimation, comme l’a fait remarquer Titus Hjelm, que répond souvent la construction d’une tradition au sein des nouveaux mouvements religieux : « La tradition devient une stratégie utilisée pour donner du poids et de la crédibilité à la religion en question ». Les chercheurs ont donc constaté, dans l’histoire des nouveaux mouvements religieux, toute une « tradition d’invention des traditions », vague qui semble faire partie d’un processus plus vaste de « fabrication de traditions » typique de la modernité depuis la fin du XXe siècle. [...]

Les stratégies suivies par les représentants des courants ésotériques contemporains, notamment d’inspiration Théosophique ou post-Théosophique afin de construire des « traditions » sont assez bien connues : récupération de matériaux historiques et para-historiques divers, recherche de correspondances entre une pluralité de traditions, référence à une tradition orale ou à des documents anciens qui leur seraient parvenus (et auquel l’historien ne peut avoir accès...) ou à des informations obtenues par voie métapsychique. Ainsi, par exemple, Blavatsky parle de la ville mythique de Shambhala en faisant allusion à d’« anciens documents », dont l’existence n’a pu être établie. Alice Bailey, de son côté, affirme que les informations dont elle dispose au sujet de Shambhala reposent sur des communications reçues via le channeling. Ceci s’applique également aux courants ésotériques concernés par la question de l’ésotérisme chrétien : selon Steiner, pour parvenir à une compréhension réelle des évangiles et à une reconstruction de la réalité historique qui les sous-tend, on ne peut que recourir aux méthodes de la « science spirituelle ».

La méthode suivie par Palamidessi pour construire son ésotérisme chrétien semble, dès lors, fortement représentative des tendances de la plupart des mouvements ésotériques contemporains. Le fondateur de l’Archéosophie [...] reprend d’abord une mythographie issue de la Théosophie christianisante d’Annie Besant, selon laquelle Clément d’Alexandrie et Origène auraient été les légataires de la doctrine ésotérique du Christ (une doctrine analogue à celle des autres « traditions ésotériques » de l’Antiquité) ; il étaye, ensuite, cette mythographie par la lecture des textes patristiques grecs, textes dont s’étaient déjà servis, quoique dans une moindre mesure, les Théosophes et d’autres auteurs d’orientation pérennialiste comme Schuon ; et il fournit comme garant de l’exactitude de sa reconstruction historique sa « mémoire réincarnative », qui contient ceux qu’il considère comme ses « souvenirs de vies antérieures » et qui prouverait sa prétendue identité avec Origène.

Grâce à cette stratégie, Palamidessi tente donc de légitimer l’existence de son mouvement tant face à ses adeptes qu’à la société environnante. La référence constante aux origines alexandrines de l’Archéosophie, en effet, établit un lien direct de continuité entre une organisation surgie à la fin des années 1960 du bouillonnement ésotérique contemporain d’un côté, et un passé très ancien de l’autre, et justifie par là même, sur un plan historique, non seulement l’existence de l’Archéosophie, mais aussi son utilité : faire revivre l’ésotérisme chrétien de naguère sous une forme nouvelle, adaptée à la mentalité du XXe siècle.

Notons, pour conclure, qu’en plus d’offrir une légitimé à l’existence de la doctrine et de l’organisation de Palamidessi, la mise en place d’une « tradition chrétienne ésotérique » originale semble jouer, au sein de l’Archéosophie, une deuxième fonction « pratico-sociale » : celle de permettre, en son sein, la structuration d’une hiérarchie. En premier lieu, naturellement, parce qu’elle légitime l’autorité de Palamidessi lui-même en tant que fondateur et guide du mouvement archéosophique. Deuxièmement, parce que le degré d’avancement doctrinal des disciples de Palamidessi semble dépendre aussi, pro parte, de leur connaissance de la « tradition » ésotérique révélée par le maître : rappelons ici que le texte "Storia del cristianesimo esoterico", contenant la reconstruction la plus accomplie de la tradition chrétienne ésotérique telle que Palamidessi la concevait, et en particulier du christianisme ésotérique enseigné à Alexandrie, ne circule que parmi les disciples « confirmés ».

Preuve, s’il en est, qu’au sein d’un nouveau mouvement religieux, la référence à un passé par rapport auquel on revendique un rapport de continuité, fût-il fictif, demeure une stratégie de légitimation et de hiérarchisation fondamentale. À l’intérieur de la catégorie des « traditions inventées », à laquelle elle appartient de plein droit, l’Archéosophie représente un spécimen original, non dénué d’intérêt : celle d’un mouvement qui, en plus de se réclamer d’une tradition reconstruite à l’aide de matériaux historiques divers, aspire à résumer cette tradition même, à la réabsorber en son sein, et en dernière analyse à la dépasser, dans un élan évolutionniste qui est n’est au fond qu’un reflet, assez transparent, de la personnalité et du tempérament de son fondateur.

