mercredi, mars 10, 2021

L'homme spirituel selon Julius Evola

(5:48)

"Extrait d'un entretien avec le philosophe métaphysicien Jean-Marc Vivenza, portant sur la prégnance de la pensée du penseur italien Julius Evola, à partir de son ouvrage bien connu "Les Hommes au milieu des ruines". Une critique acerbe et argumentée de la dégénérescence du monde moderne..."

Note sur le Wahhabisme :

Le wahhabisme, l’idéologie des égorgeurs du Daech, constitue une véritable rupture épistémologique par rapport à la tradition islamique classique, mais aussi par rapport à ce qu’il convient de nommer l’islam populaire. […] Il s’agit bien d’une hérésie schismatique que les savants musulmans, mais aussi les intellectuels laïques arabes, désignent sous le terme de "dajjâl", dont la traduction la plus exacte serait "antéchrist".

Les Saoud (la dynastie régnante d'Arabie saoudite) qui soutiennent la contre-initiation wahhabite sont des sabbataïstes, autrement dit des satanistes.

Partout dans le monde, "la Contre-Initiation a opéré en deux temps, d’abord elle s’est opposée à la Tradition puis ensuite a utilisé la Parodie, c’est-à- dire une contrefaçon de la Tradition.

C’est la situation d’aujourd’hui : l’anti-tradition qui se présente comme la Tradition. [...]

Dans sa phase finale elle vise à établir un pouvoir mondial régi par l’argent, le commerce et les médias. C’est le Système qui est symbolisé par la Bête au nombre 666 (voir l’Apocalypse où cela est clairement exprimé).

Le Système manipule les médias et donc les esprits. Par le cinéma, les gigantesques manifestations sportives et artistiques, il donne les idées et les mœurs à avoir et surtout il capte à son profit l’énergie émotionnelle des masses. L’Etat final du Cycle dominé par l’Anté-Christ et la Bête montre une parodie totale de la Tradition où tous les principes sacro-saints sont retournés au point d’égarer les plus vigilants, les élus eux-mêmes s’il était possible !

Mais tout cela aura une fin. Les Forces des Ténèbres n’ont pas accès au Monde divin.

Il y aura une prise de conscience et enfin le jeu criminel du mal apparaîtra dans sa vraie nature. Alors ce sera le Grand Basculement. Un Nouvel Age d’Or, une Nouvelle Ere..." (Michel Deseille, auteur du livre 666 La marque de la Bête.



Evola et l'Islam

par Claudio Mutti

En 1994 est paru chez Insan, une maison d’éditions d’Istanbul, un livre intitulé "Modern Dünyaya Baçkaldïrï", c’est à dire la traduction turque de "Révolte contre le monde moderne" de Julius Evola. Cette initiative est due à un professeur de théologie islamique de l’Université de Marmara, qui à l’époque avait en programme de faire publier un autre livre d’Evola, "Masques et visages du spiritualisme contemporain". D’ailleurs, "Révolte contre le monde moderne" à été évoqué, à l’occasion d’un entretien publié dans “Éléments” (n. 77, 1993), par l’intellectuel algérien Rachid Benaïssa, élève de ce maître à penser qui fut Malek Bennabi.

Si le nom de Julius Evola n’est pas inconnu en terre d’Islam, dans quelle mesure Evola a eu connaissance de l’Islam ?

Le tableau de la tradition islamique brossé dans "Révolte contre le monde moderne" n’occupe que quelques pages, mais présente avec suffisamment de relief les aspects de l’Islam qui permettent, dans la perspective évolienne, de le caractériser comme une “tradition d’un niveau supérieur non seulement à l’hébraïsme, mais aussi aux croyances qui conquirent l’Occident” (RMM, 342).

En premier lieu, Evola fait remarquer que le symbolisme de l’Islam indique clairement un rattachement direct de cette forme traditionnelle à la Tradition primordiale elle-même, de sorte que l’Islam est indépendant du judaïsme comme du christianisme, religions dont il rejette d’ailleurs les thèmes spécifiques (péché originel, rédemption, médiation sacerdotale, etc.). C’est toujours dans "Révolte contre le monde moderne" que nous lisons :

“De même que dans l’hébraïsme sacerdotal, l’élément central est constitué ici par la loi et la tradition, en tant que forces formatrices, auxquelles les souches arabes des origines fournirent toutefois une matière beaucoup plus pure, plus noble et empreinte d’esprit guerrier. La loi islamique, Sharîah, est la loi divine ; sa base, le Coran, est considéré comme la parole même de Dieu – kalâm Allâh – comme une œuvre non humaine, un livre “incréé”, existant ab aeternodans les cieux. Si l’Islam se considère comme la "religion d’Abraham" et a même voulu faire de celui-ci le fondateur de la Kaaba, où réapparaît la “pierre”, le symbole du “Centre”, il n’en demeure pas moins qu’il affirme son indépendance vis-à-vis de l’hébraïsme comme du christianisme, que le centre de la Kaaba contenant le symbole en question a des origines préislamiques lointaines, difficiles à déterminer, et qu’enfin le point de référence de la tradition ésotérique islamique est la mystérieuse figure du Khidr, considérée comme supérieure et antérieure aux prophètes bibliques. L’Islam rejette le thème caractéristique de l’hébraïsme, qui deviendra, dans le christianisme, le dogme et la base du mystère christique : il maintient, sensiblement affaibli, le thème de la chute d’Adam, sans en déduire, toutefois, la notion de “péché originel”. Il voit en celui-ci une “illusion diabolique” – talbis Iblîs. D’une certaine façon, même, ce thème est inversé, la chute de Satan – Iblîs ou Shaitân – étant attribuée, dans le Coran (XVIII, 48), au refus de celui-ci de se prosterner, avec les Anges, devant Adam. Ainsi se trouvent repoussés à la fois l’idée centrale du christianisme, celle d’un rédempteur ou sauveur, et l’idée d’une médiation exercée par une caste sacerdotale”. (RMM, 340-341)

