lundi, juillet 19, 2021

La Chine protège mieux la liberté vaccinale que la France



Comme les Juifs en 1942, les Français privés de "pass sanitaire" deviennent des parias.

Lévitique 24:20 : "Fracture pour fracture, œil pour œil, dent pour dent..." 
Le 12 juillet 2021, le "karma" tombe sur les Français (le gouvernement français avait exclu les Juifs de certaines professions dès le mois d'octobre 1940), Macron exige l'exclusion d’une partie de la population qui ne dispose plus des mêmes droits que ceux qui se soumettent à ses diktats.




La Chine protège mieux la liberté vaccinale que la France


La haute autorité sanitaire chinoise s'oppose à des mesures locales d'obligation vaccinale.

La Chine mise sur le consentement plutôt que sur l'obligation vaccinale afin de convaincre ses citoyens.

Réagissant à des mesures prises par plusieurs provinces, interdisant l'accès à certains lieux publics aux résidents non-vaccinés contre le Covid, les autorités sanitaires chinoises souhaitent continuer à vacciner sans recourir à la coercition.

"Informé, consenti et volontaire" : tels devraient être les principes de base du programme d'inoculation des vaccins Covid-19, selon les autorités sanitaires chinoises.

Comme le rapportent les quotidiens chinois Global Times et South China Morning Post la Commission nationale de la santé, plus haute autorité sanitaire du pays, s'est prononcée le 16 juillet contre le recours à la coercition dans le cadre de la campagne vaccinale qui se poursuit dans le pays. Cette institution réagissait à des mesures visant à rendre la vaccination obligatoire, prises par les gouvernements locaux d'une dizaine de provinces, qui suscitaient la polémique dans le pays...


En savoir plus sur RT France 


Les vaccins chinois ne sont pas des "vaccins" à ARN messager que l'on injecte quasiment de force aux populations européennes. 


Les vaccins anti-covid mis au point par les laboratoires pharmaceutiques chinois Sinovac et Sinopharm utilisent la plus ancienne des technologies vaccinales, à savoir celle des vaccins à virus inactivés.




dimanche, juillet 18, 2021

Réflexion d'une médium parisienne de retour de la manif du 17 Juillet



(9:42)


Une entité étrangère contrôle la France, elle utilise le chantage.
Castex. Brigitte. Présidentielle 2022. Macron, ce dictateur ne quittera jamais le pouvoir, on va s'en débarrasser...


Note : Le chantage sur les "élites" était la mission de Jeffrey Epstein qui travaillait pour le Mossad et avait vraisemblablement un réseau de traite des êtres humains à des fins sexuelles en France, pays où les pédocriminels sont souvent impunis. Est-ce une des raisons de la soumission de l'opposition et de beaucoup de personnalités à la dictature ? 


samedi, juillet 17, 2021

Le Pape de Satan interdit la messe en latin aux Catholiques



Frédéric Martel, auteur de SODOMA
"Le Vatican est une des plus grandes communautés gay au monde"



La Papauté homosexuelle n’affiche jamais autant d’entrain que lorsqu’il s’agit de traîner dans la boue les derniers Catholiques – qui ne sont franchement plus très nombreux, peut-être quelques centaines de milliers dans le monde.

Famille Chrétienne :

Dans un Motu Proprio baptisé « Traditionis Custodes » sur l’usage de la liturgie romaine, le pape François a décidé de réformer le précédent motu proprio de Benoît XVI Summorum Pontificum sur la libéralisation de la messe selon la forme extraordinaire du rite romain, dite aussi messe tridentine. Le pape François affirme dans une lettre explicative prendre « la ferme décision d’abroger toutes les normes, instructions, concessions et coutumes antérieures à ce Motu Proprio, et de conserver les livres liturgiques promulgués par les Saints Pontifes Paul VI et Jean-Paul II, conformément aux décrets du Concile Vatican II, comme la seule expression de la lex orandi du rite romain », souhaitant ainsi « rétablir l’unité dans toute l’Église de rite romain ».


L’Eglise Catholique a virtuellement cessé d’exister. Ce qu’il en reste, c’est l’administration centrale et les évêques homosexuels qui l’administrent dont le chef est Jorge Bergoglio, une hyène perfide d’Argentine liée à tout ce que compte le monde occidental de financiers juifs, de rabbins, d’homosexuels, de maçons, de démocrates, de communistes patentés, d’invertis tonsurés et j’en passe.

Il ne subsiste qu’une toute petite frange de Catholiques qui survivent en marge de cette ONG gay située au Vatican et qui continue d’enseigner le catéchisme de ces deux derniers millénaires et de pratiquer les rites qui avaient cours dans les campagnes jusque dans les années 60.

La fameuse « messe en latin » dont la presse juive fait si grand cas, en raison de souvenirs médiévaux douloureux.
[...]


Quoique soumis au globalisme, le Pape Benoît XVI, renversé par un coup d’état financier en 2013, avait permis à cette frange catholique traditionnaliste de fréquenter à nouveau les églises officielles en les rouvrant au Catholicisme. C’est-à-dire en autorisant la messe traditionnelle en latin.

Un peu comme lorsque la Wehrmacht est entrée en Russie en 1941 et qu’elle a immédiatement rouvert toutes les églises du pays qui avaient été fermées par les bolchéviques.

Le problème, c’est que la messe en latin renvoie à la religion catholique telle qu’elle était enseignée et comprise avant le coup d’état judéo-maçon de Vatican II, en 1962, avec tout ce que cela implique politiquement et idéologiquement.

Or, Bergoglio, n’a qu’un seul dieu : Yahvé et son peuple, qui n’aiment guère le Catholicisme d’avant 1962. 
[...]

Personnellement, je ne vois pas l’intérêt que mettent les traditionnalistes à rester là-dedans, peu importe les histoires de la Salette, de prophéties, d’infaillibilité.

C’est absurde et plus le temps passe, plus c’est absurde.

C’est de la schizophrénie.

Si on me crache à la gueule, je commence à distribuer des petits bonbons au cyanure dans les verres de mousseux. Tout spécialement avec les invertis à col romain.

Paradoxalement, l’ultra-papisme a tué la tradition catholique.

Le plus cocasse, c’est que s’ils devenaient tous orthodoxes, les tradis pourraient être aussi traditionnalistes qu’ils le voudraient sous le regard bienveillant des évêques catholiques : messe valide, enseignement ultra réactionnaire, les orthodoxes ont tout ce que les cathos tradis veulent avoir.

Que les tradis se rattachent à Moscou, c’est la seule option un tant soit peu réaliste. Ils auront au moins l’appui d’un état nucléaire pour soutenir la pratique de leur foi et des réserves énormes de pétrole, de gaz et de minerais.

Extaits d'un article de Captain Harlock.



vendredi, juillet 16, 2021

Contraints de choisir : allons-nous vivre ou mourir ?




Ce monde ressemble à un asile où les fous gouvernent. Nous vivons la plus grande imposture de l'Histoire et beaucoup d'entre nous par peur de la vérité, refusent de regarder la réalité en face. Pourtant tous les indices et preuves du crime sont devant nos yeux pour nous permettre de comprendre l'ampleur du drame. Et si nous ne prenons que l'exemple de notre pays, nous savons même à qui profite le crime et qui sont les vrais responsables du chaos dans lequel nous survivons à grand peine.

Mais avant d'aller plus loin, il nous faut faire un état des lieux, une description rapide mais précise de la scène du crime.

On nous fait croire que nous vivons dans une démocratie. Et pour ne pas que nous en doutions, on nous explique que au contraire des dictatures, nous avons le privilège de pouvoir choisir ceux qui nous gouvernent. Bien évidemment, on ne nous précise pas que ces derniers sont tous ou presque tous des imposteurs, des escrocs, des voleurs et parfois des assassins. Mais longtemps, le peuple ne s'est rendu compte de rien et a voté pour une bande de malfaiteurs qui prétendait défendre chacun à sa manière, les intérêts du pays et de ses citoyens.

La classe politique composée de plusieurs partis de gauche, de droite, du centre, d'extrême droite, d'extrême gauche s'est partagé le gâteau France. Et chacun à sa manière, a d'abord contribué à diviser le peuple et affaiblir le pays, pour le tromper, le piller, le voler et pour mieux le trahir ensuite. La méthode marche bien puisqu'elle dure depuis 1789 jusqu'à aujourd'hui, avec au pouvoir l'un des imposteurs parmi les plus habiles et les plus malins : Macron.

Depuis la révolution colorée de 1789 organisée par les Francs-Maçons et les banquiers usuriers qui ont fait voter la légalisation de l'usure dès octobre de la même année, puis la citoyenneté accordée aux banquiers Juifs et à leurs 40.000 coreligionnaires, notre pays a cessé d'être ce qu'il a été pendant des siècles : une monarchie avec ses défauts et ses qualités mais où l'usure était interdite et où les Français ne consacraient que 18 jours de travail par an pour payer taxes et impôts. Aujourd'hui notre République maçonnique nous impose de travailler du 1er janvier au 31 juillet soit environ 210 jours par an pour payer ces mêmes taxes et impôts. Ce simple chiffre devrait déjà nous aider à comprendre l'arnaque dont nous sommes victimes.

Puis pour mesurer la liberté dont nous jouissons dans cette fausse démocratie, il n'y a qu'à examiner le nombre de lois et décrets qui se sont multipliés à l'infini depuis 232 ans jusqu'à atteindre le chiffre pharamineux de 533.000. Et on nous dit, nul n'est censé ignorer la loi. Combien de vies faut-il pour mémoriser ces 533.000 lois et décrets ?

Ceci nous permet de comprendre un autre aspect de l'imposture dans laquelle nous vivons. Ce demi million de lois et décrets sont la preuve que nous ne sommes pas aussi libres qu'on tente de nous le faire croire. Quand le nombre d'interdits, de règlements, de contraintes de tous ordres atteint ce chiffre complètement fou, il est facile de comprendre que nos libertés ne sont qu'un mirage, une illusion car nous avons infiniment moins de libertés que de contraintes et limites. L'image qu'on nous vend de la démocratie devient soudain plus floue et plus hideuse... car elle s'accompagne d'une autre grave désillusion : toutes ces lois sont la preuve que nous ne sommes pas un Etat de Droit mais un Etat d'esclaves.

Alors bien sûr nous comprenons que la liberté des uns s'arrête là où commence la liberté des autres mais pour cela, les 10 commandements de Moïse qui régissent l'ensemble de l'humanité, suffiraient amplement à nous permettre de vivre en liberté et en paix les uns avec les autres. Quel besoin y a-t-il de nous emprisonner dans un demi million de lois ?

C'est simple. Ces lois sont faites pour le peuple, pour la populace, pour que ceux qui sont au sommet puissent prospérer, nous voler, nous tromper, nous trahir sans être inquiétés. Une espèce de mur protecteur qui garantit que l'inégalité sera la règle absolue et que personne ne viendra la remettre en cause.

Et c'est ainsi que de fil en aiguille, nous comprenons qu'un Système baptisé "démocratie" mais qui favorise l'asservissement du plus grand nombre au profit d'une minorité, un Système qui maintient l'immense majorité du peuple dans la survie économique pour que l'infime minorité puisse se gaver, est une source d'injustices, de misère, d'exclusions, où les naufragés sont chaque jour plus nombreux, où le chômage devient mode de survie, et la violence et la débrouille comme seuls moyens de ne pas mourir...

Liberté, égalité, fraternité, un slogan ridicule démenti par la réalité, une tromperie franc-maçonne à laquelle les Français ont cru longtemps mais qui nous revient dans la figure comme une gifle démontrant à quel point nous sommes naïfs et stupides et à quel point un peuple est facile à tromper et à manipuler quand on veille à produire des générations d'êtres humains sans esprit critique, sans culture, sans savoir et sans connaissance. Les peuples qu'on maintient dans l'ignorance sont toujours ceux qui produisent le plus grand nombre d'esclaves et de soumis.

Voilà la démocratie de théâtre dans laquelle nous vivons. Nous sommes devenus des machines à produire de la richesse pour ceux qui nous dominent. Nous sommes devenus des zombies dont la vie se résume à bosser, bouffer et baiser. Nous sommes devenus des consommateurs et acheteurs de ce que nos propres mains produisent. Nous sommes devenus des êtres sans raison, sans cervelle, sans discernement et sans capacité de réflexion, aussi faciles à diriger qu'un troupeau de moutons.

Et dans un tel scénario, ceux qui possèdent l'arme du Savoir et de la Connaissance l'utilisent contre nous, nous faisant croire les choses les plus incroyables, nous convaincant des choses les plus inimaginables et nous obligeant à accepter l'inacceptable.

C'est ainsi que nous avons la classe politique la plus corrompue du monde et que les caisses de l'Etat remplies du fruit de notre sueur et de notre labeur, servent à ces Messieurs-Dames à s'empiffrer de privilèges, d'avantages, d'excès en tous genres à notre détriment. Le peuple qui n'a même plus le droit de dire qu'il a faim, qu'il n'arrive plus à boucler ses fins de mois et à nourrir ses enfants à à qui on envoie les forces de la répression pour éborgner, mutiler, emprisonner ceux qui auraient l'outrecuidance de réclamer un peu plus de justice sociale.

