samedi, mars 20, 2021

Qui sont les promoteurs du mondialisme : Rothschild, Soros et compagnie

 

(2:02)
L'étoile de David ou de Remphan, alias Moloch, alias Belzébuth... ?


(...) des millions de chrétiens évangéliques, conduits par leur prophète sioniste, John Hagee, tiennent mordicus à soutenir les Juifs dans leur conquête du Proche-Orient (et de la planète). [...]

Mais ces chrétiens évangéliques ne sont-ils pas plutôt en train de se faire avoir en aidant à ériger l’empire global (mondial) des temps de la fin de Satan ? Comme nous allons le voir, une séduction terrible est en marche, ici. Cette grande séduction se centre sur une bizarre théorie raciale émise par des enseignants évangéliques. Ces enseignants — certains des plus gros noms du christianisme — sont convaincus que la nation juive, l’Israël charnel, est destinée à hériter du Royaume de Dieu sur la seule base de sa race. [...]

De nos jours, le but fanatique des Juifs sionistes et des chrétiens évangéliques judaïsants est de construire un Royaume (mondial) juif, ici, sur terre, avec Jérusalem, la Grande Cité, comme capitale. Cet objectif mondain et charnel pousse sans cesse plus avant les sionistes et les judaïsants.

(...) quand un Goldstein, un Silverton, un Rothschild, une Streisand, un Soros ou un Netanyahu se vante, "Je suis juif. Je suis la semence de mon père Abraham." Eh bien, Jésus a un message extrêmement tranchant pour vous : "Non, vous ne l’êtes pas ! Vous avez pour père le diable et vous faites ses œuvres. Il est menteur et meurtrier depuis le début et vous faites comme lui !". [...]



Les secrets sanguinaires de la Synagogue de Satan


Un groupe, et un groupe seulement, est responsable de presque toutes les guerres et les bains de sang sur la surface de notre planète. Cette cabale malfaisante n’est pas nombreuse, mais, à l’image d’une pieuvre mortelle, elle étend ses tentacules pour agripper et étrangler une indicible multitude de victimes innocentes. Les initiés de chacune des sociétés secrètes et des organismes internationaux, du Conseil des Relations Étrangères et des Jésuites aux Bilderbergers, en passant par l’Ordre des Skull and Bones, tous obéissent aux dictats de ce groupe sinistre et ils tremblent en se présentant devant ses leaders.

Le groupe cabaliste auquel je me réfère, c’est la Synagogue de Satan, une élite ancienne, mais toujours moderne, tellement puissante et si riche que même l’histoire du passé a été tordue, reformulée et révisée pour rencontrer sa version prioritaire de l’avenir totalitaire et lugubre de l’humanité.

De nature religieuse et raciale, la Synagogue de Satan est, par essence, un culte monstrueux et satanique. Son grand conseil se constitue de Grands Prêtres de Lucifer ; ces hommes adorent littéralement la mort par la pratique de magie sexuelle et de rituels occultes de la nature la plus noire.

Tristement, cette cabale luciférienne de grands prêtres est soutenue par plus de dix-huit millions de gens autour du globe se qualifiant de "Juifs". Plusieurs de ces personnes, un grand nombre, soutiennent la Synagogue de Satan avec fanatisme. Ils portent le nom de "sionistes". Les autres ne donnent à la cabale qu’un support minimum, souvent nominal.

Se vantant également d’être sionistes, un grand nombre de Gentils pleins de zèle se joignent à ces dix-huit millions de Juifs. Bien que, dans leur ensemble, les supporters gentils ignorent cruellement l’horrible but ultime de la Synagogue de Satan, leur soutien et leur service à la cause de Lucifer contribue à l’action de la fructueuse et incessante campagne globale (mondiale) de la Synagogue de Satan menant aux révolutions, aux guerres, à la famine, aux calamités financières et aux bains de sang.

Étant donné le fait vérifié que l’élite des Grands Prêtres de Lucifer, comprenant la Synagogue de Satan et ses serviteurs, possèdent presque toutes les maisons de publication du monde, il est donc rare que soit imprimé un livre ou un volume ayant le courage et l’audace requise pour dénoncer la conspiration en cours de ce groupe monstrueux.

Je suis, par conséquent, extrêmement heureux de recommander aux hommes et aux femmes réfléchis l’excellent volume écrit par le britannique Andrew Hitchcock, "The Synagogue of Satan". Vous y trouverez un guide historique utile, révélateur et précis concernant les crimes sinistres et les sombres événements ayant propulsé la Synagogue de Satan au bord du pouvoir mondial.

Le terme Synagogue de Satan est d’origine biblique. Comme M. Hitchcock en fait la remarque, le Livre de l’Apocalypse de la Sainte Bible ne mâche pas ses mots. Dieu nous avertit du pouvoir épouvantable et diabolique qu’exercera, dans les derniers jours, l’entité identifiée comme la "Synagogue de Satan".

Ce qui est toutefois le plus fascinant, c’est que les Écritures nous disent clairement que les leaders malfaisants de cette entité ne sont même pas des Juifs ! Oui, ils se disent Juifs, et le monde les reconnaît en tant que Juifs, même en tant "qu’Israël", mais ils mentent ! Voyez ce que révèle la Parole de Dieu :

"Je connais tes œuvres, et ta tribulation, et ta pauvreté, (quoique tu sois riche,) et les calomnies de ceux qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais qui sont une synagogue de Satan" (Apocalypse 2:9).

Ahurissant, n’est-ce pas ? Ces méchants agents du pouvoir mondial veulent nous faire croire qu’ils sont juifs, ils se vantent d’avoir Israël comme héritage. Mais, en réalité, ce ne sont que des menteurs blasphématoires. Alors, qu’est-ce qui se passe ?

Vu que les maîtres de la Synagogue de Satan d’aujourd’hui exercent une influence si incroyable et si extraordinaire sur les médias, il va sans dire que le citoyen moyen du monde tombe facilement dans ce mensonge. Des gens de partout font confiance à ces grands leaders bienfaiteurs qui disent : "Nous sommes Juifs". Et ils croient qu’ils sont effectivement Juifs. Pas étonnant que l’apôtre Paul nous ait averti que les disciples de Satan viennent déguisés en "ministres de justice" et en "anges de lumière".

Dans le cas des sous-fifres de la Synagogue de Satan, ils nous viennent déguisés en "Peuple Élu", en "Israël", en Race Unique sélectionnée par Dieu afin de produire dans le futur un Messie (pas Jésus !) pour l’éternité. "Nous sommes juifs !" se vantent-ils fièrement, alors qu’en même temps, ils suggèrent que Dieu oblige les autres — c’est-à-dire, les races inférieures défectueuses — à les bénir, à suivre leur exemple, à s’agenouiller et à les servir en tant que "Peuple Élu de Dieu".

"Oui", expliquent-ils avec arrogance, "nous sommes juifs et vous êtes des goyim (du bétail) et nous avons été choisis par décret divin pour vous diriger, vous et toute la planète." [...]

Quel est le but ultime de la Synagogue de Satan ? 

Son but est de corrompre l’âme des hommes, détruire tous les gouvernements indépendants et rendre le monde esclave d’une dictature luciférienne conduite par leur propre Roi Despote. Dans le processus de cet effort, ils ont pour méthode de provoquer le chaos qu’ils font suivre de leur propre établissement bien planifié de l’ordre. Ordo ab chao. Par cycles perpétuellement joués sur la scène mondiale, ils causent des guerres et des révolutions nourrissant le chaos économique et l’instabilité sociale. Le chaos leur sert de moteur du progrès jusqu’à ce que, éventuellement, l’humanité devienne tellement épuisée qu’on s’attend à ce que les gens de partout appellent désespérément une Autorité Mondiale pour amener l’ordre et la paix globale. Mais pour les infâmes qui se disent Juifs, il ne doit pas y avoir de paix. Seuls une police d’état et l’esclavage absolu de toute l’humanité les satisfera.

Extraits du livre de Texe Marrs "La science de l’ADN et le sang de la lignée juive" (Version papier en anglais DNA Science and the Jewish Bloodline)

PDF gratuit ICI 
(en français)



vendredi, mars 19, 2021

La guerre invisible de l'Etat profond contre la France

(23:25)


"Nous voici arrivés à l'heure fatidique où ce qui se joue n'est rien de moins que le destin de la France et l'avenir de notre peuple". Alors que confrontés à l'effondrement de leur pays, de plus en plus de Français se demandent "que faire ?", Stanislas Berton révèle le processus de destruction méthodique de la France et de son peuple par une minorité d'idéologues tout en proposant des solutions concrètes pour neutraliser leur influence, sauver notre pays et restaurer sa grandeur. "La France retrouvée", un livre fondateur pour reconstruire une France fière, une France forte. En pensées et en surtout en actes."

Commentaire de Henriette Grandjean sur le livre La France retrouvée : "Pendant des années, j’ai cru que tous les malheurs qui frappaient notre pays étaient le fruit de l’incompétence ou de la bêtise. Grâce au livre de Stanislas Berton, j’ai découvert que tout cela faisait en réalité partie d’un plan et participait d’une guerre d’un nouveau genre menée à notre pays et à notre peuple.

Non seulement ce livre en dévoile les rouages mais il propose un projet concret pour sauver notre pays et lui faire retrouver son rang. Stanislas Berton est un homme aussi courageux que visionnaire et j’espère qu’il lui sera donné les moyens de porter son message aux Français."




Lors d'un colloque sur "la science et le désarmement", organisé par l'Institut français des relations internationales (I.F.R.I.) au Centre de conférences internationales de l'avenue Kléber, Thierry de Montbrial, membre du Club Le Siècle et de la Trilatérale, avouait, bien que minimisant la chose :

"A un moment donné, le contenu et le style de la politique internationale sont influencés par ce qu'en pensent et ce qu'en disent un relativement petit nombre d'experts. Et cela dans le monde entier.

"Il s'agit d'une pure constatation qui n'est dictée par aucune doctrine élitiste. Pour prendre un exemple, on trouve aux Etats-Unis une centaine de personnes qui· jouent un rôle prépondérant au sein des instituts de recherche ou dans les milieux journalistiques, et dont l'influence est considérable".

