mercredi, novembre 11, 2020

Trump, Biden et l'Etat profond

 

(2:52)

Générique d'ouverture du film "Le Bon, la Brute et le Truand" réalisé par Sergio Leone (1966), sur une musique d'Ennio Morricone, avec la guerre de Sécession comme toile de fond.


"Biden et Harris en échec ! D'abord Bill Barr et le Sénat autorisent les recomptages de voix dans tous les endroits où des irrégularités ont été constatées. Et ensuite Emily Murphy, fidèle de Donald Trump et Directrice des Services généraux de l'administration américaine, refuse de signer l'ordre permettant la transition entre les équipes de Joe Biden et Donald Trump. En clair, cela signifie qu'elle a fermé le robinet permettant de verser des billions de dollars qui auraient permis aux Démocrates de mettre en place leur propre administration pour gérer le pays. ET ELLE NE FERA RIEN TANT QUE LE RÉSULTAT OFFICIEL DE L'ÉLECTION NE SERA PAS ANNONCÉ ! Les Démocrates font grise mine, car cela retarde, entre autres, leur plan pour le coronavirus... Pas de pognon, pas de transition !", écrit le médium Daniel, qui, comme d'autres spiritualistes, n'ignore pas que nous assistons à une bataille entre le bien et le mal.


mardi, novembre 10, 2020

Un Bescherelle pour le freluquet.

Le souverainiste François Asselineau a twitté : "Macron a tenté de s'accaparer frauduleusement l'héritage politique et moral de De Gaulle. Mais en faisant une énorme faute sur le Livre d'Or qu'il a signé à Colombey."



"Allez hop un Bescherelle pour le freluquet. Sa trace à lui, ce sera celle de l’escargot", écrit Régis de Castelnau sur Twitter.

Hold Up, le film enquête sur le coronavirus, sort le 11 novembre


« La pandémie du Covid-19 a donné lieu à des échanges contradictoires entre médecins, spécialistes, professeurs, hommes politiques et experts, le tout orchestré et alimenté par le feu nourri des médias.

Les scientifiques se sont ainsi retrouvés discrédités avec notamment l’affaire du Lancet. Le Conseil scientifique, censé piloter cette pandémie, est ouvertement accusé d’incompétence et d’arrogance, preuves à l’appui.

Et nous dans tout ça ? Que penser ? Que faire avec toutes ces informations ? Qui croire ? Nous pensons qu’il y a urgence pour apporter un éclairage objectif et constructif qui mettra en lumière toutes ces révélations. »

C’est la base du film Hold-Up dont la sortie nationale est prévue mercredi 11 novembre.

(2:16)

Christophe Cossé, l’un des producteurs, ayant une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique, explique à France Soir que le but du film est de « nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler ‘Coup d’Etat’ » car , ajoute-il le monde est face à une « incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville, ‘’ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.‘’ »

« Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine » conclut Christophe Cossé.

Un film à voir absolument. Pour ceux qui doutent de la manipulation en cours.

Francesca de Villasmundo

Source :


lundi, novembre 09, 2020

Les extraterrestres : le vrai du faux

En relation avec les extraterrestres, un événement sous fausse bannière d'une extrême ampleur serait en préparation. "Un événement par rapport auquel les attentats du 11 Septembre ressembleraient à un simple accrochage de pare-chocs." 

(41:56)


Cette émission, "Joël Labruyère parle de...", traite d'un des sujets les plus cachés au monde, qui bouleverse complètement notre vision de la géopolitique internationale : les extraterrestres. Elle fournit des références et des documents qui démontrent le sérieux de cette question. 

Document (PDF) cité dans l'émission téléchargeable gratuitement ici : https://communaute-rose-epee.fr/wp-content/uploads/2020/11/les-OVNIs-dans-l-Histoire.pdf
 (compilation de témoignages historiques sur les OVNIs) 

SOMMAIRE DE L'EMISSION :

00:24 Témoignages et preuves à notre époque
06:54 Témoignages dans l’Histoire (de l’Antiquité à nos jours)
14:52 Peintures datant de la Renaissance ou du Moyen-Age mettant en scène des OVNIs : quand extraterrestres et religion se rejoignent
19:52 Le secret le plus caché de notre Histoire
21:08 Pourquoi des extraterrestres viennent-ils dans l’atmosphère terrestre ?
24:31 Le champ électromagnétique du système solaire, et les possibles moyens de déplacements interplanétaires
28:00 Des humanoïdes sur d’autres planètes ? Cherchent-ils des contacts humains et pourquoi ?
32:15 Le Système récupère la question extraterrestre : les autorités politiques comme religieuses s’en mêlent !

ÉMISSION À SUIVRE DANS UNE DEUXIÈME PARTIE ! 



Les mondialistes imposent l'état d'urgence permanent


Attali, qui est dans le secret des dieux démons, l'affirme : "Aucun gouvernement n'osera plus aujourd'hui revenir sur l'état d'urgence... On n'en sortira plus jamais..."




dimanche, novembre 08, 2020

L'âne, symbole du parti démocrate



L'âne est un symbole péjoratif de sorcellerie (avant le christianisme) par opposition au cheval. L'âne est un cheval déchu car ayant perdu l'essence cosmique propre aux équidés. Le roi monte le cheval ; son bouffon, souvent homme nain ou contrefait ou, même, démoniaque, monte l'âne.

Les Égyptiens voyaient en l'âne - bête de somme des nomades - le comble de l'abomination parce qu'il caricaturait aussi l'humain, par le lait d'ânesse, chimiquement proche de celui de la femme.

Il est surprenant que les Évangiles montrent Jésus, entrant triomphalement à Jérusalem, à dos d'âne ! Aux yeux des Orientaux anciens, il n'y avait là aucune noblesse.  [...]

(...) l'âne est tombé au pouvoir du daïmon planétaire, Satan, comme tous les êtres déchus ou dégénérés. D'où le caractère "diabolique" que certaines traditions attribuent à l'âne.


Jean Louis Bernard, Les archives de l'insolite.

 

Seth, qui fut en Egypte, entre autres, le « dieu à la tête d’âne », et qui, sous la forme de l’âne rouge "était représenté, écrit René Guénon, comme une des entités les plus redoutables parmi toutes celles que devait rencontrer le mort au cours de son voyage d’outre-tombe, ou, ce qui ésotériquement revient au même, l’initié au cours de ses épreuves ; ne serait-ce pas là, plus encore que l’hippopotame, la "bête écarlate" de l’Apocalypse ?

(...) En tout cas, un des aspects les plus ténébreux des mystères "typhoniens" était le culte du dieu à la tête d’âne, auquel on sait que les premiers chrétiens furent parfois accusés faussement de se rattacher 
(...) nous avons quelques raisons de penser que, sous une forme ou sous une autre, il s’est continué jusqu’à nos jours, et certains affirment même qu’il doit durer jusqu’à la fin du cycle actuel."



Les médias sont entre les mains de qui ?

(5:57)

Fils de Pangolin :
"Pensez-vous vraiment que ce sont les médias qui vont décider du résultat des élections ? Alors que la fraude va bon train ?"



Ils ont mis les médias "sous le joug" et "les conduisent avec des rênes solides"


(...) les "Protocoles" en 1905 :

« À travers la presse, nous avons acquis le pouvoir d’influencer tout en demeurant dans l’ombre

Le principal facteur de succès dans la politique est le secret de ses entreprises : les paroles ne doivent pas être en accord avec les actions des diplomates …

Nous devons contraindre les gouvernements … à agir dans le sens favorable à notre plan aux larges perspectives, qui approche déjà de sa consommation désirée. [Nous le ferons] par [le biais de] ce que nous présenterons comme étant l'opinion publique, secrètement orientée par nous au moyen de ce qu’on appelle la “grande puissance” — la Presse, qui, à quelques exceptions négligeables près, est déjà entièrement entre nos mains.

Envers la presse, nous nous conduirons de la manière suivante : Nous la mettrons sous le joug et la conduirons avec des rênes solides … nous devrons également nous assurer le contrôle de toutes les formes de publications. Il ne serait d’aucune utilité pour nous de contrôler les journaux, si nous restions exposés aux attaques des brochures et des livres …

Nul ne pourra impunément toucher au prestige de notre infaillibilité politique. Pour interdire une publication, nous trouverons le prétexte suivant : la publication qui vient d’être supprimée excitait, dirons-nous, l’opinion publique, sans aucune raison ou aucun fondement.

