Le Domaine de la Solitude est une immense propriété catholique de presque 40 hectares, située en Gironde à Martillac. Il comprend un vignoble et un important complexe immobilier offrant une hôtellerie moderne à de néo-ermites .
Les transfuges du bouddhisme tibétain, les dissidents de RIGPA (école du dzogchen nyingma fondée par Sogyal), trouveront au Domaine de la Solitude le confort qu'affectionnent les spiritualistes modernes désireux de jouer aux ermites de luxe le temps d'un week-end.
En 2008, les courtisans de la république maçonnique, se déplacèrent dans le sud de la France pour chanter les mantras d'inauguration de LERAB LING, le temple doré de Sogyal, situé dans l'Hérault. Marie-Antoinette jouait à la bergère, Carla Bruni-Sarkozy interprétait le rôle de dévote du bouddhisme tibétain devant le dalaï-lama et Sogyal-le-pervers, frère d'initiation de Matthieu Ricard.
Les révélations concernant Sogyal mettront-elles un terme à la comédie tibétaine ?
Le rideau qu'utilise le moine Matthieu Ricard pour se draper de fausse sagesse himalayenne va-t-il enfin tomber ?
Quoi qu'il en soit, l’Église du pape François, à l'instar du néo-bouddhisme, se transforme en religion du bien-être, en loisir pour néo-anachorètes argentés grands consommateurs de techniques de développement personnel.
Question : Je suis revenu vous voir car j’ai du mal à digérer ces événements récents pourtant clairement nommés dans la “Lettre ouverte aux Dévots du Bouddhisme”. Vous m’avez certes apporté la dernière fois des éléments de compréhension, mais je dois dire que j’ai du mal à les assimiler pour me libérer de ces événements.
Réponse : Comprenez que dans tous les domaines vous trouverez des “faux billets et des vrais billets” et que les faux billets attestent toujours des vrais. Le Bouddha parlait des contrefaçons de son Dharma simple et direct. Dans les bouddhismes qui se développèrent au cours des siècles, ce sera la même chose. N’oubliez pas que le Dharma arrivera au Tibet au 8ième siècle de notre ère, 1300 ans après la mort du Bouddha historique, au cours d’une première vague par ce curieux moine Padmasambhava venu semblet-il de l’Oddiyâna, petit royaume du nord-ouest du Pakistan actuel, moine dont les comportements semblent avoir été plus qu’aberrants, sinon cruels, que Dharmiques. Ensuite, il y eut au Tibet une période de plus d’un siècle de persécution au même moment que celle qui s’opéra en Chine en 842, car des monastères bouddhiques de cette époque, dans ces deux pays, étaient devenus tant corrompus qu’ils prenaient trop de pouvoir politique et financier. Au Tibet, le Roi Langdharma mit un terme à ces corruptions, fut ensuite détesté et considéré comme un méchant, bien sûr. Ce n’est que plus tard que la seconde vague du Dharma arrivera au Tibet, au 10ième, 11ième siècle. Et là, ce sera l’émergence certaine des Tantras venus surtout d’Inde. Les Tibétains commencèrent, à partir des textes Indiens, à fabriquer leur propre modalité qui se divisera plus tard en branches différentes, parfois opposées pour des raisons de marketing financier et politique dans une féodalité évidente et prouvée, branches toutes imprégnées de magie blanche et noire augmentée de ces Tantras dont les interprétations peuvent être infinies. Nous étions dès lors bien loin de la Tradition primordiale, sans déités, sans croyances, sans superstitions, sans hallucinations, sans délires induits par le néocortex, cette tumeur maligne qui recouvrira le cerveau reptilien puis le cerveau limbique ou mammifère. Ces trois cerveaux dont dépend tout être humain peuvent être contrôlés par l’émergence de la connaissance de l’axe métaphysique du cœur dit spirituel. Donc, la tête, ce système neuronal complexe, n’est pas du tout le cœur qui, sous influence des conditionnements psychophysiologiques, doit les comprendre, les Voir pour s’en libérer. Le Yoga traditionnel pratiqué par le Bouddha sera pour lui un moyen pour le comprendre et accéder à cette connaissance libératrice.
Question : Très bien, mais qu’en est-il à ce jour ?
Réponse : Et bien, cela continue. Les moyens modernes de communications permettent une diffusion accélérée des enseignements de ces époques pas si lointaines, mais ne pas oublier que qui dit communication dit manipulation.
Question : Si je comprends bien vous n’êtes pas tendre avec les bouddhismes Tibétains ?
Réponse : Non, ce n’est pas cela. Je réfléchis, je vérifie et je constate. Prenez le Vajrayana. Qu’est-ce que c’est, sinon un risque d’imprégnation psychique par une décoction fortement chargée et augmentée de 4000 ans de mythologie essentiellement Indienne mais pas seulement ? Je dis bien 4000 ans de mythologie. Du temps du Bouddha, l’hindouisme n’existe pas encore. Il arrive juste après et les Hindous disent que le bouddhisme est une branche de l’hindouisme, ce qui est impossible et aberrant. Toutes les récupérations sont bonnes pour des usages falsifiés, les contrefaçons. Et sur le plan historique elles sont nombreuses. Chez des historiens endoctrinés il y a nombre de falsificateurs. Des monastères Tibétains au Tibet et en Inde continuent leurs frasques féodales en asservissant, et la pédophilie est institutionnelle dans des monastères du pays des neiges comme bien d’autres abus de toutes les sortes en Occident.
Question : Vos propos sont graves. En êtes-vous certain ?
