lundi, juillet 12, 2021

EXISTE-T-IL DES SOMMETS SUBVERSIFS OCCULTES ?

(0:12)



"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. 
La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consensus."
James Paul Warburg (1896-1969)



Pierre Virion collabora pendant des années à la rédaction de la célèbre et fort bien documentée « Revue Internationale des Sociétés Secrètes », fondée à Paris en 1912. Il écrit :

"(...) ce pouvoir, plus ou moins occulte, de la Maçonnerie et des Sociétés Secrètes qui poursuivent le même but, il existe pour la simple raison qu’il n’y a point de corps sans tête, point de société sans gouvernement, point d’armée sans général, point de peuple sans pouvoir public. L’axiome romain : "toile unum est turba : adde unum est populus", a ici sa pleine justification : sans pouvoir directeur, la Maçonnerie serait une foule, plus ou moins égarée par quelques idées subversives, mais qui se désagrégerait d’elle-même au lieu d’être la maîtresse du monde."


Cette citation, tout en répondant à des critères de bonne logique, pourrait pourtant paraître plutôt partiale à certains ; voici donc les déclarations d’autres protagonistes autorisés, certainement non suspects d’anti-maçonnisme :


1844 - Benjamin Disraeli, connu encore sous le nom de Sir Beaconsfield, fils de juifs de Ferrare, qui s'établit en Angleterre où il devint ministre, mentionné comme maçon par Eugène Lennhoff dans son « Dictionnaire Maçonnique français », écrivait dans l'un de ses romans politiques, composés dans les années 1840 :

« Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne l’imaginent ceux dont l’œil ne parvient pas derrière les coulisses. »

Et dans un discours qu'il tint à Aylesbury le 20 novembre 1876 :

« Les gouvernements de ce siècle ne sont pas en relation seulement avec les gouvernements, les empereurs, les rois et ministres, mais aussi avec les sociétés secrètes, éléments dont on doit tenir compte et qui au dernier moment peuvent annuler n'importe quel accord, qui possèdent des agents partout - agents sans scrupule qui poussent au crime, et qui sont capables, s'il le faut, de provoquer un massacre. »

1906 - Walther Rathenau, homme politique israélite, ministre de la Reconstruction, et, à partir du 31 janvier 1922, ministre des Affaires étrangères de la République de Weimar jusqu'au 24 juin de la même année, jour de son assassinat, survenu quelques semaines seulement près sa tentative de dégager l'Allemagne de l'étroite coalition anglo-franco-américaine du traité de Versailles. Grand capitaliste, à la tête de plus de cent sociétés, étroitement lié à la Haute Finance de Wall Street :

« Trois cents hommes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent les destins du continent européen et choisissent leurs successeurs dans leur entourage. »

1920 - Winston Churchill, dans un article intitulé « ZIONISM versus BOLSHEVISM. A Struggle for the Soûl of the Jewish People » (Du Sionisme au Bolchévisme. Un combat pour l’Âme du Peuple Juif), publié page 5 de l’hebdomadaire « Illustrated Sunday Herald » du 8 février 1920, décrivait les différents aspects de l’hébraïsme d’alors, dans lequel il définissait une composante « nationale » (= les assimilés) bonne et loyale et une internationale décidément méchante, et notait à propos de cette dernière :

« Depuis l’époque de Spartacus-Weisshaupt jusqu'à Karl Marx, Trotski (Russie), Belà Kuhn (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldmann (U.S.A.), ce complot mondial pour la destruction de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base de l'arrêt du progrès, de l'animosité envieuse, et de l'impossible égalité, s'est puissamment développé. Il a joué un rôle - comme l'a montré très efficacement une écrivain moderne, Mrs Webster - clairement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution Française. Il a été la cause première de tous les mouvements subversifs du XIXe siècle ; et maintenant, enfin, ce groupe de personnalités extraordinaires du monde souterrain des grandes villes d'Europe et d'Amérique a empoigné par les cheveux le peuple russe et il est pratiquement devenu le dominateur incontesté de cet énorme empire. »

1930 - « Aux carrefours-clés de l'Histoire, un Kahal mystérieux pousse l'homme "inspiré'', parfois choisi longtemps d'avance, à devenir l'instrument du "Grand Œuvre". Il peut alors bouleverser un État, renverser le cours des choses, braver les oppositions, tromper le peuple par des retournements spectaculaires et dramatiques, à l'étonnement des foules qui ignorent la préparation de ses voies par d'autres mains et des appuis occultes qui le font durer jusqu'au jour marqué de sa chute, une fois sa mission remplie, ou lorsque ses prétentions dépassent la mesure qui lui a été comptée. » (Kadmi Cohen, « L'Abomination américaine », Paris, Éd. Flammarion, 1930).

1935 - Sir Stanley Baldwin, ministre anglais, constatait : « Les États, colonnes de la couronne d'Angleterre, ne sont plus arbitres de leur destin. Des puissances qui nous échappent font jouer dans mon pays comme ailleurs des intérêts particuliers et un idéalisme aberrant. »

1941 - James Bumham, juif, membre de la haute maçonnerie réservée aux seuls juifs du B'naï B'rith et de la Pilgrims' Society, se référant aux cadres dirigeants, déclarait :

« Les dirigeants nominaux : présidents, rois, congressistes, députés, généraux, ne sont pas les véritables dirigeants. »

Et, en pleine guerre, dans son livre « The Managerial Révolution », traitant de l'existence d'une conspiration qui manipulait le nazisme tout autant que les autres idéologies ou Etats, il ajoutait :
« La guerre, les guerres futures sont en réalité un épisode de la Révolution ».

