samedi, janvier 07, 2023

La conspiration sioniste contre la Russie chrétienne




"(...) l'Occident a été l'otage, pratiquement une marionnette, pendant au moins 250 ans du même sionisme qui, en 1917, a déclenché la révolution bolchevique et retenu la Russie en otage pendant 75 ans.

Le changement de cap est donné par l'implosion contrôlée de l'ex-URSS provoquée par les sionistes croyant l'avoir suffisamment affaiblie et donc rendue une proie beaucoup plus facile à dévorer, par le biais de sa marionnette Eltsine. Ce que le sionisme, dans son aveuglement spirituel, n'a pas prévu, c'est l'entrée en scène, il y a 22 ans de Poutine qui, avec le faux attentat du 11 septembre, a compris les véritables intentions de l'Occident et s'est empressé de faire face aux nouvelles menaces, en modernisant l'énorme apparatus militaire hérité de l'ex-Union soviétique et décidant, à l'unisson avec le patriarche Cyrille, de sauver la souveraineté et l'identité essentiellement chrétiennes de leur pays.

Malheureusement, l'Occident est bien plus mal loti que l'ex-URSS, car il a été complètement vidé de toute spiritualité avec l'implacable propagande sioniste basée sur le matérialisme le plus effronté, des 75 dernières années. À ce stade, la Russie a la tâche plus ou moins implicite de sauver non seulement elle-même de la barbarie sioniste, mais aussi le reste du monde, à commencer par la partie encore saine de l'Occident lui-même." Vercingetorige.



Un article signé Iurie Rosca, ancien ministre et homme politique moldave, permet de comprendre la conspiration ourdie par le sionisme international contre la Russie :


La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild


Dès que l’opération militaire russe pour démilitariser et dénazifier l’Ukraine a commencé, les réseaux d’influence sionistes présents en Russie ont commencé à activer toutes leurs ressources humaines afin de torpiller la stratégie de Moscou visant à obtenir la défaite militaire du régime de Kiev. L’élément clé qui prédomine lors des interventions publiques proférées par les agents d’influence étrangère en Russie est le suivant : "Poutine, arrêtez la guerre !"

Curieusement, cette cohorte de pacifistes ne s’est jamais distinguée au fil du temps en appelant à la fin du terrorisme d’État pratiqué par Israël contre les Palestiniens. Nous n’avons par ailleurs jamais entendu ces gens appeler à ce que les États-Unis mettent fin à leurs agressions militaire en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie ou au Yémen.

Le réseau sioniste en Russie

Parmi les représentants du lobby sioniste en Russie (qui sous couvert de messages pacifistes, condamnent résolument les actions de Vladimir Poutine en Ukraine), on trouve :

Maxim Galkin, comédien, parodiste, star de la télévision ;

Ivan Urgant, showman, vedette de la télévision ;

Matvei Ganapolski, journaliste de la radio Eho Moskvî qui s’est enfui en Ukraine ;

Alexander Nevzorov, journaliste, star de la télévision, ancien député de la Douma d’État ;

Ksenia Sobciak, animatrice de télévision et de radio, militante civique ;

Boris Grebenshchikov, poète et musicien, compositeur, chanteur et guitariste du groupe de rock Aquarium, l’un des fondateurs de la musique rock en russe, animateur des émissions Aerostat sur Radio Russie ;

Andrei Makarevich, chanteur, poète, compositeur, présentateur de télévision, leader du groupe de rock Maşina Vremeni (Time Machine) ;

Valerii Meladze, chanteur

Alisher Morgenshtern, rappeur et sataniste auto-proclamé ;

Oleg Deripaska, oligarque, milliardaire, journaliste ;

Mikhail Fridman, oligarque, milliardaire, co-fondateur d’Alfa Bank, citoyen d’Israël, membre de la direction du Congrès juif en Russie ;

Roman Abramovich, oligarque basé à Londres, milliardaire, propriétaire de l’équipe de football Chelsy ;

Andrei Kozirev, ancien ministre russe des Affaires étrangères sous le président Bors Yeltsine ;

Outre les VIP citées ci-dessus (tous pacifiste auto-proclamées), on peut y ajouter un certain nombre de personnages mineur du showbiz tels que Zemfira, Monetochka, etc., lesquels entretiennent l’illusion de l’existence d’une multitude de "leaders d’opinion" dont l’objectif consiste à torpiller toute action entreprise par les dirigeants russes en Ukraine.

Dans le même ordre d’idées, la récente interdiction de deux structures médiatiques russes depuis le commencement des opération militaires spéciales en Ukraine met également en lumière la présence massive d’agents sionistes au sein de dispositifs de propagande visant à porter atteinte aux intérêts nationaux russes. Il s’agit de la station de radio Eho Moskvi (Echo de Moscou) et de la station de télévision Dojdi (Pluie). On relèvera au passage que le rédacteur en chef et copropriétaire de la station de radio Eho Moskvi n’est autre que Alexei Venediktov.

Quelques jours après le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, une autre "initiative civique" est apparue. Cette dernière est animée par toute une cohorte d’expatriés de nationalité juive. Il s’agit du soi-disant "Comité anti-guerre" dirigé par l’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky, l’ancien propriétaire de l’entreprise Yukos, qui a été reconnu coupable d’innombrables crimes et gracié par Poutine après plusieurs années de détention, après quoi il s’est réfugié en Occident.

Il est bien connu que le clan Rothschild est derrière cet agent antirusse, un fait qui peut être vérifié par quiconque fait un effort minimal pour se documenter sur Internet.

Dans la liste de ceux qui se sont échappés de Russie et se sont réunis dans ce comité, les personnages les plus connus sont le joueur d’échecs et opposant politique Gari Kasparov, né Weinstein, ancien champion du monde d’échecs, d’origine arméno-juive (Wikipedia), ainsi que l’écrivain satirique juif Victor Shenderovich qui est inscrit au registre du ministère russe de la Justice avec la mention "agent étranger".

Le même réseau de "dissidents" inclut également Aleksei Navalny, un militant civique et aspirant présidentiel qui est récemment allé en prison, un exposant clair des intérêts de l’Occident collectif en Russie.

C’est donc une très vaste toile d’araignée tissée depuis des décennies, constituée de showmens, de journalistes et d’oligarques liés au même agenda, qu’elle promeut avec méthode et persévérance. Ce programme est complètement étranger et même hostile à la Russie. C’est ce qu’on peut appeler le lobby libéral ou atlantique, le camp des occidentolatres.

Leur trait distinctif est l’hostilité à la tradition, plus précisément, sa désagrégation par l’anti-musique "moderne" et les abominables tours de scène qu’ils pratiquent, l’hostilité à l’Église orthodoxe, la tolérance (et parfois "l’appartenance à") pour les minorités sexuelles, la dévaluation par persiflage de codes culturels russes, la ridiculisation des vertus et mœurs traditionnelles.

Cette cohorte de prestidigitateurs et de farceurs constituent l’arme de destruction massive aux effets dévastateurs appelée "culture de masse", qui a inondé l’espace public russe, anéantissant toute trace d’identité collective, de décence, de sériosité et de patriotisme, notamment chez les jeunes générations. Et ces oligarques ne sont que le véhicule financier du même acte subversif de sape des fondements du peuple et de l’État russes. En fait, dans tous nos pays, il existe des réseaux similaires d’influence anti-nationale.

Le commando juif à la tête du pouvoir d’État en Ukraine

Si l’on tient également compte du fait qu’aux postes clés de l’Ukraine se sont installés, non par hasard, quelques personnalités juives, tout est lié.

Avec Volodymyr Zelenski, (président), Denys Shmyhal, (Premier ministre) et Alexey Reznikov, (le ministre du Défense), le lobby sioniste controle l’Ukraine d’une poigne de fer. Et comme par hazard la personne qui l’a soutenu financièrement et dans les médias et a amené le comédien Zelensky à la tête de l’État est l’oligarque juif Igor Kolomoiski.

De la même manière l’ancien pouvoir étatique avait aussi une surreprésentation des juifs dans les fonctions clés : Petro Porochenko (président de 2014 à 2019) et Volodymyr Groysman, (Premier ministre de 2016 à 2019).

Vadim Rabinovich, homme d’affaires ukrainien bien connu, magnat des médias et homme politique, président du Congrès juif ukrainien, candidat à l’élection présidentielle de 2014, citoyen d’Israël, pourrait également être mentionné ici.

En général, la présence de l’élément juif dans la politique, les affaires et les médias ukrainiens est massive. Face à une surreprésentation aussi écrasante de citoyens israéliens au sein de l’élite dite-ukrainienne, l’écrivain et publiciste Eduard Hodos (juif loubavitch devenu chrétien orthodoxe) a caractérisé la réalité politique en Ukraine de "roulette juive". Contrairement à la roulette russe (dans laquelle il n’y a qu’une seule balle), la roulette juive remplit toutes les chambres du barillet.

Et ce qui est particulièrement éloquent dans ce contexte, c’est que la majeure partie de la dette souveraine de l’Ukraine est détenue depuis 2015 par le fonds d’investissement américain Franklin Templeton, lequel agît dans l’intérêt du clan Rothschild.

Les informations ci-dessus montrent qui est en fait le véritable maître de l’Ukraine et qui poursuit l’hostilité permanente des relations entre l’Ukraine et la Russie.

La grande finance internationale ayant complètement pris le contrôle de l’Ukraine, elle y a installé ses représentants dans toutes les fonctions importantes de l’État et ce faisant pris le contrôle de l’économie et des médias dominants. Dans une logique d’expansion de sa sphère d’influence, la prochaine grande cible de cette mafia ploutocratique mondiale est la Russie.

Bien qu’au cours des trois dernières décennies, les réseaux d’influence étrangère se soient fortement développés en Russie, réussissant à imposer une influence considérable dans un certain nombre d’institutions étatiques, en économie, médias et showbiz la colonisation définitive de ce pays reste malgré tout inachevée. Alors qu’elle a achevé un contrôle total des pays constituant le bloc de l’OTAN et de l’UE, la Cabale complote sans relâche afin de renverser à tout prix l’État russe et y installer ses propres marionnettes à la tête de ce pays.

Dans ce contexte, l’Ukraine s’est vu attribuer le rôle de fer-de-lance dans la guerre tous-azimuts menée contre la Russie. Cette élite financière ne se contente pas de demi-mesures et s’acharne à extorquer des concessions sans fin auprès de Moscou. Elle vise la capitulation définitive du Kremlin et la transformation de la Russie en colonie, en objet de domination étrangère, dépourvue de toute vocation ou capacité à jamais revenir au statut de sujet de politique internationale.