Tout en remerciant M. Thierry de Montbrial de sa franchise - nous ne serons pas les seuls à passer pour des originaux -, accréditant ainsi le document que nous avons présenté dans "La Trilatérale et les Secrets du Mondialisme", nous lui ferons gentiment remarquer que tout le monde n'est pas d'accord avec lui lorsqu'il affirme qu'"il s'agit d'une pure constatation qui n'est dictée par aucune doctrine élitiste..."

Déjà, en 1935, Sir Stanley Baldwin, ministre britannique, constatait :

"Les Etats, fut-ce la couronne d'Angleterre, ne sont plus maîtres de leur destinée. Des puissances qui nous échappent font jouer dans mon pays comme ailleurs des intérêts particuliers et un idéalisme aberrant."

Mais, avant lui, Benjamin Disraeli, considéré comme l'un des plus éminents hommes d'Etat britanniques et qui était franc-maçon de surcroît, n'hésitait pas à dire :

"Les gouvernements de ce siècle n'ont pas affaire seulement aux gouvernements, aux empereurs, rois et ministres, mais encore aux sociétés secrètes, éléments dont il faut tenir compte et qui, au dernier moment, peuvent mettre à néant tous les arrangements, qui ont des agents partout - des agents sans scrupules qui poussent à l'assassinat, et peuvent, s'il le faut, amener un massacre".

Parmi ces sociétés secrètes, la Franc-Maçonnerie a sa place. Or, non seulement Disraeli était maçon - il devait donc savoir de quoi il parlait -, mais également d'origine juive.

Aussi, la phrase de E. Helbronner :

"La question judéo-maçonnique ne me paraît pas... une sornette ; elle pourra parfaitement se poser du fait que, depuis plus de vingt ans, tous les mouvements révolutionnaires ont été menés par des juifs généralement heimatlos, appuyés par les loges maçonniques", prend-elle ici toute son importance.

Importance déjà confirmée par le Grand rabbin Isaac Wise, qui affirmait :

"La Maçonnerie est une institution juive, dont l'histoire, les degrés, les charges, les mots de passe et les explications sont juifs du commencement à la fin".

Aussi, vu le nombre impressionnant de sociétés secrètes et de francs-maçons se trouvant à l'origine du système Mondialiste, on est en droit de se demander si M. Thierry de Montbrial ne fait pas également partie d'une de ces sociétés secrètes, en l'occurrence la Franc-Maçonnerie...

A moins que, pour lui, des gens tels que Stanley Baldwin, Benjamin Disraeli, Walter Rathenau, Annie Besant et René Guénon soient tous des "Illuminés"... des malades mentaux comme on dit aujourd'hui....

Vraisemblablement encore un "malade mental", ce M. Georges Dahriman, auteur d'un ouvrage intitulé "Pour les Etats Confédérés d'Europe" qui, tout en préconisant une Fédération de l'Europe en attendant celle du monde, c'est-à-dire le mondialisme, constatait que :

"Les gouvernements sont impuissants devant cette hydre qui les étreint. Le crédit aveugle, impersonnel, exerce son contrôle sur la vie des nations. Naguère la France fut serve des grandes banques Morgan, Finaly, Lazare. L'Autriche, vouée à la ruine, dut passer sous le joug des banquiers de Londres.

Qu'adviendra-t-il de la résistance que soutiennent les peuples libres contre l'hégémonie de la Finance ?

"Quoi qu'il en soit, l'Internationale financière a vassalisé la politique. Sous son contrôle, les assemblées souveraines sont réduites à un simulacre de représentation nationale, certains Etats, à des organisations discrètes, protocolaires, jouets dans ses mains.

"Il existe bien d'autres Internationales moins glorieuses, tel le Sémitisme. Tandis que les cosmopolitismes économiques et moraux minent les vieux édifices, toutes ces vastes associations les ébranlent à coups de béliers".

Mais, le plus amusant de l'histoire, c'est qu'en 1930, Georges Dahriman dédicaçait ainsi son livre :

"A M. Aristide Briand, président du Conseil de France, en hommage d'admiration profonde, ce livre très modeste, qui tente de diffuser et de servir une de ses plus chères idées."

Ce qui nous laisse penser que M. Dahriman ignorait que les théories mondialistes étaient, déjà à son époque - ou encore - totalement contrôlées et financées par les mêmes grandes banques qu'il dénonçait.

C'était sûrement un homme sincère, comme beaucoup qui font partie de ces organisations.

Aussi nous sommes nous attachés à trouver un homme sincère qui ne soit pas un "malade mental", et l'avons nous trouvé en la personne de M. James T. Shotwell, membre de la Round Table, du C.F.R. et adjoint de Nicholas Murray Butler à la Fondation Carnegie. Voici ce qu'il disait :

"Il faudra peut-être une génération ou plus encore pour que les nations civilisées aient la certitude d'être définitivement engagées dans la voie nouvelle. Si un siècle a été nécessaire à des nations comme la France et la Grande Bretagne pour consolider les gains d'une révolution intérieure, le monde entier aura besoin de plus de temps encore pour faire sienne une révolution qui affecte la base même des relations internationales".

"L'apparition du mouvement qui tend à délivrer le monde du fléau de la guerre, est un de ces changements décisifs dans les affaires humaines, qu'un document isolé ne saurait complètement exprimer, même s'il stimule les imaginations et contribue à l'idéal essentiel d'une nouvelle structure mondiale. Le pacte de la S.D.N. lui-même ne représente qu'un chapitre de la transformation qui s'effectue sous nos yeux. Le Pacte de Paris également n'est qu'une partie d'un tout plus vaste".

Poursuivant son exposé et abordant le problème de la Haute finance, il écrit : "Ce réseau financier a des ramifications presque infinies. C'est l'index mystérieux des forces dynamiques que la révolution industrielle a déchaînées dans le monde. Le commerce a cessé d'être un échange de l'excédent de la production. Il est devenu de plus en plus un échange de produits indispensables. Une communauté mondiale, fondée sur la solidarité des intérêts, se dégage...( et) bien que la communauté mondiale ne soit pas encore réalisée, nous pouvons cependant, dès maintenant, annoncer avec confiance sa venue prochaine, et aussi dégager le trait caractéristique ·essentiel qui la distinguera de l'ère préscientifique".

"L'Origine de ces forces nouvelles n'a rien de mystérieux ; elles se rattachent directement à un fait sans précédent dans le monde, l'industrialisation progressive."

"A l'origine, cette nouvelle économie se présentait encore sous la forme traditionnelle des rivalités et des conflits, mais en 1776, Adam Smith proclama le principe de la coopération économique fondé sur la théorie que la richesse d'une nation est étroitement liée à l'accroissement de la prospérité des autres. Il séparait ainsi la théorie de commerce de la conception du butin qui avait prévalu jusque-là et qui est inhérente au système de guerre des relations internationales. Des deux documents publiés la même année, l'histoire attribuera à la conception libératrice d'Adam Smith une place aussi grande ou plus grande encore qu'à l'acte qui proclamait les libertés politiques d'une nation".

Et dire que nous nous demandions si nous n'allions pas passer pour des "malades mentaux" en remontant jusqu'à Adam Smith pour expliquer le déroulement implacable de ce Plan...

Mais, fidèles à notre méthode, nous laisserons - n'en déplaise à M. J.T. Shotwell - la conclusion à un membre des sociétés secrètes, Madame Annie Besant, Grande prêtresse de la Société Théosophique, membre de la Fabian Society, proche de la Round Table et sœur Franc-Maçonne :

"...toute guerre concourt à un but défini, et quand une nation fait incursion chez une autre, l'asservit, cette conquête est utile aux vainqueurs et aux vaincus... Toutes ces guerres et ces conquêtes, ces luttes entre nations, entre races, font partie du Grand Plan ... Il faut donc nous convaincre que partout où il y a conflits" le Manou les dirige ; que partout où il y a des troubles, la main puissante du Seigneur des Hommes prépare l'avenir", et elle en conclut que "tout est pour le mieux là où la Hiérarchie Occulte, issue de notre chair et de notre sang, se cache derrière les volontés belliqueuses des hommes, et fait servir le mal à la réalisation du bien".


Yann Moncomble, L'irrésistible expansion du mondialisme

PDF gratuit



jeudi, mars 18, 2021

Le président de la Tanzanie ne doutera plus du Coronavirus, il est mort à l'âge de 61 ans


(1:04)


Le président tanzanien, John Magufuli, minimisait la menace du Coronavirus et doutait de l'intégrité scientifique du Laboratoire national du pays. Laboratoire que John Magufuli piégea après avoir fait mettre des noms et des âges humains sur plusieurs échantillons prélevés sur des sujets non humains. Les prétendues analyses scientifiques déclarèrent positives au covid : "une papaye, une caille et une chèvre — trois choses qui n’ont jamais été liées au virus dans le passé".

En outre, le président tanzanien, surnommé le "président bulldozer", avait mis en garde son ministère de la santé contre une adoption précipitée des vaccins anti-covid. La Tanzanie avait opté pour la "Covid-Organics", le remède à base d'artémisia proposé par Madagascar pour lutter contre la "terrible" pandémie.

Début juin 2020, le président Magufuli déclara le pays libéré du virus "grâce à Dieu". Aucun couvre-feu ni confinement n'avait été imposé pour prévenir la propagation du coronavirus.

Mais, le 17 mars 2021, Dieu rappela à lui le président bulldozer... Comme il rappela à lui, le 8 juin 2020, le président du Burundi, Pierre Nkurunziza, décédé à l'âge de 55 ans. Le président burundais s'attira-t-il la colère de Dieu (ou de Satan) quand, quelques jours auparavant, il avait fait expulser de son pays les équipes de l'OMS ?



mercredi, mars 17, 2021

Martine Wonner : "Il n'y a plus de démocratie vivante dans notre pays"

(11:30)

Discours de la députée Martine Wonner au Parc de l'Orangerie à Strasbourg 
- 14 mars 2021 -



Martine Wonner :

Ce que le gouvernement impose aux Français depuis un an n'est pas admissible. Comment expliquer que face à une pandémie, et j'ai toujours l'habitude de dire qu'après tout il y a un an : ils avaient le droit de ne pas savoir... Peut-être que la Covid, on aurait pu imaginer qu'elle soit véritablement
(une pandémie) avec un taux de létalité à 30 %... On ne savait pas.