Réponse : Il n’est pas question d’être certain, encore une fois. Il n’est question que d’être justement informé et de pouvoir vérifier les informations reçues, voire de les vérifier de visu sur place, ce que certains témoignages dont nous bénéficions précisent sans aucun doute. Question : N’est-ce pas diabolique ? Réponse : Oui, mais au sens étymologique car “diabolos” signifie “ce qui sépare” et “symbolon” signifie “jeter avec”. C’est ainsi que les Tibétains sont les plus grands propagandistes de leurs symboles préfabriqués pour justifier et entretenir leurs incohérences libidinales sous prétextes d’une spiritualité institutionnalisée par eux en science irréfutable, bien entendu. Pas question d’abandonner un fond de commerce qui marche si bien et qui a de beaux jours devant lui. Si la libido est une affaire naturelle chez tout être humain lorsqu’elle est équilibrée en toute légitimité, celle qui est promulguée dans les Tantras et pire dans un Dzogchen dévoyé peut aggraver les déséquilibres voire conduire à des monstruosités, comme dans ce Kalachakra très particulier. Et les pauvres occidentaux s’en remettent à ces enseignements, mais vous ne pouvez rien leur dire car ils sont fascinés par des possibles qui viendraient nourrir leurs subconscients chargés et bien loin de pouvoir opérer une purification vers une simplification absolue dans l’abandon des trois mondes. C’est ainsi que depuis des décennies, des maîtres les inondent d’initiations, de Mandalas, de Tantras, de déités mâles et femelles, de dâkinî en veux-tu en voilà. Et tu te débrouilles avec le tout. Si tu deviens fou, c’est ton affaire, que tu n’as pas écouté suffisamment, bien sûr. Ne pas oublier les offrandes au moment des Pûjas, typiquement hindouistes, autrement dit et sans aucun doute ne pas oublier de donner beaucoup de toi, et surtout ne jamais oublier ta Mastercard ou ta carte Visa premier. Voilà une réalité.
Question : Mais pourquoi cela n’est-il pas démontré au grand jour pour mettre en garde ?
Réponse : Certains l’ont fait et le font encore mais rencontrent évidemment des difficultés et des oppositions. On ne touche pas à un prix Nobel de la paix et à ses vassaux. Parce que la peur retient les gens dans l’esprit de troupeau et que personne n’a le courage de réfléchir par lui-même. Des politiques et des religieux très haut placés, des adeptes financiers, des médias asservies et chiens de garde participent aux “diaboles”, s’en nourrissent et les nourrissent. Il n’y a pas de petit profit. Question : Pensez-vous que cela concerne tous les enseignements Tibétains ? Réponse : NON, pas du tout. Mais, dans cette modalité, il faut trouver par soi-même le guide normal et il y en a. La seule chose que je peux vous dire est que de toute façon dans la Tradition primordiale vous avez tout l’essentiel sans avoir besoin de recourir au Vajrayâna ou au Dzogchen qui n’ont pas inventé le “fil à couper le beurre” tibétain. Dès les origines, 1300 ans avant l’arrivée du Dharma au sein des croyances Tibétaines ancestrales, vous aviez déjà tout le nécessaire suffisant. Et c’est toujours le cas.
Après avoir lu une “Lettre ouverte aux dévots du bouddhisme”, je me suis procuré les documents qui y sont nommés et en ai vérifié leurs contenus. Je dois dire que ce ne n’est pas très rassurant. En qui avoir “foi” aujourd’hui ?
Comment “croire” en quelque instructeur maintenant ? Doit-on se méfier de tout le monde ?
Réponse:
J’ai lu cette lettre également et ai aussi vérifié son contenu. Que vous ayez pu vérifier par vous-même est favorable mais c'est une démarche rare.
Tout d’abord il n’y a pas besoin de vous inquiéter de quoi que ce soit. Ces faits se sont toujours passés au cours des siècles dans le bouddhisme ou plutôt dans les bouddhismes, si vous préférez. Dès le début du bouddhisme cela existait déjà de même que dans les monothéismes. Que ces faits interrogent permet de réfléchir à soi-même et doit pouvoir permettre de continuer sereinement son propre cheminement. Alors, laissez donc tomber tout cela, ne vous en souciez pas davantage. Cela ne vous servira pas. Laissez ces soi-disant maîtres et ces soi-disant disciples impliqués dans ces embrouilles malsaines se débrouiller entre eux. Quand à avoir “foi”, NON ! S’il-vous-plait, ayez plutôt une confiance validée et éclairée par votre propre expérience en vérification, toujours, du comportement de celle ou de celui qui vous enseigne le Dharma. Ne “croyez” en rien que vous n’ayez vérifié et vous n’aurez plus besoin de vous méfier de quiconque, seulement de demeurer prudent en gardant toujours une distance respectueuse envers le Guide. C’est tout, mais c’est déjà beaucoup pour ne pas s’égarer.
Question :
J’entends bien mais tout de même n’est-ce pas difficile ? Comment être certain que l’on ne va pas se faire encore et encore berner ?
Réponse :
Je viens de vous le dire. Vérifiez les comportements et si quoi que ce soit de trouble vous apparaît, quittez les lieux et n’y revenez pas.
Ne faites pas non plus du “gourou-shopping”. Il vous faut bien comprendre que la majorité des gens n’ont pas le courage de réfléchir par eux-mêmes. Ils sont pris dans l’instinct de troupeau. Ils préfèrent que l’on pense pour eux. Ils croient que sous prétexte que beaucoup de personnes, au sein d’un même groupe, adhèrent aux mêmes opinions, pensent la même chose, tels ces adorateurs crédules et immatures qui absorbent des pseudo-enseignements opiacés, que ces enseignements doivent bien être véritables. Mais personne n’a le courage de réfléchir par lui-même.