Il est bien sûr interdit dans tout l’espace euro-atlantique d’exprimer de telles analyses. Les tenants du "discours dominant" à l’échelle mondiale ne le tolèrent pas et tout contrevenant à cette doxa est immédiatement châtié et dénoncé en tant que "complotiste".

La sémantique est extrêmement régulée et le sens étymologique des mots jalousement surveillé. Il ne peut être toléré aucun dérapage aux dogmes idéologiques obligatoires. En excluant toute opinion un tant soi peu non-orthodoxe sur ces questions, il devient dès lors impossible de comprendre les véritables enjeux des conflits géopolitiques majeurs.

À l’heure actuelle, ceux qui s’enrôlent dans le camp du régime de Kiev et se font passer pour des pacifistes sont en fait les mercenaires de l’élite mondialiste cosmopolite, l’élite qui ne cache pas son désir de voir s’établir un Nouvel Ordre Mondial sous l’égide d’un Gouvernement Mondial chargé d’imposer une dictature technocratique à l’échelle planétaire.

Cette mafia globaliste ambitionne d’inaugurer une ère transhumaniste et ainsi de recréer une humanité selon des préceptes prométhéens grâce à la cybernétique et la manipulation du génome humain.

Qu’importe le nom prêté aux principes philosophiques partagés par cette élite ("néo-Kominternistes", trotskystes, mondialistes, sionistes, kabbalistes, occultistes, lucifériens, Illuminati, mamonocratie, ploutocratie, démonocratie etc.) : leur agenda n’est en rien légitime pour la simple et bonne raison qu’ils sont prêts à procéder à une dépopulation massive pour achever leurs ambitions.

En seulement quelques jours de guerre, toute la théorie et la pratique de la conspiration sont apparues en pleine lumière. Il s’agit donc bien d’une "conspiration ouverte" (selon H. G. Wells).

On sait maintenant qui a mis en place et exécuté les deux "Maïdans" (les coups d’État de 2004 et 2014 à Kiev) et quels sont les rôle attribués par le souverain oligarchique à ses pions placés au sommet de chaque hiérarchie étatique.

Nous sommes également en présence d’une guerre totale de religion (de nature quasi-eschatologique) dont l’expression visible se manifeste à travers tout le spectre anthropologique (guerre politique, guerre économique, guerre médiatique et cognitive, guerre culturelle et – ce qui prévaut – la guerre axiologique). Depuis quelques jours, il est même question d’une guerre sans limites menée par des sociétés secrètes qui ont pris le pouvoir politique principalement en Occident.

Quiconque feint d’occulter la dimension spirituelle de l’affrontement planétaire actuel ne peut rien comprendre au déroulement des événements actuels.

La cible principale du Léviathan mondialiste est la Fédération de Russie non seulement à cause de ses vastes ressources naturelles mais aussi parce qu’elle est le rempart ultime de la Chrétienté contemporaine au travers de l’Orthodoxie.

Le conflit civilisationnel/eschatologique entre l’Occident déchristianisé et la Russie est maintenant entré dans sa phase militaire directe en cela que les Occidentaux utilisent l’Ukraine comme bélier contre la Russie.

Vu sous cet angle, au-delà du récit officiel promu par la pieuvre politico-médiatique atlantique, l’enjeu de l’affrontement en Ukraine apparaît dans la véritable dimension planétaire.

Le conflit civilisationnel entre l’Occident hégémonique, déchristianisé, mercantile, avec des revendications de domination planétaire d’un côté, et la Russie de l’autre, est maintenant entré dans sa phase militaire directe. Pour l’instant, les Occidentaux préfèrent rester dans la stratégie de la "proxy war", dans laquelle l’Ukraine est utilisée aveuglément au détriment de ses propres intérêts nationaux et contre la Russie.

La Russie a toujours été la cible des stratèges occidentaux. Depuis Halford John Mackinder, les constantes géopolitiques du monde anglo-saxon, contrôlé par les banquiers et les marchands, n’ont pas changé. La Russie est située dans l’espace appelé "Heartland", "cœur du monde" ou "pivot géographique de l’histoire".

La définition classique de Mackinder est la suivante : Celui qui dirige l’Europe de l’Est gouverne le Heartland ; celui qui dirige le Heartland gouverne l’Île-Monde ; et celui qui dirige l’Île-Monde gouverne le monde.

Comme nous l’avons évoqué, la Russie apparaît également comme le dernier bastion de la civilisation chrétienne. Selon la philosophie politique orthodoxe, c’est le rôle messianique de "Katechon", ce gardien providentiel qui retient et ralentit la venue de l’antéchrist (Deuxième épître aux Thessaloniciens de saint Paul, 2 : 6).

Le philosophe et écrivain français d’origine roumaine Jean Parvulesco a vu en Vladimir Poutine "l’homme providentiel", qui aura pour mission historique de refuser l’arrivée du "fils de perdition". L’homme providentiel dont parle Parvulesco n’a pas grand-chose à voir avec l’individu Poutine dans le sens ou le philosophe traditionaliste fait la distinction entre la force historique qu’incarnerait Vladimir Poutine (destin, sens de l’histoire, manifestation divine) et les limites de l’homme lui-même.

Poutine deviendra-t-il l’instrument d’une volonté supérieure poussée vers la réalisation d’objectifs spirituels majeurs ? Cette probabilité reste ouverte. Mais une chose est certaine. Dans des moments historiques aussi critiques, l’homme au poste politique clé transgresse ses limites personnelles.

Le conflit en Ukraine inaugure une contre-offensive mondiale contre le mondialisme sataniste, contre les promoteurs de l’Agenda 21 génocidaire, contre la dictature technocratique, contre les centres de commandement des forces occultes, lesquelles mettent en œuvre le dépeuplement au travers d’injections forcées, la famine et la paupérisation généralisée.

La Russie obtiendra-t-elle sa revanche sur l’Histoire après les deux défaites majeures de 1917 et 1991 ? Dieu permettra-t-il aux forces de la lumière de vaincre les forces des ténèbres ?

Est-ce la fin du monde ou la fin de ce monde ? Sommes-nous à la fin de l’histoire ou juste à la fin d’un cycle historique, comme disait René Guénon selon une vision de l’Histoire plus "hindoue" ? Sommes-nous à la fin du Kali Yuga, le dernier des quatre cycles, appelé le "temps sombre", enveloppé d’un matérialisme opaque, de conflits et de péché ?

Bien sûr, le recours à l’hindouisme n’est ici qu’une figure de style, pas une déviation du dogme orthodoxe. Et pourtant notre optimisme chrétien nous porte à espérer que l’issue du conflit actuel puisse servir de prélude à un renouveau spirituel octroyé à l’humanité par la providence divine.

Klaus Schwab affirme que le monde ne reviendra jamais à l’époque pré-Covidienne.

Nous affirmons aussi qu’il ne reviendra pas non plus à ce qu’il était avant le 22 février 2022.

Source : Strategika

Iurie Rosca est écrivain. Ancien ministre et homme politique moldave, il est le président de l’Université populaire de Chișinău et organisateur du Forum non-aligné de Chisinau.


vendredi, janvier 06, 2023

Danger Mondial, la franc-maçonnerie

(...) les énergies criminelles et les magouilles de la franc-maçonnerie de haut niveau sont mises en lumière. Il ne s'agit toutefois pas de remettre en question leur bienfaisance dans les trois grades symboliques de base.

Mais ces grades d'apprentis et compagnons, etc., incarnés par les petits frères des loges johanniques, du Rotary, du Lions Club, etc. remplissent, pour la franc-maçonnerie de haut niveau le même but que celui de la farine et de la craie pour le loup dans le conte avec les sept chevreaux.

Dictature mondiale extrêmement draconienne

Les explications suivantes sont nées en réponse à un cri de détresse des francs-maçons de haut niveau. Ceux-ci ont rompu leur secret, poussés par l'extrême urgence, pour lancer un avertissement urgent à la population mondiale. Avant de se retirer, ils ont compilé pendant des années, des milliers de documents explosifs comme preuves. Cela doit démontrer que ce qui n'était jusqu'à présent qu'une thèse pour les lanceurs d’alerte indépendants, n’est absolument pas qu’une thèse. Ils demandent donc à la communauté mondiale de stopper à temps les groupes secrets qu'ils ont dévoilés, car ils ont compris trop tard que ceux-ci travaillaient à une catastrophe mondiale cruelle et délibérément orchestrée, qui ne pourrait pas être plus sanglante.

Le but de cette catastrophe mondiale serait l'établissement d'une dictature mondiale extrêmement draconienne, qui convoite pour elle-même un reste de sujets humains complètement privés de droits et de pouvoir. Ce n'est qu'après d'extrêmes querelles internes, des divisions et des luttes de pouvoir, lorsque les repentis ont réalisé que l'aile du plus haut grade, sujette à un extrémisme malveillant, disposait désormais de tous les moyens nécessaires pour mettre en œuvre ce plan odieux, qu’ils ont commencé leur travail de dénonciation impitoyable. Ces francs-maçons de haut niveau qui se sont retirés garantissent à la communauté mondiale qu'il ne s'agit pas de simples théories du complot, mais bien de véritables faits de conspiration, qu'il faut absolument dévoiler en unissant nos forces – et des projets inimaginables, dangereux pour la société, omniprésents, à l'échelle mondiale ! Pour protéger leur recueil de faits, fruit de plusieurs années de travail, ils l’ont fait sceller partout dans le monde sous contrôle juridique et notarial. Aussi au cas où ils seraient poursuivis juridiquement pour leurs témoignages, ce qui n'est pas encore arrivé.

Ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande

En clair, si on tatouait le symbole de la franc-maçonnerie sur le front de chaque franc-maçon qui se trouve à un levier de commande quelconque, oui, on pourrait rendre visibles les francs-maçons qui se sont infiltrés dans les hautes sphères de notre société. Les peuples seraient choqués alors de constater qu’ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande. Ils ne maîtrisent pas seulement l’ensemble du système d’information, de communication et des finances, nos services secrets, nos armées et nos politiciens ; ils dominent également l'économie mondiale, le système de santé mondial, Big-Pharma ; les autorités de surveillance de toutes sortes, l’immense majorité des médias grand public, une grande partie de la culture, en particulier le cinéma, la musique et l'audiovisuel, la télévision, l'espace, etc. Grâce à leurs réseaux secrets et d’entraide mutuelle, ils ont pu s'enrichir en échappant à tous les services fiscaux et acquérir ainsi une telle position de toute-puissance qu'ils ont réussi à s'emparer de la totalité du complexe numérico-financier, c'est-à-dire des principaux flux du capital mondial, et à les soumettre à leur contrôle de fer. Par le biais d'innombrables crises financières manipulées, de dangers de toutes sortes dans un climat de panique simulé, de grands projets bidons et de milliers d’agissements hypocrites et apparemment désintéressés, ils ont pu engranger des bénéfices de crise insoupçonnés, se hisser à la tête de toutes les conquêtes techniques, scientifiques, militaires, etc. Comme les métastases mortelles d'un cancer, ils ont pu s’introduire jusqu'au plus profond des juridictions et de tout ce qui peut être appelé système de sécurité, etc., s'insinuer partout, sans failles !