Les restrictions que nous imposerons — comme je l’ai dit — aux publications privées nous permettront de rendre certaine la défaite de nos ennemis, parce qu’ils n’auront aucun organe de presse à leur disposition au moyen duquel ils pourraient donner libre cours à leurs opinions. »

Telle est l’histoire des Protocoles jusqu’à présent. Leur attribution aux « sages » juifs est infondée et devrait être rejetée, sans préjuger de toute autre preuve de leadership juif de la révolution mondiale, en tant que telle. L’attaque juive contre les Protocoles était résolue, non à disculper la communauté juive, mais à stopper la publication sur l’allégation qu’elle « excitait l’opinion publique, sans aucune raison ou aucun fondement ». Les arguments avancés étaient faux ; ils disaient que les Protocoles ressemblaient étroitement à plusieurs publications précédentes et étaient ainsi des « plagiats » ou des « contrefaçons », alors que, ce que cela montrait était en vérité une chose évidente : ils faisaient partie de la littérature ininterrompue de la conspiration. Ils pouvaient aussi bien avoir été produits par des non-juifs ou des révolutionnaires antisémites, et cela est d’importance secondaire. Ce qu’ils prouvèrent, c’est que l’organisation révélée en premier lieu par les documents de Weishaupt existait 120 ans plus tard, et utilisait toujours les méthodes, et poursuivait le but alors exposés ; et quand ils furent publiés en anglais, la révolution bolchevique avait fourni la preuve.

À mon avis, les "Protocoles" fournissent le manuel essentiel pour les chercheurs de l’époque et du sujet. Si Lord Sydenham, en 1921, fut bloqué par la « connaissance étrange » qu’ils affichaient, « sur laquelle sont basées les prophéties maintenant littéralement accomplies », combien il serait davantage impressionné aujourd’hui, en 1956, où beaucoup plus ont été accomplies de manière tout aussi littérale. Par ce livre, n’importe quel homme peut voir comment les bouleversements des 150 ans passés furent provoqués, et comment ceux des cinquante ans suivants le seront ; il saura d’avance comment les « actes » de ses représentants élus différeront de leur « parole ».

Sur un point, je suis en mesure par ma propre expérience de tester le dicton de Lord Sydenham sur les prophéties accomplies. Les "Protocoles", parlant de contrôle de l’information publiée, disent :

« Aucune information n’atteindra la société sans passer par notre contrôle. Ceci est déjà pour nous un point acquis par le fait que toutes les nouvelles sont reçues de toutes les parties du monde par un petit nombre d’agences qui les centralisent. Lorsque nous serons arrivés au pouvoir, ces agences nous appartiendront entièrement et ne publieront que les nouvelles qu’il nous plaira de laisser paraître. »

Ce n’était pas cette situation en 1905, ou à l’époque de Lord Sydenham, ou en 1926, quand je devins journaliste, mais elle était en train de se développer, et c’est aujourd’hui la situation. Le flot de « nouvelles » qui se déverse sur l’opinion publique par les journaux vient de quelques agences, comme si sortant d’une demi-douzaine de robinets. N’importe quelle main pouvant contrôler ces valves peut contrôler les « nouvelles », et le lecteur peut observer par lui-même la forme filtrée sous laquelle les nouvelles l’atteignent.

Quant aux vues éditoriales, basées sur cette livraison de nouvelles, on peut comprendre la transformation qui a été provoquée, en se référant aux articles impartialement critiques publiés dans le Times, le Morning Post, le Spectator, le Dearborn Independent et des milliers d’autres journaux, il y a environ vingt-cinq ans. Cela ne pourrait pas arriver aujourd’hui. La subjugation de la presse a été accomplie comme les "Protocoles" l’avaient prédit, et par le hasard de ma génération et de ma vocation, je l’ai vue arriver.

L’étude comparative des "Protocoles" et des papiers de Weishaupt mène à la forte déduction que les deux proviennent d’une source commune et bien plus ancienne. Ils ne peuvent avoir été le produit d’aucun homme seul ou d’un seul groupe d’hommes dans la période où ils furent publiés ; la « connaissance étrange » qu’ils exposent eux manifestement sur l’expérience cumulative des âges. Cela s’applique particulièrement (dans les papiers de Weishaupt tout comme dans les Protocoles) à la connaissance des faiblesses humaines, qui sont sélectionnées avec une exactitude analytique, la méthode d’exploitation de chacune d’entre elles étant décrite avec une jubilation dédaigneuse.

L’instrument à utiliser pour la destruction des États-nations chrétiens et de leur religion est « la foule. » Le mot est utilisé avec un mépris virulent pour décrire les masses (qui en public sont flattées en se faisant appeler « le peuple »).

« Il faut remarquer que le nombre des hommes aux instincts corrompus est plus grand que celui des gens aux instincts nobles. C’est pourquoi les meilleurs résultats s’obtiennent, dans le gouvernement du monde, en employant la violence et l’intimidation...

Il faut se rendre compte que la force de la foule est aveugle, dépourvue de raison dans le discernement et qu’elle prête l’oreille tantôt à droite, tantôt à gauche. »

À partir de là, il est développé l’argument qu’ « un despotisme absolu » est nécessaire pour gouverner « la foule », qui est « sauvage », et que « notre État » emploiera « la terreur [qui tend à] produire une soumission aveugle. » « L’accomplissement littéral » de ces préceptes en Russie communiste doit être évident à tous aujourd’hui.
Ce « despotisme absolu » doit être investi dans le super-État international au bout du chemin. Entre-temps des despotes-marionnettes régionaux sont dépeints comme l’élément essentiel au processus de destruction de la structure des États et des défenses des peuples :

« De la part de leurs élus dictateurs actuels, Présidents du Conseil et ministres, ils supportent des abus pour le moindre desquels ils auraient assassiné vingt rois. Comment expliquer un tel état de choses ?... Parce que les despotes persuadent le peuple, par l’intermédiaire de leurs agents, que, même s’ils faisaient un mauvais usage du pouvoir et portaient préjudice à l’État, ce serait dans un but élevé, c’est-à-dire en vue de la prospérité du peuple pour la cause de la fraternité, de l’union et de l’égalité internationales.

Certes, ils ne leur disent pas qu’une telle unification ne peut être obtenue que sous notre domination. »

Ce passage est d’un intérêt particulier. Les termes « dictateurs, Présidents du Conseil et ministres » n’aurait pas été généralement compris en 1905, où les peuples d’Occident croyaient que leurs représentants élus exprimaient et dépendaient de leur approbation. Cependant, ils sont devenus applicables pendant les Première et Seconde Guerres mondiales, lorsque des présidents américains et des Premiers ministres britanniques se firent, en fait, « élus dictateurs » et utilisèrent des pouvoirs extraordinaires au nom « de la prospérité du peuple … la fraternité … l’égalité internationales... » De plus, ces élus dictateurs, durant les deux guerres, dirent vraiment aux peuples que la fin ultime de tout serait « l’unification » sous un gouvernement mondial d’un certain type. La question, qui dirigerait ce gouvernement mondial, fut une question qui ne ne reçut jamais de réponse directe ; tant d’autres points des Protocoles ont été accomplis, que leur affirmation que ce serait l’instrument de la conspiration pour gouverner le monde « par la violence et l’intimidation » mérite qu’on y réfléchisse à deux fois.

Extrait du Livre de Douglas Reed "La controverse de Sion".

Télécharger gratuitement le PDF 


samedi, novembre 07, 2020

Présidentielle américaine, la fraude électorale

Général Flynn : 

"Nous, le peuple, gardons la foi, nous l'emporterons. Soldats numériques continuez à briller d'une lumière forte sur leurs ténèbres (...). C'est notre engagement envers les générations futures...
Restons une nation sous Dieu."

La fraude électorale due aux "bugs informatiques"

(4:15)



Comment les agents des ténèbres ont été piégés


(1:24)

Dr Steve Pieczenik a propos des bulletins de vote : "(...) Il ne s'agit donc pas d'une élection volée. Au contraire, nous avons inversé tout le jeu de la guerre selon les principes de Sun Tzu (L'art de la guerre)..."

Une bataille spirituelle se déroule-t-elle aux USA ?