Pureté absolue de la doctrine de l’Unité, exempte de toute trace d’anthropomorphisme et de polythéisme, intégration de chaque domaine de l’existence dans un ordre rituel, ascèse de l’action en termes de jihâd, capacité de modeler une “race de l’esprit” : tels sont, successivement, les aspects de l’Islam qui retiennent l’attention d’Evola. Il écrit : “Le Divin étant conçu d’une façon purement monothéiste, sans “Fils”, sans “Père”, sans “Mère de Dieu”, tout musulman apparaît directement relié à Dieu et sanctifié par la loi, qui imprègne et organise en un ensemble absolument unitaire toutes les expressions juridiques, religieuses et sociales de la vie. Ainsi que nous avons déjà eu l’occasion de le signaler, l’unique forme d’ascèse conçue par l’Islam des origines fut celle de l’action, sous la forme de jihâd, de “guerre sainte”, guerre qui, en principe, ne doit jamais être interrompue, jusqu’à la complète consolidation de la loi divine. Et c’est précisément à travers la guerre sainte, et non par une action de prédication et d’apostolat, que l’Islam connut une expansion soudaine, prodigieuse, et forma non seulement l’Empire des Califes, mais surtout l’unité propre à une race de l’esprit – umma – la “nation islamique”". (RMM, 341)

L’Islam, enfin, observe Evola, est une forme traditionnelle complète, en ce sens qu’il est doué d’un ésotérisme vivant et opératif qui peut fournir, à ceux qui possèdent les qualifications nécessaires, les moyens de parvenir à une réalisation spirituelle qui dépasse le but exotérique du “salut” :

“Enfin (…), l’Islam présente un caractère particulièrement traditionnel, complet et achevé, du fait que le monde de la Sharîah et de la Sunna, de la loi exotérique et de la tradition, trouve son complément, moins dans une mystique que dans de véritables organisations initiatiques – turuq – détentrices de l’enseignement ésotérique, le ta’wîl, et de la doctrine métaphysique de l’Identité suprême, Tawhîd. La notion de ma’sûm, fréquente dans ces organisations et, en général, dans la Shîa, notion relative à la double prérogative de l’ismâ, ou infaillibilité doctrinale, et de l’impossibilité, pour les chefs, les Imams visibles et invisibles, et les mujtahid, d’être entachés de faute, correspond à l’attitude d’une race demeurée intacte et formée par une tradition d’un niveau supérieur non seulement à l’hébraïsme, mais aussi aux croyances qui conquirent l’Occident”. (RMM, 341-342)

Parmi tous ces thèmes, celui auquel est le plus directement sensible Julius Evola, étant donnée son “équation personnelle”, est évidemment le thème de l’action, l’action sacralisée. Le regard d’Evola se fixe donc sur la notion de jihâd et sur sa double application, conformément au célèbre hadîth du Prophète: “Raja’nâ min al-jihâd al-açghar ilâ-l jihâd al akbar“, c’est à dire: “Nous sommes revenus de l’effort mineur à l’effort majeur”; ou bien, si l’on préfère, “de la petite à la grande guerre sainte”. Ce hadîth, qui fournit le titre pour un chapitre de Révolte contre le monde moderne (“La grande et la petite guerre sainte”), est ainsi commenté par Evola :

Dans la tradition islamique on distingue deux guerres saintes : la “grande guerre sainte” – el-jihâdul akbar – et la “petite guerre sainte” – el-jihâdul açghar – conformément à une parole du Prophète qui, de retour d’une expédition guerrière, déclara: “Nous voici revenus de la petite à la grande guerre sainte”. La “grande guerre sainte” est d’ordre intérieur et spirituel; l’autre est la guerre matérielle, celle qui se livre à l’extérieur contre un peuple ennemi, en vue notamment d’inclure les peuples “infidèles” dans l’espace régi par la “loi de Dieu”, dâr al-islâm.

La “grande guerre sainte” est toutefois à la “petite guerre sainte” ce que l’âme est au corps, et il est fondamental, pour comprendre l’ascèse héroïque ou “voie de l’action”, de comprendre la situation où les deux choses se confondent, la “petite guerre sainte” devenant le moyen par lequel se réalise une “grande guerre sainte” et, vice-versa, la “petite guerre sainte” – la guerre extérieure – devenant presque une action rituelle qui exprime et atteste la réalité de la première. En effet, l’Islam orthodoxe ne conçut à l’origine qu’une seule forme d’ascèse: celle qui se relie précisément au jihâd, à la “guerre sainte”.

La “grande guerre sainte” est la lutte de l’homme contre les ennemis qu’il porte en soi. Plus exactement, c’est la lutte du principe le plus élevé chez l’homme contre tout ce qu’il y a de simplement humain en lui, contre sa nature inférieure, contre ce qui est impulsion désordonnée et attachement matériel. (RMM, 175)

Ailleurs, Evola voit dans l’idée de jihâd une “tardive renaissance d’une hérédité aryenne primordiale”, si bien que “la tradition islamique est ici à la place de la tradition aryo-iranienne” (DALV, 11).

En tout cas, la doctrine islamique de la petite et de la grande “guerre sainte” occupe dans l’œuvre évolienne une position privilégiée et acquiert une valeur paradigmatique ; elle exemplifie, en effet, et représente la conception générale que le monde de la Tradition rapporte à l’expérience guerrière et, plus largement, à l’action comme voie de réalisation. Les enseignements concernant l’action guerrière de divers milieux traditionnels sont donc envisagés à la lumière de leur coïncidence essentielle avec la doctrine du jihâd et sont exposés à l’aide d’une notion qui est, elle aussi, de dérivation islamique : la notion de “voie de Dieu” (sabîl Allâh) :

Dans le monde de l’ascèse guerrière traditionnelle, la “petite guerre sainte”, c’est-à-dire la guerre extérieure, s’ajoute ou se trouve même prescrite comme voie pour réaliser cette “grande guerre sainte”, et c’est pourquoi, dans l’Islam, “guerre sainte” – jihâd – et “voie d’Allah” sont souvent employées comme synonymes. Dans cet ordre d’idées, l’action a rigoureusement la fonction et la fin d’un rite sacrificiel et purificateur. Les aspects extérieurs de l’aventure guerrière provoquent l’apparition de l’”ennemi intérieur” qui, sous forme d’instinct animal de conservation, de peur, d’inertie, de pitié ou de passion, se révolte et oppose une résistance que le guerrier doit vaincre, lorsqu’il descend sur le champ de bataille pour combattre et vaincre l’ennemi extérieur ou le “barbare”.

Naturellement, tout cela présuppose l’orientation spirituelle, la “juste direction” – niyyah – vers les états supra-individuels de l’être symbolisés par le “ciel”, le “paradis”, les “jardins d’Allah”, et ainsi de suite; autrement, la guerre perd son caractère sacré et se dégrade en une aventure sauvage où l’exaltation se substitue à l’héroïsme vrai et où dominent les impulsions déchaînées de l’animal humain. (RMM, 176-177; cf. DALV, 12 et DF, 307-308).

