L'Article 4 de la Loi du 12 et 13 Février 2024, utilisant le prétexte des "dérives sectaires", permet l'arrestation des lanceurs d'alerte.
"Je suis fortement opposé aux dérives sectaires :
Il ne faut plus jamais que des gourous nous disent de marcher dans la rue avec des masques, de nous injecter des produits expérimentaux, de boire notre café assis mais de rester debout sur les plages, d'être 6 à tables, de laisser les grands-parents dans la cuisine pour le repas de Noël ou encore de fermer les rayons jouets pour enfants mais de laisser les clubs échangistes ouverts.
Ensemble, soyons tous unis contres les dérives sectaires."
*******
Scène I :
La liberté l'a emporté de justesse
Suppression de l'article 4
"Le gouvernement avait obtenu gain de cause en commission des lois, mais il a été battu dans l'hémicycle. Alors que l'Assemblée nationale examinait projet de loi "visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires", dans la nuit de mardi 13 à mercredi 14 février, des amendements de suppression de l'article 4 - "le plus important du projet de loi", selon sa rapporteuse Brigitte Liso (Renaissance) - ont été adoptés. Lors du scrutin, la plupart des groupes d'opposition ont voté en faveur de cette suppression."
L'article 4 est rejeté grâce à 116 voix contre 108. Seulement 8 voix ont momentanément sauvé la liberté car, tapi dans l'ombre, le mal attend.
"Comment les 113 (108) qui veulent faire de la France un Etat dictatorial, vont pouvoir se regarder dans le miroir, là je ne sais pas !" Alexandra Henrion-Caude, auteur du livre "Les apprentis sorciers - Tout ce que l'on vous cache sur l'ARN messager".
"Défendre mordicus des mensonges sur le covid et oser qualifier quiconque ne pense pas comme eux de complotiste est d'une tristesse absolue." Nicolas Dupont-Aignan, député souverainiste.
Scène II
Tapi dans l'ombre, le mal n'a pas attendu longtemps
L'article 4 est rétabli
Commentaire de Marcel D. (Le Média en 4-4-2) sur X :
Rappelons que la loi Gayssot est spécifique à la France. Si vous en parlez à un Américain, il sera choqué d'apprendre que vous avez le droit de contester dans votre tête mais pas de l'exprimer publiquement. Cette même logique pourra maintenant s'appliquer à la vaccination : vous aurez le droit de penser qu'elle est mauvaise, mais son expression publique sera passible de prison."