Mais comme aucune injustice ne peut durer pour l'éternité et que la marmite de la colère est prête à exploser, pour que les mêmes continuent à prospérer, il faut trouver un moyen pour que cet ordre établi depuis 232 ans ne change pas.

La pandémie. La peur. La psychose. Voilà l'idée géniale qui va permettre non seulement de maintenir l'ordre établi mais aussi de le renforcer en réduisant encore davantage, le peu de liberté qui reste.

Les puissants de ce monde ne sont jamais à court d'idées quand il s'agit de maintenir leurs positions et leurs privilèges. Et puis, ils savaient bien que les peuples finiraient par ouvrir les yeux sur l'imposture dans laquelle on les fait survivre. Et en bons joueurs d'échec qui se respectent, ils avaient naturellement prévu plusieurs coups d'avance à jouer pour que les peuples soient défaits et restent soumis à ceux qui les dirigent, qui les trahissent et qui les volent. On n'apprend pas aux vieux singes à faire la grimace comme on n'apprend pas aux imposteurs comment tromper les peuples. C'est un métier dans lequel certains excellent depuis des générations...

Et puis, depuis 1789, ils ont eu largement le temps de mettre en place tous les éléments nécessaires à l'imposture. Les partis politiques corrompus, le parlementarisme parasite mais obéissant, la presse, les médias, les institutions noyautées par la Franc-maçonnerie, cette 5ème colonne de traîtres et de barbouzes, l'armée et la police noyautées par les mêmes serviteurs, bref, tout ce qui est utile au maintien de la matrice pour que personne ne bouge et ne se révolte.

Et le nouveau film est lancé. On pourrait l'appeler "La grande illusion" tant les moyens mobilisés sont colossaux. Ben oui, quand on possède la machine à imprimer l'argent avec de l'encre et du papier, pourquoi se gêner ? On peut acheter et corrompre les gouvernements du monde entier, les médias, les journalistes, les médecins, les politiques. Qui va s'y opposer ?

Et c'est ainsi que les vrais criminels, sûrs de leur puissance et de leur impunité, ont soudain décidé d'apparaître sur le devant de la scène. Les cartels bancaires, les organisations que nous supposions respectables et fiables comme l'OMS, l'ONU, le Forum Economique Mondial, les Fondations Rockefeller, Bill & Melinda Gates ont décidé de dévoiler leur jeu et de s'identifier sans aucune crainte, comme les planificateurs, les organisateurs, les donneurs d'ordre. Réduire la population mondiale en commençant par les vieux, les bouches inutiles, les idiots, les crédules et les naïfs, les marginaux, les superficiels sans cervelle, les bons à rien, bref tous ceux qui sont considérés par ces "élites" comme étant le cancer du monde, celui qui consomme "leurs" ressources mais qui ne rapporte rien.

Comme le disait l'effrayant Laurent Alexandre, le monde va désormais se diviser entre ceux qui savent, "les dieux" et les inutiles qu'il faudra éliminer pour construire un Nouvel Ordre Mondial, débarrassé de ceux qui polluent la terre par leur présence et leur existence.

Et je pense que nous sommes nombreux à avoir compris quelle est la mission de l'escroc en chef qui dirige notre pays : veiller au bon déroulement du plan de destruction du peuple français, de son économie, de son passé, de son histoire, de sa culture et de tout ce qui fait de nous une Nation. Nous devons devenir des moutons apeurés et obéissants car avec la peur et une baguette de fer, il est plus facile de nous soumettre.

Frères et sœurs de France, l'heure du grand réveil a sonnée. Nous avons le choix de devenir des êtres libres ou des esclaves et des victimes de nos bourreaux, ces tyrans en costume-cravate qui n'ont plus rien d'humain puisqu'ils permettent l'euthanasie de nos anciens, la vaccination de nos enfants pour les stériliser et les fragiliser, la destruction de nos vies, de notre économie, de 20 siècles d'Histoire pour faire de nous des robots surveillés, manipulés et serviles à leur seul profit.

La désobéissance civile devient une nécessité, un impératif, le choix le plus raisonnable. Mais ceux qui veulent nous mener vers le Grand Reset, la vaccination généralisée et obligatoire, la fin de nos libertés de vivre, le transhumanisme, le Nouvel Ordre Mondial et nous réduire à 500 millions d'individus, renonceront-ils à leur projet criminel pour autant ? Si la peur ne change pas de camp, quelle chance y-a-t-il que nous puissions mettre un terme à cette folie criminelle ?

Les jours qui viennent diront si nous méritons de vivre ou de mourir. Les jours qui viennent diront si nous vivrons libres ou esclaves. Les jours qui viennent diront si nous sommes des êtres humains dignes de ce nom ou si nous ne sommes qu'un troupeau de moutons juste bons pour l'abattoir et le sacrifice. Et bien évidemment, pour le savoir et sortir de cet asile où les fous gouvernent, nous devrons choisir entre nous lever et combattre ou courber le dos et périr.

Pour ma part, j'ai fait mon choix depuis longtemps.

Eric Montana

jeudi, juillet 15, 2021

Qui sont les maîtres d'œuvre du Nouvel Ordre Mondial ?



(...) il faut savoir que Rudolf Steiner (1861-1925) est revenu "d'innombrables fois sur la responsabilité de certaines confréries occultes, ou loges occultes, déjà dans le déclenchement de la Guerre de 1914-1918, mais aussi sur l'emprise croissante qu'elles prendraient sur la politique mondiale, et cela à très longue échéance, sur les siècles et les millénaires.

Il mit en particulier en évidence une sorte de trépied du Mal, représenté par la maçonnerie, les jésuites et l'initiation à l'arrière-plan du bolchevisme.

Certes, par maçonnerie, il entendait surtout les arrière-loges, là où se prennent les décisions, mais il est clair que les arrière-loges donnent le ton aux loges et il apparaît que c'est en fait l'ensemble de la maçonnerie institutionnelle qui est contaminée à un degré ou à un autre par cet égrégore de décadence. À mon sens, cela est en parfaite cohérence logique avec l'histoire implicite de l'évolution de la maçonnerie qu'il avait donnée auparavant : de façon majoritaire, la maçonnerie des deux derniers siècles (trois aujourd'hui) est un processus de décadence qui va devenir le réceptacle de forces antisociales, antihumaines, anti-christiques... et, bien entendu, sous le masque du social, de "l'humanisme", voire du christianisme. Et cela concerne toutes les obédiences sans exception. Mais un tel regard est refusé par beaucoup, dans le milieu se réclamant de l'anthroposophie aussi, et il existe même des tendances qui œuvrent à coupler une telle maçonnerie dévoyée avec l'anthroposophie.

Pour moi, le travail de critique très clair - et tellement méconnu ou édulcoré - qu'a fait Steiner des loges anti-christiques est le complément absolument nécessaire, l'autre pôle du travail (maçonnique, de Steiner. Et il l'a fait en prise directe avec les réalités, en pleine guerre, au moment précis où ces loges anti-christiques (maçonniques, jésuites, russo-orientales) se mirent à semer des germes de mort dans la civilisation, devenant en fait une force antinomique de la maçonnerie du vivant. Et l'on pourrait étudier comment dans l'Holocauste de 1942-1945 ou Hiroshima, de telles loges fêtèrent leurs premiers triomphes, et comment aujourd'hui elles sont les maîtres d'œuvre du Nouvel ordre mondial et de la pseudo-Europe dite de Maastricht.

Mais tout cela constituerait un autre sujet."

Christian Lazaridès


Christian Lazaridès est psychologue et auteur indépendant. Il a publié de nombreux articles et plusieurs ouvrages portant sur l'anthroposophie.

PDF gratuits ici : 

mercredi, juillet 14, 2021

France : quand un tyran gouverne



L’intervention de notre « grand timonier », lundi 12 juillet m’a anéantie.

Les gens sont effondrés, apeurés car ils ont bien compris que les bases d’une terrible dictature ont été définitivement posées et en poussant ainsi à cette vaccination notre chef suprême a décidé de nous détruire en transformant notre pays en ghetto.

Un chantage ignoble :

Refus d’injection : plus de vie sociale et professionnelle et perte de liberté.

Injection : risques énormes d’effets secondaires désastreux et vitaux et perte de l’immunité !

Voici le choix que nous impose cet imposteur criminel ! !

Perdre son boulot ou la vie ? C’est ça ????

Dans les deux cas, il nous condamne !

Et nos vieux dans les Ehpad eux aussi furent sacrifiés : Indigne président, honte de la France, nous ne t’oublierons pas !

Notre tyran, élu illégitimement par la mafia internationale est le syndic de faillite de la France. Il n’a plus aucune légitimité depuis longtemps à cause de la tyrannie qu’il impose ! C’est un fou psychopathe et le regarder et l’écouter est une torture. Il devrait être destitué et sorti urgemment de l’Elysée. Le peuple en a le pouvoir !

Son travail de destruction de notre pays s’amplifie et s’accélère. La mafia qui l’a mis au pouvoir, brade à des intérêts privés et étrangers les biens de la nation et des entreprises stratégiques. Cette marionnette de président autorise et organise le pillage de l’épargne et de la retraite du peuple au profit de fonds d’investissement privés et spécialisés dans la spéculation et l’usure. Il a été mis en place pour dépecer notre pays définitivement en la vendant en pièces détachées. Que de dégâts déjà occasionnés ! Et ce n’est fini!

Aujourd’hui on ne parle même plus du vaccin, c’est de l’histoire ancienne :

Son obsession vacciner ! Vacciner à mort ! Dans le lot : les soignants, les pompiers et bientôt les enfants à partir de douze ans ! Tyrannie mortifère ! Un plus : Engraisser Big Pharma, ses mécènes?

Un vaccin obligatoire, meurtrier expérimental et empoisonné qui aura des conséquences terribles dans les mois qui viennent. Des injections à répétitions tous les trois mois puis tous les deux mois et sans fin… tant qu’ils n’auront pas atteint le nombre de morts, planifié.

Des variants fantômes comme le Delta, l’Epsilon et autres inventions à venir. Pour nous terroriser et nous maintenir dans la peur et nous soumettre.

Nous étions dans le pays des Droits de l’Homme, ces démoniaques satanistes nous entrainent dans la pire dictature mortifère. Nous forcer à cette vaccination dangereuse et expérimentale est ni plus ni moins qu’un crime contre l’humanité !

Les deux seuls pays adeptes de ce genre de dictature infâme sont le Turkménistan et le Tadjikistan, c’est peu dire !!! Nous les rejoignons.

Cette capsule en fait une bonne synthèse : Écoutez !

https://www.infovf.com/video/capsule-resistance-commence--9854.html

Je voudrais tant ici vous donner un peu d’espoir. Tout dépend de notre résilience et courage à chacun d’entre nous.

Continuer à refuser ce vaccin est impératif. Et protéger nos enfants !!… On est en droit de désobéir !

La désobéissance civile est importante !

Il ne faut pas nous isoler. Il va falloir communiquer plus que jamais et serrer les coudes en s’entraidant, en se soutenant les uns les autres. Il s’agit là de la fameuse « guerre contre les peuples » qu’ils fomentent depuis des décennies, sans se cacher vraiment. Elle est enclenchée cette guerre ! Nous y sommes !

Tellement énorme ce que cette équipe de monstres démoniaques nous fait vivre, me pousse à croire que ça ne peut que mal se terminer pour eux. Quelque chose d’énorme doit se produire pour nous sortir de cet enfer.

Je prie pour cela de toutes mes forces.. Que Dieu nous vienne en aide !

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com

Source :

Nous n’avons pas d’autre choix que la résistance totale




L'essayiste juif Henry Makow écrit : "A l’insu de la plupart des juifs et des gentils, le judaïsme n’est pas la religion de l’Ancien Testament que la majorité des gens s’imaginent. Tous les cultes sataniques revêtent un masque de respectabilité. Tout comme ses émanations : le communisme, le sionisme et la franc-maçonnerie, le judaïsme est basé sur le Talmud et la kabbale, qui cherche à supplanter Dieu et à redéfinir la réalité. Seuls les «initiés» sont au courant de ce secret.

Le but du Nouvel Ordre Mondial est d’introniser l’humanité au Judaïsme qui n’est que du Satanisme déguisé en "laïcité". Ce culte satanique est le modèle pour tout ce qui préside aux changements dont nous sommes les témoins."

Henry Makow, Illuminati 3

Les "initiés" au courant du secret révélé par Henry Makow ne sont donc pas choqués par l'article ci-dessous :



Nous n’avons pas d’autre choix que la résistance totale



Macron le Giflé, fort de 6% de l’électorat français aux dernières élections régionales, a annoncé la mise en place finale d’une dictature sanitaire implacable.

Les gens qui refusent de se faire injecter le vaccin mortel de Pfizer – qui est en test jusqu’en 2023 – n’auront plus le droit d’avoir de vie sociale : tous les lieux publics leur seront interdits grâce au recours au passeport intérieur. Ils n’ont plus le droit de prendre le train ou l’avion.

En outre, le bioterroriste Macron a annoncé que les goyim seront rapidement tous piqués de force à peine six mois après avoir juré que jamais il ne l’autoriserait.