L'infiltration est tellement avancée qu'il faut partir du principe que toutes les menaces récemment esquissées dans la panique ne sont qu'un jeu de dupes de ces frères de la loge mondiale, qui souhaitent par ce biais imposer leur nouvel ordre mondial, c'est-à-dire leur propre domination du monde. Pour ce faire, ils utilisent notamment les armes météorologiques désormais bien connues, ou les substances cultivées dans leurs propres laboratoires, qui sont à l'origine de toutes les épidémies. La peste porcine, la grippe aviaire, la maladie de la vache folle, la maladie de la langue bleue, la "plandémie" des chauves-souris appelée SARS-CoV-2 et la variole du singe, etc.

Les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont  membres de la même loge

Cette étude fournit des preuves dramatiques qui appuient la thèse selon laquelle les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont tous des membres de la même loge, d'un seul et même réseau de sociétés secrètes et qu'ils doivent donc obéir aux diktats de leurs maîtres suprêmes. Ce documentaire nous fait d'abord traverser les siècles pour que nous réalisions que la plupart de ce que nous avons compris jusqu'à présent comme l'histoire fatidique du monde, n'était probablement qu'un calcul planifié de bout en bout. De nos jours, la logique veut que le printemps arabe, qui vient de se terminer, ainsi que toutes les révolutions de couleur, les épidémies, etc., jusqu'à la guerre actuelle entre la Russie et l'Ukraine, ne sont au fond qu'un seul et même scénario. Il s'agit d'un spectacle stratégique visant à réaliser des objectifs bien plus ambitieux par le biais de tous ces scénarios d'horreur orientés. Quels sont ces objectifs ?

La réalisation du chaos total planifié depuis longtemps

Par exemple, la réalisation, planifiée depuis des siècles, d'une expropriation et d'une soumission totales de toute l'humanité. Par exemple, la réalisation du chaos total planifié depuis longtemps, en vue de l'élimination stratégique de toutes les nationalités. Nous parlons actuellement de la mise en œuvre ciblée d'un plan de plus de 300 ans qui vise à éliminer toutes les monnaies, les religions, les idéologies, les libertés, etc. – un plan ancestral qui, à travers la crise totale, doit permettre son propre nouvel ordre mondial ou domination draconienne du monde. Mais une telle solution ne serait pas acceptée par les peuples sans méfiance, à moins que les menaces les plus fatales, telles que le terrorisme imprévisible, les épidémies, les pandémies, les catastrophes climatiques, les crises financières mondiales, les guerres, les guerres mondiales, etc. ne puissent apparemment être surmontées que par l’établissement d’une domination mondiale draconienne. Ce que le monde ne devrait évidemment jamais savoir, c'est que la quasi-totalité de la terreur a été organisée par ceux qui se présentent soudain comme la seule issue et le sauveur du monde. Parmi les innombrables mensonges et les sacrifices impitoyables, qui sont d'ailleurs monnaie courante dans la franc-maçonnerie de haut niveau, ce grand spectacle doit donc servir un seul grand but final : l'établissement de la domination mondiale de cette même société secrète qui, d'une main invisible, dirige tout depuis longtemps. Cette tactique de la direction politique des peuples par une seule main pour ainsi dire cachée, est d'ailleurs retenue symboliquement, comme nous le verrons abondamment par la suite, dans la franc-maçonnerie depuis Napoléon 1er. D'innombrables hommes d'État et hauts fonctionnaires se sont en effet fait dessiner, peindre ou photographier comme Napoléon, avec une main dans le gilet.

Un Nuremberg 2.0 

Il semble n'y avoir qu'un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d'un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués. Il est nécessaire de proclamer une annulation mondiale de la dette pour les peuples trompés. Toutes les dettes causées par cette injustice peuvent facilement être payées par les biens volés de ces pilleurs. Si les peuples ne le font pas très rapidement à leur encontre, ces conspirateurs le feront certainement encore de nos jours à l’encontre de tous les peuples !

Depuis que les milieux de l'information libre ont commencé à dévoiler ces réseaux maçonniques qui infiltrent tout sur la toile mondiale, d'innombrables preuves pertinentes sont constamment bannies d'Internet, effacées, censurées ! Il faut signaler ici que tous ces censeurs se rendent ainsi coupables de complicité de génocide. Ils seront certainement accusés de complicité lors des prochains procès Nuremberg 2.0.

Censure et propagande

En effet, chaque jour, des milliers d'informations pertinentes disparaissent de la toile à cause d'eux, et au lieu de preuves vitales sur ce complot réel, on trouve maintenant des textes et des vidéos qui minimisent systématiquement la franc-maçonnerie, la protègent, la justifient, et même la glorifient. Jetons donc un coup d'œil à quelques-uns de ces titres qui apparaissent en premier sur Google. Si on demande par exemple : « Quel est le danger de la franc-maçonnerie ? » Que se passe-t-il alors ?

Aussitôt, la Deutschlandfunk titre de manière extrêmement rassurante : « Les francs-maçons – des pierres pour un monde meilleur » – et puis cette même Deutschlandfunk associe intelligemment, dès le sous-titre, tout critique de la franc-maçonnerie aux nazis antisémites : « Donc, il a toujours été clair pour les nazis : les juifs et les francs-maçons, ils sont de mèche... »

Le magazine GEO Plus réhabilite lui aussi les sociétés secrètes dès son titre : « Francs-maçons : une société secrète sans un seul secret »
Les francs-maçons pratiquants préfèrent s'auto-présenter avec ce slogan : « Francs-maçons : le sens et le but est l'amélioration de soi »

Même les soi-disant experts en religion, qui stigmatisent habituellement toutes les sectes d'arrière-cour, même les plus inoffensives, enlèvent leur mise en garde contre la franc-maçonnerie en tant que secte et la minimisent considérablement dès le titre – et les experts en religion doivent bien le savoir : 
« La franc-maçonnerie a perdu de son importance »

Le Centre fédéral pour l'éducation politique condamne également, dès son surtitre, toute référence à un réseau maçonnique influent comme un simple mythe : « Les francs-maçons – le mythe d'un réseau influent »

Et c'est avec cette petite sélection parmi d'innombrables autres dénigrements sur le web que nous nous lançons maintenant, dans la réalité ! Nous vérifions notamment si les réseaux maçonniques ne sont en fait qu'un mythe sans influence significative.

Nous nous intéressons tout particulièrement à la question de savoir si l'intérêt des francs-maçons pour la politique est vraiment aussi faible que ce qui est affirmé avec insistance sur toutes sortes de sites web maçonniques originaux comme celui qui suit – également dans son surtitre :

- « La franc-maçonnerie n'est pas un mouvement politique et n’est pas un groupe de pression »

- « Les loges et les grandes loges ne formulent pas de programmes et ne prennent pas part aux débats politiques partisans »

En outre, les francs-maçons de haut niveau aiment dissimuler la vérité en disant par exemple : « En fait, nous ne sommes pas des« loups déguisés en moutons », mais plutôt des « moutons déguisés en loups », dont la dangerosité est bien en deçà de l'image qu'en donnent la littérature et les médias.

Mais il est bien connu que l'on reconnaît chaque arbre à son fruit. La question est donc la suivante : 

Quels sont les fruits de la franc-maçonnerie ? En d'autres termes, quels francs-maçons ont incarné quelles œuvres dans l'histoire mondiale passée et présente ? 

Cela seul compte et est important ! Nous avons commencé nos recherches à partir du 18e siècle : Nous nous sommes d'abord intéressés à la question de savoir si les francs-maçons n'étaient effectivement pas actifs sur le plan politique, comme ils le prétendent toujours solennellement. Mais les premières enquêtes nous ont déjà prouvé le contraire : où que l'on cherche parmi les hauts fonctionnaires : francs-maçons, francs-maçons, francs-maçons ! Des francs-maçons sur tous les fronts politiques, militaires et juridiques : Ils ont mené de leurs propres mains des révolutions en première ligne, infiltrant les plus hauts postes politiques dans tous les pays que nous avons examinés... 

Source :  www.kla.tv/23995



Le livre le plus dangereux ?


Aldo Sterone parle d'un livre réputé très dangereux :

Le Soleil des Connaissances
Shams alma' ârif

Ahmad ibn 'Ali al-Buni (en arabe : أحمد بن علي البوني), également appelé de son nom complet Sharaf al-Din ou Shihab al-Din Ahmad ibn Ali ibn Yusuf al-Buni al-Maliki al-ifriqi, né à Annaba (anciennement Bona) en Algérie et mort en 1225, était un mathématicien, philosophe, soufi et écrivain algérien, bien connu pour ses écrits sur la valeur ésotérique des lettres et des sujets relatifs aux mathématiques, à la sorcellerie et à la spiritualité, mais on en sait très peu sur lui. 

Al-Buni a vécu en Égypte et a appris de nombreux maîtres soufis éminents de son temps. Un contemporain d'Ibn Arabi, il est surtout connu pour avoir écrit l'un des plus importants livres de son époque; Shāms al-Ma’arif (le soleil des connaissances), un grimoire qui est toujours considéré comme le premier texte occulte sur les talismans et la divination.




jeudi, janvier 05, 2023

L'étrange mitre de Benoît XVI


Benoît XVI, prédécesseur de François, est décédé le 31 décembre 2022 à l'âge de 95 ans.

 
Depuis 1964, les papes ont renoncé à la Tiare ou Trirègne qui contenait dans ses trois couronnes, une claire et unique symbolique des trois pouvoirs d’origine divine attribués au Pontife. Il est devenu d’usage courant depuis lors de "couronner" un nouveau Pape avec une simple mitre.

"La mitre, dit Franco Adessa
(directeur de Chiesa Viva, journal fondé par Don Luigi Villa, fils spirituel de padre Pio), n’ayant pas de claire et précise symbolique historique codifiée, peut être sujette au risque d’altération ou même de bouleversement de sa signification des pouvoirs d’origine divine attribués au Pape. L’absence d’une symbolique codifiée à attribuer à la mitre ferait alors retomber la pleine responsabilité de la symbolique utilisée directement sur le Pontife qui l’approuve, la reçoit et l’accueille sur sa tête."