Doutez intelligemment et ne croyez en rien que vous n’ayez vérifié. Et même si vous étiez amené à vous retrouver seul à le faire au sein d’un groupe, à vous trouver rejeté par le troupeau, ne baissez pas la garde à la porte de vos sens qui vous informent pour faire surgir l’Intuition métaphysique. Mais la peur retient la majorité dans l’esprit de troupeau, n’est-ce-pas ? Ne devenez pas comme tous ces gens qui après tant d’années comprennent souvent trop tard qu’ils ont été bernés ou qu’ils se sont laissés berner. Ne perdez pas votre temps avec eux. N’oubliez jamais que les années passent vites et que votre temps est compté.
Question :
Mais comment être certain qu’un Guide du Dharma est compétent pour l’enseigner ?
Réponse :
C’est très simple. Tout d’abord, le véritable Guide ne vous humiliera jamais. Il ne vous vampirisera jamais, il ne vous demandera rien, jamais d’argent, aucunes faveurs, ne vous exploitera pas, n’exigera rien de vous. Il vous laissera entièrement libre de vos décisions. Il répondra simplement à vos questions avec sympathie et respect, ne laissera pas “une folle sagesse” qui est supercherie et recherche de domination à l’égard d’autrui, se manifester. Il saura vous guider selon ce qu’il comprendra de vous, et fera du “sur-mesure” pour vous, jamais du prêt-à-porter ! Alors, votre Confiance pourra prendre sa juste place et accompagnera la véritable possibilité de développer l’Energie, la Vigilance, la Concentration, la Connaissance transcendante ou Intuition Métaphysique. Que vous puissiez comprendre et développer ces 5 forces sera son unique préoccupation par amitié pour vous, car un véritable Guide n’est qu’un ami de cœur sur la Voie, rien d’autre. Pour faire autorité il n’y a aucun besoin de le prétendre en s’érigeant en “maître”. D'ailleurs, un Guide normal n’affirmera jamais qu’il est un maître.
Maintenant que je vous ai dit un essentiel je ne vois pas autre chose à ajouter. Vous pouvez revenir quand vous voulez. Au revoir et à bientôt si vous le souhaitez.
“La disparition de la Bonne Loi n’a pas lieu tant qu’une contrefaçon de la Bonne Loi n’apparaît pas dans le monde. C’est lorsque la contrefaçon de la Bonne Loi apparaît dans le monde que la bonne loi disparaît. ”
Samyutta Nikaya
1. La lecture du livre de Madame Marion Dapsance “Les Dévots du Bouddhisme” édité chez Max Milo nous informera de faits que nous ne connaissions pas, même si depuis la nuit des temps les collusions et les corruptions mondaines existent au sein de mondes religieux.
2. Nous découvrirons l’article du journal La CROIX du 30 Janvier 2017, écrit par Madame Claire Lesegretain “Polémique autour d’un livre hostile au bouddhisme tibétain”. Dans cet article, un professeur de l’INALCO et à l’UCL, grand sympathisant “des” bouddhismes tibétains, Président de l’Institut d’Etudes Bouddhiques, de même qu’un tenant du Soto Zen Français, s’opposaient à Marion Dapsance en des propos qui nous semblaient défensifs et inquiets, voire agités d’un déni, tandis que le livre de Marion Dapsance nous semblait tout simplement exposer des faits, sans intention de polémique, sans hostilité, sans diabolisation de ces faits, faisant ainsi et certainement “oeuvre de santé publique” par devoir d’alerte, par soucis de retrait devant un danger grave et imminent, par principe de précaution.
3. L’article du journal Marianne N°1062 du 28 juillet au 3 août 2017, pp. 30 et 31, par Madame Elodie Emery, venait confirmer peu de temps après les faits nommés qui se transformaient de plus en plus en preuves…
[Entre temps, nous lirons le livre de Madame Elisabeth Martens : “Histoire du Bouddhisme tibétain” La Compassion des Puissants, édité chez L’Harmattan, Recherches Asiatiques].
4. Par France Inter, le 28 août 2017, et les articles de la presse Française du même jour nous apprenions du journal Libération et du journal le Figaro que Huit des principaux élèves de Sogyal Rinpoche venaient d’écrire à 1500 adhérents de RIGPA pour dénoncer cela même qu’ils subiront de ce Lama tibétain, pendant 25 années, pour certains d’entre eux ! Nous apprenions aussi que ce Lama tibétain du centre bouddhique Lerab-Ling de RIGPA dans le sud de la France venait d’être “disgracié !” par le Dalaï-Lama et que Matthieu Ricard qualifiait le comportement de Sogyal Rinpoche d’inadmissible. N’était-ce pas trop tard ?! Nous rappelons que le Dalaï-Lama n’est qu’un représentant d’une des modalités bouddhiques tibétaines et que les modalités tibétaines ne représentent qu’un faible pourcentage de l’ensemble des différentes écoles ou modalités bouddhiques, aussi que le Dalaï-Lama n’est pas le “Pape” des bouddhistes comme beaucoup et curieusement se l’imaginent ! Pourquoi ce silence des autres représentants ?
5. Comment ce Professeur de l’INALCO et ce moine (?) Zen, avaient-ils donc pu ainsi mentir ?
Comment pourraient-ils répondre de leurs mensonges dans l’article du journal La CROIX ?
Etait-ce une parade religieuse par déni et par dénégation, pour cacher on ne sait trop quoi ni pourquoi de ce qu’ils savaient probablement depuis longtemps des comportements de ce Lama psychopathe, comportements totalement contraires aux enseignements du Bouddha ?