Il va sans dire que les miliçants du régime sont exemptés de le faire, le temps pour eux de traquer tous les rebelles à la dictature juive aux mains des Albert Bourla, Yves Lévy, Agnès Buzyn, Jérôme Salomon, François Crémieux, Alain Fischer, Martin Hirsch.

"Les policiers et les gendarmes ne seront pas obligés de se faire vacciner d’ici septembre." (ministère de l’Intérieur)

Ensuite, ces miliçants subiront le même sort que les autres goyim.

Le prétexte de cette brutale accélération est le variant indien dit « Delta » qui donne le nez qui coule.

Je rappelle que le Cohen19 ne tue personne en dessous de 40 ans et que seules 8% des personnes de 80 ans et plus en meurent, essentiellement parce qu’elles sont très âgées, immuno-déprimées et malades et qu’elles mourront de toute façon à brève échéance.


Ce pseudo vaccin en phase de test a déjà tué des milliers de personnes, bien plus que tout ce qui est légalement autorisé pour les vaccins habituels. Il en a blessé grièvement bien plus.

Sur les seules personnes de 60 ans et plus, l’UE dénombrait officiellement en juin un demi-million de patients ayant souffert d’effets secondaires dont la moitié de forme grave.

Il est reconnu que le poison de Pfizer entraîne l’inflammation du cœur des jeunes hommes. Ce que l’on appelle la myocardite. En dépit de ce que racontent les médias, si cette inflammation peut être jugulée, elle laisse des séquelles qui accroissent très significativement le risque d’infarctus.

Sans parler des hémorragies qui tuent subitement des vaccinés.

Je rappelle aussi que le variant californien dit « Epsilon » contourne déjà ces vaccins « révolutionnaires » et que les troisième et quatrième doses que Castex veut imposer aux goyim pour le compte des juifs de Pfizer n’y changeront rien.

Bien au contraire.

Comme je l’ai expliqué ici, ce vaccin est fuyant, c’est-à-dire qu’il n’empêche pas de contracter ce virus. D’ailleurs, d’après les données britanniques, 50% des personnes positives au Cohen19 sont déjà vaccinées. Autrement dit, ce pseudo vaccin ne change rien en termes d’infection.

La réponse des zombies consiste à dire que les vaccinés ne risquent pas de contracter de forme « grave » contrairement aux non-vaccinés. Ce qui amène les mêmes réponses :

Dans ce cas, les vaccinés n’ont pas à s’occuper des choix des non-vaccinés puisqu’ils sont supposément « protégés ». Personne en dessous de 40 ans ne souffrent de forme de grave, vaccination ou pas. Il n’y a aucune raison de vacciner les nouveau-nés, les adolescents ni même les adultes de moins de 40 ans.

Le véritable problème

Le problème, c’est que la sélection naturelle des souches virales n’opère plus.

Normalement, les formes modérées se diffusent bien plus vite que les formes virulentes car ces dernières tuent rapidement le porteur et limite donc sa propre diffusion. En rendant tout le monde asymptomatique, le faux vaccin permet aux variants dangereux de circuler à grande échelle, exposant d’autant les non-vaccinés à ces nouveaux variants que produisent les vaccinés.

J’ajoute que les globalistes n’hésiteront pas à introduire eux-mêmes des variants pour que ce système totalitaire de surveillance et de contrôle des masses soit perpétuellement maintenu en place. Leur objectif est d’arriver à un stade sanitaire tel que quiconque ne sera pas vacciné mourra sous l’exposition à de virulentes souches virales.

Bill Gates, George Soros et Klaus Schwab veulent disposer du droit de vie ou de mort sur n’importe lequel d’entre nous.

Ce n’est donc pas une question de « troisième dose ». L’année prochaine, trois nouvelles doses seront imposées, puis trois l’année suivante, avec à chaque fois des effets désastreux contre lesquels personne ne pourra rien faire, les entreprises comme
Pfizer ayant exigé et obtenu l’impunité pour chaque personne morte d’empoisonnement.

Ce n’est pas en cédant maintenant que quoi que ce soit changera.

Le rêve des juifs est de nous réduire en esclavage et c’est exactement le but de cette vaccination : la bolchevisation totale de l’Occident.

Par l’arme du bioterrorisme, les juifs veulent liquider les koulaks blancs que nous sommes tous.

Face à cela, les gens hésitent, pour pouvoir aller au restaurant.

[...]

Philippot appelle à manifester. C’est certainement la chose la plus évidente à faire dans l’immédiat après le repli hors des grandes villes contrôlées par ZOG.

Certains me disent qu’il faut trouver un moyen de se faire faussement vacciner. Je ne pense pas que ce soit une bonne idée à ce stade, cela reviendrait à reconnaître que nous avons déjà perdu. 

La meilleure option actuelle est de boycotter activement l’Etat bioterroriste et de construire des alternatives.

Le site Animap.fr qui recense les entreprises qui refusent d’imposer la terreur sanitaire sera amener à progresser, tout comme d’autre.

Les entreprises et les particuliers doivent se familiariser avec l’usage de la cryptomonnaie Monero (XMR). Le Great Reset de "Davos" suppose la suppression de l’argent liquide et la juive Lagarde va accélérer le rythme sur le sujet. Le but est de débrancher les acteurs économiques d’un simple clic de souris s’ils refusent de suivre la ligne de l’Etat-Parti globaliste. Monero permet de fonctionner économiquement sans que l’état bioterroriste ne puisse y faire quoi que ce soit.

Il faut s’inscrire dans une résistance longue car cet état criminel aux mains des juifs ne reculera pas. Il pourra marquer le pas, hésiter, mais fondamentalement, sa survie dépend de l’instauration de cette tyrannie complète.

Quoi qu’il en soit, vous ne devez pas paniquer.

Nous sommes des millions et des millions à refuser d’un bloc ce qui se passe et Macron n’a aucun soutien organique, sauf celui des Boomers fanatiquement pro-juifs.

De toute façon, aucun d’entre nous ne va jouer à la roulette russe à chaque shoot de Pfizer en priant le Ciel que sa cervelle n’éclate pas dans les trois mois.

Captain Harlock



mardi, juillet 13, 2021

Ce qu’a annoncé Macron est d’une gravité exceptionnelle

(2:05)

 


France : Faut-il destituer le Président ?


par Jean Valmont-Decker 



Le discours présidentiel de ce lundi 12 juillet 2021 est clair, c’est un appel à la guerre contre le peuple français. Macron n’a pas hésité à annoncer le programme proposé par l’oligarchie et le discours des Mondialistes pour asservir les peuples. La dictature est en marche et la France est en tête, exécutant les ordres de la Cabale ! Les acquis sociaux seront bafoués et la tyrannie sanitaire accentuée.

Dans un article paru sur le site de France-soir, l’artiste Francis Lalanne avait lancé un "appel à la mobilisation générale du peuple français contre la tyrannie", estimant que "le gouvernement est en train de commettre insidieusement un coup d’État au nom de la Covid". Dans une longue tribune, le chanteur avait déclaré :


"Le chef de l’État et son gouvernement s’essuient les pieds sur le Droit Républicain comme sur un paillasson". Francis Lalanne dénonce "la criminalisation permanente des individus", la "pérennisation" de l’état "d’urgence sanitaire", les privations de libertés … Il se base sur plusieurs textes fondateurs, comme la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et la Constitution, pour considérer que "la République est […] frappée de caducité ; annulée par l’exercice totalitaire du pouvoir que pratique l’Exécutif" et qu'il est par conséquent "du droit constitutionnel du peuple français, donc de son devoir, de 'résister à l’oppression' par une désobéissance civique".

Juste après le discours présidentiel, François Asselineau (UPR) a Tweeté :

"Toute l’allocution de Macron (20h) est une provocation. Elle confirme mes propos mystérieux des 4 décembre et 3 juin. L’oligarchie qui « tient » Macron lui a donné son ultime feuille de route avant qu’il ne soit exfiltré de l’Élysée en 2022 comme prévu.
Ce qui est ahurissant avec Macron, c’est que tout, absolument tout ce qu’il dit, est le contraire exact de la vérité."


Violation du Code de Nuremberg, de l'arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme rendu en 2002, précisant « qu’en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales » (Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH Décision du 9 juillet 2002 ; n° 42197/98)


Nous reprenons ici une partie de mon article paru récemment sur Médiazone évoquant la légitimité du Pouvoir :

La légitimité du Pouvoir

L'autorité a pour mission propre de procurer le bien de la société. Si l'autorité faillit à cette mission, elle perd non seulement le droit de commander, mais encore sa raison d'exister. Le gouvernement qui œuvre à l’encontre du bien commun, n’est plus légitime, même s’il est légal. La souveraineté appartient concrètement à celui qui est capable de s'en emparer et de l'exercer.

La perte de la légitimité

Si un gouvernement d’abord illégitime peut devenir par la suite légitime en raison du bien qu’il accomplît ; a contrario, un gouvernement d’abord légitime peut devenir illégitime en raison du mal qu’il fait. Car seul celui qui gouverne en vue du bien commun a un droit véritable et absolu de commander, entraînant ainsi pour les citoyens un authentique devoir d'obéir. Un gouvernement peut être légal, conforme à une constitution, sans pour autant être légitime, soit parce qu'il n'est qu'un gouvernement de fait, soit parce qu'il est injuste et tyrannique. Un pouvoir tyrannique perd donc sa légitimité parce qu’il abuse du pouvoir ; il gouverne en sa faveur ou en faveur d'un petit nombre et non plus au profit du bien commun. La Nation a le droit de « destituer », de « déposer », de « chasser » un Pouvoir illégitime. Mais pour en venir à cette extrémité, il faut que l'abus soit non seulement grave, mais permanent et universel. Un excès de pouvoir passager, quelques lois contre le bien commun dispenseraient seulement les sujets de l'obéissance sur ces points particuliers, mais n'ôteraient point au Gouvernant sa légitimité, si dans l'ensemble, il continuait à remplir sa mission : assurer la vie et le salut de la Nation. (Magnin, L'État, conception païenne, conception chrétienne, Paris, 1931, p. 127)

La résistance au pouvoir illégitime

Au Moyen Âge, le droit de Révolte était inscrit dans certaines Chartes : le peuple avait le Droit de se soulever, même à main armée, si le gouvernant n'accomplissait pas les obligations auxquelles il s'était astreint par serment. La souveraineté du Pouvoir n’est pas un pouvoir illimité. Quand l’Autorité excède ses droits et abuse de son autorité, elle abdique son rôle de gouvernance.

Résistance passive qui consiste à ne pas obtempérer aux injonctions tyranniques du gouvernant ou aux prescriptions d'une loi injuste.

Résistance active légale qui consiste à poursuivre l'abrogation de décrets injustes ou l'aboutissement de réformes jugées indispensables, au besoin même le changement de gouvernement (Recours à une juridiction suprême, appel à l'opinion…)

Résistance active illégale qui consiste en l'emploi, contre les gouvernants, de tous les moyens de pression, même des « Forces armées », pour les ramener au droit ou pour s'opposer à l'exécution d'un ordre inique (grève générale, refus de payer l'impôt, désobéissance civique, etc..).

Le Tyran

Dans ce mot, on distingue entre le « Tyran d'usurpation » qui n’est qu'injuste agresseur d'un pouvoir légitime et le « Tyran de gouvernement » qui, bien que souverain légitime, abuse de son autorité en opprimant les sujets, soit à son profit, soit au profit d'une coterie, sans égard pour le bien commun dont il a la charge.

« Tyran d'usurpation » : Le « Tyran d'usurpation » occupe la place du chef, mais en réalité, il n'en est que l'ombre.

« Tyran de gouvernement » : Le cas du « Tyran de gouvernement » est beaucoup plus fréquent que celui d'usurpation. (se référer plus haut à « La légitimité du pouvoir » .

Définition d’un Tyran au 21ème siècle 

Un Tyran est un Gouvernant arrivé au pouvoir grâce à la propagande de médias aux mains d’une mafia supranationale dans le but de servir les intérêts criminels de cette mafia. Et qui, malgré cette manipulation de masse, n’arrive à obtenir que le consentement d’1/6e de la population. Qui, pour se maintenir en place, engage une féroce répression contre le peuple et donne ordre à ses gardes de le frapper sauvagement jusqu’à couper des mains et à arracher des yeux. Que, dans le même but, ce Gouvernant, de plus en plus contesté, mette en place un arsenal législatif liberticide pour censurer tout propos critique ou gênant au nom d’une prétendue fausse nouvelle ou d’une incitation à une haine jamais définie. Que ce même Gouvernant, afin de réduire à néant les libertés civiques les plus élémentaires, prépare un système de surveillance généralisée de la population en maîtrisant toutes les données de la vie des citoyens, données centralisées dans une simple puce grâce à laquelle le pouvoir pourra, de manière arbitraire, exclure de la vie sociale tout opposant au nouvel ordre mondial.

Ce même Gouvernant, pour favoriser la mafia qui l’a mis au pouvoir, brade à des intérêts privés et étrangers les biens de la nation et des entreprises stratégiques. Que ce même Gouvernant autorise et organise par ailleurs le pillage de l’épargne et de la retraite du peuple au profit de fonds d’investissement privés et spécialisés dans la spéculation et l’usure.