Extraits de la Thèse de Doctorat de Francesco Baroni, "Tommaso Palamidessi (1915-1983) et l’Archéosophie", École Pratique des Hautes Études.

jeudi, janvier 16, 2020

Rivarol contre Les Brigandes


Sur BitChute "Jèze Society"

Joël Labruyère, avec Antoine et Ruedi du Clan des Brigandes, s’expliquent sur les attaques venant du directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon.



(Durée 31:30)

Pédocriminalité, à quand l'épuration ?


La pédophilie et le cinéma

(Durée 54:07)
On nettoie l’info, l’émission de la Rédaction d’E&R.


La pédocriminalité des "élites" :

 Kouchner panique et dénonce Jack Lang !

Le Libre Penseur : "Cette excuse bidon et indigne aurait pu marcher si ces gens n’avaient pas continué à soutenir la pédophilie et les pédocriminels pendant des décennies. Cette réaction tardive de Bernard Kouchner démontre à quel point ces gens sont fragiles ; ils sont terrorisés à l’idée de devoir un jour rendre des comptes. Quant à Jack Lang, il faudra lui poser la question dès que possible pour avoir sa version…"

En 1977, Gabriel Matzneff avait publié un texte pour prendre la défense d’adultes accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des enfants.
Il avait été signé par de grands noms.

En janvier 1977, Gabriel Matzneff publie dans Le Monde et Libération une pétition défendant les relations sexuelles entre adultes et enfants. Le texte avait, à l’époque, été signé par des personnalités comme Simone de Beauvoir, Louis Aragon, Roland Barthes ou encore Bernard Kouchner. Le Point a interrogé ce dernier sur la question et sa défense est ahurissante.

« Autres temps, autres mœurs »

« Sa pétition ? Mais la pétition de Matzneff, je ne l’ai même pas lue ! Daniel Cohn-Bendit et moi l’avons signée parce que Jack Lang nous l’avait demandé », a plaidé l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac. « C’était il y a 40 ans. C’est une énorme erreur. Il y avait derrière une odeur de pédophilie, c’est clair. C’était une connerie absolue. Plus qu’une connerie, une sorte de recherche de l’oppression », a-t-il néanmoins regretté, rappelant qu’il avait été « le seul à dire que c’était un salopard [Matzneff] ». Comment alors expliquer cette signature chez de grands noms comme Sartre, Aragon ou encore Barthes…

Fifi Brindacier et ses petits « amis radicaux de droite »

(Durée 2:04)


Dans sa brochure « Plouf, plouf – C'est toi qui sors ! », la fondation (allemande) Amadeu Antonio appelle les éducateurs des crèches et des écoles primaires à rechercher chez les enfants les signes d'un foyer parental d’appartenance d'extrême droite. Par exemple les enfants aux bonnes manières à table et à l'apparence soignée, et surtout les fillettes blondes avec des nattes, sont déjà classés comme « inquiétants ». Et lorsqu’on ressent chez les parents une attitude de base conservatrice, toutes les sonnettes d'alarme devraient se déclencher.

La Fondation Amadeu Antonio, créée en 1998, est une fondation allemande engagée contre les partis d'extrême droite, le racisme et le sempiternel ANTISÉMITISME.

La comparaison avec l'histoire de Fifi Brindacier et de ses deux amis Tommy et Annika me vient alors à l'esprit. Fifi n'a pas de mère, mais un père qui a un penchant pour l'alcool et qui est la plupart du temps absent. Elle porte une minijupe et des bretelles, elle n'a pas de manières, elle a un singe dans un placard et un cheval dans le couloir… Donc pas de raison de s'inquiéter. Un regard complètement différent sur Tommy et Annika : cheveux blonds, apparence soignée et vêtements appropriés, ainsi qu'un foyer avec une maman et un papa. Donc, selon la brochure, radicalement de droite.

Heureusement pour Tommy et Annika, premièrement ils vivent en Suède et deuxièmement ce n’est qu’un récit tiré d’un livre pour enfants. La brochure de la fondation Amadeu Antonio, en revanche, est réelle et cruellement sérieuse. 




Télécharger gratuitement "Plouf, plouf – C'est toi qui sors !", le pdf de la fondation Amadeu Antonio (en allemand) :

"Le livret de près de 60 pages, écrit Mike Wilms, est conçu pour aider à identifier les parents nazis — sur la base de l’apparence de leurs jeunes enfants.