La mitre de la bête


« Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. »

"Ce verset, écrit Simon André, signale l’avènement d’une bête qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, c’est-à-dire d’un homme élevé à la dignité épiscopale (la mitre est une bicorne). Nous le voyons monter de la terre, c’est-à-dire qu’il est épris des biens terrestres et non des biens célestes. Il s’agit là de la marque des faux docteurs, qui poursuivent des fins intéressées. Ce faux docteur ressemble extérieurement à l’Agneau, c’est-à-dire à Jésus-Christ, qui a institué à la tête de l’Église un Vicaire pour le représenter. Ainsi, les trois bêtes, les antipapes Wojtyla, Ratzinger et Bergoglio, sont aux yeux du monde de vrais Vicaires du Christ, mais chacun peut s’apercevoir qu’ils n’en sont pas, en réalisant qu’ils "parlent comme un dragon". Ils sont les faux prophètes précurseurs de l’Antéchrist-personne."

La mitre ci-dessous a été portée par Benoît XVI. « Mitre sans un symbole chrétien, constate Franco Adessa, mais qui, par de symboles occultes, glorifie l’Homme-Dieu et la Triple Trinité maçonnique. »


Simon André, auteur très catholique, est catégorique :

« La franc-maçonnerie a orchestré l’éclipse de l’Église de façon progressive. Sous un certain rapport, cette secte a enveloppé la terre de ténèbres dès 1962, puis en 1972, 1975, 1978 et 1986/1988, 1993, 2002, 2011 et 2014. Ces dates correspondent respectivement à l’ouverture de Vatican II, à la neutralisation progressive de Paul VI (1972, 1975 et 1978), aux rencontres d’Assise (1986, 1993, 2002, 2011), à la fausse excommunication de Mgr Lefebvre (1988) et à la pseudo-béatification (2011) et prétendue canonisation (2014) de Wojtyla. »

Toujours selon Simon André : "Les différentes organisations maçonniques diffusent dans le monde entier la pensée anticatholique, et elles sont bien plus influentes et efficaces que beaucoup ne le pensent. En 2012, François Hollande, président de la République française, n’a pas hésité à déclarer : « Si l’on croit, comme c’est mon cas, dans la République, à un moment il faut passer par la franc-maçonnerie. » 

Le cas de Vincent Peillon est typique. Dans sa biographie Wikipédia, on lit qu’il est le fils de Gilles Peillon, banquier communiste décédé en 2007 qui était autrefois directeur de la première banque soviétique hors d’URSS. Sa mère Françoise Blum était une juive alsacienne et son oncle maternel Étienne Blum est co-inventeur de la pilule RU 486 (abortif). Enfin, sa grand-mère Thérèse Lion était féministe. Il a été nommé ministre de l’Éducation nationale le 16 mai 2012. L’Église Catholique est aujourd’hui si affaiblie qu’il n’a pas hésité à exposer ouvertement l’idéologie franc-maçonnique, son travail de destruction et sa continuité, depuis la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen jusqu’à aujourd’hui, en proposant ses deux livres comme pistes de réflexion permettant de poursuivre l’œuvre de ce qu’il appelle lui-même « la Révolution ». Ces deux livres sont intitulés "la Révolution française n’est pas terminée" et "Une religion pour la République". A la page 277 de ce dernier volume, publié en 2011 aux éditions du Seuil, on lit : « Car toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Église. Non pas seulement l’Église catholique, mais toute Église et toute orthodoxie. […] Comprise ainsi, dans la réalité de son instauration, la laïcité apparaît pour ce qu’elle est : non pas une simple tolérance, une simple neutralité, un simple juridisme, mais, comme religion recherchée par la Révolution, une doctrine à la fois philosophique, morale, politique, pédagogique et religieuse précise et déterminée. Dans une République où la raison a besoin des secours de l’émotion, où les lois ne seront rien sans les mœurs et l’esprit sans le cœur, elle vient fournir un fondement et une doctrine à ce nouveau monde, issu de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, qu’il nous reste à bâtir. » Admettons donc que la franc-maçonnerie est une Synagogue de Satan, une conjuration satanique qui cherche à exterminer le catholicisme. »
de Simon ANDRÉ

PDF gratuit ICI

Nous sommes le 6 avril 2014, l'Eglise Catholique véritable est en deuil et s'apprête à subir la "canonisation" du pire antipape de l'histoire, laquelle aura lieu 21 jours plus tard. Dans Sa Miséricorde Infinie, Dieu décide alors d'ouvrir les sept sceaux de l'Apocalypse, en ce jour du dimanche de la Passion, afin de manifester qu'Il reste maître des événements, malgré la haine croissante de ses adversaires. L'Apocalypse dévoile alors soudainement son avertissement: à compter d'avril 2014, la ruine des ennemis du Christ est imminente, et Rome n'échappera pas plus au châtiment que Jérusalem en son temps, la ville sainte de l'Ancienne Alliance que Dieu avait condamnée par les paroles acérées d'Ezéchiel. Ouvrez ce livre et découvrez comment l'énigme la plus ancienne et la plus mystérieuse de l'histoire de la Synagogue et de l'Église compare le destin de la Rome infidèle au siège de Jérusalem : sang et ruines pour punir l'apostasie du peuple saint.



mercredi, janvier 04, 2023

Les résolutions d'Emma


- Je ne prendrai jamais de vaccin de ma vie.

- Et je ne ferai jamais confiance au gouvernement.

- Je ne ferai jamais non plus confiance au système de santé.

- Je ne mangerai jamais un putain d'insecte.

- Et je ne me soumettrai jamais à un confinement ou à un masque.

- Je ne croirai plus jamais les grands médias.

- Je ne reconnaîtrai plus jamais vos pronoms.

- Et je ne reconnaîtrai jamais un pédophile pour autre chose que ça. Bien qu'il y ait une chose pour laquelle je voudrais remercier nos pédophiles d'élite : Ils ont réveillé un groupe de personnes qui vont les détruire, jusqu'à leur disparition totale de ce monde.

BONNE ANNÉE 2023 !

Emma sur Twitter 


mardi, janvier 03, 2023

Tout ce que les médias ont dit au cours du dernier demi-siècle faisait partie du véritable Grand Mensonge,





Top 10 des théories du complot qui seront validées en 2023


L'origine du terme "théorie du complot" est né des efforts de la Commission Warren pour dissimuler l’assassinat de l’ancien président John F. Kennedy.

Aube Digitale :

JFK a peut-être été la première fois que des agents de l’État profond de la communauté du renseignement ont réussi à renverser un président en exercice.

Depuis, cela s’est produit au moins deux autres fois, avec les empreintes digitales du FBI et de la CIA à la fois sur le scandale du Watergate et sur la fraude électorale de 2020.

Mais après avoir surjoué leur jeu, l’ensemble du château de cartes semble maintenant prêt à s’effondrer, validant la conviction des sceptiques que tout ce qu’on leur a dit au cours du dernier demi-siècle faisait partie du véritable Grand Mensonge, et que notre idée de la démocratie n’était qu’une illusion.

En gardant cela à l’esprit, voici 10 choses que le pouvoir en place à Washington doit encore admettre, mais qu’il sera bientôt impossible d’ignorer, sans ordre particulier :

- 1. Le rôle que la communauté des renseignements et le ministère de la Justice ont joué dans la fomentation de la violence par des opérations psychologiques le 6 janvier 2021 sera exposé. Malheureusement, dans leur contre-enquête attendue en réponse à la commission du 6 janvier dirigée par Pelosi, même les républicains de la Chambre des représentants pourraient nous cacher des secrets d’État. Mais la conduite partisane préjudiciable du FBI a généré une multitude de lanceurs d’alerte transfuges qui devraient être disposés à faire la lumière sur les allégations douteuses d’extrémisme de droite et de violence au Capitole des États-Unis – et dans l’émeute de Charlottesville de 2017 qui était sa répétition générale.

- 2. L’impact mortel des vaccins contre le COVID deviendra indéniable. Au départ, j’avais envisagé d’écrire sur la façon dont la Chambre du Parti Républicain va exposer le rôle d’Anthony Fauci dans le développement du virus COVID-19, mais cela a déjà été examiné à mort, et sans aucune responsabilité pour le soutenir, cela ne fait aucune différence. Mais il y a beaucoup d’autres abus liés au COVID qui continueront à donner lieu à de nouvelles intrigues. Et aucun n’est peut-être plus important que la décision des sociétés pharmaceutiques de supprimer les thérapeutiques et de surestimer l’importance de leurs nouveaux vaccins expérimentaux et non testés. Il est de plus en plus évident que les vaccins eux-mêmes ont pu être aussi mortels et dommageables que le virus, ce dont de nombreux actuaires d’assurance-vie pourraient témoigner. Que les vaccins soient effectivement dotés de nanorobots qui s’assemblent automatiquement et transmettent des signaux Wi-Fi, il y a de nombreuses raisons de penser qu’ils sont dangereux à un certain niveau.

- 3. L’étendue du contrôle exercé par la Chine sur le gouvernement américain deviendra plus claire. Nous connaissons les différents liens financiers entre la famille Biden et le PCC. Nous savons que d’autres hauts dirigeants, dont Nancy Pelosi et Mitch MacConnell, sont fortement investis dans l’industrie chinoise. Mais ce que nous n’avons pas encore pleinement exploré, c’est la manière dont des entreprises liées à la Chine, comme BlackRock, ont également complètement infiltré la Maison Blanche et écrivent effectivement la politique étrangère des États-Unis.

- 4. La véritable nature de la relation entre David DePape et Paul Pelosi sera révélée. Alors que les audiences judiciaires ont permis de garder le silence sur les preuves dans l’affaire de l’agression de Paul Pelosi, y compris les images de la caméra corporelle, il sera plus difficile pour Nancy Pelosi d’exercer son autorité après avoir quitté la présidence de la Chambre. Il est très clair que l’agresseur, David DePape, n’est pas un extrémiste de droite et qu’il se passe plus de choses qu’il n’y paraît.

- 5. Nous allons découvrir ce que contenaient vraiment les dossiers de Trump à Mar-a-Lago. Confier les enquêtes du ministère de la Justice qui ont abouti à la descente sans précédent dans le complexe de Mar-a-Lago de Trump à l’avocat spécial corrompu Jack Smith était un bon moyen de les garder hors de portée de la surveillance du Parti Républicain à la Chambre des représentants. Mais, finalement, l’horloge s’écoulera et il sera nécessaire d’expliquer pourquoi, exactement, cette mesure de violation des normes a été prise. Il y a fort à parier qu’il s’agissait d’une opération CYA du FBI visant à empêcher Trump d’exposer les documents relatifs au canular russe dont il avait déjà déclaré publiquement la déclassification.