Ce même Gouvernant, aux ordres d’une minorité apatride et cosmopolite, après avoir usé d’informations mensongères fondées sur des chiffres falsifiés et manipulés, décide la séquestration du peuple tout entier en l’assignant à résidence, en imposant ainsi une torture psychologique de masses comparable au traitement que l’on inflige dans le système carcéral aux criminels les plus dangereux, entraînant des dommages irréversibles dans le cerveau, des dépressions et des suicides, plongeant aussi dans la ruine et la faillite, et ce pour le plus grand bénéfice des multinationales et de la finance internationale, des centaines de milliers de personnes, privées de leur droit au travail.

Ce même Gouvernant agresse non seulement la nation mais aussi chacun de ses membres dans leur intégrité corporelle par l’imposition d’« Injections » inutiles et dangereuses. Ce pouvoir invoque, faussement l’urgence sanitaire, interdit des médicaments, peu coûteux et ayant fait leurs preuves durant de longues années, en les classant indûment dans la catégorie de substances vénéneuses.

Ce même Gouvernant, outre piller les richesses nationales, agresse les particuliers en les accablant de charges et de taxes qui peuvent représenter jusqu’à plus de la moitié du fruit de leur travail obtenu par la sueur. Que ce même Gouvernant favorise le vol en bande organisée à grande échelle dans le système social et fiscal permettant aux grands banquiers, à l’aide d’un montage comptable opaque, de voler en toute discrétion des milliards dans les dépôts bancaires et les cotisations sociales.

Ce même Gouvernant agresse les citoyens, non seulement dans leurs corps et leurs biens, mais encore dans leurs âmes en promouvant officiellement et légalement les pires perversions telles que : marchandisation de l’être humain, assassinat de l’enfant à naître, légalisation de l’euthanasie, perversion en tout genre, union contre-nature, laïcité maçonnique… Autant d’idéologies contraires au bien commun qui détruisent toute justice et toute vérité et dont les pratiques immorales déposent dans le cœur du peuple la semence de l'apostasie la plus radicale de la nature.

JVD

Source :
https://mediazone.zonefr.com/news/france-faut-il-destituer-le-président-402

lundi, juillet 12, 2021

EXISTE-T-IL DES SOMMETS SUBVERSIFS OCCULTES ?

(0:12)



"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. 
La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consensus."
James Paul Warburg (1896-1969)



Pierre Virion collabora pendant des années à la rédaction de la célèbre et fort bien documentée « Revue Internationale des Sociétés Secrètes », fondée à Paris en 1912. Il écrit :

"(...) ce pouvoir, plus ou moins occulte, de la Maçonnerie et des Sociétés Secrètes qui poursuivent le même but, il existe pour la simple raison qu’il n’y a point de corps sans tête, point de société sans gouvernement, point d’armée sans général, point de peuple sans pouvoir public. L’axiome romain : "toile unum est turba : adde unum est populus", a ici sa pleine justification : sans pouvoir directeur, la Maçonnerie serait une foule, plus ou moins égarée par quelques idées subversives, mais qui se désagrégerait d’elle-même au lieu d’être la maîtresse du monde."


Cette citation, tout en répondant à des critères de bonne logique, pourrait pourtant paraître plutôt partiale à certains ; voici donc les déclarations d’autres protagonistes autorisés, certainement non suspects d’anti-maçonnisme :


1844 - Benjamin Disraeli, connu encore sous le nom de Sir Beaconsfield, fils de juifs de Ferrare, qui s'établit en Angleterre où il devint ministre, mentionné comme maçon par Eugène Lennhoff dans son « Dictionnaire Maçonnique français », écrivait dans l'un de ses romans politiques, composés dans les années 1840 :

« Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne l’imaginent ceux dont l’œil ne parvient pas derrière les coulisses. »

Et dans un discours qu'il tint à Aylesbury le 20 novembre 1876 :

« Les gouvernements de ce siècle ne sont pas en relation seulement avec les gouvernements, les empereurs, les rois et ministres, mais aussi avec les sociétés secrètes, éléments dont on doit tenir compte et qui au dernier moment peuvent annuler n'importe quel accord, qui possèdent des agents partout - agents sans scrupule qui poussent au crime, et qui sont capables, s'il le faut, de provoquer un massacre. »

1906 - Walther Rathenau, homme politique israélite, ministre de la Reconstruction, et, à partir du 31 janvier 1922, ministre des Affaires étrangères de la République de Weimar jusqu'au 24 juin de la même année, jour de son assassinat, survenu quelques semaines seulement près sa tentative de dégager l'Allemagne de l'étroite coalition anglo-franco-américaine du traité de Versailles. Grand capitaliste, à la tête de plus de cent sociétés, étroitement lié à la Haute Finance de Wall Street :

« Trois cents hommes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent les destins du continent européen et choisissent leurs successeurs dans leur entourage. »

1920 - Winston Churchill, dans un article intitulé « ZIONISM versus BOLSHEVISM. A Struggle for the Soûl of the Jewish People » (Du Sionisme au Bolchévisme. Un combat pour l’Âme du Peuple Juif), publié page 5 de l’hebdomadaire « Illustrated Sunday Herald » du 8 février 1920, décrivait les différents aspects de l’hébraïsme d’alors, dans lequel il définissait une composante « nationale » (= les assimilés) bonne et loyale et une internationale décidément méchante, et notait à propos de cette dernière :

« Depuis l’époque de Spartacus-Weisshaupt jusqu'à Karl Marx, Trotski (Russie), Belà Kuhn (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldmann (U.S.A.), ce complot mondial pour la destruction de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base de l'arrêt du progrès, de l'animosité envieuse, et de l'impossible égalité, s'est puissamment développé. Il a joué un rôle - comme l'a montré très efficacement une écrivain moderne, Mrs Webster - clairement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution Française. Il a été la cause première de tous les mouvements subversifs du XIXe siècle ; et maintenant, enfin, ce groupe de personnalités extraordinaires du monde souterrain des grandes villes d'Europe et d'Amérique a empoigné par les cheveux le peuple russe et il est pratiquement devenu le dominateur incontesté de cet énorme empire. »

1930 - « Aux carrefours-clés de l'Histoire, un Kahal mystérieux pousse l'homme "inspiré'', parfois choisi longtemps d'avance, à devenir l'instrument du "Grand Œuvre". Il peut alors bouleverser un État, renverser le cours des choses, braver les oppositions, tromper le peuple par des retournements spectaculaires et dramatiques, à l'étonnement des foules qui ignorent la préparation de ses voies par d'autres mains et des appuis occultes qui le font durer jusqu'au jour marqué de sa chute, une fois sa mission remplie, ou lorsque ses prétentions dépassent la mesure qui lui a été comptée. » (Kadmi Cohen, « L'Abomination américaine », Paris, Éd. Flammarion, 1930).

1935 - Sir Stanley Baldwin, ministre anglais, constatait : « Les États, colonnes de la couronne d'Angleterre, ne sont plus arbitres de leur destin. Des puissances qui nous échappent font jouer dans mon pays comme ailleurs des intérêts particuliers et un idéalisme aberrant. »

1941 - James Bumham, juif, membre de la haute maçonnerie réservée aux seuls juifs du B'naï B'rith et de la Pilgrims' Society, se référant aux cadres dirigeants, déclarait :

« Les dirigeants nominaux : présidents, rois, congressistes, députés, généraux, ne sont pas les véritables dirigeants. »

Et, en pleine guerre, dans son livre « The Managerial Révolution », traitant de l'existence d'une conspiration qui manipulait le nazisme tout autant que les autres idéologies ou Etats, il ajoutait :
« La guerre, les guerres futures sont en réalité un épisode de la Révolution ».

1946 - Charles Riandey, Grand Commandeur Souverain du Conseil Suprême (des 33° degrés du Rite Écossais Ancien Accepté, NdR.) de France, annonçait :

« [...] la nécessité d'une organisation totalitaire du monde, de laquelle sera exclue toute notion de primauté d'une nation, subsiste néanmoins. Elle se réalisera inéluctablement à son heure, heure qui n'est pas encore arrivée et que personne n'a intérêt à vouloir anticiper, car l'on ne cueille les fruits que lorsqu'ils sont mûrs [...].»

« Ce passage (du particulier au collectif) [...] ne sera définitivement accompli que lorsque le monde entier aura reconnu l'autorité d'un agent unique régulateur et coordinateur universel.

Par quel moyen cet agent s'imposera-t-il ? Probablement par la guerre, une troisième et - espérons-le - ultime convulsion mondiale (ou une pseudo pandémie ?), parce que l'humanité est condamnée, comme tout ce qui est vivant, à enfanter dans la douleur et dans le sang. » 

1950 - James Paul Warburg (1896-1969), homme éminent de la Haute Finance cosmopolite juive, administrateur de la banque Kuhn & Loeb, grande financiatrice de la révolution russe, membre du C.F.R. (l'Institut américain pour les Affaires Internationales, véritable « gouvernement de l'ombre » des États-Unis), et du groupe mondialiste Bilderberg (sorte de super-parlement étendu aux deux rives de l'Atlantique), s'adressant au Sénat américain le 17 février 1953 déclarait :

« Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consensus. » 

1953 - Jean-Antoine Borgese (mari d'Élisabeth Mann, fille de Thomas Mann), professeur à l'université de Chicago et secrétaire général du Comité pour l'élaboration d'une Constitution Mondiale, publie en 1953 : « Foundations of the World Republic » (Fondements de la République Mondiale). On peut y lire : « Le GOUVERNEMENT MONDIAL est inévitable. Il verra le jour, sous l'une de ces deux formes : soit comme Empire mondial, avec esclavage de masse imposé par les vainqueurs d'une Troisième Guerre mondiale, soit sous la forme d'une République Fédérale Mondiale, instaurée par une intégration graduelle dans les Nations Unies. »

1968 - Harold Wilson, homme politique anglais, membre du puissant R.I.I.A., l'Institut Britannique des Affaires Internationales, et de la Fabian Society, cercle supérieur de la zone du Pouvoir et centre mondial de rayonnement du socialisme depuis 1884 :

« Les conservateurs donnent l'illusion de gouverner, alors que les véritables décisions sont prises en dehors du Parlement, par les Clore, les Lazard et les Warburg... » (financiers juifs, N.d.R.)

1975 - Saul H. Mendlowitz, directeur du « Projet de Modèle pour un Ordre Mondial » et membre du « Council on Foreign Relations » (C.F.R.) (Conseil des Relations Extérieures), le « Politburo » du capitalisme dont le siège est à New York :

« La question de savoir s'il y aura ou non un gouvernement mondial d'ici l'an 2000 ne se pose plus. À mon avis les questions que nous devons (par contre) nous poser sont : Comment ceci se passera-t-il ? Par un cataclysme, un mouvement, un projet plus ou moins rationnel et ce gouvernement sera-t-il à caractère totalitaire, bénévolement élitiste ou participatif. »

1981 - Thierry de Montbrial, membre de la Commission Trilatérale, président de ri.F.R.I., Institut Français pour les Relations Internationales, et membre du Club maçonnique Le Siècle :

« À un moment donné le contenu et le style de la politique internationale sont influencés par ce que pense et dit un nombre relativement petit d'experts. Et cela dans le monde entier. Il s'agit d'une simple constatation qui n'est dictée par aucune doctrine élitiste. Pour donner un exemple, aux U.S.A. une centaine de personnes joue un rôle prépondérant au sein des Instituts de Recherche et dans les Cercles journalistiques et l'influence de ces personnes est considérable. »
[...]
« A Moscou les Instituts d'Études Internationales, qui sont nos homologues et nos interlocuteurs, participent à l'élaboration de la politique soviétique. »

1985 - Louis Pauwels, maçon, occultiste disciple du mage Gurdijeff, ancien directeur de revues ésotériques et du « Figaro Magazine », qui aimait proclamer sa conversion au christianisme :

« Il y a un complot mondial de forces antichrétiennes qui visent à affaiblir (et si possible à dissoudre dans un humanisme de belles paroles, mais impuissant) la foi des catholiques, à diviser l'Église, à arriver à un schisme. »

1995 - Jammes Garrison :

« Nous allons finir avec un gouvernement mondial. C'est inévitable [...]. Il y aura des conflits, des coercitions et des consensus. Tout ceci fait partie de ce qui sera nécessaire pour donner naissance à la première civilisation globale. »

PDF gratuit : 


Epiphanius


Trop de nos contemporains croient encore que ce qui se passe sur le devant de la scène suffit à les informer pleinement. Cette erreur est entretenue, volontairement ou non, par les média qui les étourdissent littéralement de nouvelles sans importance et ne parlent jamais de ce qui se passe dans les cercles secrets, là où les décisions sont prises. Disraeli, qui fut un grand homme d’État britannique, disait que « le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux dont l’œil ne plonge pas derrière les coulisses ». L’expérience nous a montré que les apparences sont souvent trompeuses et qu’il faut déchiffrer les mystères qui entourent les actes de certains groupes et de certains hommes, si l’on veut découvrir leurs desseins et déjouer leurs manigances...

dimanche, juillet 11, 2021

Il n'y a pas de différence entre le communisme et le covidisme

 

Source : https://www.henrymakow.com The Difference Between Covid Hoax & Communist Coup? None.