Comment peut-on chercher à justifier ces comportements sous prétexte de soi-disant “folle sagesse” dans le Dzogchen ou sous prétexte de soi-disant “lien sacré” dans un Vajrayåna nourri à des Tantras réservés uniquement à quelques rares ascètes équilibrés, MAIS, hélas, pratiqués par de nombreux autres qui se perdent le plus souvent dans l’obscurité de leur irrationalité ?
Comment peut-on justifier ainsi les comportements excentriques et corrompus de ce genre de Gourous ?
Comment des disciples du Bouddha aussi instruits et éduqués auraient-ils pu ainsi duper le public par l’intermédiaire du journal LA CROIX ?
Comment des enseignants du Dharma qui prétendent enseigner la Parole Juste de l’Ethique Dharmique, du Noble Sentier Octuple, et le 4ème précepte de cette Ethique fonctionnelle... comment auraient-ils pu ainsi dériver vers une indignité manifestée ?
6. Sans conteste, le livre de Marion Dapsance exposait, par conséquent, des faits prouvés que personne auparavant ne voulait mettre sur la table ni entendre, faits que les huit principaux disciples de Sogyal Rinpoche osaient à présent, et enfin par eux-mêmes, confirmer par leur courrier adressé aux 1500 adeptes du centre bouddhique Rigpa de l’Hérault. Jusqu’alors, tout en prétendant suivre le Chemin du Bouddha, il suffisait au plus grand nombre de mentir sans rien dire, de cacher, d’enfouir les non-dits, puis ensuite, et par réaction, à des enseignants connus, transformés en détracteurs de justes propos, de chercher à réduire au silence le témoignage d’un livre clair de signification, de chercher à nuire à son auteure, voire de l’humilier.
Rappelons que les comportements de ce Lama tibétain sont similaires aux incestes familiaux, mais, ici, en particulier, au sein même d’une famille qualifiée de communauté bouddhique ou Sangha, d’une famille comportant dans le cas présent plusieurs milliers d’adeptes de toutes les couches socio-culturelles et professionnelles.
7. Si la réponse claire à la souffrance humaine est parfaitement exposée par le Bouddha dans son Dharma, dès les origines fin 6ème, début 5ème siècles avant l’ère Chrétienne, comment des disciples souvent et hélas imprudents, irréfléchis, soumis généralement par instinct de troupeau, si facilement manipulables, dominables, serviles volontaires “dans la foi du charbonnier”, inhibés d’intelligence à pouvoir vérifier : Comment pourraient-ils ou pourront-ils retrouver une santé mentale et un équilibre post-traumatique après avoir été si longtemps exploités comme simples objets sexuels, objets financiers, abusés de violences psychiques et physiques, bernés de mensonges doctrinaux qui n’ont strictement rien à voir avec le Dharma authentique ?
Pourquoi des contrefaçons font elles ce jour leur loi un peu partout dans des enseignements contrefaits auxquels adhèrent tant et bien d’autres dans divers centres ? Ceux qui peuvent comprendre les notions de harcèlement moral, de chocs post-traumatiques, notions parfaitement décrites par la médecine psychiatrique depuis la fin de la guerre 39-45, en considération des traumatisés de la guerre et des rescapés des camps de concentration, aussi par les découvertes en neuro-physiologie et en neuro-endocrinologie, par, entre autres découvreurs, le Pr Henri Laborit, ceux qui connaissent la nécessité en médecine d’urgence et généraliste de prendre en charge sans tarder les conséquences parfois irréversibles physio-psychologiques des actes des “prédateurs-vampires” des énergies d’autrui, le plus souvent pervers narcissiques psychopathes, que pensent-ils du devenir de ces braves gens si crédules dont la fragilité à croire en tout et à n’importe quoi, les conduisent inéluctablement à “avoir la Foi” en de soi-disant maîtres plus qu’incertains qui les détruisent et les conduisent à la perte de leur intégrité physique et mentale, à la perte de leur dignité, et, bien sur, sous la bénédiction des Gourous Grands Compassionnés ?
8. Le ministère de la santé, le ministère de la justice, le ministère de l’intérieur qui a en charge le maintient du respect harmonieux des cultes religieux divers sont-ils informés des faits dont nous parlons ? Quel est le devenir de ce Lama tibétain prédateur ? La loi Française lui sera-t-elle appliquée ? Qu’en pense son ex-ami le Dalaï-Lama, bonnet jaune ? Qu’en pense Matthieu Ricard et reviendra-t-il bientôt au journal de 20 heures l’expliquer aux Français ?
9. Comment tous ces grands centres tibétains peuvent-ils récolter autant d’argent pour se construire et se répandre un peu partout ? Qui se trouve derrière tout cela ? Quels sont les enjeux ? Un immense centre tibétain est en cours de construction en Basse Normandie…
10. Les prérequis raisonnables, fondamentaux et nécessaires à la Compréhension du Dharma, enseignent l’abandon systématique de ce que l’on appelle les 10 liens, dont le troisième lien est l’abandon des rites et des cérémonies. Celui qui n’est pas libéré de ce lien ne peut évoluer sur le Chemin du Dharma du Bouddha qui n’est pas du tout un enseignement mondain, mais qu’il l’est devenu par perte des résultats subtils.
Pourquoi enseigne-t-on et maintient-on ce jour tout le contraire à travers une débauche de rites et de cérémonies en adoration de “béquilles et de poteaux indicateurs” totalement absents des fondamentaux des origines qui suffisent à la compréhension ? Pourquoi ces béquilles et ces poteaux indicateurs à n’en plus finir dans ces centres tibétains, ont-ils remplacé sans vraiment l’assurer la véritable connaissance des fondamentaux du Dharma ? Ce point est très important à comprendre pour comprendre une forme, cette forme, de bouddhisme tibétain qui inonde de croyances et d’irrationnel des croyants crédules.