Mais un an plus tard, le gouvernement continue la même stratégie (...) qui est d'empêcher les personnes, quand elles sont malades, de se faire soigner...

Est-ce qu'il est entendable que, quand on a le moindre signe de Covid, on ne puisse pas immédiatement aller trouver un médecin pour être soigné.

Mesdames et Messieurs, je ne le répéterai jamais assez, il y a maintenant 290 études internationales scientifiques, pas que l'Institut de Marseille, pas que le professeur Raoult, mais des équipes dans le monde entier qui ont démontré tout l'intérêt d'un traitement précoce.

Vous avez sur le site de "laissons les médecins prescrire", dont je suis membre fondateur avec quatre autres confrères. Ce site, qui est https://stopcovid19.today , vous avez l'onglet "Manifeste des libertés des médecins engagés" pour trouver des médecins dans toute la France (ils sont classés par département)... ils sont engagés pour vous soigner. Ils prennent des risques ! 

Ils prennent des risques parce qu'aujourd'hui en France, un médecin qui respecte le code de déontologie, qui respecte le serment d'Hippocrate, un médecin qui soigne est un médecin qui est condamné par l'Ordre des médecins.

L'Ordre des médecins a été créé sous Vichy... L'Ordre des médecins aujourd'hui a une attitude qui n'est pas acceptable. Des confrères ont été licenciés, des confrères ont des suspensions d'exercer, et on demande aujourd'hui en France aux pharmaciens de dénoncer sur un logiciel des médecins qui soignent... Mais où va-t-on ?

Le "où va-t-on", c'est sans liberté d'entreprendre, sans liberté de sortir de chez soi quand on veut. En ce moment après 18h, c'est un peu compliqué. Sans liberté d'aller au restaurant... Et Carlo (l'avocat Carlo Alberto Brusa) reviendra sur toutes ces privations de libertés...

J'aimerais vous rappeler que l'état d'urgence sanitaire, qui a été voté en mars 2020, a été prorogé par des collègues de l'Assemblée parlementaire, de l'Assemblée nationale, jusqu'au 1er juin 2021 pour des raisons tout simplement électoralistes, puisqu'il faut qu'il y ait des élections... Vous vous souvenez quand le président a dit "nous sommes en guerre, restez chez vous confinés, mais surtout allez voter", c'est très curieux quand même. Il y une dissonance du discours... Il y a une dissonance comportementale... Il y a une dissonance des injonctions de ce gouvernement qui n'est plus acceptable.

Et ma crainte, Mesdames et Messieurs, c'est que cet état d'urgence sanitaire va être rentré définitivement dans le droit commun...

Peuple de France réveillez-vous, c'est très important parce que vous avez compris qu'il n'y a plus de démocratie vivante dans dans notre pays... A aucun endroit, à aucun moment les parlementaires ont pu débattre dans cette belle maison... Dans votre maison, la maison du peuple qui est l'Assemblée nationale, il n'y a pas eu de débat depuis un an... Nous avons été mis devant le fait accompli d'un exécutif, d'un gouvernement qui est dans la toute puissance. Cette toute puissance de décider d'un jour à l'autre que dans certaines régions ça sera 20h, 18h, que des plages seront interdites, c'est délirant. Moi qui suis psychiatre, ce n'est pas un mot trop fort, je peux le dire c'est totalement délirant...

Si nous sommes là aujourd'hui, comme dans 30 lieux hier en France, c'est pour les enfants... (...)

Les enfants aujourd'hui, qui pour les plus petits, ceux qui sont notamment en première année d'école élémentaire qui sont censés être dans la phase d'apprentissage fondamentale d'apprendre à lire et à écrire, c'est juste impossible avec un masque... Comment on peut entendre et comprendre les phonèmes, comment on peut construire tout cela, c'est difficile, les enfants sont fatigués le soir...

Martine Wonner évoque l'opération oxychild de maître Brusa et dénonce les effets négatifs du port du masque sur les enfants. Elle dit : "Nous n'avons pas le droit de maltraiter en France à ce point les enfants"...




mardi, mars 16, 2021

Les "vaccins" contre le Covid-19 provoquent "une catastrophe mondiale sans égale"


Même la France suspend la vaccination



Un expert sonne l’alarme sur les risques de la vaccination de masse

Geert Vanden Bossche, DMV, PhD, un virologue indépendant et expert en vaccins de Belgique, anciennement employé à la Vaccine Alliance GAVI et à la Fondation Bill & Melinda Gates, a publié une lettre ouverte ainsi que des analyses dans les derniers jours, sonnant l’alarme sur les risques de la vaccination de masse contre le COVID-19, telle qu’actuellement mise en œuvre ou prévue dans de nombreux pays.


Vanden Bossche soutient que l’humanité est maintenant confrontée à «une catastrophe mondiale sans égale», en raison de l’administration massive de ce qu’il considère être les mauvais vaccins.

«Ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, voire très dangereux, lorsqu’il est utilisé dans des campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale», affirme-t-il.

Au centre de ses préoccupations sont les conséquences néfastes d’une nouvelle «fuite immunitaire virale», provoquant à la fois une immunité naturelle affaiblie et une résistance vaccinale aux variants.

«Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que cette fuite immunitaire virale menace maintenant l’humanité ?»

«Il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences d’une intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine.»

Vanden Bossche suggère que l’immunité collective ne sera pas obtenue avec les vaccins actuels, car ils «transforment les receveurs de vaccins en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus».

Il appelle à l’utilisation de vaccins qui seraient complètement différents des vaccins conventionnels en ce qu’ils n’induisent pas les cellules B et T, mais plutôt les cellules tueuses naturelles NK (pour “Natural Killers”).

Selon Vanden Bossche, il existe des preuves scientifiques convaincantes que les cellules NK jouent un rôle clé en facilitant l’élimination complète du COVID-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets infectés asymptomatiques.

Vanden Bossche a déjà mis en garde diverses organisations, dont l’OMS, sur ses conclusions et recommandations.

Pour lui, «l’annulation immédiate de toutes les campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19 étant en cours devrait maintenant devenir l’urgence sanitaire la plus élevée au niveau international.» Il demande instamment un débat international immédiat sur la question.

Notez que l’analyse de Vanden Bossche ne couvre pas la prophylaxie et les protocoles de traitement précoce avec des molécules repositionnées telles que l’ivermectine – un outil souligné comme essentiel, même s’il est largement négligé, dans notre récente interview sur la vaccination avec l’éminent professeur Robert Clancy d’Australie.

Lire le texte complet de Geert Vanden Bossche :



lundi, mars 15, 2021

Onze pays européens suspendent la vaccination anti-covid



La liste des pays qui suspendent l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca s’allonge. L’Irlande et les Pays-Bas ont décidé, dimanche 14 mars, de ne plus administrer la substance concoctée dans un but qui ne serait pas franchement la santé des populations... Des réactions morbides au prétendu vaccin sont trop immédiates et contrecarrent momentanément le programme de dépopulation.

"Avant l’Irlande, la Norvège, au même titre que l’Islande ou le Danemark, avait annoncé jeudi la suspension des injections du vaccin d’AstraZeneca en invoquant le principe de précaution en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins. La Bulgarie a fait de même vendredi et la Thaïlande a retardé sa campagne, comme la République démocratique du Congo. L’Italie et l’Autriche ont, quant à elles, suspendu des lots du vaccin." (AFP)

Les Français, quant à eux, restent entre les griffes de la clique maçonnique au pouvoir et de l'OMS. L’Organisation mondiale de la santé, financée par un milliardaire psychopathe, a déclaré vendredi qu’il n’y avait "pas de raison de ne pas utiliser" ce vaccin

Mais l'OMS, c'est quoi ?


(31:54)

L'historienne Marion Sigaut sur l'OMS.



 Si la vidéo est censurée :

L'OMS en 2 minutes



dimanche, mars 14, 2021

Toute la Vérité sur la "pandémie" et les vaccins anti Covid-19



Pour contrôler et asservir toute la population mondiale en la surveillant et en l'affaiblissant, les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial n'avaient rien de mieux, à leur disposition, qu'un vaccin. Dans cette intention diabolique, ils ont fait effectuer de nombreuses manipulations génétiques sur le génome du coronavirus Sars-CoV responsable de l'épidémie de SRAS, survenue entre 2002 et 2003 en Asie, qui n'avait fait que 774 morts. Le coronavirus Covid-19, différent du Sars-CoV2, est un virus artificiel qui est le résultat de nombreuses manipulations génétiques effectuées sur le coronavirus naturel Sars-Co, qui ont conduit successivement à :

- 2 coronavirus artificiels, strictement identiques, Sars-CoV1 et Sars-CoV2 , décrits dans 3 brevets déposés par l'Institut Pasteur, qui assurent leurs protections intellectuelles.

- et, en dernier lieu, un 3ème coronavirus artificiel, Covid-19, fabriqué entre 2011 et 2015 par l'Institut Pasteur, par insertion du virus du SIDA dans le génome de Sars-CoV2. Ce désormais célèbre Covid-19 leur a permis de déclencher la fausse pandémie et de fabriquer le vaccin mortifère ChAdOx1 nCoV-19, destiné à nous exterminer.

Dans son génome, Covid-19 porte, entre autres calamités, 4 fragments d'ARN du VIH1, le Virus du Sida, qui correspondent à de courts segments d'acides aminés trouvés dans le gp120 et le Gag du VIH-1, qui placeront, de manière irréversible, toutes les personnes vaccinées en immunodéficience, et des fragments d'ADN du germe du paludisme. Des nanoparticules, pour repérer les personnes vaccinées, ont été ajoutées aux flacons du vaccin final ChAdOx1 nCoV-19.

Les hommes du monde entier doivent ouvrir les yeux et comprendre que le coronavirus naturel Sars-CoV ne présente aucun danger pour l'humanité, contrairement au Covid-19 artificiel. Covid-19 a contribué à déclencher une fausse pandémie et à répandre la peur, pour nous faire accepter le vaccin ChAdOx1 nCoV-19.

En cherchant à vacciner l'ensemble de la population mondiale, les promoteurs du vaccin ChAdOx1 nCoV-19 ont 2 objectifs :

- Contrôler l'ensemble de la population mondiale après l'avoir vaccinée, grâce au déploiement de la 5G, car ces vaccins contiennent des nanoparticules qui permettent de détecter les personnes vaccinées ;

- Réduire la population mondiale.