L'essayiste juif Henry Makow donne sa définition du communisme :

Le communisme est le monopole total sur tout (pouvoir, richesse, pensée, comportement) par les banquiers centraux juifs satanistes (maçonniques).

L’initié Christian Rakovski, poursuit Henry Makow, a expliqué que les banquiers Illuminati ont créé l’État Communiste comme "une machine de pouvoir total" sans précédent dans l’histoire humaine.

Par le passé, à cause de multiples facteurs, "il y avait toujours une place pour la liberté individuelle. Comprenez-vous que ceux qui règnent déjà partiellement sur les nations et les gouvernements du monde ont des prétentions à la domination absolue ? Comprenez bien que c’est la seule chose à laquelle ils ne sont pas encore parvenus."

Le "Communisme" est un outil de concentration de toute la richesse et de tout le pouvoir entre les mains du cartel des banques centrales (les Rothschild et leurs alliés), en déguisant ce pillage derrière la façade de l’État.

Le cartel des banques centrales représente le monopole ultime. Il jouit d’un monopole exclusif sur le crédit des gouvernements. Son but est de convertir ce monopole en un monopole exclusif sur tout – la politique, la culture, l’économie, la religion. Un gouvernement unique = monopole de Rothschild = Communisme.

A l’insu de la plupart des Juifs et des Gentils, le Judaïsme n’est pas la religion de l’Ancien Testament que la majorité des gens s’imaginent. Tous les cultes sataniques revêtent un masque de respectabilité. Tout comme ses émanations : le Communisme, le Sionisme et la Franc-maçonnerie, le Judaïsme est basé sur le Talmud et la Kabbale, qui cherche à supplanter Dieu et à redéfinir la réalité. Seuls les «initiés» sont au courant de ce secret.

Le but du Nouvel Ordre Mondial est d’introniser l’humanité au Judaïsme qui n’est que du Satanisme déguisé en "laïcité". Ce culte satanique est le modèle pour tout ce qui préside aux changements dont nous sommes les témoins. Telle est l’explication de l’intrusion dans nos vies privées par la NSA, et les "massacres" organisés et mis en scène dans le but de confisquer les armes des citoyens américains.

La Juiverie Organisée est le cheval de Troie de ce plan de conquête, mais grâce à la Franc-maçonnerie, la plupart des gouvernements, des religions et toute autre forme d’organisations ont été également subvertis. L’accusation d’antisémitisme est une alarme factice conçue pour détourner le blâme des banquiers Illuminati et des Francs-maçons de haut rang, sur les Juifs innocents. La plupart d’entre eux sont aujourd’hui abusés, trompés, manipulés, et compromis.

Pendant la plus grande partie de leur histoire, les Juifs furent maintenus mentalement et physiquement en captivité par le Judaïsme. Le NOM est une recrudescence de cette tyrannie satanique, pas seulement pour les Juifs mais pour l’humanité dans son ensemble. Selon les propres termes de Shahak : "Israël et le Sionisme sont un retour au rôle ancestral du Judaïsme classique, cette fois-ci au sens large à l’échelle mondiale…"

"La voie vers une véritable révolution au sein du Judaïsme – pour le rendre humain et permettre aux Juifs de comprendre leur propre passé, afin de leur permettre de se rééduquer en échappant à cette tyrannie – repose sur une critique implacable de la religion Juive." (p. 74) [...]

Le Judaïsme totalitaire sert de modèle au Nouvel Ordre Mondial

"Certains l’appelle du Communisme, moi je le désigne par son nom véritable: le Judaïsme." Le rabbin Stephen Wise.

"L’anticommunisme est de l’antisémitisme." Jewish Voice, Juillet-Août 1941.

Nous avons appris que la NSA surveillait nos échanges et nos moindres déplacements.

La sécurité n’est qu’un prétexte, car la plupart des actes terroristes sont perpétrés par l’État.

D’où provient ce désir de dominer et d’exploiter les autres ?

Le livre d’Israël Shahak, Histoire Juive, Religion Juive (1986) fournit la réponse. C’est la manière dont un culte satanique se comporte. Depuis le IIème siècle jusqu’aux alentours du XVIIIème siècle, les Juifs étaient sous la botte de leurs rabbins et de leurs dirigeants richissimes. Ils constituaient une «société en vase clos… une des sociétés les plus totalitaire de toute l’histoire de l’humanité.» (14-15) Shahak (1933-2001) était un professeur de chimie à la retraite ayant enseigné à l’université hébraïque de Jérusalem. Il est arrivé en Israël en 1945, a servi dans l’armée israélienne puis étudié l’histoire et la religion juive en hébreu.

Son livre révèle que le Judaïsme Kabbalistique est le modèle sur lequel repose le Communisme et le Nouvel Ordre Mondial, à part qu’aujourd’hui tout le monde est en train d’être réduit en esclavage.

Depuis l’Empire Romain, le Judaïsme s’est préservé par la coercition et la violence physique. Les cours de justice rabbiniques infligeaient les amendes, les flagellations, les peines de prison et même la peine de mort pour les Juifs qui transgressaient la moindre des centaines de lois triviales gouvernant chaque aspect de leur vie quotidienne. «Les femmes juives qui cohabitaient avec les Gentils avaient leur nez coupé par les rabbins… Au cours des disputes religieuses, ceux qui étaient désignés comme hérétiques avaient leur langue coupée.»

Les rabbins et les riches juifs faisaient alliance avec l’aristocratie des Gentils qui appliquaient cette tyrannie et en partageaient les profits. Ils exploitaient les juifs pauvres et les paysans de la même manière. Les riches Juifs prospéraient toujours au sein des régimes féodaux oppressifs, parce qu’en tant que bureaucrates, baillis et fermiers généraux, ils servaient d’intermédiaire pour exercer l’oppression envers les paysans.

Une société en vase clos

D’après Shahak, le Judaïsme classique fut inspiré par l’image de Sparte telle qu’elle fut décrite dans les Lois de Platon en 942. Le Judaïsme a adopté les objectifs décrits par Platon dans le passage suivant : "Le principal est que personne, homme ou femme, ne doit jamais se trouver affranchi de la tutelle d’un officier, et que personne ne doit jamais prendre l’habitude mentale, même pour plaisanter, de sa propre responsabilité individuelle. En temps de paix comme à la guerre, l’individu doit toujours vivre les yeux fixé sur son officier supérieur… en d’autres termes, nous devons former les esprits à ne jamais considérer d’agir en tant qu’individu, ni même de savoir comment le faire." (Shahak, p.13) Shahak explique que les termes de "rabbin" et d’"officier" sont interchangeables. Dans le Communisme, les fils de rabbins ont établi une nouvelle religion mondiale qui reflétait le fanatisme et l’oppression du Judaïsme classique.

Après avoir visité la Russie bolchévique en 1920, Bertrand Russel écrivit à Lady Ottoline Morrell : "Le bolchévisme est une bureaucratie tyrannique en vase clos, dotée d’un système d’espionnage encore plus élaboré et terrible que celui du Tsar, et d’une aristocratie tout aussi insolente et impitoyable, composée de Juifs américanisés. Aucun vestige de liberté ne demeure, ni en pensé, ni en parole, ni en acte." (The Autobiography of Bertrand Russel, p.354) Shahak explique qu’Israël est aussi une "société fermée" franchement consacrée à la suprématie juive et la haine des non-juifs. La culture juive écarte tout examen de conscience honnête pour éviter que le véritable caractère maléfique du Judaïsme ne soit révélé.

Shahak écrit: "Le Judaïsme classique ne montre que peu d’intérêt à se révéler ou à s’expliquer auprès de ses adeptes… Le premier livre de l’histoire juive (traitant de l’histoire ancienne) fut promptement banni et supprimé par les plus hautes autorités rabbiniques… En conséquence, il y a ne serait-ce que 200 ans, la vaste majorité des Juifs se trouvait complètement ignorants au sujet de l’histoire juive et de celle de l’État de la juiverie contemporaine; et ils étaient plutôt satisfaits de le rester… Les études juives sont constituées de polémiques contre un ennemi externe plutôt que de débats internes… Lorsqu’une société entière tente de retourner au totalitarisme, une histoire totalitaire est écrite." (p. 20-22) De la même manière, l’Occident retourne vers ce totalitarisme. L’Occident est un mini-Israël ou le discours dominant est étroitement encadré et contrôlé. Les experts qui s’écartent de la ligne du parti sont virés ou réduits au silence. Nous sommes devenus des Juifs sous la botte du Judaïsme (c’est-à-dire le Communisme).

D’après Shahak, le Judaïsme est constitué d’observances inutiles et de rituels formalistes, plutôt que de moralité ou de foi. Le Communisme est une doctrine entièrement d’origine Talmudique. Le Talmud régule "chaque aspect de la vie Juive, à la foi sur le plan individuel et social… avec les sanctions et les punitions adéquates pour toute infraction à la règle." (Shahak, p. 40) Loin d’être de nature monothéiste, l’Ancien Testament inclut l’existence de beaucoup de Dieux. La Kabbale contient beaucoup de cultes et de prières destinées à se concilier Satan.

Henry Makow, Illuminati 3


samedi, juillet 10, 2021

Le véritable but de la coronafolie

(20:43)

Le Delta Maçonnique Δ la dernière pierre de la Pyramide Mondialiste

La revue de presse de Jérémy David, catholique lecteur de René Guénon, fait penser à un passage du "Règne de la quantité" :

(...) une telle entreprise de mensonge conscient ne peut pas être, en elle-même, le véritable et unique but qu’elle se propose ; tout cela n’est destiné qu’à préparer la venue ultérieure d’autre chose qui semble constituer un résultat plus "positif", et qui est précisément la "contre-tradition". C’est pourquoi on voit déjà s’esquisser notamment, dans des productions diverses dont l’origine ou l’inspiration "contre-initiatique" n’est pas douteuse, l’idée d’une organisation qui serait comme la contrepartie, mais aussi par là même la contrefaçon, d’une conception traditionnelle telle que celle du "Saint-Empire", organisation qui doit être l’expression de la "contre-tradition" dans l’ordre social ; et c’est aussi pourquoi l’Antéchrist doit apparaître comme ce que nous pouvons appeler, suivant le langage de la tradition hindoue, un Chakravartî à rebours.
(Le Chakravartî est littéralement « celui qui fait tourner la roue », ce qui implique qu’il est placé au centre même de toutes choses, tandis que l’Antéchrist est au contraire l’être qui sera le plus éloigné de ce centre ; il prétendra cependant aussi "faire tourner la roue", mais en sens inverse du mouvement cyclique normal (ce que "préfigure" d’ailleurs inconsciemment l’idée moderne du "progrès"), alors que, en réalité, tout changement dans la rotation est impossible avant le "renversement des pôles", c’est-à-dire avant le "redressement" qui ne peut être opéré que par l’intervention du dixième Avatâra ; mais justement, s’il est désigné comme l’Antéchrist, c’est parce qu’il parodiera à sa façon le rôle même de cet Avatâra final, qui est représenté comme le "second avènement du Christ" dans la tradition chrétienne.)

Ce règne de la "contre-tradition" est en effet, très exactement, ce qui est désigné comme le "règne de l’Antéchrist" : celui-ci, quelque idée qu’on s’en fasse d’ailleurs, est en tout cas ce qui concentrera et synthétisera en soi, pour cette œuvre finale, toutes les puissances de la "contre-initiation", qu’on le conçoive comme un individu ou comme une collectivité ; ce peut même, en un certain sens, être à la fois l’un et l’autre, car il devra y avoir une collectivité qui sera comme l’"extériorisation" de l’organisation "contre-initiatique" elle-même apparaissant enfin au jour, et aussi un personnage qui, placé à la tête de cette collectivité, sera l’expression la plus complète et comme l’"incarnation" même de ce qu’elle représentera, ne serait-ce qu’à titre de "support" de toutes les influences maléfiques que, après les avoir concentrées en lui-même, il devra projeter sur le monde. 

Ce sera évidemment un "imposteur" (c’est le sens du mot dajjâl par lequel on le désigne habituellement en arabe), puisque son règne ne sera pas autre chose que la "grande parodie" par excellence, l’imitation caricaturale et "satanique" de tout ce qui est vraiment traditionnel et spirituel ; mais pourtant il sera fait de telle sorte, si l’on peut dire, qu’il lui serait véritablement impossible de ne pas jouer ce rôle. Ce ne sera certes plus le "règne de la quantité", qui n’était en somme que l’aboutissement de l’"antitradition" ; ce sera au contraire, sous le prétexte d’une fausse "restauration spirituelle", une sorte de réintroduction de la qualité en toutes choses, mais d’une qualité prise au rebours de sa valeur légitime et normale ; après l’"égalitarisme" de nos jours, il y aura de nouveau une hiérarchie affirmée visiblement, mais une hiérarchie inversée, c’est-à-dire proprement une "contre-hiérarchie", dont le sommet sera occupé par l’être qui, en réalité, touchera de plus près que tout autre au fond même des "abîmes infernaux".