Les filles porteraient des tresses et des robes, les garçons seraient très sportifs. Ce document a été rédigé par la fondation Amadeu Antonio de Berlin. Sa préface a été écrite par la ministre de la Famille, la socialiste (SPD) Franziska Giffey."

Le livret s’intitule « Plouf, plouf - C’est toi qui sors ! » Cela ressemble à une invitation à exclure les filles avec des tresses des garderies. Selon la fondation berlinoise, il s’agirait plutôt de reconnaître les influences xénophobes ou de la droite radicale avant qu’elles ne puissent pénétrer dans la tête des enfants."



Une forme de sédition contre-traditionnelle destinée à l'enfance ?

"Fifi Brindacier, de son nom complet Fifilolotte Victuaille Cataplasme Tampon, fille d'Efraïm (* Un hasard ? La tribu d'Efraïm est une des 12 tribus d'Israël.) Brindacier, est le personnage principal d'une série de romans pour enfants écrits à partir de 1945 par l'autrice suédoise Astrid Lindgren. [...]

En Suède, Fifi Brindacier, est considérée comme une icône féministe. Libre, indépendante, puissante, la jeune héroïne « anarchiste en camisole de force » remet en cause les rapports de pouvoir entre adultes et enfants, entre garçons et filles..." LIRE LA SUITE


mardi, janvier 14, 2020

BlackRock finance DAESH !

(Durée 6:36)

"L'essayiste catholique français Laurent Glauzy a traduit "Superlogen regieren die Welt" (Des super loges dirigent le monde), le livre-événement sur le Mondialisme et ses acteurs malfaisants, tiré de l'ouvrage original du franc-maçon du Grand Orient d'Italie, Gioele Magaldi. 

La maçonnerie spéculative nationale ne connaissait pas l'existence des 36 super loges, les Ur-Lodges, le théâtre de guignol s'éclaire sur une mafia qui s'entend très bien pour se partager les nations au détriment du Peuple, quelques unes et leurs membres officiellement opposés : Halthor, Penthalfa (famille Bush, Golden Eurasia (Poutine, Merkel, ...)."


Ce livre aux révélations passionnantes, est le premier (en langue française) traitant d'un thème ultra-secret : les super-loges. Aucun ouvrage auparavant n'a traité de ce sujet ô combien brûlant. 

Cette maçonnerie est ignorée des simples « frères » du Grand-Orient de France et de l'ensemble de la franc-maçonnerie dite « régulière », qu'elle considère comme de simples valets instrumentalisés pour ses œuvres démoniaques. D'ailleurs, les super-loges qui s'autorisent de recruter en dehors des loges, ont fondé les puissantes organisations paramaçonniques comme le Bilderberg, le Courncil Foreign Relation, le Skulls & Bones ou encore la Commission Trilatérale. 

Ces super-loges secrètes qui dirigent le monde, fomentant les coups d'État et les révolutions, choisissant les présidents des plus grandes démocraties comme la France, sont au nombre de trente-six. 

Gioele Magaldi, un dissident, qui publie ces informations inédites, divulgue leur fonctionnement à partir des archives de cette supra-maçonnerie et leurs liens avec les treize dynasties sataniques dont les Rothschild et les Rockefeller. Les hommes d'État sont même refusés d'adhésion par les super-loges. C'est le cas de Silvio Berlusconi, franc-maçon régulier, hommes d'affaires dans les médias pesant des milliards d'euros, qui malgré ses efforts n'est jamais parvenu à ouvrir une super-loge. George Bush jr propose en 2003, de l'initier à la super-loge « Halthor Penthalfa ». Sa démarche n'est pas acceptée. Et, Vladimir Poutine essaye en 2004 de le faire entrer dans la super-loge, la « Golden Eurasia ». Là encore, cette tentative est vaine. Les « frères » et les « sœurs » des deux super-loges ne le trouvent pas assez élitiste. 

Le présent ouvrage foisonne d'information jamais diffusée : la chancelière allemande Angela Merkel appartient à trois super-loges « Golden Eurasia », « Parsifal » et « Valhalla », et fut refusé à « Der Ring ».

Les révélations captivantes de Magaldi n'épargne pas non plus le concile judéo-maçonnique de Vatican II ni ses pseudo-papes à l'instar du pédosataniste Jean XXIII, initié à l'automne 1940 dans la super-loge à tendance cabaliste, "Ghedullah". Nous apprenons aussi que la loge mafieuse P2, proche de cette fausse Eglise, était un instrument de la super-loge "Three Eyes".

Les révélations de Magaldi ont été analysées et complétées par le Dr Johannes Rothkranz, théologien catholique, et sont traduites de l'allemand par Laurent Glauzy.