Le pape François apôtre du village global rêvé par les mondialistes et les maçons
(Lire l'article de Francesca de Villasmundo)

L'archevêque VIGANO dénonce l’infiltration maçonnique luciférienne dans l'Eglise, s'oppose à la dictature mondialiste et accuse Biden de fraude électorale. Il écrit : 


(...) Les rapports de fraude électorale se multiplient, malgré les tentatives honteuses des grands médias de censurer la vérité des faits au profit de leur candidat. Il y a des États où le nombre de voix dépasse le nombre d’électeurs ; d’autres où le vote par correspondance semble être exclusivement en faveur de Joe Biden ; d’autres encore où le dépouillement des bulletins est suspendu sans raison ou où l’on découvre des violations flagrantes : toujours et seulement contre le président Donald J. Trump, et toujours et seulement au profit de Biden.

Depuis des mois, en vérité, nous assistons à un flot continu de nouvelles falsifiées, d’informations manipulées ou censurées, de crimes silencieux ou cachés face à des preuves éclatantes et des témoignages incontestables. Nous avons vu le Deep State s’organiser, bien à l’avance, pour mener à bien la fraude électorale la plus colossale, pour faire échouer celui qui, aux États-Unis d’Amérique, s’oppose inlassablement à l’instauration du Nouvel Ordre mondial voulu par les enfants des ténèbres. Dans cette bataille, vous n’avez pas renoncé, comme c’est votre devoir sacré, à apporter votre contribution en prenant le parti du Bien. D’autres, esclaves des vices ou aveuglés par la haine infernale contre Notre Seigneur, ont pris le parti du Mal.

Ne pensez pas que les enfants des ténèbres agissent honnêtement, et ne vous scandalisez pas s’ils opèrent par la tromperie. Croyez-vous que les disciples de Satan sont honnêtes, sincères et loyaux ? Le Seigneur nous a mis en garde contre le diable : « Il a été meurtrier dès le début et n’a pas persévéré dans la vérité, car il n’y a pas de vérité en lui. Quand il dit le faux, il parle du sien, car il est menteur et père du mensonge » (Jn 8, 44).

En ces heures, alors que les portes des Enfers semblent l’emporter, permettez-moi de vous adresser un appel, auquel j’espère que vous répondrez rapidement et généreusement. Je vous demande un acte de foi en Dieu, un geste d’humilité et de dévotion filiale envers le Seigneur des armées. (...)

Lire la suite :

http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2020/11/05/fraudes-electorales-lappel-dramatique-de-mgr-vigano-aux-catholiques-americains/


vendredi, novembre 06, 2020

Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose

(18:57)



EMA KRUSI :

"Vous vous demandez sûrement comment ça se fait que ceux qui étaient vos amis il y a peu, ces personnes avec qui vous partagiez les mêmes valeurs… puissent maintenant avoir perdu tout contrôle de leur raison.. vous leur expliquer les chiffres, leur apportez des études, des faits. Mais les yeux restent vides, rien ne se passe. Et vous vous dites: c’est pas possible ! Ils dorment ! En réalité, vous n’avez pas si tort que ça. En réalité, le monde est sous hypnose… 

Avez-vous déjà entendu parler de l’ingénierie sociale ? De la fabrique du consentement ? Je vais aller droit au but aujourd’hui. J’ai une question pour vous: pensez-vous que ceux qui vous dirigent souhaitent votre bien ? Pensez-vous qu’il serait possible qu’ils vous connaissent mieux que vous ?"

Télécharger gratuitement le livre de Bernays Edward 
Propaganda - Comment manipuler l'opinion en démocratie


Edward L. Bernays, né à Vienne en novembre 1891, est mort plus que centenaire à Cambridge, Massachusetts, en mars 1995. Son nom reste le plus souvent inconnu du grand public, et pourtant Bernays a exercé, sur les États-Unis d'abord, puis notamment sur les démocraties libérales, une influence considérable. En fait, on peut raisonnablement accorder à John Stauber et à Sheldon Rampton qu'il est difficile de complètement saisir les transformations sociales, politiques et économiques du dernier siècle si l'on ignore tout de Bernays et de ce qu'il a accompli. C'est qu'Edward L. Bernays est généralement reconnu comme l'un des principaux créateurs (sinon le principal) de l'industrie des relations publiques et donc comme le père de ce que les Américains nomment le spin, c'est-à-dire la manipulation – des nouvelles, des médias, de l'opinion – ainsi que la pratique systématique et à large échelle de l'interprétation et de la présentation partisanes des faits. On pourra prendre une mesure de l'influence des idées de Bernays en se rappelant la percutante remarque d'Alex Carey, suggérant que « trois phénomènes d'une considérable importance politique ont défini le XXe siècle ». Le premier, disait-il, est « la progression de la démocratie », notamment par l'extension du droit de vote et le développement du syndicalisme ; le deuxième est « l'augmentation du pouvoir des entreprises » ; et le troisième est « le déploiement massif de la propagande par les entreprises dans le but de maintenir leur pouvoir à l'abri de la démocratie ». L'importance de Bernays tient précisément au fait qu'il a, de manière prépondérante et peut-être plus que quiconque, contribué à l'articulation et au déploiement de ce troisième phénomène. Sous le titre revendiqué de Propaganda, l'ouvrage que vous allez lire est paru en 1928 et il peut être considéré comme une manière de « carte de visite » présentée avec assurance, voire avec candeur, aux clients susceptibles de recourir aux services de la déjà florissante industrie créée par Bernays moins de dix ans plus tôt. Après avoir exposé les fondements, en particulier politiques et psychosociaux, de la pratique des relations publiques qu'il préconise (chapitres 1 à 4), Bernays entreprend de donner des exemples concrets de tâches qu'elles peuvent accomplir ou ont déjà accomplies. Il insiste tout d'abord, comme on pouvait s'y attendre, sur la contribution que les relations publiques peuvent apporter aux institutions économiques et politiques (chapitres 5 et 6) ; mais il évoque aussi ensuite, avec la très nette intuition de l'extraordinaire étendue des domaines d'intervention qui s'ouvrent à la nouvelle forme d'« ingénierie sociale » qu'il met en avant, les services que les relations publiques peuvent rendre à la cause des femmes, aux oeuvres sociales, à l'éducation, ainsi qu'à l'art et à la science (chapitres 7 à 10). Par-delà ces exposés, où il est parfois difficile de ne pas entendre le ton du bonimenteur, cette ambitieuse oeuvre de propagande en faveur de la propagande fournit l'occasion, à un personnage au parcours atypique, d'exposer et de défendre sa solution au problème de la démocratie contemporaine tel qu'il le conçoit. Et c'est peut-être justement par les idées qu'il expose à ce sujet, par la transparence avec laquelle il dévoile certaines des convictions les plus intimes qui prévalent au sein d'une large part des élites de nos sociétés et de ses institutions dominantes, que cet ouvrage constitue un incontournable document politique. Pour le constater, il sera utile de sommairement situer Bernays dans son temps. ...

mardi, novembre 03, 2020

Avons-nous succombé à la tyrannie ?



Comme Sarkozy, qui l'avait clairement affirmé en 2009, Hollande et Macron 
ont été mis en place pour instaurer la dictature mondialiste. 

"Nos dirigeants, écrit Henry Makow, ne sont pas choisis pour leur intelligence ou leurs accomplissements, mais plutôt grâce à leur capacité de gagner la confiance des peuples pour mieux les trahir. Ils sont choisis par une petite clique satanique de banquiers kabbalistes et de francs-maçons qui contrôle les finances mondiales et les médias. Nos «dirigeants» sont les membres subalternes de ce culte international, appelé l’Ordre des Illuminati. (Alain Minc, éminence grise de Rothschild, a révélé publiquement l'existence d'une structure secrète qui contrôle le monde et qu'il nomme "la gouvernance mondiale... informelle". Depuis plusieurs mois, cette gouvernance a accéléré son plan diabolique d'esclavagisation de l'humanité.)  

«Nous avons remplacé le gouvernant par une caricature du gouvernement, par un président, pris dans la foule, au milieu de nos créatures, de nos esclaves», gloussent les maîtres du plan. Beaucoup de «dirigeants» sont maintenus dans la ligne en les faisant se livrer à des rituels occultes effroyables, y compris à des sacrifices humains, des orgies sexuelles, à la pédophilie, au viol, à la torture et au
meurtre.

L’objectif des Illuminati est de dégrader et d’asservir l’humanité, mentalement et spirituellement, si ce n’est physiquement. L’influence de ce groupe est comme un cancer qui s’étend sur toute la société. Il a subverti de nombreuses organisations apparemment bienveillantes (comme les organismes de bienfaisance et les corporations professionnelles) et la plupart des mouvements politiques, en particulier le Sionisme, le Communisme, le Socialisme, le Libéralisme, le Néoconservatisme et le Fascisme. C’est pourquoi la société semble être dirigée par des hommes sans âme avec des visages pincés qui crachent des platitudes et exsudent le mal.