Cet être, même s’il apparaît sous la forme d’un personnage déterminé, sera réellement moins un individu qu’un symbole, et comme la synthèse même de tout le symbolisme inversé à l’usage de la "contre-initiation", qu’il manifestera d’autant plus complètement en lui-même qu’il n’aura dans ce rôle ni prédécesseur ni successeur ; pour exprimer ainsi le faux à son plus extrême degré, il devra, pourrait-on dire, être entièrement "faussé" à tous les points de vue, et être comme une incarnation de la fausseté même. C’est d’ailleurs pour cela même, et en raison de cette extrême opposition au vrai sous tous ses aspects, que l’Antéchrist peut prendre les symboles mêmes du Messie, mais, bien entendu, dans un sens également opposé ; et la prédominance donnée à l’aspect "maléfique", ou même, plus exactement, la substitution de celui-ci à l’aspect "bénéfique", par subversion du double sens de ces symboles, est ce qui constitue sa marque caractéristique. De même, il peut et il doit y avoir une étrange ressemblance entre les désignations du Messie (El-Mesîha en arabe) et celles de l’Antéchrist (El-Mesîkh) ; mais celles-ci ne sont réellement qu’une déformation de celles-là, comme l’Antéchrist lui-même est représenté comme difforme dans toutes les descriptions plus ou moins symboliques qui en sont données, ce qui est encore bien significatif...

René Guénon 



vendredi, juillet 09, 2021

L'opération Covid, le plus grand crime de l'histoire


Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci... Peine de mort encourue (France Soir)



Pandémie : trier le bon grain de l'ivraie

Eric Montana


Cette fausse pandémie est en train de s'écrouler sur elle même comme un château de cartes, comme une série de mensonges mis à nu, comme une manipulation dont on démasque les auteurs et les acteurs.

Il y a quelques jours le Professeur Raoult déclarait que les pays où l'on vaccine le plus, sont les pays les plus corrompus, établissant le lien entre les deux. Aux Etats-Unis, de nombreux Etats ont aboli les mesures anti-covid avec une baisse incroyable de la contamination, contamination établie sur la base de tests truqués. Trente et un Etats sur cinquante ont supprimé les masques obligatoires et toutes les autres mesures également.

Si une partie des gens continue à croire à cette fausse pandémie, c'est parce que sa seule source d'information restent les médias mainstream qui se sont révélés comme étant de véritables outils de manipulation de l'opinion publique, comme des instruments de conditionnement et comme machine à produire plus de mensonges qu'on ne peut en avaler. Et cette partie qui continue à croire ce que ces médias et les gouvernements corrompus lui racontent, constitue le fond de commerce des labos qui font des milliards avec des faux vaccins, qui produiront encore plus de clients et de malades. Sans oublier les morts 40 fois plus importants par la vaccination que par le Covid lui-même.

Pendant un moment je luttais de toutes mes forces pour convaincre les gens autour de moi et mes lecteurs d'adopter une attitude de prudence face à ces vaccins dont personne ou presque ne connaît la composition, pensant que dans le doute il était plus raisonnable d'attendre ou de s'abstenir. Malgré ça, j'ai vu autour de moi des personnes qui me disaient que j'avais raison, qu'elles allaient éviter de se faire vacciner, mais qui quelques semaines plus tard m'annonçaient sourire aux lèvres... qu'elles s'étaient faites vacciner... Désespérant, affligeant... incompréhensible.

On ne peut pas faire le bien des gens contre leur propre volonté et si malgré tous les efforts que l'on peut déployer pour tenter de les avertir pour les protéger, s'ils décident de se suicider dès que vous avez le dos tourné, que peut-on faire à part les plaindre et prier pour eux ?

Bien sûr qu'il va y avoir une hécatombe, elle a déjà commencé mais la secte des endormis ne veut pas en entendre parler, ils ne veulent même pas le savoir. On se demande comment on peut manquer de raison et de bon sens à ce point. Cela échappe à l'entendement humain. Ces gens semblent hypnotisés, prêts à se jeter dans le précipice pour pouvoir "partir en vacances" pour pouvoir "retourner au restaurant", au "concert", revivre "normalement" sans comprendre que leur espérance de vie est réduite à 3 ans... à cause de leur inconscience et de leur obstination.

Nous allons devoir nous préparer mentalement à perdre des êtres chers, des parents, des enfants, des amis... Il faudra être forts et ne pas laisser nos émotions nous rendre malades à notre tour. Il faudra rester debouts et volontaires car nous devons continuer le combat contre cette coalition de corrompus et de criminels qui doivent rendre compte de ce crime contre l'humanité. Nous, les éveillés, nous les "complotistes" qui avons devant les yeux les preuves de tout ce que nous dénonçons depuis le début de l'opération Covid, nous serons la légion qui combattra pour la justice et la vérité, quel qu'en soit le prix à payer. Nous ne laisserons aucun répit à ces démons qui veulent réduire l'humanité.

Nous établissons la liste noire de ceux qu'il faudra juger, ceux qui de près ou de loin ont participé au plus grand crime de l'Histoire. Politiciens, médecins, journalistes, leurs noms figurent sur cette liste actualisée jour après jour. Cette guerre qui a été déclarée aux peuples verra certainement beaucoup des nôtres menacés, intimidés, arrêtés, emprisonnés et même tués mais ils ne pourront pas nous détruire tous. D'autres se lèveront et continueront le combat jusqu'à ce que nous recouvrions nos libertés et nos droits. Cette guerre est biblique. Elle oppose les forces obscures aux forces de la lumière, les légions du Diable aux légions de Dieu et nous savons qui sera le vainqueur.
Et nous vaincrons car nous n'avons pas peur de mourir. C'est l'épreuve ultime, celle qui consiste à se prouver à soi-même et à Dieu que nous sommes capables de sacrifier nos vies pour sauver la multitude de nos frères et sœurs humains.

Beaucoup ne le comprendront pas car ils n'ont ni foi ni loi, ni courage ni dignité, ni sens de la justice ni fraternité. Ils ont l'apparence des êtres humains mais ils sont dénués d'esprit, de coeur et de raison. Ils resteront ce qu'ils ont toujours été : des êtres superficiels et matérialistes, juste bons à jouir, à bouffer, à consommer et à baiser. Des sous-hommes pas plus évolués que les singes. Que ceux-là aillent se faire vacciner, surtout qu'ils n'hésitent pas car ils donnent raison à leurs assassins qui les considèrent comme le cancer de la terre, ceux qu'il faut éliminer.

Ceux qui traverseront cette épreuve du feu, seront affinés comme l'or parce qu'ils auront combattu pour la justice, pour la vérité et pour ce que beaucoup s'obstinent à ignorer : la dimension spirituelle de notre humanité.

Au fond ce Covid servira malgré nous, à trier le bon grain de  l'ivraie...

Évangile selon Matthieu, chapitre 13, versets 24 à 30 :


"ll leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla. Lorsque l'herbe eut poussé et donné du fruit, l'ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n'as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ? Il leur répondit : C'est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l'arracher ? Non, dit-il, de peur qu'en arrachant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson, et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier."

Source :

jeudi, juillet 08, 2021

La dimension magique et occultiste de la tyrannie actuelle



Lucien Cerise (auteur de "Gouverner par le chaos", PDF gratuit ci-dessous) est interviewé par Nicolas Bonnal, auteur du livre Internet et les secrets de la mondialisation.


Nicolas Bonnal : Lucien Cerise, un an et demi après le premier COVID, comment s’annonce le prochain ?

Lucien Cerise : Il faudrait dire « Comment s’annonce l’avenir ? » En effet, comme nous l’a annoncé Klaus Schwab, nous ne sommes pas censés sortir un jour de la crise dite sanitaire, qui est en fait purement politique. D’un point de vue sanitaire, la covid-19 n’est pas un problème, mais elle sert de prétexte à faire entrer le monde entier dans une « nouvelle normalité » – du moins, c’est ce que veut le biopouvoir transhumaniste.

Son projet est la société « sans contact », c’est-à-dire sans contacts humains, programme soutenu entre autres par le gouvernement sud-coréen, où les interactions sociales directes disparaîtront et seront encadrées, médiatisées et si possible remplacées par la techno-science, l’informatique et les écrans.

Pour y parvenir par étapes, le pouvoir accumule les mesures de contrôle social sans qu’aucune n’annule les autres et en espérant les rendre irréversibles. Le confinement et le couvre-feu doivent devenir perpétuels, le port du masque doit être permanent, la distanciation physique aussi, il faudra nous revacciner tous les six mois pour mettre à jour notre « passe sanitaire », nouvelle mouture du passeport intérieur des régimes totalitaires, etc. J’ai pris le train et l’avion récemment : il y a des annonces écrites et vocales qui nous parlent de biosécurité, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale même pour les personnes déjà vaccinées ou testées négatives au coronavirus. Pour éviter de tomber malade, nous devons donc tous vivre désormais comme des malades. Tout le monde – y compris les bien-portants – doit régler son comportement sur les malades et adopter un style de vie calqué sur celui des malades en acceptant de se soumettre quotidiennement à des mesures destinées en temps normal seulement aux malades.

La frontière entre maladie et santé s’efface : nous sommes tous potentiellement malades, comme chez le Docteur Knock, et nous devons donc tous accepter d’être tous traités comme des malades. Cette « nouvelle réalité » de la maladie permanente et omniprésente doit permettre de remettre votre santé entre les mains du biopouvoir cybernétique. Comment ? En implantant dans les esprits un parallèle entre les risques encourus par nos ordinateurs et par nos corps. La cybernétique ne distingue pas le vivant et la machine. Ainsi, le biopouvoir pose plusieurs équations : homme = ordinateur ; virus biologique = virus informatique ; anti-virus biologique = anti-virus informatique. Bill Gates est l’homme qui incarne cette fusion de l’informatique et de la santé publique.


D’où vient l’intérêt du fondateur de Microsoft pour les virus biologiques et les vaccins, au travers notamment de sa fondation GAVI – Global Alliance for Vaccines and Immunization ? Cela pose question. Lui et d’autres transhumanistes essayent de nous transformer en névrosés hypocondriaques volontairement intégrés dans un système fusionnant le corps humain et les machines par la transposition dans le biologique de ce qui existe en informatique : la peur permanente des virus – phénomène purement psychologique car, en réalité, il y a très peu de virus dangereux – et l’obligation de vivre avec un antivirus fabriqué, un pare-feu dans le langage informatique, équivalent du masque et du vaccin. Pourtant, l’antivirus biologique naturel existe déjà – il s’appelle le système immunitaire – mais justement, le projet est de remplacer l’immunité naturelle, gratuite et universelle, par une immunité artificielle, qui sera facturée et dépendante d’un fabricant d’antivirus. Comme disait quelqu’un sur Twitter :

« Privatisation du système immunitaire des êtres humains en cours : là où avant ton corps faisait le job tout seul pour chaque infection, la réponse immunitaire perdurait à vie, tu auras désormais besoin d’injections à répétition pour chaque variant de chaque virus. » (Anonyme, Twitter)



Nicolas Bonnal : Alan Moore, auteur des BD, V for Vendetta et Watchmen – accessoirement sorcier – déclarait que les publicitaires sont les nouveaux chamans…

Lucien Cerise : Ce type est un génie. Il a compris les constantes universelles de l’occultisme, qui en montrent la brûlante actualité, au-delà des variables culturelles et folkloriques, qui peuvent produire un sentiment d’éloignement ou d’exotisme.
 
L’occultisme est un rapport proactif et interventionniste à la perception de la réalité pour modifier la réalité. On ne touche pas directement la réalité matérielle, on touche sa perception, et surtout sa perception narrée, inscrite dans un récit. On peut donc transformer indirectement la réalité en agissant sur l’esprit des gens qui la perçoivent. Et agir sur l’esprit signifie agir sur la narration qui raconte la réalité, principe du Storytelling. Il n’y a pas d’esprit en dehors d’une narration, d’un langage, d’un code.

L’esprit humain est langagier, structuré par une grammaire et une syntaxe – les phénomènes psychiques n’arrivent pas au hasard – et constitué physiquement de signes linguistiques, qui sont les « unités discrètes », les briques élémentaires, les atomes de l’esprit. Pour agir sur l’esprit d’autrui comme un occultiste, il faut donc agir sur la narration qui structure son esprit, devenir un maître linguiste, un maître du langage – plus simplement, un bon écrivain, un bon scénariste – ce qui explique le rôle des « formules magiques », ce que l’on appelle aujourd’hui des slogans, et qui sont omniprésents dans l’espace médiatique et publicitaire.