11. Que l’UBF ait écarté d’elle-même la branche Française Rigpa n’est-il pas dérisoire quand la contamination est déjà, ici même, injectée à des destinées plus qu’incertaines ?
12. Qui finance le bouddhisme tibétain de ces millions d’Euros ? Pourquoi, une place au premier rang, pour assister au spectacle du 17ème Karmapa, des bonnets rouges, à Paris, coûtera-t-elle 1000 euros par personne ?
13. Ce qui nous préoccupe davantage est la façon dont le Dharma n’est plus enseigné. Que les rites et les cérémonies viennent compenser les frustrations existentielles d’adeptes, compenser leur besoin de croire, est certain, mais n’a Rien à Voir avec le Dharma du Bouddha.
La secte lamaïste Rigpa est exclue de l'Union bouddhiste de France,
son gourou est écarté.
Le
leader spirituel de l'école de pensée bouddhiste Rigpa, a annoncé
sa retraite forcée, frappé par un scandale d'agressions sexuelles
et physiques, et d'abus financiers.
C'est une petite révolution qui
s'est produite cet été au sein de la communauté bouddhiste
tibétaine en France et qui a forcé le leader spirituel de l'école
de pensée bouddhiste Rigpa au départ.
Au cœur de la
tempête, Sogyal Rinpoché, l'un des artisans de la
popularisation du bouddhisme en Occident et auteur en 1992 du "Le
livre tibétain de la Vie et de la Mort", paru en 1992 et
vendu à 2,8 millions d'exemplaires. Une figure donc, qui est
définitivement tombée de son piédestal mi-juillet, lorsque huit de
ses plus proches disciples, comme
l'a révélé Marianne, envoient une lettre
à 1 500 membres de Rigpa. Sur sept pages, on lit les
claques, les humiliations, les agressions sexuelles, le train de vie
trop luxueux.
Cette lettre, Olivier Raurich
l'a lue, avec soulagement. Ancien traducteur de Sogyal Rinpoché, il
a quitté Rigpa en 2014. Il avait dénoncé en vain ces
agissements. Deux femmes lui ont confié avoir été
violées.Olivier Raurich a constaté lui même des abus
financiers : "En 2014, dans une
grande retraite pour 600 à 800 personnes dans le centre principal
près de Montpellier [NDLR : le centre de Lerab Ling], Sogyal
Rinpoché nous a demandé des offrandes abondantes en argent liquide,
et il a insisté pour que ce soit abondant et pour que ce soit en
liquide. J’ai regardé les enveloppes tomber dans les paniers et je
me suis dit que ça faisait beaucoup d’argent liquide et que si
c’était destiné à des causes humanitaires et pures, pourquoi
faire cela sous cette forme illégale".
La dénonciation d'Olivier
Raurich, et quelques mois plus tard, la parution du livre "Les
dévots du bouddhisme" (éd. Max Milo) de l'ethnologue,
Marion Dapsance, n'ont rien changé. La lettre des disciples, en
revanche, a créé un électrochoc, car elle émane de bouddhistes
qui n'ont pas voulu quitter la communauté. Le moine
Matthieu Ricard a fini par qualifier les actes de Sogyal Rinpoché
d'"inadmissibles".
Le Dalaï Lama en
personne a dû prendre position, début août, lors d'une conférence
à Ladakh en Inde : "Certaines
institutions lamaïques sont influencées par le système féodal.
C’est dépassé, ça doit s'arrêter. Ces gens ne suivent pas
l''enseignement du Buddha.
La
seule chose à faire c’est de rendre ça public, dans les journaux,
à la radio. Rendez ça public ! Sogyal Rinpoché était mon grand
ami, mais c’est fini, il est tombé en disgrâce.
Dans la foulé, la communauté
Rigpa a annoncé une enquête interne et la mise en place d'un code
éthique.
Le scandale Rigpa est-il
l'arbre qui cache la forêt ?
Tous les interlocuteurs, même
ceux qui ont eu à accompagner des victimes d'abus, soulignent qu'il
ne faut pas jeter l'opprobre sur la communauté bouddhiste dans son
ensemble. Les dérives sont rares et localisées, mais elles
existent.
Quand on demande à Olivier
Raurich s'il avait eu vent d'autres abus, ailleurs, quand il était
encore chez Rigpa, il le confirme, tout en ayant lui même du mal à
y croire : "J’ai quelques bruits par des amis qui
sont dans d’autres centres, mais bizarrement je pensais que c’était
réservé aux autres. Quelque part c’est presque impensable, car
les grands maîtres sont de droit divin, donc il faut avoir le nez
dessus pour l’accepter et même dans ce cas, c’est difficile."
Ces soupçons, l'Union
Bouddhiste de France, qui
condamne toute dérive et vient d'exclure Rigpa,
en a également entendu parler, comme l'explique l'un de ses
dirigeants, Olivier Wang Genh. "Je pense que ça
touche la communauté bouddhiste dans son ensemble et
ça montre que toute forme d’angélisme ou de naïveté n’a pas
sa place. On doit écouter des enseignements avec clairvoyance et
toujours rester dans cette vigilance. Mais on fait très attention à
ce que ça n’arrive pas ou le moins possible."
Reste que malgré tout cela
arrive, parfois. Certains interlocuteurs, qui ne veulent pas en faire
état au micro, évoquent la Dordogne, l'Auvergne, Montpellier. Des
témoignages aussi sur les forums bouddhistes, avec toutes les
précautions indispensables.