- 6. Nous apprendrons ce que les démocrates ont l’intention de faire de Joe Biden et qui sera choisi pour le remplacer. S’agira-t-il de Michelle Obama, comme d’autres et moi-même l’avons prédit depuis longtemps ? Ou pourrait-il s’agir d’une autre personnalité encore inconnue qui aurait été soigneusement contrôlée et préparée en secret, comme son mari, Barack ? Lorsque les démocrates décideront que Biden n’est plus utile, les raisons pour lesquelles ils l’ont installé en premier lieu deviendront peut-être claires. Lorsque Barack Obama a été entendu en train de dire à un donateur démocrate : « Ne sous-estimez pas la capacité de Joe à tout faire foirer », il y a de fortes chances que ce soit plus un argument de vente qu’un avertissement.

- 7. Nous allons découvrir la vérité sur le partenariat américano-ukrainien pour la recherche et le développement d’armes biologiques. Le Congrès a alloué plus de 100 milliards de dollars pour défendre quelque chose en Ukraine, mais ce n’est certainement pas la démocratie. Si leurs investissements personnels dans Burisma – ou dans des fabricants d’armes comme Raytheon – peuvent être des motivations de premier ordre, tout indique que le pays est un nid à rats d’opérations de la CIA.

- 8. Les plans de la gauche visant à normaliser et à généraliser la pédophilie vont porter leurs fruits. La campagne initiale de sexualisation et de conditionnement des enfants dans les écoles et sur des supports adaptés aux enfants comme Disney est peut-être tombée à plat, mais les gauchistes ne feront que redoubler d’efforts pour imposer cela à la population, car la capacité à contrôler et à manipuler les jeunes esprits est essentielle pour leurs plans de contrôle à long terme. En acclimatant les enfants au sexe dès leur plus jeune âge, ils peuvent en faire une arme supplémentaire dans leur carquois, qui comprend également la culture de l’ignorance et des griefs raciaux, afin que la classe plébéienne soit aussi malléable que possible.

- 9. Le Forum économique mondial sera le premier à tenter de transformer les humains en batteries glorifiées de type Matrix. La convergence de la technologie de l’intelligence artificielle, du métavers, du déclin de la culture de bureau, de la clameur croissante au sujet des passeports et des monnaies numériques, des revenus garantis et de la rareté croissante des ressources suggère que les plans mondiaux visant à collectiviser toutes les nations sous un gouvernement mondial unique sont en train d’être élaborés en ce moment même.

- 10. Au fur et à mesure que la relation entre les Big Tech et les agences d’espionnage se précise, nous apprendrons que nos appareils personnels traquent nos moindres mouvements. Sachant ce que nous savons de l’intérêt que le FBI et la CIA ont à manipuler les entreprises technologiques pour effectuer des opérations extralégales, et ce que nous savons des signaux de vertu répréhensibles de Google et Apple, y a-t-il vraiment un doute qu’ils ont donné à notre communauté de renseignement le pouvoir de mener une surveillance domestique sans mandat à partir de n’importe quel appareil et à tout moment, et que nos téléphones sont utilisés pour nous surveiller, à la manière de Big Brother, 24 heures sur 24 ?




lundi, janvier 02, 2023

La centrale de contre-vérité






Robert Charroux dénonçait la conspiration du silence orchestrée par une mystérieuse centrale de contre-vérité. 

Dans "Le livre des maîtres du monde", il écrit :

"L'histoire authentique des civilisations est interdite. Des conjurations puissantes veillent sur la stricte observance d'une version altérée qui seule a le droit d'être exprimée.

Des hommes qui se croient affranchis de tout préjugé parce qu'ils sont libres penseurs, anarchistes ou francs-maçons, sont en réalité profondément inféodés à des psychoses, ou assujettis à un pouvoir dictatorial qui conditionne leurs activités et leur comportement.

Notre histoire sociale et religieuse est trafiquée depuis des millénaires.., depuis que les Égyptiens, oubliant ou voulant oublier les vérités transmises par leurs ancêtres, s'octroyèrent le titre d'Initiateurs premiers et de premiers hommes de notre planète.

Les Grecs, à leur tour, oublièrent de citer leurs sources, de rendre hommage à leurs maîtres celtes et égyptiens et firent de leur patrie le berceau de l'humanité.

Puis, vinrent les Hébreux. Ce fut le coup de grâce.

L'entreprise ne pouvait réussir que maintenue par la force de dogmes impératifs à caractère religieux. Ainsi furent lancés et imposés des mythes nouveaux et des religions dont le rôle fut d'hypnotiser les masses et de les détourner des vérités originelles.

Des milliards d'êtres humains, de nos jours, ont une formation intellectuelle et psychique moulée sur les archétypes bibliques. Ils peuvent avoir leur libre arbitre sur une multitude de sujets, par exemple : science, commerce, industrie, mais ils mettent invinciblement le bandeau dès qu'il s'agit de genèse, de préhistoire, d'histoire et de religion. Pour aider à la libération, au réveil de ces esprits hypnotisés, il faut produire, étaler des preuves :

1. de l'existence des conjurations de contre-vérité,

2. que l'histoire enseignée est à l'inverse de la réalité des faits."

Robert Charroux, Le livre des maîtres du monde

PDF gratuit ICI.


Robert Charroux, de son vrai nom Robert Grugeau né le 7 Avril 1909 à Payroux dans la Vienne (France) mort le 24 Juin 1978 à Vienne dans l’Isère est un écrivain français à l'origine de théories  apparentées au néo-évhémérisme.

"Champion d’athlétisme, plongeur sous-marin dès 1930, chercheur de trésors, globe-trotter, journaliste, archéologue, producteur à la R.T.F.

Il choisit pour nom de plume le nom du village de Charroux. Son départ des PTT en 1943 est précédé par la publication de sa première nouvelle sous le nom de Charroux en 1942.

Il est attaché à sa région, et est également connu sous un autre pseudonyme, emprunté à un autre village de la Vienne : Saint-Saviol.

Il publie huit ouvrages de fiction entre 1942 et 1946.

Fondateur du Club de l'Insolite, Robert Charroux a été porté par sa curiosité à explorer les domaines les plus divers de l'histoire et de l'activité des hommes, loin des sentiers battus et de la science orthodoxe.

L'étude de la Trahison et de la Préhistoire, des voyages de recherche dans les pays des plus anciennes civilisations, la découverte de documents et de messages millénaires, lui firent très tôt pressentir qu'une vérité fantastique, ignorée de la plupart des hommes, pouvait éclairer notre genèse ; à son tour, il fit sienne l'hypothèse d'un « univers parallèle » plus authentique que l'univers inventé par les hommes des temps classiques. Convaincu qu'un mystère immense était caché à la connaissance de l'humanité, il s'acharna à le percer, réunit les indices, les documents, les preuves, établit une nomenclature de l'insolite terrestre et composa les titres suivants :

« Trésors du monde », « Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans », « Le livre des secrets trahis », « Le livre des maîtres du monde », « Le livre du mystérieux inconnu », « Le livre des mondes oubliés », « Le livre du passé mystérieux », « L'énigme des Andes », « Archives des autres mondes ».

La théorie des anciens astronautes, aussi surnommée néo-évhémérisme par le sociologue Jean-Bruno Renard, selon laquelle les dieux dont parlent les anciennes mythologies et dont l'archéologie met les cultes en évidence, étaient en fait des extraterrestres humanoïdes. Cette théorie est souvent attribuée à Erich von Däniken mais, si ce dernier l'a amplement popularisée en 1968, elle avait toutefois déjà été proposée avant, notamment par le Théosophisme d'Helena Blavatsky ou en 1962 par Robert Charroux."

dimanche, janvier 01, 2023

Les origines du Système


Le contrôle des médias


Une partie de l'extrême droite française, encore accrochée au catholicisme, de préférence intégriste (antisémite, antimaçonnique, anticommuniste...), a toujours dénoncé la mondialisation orchestrée par les sociétés secrètes et la finance.


Jacques Bordiot (1900-1983), qui appartenait à cette mouvance radicale, était radicalement opposé au Système. En pleine guerre froide, il écrit dans son livre, "Le gouvernement invisible" :

"Le "Système" se compose d'un petit nombre d'"initiés", appartenant à la plus haute finance internationale, qui poursuit actuellement le vieux rêve messianique d'un gouvernement mondial sous l'autorité d'une oligarchie apatride.

On en tient l'aveu du Dr Carroll Quigley l'un de ces initiés. Dans son livre Tragedy and Hope (Tragédie et Espoir, 1966), il affirme que l'objectif de cette oligarchie est "rien moins que la création d'un Système mondial d'hégémonie aux mains de quelques personnalités capables de dominer la politique de chaque pays et l'économie mondiale tout entière".

A l'heure présente, le Système enserre le monde entier dans un réseau complexe d'alliances de familles, de holdings communs, de sociétés multinationales imbriquées étroitement à la tête. Il se prétend assez puissant pour tenir à sa merci même les « pays derrière le rideau de fer ou de bambou ». Ce qui fait dire au docteur Bella Dodd, ancien membre du Bureau du Parti Communiste américain :

"Je crois que le complot communiste n'est qu'une branche d'un complot beaucoup plus important." (W. Cleon Skousen)


Les origines du Système


John Ruskin (1819-1900), héritier d'un riche marchand de vin de Londres, prit ses grades à Oxford. En 1870, il était nommé titulaire de la chaire des Beaux-Arts à cette aristocratique université, qu'il allait perturber quelque peu. Car, féru de sociologie, il entraîna ses élèves – vite devenus ses disciples – dans une étonnante série d'expériences communautaires sous le couvert d'une St George's Guild (Confrérie de Saint-Georges), pour l'instauration d'un climat socialiste dans l'agriculture et l'industrie. La Confrérie fut un échec, mais ses adeptes demeurèrent toute leur vie fidèles aux conceptions de Ruskin.

Elles n'avaient rien d'original. C'était en fait une synthèse de La République de Platon, de la Panorthosie de Coménius, du Code de Weishaupt de Knigge et de la Synarchie de Saint-Yves d'Alveydre, mais surtout du Manifeste de Karl Marx, le tout accommodé à la façon aristocratique.

Si Ruskin professait que l’État devait s'emparer de tous les moyens de production et de distribution en vue d'assurer autoritairement le bien de la communauté – et peu lui importaient les idées de démocratie et de liberté – laissait entendre à ses élèves qu'ils constitueraient la « classe privilégiée » : « Mon but constant, disait-il, a été de démontrer la supériorité éternelle de quelques hommes sur les autres, parfois même d'un seul sur tous les autres ».

Mais, ajoutait-il, sans le partage des traditions aristocratiques avec les classes inférieures non seulement de Grande-Bretagne, mais aussi du monde entier, la minorité privilégiée serait finalement balayée par la masse, d'où la perte des traditions et, par suite, un recul de la civilisation.