1946 - Charles Riandey, Grand Commandeur Souverain du Conseil Suprême (des 33° degrés du Rite Écossais Ancien Accepté, NdR.) de France, annonçait :

« [...] la nécessité d'une organisation totalitaire du monde, de laquelle sera exclue toute notion de primauté d'une nation, subsiste néanmoins. Elle se réalisera inéluctablement à son heure, heure qui n'est pas encore arrivée et que personne n'a intérêt à vouloir anticiper, car l'on ne cueille les fruits que lorsqu'ils sont mûrs [...].»

« Ce passage (du particulier au collectif) [...] ne sera définitivement accompli que lorsque le monde entier aura reconnu l'autorité d'un agent unique régulateur et coordinateur universel.

Par quel moyen cet agent s'imposera-t-il ? Probablement par la guerre, une troisième et - espérons-le - ultime convulsion mondiale (ou une pseudo pandémie ?), parce que l'humanité est condamnée, comme tout ce qui est vivant, à enfanter dans la douleur et dans le sang. » 

1950 - James Paul Warburg (1896-1969), homme éminent de la Haute Finance cosmopolite juive, administrateur de la banque Kuhn & Loeb, grande financiatrice de la révolution russe, membre du C.F.R. (l'Institut américain pour les Affaires Internationales, véritable « gouvernement de l'ombre » des États-Unis), et du groupe mondialiste Bilderberg (sorte de super-parlement étendu aux deux rives de l'Atlantique), s'adressant au Sénat américain le 17 février 1953 déclarait :

« Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consensus. » 

1953 - Jean-Antoine Borgese (mari d'Élisabeth Mann, fille de Thomas Mann), professeur à l'université de Chicago et secrétaire général du Comité pour l'élaboration d'une Constitution Mondiale, publie en 1953 : « Foundations of the World Republic » (Fondements de la République Mondiale). On peut y lire : « Le GOUVERNEMENT MONDIAL est inévitable. Il verra le jour, sous l'une de ces deux formes : soit comme Empire mondial, avec esclavage de masse imposé par les vainqueurs d'une Troisième Guerre mondiale, soit sous la forme d'une République Fédérale Mondiale, instaurée par une intégration graduelle dans les Nations Unies. »

1968 - Harold Wilson, homme politique anglais, membre du puissant R.I.I.A., l'Institut Britannique des Affaires Internationales, et de la Fabian Society, cercle supérieur de la zone du Pouvoir et centre mondial de rayonnement du socialisme depuis 1884 :

« Les conservateurs donnent l'illusion de gouverner, alors que les véritables décisions sont prises en dehors du Parlement, par les Clore, les Lazard et les Warburg... » (financiers juifs, N.d.R.)

1975 - Saul H. Mendlowitz, directeur du « Projet de Modèle pour un Ordre Mondial » et membre du « Council on Foreign Relations » (C.F.R.) (Conseil des Relations Extérieures), le « Politburo » du capitalisme dont le siège est à New York :

« La question de savoir s'il y aura ou non un gouvernement mondial d'ici l'an 2000 ne se pose plus. À mon avis les questions que nous devons (par contre) nous poser sont : Comment ceci se passera-t-il ? Par un cataclysme, un mouvement, un projet plus ou moins rationnel et ce gouvernement sera-t-il à caractère totalitaire, bénévolement élitiste ou participatif. »

1981 - Thierry de Montbrial, membre de la Commission Trilatérale, président de ri.F.R.I., Institut Français pour les Relations Internationales, et membre du Club maçonnique Le Siècle :

« À un moment donné le contenu et le style de la politique internationale sont influencés par ce que pense et dit un nombre relativement petit d'experts. Et cela dans le monde entier. Il s'agit d'une simple constatation qui n'est dictée par aucune doctrine élitiste. Pour donner un exemple, aux U.S.A. une centaine de personnes joue un rôle prépondérant au sein des Instituts de Recherche et dans les Cercles journalistiques et l'influence de ces personnes est considérable. »
[...]
« A Moscou les Instituts d'Études Internationales, qui sont nos homologues et nos interlocuteurs, participent à l'élaboration de la politique soviétique. »

1985 - Louis Pauwels, maçon, occultiste disciple du mage Gurdijeff, ancien directeur de revues ésotériques et du « Figaro Magazine », qui aimait proclamer sa conversion au christianisme :

« Il y a un complot mondial de forces antichrétiennes qui visent à affaiblir (et si possible à dissoudre dans un humanisme de belles paroles, mais impuissant) la foi des catholiques, à diviser l'Église, à arriver à un schisme. »

1995 - Jammes Garrison :

« Nous allons finir avec un gouvernement mondial. C'est inévitable [...]. Il y aura des conflits, des coercitions et des consensus. Tout ceci fait partie de ce qui sera nécessaire pour donner naissance à la première civilisation globale. »

PDF gratuit : 


Epiphanius


Trop de nos contemporains croient encore que ce qui se passe sur le devant de la scène suffit à les informer pleinement. Cette erreur est entretenue, volontairement ou non, par les média qui les étourdissent littéralement de nouvelles sans importance et ne parlent jamais de ce qui se passe dans les cercles secrets, là où les décisions sont prises. Disraeli, qui fut un grand homme d’État britannique, disait que « le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux dont l’œil ne plonge pas derrière les coulisses ». L’expérience nous a montré que les apparences sont souvent trompeuses et qu’il faut déchiffrer les mystères qui entourent les actes de certains groupes et de certains hommes, si l’on veut découvrir leurs desseins et déjouer leurs manigances...

"Une femme, je la fais jouir 42 fois en une nuit"

Gourou Bikran Choudhury L'Effet Papillon revient sur le reportage de Mathieu Bonnet : "Rencontre avec le yogi CHOUDHURY, le fondate...