Réaction maçonnique 

Le site Hiram présente Laurent Glauzy comme un "hurluberlu antimaçon obsédé". Un jugement modéré par une lectrice du site maçonnique qui écrit :

"Je ne souhaite pas vous contredire sur le fait indéniable qu’il existe une folie anti-franc-maçonnerie, étant moi-même juive je constate très souvent que nous sommes utilisés comme bouc-émissaires de tout les problèmes, que des personnes sont à tort décrits comme Juifs (Soros entre autres) et d’autres décrits comme les porteurs de la pensée Juive (Attali) alors qu’ils en sont l’anti-thèse. Je précise aussi que je n’ai rien contre la vraie franc-maçonnerie, bien au contraire. Mais par contre dans son livre « Abus Rituels et contrôle mental » (le sujet du livre est très large, il parle de méthodes apparemment enseignées par les nazis à la CIA), Alexandre Lebreton cite plusieurs auteurs apparemment « in » qui disent qu’il existe des loges qui ne se réfèrent pas à Hiram (pour nous la crème des nations) et à la construction du Temple mais à Nimrod (celui qui est révolté contre Dieu et qui veut amener la société à l’être aussi) et à la construction de la tour de Babel. Vu tous les témoignages de victimes qu’il rapporte, de tous les continents, certaines parvenues jusqu’à la justice, ces cultes Nimrodiens existent, ils ne sont probablement pas typiques de chez vous (je ne le crois pas) mais en tout cas ils demandent à être dénoncés ou bousculés. Ça pourrait même être votre travail tout comme le travail d’un vrai juif est aussi de dénoncer et bousculer ces imposteurs."

Source :

lundi, janvier 13, 2020

C'est quoi être antisémite ?


(Durée 16:16)

C'est quoi être ANTISÉMITE ? SORALIEN ? PATRIOTE ? FRANÇAIS ? TROTSKISTE ? FASCISTE ? CHRETIEN ?




Félix NIESCHE

« C’en était fait de l’idylle entre François-Marie Arouet et moi : Adieu Zadig, adieu Candide, adieu Micromegas ! Mon ancienne admiration je l’assigne à résidence en mes plus noirs souterrains, chargée de fers. Les ricanements squelettiques venus du tréfonds de mes oubliettes me laisseront de marbre. Je resterai inflexible sur ma plus haute tour de guet antisémite. Au loin, de sombres lueurs rougeoient les murs du château de Ferney, comme s’il était un Four crématoire champêtre, du sang suinte de ses murs sous les doigts crochus du lierre, le Zyclon sue par ses fentes et ses fissures, et les bougies des grands candélabres que l’on aperçoit l’été par les croisées ouvertes, exsudent une abjecte odeur de suif. »

Telle sera la condamnation sans appel que la Révélation de l’antisémitisme de Voltaire fera prononcer par l’auteur qui, naguère encore, louait l’élégance, la finesse et l’ironie d’une œuvre qu’il jugeait irremplaçable pour combattre l’imbécilité, la platitude, la vulgarité irrationnelle de nos temps. Mais l’antisémitisme de Voltaire passe la mesure ! La plupart de ses œuvres en sont remplies, le Dictionnaire philosophique croule littéralement sous un flot d’antisémitisme continu. Voltaire n’est pas un peu antijuif sur les bords, antijudaïque par dessus le marché, mais il est ontologiquement, radicalement antisémite, au sens moderne du mot. Dans l’Essai sur les mœurs, il déplore que les Juifs « furent punis, mais moins qu’ils ne le méritaient, puisqu’ils subsistent encore ». Donc un authentique regret qu'il n'y eût point une Shoah avant la lettre.

C’est ce Voltaire interdit que vous allez découvrir. « Les textes, les voici, dans leur vérité et effectivité, humiliant les non-dits et les minables travestissements par la révélation écrasante de leur éblouissante horreur.


samedi, janvier 11, 2020

Assassinat ! Antoine, le compagnon d'une Brigande, s'exprime

Une enquête vise à déterminer les circonstances de la mort d’une membre du groupe musical Les Brigandes, qui souffrait d’un cancer et vivait dans un cabanon au sud de la Belgique.

(Durée 23:03)

Communiqué du groupe Les Brigandes e
n réaction à la campagne médiatique nationale qui a débutée le 8 janvier 2020 avec l’article de Nolwenn Le Blevennec (Rue 89 / Nouvel Obs) : « Secte des Brigandes : Une enquête pour assassinat est ouverte en Belgique ».
Notre clip « Cerveau lavé » à la fin du communiqué. 

Pour plus d’infos, la vidéo « Complot contre les Brigandes (mars 2018) » que nous avions réalisée en mars 2018 sur cette affaire :


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Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...