Toute la Vérité
Covid-19 & Vaccins anti Covid-19

Professeur Jean-Bernard Fourtillan
Docteur Christian Tal Schaller
Docteur Serge Rader
Didier Rochard
Frédéric Chaumont
(20 Août 2020)

Télécharger gratuitement le PDF

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VIDEO I

Après l’affaire Fourtillan, l’affaire Vincent Freville.



VIDEO II

L'arnaque des tests PCR





samedi, mars 13, 2021

Quand le système s’effondrera...

...il restera l'entraide.

 

(8:06)

Alain Soral présente le livre "L'Entraide, un facteur de l'évolution‏", de Pierre Kropotkine, publié aux éditions Kontre Kulture. 
 

Quelles que soient nos opinions sur l’origine première du sentiment ou de l’instinct de l’entraide — qu’on lui assigne une cause biologique ou une cause surnaturelle — force est d’en reconnaître l’existence jusque dans les plus bas échelons du monde animal ; et de là nous pouvons suivre son évolution ininterrompue, malgré l’opposition d’un grand nombre de forces contraires, à travers tous les degrés du développement humain, jusqu’à l’époque actuelle.

Même les nouvelles religions qui apparurent de temps à autre — et toujours à des époques où le principe de l’entraide tombait en décadence, dans les théocraties et dans les États despotiques de l’Orient ou au déclin de l’Empire romain — même les nouvelles religions n’ont fait qu’affirmer à nouveau ce même principe. Elles trouvèrent leurs premiers partisans parmi les humbles, dans les couches les plus basses et les plus opprimées de la société, où le principe de l’entraide était le fondement nécessaire de la vie de chaque jour et les nouvelles formes d’union qui furent introduites dans les communautés primitives des bouddhistes et des chrétiens, dans les confréries moraves, etc., prirent le caractère d’un retour aux meilleures formes de l’entraide dans la vie de la tribu primitive. Mais chaque fois qu’un retour à ce vieux principe fut tenté, l’idée fondamentale allait s’élargissant. Du clan l’entraide s’étendit aux tribus, à la fédération de tribus, à la nation, et enfin — au moins comme idéal — à l’humanité entière. En même temps, le principe se perfectionnait. Dans le bouddhisme primitif, chez les premiers chrétiens, dans les écrits de quelques-uns des docteurs musulmans, aux premiers temps de la Réforme, et particulièrement dans les tendances morales et philosophiques du XVIIIe siècle et de notre propre époque, le complet abandon de l’idée de vengeance, ou de "juste rétribution" — de bien pour le bien et de mal pour le mal — est affirmé de plus en plus vigoureusement.

La conception plus élevée qui nous dit : « point de vengeance pour les injures » et qui nous conseille de donner plus que l’on n’attend recevoir de ses voisins, est proclamée comme le vrai principe de la morale, — principe supérieur à la simple notion d’équivalence, d’équité ou de justice, et conduisant à plus de bonheur. Un appel est fait ainsi à l’homme de se guider, non seulement par l’amour, qui est toujours personnel ou s’étend tout au plus à la tribu, mais par la conscience de ne faire qu’un avec tous les êtres humains.

Dans la pratique de l’entraide, qui remonte jusqu’aux plus lointains débuts de l’évolution, nous trouvons ainsi la source positive et certaine de nos conceptions éthiques ; et nous pouvons affirmer que pour le progrès moral de l’homme, le grand facteur fut l’entraide, et non pas la lutte. Et de nos jours encore, c’est dans une plus large extension de l’entraide que nous voyons la meilleure garantie d’une plus haute évolution de notre espèce.

Extrait du livre de Pierre Kropotkine, "L'Entraide, un facteur de l'évolution", PDF gratuit :

vendredi, mars 12, 2021

Que pouvons-nous attendre du gouvernement lorsque la plupart des politiciens appartient à une secte satanique

(0:35)

House of Cards - Season 5 

Henry Makow : 

J'avais dévoré la deuxième saison de "House of Cards" comme on dévore une boîte de chocolats. Et, je ne voulais pas être dérangé pour regarder la cinquième saison. Mais franchement, il y avait trop de conneries et pas un mot sur la franc-maçonnerie.

La plupart des membres du congrès appartient à cette société secrète satanique, mais vous pouvez regarder une série télévisée prétendant dévoiler la politique de Washington et ne pas entendre le mot "franc-maçon" mentionné une seule fois. (La série évite également toute allusion aux juifs et à l'influence sioniste.) En fait, il y a bien une référence maçonnique : le drapeau à l'envers dans le logo de la série, c'est un signe maçonnique de détresse, peut-être un clin d'œil aux gens qui savent.

Si vous recherchez "Combien de membres du Congrès sont francs-maçons ?" sur Google, vous ne trouverez pratiquement aucune information. Il y a juste une anecdote sur le sténographe du Congrès qui est tombé en panne en octobre 2013 et a dévoilé que les francs-maçons et le diable contrôlent le Congrès :

On évite également de rappeler que lors de l'élection présidentielle de 2004, les deux candidats, Bush et Kerry, ont avoué être membres de des "Skull and Bones"... [...]

Aujourd'hui, j'ai trouvé cette liste datant de 2016 de 50 sénateurs francs-maçons "non juifs" :
https://www.corruptico.com/2017/01/31/masonic-us-senators-2016/

Le pionnier dans le domaine du pouvoir maçonnique est James Wardner avec son livre de 1996, intitulé "Unholy Alliances". [...]

Il est significatif de constater que le pouvoir maçonnique reste occulté pendant que le pouvoir juif est mis en exergue.

Voici 10 faits sur le contrôle du Congrès et de la magistrature dans un passé récent. Depuis, vous pouvez être certain que les choses n'ont fait qu'empirer.
 

1. Wardner énumère les noms de 75 membres du Congrès qui étaient francs-maçons dans les années 1980, mais il y en avait probablement beaucoup plus. [...]

Présidents qui étaient francs-maçons : George Washington. James Monroe. Andrew Jackson, James Polk. James Buchanan. Andrew Johnson, James Garfield, William McKinley. Theodore Roosevelt, Howard Taft, Warren Harding, Franklin Roosevelt, Harry Truman, LBJ, Gerald Ford, G.H.W. Bush, Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama. 

Depuis que Garfield a été abattu et Harding empoisonné, apparemment tous les francs-maçons ne comprennent pas qu'ils doivent faire progresser le communisme, c'est-à-dire la domination mondiale des banquiers juifs, et le satanisme...

2. En 1987, le franc-maçon et le sénateur Alan Simpson a révélé ceci : "quarante et un membres de la magistrature fédérale sont des maçons". 

3. Une autorité maçonnique, Henry Clausen s'est vanté au début des années 90 que les francs-maçons comprenaient "14 présidents et 18 vice-présidents des États-Unis, une majorité de juges de la Cour suprême des États-Unis, des gouverneurs des États, des membres du Sénat et un grand pourcentage de membres du Congrès. 

Cinq juges en chef des États-Unis appartenaient à la franc-maçonnerie et deux étaient grands maîtres de la secte. Wardner ajoute que ce sont deux grands maîtres francs-maçons, John Marshall et Earl Warren, qui ont supprimé la prière dans les écoles.

6. Outre le président Truman lui-même, les francs-maçons contrôlaient le secrétaire d'État au Commerce, à la Défense, le procureur général et ses quatre nominations à la Cour suprême. Truman déclara : "Bien que je détienne la plus haute distinction civile au monde, j'ai toujours considéré mon rang et mon titre en tant qu'ancien grand maître (de la Grande Loge du Missouri) comme le plus grand honneur qui me soit jamais arrivé." 

7. Franklin Delano Roosevel était un ardent maçon de rite écossais. Les maçons de son cabinet comprenaient le vice-président, le secrétaire au Trésor, à la guerre, au commerce, le procureur général et six de ses huit nominations à la Cour suprême. [...]
 
8. Le président Warren Harding était maçon et en 1923, 300 des 435 membres de la Chambre des représentants des États-Unis (69%) et 30 des 48 sénateurs (63%) étaient des francs-maçons. En 1929, 67% des membres du Congrès étaient des francs-maçons.

9. Léon de Poncins a écrit que la Première Guerre mondiale avait été conçue pour créer un super État maçonnique sous la forme de la Société des Nations. Le traité de Versailles a délibérément conduit à des troubles révolutionnaires en Allemagne, à la guerre civile en Espagne et finalement à la Seconde Guerre mondiale. "C'est un constat effrayant qu'une organisation occulte puisse diriger le cours de la politique européenne, sans que personne ne s'en rende compte."

10. En 1834, un rapport présenté à l'Assemblée législative du Massachusetts concluait que la franc-maçonnerie était "un gouvernement indépendant distinct au sein de notre propre gouvernement, et échappant au contrôle des lois du pays au moyen du secret, des serments et règlements maçonniques auxquels les membres (de la secte) sont tenus d'obéir." 

De toute évidence, la franc-maçonnerie est la religion secrète de l'Occident - (pratiquant) le cannibalisme et le satanisme. [...]

(...) il n'est pas étonnant que les gens soient si artificiels et faux et que nous ayons constamment des scandales, de la corruption et des guerres.

De toute évidence, c'est la totalité de l'establishment Goy (Gentil) qui est complice de la subversion de l'humanité. L'antisémitisme est une diversion. Combien d'antisémites sur Internet mentionnent la franc-maçonnerie ? Bien sûr, la direction juive est également coupable. Presque tout le leadership l'est. Il est plus habile pour les francs-maçons d'accuser les Juifs ordinaires qui sont tout aussi ignorants que les Gentils ordinaires.

Les gens se laissent illusionner parce qu'ils regardent House of Cards et pensent que cette série dépeint la véritable politique.

D'après l'article de H. Makow, Freemasonry is the Real Taboo (extraits) :


jeudi, mars 11, 2021

Contre la tyrannie mondiale, le VRIL ?

"Le vril, c’est l’énorme énergie dont nous n’utilisons qu’une infime partie dans la vie ordinaire, le nerf de notre divinité possible. Celui qui devient maître du vril, devient maître de lui-même, des autres et du monde."