Les Illuminati ont subverti toutes les religions et les institutions, y compris un groupe qui se croit «élu par Dieu». En fait, les dirigeants de ce groupe figurent en bonne place dans la création de cette dispensation satanique. Mais chaque fois que des esprits critiques suggèrent que les «élus» sont trompés, égarés et trahis, ils sont accusés de «racisme», une manière habile d’annihiler toute résistance.

Ainsi, l’attention porté sur le problème le plus pressant de tous les temps est rejeté comme étant un «préjugé». Et les élus continuent de servir de pions, de boucs émissaires et de boucliers humains pour leurs «dirigeants» trompeurs et diaboliques.

Comme un faisceau de sécurité, la tyrannie des Illuminati est invisible jusqu’à ce que vous la traversiez. Alors, les portes se ferment en silence et les positions d’influence vous sont refusées. Si vous persistez, vous êtes calomnié, mis en faillite ou même tués. Dans l’avenir, les diseurs de vérité et les dissidents se verront refuser l’accès au crédit et au commerce. Il est étonnant de voir avec quelle facilité nous avons succombé à la tyrannie.

Le succès auprès du public est déterminé par l’acquiescement - volontaire ou involontaire - à ce complot diabolique. Les occidentaux portent des œillères [...]. Notre confort matériel et nos réalisations technologiques sont grands, mais culturellement et spirituellement, nous sommes pauvres et enchaîné."


lundi, novembre 02, 2020

Le Coup d'État mondial confirmé

"Le Premier ministre Jean Castex a annoncé dimanche soir que la fermeture des rayons de produits non-essentiels dans les grandes surfaces entrera en vigueur à compter de mardi. Une mesure prise en réponse à la colère des commerçants, empêchés de pouvoir ouvrir leurs boutiques à la différence des magasins de la grande distribution."




Radio Québec sur Twitter :

"On tue l'économie à dessein. Les gouvernements savent et sont complices. On prépare le Grand Reset technocratique. Le Coup d'État mondial confirmé."

Sauf un événement providentiel, la dictature mondialiste sera finalisée après la destruction de l'économie et une paupérisation généralisée.



*******

Concrètement, les grandes surfaces ne pourront plus «vendre les produits qui ne peuvent être vendus par les magasins de proximité frappés de fermeture». Ainsi à partir du mardi 3 novembre, les rayons qui seront fermés comprennent :

les livres
les jouets
les vêtements
les fleurs
l'électroménager
les meubles
les bijoux
Les produits d’hygiène gardés, mais pas le maquillage.

Certains rayons ambivalents ont soulevé des interrogations quant à leur fermeture, notamment ceux qui proposent à la fois cosmétiques et produits d'hygiène. «Les produits d'hygiène seront gardés, le maquillage non, les grandes surfaces les retireront», a 
précisé le secrétaire d'Etat aux PME Alain Griset [...].

En plus des produits d'hygiène, les hypermarchés continueront à vendre les produits alimentaires et boissons, le matériel informatique, le matériel automobile, la quincaillerie, la presse. Par ailleurs, aucune obligation pour ces magasins de retirer de leur plateforme en ligne les produits jugés non-essentiels, car seuls les rayons seront fermés.



dimanche, novembre 01, 2020

La dictature mondialiste, une aubaine pour les véritables spiritualistes


(11:48)

Conseiller scientifique, fausse pandémie et vraie météorite de la fin du monde.



Le samsara est soumis à des cycles. Le cycle actuel, le plus sombre de l'histoire de l'humanité, est paradoxalement une aubaine pour les véritables spiritualistes qui aspirent à la Libération, parce que les illusions ont maintenant moins d'emprise sur eux. Durant d'autres périodes, le samsara et ses belles chimères exerçaient sur l'esprit humain un puissant attrait. De nos jours, ce monde moribond a perdu ses charmes. L'existence quotidienne du salarié moyen est un enfer. C'est un constat brutal mais objectif qui n'ignore pas les valeurs fondamentales de la vie.

Beaucoup de personnes, que la tradition orientale appelle les "pashus", les moutons (animaux), sont conditionnées par le système et ne possèdent ni le discernement ni la force nécessaire pour s'émanciper. En général, ces malheureux gobent les mensonges de leurs maîtres, les imposteurs qui contrôlent l'économie, la politique et la religion. Ils croient naïvement que ces prédateurs accrochés au pouvoir temporel et pseudo-spirituel vont créer un monde meilleur, un paradis terrestre et promouvoir un art du bonheur planétaire. Quel bobard !

Heureusement, quelques irréductibles ne sont pas dupes. Ils se mettent en retrait du monde en vivant chichement d'une modeste activité manuelle et d'un lopin de terre. Le nouvel ordre mondial aura du mal à débusquer les "samouraïs farmers" protégés par une force vivifiante (leur katana) qui vient du cœur du cosmos. Le règne des prédateurs ne sera pas éternel.




samedi, octobre 31, 2020

L'infiltration maçonnique luciférienne dans l'Eglise



(5:23)


Alexandre Lebreton : "Viganò sur l'anti-église (Église éclipsée) résultant de l'infiltration Maçonnique luciférienne."

Source : Archbishop Viganò Addresses the Catholic Identity Conference 2020 (Francis & the New World Order) https://www.youtube.com/watch?v=NbO-1jO1LlE



Non au Grand Reset : l'appel de l'archevêque Vigano à Donald Trump

(6:06)

 


LETTRE OUVERTE

AU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE DONALD J. TRUMP


Dimanche 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi

Monsieur le Président,

Permettez-moi de m’adresser à vous en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris au milieu du silence des autorités civiles et religieuses. Puissiez-vous accepter ces paroles comme la voix de celui qui crie dans le désert »(Jn 1, 23). Comme je l’ai dit lorsque je vous ai écrit ma lettre en juin, ce moment historique voit les forces du Mal alignées dans une bataille sans quartier contre les forces du Bien; des forces du Mal qui apparaissent puissantes et organisées alors qu’elles s’opposent aux enfants de la Lumière, qui sont désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.

Chaque jour, on sent les attaques se multiplier de ceux qui veulent détruire la base même de la société: la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour de la patrie, la liberté de l’éducation et des affaires. Nous voyons des chefs de nations et des chefs religieux se plier à ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les droits fondamentaux des citoyens et des croyants sont niés au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus instrumentale à l’établissement d’une tyrannie inhumaine et sans visage.

Un plan mondial appelé Great Reset est en cours. Son architecte est une élite mondiale qui veut soumettre toute l’humanité, imposant des mesures coercitives avec lesquelles limiter drastiquement les libertés individuelles et celles de populations entières. Dans plusieurs pays, ce plan a déjà été approuvé et financé; dans d’autres, il n’en est qu’à ses débuts. Derrière les dirigeants mondiaux qui sont les complices et les exécuteurs de ce projet infernal, il y a des personnages sans scrupules qui financent le Forum économique mondial et l’événement 201, faisant la promotion de leur agenda.

Le but de la Grande Réinitialisation est l’imposition d’une dictature de la santé visant à l’imposition de mesures liberticides, cachées derrière des promesses tentantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette individuelle. Le prix de ces concessions du Fonds monétaire international sera la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre Covid-19 et Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration des principaux groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui motivent les promoteurs de la Grande Réinitialisation, l’imposition de la vaccination s’accompagnera de l’exigence d’un passeport sanitaire et d’une identification numérique, avec pour conséquence le suivi des contacts de la population du monde entier. Ceux qui n’accepteront pas ces mesures seront confinés dans des camps de détention ou placés en résidence surveillée et tous leurs biens seront confisqués.

Monsieur le Président, j’imagine que vous savez déjà que dans certains pays, la Grande Réinitialisation sera activée entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. A cet effet, de nouveaux verrouillages sont prévus, qui seront officiellement justifiés par un supposée deuxième et troisième vague de la pandémie. Vous connaissez bien les moyens qui ont été déployés pour semer la panique et légitimer les limitations draconiennes des libertés individuelles, provoquant astucieusement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses architectes, cette crise servira à rendre irréversible le recours des nations à la Grande Réinitialisation, donnant ainsi le coup final à un monde dont ils veulent complètement annuler l’existence et la mémoire même. Mais ce monde, Monsieur le Président, comprend les gens, les affections, les institutions, la foi, la culture, les traditions et les idéaux: des gens et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’ils sont dotés d’une âme et d’une cœur, parce qu’ils sont liés entre eux par un lien spirituel qui puise sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, tout comme Lucifer le faisait au début des temps avec son «non serviam».