Evola rapporte (dans la traduction italienne de Luigi Bonelli, légèrement remaniée par lui) toute une série de passages coraniques relatifs aux idées de jihâd et de “voie d’Allah” (RMM, 177-178). En outre il cite, à titre d’exemple et d’illustration, deux maximes: “Le paradis est à l’ombre des épées” et ” Le sang des héros est plus proche de Dieu que l’encre des philosophes et les prières des dévots” (RMM, 184; cf. DF, 308). Or, si la première de ces deux maximes est effectivement un hadîth, la seconde, extraite peut-être de quelque étude orientaliste peu digne de foi, est en réalité on ne peut plus différente du hadîth rapporté par Suyûtî dans Al-jâmi’ aç-çaghîr, qui dit textuellement ainsi: “L’encre des savants et le sang des martyrs seront pesés au Jour de la Résurrection, et la balance penchera en faveur des savants”.

Avant de passer aux formulations conférées à la doctrine de la “guerre sainte” dans des milieux traditionnels non islamiques (surtout l’Inde et le christianisme médiéval), Evola établit une analogie entre la mort que connaît le mujâhid et la mors triumphalis de la tradition romaine (RMM, 178) ; ce thème est repris plus loin, lorsque la capacité d’”immortalisation” attribuée à la victoire guerrière par certaines traditions européennes est mise en relation avec l’”idée islamique, selon laquelle les guerriers tués dans la ‘guerre sainte’ – jihâd – ne seraient jamais vraiment morts” (RMM, 199). Un verset coranique est cité à titre d’illustration: “N’appelez pas morts ceux qui furent tués dans la voie de Dieu; non, ils sont vivants, au contraire, même si vous ne vous en apercevez pas” (Coran, II, 149). Le parallèle spécifique est d’ailleurs retrouvé chez Platon (Resp. 468e), “selon lequel – rappelle Evola – certains morts, tués à la guerre, font corps avec la race d’or qui, selon Hésiode, n’est jamais morte, mais subsiste et veille, invisible” (RMM, 199).

Dans "Révolte contre le monde moderne", il est un autre sujet qui permet certaines références à la doctrine de l’Islam: celui du chapitre “La Loi, l’État, l’Empire”. Observant que “jusque dans la civilisation médiévale, la rébellion contre l’autorité et la loi impériale fut assimilée à l’hérésie religieuse et que les rebelles furent tenus, non moins que les hérétiques, comme des ennemis de leur propre nature, contredisant la loi de leur essence” (RMM, 51), Evola relève la présence d’une conception analogue en Islam et renvoie le lecteur à la IVe sourate du Coran, v. 111. Un autre rapprochement est ensuite établi entre la conception romano-byzantine, d’une part, qui oppose la lois et la pax de l’oecumène impérial au naturalisme des barbares – affirmant en même temps l’universalité de son droit -, et la doctrine islamique, de l’autre, puisqu’on trouve dans celle-ci, observe Evola, “la distinction géographique entre le dâr al-islâm, ou terre de l’Islam, gouvernée par la loi divine, et le dâr al-harb ou ‘terre de la guerre’, parce que sur cette dernière vivent des peuples qui doivent être intégrés à la première grâce au jihâd, à la ‘guerre sainte’” (RMM, 59).

Dans le même chapitre, évoquant la fonction impériale d’Alexandre le Grand, vainqueur des hordes de Gog et Magog, Evola renvoie à la figure coranique de Dhû’l-Qarnayn, généralement identifié à Alexandre, et à ce que dit la sourate XVIII du Coran (RMM, 57).

Les analogies existant entre certains aspects de l’Islam et les éléments correspondant d’autres formes traditionnelles sont également relevées dans Le Mystère du Graal; mais, tandis que dans Révolte contre le monde moderne il s’agit de purs parallèles doctrinaux – où sont parfois comparées à l’Islam des formes traditionnelles qui n’ont jamais été en contact avec le monde musulman -, dans l’essai sur “l’idée impériale gibeline” les similitudes entre Islam et templarisme viennent, au contraire, s’insérer dans le cadre concret, historique, des rapports entretenus par des représentants de l’ésotérisme chrétien et de l’ésotérisme islamique. On peut considérer, a ce propos, le passage suivant :

"On accusait en outre les Templiers d’avoir des intelligences secrètes avec les musulmans et d’être plus proches de la foi islamique que de la foi chrétienne. Il faut probablement interpréter cette dernière indication en tenant compte du fait que l’anti-christolâtrie était également une des caractéristiques de l’islamisme. Quant aux “intelligences secrètes”, elles doivent nous apparaître comme synonyme d’un point de vue moins sectaire, plus universel, donc plus ésotérique que celui du christianisme militant. Les Croisades, où les Templiers et, d’une façon générale, la chevalerie gibeline jouèrent un rôle fondamental, créèrent malgré tout, à divers égards, un pont supratraditionnel entre l’Occident et l’Orient. La chevalerie croisée finit par se trouver en face d’une sorte de réplique d’elle même, c’est-à-dire de guerriers ayant la même éthique, les mêmes coutumes chevaleresques, les mêmes idéaux d’une “guerre sainte”, et, en outre, en face de veines ésotériques similaires." (MG, 188-189)

Puis, Evola passe à une description sommaire de ce qu’il appelle, improprement d’ailleurs, “l’Ordre arabe des Ismaéliens”, à savoir le mouvement hétérodoxe qui fut très lié aux Templiers :

"C’est ainsi – écrit Evola – qu’aux Templiers correspondit exactement, en Islam, l’Ordre arabe des Ismaélites, qui se considéraient aussi comme les “gardiens de la Terre Sainte” (également au sens ésotérique, symbolique) et avaient une double hiérarchie, l’une officielle, l’autre secrète. Et cet Ordre, avec son double caractère à la fois guerrier et religieux, courut le danger de connaître une fin analogue à celle des Templiers et pour un motif analogue: son fond initiatique et l’affirmation d’un ésotérisme méprisant la lettre des textes sacrés. Il est également intéressant de constater que, dans l’ésotérisme ismaélien, réapparaît le même thème que celui de la légende impériale gibeline: le dogme islamique de la “résurrection” (qiyâma) est interprété ici comme la nouvelle manifestation du Chef Suprême (Imam) devenu invisible durant la période dite de l’”absence” (ghayba); car l’Imam, à un moment donné, avait disparu, se soustrayant à la mort, mais ses sectateurs restaient tenus de lui jurer fidélité et sujétion, comme à Allah lui-même." (MG, 189-190)