(0:46)


"Dans les années 1930, l'idéologie nazie prédomine en Europe. Hitler et ses principaux officiers auraient été membres de trois sociétés secrètes nommées "Vril", "Thulé" et "Ahnenerbe". Les croyances développées dans ces communautés auraient influencé le nazisme."


Le docteur Willy Ley, l’un des plus grands experts du monde en matière de fusées, s’enfuit d’Allemagne en 1933. C’est par lui que nous avons appris l’existence à Berlin, peu avant le nazisme, d’une petite communauté spirituelle d’un réel intérêt pour nous.

Cette communauté secrète s’était fondée littéralement, sur un roman de l’écrivain anglais Bulwer-Lytton : "La Race qui nous supplantera". Ce roman décrit des hommes dont le psychisme est beaucoup plus évolué que le nôtre. Ils ont acquis des pouvoirs sur eux-mêmes et sur les choses, qui les font pareils à des dieux. Pour l’instant, ils se cachent encore. Ils habitent des cavernes au centre de la terre. Ils en sortiront bientôt, pour régner sur nous.

Voilà tout ce que paraissait en savoir le docteur Willy Ley. Il ajoutait en souriant que les disciples croyaient connaître certains secrets pour changer de race, pour devenir les égaux des hommes cachés au fond de la terre. Des méthodes de concentration, toute une gymnastique intérieure pour se transformer. [...]

Cette société berlinoise se nommait : "La Loge Lumineuse" ou "Société du Vril". Le vril, c’est l’énorme énergie dont nous n’utilisons qu’une infime partie dans la vie ordinaire, le nerf de notre divinité possible. Celui qui devient maître du vril, devient maître de lui-même, des autres et du monde. Il n’y a de souhaitable que cela. C’est à cela que doivent tendre nos efforts. Tout le reste appartient à la psychologie officielle, aux morales, aux religions, au vent. Le monde va changer. Les Seigneurs vont sortir de dessous la terre. Si nous n’avons pas fait alliance avec eux, si nous ne sommes pas des seigneurs, nous aussi, nous serons parmi les esclaves, dans le fumier qui servira à faire fleurir les cités nouvelles.

La "Loge Lumineuse" avait des amis dans la théosophie et dans les groupes Rose-Croix. Selon Jack Belding, auteur du curieux ouvrage "Les Sept Hommes de Spandau"... [...]

(...) la Golden Dawn. Cette société néo-païenne, à laquelle appartenaient de grands esprits, était née de la Société Rosicrucienne anglaise, fondée par Wentworth Little en 1867. Little était en relation avec des rosicruciens allemands. Il recruta ses adeptes, au nombre de 144, parmi les dignitaires maçons. L’un des adeptes était Bulwer-Lytton.

Bulwer-Lytton, érudit génial, célèbre dans le monde pour son récit "Les derniers jours de Pompéi", ne s’attendait sans doute pas à ce que l’un de ses romans, des dizaines d’années plus tard, inspirât en Allemagne un groupe mystique prénazi. Cependant, dans des œuvres comme "La Race qui nous supplantera" ou "Zanoni", il entendait mettre l’accent sur des réalités du monde spirituel, et plus spécialement du monde infernal. Il se considérait comme un initié. À travers l’affabulation romanesque, il exprimait la certitude qu’il existe des êtres doués de pouvoirs surhumains. Ces êtres nous supplanteront et ils conduiront les élus de la race humaine vers une formidable mutation. Il faut prendre garde à cette idée de mutation de la raceNous la retrouverons chez Hitler, et elle n’est pas éteinte aujourd’hui. (Note : Pourquoi en 2021, prétextant une fausse pandémie, la "gouvernance mondiale informelle" fait-elle injecter une substance susceptible de modifier le génome humain ?)

Il faut prendre garde aussi à l’idée des "Supérieurs Inconnus". On la trouve dans toutes les mystiques noires d’Orient et d’Occident. Habitant sous la terre ou venus d’autres planètes, géants pareils à ceux qui dormiraient sous une carapace d’or dans des cryptes tibétaines, ou bien présences informes et terrifiantes telles que les décrivait Lovecraft, ces « Supérieurs Inconnus » évoqués dans les rites païens et lucifériens existent-ils ? Lorsque Machen parle du monde du Mal, "plein de cavernes et d’habitants crépusculaires", c’est à l’autre monde, celui où l’homme prend contact avec les "Supérieurs Inconnus", qu’il se réfère, en disciple de la Golden Dawn. Il nous semble certain qu’Hitler partageait cette croyance. Mieux : qu’il estimait avoir l’expérience du contact avec les "Supérieurs". [...]

(...) Samuel Mathers avait fondé la Golden Dawn. Mathers prétendait être en rapport avec ces "Supérieurs Inconnus" et avoir établi les contacts en compagnie de sa femme, la sœur du philosophe Henri Bergson. Voici un passage du manifeste aux "Membres du second ordre" qu’il écrivit en 1896 :

"Au sujet de ces Chefs Secrets, auxquels je me réfère et dont j’ai reçu la sagesse du Second Ordre que je vous ai communiquée, je ne peux rien vous dire. Je ne sais même pas leurs noms terrestres et je ne les ai vus que très rarement dans leur corps physique… Ils me rencontrèrent physiquement aux temps et lieux fixés à l’avance. Pour mon compte, je crois que ce sont des êtres humains vivant sur cette terre, mais qui possèdent des pouvoirs terribles et surhumains… Mes rapports physiques avec eux m’ont montré combien il est difficile à un mortel, si avancé soit-il, de supporter leur présence. Je ne veux pas dire que dans ces rares cas de rencontre avec eux l’effet produit sur moi était celui de la dépression physique intense qui suit la perte du magnétisme. Au contraire, je me sentais en contact avec une force si terrible que je ne puis que la comparer à l’effet ressenti par quelqu’un qui a été près d’un éclair pendant un violent orage, accompagné d’une grande difficulté de respiration… La prostration nerveuse dont j’ai parlé s’accompagnait de sueurs froides et de pertes de sang par le nez, la bouche et parfois les oreilles."

Hitler entretenait un jour Rauschning, chef du gouvernement de Dantzig, du problème de la mutation de la race humaine. Rauschning, n’ayant pas les clefs d’une aussi étrange préoccupation, traduisait les propos d’Hitler en propos d’éleveur qui cherche à améliorer le sang allemand.

"Mais vous ne pouvez rien faire d’autre que d’aider la nature, disait-il, que d’abréger le chemin à parcourir ! Il faut que la nature vous donne elle-même une variété nouvelle. Jusqu’à présent, l’éleveur n’a réussi que très rarement, dans l’espèce animale, à développer des mutations, c’est-à-dire à créer lui-même des caractères nouveaux.

— L’homme nouveau vit au milieu de nous ! Il est là ! s’écria Hitler d’un ton triomphant. Cela vous suffit-il ? Je vais vous dire un secret. J’ai vu l’homme nouveau. Il est intrépide et cruel. J’ai eu peur devant lui."

Extrait du livre de Pauwels et Bergier "Le matin des magiciens" (version papier). PDF gratuit ICI.




mercredi, mars 10, 2021

L'homme spirituel selon Julius Evola

(5:48)

"Extrait d'un entretien avec le philosophe métaphysicien Jean-Marc Vivenza, portant sur la prégnance de la pensée du penseur italien Julius Evola, à partir de son ouvrage bien connu "Les Hommes au milieu des ruines". Une critique acerbe et argumentée de la dégénérescence du monde moderne..."

Note sur le Wahhabisme :

Le wahhabisme, l’idéologie des égorgeurs du Daech, constitue une véritable rupture épistémologique par rapport à la tradition islamique classique, mais aussi par rapport à ce qu’il convient de nommer l’islam populaire. […] Il s’agit bien d’une hérésie schismatique que les savants musulmans, mais aussi les intellectuels laïques arabes, désignent sous le terme de "dajjâl", dont la traduction la plus exacte serait "antéchrist".

Les Saoud (la dynastie régnante d'Arabie saoudite) qui soutiennent la contre-initiation wahhabite sont des sabbataïstes, autrement dit des satanistes.

Partout dans le monde, "la Contre-Initiation a opéré en deux temps, d’abord elle s’est opposée à la Tradition puis ensuite a utilisé la Parodie, c’est-à- dire une contrefaçon de la Tradition.

C’est la situation d’aujourd’hui : l’anti-tradition qui se présente comme la Tradition. [...]

Dans sa phase finale elle vise à établir un pouvoir mondial régi par l’argent, le commerce et les médias. C’est le Système qui est symbolisé par la Bête au nombre 666 (voir l’Apocalypse où cela est clairement exprimé).

Le Système manipule les médias et donc les esprits. Par le cinéma, les gigantesques manifestations sportives et artistiques, il donne les idées et les mœurs à avoir et surtout il capte à son profit l’énergie émotionnelle des masses. L’Etat final du Cycle dominé par l’Anté-Christ et la Bête montre une parodie totale de la Tradition où tous les principes sacro-saints sont retournés au point d’égarer les plus vigilants, les élus eux-mêmes s’il était possible !

Mais tout cela aura une fin. Les Forces des Ténèbres n’ont pas accès au Monde divin.

Il y aura une prise de conscience et enfin le jeu criminel du mal apparaîtra dans sa vraie nature. Alors ce sera le Grand Basculement. Un Nouvel Age d’Or, une Nouvelle Ere..." (Michel Deseille, auteur du livre 666 La marque de la Bête.



Evola et l'Islam

par Claudio Mutti

En 1994 est paru chez Insan, une maison d’éditions d’Istanbul, un livre intitulé "Modern Dünyaya Baçkaldïrï", c’est à dire la traduction turque de "Révolte contre le monde moderne" de Julius Evola. Cette initiative est due à un professeur de théologie islamique de l’Université de Marmara, qui à l’époque avait en programme de faire publier un autre livre d’Evola, "Masques et visages du spiritualisme contemporain". D’ailleurs, "Révolte contre le monde moderne" à été évoqué, à l’occasion d’un entretien publié dans “Éléments” (n. 77, 1993), par l’intellectuel algérien Rachid Benaïssa, élève de ce maître à penser qui fut Malek Bennabi.

Si le nom de Julius Evola n’est pas inconnu en terre d’Islam, dans quelle mesure Evola a eu connaissance de l’Islam ?

