dimanche, novembre 08, 2020

Les médias sont entre les mains de qui ?

(5:57)

Fils de Pangolin :
"Pensez-vous vraiment que ce sont les médias qui vont décider du résultat des élections ? Alors que la fraude va bon train ?"



Ils ont mis les médias "sous le joug" et "les conduisent avec des rênes solides"


(...) les "Protocoles" en 1905 :

« À travers la presse, nous avons acquis le pouvoir d’influencer tout en demeurant dans l’ombre

Le principal facteur de succès dans la politique est le secret de ses entreprises : les paroles ne doivent pas être en accord avec les actions des diplomates …

Nous devons contraindre les gouvernements … à agir dans le sens favorable à notre plan aux larges perspectives, qui approche déjà de sa consommation désirée. [Nous le ferons] par [le biais de] ce que nous présenterons comme étant l'opinion publique, secrètement orientée par nous au moyen de ce qu’on appelle la “grande puissance” — la Presse, qui, à quelques exceptions négligeables près, est déjà entièrement entre nos mains.

Envers la presse, nous nous conduirons de la manière suivante : Nous la mettrons sous le joug et la conduirons avec des rênes solides … nous devrons également nous assurer le contrôle de toutes les formes de publications. Il ne serait d’aucune utilité pour nous de contrôler les journaux, si nous restions exposés aux attaques des brochures et des livres …

Nul ne pourra impunément toucher au prestige de notre infaillibilité politique. Pour interdire une publication, nous trouverons le prétexte suivant : la publication qui vient d’être supprimée excitait, dirons-nous, l’opinion publique, sans aucune raison ou aucun fondement.

Les restrictions que nous imposerons — comme je l’ai dit — aux publications privées nous permettront de rendre certaine la défaite de nos ennemis, parce qu’ils n’auront aucun organe de presse à leur disposition au moyen duquel ils pourraient donner libre cours à leurs opinions. »

Telle est l’histoire des Protocoles jusqu’à présent. Leur attribution aux « sages » juifs est infondée et devrait être rejetée, sans préjuger de toute autre preuve de leadership juif de la révolution mondiale, en tant que telle. L’attaque juive contre les Protocoles était résolue, non à disculper la communauté juive, mais à stopper la publication sur l’allégation qu’elle « excitait l’opinion publique, sans aucune raison ou aucun fondement ». Les arguments avancés étaient faux ; ils disaient que les Protocoles ressemblaient étroitement à plusieurs publications précédentes et étaient ainsi des « plagiats » ou des « contrefaçons », alors que, ce que cela montrait était en vérité une chose évidente : ils faisaient partie de la littérature ininterrompue de la conspiration. Ils pouvaient aussi bien avoir été produits par des non-juifs ou des révolutionnaires antisémites, et cela est d’importance secondaire. Ce qu’ils prouvèrent, c’est que l’organisation révélée en premier lieu par les documents de Weishaupt existait 120 ans plus tard, et utilisait toujours les méthodes, et poursuivait le but alors exposés ; et quand ils furent publiés en anglais, la révolution bolchevique avait fourni la preuve.

À mon avis, les "Protocoles" fournissent le manuel essentiel pour les chercheurs de l’époque et du sujet. Si Lord Sydenham, en 1921, fut bloqué par la « connaissance étrange » qu’ils affichaient, « sur laquelle sont basées les prophéties maintenant littéralement accomplies », combien il serait davantage impressionné aujourd’hui, en 1956, où beaucoup plus ont été accomplies de manière tout aussi littérale. Par ce livre, n’importe quel homme peut voir comment les bouleversements des 150 ans passés furent provoqués, et comment ceux des cinquante ans suivants le seront ; il saura d’avance comment les « actes » de ses représentants élus différeront de leur « parole ».

Sur un point, je suis en mesure par ma propre expérience de tester le dicton de Lord Sydenham sur les prophéties accomplies. Les "Protocoles", parlant de contrôle de l’information publiée, disent :

« Aucune information n’atteindra la société sans passer par notre contrôle. Ceci est déjà pour nous un point acquis par le fait que toutes les nouvelles sont reçues de toutes les parties du monde par un petit nombre d’agences qui les centralisent. Lorsque nous serons arrivés au pouvoir, ces agences nous appartiendront entièrement et ne publieront que les nouvelles qu’il nous plaira de laisser paraître. »

Ce n’était pas cette situation en 1905, ou à l’époque de Lord Sydenham, ou en 1926, quand je devins journaliste, mais elle était en train de se développer, et c’est aujourd’hui la situation. Le flot de « nouvelles » qui se déverse sur l’opinion publique par les journaux vient de quelques agences, comme si sortant d’une demi-douzaine de robinets. N’importe quelle main pouvant contrôler ces valves peut contrôler les « nouvelles », et le lecteur peut observer par lui-même la forme filtrée sous laquelle les nouvelles l’atteignent.