L’ésotérisme islamique est défini par Evola comme doctrine qui va même jusqu’à “reconnaître dans l’homme la condition dans laquelle l’Absolu devient conscient de lui-même, et qui professe la doctrine de l’Identité Suprême” (OO, 35-36), si bien que l’Islam apparaît comme un exemple clair et éloquent d’un système qui, bien qu’incluant un domaine strictement théiste, reconnaît une vérité et une voie de réalisation plus élevées, les éléments émotionnels et dévotionnels, l’amour et tout le reste perdant ici (…) toute signification “morale”, et toute valeur intrinsèque, et acquérant seulement celle d’une technique parmi les autres. (OO, 36)

Or, l’ésotérisme islamique, avec les enseignements de ses maîtres et son univers de notions et de symboles, fournit à Evola des axes et références d’une certaine importance. En ce qui concerne symboles et notions, il faut souligner l’importance, dans l’œuvre évolienne, accordée à la fonction polaire. Comme l’explique Evola, “au Proche-Orient” (mais il serait plus correct de dire en Islam), “le terme qutb, ‘pôle’, a désigné non seulement le souverain, mais, d’une manière plus générale, celui qui dicte la loi et qui est le chef de la tradition d’une certaine période historique” (R, 50). (Pour être précis, il faudrait dire que le qutb, le “pôle”, représente le sommet de la hiérarchie initiatique). Or, tout un chapitre de Révolte contre le monde moderne, le troisième de la première partie, repose sur l’idée de cette fonction traditionnelle et emploie précisément les termes “pôle” et “polaire”. L’étrange est que ce chapitre ne contient aucune référence explicite à la tradition islamique, tandis que, pour ce qui est des maîtres de l’ésotérisme islamique, les noms d’Ibn ‘Arabi, Hallâj, Rûmî, Hâfez, Ibn Atâ’, Ibn Farîd, ‘Attâr sont mentionnés dans plusieurs écrits évoliens.

La première mention d’Ibn ‘Arabî, ash-shaykh al-akbar (= doctor maximus), apparaît dans une glose d’Introduction à la Magie qui n’est pas signée, mais qui est certainement due à Evola: y est cité “le cas d’Ibn ‘Arabî” afin d’illustrer l’”inversion des rôles par rapport à l’état où, la dualité étant créée, l’image divine incarnant le Moi supérieur est devant le mystique comme un autre être” (IaM, I, 71). Pour approfondir cette idée, Evola recourt au correspondant enseignement du Taçawwuf; après quoi, dans le même contexte, il rappelle que “la fin d’El Hallaj, qui est toutefois considéré comme l’un des principaux maîtres de l’Islam ésotérique (soufisme)”, fut une conséquence de la divulgation du secret qui s’attache à la réalisation de la condition la plus élevée. Evola revient sur ce point en un autre endroit de son œuvre, lorsqu’il écrit :

"En réalité, si certains initiés dont personne ne niait la qualification furent condamnés et parfois même tués (le cas typique le plus souvent rappelé est celui d’Al Hallâj en Islam), cela eut lieu parce qu’ils avaient ignoré cette règle (celle du secret, N.d.A); il ne s’agissait donc pas d’”hérésie”, mais de raisons pratiques et pragmatiques. Une maxime dit à ce sujet: “Que le sage ne trouble pas avec sa sagesse celui qui ne sait pas”." (AM, 122)

L’autre brève allusion à Ibn ‘Arabî contenue dans Introduction à la Magie est due, elle aussi, à Evola, qui, dans le texte intitulé "Ésotérisme et mystique chrétienne" et signé avec le pseudonyme de “Ea”, remarque que manque dans l’ascèse chrétienne, malgré la discipline du silence, “la pratique du degré le plus intériorisé de cette discipline, qui ne consiste pas seulement à mettre un terme à la parole parlée, mais aussi à la pensée (le fait ‘de ne pas parler avec soi-même’ d’Ibn ‘Arabî” (IaM, III, 281).

Dans "Métaphysique du sexe", après avoir relevé que, dans l’Islam, “loi destinée à qui vit dans le monde, non à l’ascète” (MS, 262), est absente “l’idée de la sexualité comme quelque chose de coupable et d’obscène” (MS, 242), Evola relève qu’Ibn ‘Arabî en vient même à parler d’une contemplation de Dieu dans la femme, dans une ritualisation de l’étreinte sexuelle conforme à des valeurs métaphysiques et théologiques. (MS, 242)

Suivent deux longues citations des Fuçûç al-hikam (Les châtons de la Sagesse), dans la traduction due à Titus Burckhardt, dont voici la conclusion évolienne :

"Dans cette théologie soufiste (sic) de l’amour, on doit voir seulement l’amplification et l’élévation à une conscience plus précise du monde rituel avec lequel l’homme de cette civilisation a plus ou moins distinctement assumé et vécu les rapports conjugaux en général, en partant de la sanctification que la Loi coranique confère à l’acte sexuel dans un régime non seulement monogamique, mais aussi polygamique. De là naît aussi le sens particulier que peut revêtir la procréation, entendue précisément comme l’administration du prolongement du pouvoir créateur divin existant dans l’homme." (MS, 243)

Un autre passage des "Fuçûç al-hikam" illustre, dans "Métaphysique du sexe", la “clef de la technique islamique” (MS, 349), la quelle consiste à assumer “la dissolution à travers de la femme” en tant que symbole de l’extinction en la Divinité. Au même ordre d’idées se refère la signification des “Expériences chez les Arabes” de Gallus (pseud. de Enrico Galli Angelini), un texte compris dans Introduction à la Magie dont Evola cite quelques extraits relatifs aux “pratiques orgiaques pour des fins mystiques (…) attestés (…) dans l’aire arabo-persane” (MS, 347).

Dans ce que Gélâleddîn Rûmî dit à propos de la danse (“Celui qui connaît la vertu de la danse vit en Dieu, parce qu’il sait comment l’amour tue”) (MS, 128), Evola distingue une autre “clef” des techniques initiatiques islamiques, “la clef des pratiques d’une chaîne, ou école, de mystique islamique, qui s’est continuée à travers les siècles et qui considère Gélâleddîn Rûmî comme son maître” (MS, 128).