Le tableau de la tradition islamique brossé dans "Révolte contre le monde moderne" n’occupe que quelques pages, mais présente avec suffisamment de relief les aspects de l’Islam qui permettent, dans la perspective évolienne, de le caractériser comme une “tradition d’un niveau supérieur non seulement à l’hébraïsme, mais aussi aux croyances qui conquirent l’Occident” (RMM, 342).

En premier lieu, Evola fait remarquer que le symbolisme de l’Islam indique clairement un rattachement direct de cette forme traditionnelle à la Tradition primordiale elle-même, de sorte que l’Islam est indépendant du judaïsme comme du christianisme, religions dont il rejette d’ailleurs les thèmes spécifiques (péché originel, rédemption, médiation sacerdotale, etc.). C’est toujours dans "Révolte contre le monde moderne" que nous lisons :

“De même que dans l’hébraïsme sacerdotal, l’élément central est constitué ici par la loi et la tradition, en tant que forces formatrices, auxquelles les souches arabes des origines fournirent toutefois une matière beaucoup plus pure, plus noble et empreinte d’esprit guerrier. La loi islamique, Sharîah, est la loi divine ; sa base, le Coran, est considéré comme la parole même de Dieu – kalâm Allâh – comme une œuvre non humaine, un livre “incréé”, existant ab aeternodans les cieux. Si l’Islam se considère comme la "religion d’Abraham" et a même voulu faire de celui-ci le fondateur de la Kaaba, où réapparaît la “pierre”, le symbole du “Centre”, il n’en demeure pas moins qu’il affirme son indépendance vis-à-vis de l’hébraïsme comme du christianisme, que le centre de la Kaaba contenant le symbole en question a des origines préislamiques lointaines, difficiles à déterminer, et qu’enfin le point de référence de la tradition ésotérique islamique est la mystérieuse figure du Khidr, considérée comme supérieure et antérieure aux prophètes bibliques. L’Islam rejette le thème caractéristique de l’hébraïsme, qui deviendra, dans le christianisme, le dogme et la base du mystère christique : il maintient, sensiblement affaibli, le thème de la chute d’Adam, sans en déduire, toutefois, la notion de “péché originel”. Il voit en celui-ci une “illusion diabolique” – talbis Iblîs. D’une certaine façon, même, ce thème est inversé, la chute de Satan – Iblîs ou Shaitân – étant attribuée, dans le Coran (XVIII, 48), au refus de celui-ci de se prosterner, avec les Anges, devant Adam. Ainsi se trouvent repoussés à la fois l’idée centrale du christianisme, celle d’un rédempteur ou sauveur, et l’idée d’une médiation exercée par une caste sacerdotale”. (RMM, 340-341)

Pureté absolue de la doctrine de l’Unité, exempte de toute trace d’anthropomorphisme et de polythéisme, intégration de chaque domaine de l’existence dans un ordre rituel, ascèse de l’action en termes de jihâd, capacité de modeler une “race de l’esprit” : tels sont, successivement, les aspects de l’Islam qui retiennent l’attention d’Evola. Il écrit : “Le Divin étant conçu d’une façon purement monothéiste, sans “Fils”, sans “Père”, sans “Mère de Dieu”, tout musulman apparaît directement relié à Dieu et sanctifié par la loi, qui imprègne et organise en un ensemble absolument unitaire toutes les expressions juridiques, religieuses et sociales de la vie. Ainsi que nous avons déjà eu l’occasion de le signaler, l’unique forme d’ascèse conçue par l’Islam des origines fut celle de l’action, sous la forme de jihâd, de “guerre sainte”, guerre qui, en principe, ne doit jamais être interrompue, jusqu’à la complète consolidation de la loi divine. Et c’est précisément à travers la guerre sainte, et non par une action de prédication et d’apostolat, que l’Islam connut une expansion soudaine, prodigieuse, et forma non seulement l’Empire des Califes, mais surtout l’unité propre à une race de l’esprit – umma – la “nation islamique”". (RMM, 341)

L’Islam, enfin, observe Evola, est une forme traditionnelle complète, en ce sens qu’il est doué d’un ésotérisme vivant et opératif qui peut fournir, à ceux qui possèdent les qualifications nécessaires, les moyens de parvenir à une réalisation spirituelle qui dépasse le but exotérique du “salut” :

“Enfin (…), l’Islam présente un caractère particulièrement traditionnel, complet et achevé, du fait que le monde de la Sharîah et de la Sunna, de la loi exotérique et de la tradition, trouve son complément, moins dans une mystique que dans de véritables organisations initiatiques – turuq – détentrices de l’enseignement ésotérique, le ta’wîl, et de la doctrine métaphysique de l’Identité suprême, Tawhîd. La notion de ma’sûm, fréquente dans ces organisations et, en général, dans la Shîa, notion relative à la double prérogative de l’ismâ, ou infaillibilité doctrinale, et de l’impossibilité, pour les chefs, les Imams visibles et invisibles, et les mujtahid, d’être entachés de faute, correspond à l’attitude d’une race demeurée intacte et formée par une tradition d’un niveau supérieur non seulement à l’hébraïsme, mais aussi aux croyances qui conquirent l’Occident”. (RMM, 341-342)

Parmi tous ces thèmes, celui auquel est le plus directement sensible Julius Evola, étant donnée son “équation personnelle”, est évidemment le thème de l’action, l’action sacralisée. Le regard d’Evola se fixe donc sur la notion de jihâd et sur sa double application, conformément au célèbre hadîth du Prophète: “Raja’nâ min al-jihâd al-açghar ilâ-l jihâd al akbar“, c’est à dire: “Nous sommes revenus de l’effort mineur à l’effort majeur”; ou bien, si l’on préfère, “de la petite à la grande guerre sainte”. Ce hadîth, qui fournit le titre pour un chapitre de Révolte contre le monde moderne (“La grande et la petite guerre sainte”), est ainsi commenté par Evola :

Dans la tradition islamique on distingue deux guerres saintes : la “grande guerre sainte” – el-jihâdul akbar – et la “petite guerre sainte” – el-jihâdul açghar – conformément à une parole du Prophète qui, de retour d’une expédition guerrière, déclara: “Nous voici revenus de la petite à la grande guerre sainte”. La “grande guerre sainte” est d’ordre intérieur et spirituel; l’autre est la guerre matérielle, celle qui se livre à l’extérieur contre un peuple ennemi, en vue notamment d’inclure les peuples “infidèles” dans l’espace régi par la “loi de Dieu”, dâr al-islâm.

La “grande guerre sainte” est toutefois à la “petite guerre sainte” ce que l’âme est au corps, et il est fondamental, pour comprendre l’ascèse héroïque ou “voie de l’action”, de comprendre la situation où les deux choses se confondent, la “petite guerre sainte” devenant le moyen par lequel se réalise une “grande guerre sainte” et, vice-versa, la “petite guerre sainte” – la guerre extérieure – devenant presque une action rituelle qui exprime et atteste la réalité de la première. En effet, l’Islam orthodoxe ne conçut à l’origine qu’une seule forme d’ascèse: celle qui se relie précisément au jihâd, à la “guerre sainte”.

La “grande guerre sainte” est la lutte de l’homme contre les ennemis qu’il porte en soi. Plus exactement, c’est la lutte du principe le plus élevé chez l’homme contre tout ce qu’il y a de simplement humain en lui, contre sa nature inférieure, contre ce qui est impulsion désordonnée et attachement matériel. (RMM, 175)

Ailleurs, Evola voit dans l’idée de jihâd une “tardive renaissance d’une hérédité aryenne primordiale”, si bien que “la tradition islamique est ici à la place de la tradition aryo-iranienne” (DALV, 11).

En tout cas, la doctrine islamique de la petite et de la grande “guerre sainte” occupe dans l’œuvre évolienne une position privilégiée et acquiert une valeur paradigmatique ; elle exemplifie, en effet, et représente la conception générale que le monde de la Tradition rapporte à l’expérience guerrière et, plus largement, à l’action comme voie de réalisation. Les enseignements concernant l’action guerrière de divers milieux traditionnels sont donc envisagés à la lumière de leur coïncidence essentielle avec la doctrine du jihâd et sont exposés à l’aide d’une notion qui est, elle aussi, de dérivation islamique : la notion de “voie de Dieu” (sabîl Allâh) :

Dans le monde de l’ascèse guerrière traditionnelle, la “petite guerre sainte”, c’est-à-dire la guerre extérieure, s’ajoute ou se trouve même prescrite comme voie pour réaliser cette “grande guerre sainte”, et c’est pourquoi, dans l’Islam, “guerre sainte” – jihâd – et “voie d’Allah” sont souvent employées comme synonymes. Dans cet ordre d’idées, l’action a rigoureusement la fonction et la fin d’un rite sacrificiel et purificateur. Les aspects extérieurs de l’aventure guerrière provoquent l’apparition de l’”ennemi intérieur” qui, sous forme d’instinct animal de conservation, de peur, d’inertie, de pitié ou de passion, se révolte et oppose une résistance que le guerrier doit vaincre, lorsqu’il descend sur le champ de bataille pour combattre et vaincre l’ennemi extérieur ou le “barbare”.

Naturellement, tout cela présuppose l’orientation spirituelle, la “juste direction” – niyyah – vers les états supra-individuels de l’être symbolisés par le “ciel”, le “paradis”, les “jardins d’Allah”, et ainsi de suite; autrement, la guerre perd son caractère sacré et se dégrade en une aventure sauvage où l’exaltation se substitue à l’héroïsme vrai et où dominent les impulsions déchaînées de l’animal humain. (RMM, 176-177; cf. DALV, 12 et DF, 307-308).

Evola rapporte (dans la traduction italienne de Luigi Bonelli, légèrement remaniée par lui) toute une série de passages coraniques relatifs aux idées de jihâd et de “voie d’Allah” (RMM, 177-178). En outre il cite, à titre d’exemple et d’illustration, deux maximes: “Le paradis est à l’ombre des épées” et ” Le sang des héros est plus proche de Dieu que l’encre des philosophes et les prières des dévots” (RMM, 184; cf. DF, 308). Or, si la première de ces deux maximes est effectivement un hadîth, la seconde, extraite peut-être de quelque étude orientaliste peu digne de foi, est en réalité on ne peut plus différente du hadîth rapporté par Suyûtî dans Al-jâmi’ aç-çaghîr, qui dit textuellement ainsi: “L’encre des savants et le sang des martyrs seront pesés au Jour de la Résurrection, et la balance penchera en faveur des savants”.

