vendredi, novembre 27, 2020

Le "jugement" de Salomon (Rémi), une bouffée délirante provoquée par un messianisme ?

On coupe en deux...

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"On coupe la bûche de Noël en deux et papy et mamie mangent dans la cuisine et nous dans la salle à manger", a préconisé mardi 24 novembre le professeur Rémi Salomon, président de la commission médicale d'établissement de l'AP-HP (assistance publique - hôpitaux de Paris)..."


Pierre Hillard :

Pour comprendre la psychologie et la manière de raisonner de ces élites juives en matière de messianisme, nous rapportons ici les propos du spécialiste israélien Gershom Scholem insistant sur l'idée de chaos en vue d'aboutir à une étape supérieure : 

« Le messianisme prit alors dans la conscience juive un double aspect, qu'il a gardé depuis. Ces deux aspects du messianisme se fondent sur les paroles des prophètes, où on les rencontre de façon plus ou moins explicite : un aspect qui souligne les cataclysmes et les destructions qui doivent accompagner la venue de la rédemption et un aspect utopique quant à ce que seront les réalités messianiques. Le messianisme juif est dans son origine et dans sa nature — on ne saurait jamais assez y insister — l'attente de cataclysmes historiques. ll annonce des révolutions, des catastrophes qui doivent se produire lors du passage du temps de l'histoire présente aux temps futurs messianiques [...] Ces cataclysmes et ces visions funestes prennent un tour nouveau et propre dans les visions de la venue du Messie. On les retrouve, en effet, dans l'ère de transformation ou de destruction qui verra naître la rédemption messianique ; c'est pourquoi cette période est regardée dans le judaïsme comme celle des "souffrances de l'enfantement" du Messie. »

(...) le coronavirus (Covid-19), ébranle les structures économiques mondiales. En raison de la mise en quarantaine de nombreuses zones géographiques [...] et des contrôles pour tenter de bloquer la prolifération de ce virus, la fabrication et la diffusion de composants en tout genre concemant l'informatique, l'industrie automobile ou encore le milieu pharmaceutique sont arrêtées, ou en tout cas largement freinées. Il est symptomatique de constater qu'un "simple" virus peut déstabiliser une économie mondiale ultra-libérale favorable à la fragmentation des lieux de fabrication de biens dans divers endroits de la planète en vue de l'élaboration d'un seul produit. Il suffit qu'un seul endroit soit touché pour perturber toute la chaîne de l'activité économique voire, si la pandémie s'accélère, mettre à mort des secteurs entiers apparemment performants régissant la vie des hommes. C'est le genre de chaos qui confirmerait les propos de Gershom Scholem. 

Indirectement, le phénomène rappelle le livre de H. G Wells, "La guerre des mondes", où l'infiniment petit terrasse la supériorité technologique des martiens. Dans notre livre "La Fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale" p. 112 note 87, nous écrivions : « La période de la guerre froide vit l'opposition de deux blocs apparemment antogonistes. En fait, la thèse américaine née en 1776 (capitaliste et religieuse) et l'antithèse soviétique (communiste et athée) née en 1917 constituaient l'avers et l'envers d'une seule et même pièce reposant sur la primauté de l'homme traité sous un angle différent selon l'idéologie en place. La disparition de l'antithèse soviétique en 1990 annonçait l'effondrement de la thèse capitaliste américaine afin de passer à la vitesse supérieure, le lancement d'une synthèse ou "alternative" pour reprendre l'expression de Mikhaïl Gorbatchev, afin de fusionner les deux systèmes (application du principe hégélien). Ainsi, la synthèse doit aboutir à l'émergence d'un système dans lequel des entreprises chargées de la production et de la distribution des biens doivent prendre forme, mais sous l'égide d'un gouvernement mondial. Ce dernier, instance de régulation et assurant par l'intermédiaire d'un réseau bancaire le financement global de la planète, dictera les quantités à produire et le nombre d'entreprises habilitées à fabriquer le produit donné. On appelle cela la concentration des moyens obtenue grâce à la centralisation de l'autorité. L'état d'esprit guidant les élites mondialistes dans ce monde "glocalisé" (local et global) et infligeant ses volontés à une humanité indifférenciée et nomade se fera dans le cadre d'une agapé inversée

L'ouvrage du colonel House, conseiller du président américain Wilson, prophétisait dans son ouvrage de 1912 "Philipp Dru, administrator", l'émergence d'un système où "la propriété et les vies de chacun sont aux mains d'un seul homme" et l'instauration d'un "socialisme tel que l'aurait rêvé Karl Marx". » 

À l'instar de l'orgueilleux Nimrod terrassé par un moustique en raison de ses ambitions babéliennes, l'oligarchie mondialiste connaîtra le même sort. En attendant, ce coronavirus est exploité pour faire peur au profit d'une politique supérieure conduisant à un socialisme de marché et à une gouvernance mondiale. Nous assistons aux tentatives d'application de ce vieux projet oligarchique d'inspiration fabienne (Fabian Society). 

Source : Sionisme et Mondialisme de Pierre Hillard.


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