« À l’origine toutes les facettes de notre culture, que ce soit des arts ou des sciences, appartenaient aux shamans. Le fait qu’à notre époque ce pouvoir magique ait dégénéré et soit devenu un simple divertissement et une manipulation est à mon avis une tragédie. En ce moment les gens qui utilisent le shamanisme et la magie pour influencer notre culture sont des publicitaires. Plutôt que d’essayer d’éveiller la conscience des gens, leur shamanisme est utilisé comme opium pour les tranquilliser et les rendre plus malléables. Avec leur boîte magique, la télévision, et leurs mots magiques, leurs slogans, ils arrivent à ce que tout le pays pense aux mêmes mots et aux mêmes choses banales, exactement au même moment. » – Alan Moore 

Un bon slogan transforme votre perception de la réalité et déclenche un comportement, ou du moins pèse sur votre comportement en reformulant votre description de la réalité, ou narration de la réalité, donc votre perception de la réalité. Il y a deux façons de peser sur le comportement d’autrui : directement par la pression physique, ou indirectement par la magie, ce qu’on appelle aujourd’hui la psychologie, c’est-à-dire en passant par le système de représentation et de perception d’autrui, ce qu’il a dans la tête, la manière dont il se raconte le monde, et dont il se raconte à lui-même. Le rapport du langage et de l’esprit est encore plus étroit qu’un filtre au travers duquel on percevrait la réalité depuis un esprit possédant son intégrité. En effet, l’esprit est intrinsèquement une structure langagière et linguistique, dépendante d’un récit. On entre dans l’esprit, c’est-à-dire dans l’intériorité, depuis l’extérieur du langage et des signifiants, entendus phonétiquement ou lus sur un support. Si l’on retire le langage, il n’y a plus d’esprit au sens humain du terme. Il y a du vécu hors langage, c’est-à-dire du vécu en dehors du sens, mais pas d’esprit au sens humain. Faites l’expérience : essayez de penser quelque chose en dehors du langage, et vous allez comprendre rapidement à quel point votre esprit est – et à quel point vous êtes – totalement dépendant du langage, et en particulier de votre langue maternelle. Il n’y a pas de langage privé, ou intérieur. Le solipsisme est une fiction théorique.

Le virus et la civilisation hallucinatoire

« Il n’y a pas de science occulte, il n’y a que des sciences occultées. » – Alexandre de Saint-Yves d’Alveydre.

Dans Le mythe de l’intériorité, Jacques Bouveresse s’appuie sur Wittgenstein et ses jeux de langage publics pour montrer que nous sommes des êtres intrinsèquement communicants, traversés par du code appris et reçu de l’extérieur. Même les gens qui croient à une intériorité pré-langagière (antéprédicative) sont obligés de passer par le langage, donc par l’extérieur, pour la penser et en parler. La structure de l’esprit est la structure du signe linguistique. L’esprit a donc une partie extérieure, constituée par le signifiant, et une partie intérieure, constituée par le signifié. Les deux parties sont dans un continuum, on passe de l’une à l’autre sans s’en rendre compte la plupart du temps. L’occultisme n’est rien d’autre que l’exploration de ce ruban de Möbius – pour reprendre une figure de topologie lacanienne – qui définit la continuité sémantique entre l’extériorité environnementale et l’intériorité mentale, et dont il faut prendre le contrôle si l’on souhaite peser sur le comportement d’autrui. C’est de la Programmation neuro-linguistique avant l’heure, tout le monde en fait sans le savoir et intuitivement quand on essaye d’influencer autrui, c’est-à-dire quand on essaye de pénétrer discrètement dans l’intériorité d’autrui pour le retourner en notre faveur, consciemment ou non. La psychologie du conditionnement, en particulier du conditionnement furtif, c’est-à-dire du piratage mental, autre nom de l’ingénierie sociale, c’est-à-dire le passage furtif de l’extérieur à l’intérieur de l’esprit, est la forme scientifique de l’occultisme, en tant qu’effort pour influencer autrui.



Nicolas Bonnal : Dès lors, au-delà de la PsyOp, est-il possible de considérer le « covidisme » comme un rituel surdimensionné via une amplification médiatique sans précédent ?

Lucien Cerise : Techniquement, le « covidisme » – la croyance en la narration politico-médiatique sur la covid-19 – est effectivement un égrégore, un facteur de convergence et d’uniformisation des comportements, qui doit synchroniser un maximum d’individus pour les faire agir comme un seul homme.

Les médias de masse procèdent à une séance d’hypnose collective en continu, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que l’on peut décrire à la suite de Tchakhotine comme un « viol des foules », mais un viol consenti, une pénétration furtive de l’intériorité d’autrui, pour téléguider autrui, agir sur lui depuis son extériorité sans qu’il en soit pleinement conscient. Tout ceci évoque le concept d’Inception, comme dans le film de Christopher Nolan, consistant à pénétrer dans l’inconscient d’autrui pour y déposer une idée, un mot-clé, un signifiant déclencheur (trigger) qui sera activé à un moment donné, pas toujours immédiatement, comme une bombe à retardement.

Tel est le rôle du symbole de l’arc-en-ciel et de tous les signes de ralliement, hashtags, graffitis, slogans, et de la pratique d’ingénierie sociale d’hameçonnage (phishing), fondée sur le double sens, l’ambivalence sémantique, qui fait passer une signification sous couvert d’une autre signification, avec un sens caché dans un autre sens, principe de la stéganographie.

Autrefois utilisé par les causes mondialistes écologique et LGBT, l’arc-en-ciel du slogan #ToutIraBien a inondé les fenêtres du monde entier au premier confinement. PsyOp ou égrégore noachide ?

En fait, nous baignons tous dans un environnement sémantique partagé et nous pratiquons tous naturellement cette influence subliminale sur autrui, pour le programmer, le déprogrammer ou nous déprogrammer et reprogrammer nous-mêmes quand nous sommes mal à l’aise avec une influence psycho-sociale que nous ressentons comme nuisible. L’occultisme et ses versions scientifiques comme l’ingénierie sociale consistent donc à faire consciemment et de manière rationnelle, méthodique et planifiée ce que l’on fait déjà spontanément, comme Monsieur Jourdain prenant conscience qu’il parle en prose depuis toujours. La méthode des Nudges, qui consiste à envelopper autrui en tapissant son environnement d’incitations douces ou indirectes, commence à être bien connue du grand public. Poussé à son terme, cet effort pour influencer autrui culmine dans la « zombification », c’est-à-dire l’abolition de la conscience réflexive pour réduire autrui à devenir un esclave mental, une marionnette qui obéit au doigt et à l’œil. Pour revenir au coronavirus, le résultat concret de cette opération de Mind Control de masse est ce bal des zombies que nous voyons se déployer autour de nous quotidiennement. Tous ces êtres qui portent des masques dans la rue ou qui vont se faire inoculer avec des produits génétiques expérimentaux sont sous l’effet d’un envoûtement, véritable opération psychologique d’ingénierie sociale, c’est-à-dire de piratage mental ou de rituel occultiste de masse, au sens d’Alan Moore.



Nicolas Bonnal : Si le lien entre ingénierie et magie se résume à la furtivité, la Kabbale, adepte des petits calculs et grands secrets, en est-elle la quintessence ?

Lucien Cerise : Les magiciens, les illusionnistes, prestidigitateurs et autres mentalistes exploitent les angles morts de la perception et de l’attention du public, ces zones écrans derrière lesquelles on peut se cacher et qui sont générées par les biais psychologiques et cognitifs du fonctionnement normal du cerveau. Il en va de même pour l’ingénierie sociale dans son volet du piratage informatique, qui n’est autre que du piratage psychologique et cognitif car on s’attaque non pas à la machine mais à son utilisateur selon deux axes, l’usurpation d’identité et l’abus de confiance – en jouant avec la sensibilité d’autrui selon la trilogie de Karpman sauveur/bourreau/victime. Dans tous les cas, une dose de furtivité est nécessaire pour agir.

Le réel, c’est-à-dire le geste réel de l’ingénierie magique, c’est-à-dire la modification intentionnelle du lien social, doit devenir invisible et être remplacé par une illusion de transformation spontanée. Par exemple : si les médias ne parlaient pas de la covid-19, les gens ne sauraient même pas que ça existe. La réalité serait différente : les symptômes de la covid-19 seraient interprétés comme une grippe ou une pneumonie banale, et personne n’accepterait les mesures totalitaires dites sanitaires. La nomination, le fait de nommer une chose, la fait exister, soit en la soulignant et en l’extrayant du bruit de fond, soit en la faisant être à partir de rien, création ex nihilo. Dans la controverse entre Réalisme et Nominalisme, le langage a choisi : il est nominaliste. La magie kabbalistique exploite les ressources nominalistes du langage mais a besoin de vous faire croire au Réalisme pour produire une illusion d’objectivité incontestable en dissimulant le geste subjectif de construction langagière de la réalité. Je me suis amusé à angliciser ce constructivisme en inventant le concept de « reality-building ». L’ingénierie sociale, comme la kabbale, consiste à nommer les choses pour les faire exister, en effaçant le geste de la nomination créatrice, le geste de la fonction performative du langage, pour donner l’illusion que cela arrive tout seul. Le pouvoir politique en général consiste à appliquer toutes les ressources de ce nominalisme furtif, pour laisser entendre que les choses nommées par le pouvoir ne dépendent pas de sa volonté mais existent objectivement, ce qui permet d’asseoir la domination symbolique du récit du pouvoir dans les esprits.



Nicolas Bonnal : Dans cette perspective, le panopticon de Jeremy Bentham n’est que l’application de l’En To Pan cher à la Gnose…

Lucien Cerise : On doit à Michel Foucault d’avoir montré l’actualité du concept de panoptique de Bentham, ce modèle de prison où les prisonniers ne savent pas s’ils sont surveillés ou non par les gardiens, ce qui les conduit à intérioriser la surveillance comme un risque permanent et à auto-discipliner leur comportement. On trouve ici le point de départ d’une réflexion sur l’exercice du pouvoir dans le champ subtil. Les corps n’ont plus besoin d’être disciplinés par d’autres corps ou par de la matière. La domination des corps est psychologique et intériorisée, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une auto-soumission des corps par l’esprit, sous la forme d’une parole venant de l’extérieur et assimilée, à laquelle on s’identifie. La noosphère, la « sphère de la pensée humaine » chez Teilhard de Chardin, notion proche du grand Autre de Lacan ou de l’inconscient collectif jungien, exerce une force de contrainte sur les individus et de façonnage du réel. On en voit les résultats avec ces gens qui portent encore le masque même quand ce n’est plus obligatoire. L’esprit, c’est-à-dire l’information diffusée par le pouvoir, surveille et discipline les corps sans besoin d’un policier ou d’un gardien de prison.

Chez l’être humain, l’information est plus forte que la matière brute, plus forte que l’instinct de conservation, et peut façonner le comportement jusqu’au suicide collectif. C’est ce que la psychologie appelle les pulsions de mort, qui sont un effet du langage humain, absent chez les animaux. Essayez de faire porter volontairement des masques qui empêchent de respirer à des animaux. Leur instinct vital se révoltera rapidement, sauf s’ils sont en voie d’hominisation, sensibilisés au langage humain et à ses effets de déréalisation, c’est-à-dire dressés comme des chiens sous influence de la parole d’un maître. Tout le domaine du sens, de la sémantique, de l’information langagière est lui-même de la matière, mais organisé de manière néguentropique pour réduire l’incertitude. Son caractère morbide et entropique advient quand il essaye d’encadrer totalement le réel et son caractère toujours imprévisible.

L’utopie d’en finir totalement avec l’incertitude est d’ailleurs le fil conducteur du biopouvoir, autre concept tiré de l’œuvre de Foucault et retravaillé par Giorgio Agamben. Le sommet du pouvoir est le contrôle scientifique de la vie dans ses moindres aspects, et l’artificialisation du monde naturel dans la mesure du possible. La recherche sur les interfaces cerveau/machine ou corps/machine, c’est-à-dire le couplage direct du cerveau ou du corps sur un dispositif informatique fermé ou ouvert comme internet, est déjà ancienne.

Un exemple bien connu est le développement des implants électroniques sous-cutanés, puces RFID ou autres, ainsi que la recherche sur les moyens de les faire accepter à la population de manière souriante et détendue. On se souvient des Implant Parties qui ont eu lieu dans divers pays, dont la France.



Nicolas Bonnal : Selon les gnostiques, le diable serait sans limite. Toute spéculation est-elle donc d’essence diabolique ? Cela évoque la dialectique de la carte et du territoire, et la tentative du symbole, ou de la pensée, de modéliser le réel. Hystérie, paranoïa, schizophrénie sont des noms savants aux symptômes identifiés en démonologie. Seuls les signifiants changent-ils ?

Lucien Cerise : Pour l’occultisme, la pensée ne doit pas se contenter de modéliser le réel, la carte ne doit pas se limiter à représenter le territoire : la pensée doit être le réel, la carte doit remplacer complètement le territoire. Pour qualifier ce moment où l’image du réel supplante le réel, Jean Baudrillard parlait d’hyper-réalité. Pour y parvenir, il faut reléguer définitivement le réel dans les oubliettes, de sorte que le réel ne soit plus la référence de la pensée, afin qu’il ne pose plus de limite au libre jeu de la pensée spéculative. Il faut parvenir à reconnaître sans sourciller et sans dissonance cognitive que 2 + 2 = 5, ou qu’une femme qui dit être un homme est un homme.