Aussi ses disciples d'Oxford : Arnold Toynbee, Alfred (futur Lord) Milner, Arthur Glazebrook, George (sir George) Parkin, Philip Lyttleton Gell, et Henry (sir Henry) Birchenough. ; et ceux de Cambridge : Reginald Baliol Brett (Lord Esher), Sir John B. Seeley, Albert (Lord) Grey, et Edmund Garrett, conçurent un projet d'« Extension de l'idée anglophone » qu'ils communiquèrent au journaliste William T. Stead ; celui-ci les mit en relations avec Cecil Rhodes. Et le 5 février 1891, Rhodes et Stead constituèrent, avec les disciples de Ruskin, une société secrète dont Rhodes rêvait depuis seize ans.

Cecil Rhodes était alors Premier ministre de la colonie du Cap. Et immensément riche : fondateur, avec l'appui de trois banquiers juifs, Lord Rothschild, Alfred Beit et Barney Barnato, de la Consolidated Gold Fields, pour l'exploitation des places d'or du Transvaal, et de la De Beer Consolidated Mines, qui s'octroya le monopole du diamant, il jouissait d'un revenu estimé à un million de livres (25 500 000 francs-or). D'autre part, il avait obtenu une charte royale pour une British South Africa Company, destinée à la mise en valeur des territoires situés au nord du Transvaal ; mais surtout à la construction d'une ligne de chemin de fer, épine dorsale d'une future Afrique Orientale britannique du Cap au Caire. Un tel impérialisme ne pouvait manquer d'être conquis par le projet d'« Extension de l'idée anglophone ».

Rhodes et Stead organisèrent leur société secrète sur le modèle des « cercles concentriques ». Animé par Cecil Rhodes, le « cercle intérieur » se composait d'un Comité exécutif : Stead, Brett et Milner, coiffant un Cercle d'Initiés, comprenant notamment Arthur Balfour, Arthur Gray, Harry Johnston et Lord Rothschild. Il était prévu un « cercle extérieur », dénommé Association de Bienfaiteurs, constitué plus tard par Milner sous le nom de Table Ronde.

Certains ont attribué le caractère secret de la société au fait que, parmi ses fondateurs, plusieurs et non des moindres appartenaient à la Franc-maçonnerie.

D'autres aux tendances socialistes inspirées de Ruskin. ll est certain que, sous le règne de la reine Victoria, proposer l'abolition de la propriété alors que le prince de Galles est "landlord" des deux tiers de Londres, et l'instauration d'une dictature cooptée par des "initiés" sous un régime monarchique héréditaire, impose le secret comme précaution élémentaire. Surtout lorsque les doctrinaires de cette société n'hésitent pas à prôner, d'après Platon, de jeter bas, au besoin par la force, tout régime ou toute structure sociale existants, afin que les nouveaux dirigeants puissent disposer d'une « toile nette » pour l'organigramme de leur « société idéale ».

Mais le motif le plus puissant du secret tient, évidemment, au but même de la société : l'exploitation de l'impérialisme britannique non point pour la plus grande gloire et les intérêts de la mère-Patrie, mais pour le triomphe de la "classe privilégiée" de Ruskin.

En vertu de son principe, l'"extension de l'idée anglophone", la société Rhodes-Stead a exercé ses activités dans deux directions : d'une part, la constitution de l'Empire britannique en confédération sous la direction du Royaume-Uni – et ce fut l'origine du Commonwealth ; d'autre part, l'élargissement de cette confédération aux États-Unis.

Pour gagner les élites, la société fit attribuer à ses affiliés des chaires dans plusieurs universités. Rhodes consacra une partie de sa fortune à fonder un Centre (Rhodes House) à Oxford, et des bourses (Rhodes scholars) ; Milner en fit autant pour la Toynbee Hall, premier institut colonial du monde.

La presse ne fut pas négligée. Certains de ses membres prirent le contrôle de divers quotidiens et périodiques ; en outre, des "initiés" furent poussés à des postes-clefs dans d'autres organes de Presse – telle Miss Flora Shaw, future Lady Lugard, nommée chef de rubrique Affaires coloniales du Times jusqu'en 1912, avec audience internationale.

Ces activités exigeaient beaucoup d'argent. Outre les subventions assurées par Rhodes et les financiers Milner, Brett, Lord Rothschild, des fonds importants étaient réunis par un groupe de banquiers, ayant pour chef de file Lazard Brothers de Londres, San Francisco et New York, coopérant avec la banque Morgan de New York.

Ainsi, la société Rhodes-Stead fut fondée et soutenue par des membres de la Haute Finance internationale.


La Table Ronde


Avant de mourir en 1902, Cecil Rhodes avait désigné comme exécuteur testamentaire Alfred Milner, Gouverneur général et Haut-Commissaire britannique en Afrique du Sud depuis 1897.

A peine avait-il pris ses fonctions que Milner s'entoura d'un groupe de jeunes gens – « Milner's Kindergarten » (le jardin d'enfants de Milner) – frais émoulus d'Oxford et de Toynbee Hall. Il fonda avec eux, en 1909, une association semi-secrète, The Round Table (La Table Ronde), « cercle extérieur » de la société Rhodes-Stead. Dès 1915, elle répartissait des Groupes de la Table Ronde dans sept pays : Angleterre, Afrique du Sud, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Indes et États-Unis l'ensemble dirigé de Chatham House, à Londres.

Ces groupes se tiennent en liaison étroite par correspondance et par de fréquentes visites entre eux. Mais aussi par une revue trimestrielle, The Round Table, fondée en 1910 à Chatham House, dont aucun article n'est signé, pour ménager le secret sur l'origine des informations, voire des directives, qui y sont publiées.

Au départ, la Table Ronde eut les mêmes bailleurs de fonds que ceux de la société Rhodes-Stead, notamment les frères Beit, Sir Abe Mailey, la banque Lazard Brothers et la banque J .P. Morgan de New York ; puis le Rhodes Trust de George Parkin, et la famille Astor, propriétaire du Times, le Carnegie United Kingdom Trust, les Rockefeller, les Whitney, etc.

La Table Ronde de New York était plus mélangée. Elle comptait parmi ses membres Frank Aydelotte, George Louis Beer, Whitney Shepardson, Jerome D. Greene, Thomas W. Lamont, associé de la banque Morgan, les Journalistes Walter lippmann, du New York Herald Tribune, Erwin D. Canham, ancien « Rhode scholar » d'Oxford, rédacteur au Christian Science Monitor, et quelques autres.

La pénétration dans les universités fut facilitée par le fait que, aux États-Unis, elles sont ouvertement subventionnées par des financiers. Le groupe Morgan avait la haute main sur Columbia, sur Harward – où il entretient toujours un Centre Dillon et une bibliothèque Lamont –, et, par Thomas W. Lamont, il partageait son influence sur Yale avec les Whitney, qui eux-mêmes contrôlaient Princeton.

La Presse sous l'influence de la Table Ronde comprenait en particulier les New York Times, New York Herald Tribune, Washington Post, et surtout le puissant Christian Science Monitor, dont le rédacteur en chef était le correspondant de The Round Table, et auquel collaborait Lord Lothian, premier rédacteur en chef de The Round Table.

En 1914, l'affilié William Straight, associé de J.P. Morgan et allié aux grandes familles de financiers Payne, Whitney, Vanderbilt, etc., fondait une revue The New Republic, dont la direction fut confiée à un représentant de Wall Street, Walter Lippmann, allié aux Whitney.

D'après l'"insider" Carroll Quigley, « l'intention à l'origine de la création de cette revue était de fournir un moyen d'expression à la gauche progressiste et de l'orienter insensiblement vers l'anglophilie ».

ON RETROUVE DANS LA CREATION DE CETTE REVUE LES TROIS CARACTERISTIQUES DE TOUTES LES ORGANISATIONS QUI D'ECOULERONT DE LA SOCIETE RHODES-STEAD EN SE PRECISANT DANS LE TEMPS :

- UNE TENDANCE SOCIALISANTE ;

- UNE TENDANCE ANGLOPHILE ;

- LA PROGRESSION VERS UN GOUVERNEMENT MONDIAL." 


Jacques Bordiot, Le gouvernement invisible. PDF gratuit ICI.


Livre audio en 3 parties :
 

https://youtu.be/lUsrVbejDFs par la chaîne YouTube "Documents Rares et Inédits".

Description :

Quels sont les vrais pouvoirs qui dominent le monde ? Documents à l'appui, Jacques Bordiot répond à cette question en explorant les réseaux d'influence secrets qui assurent à une petite élite un contrôle absolu sur les destinées de la planète. Cette situation n'est pas récente. Au cours des siècles, diverses tentatives ont eu lieu, citons les plus connues : l'Ordre Templier et la Franc-Maçonnerie.

Au XXe siècle, les organisations secrètes à vocation mondialiste se sont multipliées et ont puissamment contribué au déclenchement d'événements importants comme la Révolution de 1917 ou, plus grave encore, la Seconde Guerre mondiale. Durant les trente dernières années, l'intégration croissante des sociétés développées au sein d'un seul vaste ensemble économique occidental, a facilité la tâche de groupes d'hommes influents qui mettent au point des stratégies concertées d'accession au pouvoir. C'est ainsi qu'en 1976 la Commission Trilatérale a mis au pouvoir Jimmy Carter, aux États-Unis et un homme comme Raymond Barre en France.

Quels sont les vrais objectifs de ce « Gouvernement invisible » du monde ? Quels sont leurs moyens ? Des questions graves auxquelles Jacques Bordiot apporte une réponse documentée.


samedi, décembre 31, 2022

La France est le paradis des violeurs d’enfants !

Pédocriminels jouant à la pétanque. Ils sont hébergés dans une sorte d'hôtel sécurisé (baptisé "prison") aux frais des contribuables et ainsi gardent le secret sur le réseau, "l'association de malfaiteurs dirigée par des hauts fonctionnaires" dont parle Dutroux dans une courte vidéo. 


Définitivement, on peut affirmer aujourd’hui que la France n’est pas un pays civilisé, du moins les élites qui la gouvernent.


Aucune société humaine, absolument aucune, n’a géré ses criminels les plus dangereux de cette sorte ! Comment est-il possible non seulement d’abolir la peine de mort pour les crimes monstrueux commis sur les enfants mais de surcroît protéger les mêmes coupables en les mettant dans des prisons de luxe dans lesquelles ils possèdent les clés de leurs propres cellules ? Ces mêmes criminels, condamnés à des peines très légères qui vont leur permettre de sortir rapidement de prison afin de récidiver comme le démontrent à chaque fois les faits divers sordides. [...]

Nous avons l’impression que la société française a mis en place des moyens importants afin de protéger ces criminels car sans la justice et la police ils auraient déjà été éliminés de la société. Grâce à la force légitime de la police et de la justice, ils sont logés et nourris tranquillement, gratuitement, dans des pseudos prisons jusqu’à leur libération et à leurs récidives. C’est du jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité et ça nous est présenté comme une grande avancée humaine par les dégénérés et les criminels qui nous gouvernent !