Quant aux vues éditoriales, basées sur cette livraison de nouvelles, on peut comprendre la transformation qui a été provoquée, en se référant aux articles impartialement critiques publiés dans le Times, le Morning Post, le Spectator, le Dearborn Independent et des milliers d’autres journaux, il y a environ vingt-cinq ans. Cela ne pourrait pas arriver aujourd’hui. La subjugation de la presse a été accomplie comme les "Protocoles" l’avaient prédit, et par le hasard de ma génération et de ma vocation, je l’ai vue arriver.

L’étude comparative des "Protocoles" et des papiers de Weishaupt mène à la forte déduction que les deux proviennent d’une source commune et bien plus ancienne. Ils ne peuvent avoir été le produit d’aucun homme seul ou d’un seul groupe d’hommes dans la période où ils furent publiés ; la « connaissance étrange » qu’ils exposent eux manifestement sur l’expérience cumulative des âges. Cela s’applique particulièrement (dans les papiers de Weishaupt tout comme dans les Protocoles) à la connaissance des faiblesses humaines, qui sont sélectionnées avec une exactitude analytique, la méthode d’exploitation de chacune d’entre elles étant décrite avec une jubilation dédaigneuse.

L’instrument à utiliser pour la destruction des États-nations chrétiens et de leur religion est « la foule. » Le mot est utilisé avec un mépris virulent pour décrire les masses (qui en public sont flattées en se faisant appeler « le peuple »).

« Il faut remarquer que le nombre des hommes aux instincts corrompus est plus grand que celui des gens aux instincts nobles. C’est pourquoi les meilleurs résultats s’obtiennent, dans le gouvernement du monde, en employant la violence et l’intimidation...

Il faut se rendre compte que la force de la foule est aveugle, dépourvue de raison dans le discernement et qu’elle prête l’oreille tantôt à droite, tantôt à gauche. »

À partir de là, il est développé l’argument qu’ « un despotisme absolu » est nécessaire pour gouverner « la foule », qui est « sauvage », et que « notre État » emploiera « la terreur [qui tend à] produire une soumission aveugle. » « L’accomplissement littéral » de ces préceptes en Russie communiste doit être évident à tous aujourd’hui.
Ce « despotisme absolu » doit être investi dans le super-État international au bout du chemin. Entre-temps des despotes-marionnettes régionaux sont dépeints comme l’élément essentiel au processus de destruction de la structure des États et des défenses des peuples :

« De la part de leurs élus dictateurs actuels, Présidents du Conseil et ministres, ils supportent des abus pour le moindre desquels ils auraient assassiné vingt rois. Comment expliquer un tel état de choses ?... Parce que les despotes persuadent le peuple, par l’intermédiaire de leurs agents, que, même s’ils faisaient un mauvais usage du pouvoir et portaient préjudice à l’État, ce serait dans un but élevé, c’est-à-dire en vue de la prospérité du peuple pour la cause de la fraternité, de l’union et de l’égalité internationales.

Certes, ils ne leur disent pas qu’une telle unification ne peut être obtenue que sous notre domination. »

Ce passage est d’un intérêt particulier. Les termes « dictateurs, Présidents du Conseil et ministres » n’aurait pas été généralement compris en 1905, où les peuples d’Occident croyaient que leurs représentants élus exprimaient et dépendaient de leur approbation. Cependant, ils sont devenus applicables pendant les Première et Seconde Guerres mondiales, lorsque des présidents américains et des Premiers ministres britanniques se firent, en fait, « élus dictateurs » et utilisèrent des pouvoirs extraordinaires au nom « de la prospérité du peuple … la fraternité … l’égalité internationales... » De plus, ces élus dictateurs, durant les deux guerres, dirent vraiment aux peuples que la fin ultime de tout serait « l’unification » sous un gouvernement mondial d’un certain type. La question, qui dirigerait ce gouvernement mondial, fut une question qui ne ne reçut jamais de réponse directe ; tant d’autres points des Protocoles ont été accomplis, que leur affirmation que ce serait l’instrument de la conspiration pour gouverner le monde « par la violence et l’intimidation » mérite qu’on y réfléchisse à deux fois.

Extrait du Livre de Douglas Reed "La controverse de Sion".

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