Beaucoup de gens – on le sait bien – sont agacés par cette référence à l’affrontement entre le Bien et le Mal et l’utilisation de connotations «apocalyptiques», qui selon eux exaspère les esprits et aiguise les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi soit en colère d’être découvert au moment même où il croit avoir atteint la citadelle qu’il cherche à conquérir sans être dérangé. Ce qui est surprenant, cependant, c’est qu’il n’y a personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction de l’État profond à ceux qui dénoncent son plan est brisée et incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des médias traditionnels avait réussi à rendre la transition vers le Nouvel Ordre Mondial presque indolore et inaperçue, toutes sortes de tromperies, de scandales et de crimes se font jour.

Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de dénigrer en tant que «théoriciens du complot» ceux qui dénonçaient ces plans terribles, que l’on voit maintenant se réaliser dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé que, dans toutes nos villes, des citoyens seraient arrêtés simplement pour avoir voulu marcher dans la rue, respirer, vouloir garder leurs affaires ouvertes, vouloir aller à l’église le dimanche. Pourtant, maintenant, cela se passe partout dans le monde, même dans une Italie de carte postale que de nombreux Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes charmantes, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés à l’intérieur de leurs palais promulguant des décrets comme des satrapes persans, les entreprises font faillite, les magasins ferment et les gens sont empêchés de vivre, de voyager, de travailler et de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération se voient déjà, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés et de nos enfants, séparés de leurs amis et camarades de classe, invités à suivre leurs cours assis seuls à la maison devant un ordinateur.

Dans la Sainte Écriture, Saint Paul nous parle de «celui qui s’oppose» à la manifestation du mystère de l’iniquité, le kathèkon (2 Th 2, 6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle au mal est l’Église, et en particulier la papauté; dans la sphère politique, ce sont ceux qui font obstacle à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Comme il l’est clair maintenant, celui qui occupe la présidence de Peter a trahi son rôle dès le début afin de défendre et de promouvoir l’idéologie mondialiste, en soutenant l’agenda de l’Église profonde, qui l’a choisi dans ses rangs.

Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la Nation Unique sous Dieu, les libertés fondamentales et les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher président, qui êtes celui qui vous oppose à «l’État profond, l’assaut final des enfants des ténèbres.

Pour cette raison, il est nécessaire que toutes les personnes de bonne volonté soient persuadées de l’importance historique de l’élection imminente: pas tant pour tel ou tel programme politique, mais à cause de l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, qu’ils veulent annuler par le biais du verrouillage. Votre adversaire est aussi notre adversaire: c’est l’ennemi du genre humain, celui qui est un meurtrier depuis le début »(Jn 8, 44).

Autour de vous sont rassemblés avec foi et courage ceux qui vous considèrent comme la garnison finale contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour une personne manipulée par l’État profond, gravement compromise par les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte en Italie, le président Macron en France. , Premier ministre Sanchez en Espagne, et ainsi de suite. La nature blackmailable de Joe Biden – tout comme celle des prélats du «cercle magique» du Vatican l’exposera à être utilisé sans scrupules, permettant à des pouvoirs illégitimes d’interférer à la fois dans la politique intérieure et dans les équilibres internationaux. Il est évident que ceux qui le manipulent ont déjà quelqu’un de pire que lui prêt, avec qui ils le remplaceront dès que l’occasion se présentera.

Et pourtant, au milieu de cette sombre image, cette avancée apparemment imparable de «l’ennemi invisible», un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et il ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour subjuguer les masses et les convaincre d’être stigmatisées comme du bétail. Ce peuple, qui subit depuis trop longtemps les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme; il comprend qu’il n’est pas disposé à échanger sa liberté contre l’homogénéisation et l’annulation de son identité; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Cette grande réinitialisation est vouée à l’échec car ceux qui l’ont planifiée ne comprennent pas qu’il y a encore des gens prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, pour protéger leurs proches, pour donner un avenir à leurs enfants et petits-enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste se brisera misérablement face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan de son côté. Celui qui ne sait que haïr. Mais de notre côté, nous avons le Seigneur Tout-Puissant, le Dieu des armées déployées pour la bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous? » (Rom 8:31).

Monsieur le Président, vous savez bien qu’en cette heure cruciale, les États-Unis d’Amérique sont considérés comme le mur de défense contre lequel la guerre déclarée par les partisans du mondialisme s’est déclenchée. Mettez votre confiance dans le Seigneur, fortifiés par les paroles de l’apôtre Paul: «Je peux tout en celui qui me fortifie» (Ph 4, 13). Être un instrument de la Divine Providence est une grande responsabilité, pour laquelle vous recevez certainement toutes les grâces d’État dont vous avez besoin, puisqu’elles sont implorées avec ferveur pour vous par les nombreuses personnes qui vous soutiennent par leurs prières.

Avec cette espérance céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout mon cœur je vous envoie ma bénédiction

Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique !

+ Carlo Maria Viganò

Archevêque d’Ulpiana
Ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique


Source :


vendredi, octobre 30, 2020

Le diable de Paris terrorise la population

Salim Laïbi (Le Libre Penseur) trouve étrange la "chronologie : attaques terroristes et mesures restrictives. C’est quand même bizarre non ! À 24h près, le gouvernement et les terroristes sont pile synchros !"

Le quotidien iranien Vatan Emrooz a représenté Emmanuel Macron en "diable de Paris" sur sa Une.



Le confinement réduit le peuple en esclavage, il détruit l’économie réelle et prépare le terrain au vaccin

par Johan Livernette


La dictature sanitaire s’est soudainement accélérée et durcie. Il fallait s’y attendre. En quelques mois seulement, nous sommes passés du confinement au port du masque obligatoire. Puis au couvre-feu nocturne dans de nombreux départements à un nouveau confinement. Le second. Et ce dans un objectif vaccinatoire annoncé, entre autres, par Jacques Attali : « Pas de fin du confinement sans médicament et vaccin. »

Fausse pandémie et vraie dictature sous prétexte sanitaire

Les choses sont de plus en plus claires pour qui veut voir la réalité en face. Les réponses à nos interrogations le sont aussi à présent. Le confinement du printemps dernier fut en aucun cas nécessaire et salutaire. Pas plus que le port du masque obligatoire après qu’on nous ait annoncé qu’il est inutile ! [1] Imposer le couvre-feu en soirée s’apparente à un confinement nocturne. Cela ne fait qu’aggraver la situation économique et ne stoppera point la propagation d’un virus qui ne tue pas et ne rend même pas malade ! Enfin, le reconfinement imposé le 28 octobre par Macron, sur la base de statistiques mensongères, n’est absolument pas légitime ni nécessaire. Cela dépasse l’entendement, le simple bon sens et la raison. Il est désormais évident que cette « crise sanitaire » n’est qu’une énorme mascarade, une fumisterie. Un coup monté et piloté en haut lieu par les pontes du cartel bancaire et de Big Pharma qui seront les principaux bénéficiaires de cette crise. Même le macroniste et très peu complotiste Mourad Boudjellal l’a compris et affirmé ! La sœur de Cristiano Ronaldo considère, elle, que cette « pandémie » est « la plus grosse arnaque » qu’elle a jamais vue.