Une société humaine qui est dans l’incapacité de protéger ses membres les plus fragiles, c’est-à-dire les enfants, n’est pas digne de son humanité. Au contraire, c’est une société monstrueuse, indigne, dont le seul avenir est celui de disparaître.



vendredi, décembre 30, 2022

Qui protège les pédocriminels ?




Une vidéo, censurée par YouTube, revenait sur un nombre important de détails concernant l'affaire Epstein. 

- La vidéo permettait comprendre pourquoi la France est le paradis des pédocriminels

- Elle évoquait toutes les défaillances constatées autour de Jeffrey Epstein que ce soit lors de son suicide dans la prison new-yorkaise, lors de son arrestation et de sa condamnation à 18 mois de prison en Floride... 

- Elle affirmait que Jeffrey Epstein était un agent du Mossad mais également de la CIA et du MI6 anglais

La vidéo parlait de satanisme, le culte qui exige justement un comportement pédocriminel. Elle démontrait à quel point les élites hollywoodiennes, les stars les plus en vue et les plus connues, pratiquent le satanisme




Retrouvée accrochée dans la maison de Jeffrey Epstein, une peinture représentant Clinton en robe et en chaussures rouges ; chaussures qui seraient un symbole satanique du sacrifice d'êtres humains y compris d'enfants. Lire : Pourquoi les satanistes portent-ils des chaussures rouges ?.


En 2013, Daniel Cohn-Bendit, Antoine de Caunes, Christophe,  Cyril Lignac, Xavier de Moulins ou encore Sergi Lopez et bien d’autres encore, se sont fait photographiés en chaussures à talon rouges.


Cohn-Bendit dans Apostrophes en 1982 : "Vous savez que la sexualité d’un gosse c’est absolument fantastique. Moi j’ai travaillé avec des gosses qui avaient entre 4/6 ans. Ben quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique parce que c’est un jeu érotico-maniaque." 


Qui protège les pédocriminels ?

Réponse de Dutroux depuis sa prison : C'est un réseau, "une association de malfaiteurs dirigée par des hauts fonctionnaires"...

Vidéos :


mercredi, décembre 28, 2022

Ce qui peut arriver en 2023, les prédictions de Dmitri Medvedev



"Joyeuses fêtes de fin d’année à tous, amis anglo-saxons, et à leurs joyeux porcelets qui grognent joyeusement !"


Dmitri Medvedev, n°2 du Conseil de sécurité de Russie de Vladimir Poutine et ancien président, livre sur Twitter des prédictions dessinant un futur particulièrement dystopique.

Le membre officiel du gouvernement de Russie s’est adonné sur le réseau social le 26 décembre a un exercice qu’il qualifie de « modeste contribution » aux prédictions pour 2023 des plus « folles » aux plus « absurdes ».

Nous vous en livrons la traduction intégrale.

"Le soir du Nouvel An, tout le monde se lance dans les prédictions.
Nombreux sont ceux qui émettent des hypothèses futuristes, comme s’ils rivalisaient pour distinguer les plus folles, voire les plus absurdes.

Voici notre humble contribution.

Ce qui peut arriver en 2023 :

1 - Le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril, et le prix du gaz dépassera 5 000 dollars par 1 000 mètres cubes.

2 - Le Royaume-Uni réintégrera l’UE

3 - L’UE s’effondrera
après le retour du Royaume-Uni ; l’euro cessera d’être la monnaie de l’UE.

4 - La Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine.

5 - Le quatrième Reich sera créé, englobant le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, c’est-à-dire la Pologne, les États baltes, la République tchèque, la Slovaquie, la République de Kiev et d’autres pays marginaux.

6 - La guerre éclatera entre la France et le Quatrième Reich. L’Europe sera divisée, la Pologne répartie dans ce processus.

7 - L’Irlande du Nord se séparera du Royaume-Uni et rejoindra la République d’Irlande.

8 - La guerre civile éclatera aux États-Unis, la Californie et le Texas devenant des États indépendants. Le Texas et le Mexique formeront un État allié. Elon Musk gagnera l’élection présidentielle dans un certain nombre d’États qui, à la fin de la nouvelle guerre civile, auront été donnés au GOP (Great Old Party = parti Républicain des États-Unis, ndlr).

9 - Toutes les grandes places boursières et l’activité financière quitteront les États-Unis et l’Europe pour se déplacer en Asie.

10 - Le système de gestion monétaire de Bretton Woods s’effondrera,
entraînant le crash du FMI et de la Banque mondiale. L’euro et le dollar cesseront de circuler en tant que monnaies de réserve mondiales. Les monnaies fiduciaires numériques seront activement utilisées comme alternative.

Joyeuses fêtes de fin d’année à tous, amis anglo-saxons, et à leurs joyeux porcelets qui grognent joyeusement !"

("Happy Oink", Joyeux grognements, est un jeu vidéo américain sur le thème de l’élevage des porcelets, ndlr.)

Difficile d’interpréter cette déclaration, qui est à l’heure où nous écrivons ces lignes l’objet de milliers de commentaires 1 heure après sa publication.

Elon Musk, le milliardaire et nouveau patron de Twitter, s’est empressé de réagir en s’exclamant : « un thread épique ! » (un thread est une série de publications sur Twitter permettant un publication longue, ndlr).


mardi, décembre 27, 2022

Agents occidentaux de la contre-initiation : Baring, Hurgronje, Oppenheim, Marty


Les cerveaux de la guerre contre l'islam

Réformer pour détruire



EVELYN BARING, anglais et administrateur colonial. Il devient de fait le pharaon d’Egypte en 1882 et réduit les khédives (gouverneurs) au rang de marionnettes :

- Il se déchaîne pour déraciner l’islam.

- Il promeut des savants innovateurs fascinés par l’Occident comme le mutazilite Mohamed Abduh dont il conforte, sinon crée, la position. Il écrit : « Les adeptes de cette nouvelle voie méritent toutes les aides et encouragements des Européens. »

- Il facilite aussi l’essor et l’influence de la franc-maçonnerie du Caire comme la loge Nil (de Jamal ad din al Afghani) et la Grande loge nationale d’Egypte sous influence franco-britannique.

- Il organise une campagne de dévoilement et soumet le système éducatif coranique.

- Il lutte contre les madrasa et souhaite former une élite occidentalisée, seule légitime à gérer le pays. Sa stratégie est décrite dans Modern Egypt (1908).

Il écrit : « Il est concevable qu’avec le temps les musulmans développeront une religion, peut-être un pur DÉISME, qui ne sera pas tout à fait l’islam du passé et du présent et qui REJETTERA une grande partie de l’enseignement du Prophète. »


Le hollandais SNOUCK HURGRONJE fut le parrain de l’islamologie moderne. En 1884, ce fils de pasteur est envoyé en Arabie pour espionner les pèlerins indonésiens qui cherchent le soutien ottoman pour se défaire de l’oppression coloniale.

Munafiq et comploteur, il se convertit faussement pour pouvoir pénétrer à La Mecque. Il est ensuite envoyé à Aceh, la province la plus islamisée des Indes «néerlandaises », afin d’infiltrer les résistances islamiques et défigurer l’islam dans le sens des intérêts occidentaux.

Il lutte contre « l’islam politique » et le panislamisme et promeut un islam local folklorique et inoffensif. Il gagne la confiance et surveille les oulémas influents qui prêchent le jihad et fait sur eux des rapports secrets et détaillés aux autorités coloniales.

Il écrit : « les véritables ennemis actifs sont les oulémas. Les écraser sans pitié est une condition impérative de la restauration de l’ordre dans la région d’Acèh. »

« Même dans des pays d’une culture islamique bien antérieure à celle de notre archipel, nous constatons que l’éducation libère les Mahométans de certains de ces déchets qu’ils charrient depuis trop longtemps. »


MAX VON OPPENHEIM est le « Laurence d’Arabie allemand ». Fils de banquier juif influent, il est un orientaliste archéologue et espion qui voyage en terre d’islam et apprend l’arabe au Caire, où il est un gros consommateur de femmes et aborde des musulmanes voilées et mariées.

Il fomente des révoltes contre les intérêts britanniques du Moyen Orient aux Indes. Il contribue à l’hypocrite « Jihad made in Germany » pendant la Première Guerre mondiale et est le 1er théoricien de la manipulation de ce concept islamique.

Il est l’auteur d’un « Mémoire concernant la révolutionnarisation des territoires musulmans de nos ennemis » : Mobiliser les musulmans arabes, persans et afghans pour défendre l’intérêt impérial germanique.

En 1940, il écrit pour les nazis une note :

Il conseille d’organiser des révoltes "musulmanes" contre les français/britanniques. Il faut former des espions, rééditer les livres de fiqh al jihad au Maghreb, et instruire les soldats allemands pour bénéficier du soutien local.


PAUL MARTY est le véritable fondateur de la « science coloniale islamique » française. Catholique fervent, il fait des études de droit à Alger. Il apprend l’arabe et s’intéresse aux cultures du Maghreb, où il fait ses recherches.

Il part pour Dakar, comme directeur des Affaires musulmanes au Gouvernement Général de l'Afrique Occidentale Française. Il développe la théorie de l’ « islam noir » . Il veut s’appuyer sur la confrérie soufie mouride : une « sorte de religion nouvelle née de l’islam ».

Il promeut la réconciliation avec Amadou Bamba, son fondateur révolté. Le mouridisme est à ses yeux ce potentiel « islam noir » dont le pouvoir colonial pourrait tirer profit. Il va soumettre les éléments rebelles et faire du soufisme le relai des intérêts de la République.

Maître du « diviser pour régner » colonial, il veut totalement séparer « l’islam noir » de l’agitation antifrançaise de « l’islam arabe » et « berbère » . Il prend la Direction des Affaires indigènes à Rabat.

Il y est chargé de l'enseignement supérieur musulman puis devient conseiller de l'université islamique al Qarawiyine à Fès…

Il écrit : « L'enseignement secondaire destiné aux musulmans doit préparer les jeunes Marocains à recevoir une culture générale qui, sans les détourner de leurs traditions, les rend aptes à s'intéresser à toutes les manifestations de la vie moderne. »

Il donne en 1936 et 1937, aux officiers des Affaires indigènes et officiers interprètes de Tunisie, une conférence sur les origines religieuses de l'Islam. Il conclue par cette formule, sa stratégie : « culture musulmane et instruction française. »

Source :

lundi, décembre 26, 2022

L’obsolescence de l’homme




« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir ».