Et puis un cas un peu plus
concret. C'était en 2011 au Temple des 1000 bouddhas en
Saône-et-Loire. Trois lamas ont été exclus, après des dépôts de
plainte. L'une est toujours en cours d'instruction, les trois autres
avaient abouti à des relaxes fautes de preuve. Et on touche là le
cœur du problème
Une parole qui a du mal à se
libérer
Difficile de dénoncer, par
honte de s'être laissé avoir, par douleur, par peur que son affaire
ne discrédite tout le bouddhisme. Ceux qui franchissent la porte des
associations d'aide aux victimes renoncent parfois aussi à porter
plainte sur les conseils de ces mêmes associations qui ont peur que
les personnes soient broyées par des années de procédure,
peut-être inutile.
Daniel Sisco est
le président de l'Association des familles et individus victimes de
sectes, l'Adfi Paris Île de France : "Rassembler
les preuves dans le domaine de l’emprise psychique c’est très,
très difficile. Il y a heureusement une loi qui protège
c’est la loi
About-Picard, qui permet aux gens
de faire référence à la mise en état de sujétion, mais il n’y
a rien de plus difficile à prouver que l’état de sujétion car
c’est la parole d’une personne contre une autre. Là où ça peut
commencer à construire l’assise d’une procédure juridique,
c’est quand vous avez cinq ou dix personnes qui disent la même
chose à propos d’un individu".
L'ADFI Paris Île de France a
répertorié 18 cas de signalements d'abus dans la communauté
bouddhiste l'an dernier. Le bouddhisme, peut être un point d'entrée
séduisant pour les mal intentionnés, poursuit Daniel Sisco, car les
préceptes sont rassurants.
Si la lettre envoyée cet été
pour dénoncer les actes de Sogyal Rinpoché est une révolution,
c'est parce qu'elle montre que la parole commence à
se libérer. Le linge sale continue à se laver en
famille, mais plus de manière aussi confidentielle.
En attendant, les associations
et les Bouddhistes eux mêmes le disent : il est temps que la lune de
miel entre l'Occident et le bouddhisme se termine, chacun doit
prendre conscience que toute religion peut avoir ses brebis galeuses.
Sogyal, lama tibétain que l'on dit très concupiscent et fort tyrannique, s'est finalement retiré de la direction spirituelle de toutes les organisations qui portent le nom « Rigpa ».
A Lérab Ling (Hérault), le nombre de participants à la retraite dzogchen du mois d'août 2017 est-il en baisse ? Les organisateurs nient toute désaffection et affirment que 900 disciples de Sogyal sont présents, pourtant l'immense parking des retraitants est vide. 22 Août 2017, le parking des retraitants du temple lamaïste de l’Engayresque (34650 Roqueredonde).
Rinchen Yagzom, épouse de Sa Sainteté défroquée Thaye Dorje
Le sauvetage médiatique du bouddhisme tibétain
Le comportement de certains hiérarques du bouddhisme tibétain, notamment de Sogyal le puissant gourou d'une multinationale du lamaïsme, a scandalisé de nombreux bouddhistes.
Pour enrayer la défection des élèves des Rinpochés (les « Précieux » lamas), des médias utilisent la photo très glamour de Rinchen Yagzom, la belle qui a fait chavirer le cœur de Thaye Dorje. Sa Sainteté Thaye Dorje est l'un des deux Karmapa qui se disputent le trône de la secte tibétaine kagyu.
La campagne de sauvetage du bouddhisme tibétain a débuté avec une dépêche de l'AFP : "Quand une sommité du bouddhisme s'explique sur son récent mariage". La dépêche est reprise par plusieurs médias, comme Courrier International.
L'implantation en Occident du vajrayana, le bouddhisme magique du Tibet, a toujours bénéficié du soutien des oligarchies mondialistes, des Rockefeller aux francs-maçons en passant par des groupes de parlementaires français et européens.
Pierre Hillard : "Les droits de l'homme c'est du noachisme [...] pour régenter l'humanité..."
Le
11 juin 2017 à Nice, Pierre Hillard présentait son dernier
livre : Atlas du mondialisme.
Docteur en science politique, Pierre Hillard a longtemps enseigné et
il a su captiver la salle pendant plus de deux heures. Georges
Gourdin, journaliste à Nice-Provence résume les grandes lignes de
son intervention.
Conspirationniste,
et alors ?
Pierre
Hillard assume pleinement le fait d’être qualifié de
« conspirationniste »
par Wikipédia puisque c’est le qualificatif qui est attribué à
tous ceux qui se penchent sur le moteur de la mondialisation en
marche depuis des siècles.
La
lutte entre l'ancienne et la nouvelle synagogue
De
fait l’universitaire, obsédé par l’origine profonde des choses,
cherche toujours la cause première des événements et en fournit
systématiquement les sources historiques factuelles. Pour lui, il
est nécessaire de remonter les siècles jusqu’au début de notre
ère, vers les années 100–120 après Jésus-Christ. C’est à
cette époque en effet que la doctrine juive s’est scindée en deux
courants qui persistent encore de nos jours et qui éclairent sur les
tensions du monde. Alors que la condamnation du Christ laissait
encore des traces dans les esprits des religieux juifs, la
destruction en l’an 70 du temple de Jérusalem par l’armée
romaine, menée par le futur empereur Titus, secondé par Tibère
Alexandre, marque à jamais l’histoire et la tradition juives.
Les
religieux se sont alors penchés sur les causes de cette défaite
sans appel qui entraîna un nouvel exil. Fallait-il provoquer les
événements pour créer les conditions favorables à la rédemption
et à l’avènement du Messie ? Ou bien alors l’avènement du
Messie doit-il advenir en son heure ? car seul le Messie peut
agir. « That is the question ». Telle
est la question qui
partage de nos jours encore la communauté juive de par le monde.