Dans la poésie du soufisme arabo-persan, connue de lui à travers l’Antologia della mistica arabo-persiana de M.M. Moreno (Laterza, Bari 1951), Evola retrouve des thèmes qui, pour sa “métaphysique du sexe”, ne manquent pas d’intérêt : l’application, par exemple, du symbolisme masculin à l’âme de l’initié, si bien que, comme il écrit, “la divinité (…) est considérée comme une femme : elle n’est pas l’”épouse céleste”, mais la “Fiancée” ou l’”Amante”. Ainsi, par exemple, chez Attâr, Ibn Fârid, Gélâleddîn el-Rûmî, etc. (MS, 277, note 1)”.

Dans la poésie soufique, Evola trouve également l’idée de l’amour comme “force qui tue” le moi individuel, idée découverte par lui chez Rûmî et Ibn Fârid.

A une technique caractéristique du soufisme, le dhikr, est consacrée une glose d’Introduction à la Magie que nous pensons pouvoir attribuer à Evola. Celle-ci relève en particulier la correspondance entre une telle technique islamique, et le mantra hindou et la répétition des noms divins pratiquée par l’hésychiasme (IaM, I, 396-397). Cette glose cite Al-Ghazâlî, dont certaines affirmations sont citées à d’autres pages du même ouvrage attribuables avec sûreté à Evola (IaM, II, 135-136 et 239).

Encore plus enrichissante fut la rencontre d’Evola et de l’hermétisme islamique : en fait, parmi tous les auteurs musulmans le plus cité dans l’œuvre d’Evola est Geber, c’est à dire Jâbir ibn Hayyân. A propos du rôle joué par les hermétistes de l’Islam, Evola écrit :

"Entre le VIIe et le XIIe siècle, il s’est avéré qu’elle (la tradition hermético-alchimique) existait chez les Arabes qui, à cet égard aussi, servirent d’intermédiaires pour la reprise, par l’Occident médiéval, d’un héritage plus ancien de la sagesse pré-chrétienne." (MG 223)

Dans son étude plus spécialement consacrée à la tradition hermétique, Evola utilise de très nombreuses citations extraites de textes musulmans recueillis par Berthelot et Manget. Il privilégie, nous l’avons dit, Geber : mais ceci n’a rien d’étonnant, compte tenu de la masse énorme du corpus gébérien ; Râzî est également mentionné et un certain nombre de livres anonymes sont cités, parmi lequels la célèbre Turba Philosophorum, traduite en italien dans le seconde volume d’"Introduction à la Magie".

Comme on sait, une grande partie de l’œuvre d’Evola se base sur certains enseignements traditionnels devenus accessibles au plus grand nombre à la suite de l’exposé qu’en a fait René Guénon. Evola s’est donc en grande partie appuyé sur l’œuvre de ce dernier, reprenant des conceptions qui y étaient développées et les adaptant souvent à sa propre “équation personnelle”. Or, compte tenu de l’appartenance de Guénon à l’Islam et de la filiation islamique de certains enseignements fondamentaux, perceptibles dans l’œuvre de Guénon, il n’est pas hors de propos de considérer ce qu’écrit Evola quant à l’intégration de Guénon à la tradition islamique :

"Guénon était convaincu que subsistaient en Orient, malgré tout, des groupes encore dépositaires de la Tradition. Sur le plan pratique, il entretint des rapports directs avant tout avec le monde islamique où des filons initiatiques (soufis et ismaélites) continuaient à circuler parallèlement à la tradition exotérique (c’est-à-dire religieuse). Et il s’islamisa à outrance. S’étant établi en Égypte, il avait reçu le nom de sheikh Abdel Wahîd Yasha (sic) et même la nationalité égyptienne. Il épousa en secondes noces une Arabe." (LD, III, 4, 22)

Et encore :

"Dans le cas de Guénon, ce rattachement (initiatique) a dû principalement se réaliser – comme nous l’avons dit – avec des “chaînes” islamiques. Mais à celui qui n’a pas d’inclination à s’en remettre à des musulmans ou à des Orientaux, Guénon ne propose pas grand chose." (R, 212)

Le “cas de Guénon” a donc induit Evola à reconnaître qu’existent, aujourd’hui encore et malgré tout, des possibilités de rattachement initiatique ; en plus, Evola affirme que, dans les conditions actuelles, le choix de l’Islam comme voie traditionnelle est pratiquement obligatoire pour ceux qui adhèrent à la doctrine traditionnelle dans sa formulation guénonienne et ne veulent pas se contenter de la théorie.

D’ailleurs, Evola avait encore plus nettement affirmé, à propos des centres initiatiques:

Il est certain qu’il en existe encore, bien que l’Occident ne soit guère concerné ici et bien qu’il faille, dans ce domaine, se tourner vers le monde musulman et l’Orient. (VdT, I, 3, 120; puis dans AM, 253)

Un problème qu’Evola évoque dans ce contexte, concerne le rapport existant entre les centres initiatiques et le cours de l’histoire. Il est formulé comme suit:

Le cors de l’histoire est généralement interprété comme une involution et une dissolution. Or, face aux forces qui agissent en ce sens, quelle est la position des centres initiatiques? (AM, 253)

Ce problème implique également l’Islam, puisqu’Evola dit :

Par exemple, il est certain qu’existent en terre d’Islam des organisations initiatiques (celles des soufis), mais leur présence n’a pas du tout empêché l’”évolution” des pays arabes dans une direction anti-traditionnelle, progressiste et moderniste, avec toutes les conséquences inévitables de ce phénomène. (AM, 254)

Une telle question avait été posée par Evola dans le cadre d’une correspondance avec Titus Burckhardt, qui, en connaissance de cause, lui avait “fait remarquer que des possibilités de ce genre (c’est à dire traditionnelles, n.d.r.) subsistaient dans des régions non européennes” (CC, 204). Nous ignorons si, et comment, l’écrivain suisse avait répondu aux objections d’Evola; en tout cas, on pourrait faire observer avant tout que les “pays arabes”, avec lesquels Evola semble identifier la “terre d’Islam”, ne constituent en réalité que la dixième partie du monde musulman, de sort qu’il n’est pas correct de faire coïncider leur “évolution” avec le développement de la situation générale de la ummah islamique. Mais surtout, quand bien même les “centres initiatiques (soufis)” ne s’opposeraient pas, par leur action, au processus général d’involution, il serait toutefois arbitraire d’affirmer que leur fonction est illusoire, comme le fait Evola lorsqu’il évoque ces échanges polémiques avec des milieux qui se font encore des illusions sur les possibilités offertes par les “restes traditionnels” existant dans le monde actuel. (CC, 203)

En fait, le rattachement à des centres initiatiques – dont procède toute transmission régulière d’influences spirituelles – constitue l’unique solution possible pour quiconque entend réagir à la tendance involutive du monde moderne : tendance inexorable puisque soumise aux rigoureuses lois cycliques qui régissent la manifestation. C’est le propre du rattachement à un centre initiatique – et, grâce à lui, au centre suprême – d’assurer la continuité de la transmission des influences spirituelles pour toute la durée du présent cycle d’humanité et donc permettre la participation au monde de l’Esprit jusqu’à la fin du cycle. Dans une telle perspective, c’est le propre du processus d’involution que de se révéler “illusoire”: en fait, celui-ci ne concerne que la manifestation – laquelle, compte tenu de son caractère fondamentalement contingent, ne représente rigoureusement rien vis-à-vis de l’Absolu.