Pour l’occultiste, la pensée, la représentation du réel, doit être libre par rapport au réel : libre de le déformer, mais surtout libre de ne plus être indexée sur du réel extérieur à elle-même, donc libre d’être autoréférentielle. En économie, la spéculation infinie, sans limite, apparaît quand la valeur d’usage disparaît au profit de la valeur d’échange, quand la monnaie se réduit à un signe. La perte de contact avec un référent réel et la préférence accordée aux signes, c’est-à-dire aux idées, est symptomatique de l’entrée dans la folie, qui est une sorte d’ivresse du langage, une ivresse des idées, une ivresse sémantique, car la pensée ne veut plus tenir compte des limites du sens, limites matérielles, objectives qui viennent dégriser la dérive interprétative. Pour le paranoïaque, tout fait sens, tout est interprétable, il n’y a pas de limites à son interprétation du réel et à son système d’idées. La transgression de toutes les limites, la démesure, l’hubris, le déni de réalité et le délire de toute-puissance caractérisent de nombreuses pathologies mentales et comportementales que l’on décrivait jadis comme des états de possession démoniaque.

Les signifiants ont changé, ce qui a eu aussi un impact sur la formulation des symptômes et leur signifié. Aujourd’hui, une hystérique ne dira pas qu’elle est possédée par le diable mais qu’elle a envie de s’amuser et de s’éclater, ou qu’elle mène une lutte féministe contre le patriarcat.



Nicolas Bonnal : L’harmonie jacobine égalisant, tout y est pesé, voire aseptisé, et qui après avoir tenté de mettre la France en damiers, fait maintenant fleurir les cubes à travers un monde digne de l’ordinateur de 2001, l’Odyssée de l’espace. Programmation génocidaire en vue ?

Lucien Cerise : L’esprit jacobin de la révolution française, c’est l’esprit du progressisme maçonnique, c’est-à-dire l’esprit scientiste, mathématique, géométrique. Bien sûr, cette approche entièrement quantitative du monde, qui réduit tout aux nombres, est assez répandue au-delà de la pensée maçonnique et se rencontre à diverses époques et en divers lieux. Les cultures juive et arabo-musulmane attribuent une valeur numérique aux lettres de leurs alphabets, ce qui a donné la numérologie mystique, ou guématrie, qui se développe aussi en Grèce antique à l’époque de Pythagore, se poursuit avec Platon et la fameuse phrase gravée à l’entrée de son école – « Nul n’entre ici s’il n’est géomètre » – et s’épanouit dans la techno-science occidentale. On en trouve une expression politique dans le projet de quadrillage administratif de la France en départements dessinés en carrés, enfermant la vie dans des formes à angles droits, programme élaboré sous l’Ancien régime et qui sera repris par les premiers révolutionnaires en 1790 avant de l’abandonner sous la pression du réel. Le cube est la projection tridimensionnelle du carré, c’est-à-dire de l’angle droit, qui n’existe pas dans la nature. Trouver une forme à angles droits dans la nature signifie qu’une intelligence est forcément passée par là pour la fabriquer.

C’est toute la signification du monolithe noir, en tant que cube allongé, dans le célèbre film de Stanley Kubrick que vous mentionnez. Il est totalement noir et vide de sens, ce qui signifie qu’il peut recevoir toutes les significations car il n’en porte aucune par lui-même. Pourquoi ? Parce que, comme dirait Marshall McLuan : « Le média est le message ». Parce que c’est la forme matérielle à angles droits qui compte, qui est significative, en ce sens qu’elle tranche avec tout ce que la nature peut produire naturellement, et qu’elle se signale ainsi comme étant nécessairement un produit culturel, un artefact, donc la trace d’une intelligence. Le monolithe noir de 2001 symbolise l’émergence de l’intellect et de la culture supranaturelle à l’état pur : il apparaît chez les primates quand ils inventent le premier outil, la première prothèse ; il apparaît sur la Lune en tant que symbole du passage d’une intelligence extra-terrestre, que l’équipe d’astronautes humains découvre avec stupeur ; il réapparaît à la fin, en miroir de l’intelligence artificielle Hal, l’ordinateur tueur d’humains, pour suggérer au spectateur quel est le sens de l’Histoire, qui tient en quelques mots : « La culture doit remplacer la nature. »

Remplacer veut dire tuer. La culture doit tuer la nature, l’esprit doit tuer le corps, tel est le cœur conceptuel de la pensée gnostique, progressiste, utopiste, prométhéenne, transhumaniste et maçonnique. Ce qui était impossible naturellement deviendra possible culturellement, par la techno-science, et rendra la nature obsolète. L’esprit vaincra la matière. L’âme vaincra le corps. L’utopie vaincra le réel.



Nicolas Bonnal : La franc-maçonnerie bâtissant la cité tel un tableau de loge pour acclimater la population, sortir de cette idéologie n’implique t’il pas de détruire ses landmarks urbains rythmant la vie et donc la pensée ?

Lucien Cerise : Le principe progressiste « La culture doit tuer la nature » transposé dans le domaine esthétique signifie que l’angle droit doit remplacer, ou tuer, la forme naturelle, plutôt arrondie. L’architecture contemporaine diffuse ce nouvel ordre visuel maçonnique dans le monde entier avec l’émergence de ce qu’on appelle le « style international » au XXe siècle, c’est-à-dire la généralisation des tours rectangulaires, froides et sans âme. Ces formes géométriques pures et impersonnelles s’opposent à toutes les architectures traditionnelles et ancestrales, qui imitent la nature et sont souvent anthropomorphiques, conçues à l’image du corps humain, ou en cercles concentriques, en voutes, en ogives, parfois ornées de statues, ce qui explique pourquoi on s’y reconnaît. En revanche, l’architecture moderne, de même que la peinture abstraite, ne ressemble à rien de ce qu’il y a dans la nature et n’est pas faite pour les humains.

Le bâtiment de la nouvelle Bibliothèque nationale de France radicalise l’anti-naturalisme avec sa végétation totalement encadrée, littéralement cernée et encerclée par une construction minérale entièrement à angles droits, et où les arbres du jardin intérieur ont besoin d’être soutenus par des câbles métalliques pour ne pas tomber. Le message est fort : la nature ne doit plus être auto-suffisante, indépendante, autonome, elle doit être réécrite, redessinée, recomposée, restructurée, placée sous la dépendance de la culture. L’esprit maçonnique, c’est la haine de la nature et le projet de la rééduquer, de la transformer, de la tuer en la plaçant sous tutelle de la culture. Appliqué à la nature humaine, c’est le programme transhumaniste, le Great Reset, etc. Pour faire accepter ce projet global, on utilisera des termes aux connotations positives et on parlera de civiliser la nature, comme on parle aussi d’augmenter l’humain avec de nouvelles capacités et de nouvelles prothèses. Mais il ne faut pas se leurrer : au prétexte de civiliser, d’augmenter ou de réparer le monde naturel, le but est bien de le détruire, comme le veut la kabbale avec la notion de Tikkoun Olam. Pour détruire la nature et la remplacer entièrement par de la culture, il faut commencer par stériliser la nature. Le remplacement de fruits et légumes fertiles, avec des pépins et noyaux, par des fruits et légumes stériles, sans pépins ni noyaux, est l’objectif du développement des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), introduits également dans les thérapies génétiques inoculées au prétexte de la covid-19, et qui vont stériliser l’espèce humaine. Les semences végétales et animales doivent devenir l’objet d’un marché, mais surtout d’un contrôle. Transposé aux êtres humains, la procréation doit devenir entièrement assistée – médicalement et scientifiquement – au moyen d’utérus artificiels ou d’autres artifices de laboratoires.

Si l’on pousse cette logique à son terme, le monde réel est réduit à un désert stérile, et entièrement reproduit dans un simulacre virtuel sous contrôle total, comme dans le film Matrix. La stérilisation du vivant est le fil conducteur du capitalisme mondialiste. C’est aussi, malheureusement, ce qui définit notre environnement socio-économique global, attaquant notre espèce avec le LGBT, vaste opération de normalisation et de promotion d’une sexualité stérile, et qui est passé à la vitesse encore supérieure depuis 2020 avec la dictature sanitaire. Face à ce désastre, les penseurs naturalistes et écologistes sont effectivement des sources d’inspiration.



Nicolas Bonnal : Pour y parvenir, ne faut-il pas viser ces landmarks, car même plus nombreux, il n’existe aucune chance d’en réchapper, la domination bi-séculaire l’atteste ?

Lucien Cerise : Il faut viser qualitativement pour ce qui concerne la métapolitique, mais pour ce qui concerne la politique concrète de terrain, il faut viser la quantité, c’est-à-dire la moyenne, et ne pas craindre une forme de nivellement par le bas car c’est ainsi que fonctionnent les sociétés humaines. On dit que la démocratie commence en Grèce antique mais en fait elle est consubstantielle à toute forme d’organisation humaine puisque c’est le règne de la moyenne et du consensus. Même les dictateurs se préoccupent de ce pensent les masses, au moins pour façonner ce qu’elles pensent et essayer de tuer dans l’œuf toute contestation émergente. N’importe quelle tribu préhistorique ou isolée au fond de la forêt amazonienne doit élaborer un consensus entre ses membres, avec des négociations, des compromis, des compromissions et des stratégies de persuasion, qui tirent l’intelligence collective vers une moyenne. C’est d’ailleurs ce qui embête le pouvoir mondialiste actuel, qui a décidé de remplacer le peuple par des machines pour ne plus avoir à travailler sur la construction de ce consensus en permanence. La fabrique du consentement et de l’opinion publique présente un coût, et le pouvoir en a marre. Ça tombe bien pour lui, on peut pratiquement tout automatiser de nos jours. Ensuite, pour s’en sortir quand on fait partie du petit peuple, c’est-à-dire pour échapper à la stérilisation, à la dépopulation, au génocide, il faut comprendre que le problème n’est pas réductible à la kabbale ou à la franc-maçonnerie. La déconstruction intégrale de tous leurs symboles architecturaux permettrait, certes, de purger l’environnement visuel, mais ne mettrait pas fin à la dialectique de la nature et de la culture, qui est universelle. À titre personnel, je considère même que c’est le sens problématique de l’Histoire. Comment gérer le progrès technique pour qu’il ne devienne pas une menace contre la vie ? La première réponse est anti-progressiste, ou « luddite » : refuser le progrès technique. La deuxième réponse est maçonnique : la culture tuera la nature inévitablement, donc autant y aller à fond. Guillaume Faye a proposé une solution intermédiaire avec l’archéo-futurisme, mais elle pose un problème de cohérence interne. Aucune de ces trois réponses n’est satisfaisante. En tant que cette problématique est universelle, elle est aussi présente dans la kabbale et la franc-maçonnerie, évidemment. 

Mais si l’on fait le compte du nombre de gens qui sont d’accord pour tuer la nature – pour tuer leur nature – au nom du progrès culturel, il faut admettre que cela dépasse largement les effectifs de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Ces forces occultes et occultistes disposent de nombreux relais complaisants dans le peuple. Leur domination bi-séculaire se réalise avec une vraie complicité populaire, il suffit de sortir dans la rue et de compter les masques pour s’en rendre compte. Aujourd’hui, pour ma part, je pense qu’il faut arrêter de tout mettre sur le compte des minorités actives et se demander si, finalement, la majorité silencieuse n’a pas plus de responsabilités dans ce qui se passe. Ce discours qui consiste à exonérer de la situation le bon peuple, ou les individus qui en sont issus dans les « forces de l’ordre », pour n’accuser que les oligarques, ce discours est contre-productif. 

J’affirme que l’agent de police ordinaire, venant des classes moyennes comme moi mais qui me colle malgré tout une amende pour non-port du masque dans la rue, a plus de responsabilité dans la situation que Jacques Attali, Bill Gates ou Klaus Schwab. Ces trois figures du Great Reset estiment avoir un intérêt à tout détruire, et elles font leur job avec beaucoup d’application et de conscience professionnelle, mais où est l’intérêt du flic de base, qui sera lui-même sacrifié à la fin, et remplacé par un drone de surveillance ? Quel sera l’intérêt des agents de police qui viendront nous chercher chez nous pour nous emmener au centre de vaccination obligatoire ? Ce fossé entre l’intérêt bien compris de l’individu et son comportement rend ce comportement encore plus inexcusable quand l’individu n’en bénéficie pas.

Article complet (nombreux liens, documents et livres conseillés) :

Lucien Cerise, sa dernière interview sur la dimension magique et occultiste de la tyrannie actuelle : « L’occultisme est un rapport proactif et interventionniste à la perception de la réalité pour modifier la réalité. On ne touche pas directement la réalité matérielle, on touche sa perception, et surtout sa perception narrée, inscrite dans un récit. On peut donc transformer indirectement la réalité en agissant sur l’esprit des gens qui la perçoivent. Et agir sur l’esprit signifie agir sur la narration qui raconte la réalité, principe du Storytelling…Poussé à son terme, cet effort pour influencer autrui culmine dans la « zombification », c’est-à-dire l’abolition de la conscience réflexive pour réduire autrui à devenir un esclave mental, une marionnette qui obéit au doigt et à l’œil…si les médias ne parlaient pas de la covid-19, les gens ne sauraient même pas que ça existe. »



Gouverner par le chaos
Lucien Cerise 
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Libertaires de l’Antiquité

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