C’est de là que sont issues les nouvelle et ancienne synagogues
qui se livrent encore aujourd’hui une lutte sans merci. Une des
causes de cette dichotomie est liée au passage de la Thora et du
Talmud d’une tradition exclusivement orale à un support écrit. En
fait non pas à UN support écrit mais à PLUSIEURS, à
l’origine d’interprétations sans fin des textes et de leur
fidélité à la tradition originelle.
Contre
le christianisme
La
nouvelle synagogue s’est construite sur l’opposition au
christianisme naissant, incompatible avec le judaïsme à cause de
plusieurs divergences doctrinales profondes, notamment :
•
le fait que le monde est une émanation de
Dieu pour les Juifs et une création pour
les Chrétiens
•
le Dieu juif est indissociable même s’il s’accompagne d’un
dieu méchant, tandis que le Dieu chrétien est une sainte trinité
sans dieu en creux ou en négatif
•
le Christ est l’incarnation de Dieu pour les Chrétiens alors qu’il
n’est qu’un prophète pour les Juifs.
Si
l’ancienne kabbale reste proche du christianisme, la nouvelle
kabbale intégrera une approche ésotériste, voire la magie.
Un
nouveau coup de tonnerre accentuera la différence d’appréciation
entre nouvelle et ancienne synagogue : c’est le décret de
l’Alhambra de 1492 qui expulsera les Juifs d’Espagne, les
entraînant encore une fois à l’exil. La nouvelle kabbale se
radicalisera sous l’influence de plusieurs rabbins, notamment Isaac
Louria. La kabbale lourianique joue un rôle considérable dans la
culture juive. Les traductions et les commentaires de Christian Knorr
von Rosenroth (1636–1689), François-Mercure Van Helmont
(1614–1698), Gershom Scholem (1897–1982) ou encore plus récemment
de Charles Mopsik (1956–2003).
Occultisme
kabbalistique et franc-maçonnerie
La
kabbale lourianique perpétuera au long des siècles un combat
incessant contre le christianisme en utilisant tous les moyens tels
que la fausse conversion afin d’anéantir l’ennemi de
l’intérieur. C’est le cas de Jakob Frank (1726–1791) qui eut
une énorme influence auprès de plusieurs familles régnantes
d’Europe centrale. La franc-maçonnerie deviendra
une alliée puisqu’elle prône une doctrine compatible avec la
nouvelle synagogue. Voilà pourquoi celle-ci verra la Révolution
française comme une avancée majeure vers l’avènement du nouveau
Messie. Des agents frankistes tinrent un rôle dans la Révolution
Française, comme Moïse Dobruchka, qui devint Jacobin sous le nom de
Junius Frey. Beaucoup de Frankistes virent un Messie potentiel en
Napoléon Bonaparte. L’homme nouveau né des Lumières, coupé de
ses racines religieuses et culturelles, devient l’allié de la
kabbale. Le Roi de France s’adressait à ses peuples, enracinés
dans leurs provinces. La Révolution française s’adresse
dorénavant au peuple unique et uniforme, « hors-sol ».
C’est pourquoi les Provinces du Royaume seront bien vite brisées
par les Révolutionnaires, à tel point qu’ils voulaient quadriller
la France selon une trame parfaitement géométrique. Tout ce qui
peut couper l’Homme de ses racines et donc de son territoire, sera
encouragé.
Déstructuration
territoriale
Pierre
Hillard note qu’à ce titre François Hollande fut un bon président
pour l’avènement du mondialisme puisqu’il a brisé les Régions
pour les rendre conformes aux recommandations de Bruxelles. Il a
étendu à toutes les Régions le lien direct avec Bruxelles pour la
gestion des fonds structurels européens. Ainsi sans que personne ne
s’en émeuve, l’État français n’intervient plus dans ce
processus qui gère des centaines de millions d’euros.
La
Turquie et l’Allemagne seront également soumises à des projets de
déstructuration territoriale, preuves à l’appui puisque le
conférencier étaie ses propos par des cartes qui sont publiées
dans son Atlas de la
mondialisation. Bien entendu le Moyen Orient fait aussi
l’objet de pressions considérables pour briser les entités
historiques, d’autant qu’il recèle des richesses fort convoitées
en son sous-sol. Mais les États-Unis n’échappent pas non plus à
cette déstructuration générale.
Le
golem Dark Vador
Toujours
dans cette quête de refaçonner le monde, le rabbin de Prague Loew,
interprétant un verset du Talmud, créera le golem qui
est un nouvel Adam. La statue du golem, toujours présente à Prague
(en arrière plan sur notre illustration à la une), sera reprise
dans plusieurs productions cinématographiques, parmi lesquelles bien
entendu le Dark Vador de La
Guerre des Étoiles.
Guerres
mondiales et création d'Israël
Le
conférencier présentera en détail le projet du train Hambourg —
Golfe persique, le « Bagdadbahn ».
Il en fera une illustration parfaite des tensions entre le monde
anglo-saxon — puissance maritime — et l’Europe continentale
dans lesquelles s’affrontent également des communautés juives en
conflit historique.
Pierre
Hillard expliquera comment le Royaume Uni ne pouvait accepter que
l’Allemagne fût maître d’œuvre de ce projet. Comment la Russie
ne pouvait pas non plus voir l’Allemagne étendre son influence sur
ces zones. Les banques juives ont longtemps hésité avant de choisir
leur camp. Allemands et Alliés rivalisent afin d’obtenir l’appui
des banques juives. Ce sera celui-des États-Unis lorsque la
communauté juive recevra l’assurance par ces derniers qu’ils
appuieront la consolidation du foyer juif en Palestine. Pierre
Hillard eut alors une pensée émue à l’égard de nos millions de
combattants qui se sacrifiaient pour des raisons qui leur échappaient
complètement.