Claudio Mutti


SIGLES DES OEUVRES DE JULIUS EVOLA CITÉES DANS LE TEXTE :

RMM = Révolte contre le monde moderne, éd. de l’Homme, Montréal-Bruxelles 1972. PDF GRATUIT ICI.

DF = Diorama, Europa, Roma 1974.

MG = Le mystère du Graal et l’idée impériale gibeline, Villain et Belhomme – Éd. Traditionnelles, Paris 1970.

OO = Orient et Occident, Arché, Milano 1982. PDF GRATUIT ICI.

R = Ricognizioni. Uomini e problemi, Edizioni Mediterranee, Roma 1974.

IaM = Introduzione alla Magia, 3 voll., Edizioni Mediterranee, Roma 1971.

AM = L’arc et la massue, Trédaniel-Pardès, Paris-Puiseaux 1984. PDF GRATUIT ICI.

MS = Metafisica del sesso, Edizioni Mediterranee, Roma 1969.

LD = René Guénon e il “tradizionalismo integrale”, “La Destra”, a. III, n. 4, avril 1973.

VdT = I centri iniziatici e la storia, “Vie della Tradizione”, a. I, n. 3, juillet-septembre 1971.

CC = Le chemin du cinabre, Arché-Arktos, Milano-Carmagnola 1983.





mardi, mars 09, 2021

Un journaliste de Libération ramenait son esclave sexuel de 10 ans à la rédaction


(4:35)


A l'âge de 10 ans, Franck Demules vivait avec sa mère à Paris dans une communauté maoïste fréquentée par des intello-gauchos et des journalistes de Libé. Le pédocriminel Christian Hennion, alors journaliste à Libération, jeta son dévolu sur l'enfant et en fit rapidement son esclave sexuel.

Plus tard, Frank Demules dira :

"J’ai été la victime d’une période d’expériences, celle où la gauche intellectuelle, celle des éducateurs et des psys, poussait jusqu’au bout la recherche de la liberté. Pour certains d’entre eux, avoir des rapports avec les enfants, c’était normal. Ça les dérange sans doute qu’aujourd’hui on le dénonce. Le fait est que des victimes comme moi, il y en a eu beaucoup."

En 2009, dans son livre "Un petit tour en enfer", Franck Demules raconte notamment comment, entre 1977 et 1986, de ses 10 à ses 18 ans, il a été abusé par Christian Hennion.




Comment Franck Demules, enfant élevé en communauté avec des militants activistes de Mai 68, est-il devenu le collaborateur de Caria Bruni-Sarkozy ? Même si l'on prenait cette vie dans l'ordre, elle semblerait en désordre. Franck a côtoyé les maoïstes, assisté aux débuts de Libération, été adopté par un journaliste pédophile, vu de trop près les ravages du Sida, les hôpitaux, la prison. II a connu les voyous et les stars bien installées. Enfant du siècle malgré lui, cet ancien élève de Patrice Chéreau aux Amandiers a démêlé, avec la complicité de son ami Ludovic Perrin, l'écheveau d'une vie dansée au-dessus du volcan. Des histoires dans l'Histoire, qui racontent un personnage en pleine renaissance. Un récit cru, violent, émouvant.



PDF gratuit

Quand des ministres défendaient la pédophilie



BONUS :

Le 31 août 1999, Serge July, Rédacteur en chef de Libération, écrit ces lignes sur le pédocriminel qui vient de décéder : 

"Christian Hennion est mort mardi d'une attaque cérébrale consécutive à une opération d'un cancer du poumon. Il restera le journaliste des «flagrants délits». Quotidiennement, il laissait parler les acteurs de la 23e chambre correctionnelle de Paris, chronique qu'il avait commencée en 1975, peu après son entrée au journal, et qu'il avait poursuivie jusqu'à la disparition de cette procédure arbitraire. Cette réussite devait beaucoup à sa volonté de ne pas dénaturer ce qui s'échangeait. Il était un journalisme d'expression directe. Christian Hennion enregistrait plus qu'il n'écrivait.

Ce fils de juifs, qui apprit très tard ses véritables origines, connut beaucoup de petits boulots. Ce rocker, perpétuellement en Perfecto, fut successivement éducateur, instituteur, infirmier à la clinique Laborde dirigée par Jean Oury et Félix Guattari. Il rencontra la justice en organisant la défense des marginaux de 1968, «les Katangais». Très lié aux magistrats qui donnèrent naissance au Syndicat de la magistrature, il partageait son temps entre les débats sur la justice, le Front homosexuel d'action révolutionnaire, le Fhar, auquel il prit une partie active, et «la buvette du Ve» qu'il avait créée rue des Fossés-Saint-Jacques, à Paris, et qui ne survécut pas à la prodigalité de ses animateurs. Il rejoignit Libération en 1975. Il le quitta vingt ans plus tard, voyagea beaucoup, au Sénégal, au Maroc et au Cambodge où il souhaitait s'installer avec son ami, comme photographe. Objet d'une tentative de racket, son ami disparu, il rentra désespéré en France, après avoir connu les prisons khmères. Quelques mois plus tard, ce grand fumeur de gitanes apprenait qu'il était atteint d'un cancer. Il avait 50 ans."


Note : "Dans les années 70, le journal Libération dirigé par Serge July faisait ouvertement la promotion des associations pédophiles qui avaient alors pignon sur rue, comme le "Front de libération des pédophiles". Libé et Le Monde publièrent une pétition affirmant que des enfants de moins de quinze ans pouvaient être sexuellement consentants avec des adultes mais aussi pour les photos de "leurs jeux sexuels". On trouve parmi les signataires Jack Lang, Kouchner, Matzneff, mais aussi Beauvoir, Barthes, Deleuze, Glucksmann, Guattari, Sartre, Sollers…"


lundi, mars 08, 2021

Les Juifs viennent de l'espace et ils y retourneront

(6:05)

"Les extraterrestres sont déjà en contact avec nous !" Ce sont les surprenantes révélations d'un général israélien, ancien chef de la sécurité spatiale israélienne… mais alors que dit-il ? Le dossier du jour, avec Ilana Ferhadian et Christophe Dard de Radio Jradio communautaire juive créée en 1981, émettant à Paris.