Extrait de "L’obsolescence de l’homme", de Gunther Anders.

https://youtu.be/AvT4HDYptgw



dimanche, décembre 25, 2022

Faire des populations des troupeaux passifs




Des armes favorisant l'autosuggestion des individus sont disponibles aujourd'hui et leur descriptif a été réalisé dans des cercles très fermés. Le danger, c'est leur utilisation possible dans des démocraties, afin de faire des populations des troupeaux passifs. Ces moyens peuvent être utilisés pour leur faire adopter à leur insu, un mode de pensée unique.

L'utilisation d'armes psychotroniques ou armes RF (radiofréquences) : 

Cela consiste à transmettre un champ d'énergie destructeur pour les équipements électroniques, ou une information sous la forme d'un champ radioélectrique ou électromagnétique modulé d'une façon spécifique en direction d'une personne ou d'un groupe de personnes afin d'influencer le comportement psychologique. Dans le cas des troupes, l'objectif consiste principalement à engendrer des réactions de peur et d'angoisse dans le but d'annihiler toute résistance. [...]

Le cerveau est une usine électrochimique capable de générer des impulsions microélectriques destinées à alimenter le système nerveux pour commander les muscles. Il devient alors possible d'induire de l'extérieur - par radio par exemple - des signaux artificiels, de façon à provoquer les réactions voulues, aussi bien au niveau musculaire que de la pensée. 

On a d'ailleurs découvert vers 1977, grâce à un rapport comptable, l'existence du projet MK-ULTRA, financé par la CIA, où l'on apprend que visiblement des expériences n'ont pas été menées que sur des animaux, mais aussi sur des humains, des malades mentaux. Cette révélation a déclenché un scandale. L'objectif est toujours le même, tenter de manipuler les individus à leur insu.

Marc Filterman

Marc Filterman

PDF gratuit ICI

Les laboratoires secrets se livrent à des recherches inquiétantes, qui risquent de mener notre civilisation à sa perte. Elles visent aussi bien la manipulation du climat ou le déclenchement de tremblements de terre, que les mutations génétiques, bactériologiques ou chimiques... La guerre électromagnétique ouvre des abîmes encore plus insondables, dont on ne peut mesurer les conséquences. Malheureusement la fiction est dépassée depuis longtemps dans tous ces domaines. Sueurs froides garanties.

Vidéo : https://youtu.be/N7EZU2vZqi0


samedi, décembre 24, 2022

Ce que nous tenons pour vrai n'est qu'un ensemble de conditionnements


René Guénon est mort en 1951 au Caire. Son œuvre, qui traite aussi bien des spiritualités orientales, de l’initiation, du symbolisme que de critique sociale, resta discrète. Elle n'occupa jamais le devant de la scène médiatique, et pourtant elle passionna, intéressa ou intrigua de nombreux esprits parmi les plus brillants de son époque.

Si Guénon amène chez certains une adhésion totale, passionnée, elle provoque aussi le rejet. Pour certains intellectuels, la seule mention de son nom crée une réaction irrationnelle, violente, un refus qui témoigne souvent d'une méconnaissance de l'œuvre. René Guénon ne laisse jamais indifférent ceux qui l'approchent. Il intrigue, fascine. Il n'est pas un auteur comme les autres.

La plupart des ouvrages de spiritualité contemporains respectent les « valeurs de la société occidentale », les découvertes de la science, la technologie, ou du moins ne les mettent pas réellement en cause. Dans ces livres, la spiritualité est un objet plutôt inoffensif, un ensemble de connaissances, de règles de vie, de pratiques, qui visent à trouver un certain équilibre intérieur et s'intègrent parfaitement au discours ambiant. Par intérêt ou par indifférence, ces auteurs caressent la modernité « dans le sens du poil ».

René Guénon aurait pu se contenter de publier ses remarquables études sur le Védanta ou le symbolisme. Mais pour lui, le domaine du spirituel n'est pas dissociable d'une « vision du monde » sacrée. On ne peut parler de soufisme, de taoïsme, de yoga, sans remettre en cause le monde « profane » qui est le nôtre. Le spirituel doit s'inscrire dans une perspective plus vaste. Guénon montre que des disciplines comme la méditation, des doctrines comme le Védanta sont l'écho des anciennes civilisations hindoues ou tibétaines qui étaient complètement imprégnées par le sacré — et ces échos nous sont parvenus plus ou moins déformés par tous les préjugés de la mentalité actuelle, souvent détournés de leur véritable sens.

À notre époque où se pose la question d'une « spiritualité laïque », détachée des religions, Guénon répond très nettement qu'elle est impossible. Une pratique spirituelle n'est pas une « science », au sens où l'entendent les modernes, c'est-à-dire une discipline neutre, libre de toute référence à une tradition. Elle ne peut être déliée de son contexte religieux et surtout d'une filiation maître-disciple. Pratiquer la méditation en dehors d'un cadre bouddhiste ou hindou, c'est comme pratiquer la prière du cœur hésychaste sans se référer au christianisme. Même dans les formes les plus dépouillées du bouddhisme, le zen et le théravada, les moines s'inscrivent dans une forme traditionnelle particulière et récitent chaque jour des sutras ; de même, la Cabale n'est pas dissociable du judaïsme ni le soufisme de l'islam, c'est-à-dire des matrices au sein desquelles ils se sont développés. De ce fait, René Guénon a tenté de restaurer ces pratiques et ces doctrines dans leur vérité, sans faire de concession à l'idéologie dominante.

Les Orientaux ont toujours représenté, face aux divinités chargées de compassion, des dieux ou des déesses qui luttent contre les « démons » et veillent à garder l'intégrité de la tradition, comme Durga en Inde ou Manjusri dans le bouddhisme. Dans cette perspective, nous pouvons dire que René Guénon joue un peu le rôle du boddhisatva Manjusri, qui tranche les ténèbres de l'ignorance avec son épée.

Ce que René Guénon a à nous dire est contraire à tous nos conditionnements, nos préjugés, à tout ce que nous avons appris. Nous pensons que le monde sensible que nous percevons est la seule réalité, qu'il a toujours été le même pour tous les peuples depuis le commencement de l'humanité et que l'homme blanc contemporain a découvert pas à pas, petit à petit, la vérité à travers la démarche scientifique. Nous sommes persuadés que l'économie explique en grande partie les événements de l'histoire, que nous passons progressivement de la barbarie à la civilisation et que les idées philosophiques et religieuses sont affaires de « croyance ». Or Guénon nous dit précisément que ce que nous tenons pour vrai n'est qu'un ensemble de conditionnements, de préjugés, un « rêve particulier », et que nous prenons pour une vérité universelle une réalité très singulière. Une réalité contraire à la nature profonde de l'homme.

Nous nous croyons libres, ou du moins plus libres que la plupart des hommes des anciennes civilisations. René Guénon nous montre que nous sommes simplement victimes d'une idéologie dominante qui nous maintient dans certaines croyances que nous pensons universelles. Il met le doigt sur la profonde aliénation de l'homme contemporain. Par rapport à l'emprise subtile qu'exerce le monde actuel, l'œuvre de Guénon représente une échappée, une verticalité, une « liberté vraie ».

René Guénon s'est situé délibérément en dehors des « valeurs » de la société occidentale, rendant de ce fait toute récupération de son discours impossible. Même si les critiques adressées à cette société sont nombreuses, elles demeurent finalement toujours dans un cadre convenu, et n'échappent pas aux « valeurs de la modernité ». Toute révolte ne peut avoir lieu que sur la scène érigée par la collectivité à laquelle nous appartenons. Nous n'avons que la liberté dérisoire de nous positionner : nous sommes darwinistes ou bien créationnistes, théistes ou athées, progressistes ou réactionnaires, etc. Ainsi l'individu se retrouve-t-il enfermé dans une posture tout en se croyant libre de ses choix.

Pour aborder l’œuvre de René Guénon, il est donc nécessaire de déposer toutes nos croyances, toutes nos habitudes de pensée, pour nous ouvrir à quelque chose de neuf, de radicalement différent de ce que l'on nous a enseigné. Si nous n'adoptons pas cette attitude, nous ne ferons que juger de son œuvre en fonction de nos préjugés. Projetant sur elle nos particularités culturelles en pensant qu'elles sont universelles, alors qu'elles sont liées à une certaine époque et à un certain lieu, nous passerons à côté de ce que nous dit René Guénon.

Mais cette vision du monde différente à laquelle il nous enjoint de nous ouvrir, cette nature profonde de l'homme qu'il nous appelle à retrouver, n'est pas le fruit de sa propre spéculation, car la véritable particularité de Guénon, ce qui fait sa force et sa différence, réside dans le fait qu'il ne défend pas une pensée personnelle. Il n'est pas le créateur ou le continuateur d'un système philosophique, d'une idéologie, d'une croyance particulière. Il s'est toujours voulu le témoin de la Tradition — ce qui est l'essentiel, le cœur de sa démarche, le fondement de son œuvre. Comme il le dit dans un compte-rendu; « "Nos" doctrines n'existent pas, pour la bonne raison que nous n'avons jamais fait autre chose que d'exposer de notre mieux les doctrines tradition-nelles, qui ne sauraient être la propriété de personne . » Le mot « Tradition » ne se réfère évidemment pas au folklore, aux coutumes, à ce que Guénon appelle le « traditionalisme ». La Tradition métaphysique, au sens où il l'entend, n'a rien à voir avec un culte du passé et la volonté de le prolonger dans le présent ; elle est une « réalité métahistorique », intemporelle, vivante, qui se trouve au cœur des religions et qui est en même temps le principe ordonnateur de toute civilisation centrée sur le sacré — et en ce sens « traditionnelle ». L'existence de ce noyau de vérité, commun à toutes les grandes religions du monde, est familière à beaucoup de maîtres ou d'êtres spirituellement réalisés.

Erik Sablé, René Guénon, le visage de l'éternité.



Violemment critiqué ou célébré comme un gourou, Guénon n'a pourtant jamais revendiqué une œuvre personnelle : il s'est présenté comme le "scribe" de la tradition universelle, ce noyau de vérité au cœur des diverses traditions spirituelles qu'on trouve évoqué par les mystiques, des kabbalistes aux soufis en passant par Maître Eckhart. Sa passion de l'éternité s'est ainsi déployée comme un travail de transmission de la tradition universelle, qu'il s'est attaché à définir et à présenter tout au long de son oeuvre. Les valeurs de la modernité, particulièrement la prépondérance de la raison, ont en effet dissous le lien avec cette tradition, encore vivante dans certaines sociétés (Tibet, Inde ou chez les soufis par exemple). L'essence de l'homme est spirituelle, et une société qui ne respecte pas cette essence s'égare, vidée de toute dimension sacrée, nous dit Guénon.


La pédocriminalité et le meurtre sont utilisés pour contrôler les dirigeants

Le monde entier est contrôlé par une cabale apatride qui fait chanter les principaux dirigeants mondiaux avec des vidéos capturant leurs act...