Les spécialistes de santé comme les docteurs Raoult, Perronne, Toussaint et Toubiana en attestent : il n’existe pas de seconde vague. Il s’agit d’une fausse pandémie, d’une fausse crise sanitaire que les médias instrumentalisent (sur la base de chiffres mensongers) à des fins politiques en maintenant les populations dans la psychose. Un patient a une rhinopharyngite : Covid-19 ! Un gros rhume ? Covid-19 ! Une angine ? Covid-19 ! Une pulmonie ? Covid-19 ! Un état grippal ? Covid-19 ! Et c’est ainsi que les statistiques grimpent pendant que certains médecins avouent la supercherie. La propagande de la peur fait des dégâts. Cautionnées par un conseil scientifique corrompu, les statistiques mensongères annoncées chaque jour dans les médias ont préparé le terrain à ce reconfinement. Elles tendent à justifier des mesures gouvernementales disproportionnées et indécentes au regard de la situation réelle. Comme dans le roman « 1984 », le décalage est saisissant entre le monde décrit dans les médias et la vérité du terrain. En somme, rien ne justifie un tel cirque. [2]

La censure s’intensifie

Sur le terrain, l’ambiance s’est considérablement dégradée. Les seniors masqués ont peur. Les anti-masques sont regardés de travers alors que les policiers ne servent plus qu’à fliquer pitoyablement le port du masque. Dans le même temps, le système sévit sur ses opposants réels appelés « dissidents » : prison ferme pour le « judéologue » nationaliste Hervé Ryssen, 134400 € d’amende pour Alain Soral et E&R, plaintes contre l’humoriste Dieudonné, contre Jérôme Bourbon (directeur de Rivarol), contre Salim Laïbi, censure tous azimuts sur Internet (Dieudonné, abbé Rioult, E. Michael Jones, Radio-Québec, QAnon…). Sur les réseaux sociaux, la vérité est cataloguée « fake news » par des médias subventionnés par l’État ! Facebook interdit à présent tout propos révisionniste. Ce réseau social s’apprête à censurer tous les messages anti-vaccins. De plus, avec la prolongation de l’état d’urgence, [3] la police peut intervenir où elle veut et quand elle veut. La répression contre la contestation authentique est clairement montée d’un cran. Jusqu’où ira-t-elle ? Jusqu’où ira cette dictature sanitaire ? Jusqu’à la vaccination obligatoire, c’est évident, car cette « plandémie » ne s’arrêtera qu’avec le vaccin et pas avant.

La majorité de la population s’est accommodée du masque qui empêche de respirer correctement. Les mêmes qui ont toléré cette muselière réclameront le vaccin pour sortir du confinement. Car un peuple maintenu dans la peur de la répression est prêt à tout accepter, tout subir. Prophétisés en 2010 par la fondation Rockefeller, les confinements préparent le terrain au vaccin tout en asservissant les peuples. À travers ces mesures irresponsables et désastreuses, il y a une évidente volonté de massacrer l’économie réelle des nations, le commerce local, au profit des multinationales, de l’économie fictive, celle de la haute finance qui, tel un vampire, se nourrit de dettes, de la paupérisation de la société. Le peuple doit comprendre que son ennemi n’est pas les réinformateurs que nous sommes mais bien le cartel bancaire, la Fed, BlackRock, la BCE, le FMI, Big Pharma, l’UE et leurs laquais de la politique (Macron, Merkel, Johnson, Trudeau…) qui valident les décisions oligarchiques prises dans des cercles occultes.


La vie en société est morte en 2020

Le premier confinement n’a rien solutionné. Les mesures prises lors du second sont toutes aussi incohérentes. Elles vont détruire nombre d’entreprises mais aussi de couples. À cause d’un simple virus, nul n’a désormais le droit de se balader seul dans sa ville, de pratiquer un sport, de voyager, de voir un ami ou sa famille. La vie en société est morte en 2020. Vivre en homme libre est devenu impossible. En revanche, s’amasser dans les centres commerciaux, les transports en commun et les écoles est autorisé. Sous prétexte de « protection sanitaire », le citoyen français a uniquement le droit, en 2020, de travailler, de s’agglutiner dans le métro puis de rester enfermé à son domicile, en mettant une muselière pour sortir à deux pas de chez lui ! [4] Tel est l’esclavage moderne imposé à la majorité opprimée.

L’augmentation du chômage ne réglera pas le problème du coronavirus. Les dirigeants de la république française le savent très bien. Mais c’est pourtant le chemin que prennent les nations. Le coronavirus est un accélérateur de crise, un marchepied vers un nouveau monde. Le virus aura bon dos. Il justifiera une crise économique qui sera comparable voire pire à celle de 1929. C’est donc vers le chaos social que nous nous dirigeons. Et par conséquent vers l’autonomie et la survie.

Avec ce virus, les architectes du désordre mondial -qui n’apparaissent jamais en première ligne dans les médias (contrairement à Bill Gates et Macron)- ont trouvé un bon prétexte pour faire basculer le monde vers un nouvel ordre, avec de nouvelles normes. C’est cela le Nouvel Ordre Mondial que nous annonçons depuis plus de 10 ans dans nos livres, vidéos et articles. À un problème international, la réponse sera internationale et la nouvelle gouvernance mondiale. C’est ce que les dits « complotistes » ont averti depuis des années et qui est en train de se produire en temps réel, sous nos yeux. La société française est à un tournant critique de son histoire. Alors que la mortalité reste stable, les restrictions se durcissent. Les sanctions tombent. Nos libertés s’amenuisent. La dictature mondialiste est en marche. Dans certains pays comme le Canada, l’Irlande et l’Australie, elle est aussi sévère voire pire que chez nous.

Rassemblements non autorisés et… autorisés

Alors que la dictature sanitaire se poursuit, l’infâme Jorge Mario Bergoglio a annoncé, sous influence LGBT, qu’il défend l’union civile des homosexuels. Et alors que la république réprime tout regroupement de plus de 6 personnes, des rassemblements massifs (par milliers) ont eu lieu pour rendre hommage à Samuel Paty, professeur décapité par un jeune tchétchène islamiste. Mais là visiblement, quand il s’agit de s’offusquer d’un fléau (le terrorisme islamique) qu’elle a elle-même désigné [5] après l’avoir permis sur le sol français, la république tolère. Alors que pour tout autre rassemblement, elle sanctionne.

Malgré les faits, les incohérences gouvernementales, malgré la dictature en marche, malgré cet asservissement programmé, toutes ces mesures absurdes, ces réductions de liberté, cet empêchement illégitime de vivre normalement, le peuple ne se réveille pas et se soumet. Et devant la crainte de la répression, il y a très peu de réactions et il n’y aura probablement pas de sursaut humain, les gaulois réfractaires s’étant perdus dans les vaines espérances des gilets jaunes. Dès lors, il reste la providence, pour ceux qui y croient.

Orphelin de son roi, ayant perdu la foi et ses convictions religieuses, le peuple français court à sa perte. Il est pris dans la tenaille de cette république talmudo-maçonnique qui va lui faire boire le calice jusqu’à la lie. Dominé par une caste financière aux aspirations diaboliques, ce monde a perdu la raison. Il sombre dans la folie. Les châtiments arrivent. Les épreuves doivent nous rapprocher de Dieu, comme c’est le cas pour Hervé Ryssen qui est sur la voie de la conversion. Une lueur d’espoir dans cette actualité bien morose.

Johan Livernette le 29 octobre 2020

[1] La plupart des masques sont même nocifs pour notre santé.
[2] Comme l’a par ailleurs affirmé la sénatrice marseillaise Samia Ghali.
[3] Prolongation de l’état d’urgence, reconfinement et dictature sanitaire totalement approuvés par Marine Le Pen qui démontre, une fois de plus, qu’elle ne vaut pas mieux que Macron et consorts.
[4] La suite logique serait de couper Internet afin que le peuple soit totalement et exclusivement sous l’emprise de la propagande des médias subventionnés par l’État.
[5] Terrorisme parfaitement condamnable qui sert surtout à diviser le peuple et à le maintenir dans la peur.

Source :


mardi, octobre 27, 2020

Rémy Daillet-Wiedemann veut en finir avec le pouvoir occulte et la franc-maçonnerie

(17:48)


Renversement du gouvernement, 1ère sommation...

 

Rémy Daillet-Wiedemann :

"Je ferai interdire les maçonneries et autres sectes dangereuses passant sur la tête des citoyens..." (allocution du 26 Octobre 2020)

Il est urgent de mettre fin au commerce criminel de l'adrénochrome, cette drogue du diable consommée par des élites et les contre-initiés des obédiences pédo-sataniques. 

Récemment, l'artiste italien Giovanni Gasparro s'est inspiré du meurtre rituel d'un enfant en 1475 (Simon de Trente), peut-être pour dénoncer une pratique qui perdure parmi les kabbalistes démoniaques : la consommation du sang d'un enfant torturé. Le grand kabbaliste A.D. Grad écrivait que "la Voie maçonnique se trouve fondée en kabbale" puisque son symbolisme emprunte d'abord et essentiellement à celle-ci. (Franc-Maçonnerie et Kabbale de Marie Delclos.)

Livre conseillé : 


Cet ouvrage expose, définitivement, la QaBaLaH, c’est-à-dire, l’authentique tradition mosaïque. Par contre, il dévoile tout le mal causé par la Kabbale judéo-grecque, celle des sociétés occultes.