Les Juifs viennent de l'espace et ils y retourneront

Marc Dem

Pourquoi les Juifs, pendant des millénaires, ont-ils toujours été haïs, méprisés, persécutés ? Pourquoi des peuples et des régimes aussi différents que ceux de la France de Saint Louis et de l'Allemagne de Hitler se rencontrent-ils, à sept siècles de distance, sur un point de doctrine : les Juifs doivent disparaître ? (bien qu'il soit juste de remarquer que Saint Louis les autorisait à sauver leur vie en devenant chrétiens, faculté que les nazis ne leur offraient pas).

Certains refuseront de classer cet état de fait parmi les énigmes car, en disséquant bien l'Histoire, on peut trouver les raisons directes de chaque expulsion, de chaque pogrom. Elles sont religieuses (désir d'éliminer une communauté qui se réclame du même Dieu et des mêmes Ecritures, coupable au demeurant d'avoir fait mourir Jésus-Christ), intéressées (convoitise des richesses accumulées par les banquiers juifs), psychologiques (jalousie causée par l'enrichissement des Israélites, besoin de trouver un responsable aux catastrophes inexpliquées), politiques (rejet d'une communauté internationale faussant les règles du jeu entre Etats, d'une minorité inapte à l'intégration). [...]

L'énigme consiste — que l'on nous comprenne bien — dans la continuité de la persécution. "Le Juif, écrit Albert Memmi, qui en est un, fut et reste largement un opprimé, objet constant d'une menace potentielle." [...]

Le destin privilégié de la Bible (...). Qu'est-ce qui fait que ce message millénaire, porté sur l'océan des âges, est parvenu jusqu'à nous et continue sa navigation gaillardement ? Comment un livre aussi ancien arrive-t-il à garder sa fraîcheur et son actualité ? Par quel mystère attire-t-il les foules blasées de notre temps, au milieu de l'indifférence dans laquelle ont sombré les religions ?

Et de quoi parle donc ce livre quand on y regarde bien ? De la création du monde, du Déluge, du peuplement de la planète Terre, oui, et cela concerne nécessairement tous les hommes. Mais ces récits ne forment que le début de la Genèse, soit les onze premiers chapitres.

Ensuite, la totalité du volumineux ouvrage est consacrée à l'histoire du petit peuple juif, à ses démêlés avec ses voisins, à sa lente implantation dans un pays minuscule... Il y eut des milliers de tribus errantes semblables à celles-là, il y eut des déplacements de nomades par millions pendant la période historique et avant. D'innombrables petits Etats se formèrent et disparurent sans qu'il en reste de traces ailleurs que dans la bibliothèque des érudits, pour autant qu'ils ne se soient pas entièrement dissipés dans le souvenir des hommes.

Quel intérêt particulier présente donc l'histoire des tribus d'Israël pour qu'elle garde la vedette si longtemps ? Le récit de la création du monde et du développement de l'humanité avant Abraham représente 1 % de l'Ancien Testament, est-ce suffisant pour que le livre tout entier ait survécu sans défaillance ?

On est tenté de penser qu'il y a plus dans la Bible qu'un traité de cosmogonie, un ouvrage historique, un recueil de fables et de poésies. La valeur littéraire est certaine, mais celle de l'Iliade aussi, ou de la geste de Guillaume.

Il y a plus, c'est-à-dire quoi ? Le moment est venu de nous rappeler les notions de Livre inspiré, de Parole de Dieu, de texte dicté par une Puissance supérieure. 
[...]

Sur la terre créée par Dieu, un habitant de l'espace a implanté une souche d'où devait sortir son peuple, peuple élu, distinct, "le prince des peuples", objet d'une attention particulière de cette puissance venue d'ailleurs. Les Juifs ne sont pas de cette terre et c'est pourquoi ils ont toujours été opprimés par les autres hommes, comme il arrive dans les greffes d'organes, en vertu d'un phénomène de rejet.

La Bible n'est pas la chronique d'une petite peuplade parmi d'autres ; l'intense vie qui s'en dégage et force l'attention des hommes depuis des millénaires vient du message qui s'y trouve contenu, caché, et sur lequel nous allons essayer de jeter quelque lumière. Qu'est-ce qu'un Juif ? Le produit d'une sélection poursuivie d'âge en âge suivant des méthodes que nous nous emploierons aussi à définir."

Marc Dem, Les Juifs de l'espace (Albin Michel -1974).


"Pour Marc Dem, commente Christophe Bourseiller (de son vrai nom Gintzburger-Kinsbourg), le soi-disant créateur n'a rien de divin. Il n'est qu'un "voyageur de l'espace". Ce refrain rappelle l'antienne des "astroarchéologues". Marc Dem diverge toutefois des récits "pseudo-historiques" affirmant que l'homme a été créé en laboratoire par des extraterrestres. Dans sa trame, l'audacieux savant YHWH (Yahvé, Jéhovah) a certes créé sur terre un peuple expérimental à partir de gènes extraterrestres... mais il y avait déjà des hommes sur Terre. YHWH a donc enclenché un processus de colonisation, en établissant une souche alien. Notre planète sert ainsi d'incubateur à une espèce non humaine. Dès lors, pour l'auteur, "tout" s'éclaire : "Les Juifs ne sont pas de cette terre et c'est pourquoi ils ont toujours été opprimés par les autres hommes, comme il arrive dans les greffes d'organes, en vertu d'un phénomène de rejet." Les Juifs sont-ils donc des extraterrestres qui évoluent parmi les humains depuis des milliers d'années ? Marc Dem se montre catégorique : "Les Juifs viennent de l'espace et ils y retourneront."

Tout au long du livre, l'auteur décrit longuement les prouesses de YHWH. Il démontre que l'arche de Noé n'était qu'un vaisseau hôpital destiné à préserver quelques spécimens sains pour mieux détruire une première version ratée du peuple juif. Il narre que la totalité des miracles divins s'explique par la technologie extraterrestre. Il réinterprète l'Ancien Testament de fond en comble, pour le transformer en un roman de science-fiction.