Avant de passer aux formulations conférées à la doctrine de la “guerre sainte” dans des milieux traditionnels non islamiques (surtout l’Inde et le christianisme médiéval), Evola établit une analogie entre la mort que connaît le mujâhid et la mors triumphalis de la tradition romaine (RMM, 178) ; ce thème est repris plus loin, lorsque la capacité d’”immortalisation” attribuée à la victoire guerrière par certaines traditions européennes est mise en relation avec l’”idée islamique, selon laquelle les guerriers tués dans la ‘guerre sainte’ – jihâd – ne seraient jamais vraiment morts” (RMM, 199). Un verset coranique est cité à titre d’illustration: “N’appelez pas morts ceux qui furent tués dans la voie de Dieu; non, ils sont vivants, au contraire, même si vous ne vous en apercevez pas” (Coran, II, 149). Le parallèle spécifique est d’ailleurs retrouvé chez Platon (Resp. 468e), “selon lequel – rappelle Evola – certains morts, tués à la guerre, font corps avec la race d’or qui, selon Hésiode, n’est jamais morte, mais subsiste et veille, invisible” (RMM, 199).

Dans "Révolte contre le monde moderne", il est un autre sujet qui permet certaines références à la doctrine de l’Islam: celui du chapitre “La Loi, l’État, l’Empire”. Observant que “jusque dans la civilisation médiévale, la rébellion contre l’autorité et la loi impériale fut assimilée à l’hérésie religieuse et que les rebelles furent tenus, non moins que les hérétiques, comme des ennemis de leur propre nature, contredisant la loi de leur essence” (RMM, 51), Evola relève la présence d’une conception analogue en Islam et renvoie le lecteur à la IVe sourate du Coran, v. 111. Un autre rapprochement est ensuite établi entre la conception romano-byzantine, d’une part, qui oppose la lois et la pax de l’oecumène impérial au naturalisme des barbares – affirmant en même temps l’universalité de son droit -, et la doctrine islamique, de l’autre, puisqu’on trouve dans celle-ci, observe Evola, “la distinction géographique entre le dâr al-islâm, ou terre de l’Islam, gouvernée par la loi divine, et le dâr al-harb ou ‘terre de la guerre’, parce que sur cette dernière vivent des peuples qui doivent être intégrés à la première grâce au jihâd, à la ‘guerre sainte’” (RMM, 59).

Dans le même chapitre, évoquant la fonction impériale d’Alexandre le Grand, vainqueur des hordes de Gog et Magog, Evola renvoie à la figure coranique de Dhû’l-Qarnayn, généralement identifié à Alexandre, et à ce que dit la sourate XVIII du Coran (RMM, 57).

Les analogies existant entre certains aspects de l’Islam et les éléments correspondant d’autres formes traditionnelles sont également relevées dans Le Mystère du Graal; mais, tandis que dans Révolte contre le monde moderne il s’agit de purs parallèles doctrinaux – où sont parfois comparées à l’Islam des formes traditionnelles qui n’ont jamais été en contact avec le monde musulman -, dans l’essai sur “l’idée impériale gibeline” les similitudes entre Islam et templarisme viennent, au contraire, s’insérer dans le cadre concret, historique, des rapports entretenus par des représentants de l’ésotérisme chrétien et de l’ésotérisme islamique. On peut considérer, a ce propos, le passage suivant :

"On accusait en outre les Templiers d’avoir des intelligences secrètes avec les musulmans et d’être plus proches de la foi islamique que de la foi chrétienne. Il faut probablement interpréter cette dernière indication en tenant compte du fait que l’anti-christolâtrie était également une des caractéristiques de l’islamisme. Quant aux “intelligences secrètes”, elles doivent nous apparaître comme synonyme d’un point de vue moins sectaire, plus universel, donc plus ésotérique que celui du christianisme militant. Les Croisades, où les Templiers et, d’une façon générale, la chevalerie gibeline jouèrent un rôle fondamental, créèrent malgré tout, à divers égards, un pont supratraditionnel entre l’Occident et l’Orient. La chevalerie croisée finit par se trouver en face d’une sorte de réplique d’elle même, c’est-à-dire de guerriers ayant la même éthique, les mêmes coutumes chevaleresques, les mêmes idéaux d’une “guerre sainte”, et, en outre, en face de veines ésotériques similaires." (MG, 188-189)

Puis, Evola passe à une description sommaire de ce qu’il appelle, improprement d’ailleurs, “l’Ordre arabe des Ismaéliens”, à savoir le mouvement hétérodoxe qui fut très lié aux Templiers :

"C’est ainsi – écrit Evola – qu’aux Templiers correspondit exactement, en Islam, l’Ordre arabe des Ismaélites, qui se considéraient aussi comme les “gardiens de la Terre Sainte” (également au sens ésotérique, symbolique) et avaient une double hiérarchie, l’une officielle, l’autre secrète. Et cet Ordre, avec son double caractère à la fois guerrier et religieux, courut le danger de connaître une fin analogue à celle des Templiers et pour un motif analogue: son fond initiatique et l’affirmation d’un ésotérisme méprisant la lettre des textes sacrés. Il est également intéressant de constater que, dans l’ésotérisme ismaélien, réapparaît le même thème que celui de la légende impériale gibeline: le dogme islamique de la “résurrection” (qiyâma) est interprété ici comme la nouvelle manifestation du Chef Suprême (Imam) devenu invisible durant la période dite de l’”absence” (ghayba); car l’Imam, à un moment donné, avait disparu, se soustrayant à la mort, mais ses sectateurs restaient tenus de lui jurer fidélité et sujétion, comme à Allah lui-même." (MG, 189-190)

L’ésotérisme islamique est défini par Evola comme doctrine qui va même jusqu’à “reconnaître dans l’homme la condition dans laquelle l’Absolu devient conscient de lui-même, et qui professe la doctrine de l’Identité Suprême” (OO, 35-36), si bien que l’Islam apparaît comme un exemple clair et éloquent d’un système qui, bien qu’incluant un domaine strictement théiste, reconnaît une vérité et une voie de réalisation plus élevées, les éléments émotionnels et dévotionnels, l’amour et tout le reste perdant ici (…) toute signification “morale”, et toute valeur intrinsèque, et acquérant seulement celle d’une technique parmi les autres. (OO, 36)

Or, l’ésotérisme islamique, avec les enseignements de ses maîtres et son univers de notions et de symboles, fournit à Evola des axes et références d’une certaine importance. En ce qui concerne symboles et notions, il faut souligner l’importance, dans l’œuvre évolienne, accordée à la fonction polaire. Comme l’explique Evola, “au Proche-Orient” (mais il serait plus correct de dire en Islam), “le terme qutb, ‘pôle’, a désigné non seulement le souverain, mais, d’une manière plus générale, celui qui dicte la loi et qui est le chef de la tradition d’une certaine période historique” (R, 50). (Pour être précis, il faudrait dire que le qutb, le “pôle”, représente le sommet de la hiérarchie initiatique). Or, tout un chapitre de Révolte contre le monde moderne, le troisième de la première partie, repose sur l’idée de cette fonction traditionnelle et emploie précisément les termes “pôle” et “polaire”. L’étrange est que ce chapitre ne contient aucune référence explicite à la tradition islamique, tandis que, pour ce qui est des maîtres de l’ésotérisme islamique, les noms d’Ibn ‘Arabi, Hallâj, Rûmî, Hâfez, Ibn Atâ’, Ibn Farîd, ‘Attâr sont mentionnés dans plusieurs écrits évoliens.

La première mention d’Ibn ‘Arabî, ash-shaykh al-akbar (= doctor maximus), apparaît dans une glose d’Introduction à la Magie qui n’est pas signée, mais qui est certainement due à Evola: y est cité “le cas d’Ibn ‘Arabî” afin d’illustrer l’”inversion des rôles par rapport à l’état où, la dualité étant créée, l’image divine incarnant le Moi supérieur est devant le mystique comme un autre être” (IaM, I, 71). Pour approfondir cette idée, Evola recourt au correspondant enseignement du Taçawwuf; après quoi, dans le même contexte, il rappelle que “la fin d’El Hallaj, qui est toutefois considéré comme l’un des principaux maîtres de l’Islam ésotérique (soufisme)”, fut une conséquence de la divulgation du secret qui s’attache à la réalisation de la condition la plus élevée. Evola revient sur ce point en un autre endroit de son œuvre, lorsqu’il écrit :

"En réalité, si certains initiés dont personne ne niait la qualification furent condamnés et parfois même tués (le cas typique le plus souvent rappelé est celui d’Al Hallâj en Islam), cela eut lieu parce qu’ils avaient ignoré cette règle (celle du secret, N.d.A); il ne s’agissait donc pas d’”hérésie”, mais de raisons pratiques et pragmatiques. Une maxime dit à ce sujet: “Que le sage ne trouble pas avec sa sagesse celui qui ne sait pas”." (AM, 122)

L’autre brève allusion à Ibn ‘Arabî contenue dans Introduction à la Magie est due, elle aussi, à Evola, qui, dans le texte intitulé "Ésotérisme et mystique chrétienne" et signé avec le pseudonyme de “Ea”, remarque que manque dans l’ascèse chrétienne, malgré la discipline du silence, “la pratique du degré le plus intériorisé de cette discipline, qui ne consiste pas seulement à mettre un terme à la parole parlée, mais aussi à la pensée (le fait ‘de ne pas parler avec soi-même’ d’Ibn ‘Arabî” (IaM, III, 281).