Cette Kabbale, “comme un poison subtil” a infesté le judaïsme tout entier (Théodore Reinach). Plus grave, elle a sapé tout l’Occident. Sous les attaques millénaires des adeptes du Serpent, les “Ophites kabbalistes”, vous assistez à un effondrement général des Nations.

Lire un extrait du livre :



dimanche, octobre 25, 2020

La kabbale et l'actu par l'ex-franc-maçon Stéphane Blet

(27:11)

SOMMAIRE :
 
Le système kabbalistique
Le professeur Perronne viré 
Écoutons le professeur Montagnier 
La "gaffe" de Chevènement qui évoque la décapitation d'un professeur AVANT l'assassinat de Samuel Paty 
Le chaos en Libye
L'antipape François
Les groupes d'auto-défense de Strasbourg
Emmanuel Valls 
Lucky Luke contre le KKK
Les 3 titres de la semaine 

 
Stéphane Blet est un pianiste et compositeur français, né à Paris en 1969, auteur de trois cents œuvres éditées et d’une trentaine de CD. Il est également un spécialiste du symbolisme, des mouvements ésotériques et de la franc-maçonnerie, donc il fut l’un des "Maîtres". Après des années d’engagement, c’est avec soulagement qu’il en a démissionné il y a six ans, après en avoir saisi les véritables objectifs. Aujourd’hui, il raconte ce qu’il a vu, ce qu’il a compris du sens profond de la maçonnerie. Qu’est-ce qu’une obédience, une loge, un atelier ? À quoi correspondent les trente-trois degrés – pourquoi ce nombre ? – et quelles sont leurs significations symboliques ?

La franc-maçonnerie originelle (maçons opératifs, constructeurs et bâtisseurs) fut progressivement remplacée par une maçonnerie "spéculative", infiltrée par le communautarisme, le talmudisme, les protestants anglais, les banquiers et les marchands, et totalement détournée de sa finalité première. Pour accomplir son nouveau dessein, il lui fallait détruire l’Église et le christianisme, et prendre le contrôle des États, que ce soit directement par une présence nombreuse au sein du pouvoir, ou indirectement par l’usure et les groupes de pression. Puis, sous couvert de tolérance et d’égalitarisme – et à l’insu de ses membres des degrés inférieurs –, œuvrer à son but véritable : l’avènement du mondialisme et, dans un second temps, de la synarchie.

Livre : 

Franc-Maçonnerie, l´effroyable vérité 

Comprendre les racines du MK avec le cas Marilyn Van Derbur

(2:40)

L'enfant du jour versus l'enfant de la nuit


Marilyn Van Derbur, la Miss America de 1958, fille du millionnaire Francis Van Derbur, a révélé dans son autobiographie les conséquences de l’inceste paternel qu’elle a subi durant son enfance. Elle raconte que jusqu’à l’âge de 24 ans, elle avait totalement refoulé le souvenir des viols de son père. Dans son autobiographie intitulée ‘‘Miss America By Day’’, elle révèle publiquement : ‘‘Afin de survivre, je me suis divisée en une ‘‘enfant du jour’’, joyeuse et souriante, et une ‘‘enfant de la nuit’’ recroquevillée sur elle-même, à la merci de mon père… Jusqu’à mes 24 ans, l’enfant du jour n’avait aucune conscience de l’existence de l’enfant de la nuit (…) Durant la journée, il n’y avait aucune colère ni aucun regard gênant entre mon père et moi, parce que je n’étais pas consciente des traumatismes et des terreurs de l’enfant de la nuit. Mais plus l’enfant de la nuit se dégradait, plus il était nécessaire que l’enfant du jour excelle ; de l’équipe de ski de l’Université du Colorado, du club Phi Beta Kappa (ndlr : prestigieux club d’étudiants) jusqu’à ma nomination de Miss America, je croyais être la personne la plus heureuse qui ait jamais vécu.’’

C’est un jeune pasteur de son Église qui a pressenti ce lourd secret. À ses 24 ans, il a réussi à casser les barricades qu’elle s’était construite dans son esprit et c’est alors que les souvenirs ont émergé. Suite à cela, elle s’est investie à un rythme fou dans sa carrière publique afin de refouler une seconde fois toutes ces lourdes mémoires traumatiques. À l’âge de 45 ans, sa vie a basculé… De 45 ans à 51 ans, elle a totalement sombré, de violentes mémoires sont à nouveau remontées avec cette fois des douleurs physiques et des paralysies. Son corps déraillait complètement, elle n’arrivait plus à bouger ses bras ni ses jambes et elle a été hospitalisée dans un institut psychiatrique. Elle a écrit que jamais elle n’aurait pu imaginer que l’inceste pouvait avoir de telles répercutions ! Qui pourrait croire que l’inceste puisse avoir de tels effets sur le corps 30 ans plus tard ?

Marilyn Van Derbur a donc eu une amnésie traumatique, dissociative, pendant plusieurs années suite aux viols répétés de son père. Ce qu’elle décrit par la suite, à partir de 45 ans, est un trouble de conversion (ou trouble dissociatif de conversion), c’est à dire une perte soudaine de ses fonctions motrices et de sa sensibilité, sans explication médicale. Pour Marilyn Van Derbur, il s’agissait d’une paralysie très probablement liée aux abus sexuels qu’elle avait vécu dans son enfance. Elle écrit également dans son livre à propos de son père : Il me ‘‘travaillait’’ nuit après nuit. Comme un délicat morceau de cristal brisé dans du béton, mon père m’a dépouillé de mon propre système de croyance et de mon ‘‘moi’’, mais également de mon âme qu’il a brisé en morceaux.’’

L’autobiographie de cette Miss America contient à la fois l’histoire glorieuse de Marilyn Van Derbur, une ascension vertigineuse vers la gloire, mais aussi une source essentielle d’informations concernant les abus sexuels sur les enfants avec ce mécanisme de dissociation et de cloisonnement des mémoires de haine contre lui. Je comprends que c’est un homme vraiment torturé, d’une certaine manière il passe ce mal être à travers moi (…) C’est une sorte de syndrome de Stockholm où vous commencez à aimer votre agresseur. Je ressentais un grand amour pour mon père.’’

Extrait du livre MK - Abus Rituels et Contrôle Mental d'Alexandre Lebreton.

samedi, octobre 24, 2020

Le trafic sexuel d'enfants est une réalité

Je m’appelle Anneke Lucas et j’étais une esclave sexuelle de l’élite européenne dès l’âge de 6 ans.

Cette histoire fait partie de la série « Real Women, Real Stories », un projet social visant à sensibiliser aux difficultés souvent invisibles auxquelles les femmes sont confrontées dans différentes professions et régions du monde.

Anneke Lucas est née en 1963. C'est une femme d'affaire belge, fondatrice du « Liberation Prison Yoga », un organisme à but non lucratif fondé en 2014 visant à traiter par le yoga et la méditation les traumatismes physiques et psychologiques des personnes incarcérées.

Dans le témoignage vidéo ci-dessous, elle affirme avoir été vendue à un réseau pédocriminel Belge à l'âge de 6 ans. Le même réseau qui a fait les gros titres lorsque l'affaire Dutroux a publiquement éclaté. Un réseau qui à l'époque menait sur la piste d'une certaine élite, on parlait alors de membres de haut rangs des forces de police, du gouvernement, de la famille royale ; avant que la "justice" et les médias ne réfutent l'existence du moindre réseau de ce type en Belgique…

Le témoignage de cette femme vient rajouter un énième élément quand à l'existence de ce Réseau de l'Horreur que les mass-médias s'acharnent à nier (pour ne pas dire couvrir) depuis trop longtemps ! Comme vous allez le voir, l'article de Anneke Lucas qui suit la vidéo contient les mêmes faits que dans les déclarations des témoins X de l'affaire Dutroux.

C'est en 1969 que Lucas dit avoir été vendue au réseau où elle était régulièrement violée et torturée, avant d'en être libérée en 1974 à l'âge de 11 ans. Lucas affirme avoir reçu des instructions de survie par celui qui l'a sauvé qui comprenaient le fait de déménager à Londres, Paris et New York. Après avoir vécu dans les trois villes en tant que jeune adulte, elle a déménagé à Los Angeles en 1986 où elle a commencé la thérapie, le yoga et la méditation.