Pierre
Hillard retracera un historique précis du projet de repeuplement de
la Palestine par les Juifs qu’il fait remonter à 1836, date d’une
lettre du rabbin Kalischer qui entendait encourager le départ des
Juifs d’Europe vers la Palestine via la famille Rotschild de
Berlin. Le phénomène de colonisation a été amplifié, dès
1882, par Edmond de Rothschild qui possédait des terres
(Rishon-le-Zion) dans cette région du monde. Par la suite Theodor
Herzl (1860–1904) fut le véritable activiste du sionisme en
prônant le premier la création d’un État autonome juif.
Trump-Rothschild
contre Poutine-Loubavitch
De
nos jours encore, le conflit du Moyen Orient reflète ces tensions
qui ne sont pas encore apaisées, loin s’en faut. Les États-Unis
de Donald Trump, avec l’appui des Rothschild, est en confrontation
avec la Russie de Vladimir Poutine qui bénéficie de l’appui
du réseau
Loubavitch.
On
trouve encore les tensions entre les deux courants du judaïsme :
celui qui aspire au grand Israël et celui qui pense que les Juifs
doivent s’installer dans des foyers épars, notamment en
Ukraine-Crimée.
Une
religion mondiale pour les non-juifs
Le
conférencier s’attacha à montrer pourquoi l’islam pose moins de
problèmes aux Juifs que les Chrétiens, car, pour les Musulmans,
Mahomet est également un prophète et que la Sainte Trinité n’est
pas admise non plus. Pierre Hillard le répète, certes avec
précaution afin de ne pas choquer certaines personnes de
l’assistance : « Dans
le cadre du noachisme, l’islam ne dérange pas la synagogue ».
Le noachisme est le giron de la future religion universelle.
La
mystique du chaos
Le
messianisme juif reste encore de nos jours dans l’attente de
cataclysmes qui prépareront la rédemption et la venue annoncée du
Messie. Plus la situation se dégrade, mieux c’est car le chaos
hâte son arrivée. C’est en effet le Juif qui a entre ses mains la
clé du tikkoun,
de la réparation du monde, car c’est le Juif qui a la capacité de
séparer le Bien du Mal et d’assurer la rédemption. Pour les Juifs
Israël est le centre de l’univers et le peuple juif sera
l’intermédiaire unique entre Dieu et les Hommes.
Les temps sont mûrs... Dans les désordres divers qui secouent la planète, on peut à juste titre être désorienté par la variété des problèmes croissants assaillant l'humanité. Crise financière insoluble, guerres multiples de basse et haute intensité, courants migratoires modifiant profondément les traits civilisationnels des pays d'accueils et intelligences de plus en plus déstructurées favorisant l'instabilité psychologique sont autant d'éléments permettant d'entretenir un chaos constructif.
Cet ouvrage présente une particularité, il tente d'expliquer l'esprit du mondialisme conditionnant des phénomènes politiques, économiques et spirituels variés. À partir de sept chapitres traitant de sujets divers accompagnant de nombreuses cartes, nous avons essayé de reconstituer pièce après pièce un immense puzzle planétaire. En nous aidant de sources officielles, nous avons tenté de cerner les causes profondes expliquant pourquoi le monde de 2017 présente des particularités propres à préparer une gouvernance mondiale.
À notre connaissance, c'est le premier atlas à traiter du mondialisme à ne pas confondre, comme nous l'avons expliqué dans cet ouvrage, avec la mondialisation. Nous prévenons le lecteur qu'il pourra être choqué par telle ou telle information même dûment référencée et incontestable. Voir les choses telles qu'elles sont et non telles qu'on aimerait qu'elles fussent est une gageure. La nature humaine est rebelle au monde réel et à ses causes. Notre fabuliste national, Jean de la Fontaine, en savait quelque chose. Ne disait-il pas : « L'homme est de feu au mensonge, mais de glace à la vérité ».
DARK VADOR
(Ci-dessous, la vidéo d'un extrait de la conférence de Pierre Hillard du 11 juin 2017.)
"Dark Vador est une émanation de l'esprit du judaïsme et de la Kabbale..."
2 notes :
1) Le costume de Dark Vador
Le journaliste Israël Itzhakyécrit, "les fans de Star Wars qui feront un arrêt sur image sur le costume de Dark Vador remarqueront trois rangées de lettres hébraïques sur son armure. Armure qui rappelle via sa forme et ses couleurs le Hoshen (pectoral) du Grand Prêtre. La ligne du milieu est très mystique : le mot Golem écrit à l’envers, cet être humanoïde dépourvu de libre-arbitre comme Vador, et Tzitz (couronne), la plaque en or qui reposait sur le front du Cohen Gadol où était écrit « Consacré à l’Eternel ». Prédestiné à se sacrifier pour le bien était-il ?"
2) La franc-maçonnerie juive (B'naï B'rith) contrôle-t-elle le cinéma ?
"Dès 1927, le B'naï B'rith avait ainsi signé un accord avec le principal syndicat de production et de distribution de films américains, la Motion Picture Producers and Distributors of America. Le prétexte en fut le film Le Roi des rois de Cecil B. De Mille, qui raconte la vie de Jésus. Alfred M. Cohen, président à l'époque du B'naï B'rith, obtint du célèbre cinéaste qu'il rectifie divers passages et modifie certaines scènes, de manière à « corriger » la fiction, en particulier le passage sur la Passion du Christ, afin de dédouaner de toute responsabilité les juifs." (Emmanuel Ratier)