Dans "Métaphysique du sexe", après avoir relevé que, dans l’Islam, “loi destinée à qui vit dans le monde, non à l’ascète” (MS, 262), est absente “l’idée de la sexualité comme quelque chose de coupable et d’obscène” (MS, 242), Evola relève qu’Ibn ‘Arabî en vient même à parler d’une contemplation de Dieu dans la femme, dans une ritualisation de l’étreinte sexuelle conforme à des valeurs métaphysiques et théologiques. (MS, 242)

Suivent deux longues citations des Fuçûç al-hikam (Les châtons de la Sagesse), dans la traduction due à Titus Burckhardt, dont voici la conclusion évolienne :

"Dans cette théologie soufiste (sic) de l’amour, on doit voir seulement l’amplification et l’élévation à une conscience plus précise du monde rituel avec lequel l’homme de cette civilisation a plus ou moins distinctement assumé et vécu les rapports conjugaux en général, en partant de la sanctification que la Loi coranique confère à l’acte sexuel dans un régime non seulement monogamique, mais aussi polygamique. De là naît aussi le sens particulier que peut revêtir la procréation, entendue précisément comme l’administration du prolongement du pouvoir créateur divin existant dans l’homme." (MS, 243)

Un autre passage des "Fuçûç al-hikam" illustre, dans "Métaphysique du sexe", la “clef de la technique islamique” (MS, 349), la quelle consiste à assumer “la dissolution à travers de la femme” en tant que symbole de l’extinction en la Divinité. Au même ordre d’idées se refère la signification des “Expériences chez les Arabes” de Gallus (pseud. de Enrico Galli Angelini), un texte compris dans Introduction à la Magie dont Evola cite quelques extraits relatifs aux “pratiques orgiaques pour des fins mystiques (…) attestés (…) dans l’aire arabo-persane” (MS, 347).

Dans ce que Gélâleddîn Rûmî dit à propos de la danse (“Celui qui connaît la vertu de la danse vit en Dieu, parce qu’il sait comment l’amour tue”) (MS, 128), Evola distingue une autre “clef” des techniques initiatiques islamiques, “la clef des pratiques d’une chaîne, ou école, de mystique islamique, qui s’est continuée à travers les siècles et qui considère Gélâleddîn Rûmî comme son maître” (MS, 128).

Dans la poésie du soufisme arabo-persan, connue de lui à travers l’Antologia della mistica arabo-persiana de M.M. Moreno (Laterza, Bari 1951), Evola retrouve des thèmes qui, pour sa “métaphysique du sexe”, ne manquent pas d’intérêt : l’application, par exemple, du symbolisme masculin à l’âme de l’initié, si bien que, comme il écrit, “la divinité (…) est considérée comme une femme : elle n’est pas l’”épouse céleste”, mais la “Fiancée” ou l’”Amante”. Ainsi, par exemple, chez Attâr, Ibn Fârid, Gélâleddîn el-Rûmî, etc. (MS, 277, note 1)”.

Dans la poésie soufique, Evola trouve également l’idée de l’amour comme “force qui tue” le moi individuel, idée découverte par lui chez Rûmî et Ibn Fârid.

A une technique caractéristique du soufisme, le dhikr, est consacrée une glose d’Introduction à la Magie que nous pensons pouvoir attribuer à Evola. Celle-ci relève en particulier la correspondance entre une telle technique islamique, et le mantra hindou et la répétition des noms divins pratiquée par l’hésychiasme (IaM, I, 396-397). Cette glose cite Al-Ghazâlî, dont certaines affirmations sont citées à d’autres pages du même ouvrage attribuables avec sûreté à Evola (IaM, II, 135-136 et 239).

Encore plus enrichissante fut la rencontre d’Evola et de l’hermétisme islamique : en fait, parmi tous les auteurs musulmans le plus cité dans l’œuvre d’Evola est Geber, c’est à dire Jâbir ibn Hayyân. A propos du rôle joué par les hermétistes de l’Islam, Evola écrit :

"Entre le VIIe et le XIIe siècle, il s’est avéré qu’elle (la tradition hermético-alchimique) existait chez les Arabes qui, à cet égard aussi, servirent d’intermédiaires pour la reprise, par l’Occident médiéval, d’un héritage plus ancien de la sagesse pré-chrétienne." (MG 223)

Dans son étude plus spécialement consacrée à la tradition hermétique, Evola utilise de très nombreuses citations extraites de textes musulmans recueillis par Berthelot et Manget. Il privilégie, nous l’avons dit, Geber : mais ceci n’a rien d’étonnant, compte tenu de la masse énorme du corpus gébérien ; Râzî est également mentionné et un certain nombre de livres anonymes sont cités, parmi lequels la célèbre Turba Philosophorum, traduite en italien dans le seconde volume d’"Introduction à la Magie".

Comme on sait, une grande partie de l’œuvre d’Evola se base sur certains enseignements traditionnels devenus accessibles au plus grand nombre à la suite de l’exposé qu’en a fait René Guénon. Evola s’est donc en grande partie appuyé sur l’œuvre de ce dernier, reprenant des conceptions qui y étaient développées et les adaptant souvent à sa propre “équation personnelle”. Or, compte tenu de l’appartenance de Guénon à l’Islam et de la filiation islamique de certains enseignements fondamentaux, perceptibles dans l’œuvre de Guénon, il n’est pas hors de propos de considérer ce qu’écrit Evola quant à l’intégration de Guénon à la tradition islamique :

"Guénon était convaincu que subsistaient en Orient, malgré tout, des groupes encore dépositaires de la Tradition. Sur le plan pratique, il entretint des rapports directs avant tout avec le monde islamique où des filons initiatiques (soufis et ismaélites) continuaient à circuler parallèlement à la tradition exotérique (c’est-à-dire religieuse). Et il s’islamisa à outrance. S’étant établi en Égypte, il avait reçu le nom de sheikh Abdel Wahîd Yasha (sic) et même la nationalité égyptienne. Il épousa en secondes noces une Arabe." (LD, III, 4, 22)

Et encore :

"Dans le cas de Guénon, ce rattachement (initiatique) a dû principalement se réaliser – comme nous l’avons dit – avec des “chaînes” islamiques. Mais à celui qui n’a pas d’inclination à s’en remettre à des musulmans ou à des Orientaux, Guénon ne propose pas grand chose." (R, 212)

Le “cas de Guénon” a donc induit Evola à reconnaître qu’existent, aujourd’hui encore et malgré tout, des possibilités de rattachement initiatique ; en plus, Evola affirme que, dans les conditions actuelles, le choix de l’Islam comme voie traditionnelle est pratiquement obligatoire pour ceux qui adhèrent à la doctrine traditionnelle dans sa formulation guénonienne et ne veulent pas se contenter de la théorie.

D’ailleurs, Evola avait encore plus nettement affirmé, à propos des centres initiatiques:

Il est certain qu’il en existe encore, bien que l’Occident ne soit guère concerné ici et bien qu’il faille, dans ce domaine, se tourner vers le monde musulman et l’Orient. (VdT, I, 3, 120; puis dans AM, 253)

Un problème qu’Evola évoque dans ce contexte, concerne le rapport existant entre les centres initiatiques et le cours de l’histoire. Il est formulé comme suit:

Le cors de l’histoire est généralement interprété comme une involution et une dissolution. Or, face aux forces qui agissent en ce sens, quelle est la position des centres initiatiques? (AM, 253)

Ce problème implique également l’Islam, puisqu’Evola dit :

Par exemple, il est certain qu’existent en terre d’Islam des organisations initiatiques (celles des soufis), mais leur présence n’a pas du tout empêché l’”évolution” des pays arabes dans une direction anti-traditionnelle, progressiste et moderniste, avec toutes les conséquences inévitables de ce phénomène. (AM, 254)

Une telle question avait été posée par Evola dans le cadre d’une correspondance avec Titus Burckhardt, qui, en connaissance de cause, lui avait “fait remarquer que des possibilités de ce genre (c’est à dire traditionnelles, n.d.r.) subsistaient dans des régions non européennes” (CC, 204). Nous ignorons si, et comment, l’écrivain suisse avait répondu aux objections d’Evola; en tout cas, on pourrait faire observer avant tout que les “pays arabes”, avec lesquels Evola semble identifier la “terre d’Islam”, ne constituent en réalité que la dixième partie du monde musulman, de sort qu’il n’est pas correct de faire coïncider leur “évolution” avec le développement de la situation générale de la ummah islamique. Mais surtout, quand bien même les “centres initiatiques (soufis)” ne s’opposeraient pas, par leur action, au processus général d’involution, il serait toutefois arbitraire d’affirmer que leur fonction est illusoire, comme le fait Evola lorsqu’il évoque ces échanges polémiques avec des milieux qui se font encore des illusions sur les possibilités offertes par les “restes traditionnels” existant dans le monde actuel. (CC, 203)

En fait, le rattachement à des centres initiatiques – dont procède toute transmission régulière d’influences spirituelles – constitue l’unique solution possible pour quiconque entend réagir à la tendance involutive du monde moderne : tendance inexorable puisque soumise aux rigoureuses lois cycliques qui régissent la manifestation. C’est le propre du rattachement à un centre initiatique – et, grâce à lui, au centre suprême – d’assurer la continuité de la transmission des influences spirituelles pour toute la durée du présent cycle d’humanité et donc permettre la participation au monde de l’Esprit jusqu’à la fin du cycle. Dans une telle perspective, c’est le propre du processus d’involution que de se révéler “illusoire”: en fait, celui-ci ne concerne que la manifestation – laquelle, compte tenu de son caractère fondamentalement contingent, ne représente rigoureusement rien vis-à-vis de l’Absolu.

Claudio Mutti


SIGLES DES OEUVRES DE JULIUS EVOLA CITÉES DANS LE TEXTE :

RMM = Révolte contre le monde moderne, éd. de l’Homme, Montréal-Bruxelles 1972. PDF GRATUIT ICI.

DF = Diorama, Europa, Roma 1974.

MG = Le mystère du Graal et l’idée impériale gibeline, Villain et Belhomme – Éd. Traditionnelles, Paris 1970.

OO = Orient et Occident, Arché, Milano 1982. PDF GRATUIT ICI.

R = Ricognizioni. Uomini e problemi, Edizioni Mediterranee, Roma 1974.

IaM = Introduzione alla Magia, 3 voll., Edizioni Mediterranee, Roma 1971.

AM = L’arc et la massue, Trédaniel-Pardès, Paris-Puiseaux 1984. PDF GRATUIT ICI.

MS = Metafisica del sesso, Edizioni Mediterranee, Roma 1969.

LD = René Guénon e il “tradizionalismo integrale”, “La Destra”, a. III, n. 4, avril 1973.

VdT = I centri iniziatici e la storia, “Vie della Tradizione”, a. I, n. 3, juillet-septembre 1971.

CC = Le chemin du cinabre, Arché-Arktos, Milano-Carmagnola 1983.





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