Elle qualifie ce réseau de « Club élitiste » dans lequel certains « aristocrates » vont jusqu'à tuer des enfants, elle même ayant échappé de justesse à une mort certaine…

(6:48)

« Quand j’étais petite, dans ma Belgique natale, j’ai été mise au travail en tant qu’esclave sexuelle. »

Ma mère m’a vendue, et me conduisait n’importe où, dès qu’elle recevait un appel. Le patron de ce réseau pédophile était un ministre du cabinet belge. Les clients faisaient partie de l’élite. Je reconnaissais des gens que j’avais vus à la télévision. Leurs visages étaient connus du public, alors que j’étais confrontée au côté obscur de leur dépendance au pouvoir — le côté que personne ne soupçonnait d’exister. Je rencontrais des personnalités VIP, des chefs d’États européens, et même un membre de la famille royale.

À l'approche de mon 6ème anniversaire, en 1969, j’ai pour la première fois été emmenée à une orgie, dans un château. J’ai été utilisée pour un spectacle S&M, sur une scène basse, enchaînée avec un collier en fer pour chien et forcée à manger des matières fécales humaines. Après quoi, abandonnée là, comme un objet brisé, je me suis sentie tellement humiliée que je devais faire quelque chose pour sauver mon âme, sinon — et j’en étais certaine — j’aurais dépéri et fini par mourir.

Je me suis relevée et j’ai regardé ce public si étrange d’aristocrates déguisés en hippies, se déhanchant sur la musique, se livrant à des interactions sexuelles en tout genre, s’adonnant à de petites pilules et des joints préroulés passés sur des plateaux en argent par des garçons sobres. Je tremblais de peur, mais mon corps s’est redressé, immobilisé comme un arc en suspens avant un tir ; puis j’ai entendu ma voix, comme si ce n’était pas la mienne, réprimandant les adultes, leur expliquant que ce qu’ils faisaient était mal — que je les dénoncerais et qu’ils iraient tous en prison.

De la musique trippante et spatiale suintait dans l’atmosphère, et la plupart des gens étaient trop défoncés pour me remarquer. Un homme, vêtu d’un costume, a attiré mon attention. Il avait l’air effrayé, il a retenu mon regard un bref instant, et a semblé avoir de la peine pour moi. Puis, il est parti. Je ne l’ai jamais revu au sein du réseau, mais des années plus tard, je l’ai aperçu à la télé. Il est devenu un homme politique belge de premier plan.

Ensuite, on m’a discrètement mise à l’écart et emmenée dans une cave. J’étais certaine qu’on allait me tuer, mais à la place, on m’a montré le corps frais d’une jeune victime assassinée. Je devais me taire.

Pendant la semaine, j’allais à l’école. J’étais une enfant timide, avec peu d’amis. Je me souviens qu’une fois, en deuxième année de primaire, j’ai pris conscience d’un changement de comportement dans la pièce, avec tous les yeux braqués sur moi. La maîtresse m’avait appelée, et j’étais trop distraite pour m’en rendre compte. Elle m’a demandé à voix haute si j’avais la réponse à la question qu’elle m’avait posée, et je suis restée assise dans un silence embarrassant pendant que la classe riait.

J’étais une non-entité à l’école, et à la maison, personne ne s’occupait de moi. C’était agréable d’être considérée comme l’objet sensuel le plus beau et le plus parfait par des hommes puissants et exigeants en matière de goût. C’était le seul point positif de ma vie, et je m’y suis accrochée comme la seule bouée me permettant de ne pas me noyer dans cet océan de honte et de haine de soi.

Après quatre ans de survie au sein de ce réseau, quand j’avais 10 ans, un nouvel invité a amené avec lui son fils de 20 ans : grand, fringant, blond et aux yeux bleus. Il s’est avancé vers moi avec assurance. J’ai souri, et il m’a traitée de petite pute. Bien après ma première orgie, quatre ans plus tôt, c’était la deuxième fois que j’exprimais mes véritables sentiments. J’étais furieuse.

« Tu crois que j’aime cet endroit ? » lui ai-je dit avec un rictus.

Cette expérience a marqué le début de l’année la plus intense de ma vie, au cours de laquelle je me sentais plus que jamais aimée, vue et comprise, mais aussi plus que jamais maltraitée, et tout ceci par le même jeune homme. Un an plus tard, quand il en eut fini avec moi et je n’étais plus d’aucune utilité pour le réseau, je devais être tuée. Quand ma torture a commencé, il est resté là à me regarder, en riant.

C’était la troisième fois que tout mon être se remplissait d’une force extraordinaire venue d'un autre monde. Une fierté féroce a redressé mon corps. On a éteint une cigarette sur mon avant-bras. Mon corps énergique s’est accroché au sien par pur et simple défi. La pensée « Je n’ai pas besoin de toi ! » s’était emparée de moi, et tout ce que je voyais, c’était l’énergie derrière son regard bleu azur tourmenté et l’amour, malgré toute la souffrance qu’il m’avait transmise.

On m'emmena dans une petite pièce, et on m'attacha à un bloc de boucher. L’homme qui me torturait était un des accusés de la fameuse affaire Dutroux, qui, quand elle a éclaté en 1996, était perçue comme l’affaire qui ferait tomber le réseau pédophile belge. Mais à la place, huit ans plus tard, seul Marc Dutroux fut condamné à la prison à perpétuité. J’aurais dû mourir cette nuit-là en 1974 sur ce bloc de boucher, mais ma vie fut épargnée à la dernière minute.

Alors que j'étais torturée, le jeune homme avait négocié avec le responsable politique à la tête de ce réseau. Ils passèrent un accord : il travaillerait pour cet homme, et étendrait ses services douteux en échange de ma vie. Cette seule bonne action lui a finalement coûté la vie. Dans ce milieu, toute once d’humanité est une faiblesse mortelle.

Ma vie fut épargnée, et on m’a ordonné de garder le silence pour toujours. Il m’a fallu 40 ans avant de pouvoir en parler.

En 1988, alors que j’avais 25 ans, je me promenais dans le centre-ville de Los Angeles, près de Skid Row. J'ai senti une légère odeur caractéristique d'excréments humains, et j'ai été assaillie par le souvenir de l'extrême humiliation que j'avais subie dans mon enfance. Ma première pensée fut : « Si c’est vrai, je vais me suicider ».

Cette expérience m’était trop familière, et la honte était trop grande. Je n’étais pas prête, et j’ai repoussé ce souvenir dans mon subconscient. Il me faudrait encore quelques années, de nombreuses heures de thérapie, avant de pouvoir enfin partager ce souvenir avec une personne de confiance.

Je partage publiquement cette expérience ici pour la première fois, ayant finalement atteint un stade de ma guérison où j’ai de nouveau accès à la force qui m'a traversée dans ces moments de clarté au sein du réseau. Je pense aussi que le monde est, plus que jamais, prêt à affronter ses ténèbres. Il le faut, si nous voulons survivre en tant qu’espèce.

Tous les survivants d’inceste, d'abus sexuels et de trafic sexuel ont ma force. Bien que je souffre de SSPT et que, par exemple, j’aie encore des nausées à chaque fois que j’entends une certaine musique aérienne et trippante, je suis devenue si consciente des déclencheurs qu’ils ne contrôlent pas mon existence quotidienne. Il faut tant d’énergie pour survivre non seulement à la violence physique, mais aussi pour endurer le fardeau psychique des abus — pour porter la honte.

Survivre au quotidien, tout en essayant de guérir des abus sexuels subis lorsqu’on est enfant, nécessite 1 000 fois plus de force qu’il n’en faudrait à une personne inconsciente menant une carrière réussie. Et la société continue d’accorder plus d’importance à la personne qui fait carrière qu’à celle qui a survécu.

Les mordus de pouvoir, les chefs d’État, et les politiciens corrompus qui abusent des enfants sont comme des enfants n’ayant jamais grandi. Ils sont attirés par le pouvoir pour éviter de devoir faire face une nouvelle fois à l’humiliation de l’abus sexuel dont ils ont été victimes enfants, cherchant inconsciemment à se venger de la douleur en recyclant cet abus. Ils n’ont pas le courage de guérir.

Ceux et celles d’entre nous qui ont souffert d’abus sexuels, d’inceste ou de trafic sexuel doivent apprendre à exploiter leur force de survie pour leur bien, afin de guérir leurs égos abîmés et canaliser cette force pour ouvrir la voie vers un avenir dans lequel les anciennes victimes triomphent par l’amour, la compréhension et la compassion pour tous.

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