Puis il se mue soudain en un devin catastrophiste. YHWH est parti il y a bien longtemps. Il a abandonné le peuple juif après avoir édicté des règles sanitaires et religieuses visant à le séparer des autres nations pour garantir la pérennité de l'observation scientifique. Marc Dem affirme toutefois que le visiteur des étoiles s'apprête à revenir. Pire, il apportera malheur et destruction : "Le retour du satellite va s'accompagner de terrifiantes secousses qui feront de la planète - la nôtre - un immense brasier, un champ de décombres." L'auteur des "Juifs de l'espace" évoque même une "opération planète morte". Mais pourquoi YHWH nourrirait-il un tel courroux ? Il nous reproche d'avoir développé une civilisation qui se rapproche de son niveau technologique. Malgré nous, nous le menaçons. Il ne supporte pas la concurrence... et la punition devrait intervenir au tout début du XXIe siècle : "Il n'y a plus d'espoir pour la Terre, désert couvert de la putréfaction des cadavres."

Seuls survivront... les Juifs, puisqu'ils ne sont pas Terriens. Ils repartiront in extremis vers la planète dont ils sont lointainement originaires : « Avant que le chaos ne soit totalement établi sur la Terre, avant que le dernier Gentil ne crève, touché par une radiation mortelle ou pour avoir bu l'eau amère de l'étoile Absinthe, les Juifs auront été sauvés », conclut Marc Dem.

Le compte à rebours est enclenché. Pour l'auteur, il a été lancé le 2 novembre 1917, avec la publication de la déclaration Balfour, qui envisageait la création d'un « foyer national juif » en Palestine. Le rassemblement du peuple juif en Israël prouve ipso facto que le cataclysme arrive. Israël est en effet un lieu de rendez-vous. YHWH a décidé de rassembler son peuple pour un futur exode spatial.

D'après l'auteur du blogue xenotype, la théorie des juifs de l'espace n'a pas été imaginée par Marc Dem, elle se trouve dans les codex hébraïques initiaux traduits par Mauro Biglino. 

"Mauro Biglino est l'un des grands spécialistes au monde de la traduction des textes en vieil hébreu constitutifs de l'Ancien Testament. Ayant participé de manière officielle aux traductions révisées de la Bible pour le Vatican. […] En rupture avec la lecture traditionnelle juive ou chrétienne, et par honnêteté intellectuelle, Mauro Biglino ose affirmer que la Bible est un livre qui raconte l'arrivée sur notre planète d'une race extra-terrestre..."


dimanche, mars 07, 2021

Comment le pouvoir occulte contrôle le cheptel humain

Petite vidéo rigolote

Quand le dressage du cheptel humain dérape



Nous avons hâte de rencontrer Djwal Khool (un lama tibétain ascensionné), l'apôtre du Nouvel Age, le messager des grands maîtres.

Nous avons lu ses livres : "Traité sur le feu cosmique", "Les sept rayons" et surtout "Le Retour du Christ", et nous avons consulté les messages qu' il a transmis à des channels (médiums). Nous nous sentons, nous aussi, comme un pur canal prêt à recevoir le verbe sacré de la bouche d'un personnage de la haute hiérarchie tibétaine.

Nous allons enfin boire la vérité à la source. Le voilà qui apparaît. Quel instant sublime.


Dialogue avec Djwal Khool, dit "le Tibétain"


Joël Labruyère : Maître Djwal Khool, je dois vous avouer que j'ai commis une indélicatesse à votre égard. J'ai laissé s'exprimer dans ma revue 
(Undercover) un homme qui se prétend Tibétain mais qui vous traite de vampire de son peuple.

Djwal Khool : Oh, ce n'est rien mon cher ami. Je le connais ce Bhodyoul. C'est un compatriote. Vous a-t-il dit que son nom signifie "Tibet" ? C'est le surnom qu'on me donne aussi : Le Tibétain. Ne gâchons pas notre belle rencontre par une querelle de sherpas. J'ai vraiment d'autres problèmes en ce moment. Notre Seigneur Maitreya est prêt à descendre sur terre depuis un siècle, et il y a toujours un détail qui cloche. D'abord, c'est Krishnamurti, l'enfant élu pour être le véhicule du Seigneur, qui nous a lâchés au dernier moment en refusant d'assumer sa mission.

Et nous n'avions pas de corps aussi pur parmi notre cheptel brahmanique. Un vrai diamant cet enfant Krishnaji. Une perte incomparable. Nous avions déjà annoncé le Messie !

J.L. : Pourquoi a-t-il failli ? Il est passé au-dessus de vous, n'est-ce pas ? On dit qu'il vous a cassé la baraque.

Djwal Khool : C'est très compliqué. Il nous fallait le corps d'un être proche de la libération. Un véhicule sans karma. C'est toujours assez risqué. Souvent les corps de ce type ne veulent plus collaborer avec nous. Nous devenons méprisables à leurs yeux du fait qu'ils empruntent le chemin de la Grande Libération.

Ils nous renient car nous sommes les gardiens de l'évolution des masses. Eux, ces êtres fiers, veulent échapper au karma collectif.

Avec Krishnaji, c'était différent, il était absolument sans ego. Il était si transparent que notre agent Leadbeater avait pu le capter sans peine pour le soumettre à l'éducation requise.

Mais voilà qu'avant ses trente ans, il lui prend l'envie d'entrer dans la libération selon un processus que nous ne pouvons pas contrôler. Et croyez-moi, il l'a fait.

J.L. : Il y aurait donc des voies spirituelles que vous ne connaissez pas, vous les grands initiés ?

Djwal Khool : Ce n'est pas que nous ne comprenons pas. Voyez-vous, notre fonction n'est pas de libérer les âmes, mais de les préparer à attendre d'être prêts ... pour ... enfin, pour essayer de monter un petit cran plus haut. Nous sommes modestes, nous, c'est petit à petit. Pour être tout à fait franc, j'avoue que le processus qu'ils ont utilisé pour la mutation de Krishnamurti nous est inconnu. Cela ne respecte aucune règle occulte protocolaire.

Lorsque notre agent Leadbeater, un bon clairvoyant au demeurant [quoique trop attaché à la beauté des formes ... hum, passons... (Note : Leadbeater était pédophile) c'est un défaut fréquent chez nos disciples] donc, lorsque Sir Charly est venu observer ce qui se passait dans le système atomique de Krishnaji, il nous a fait le rapport suivant :

"Un processus inconnu est à l'œuvre dans le corps du garçon. Le sens des atomes s'est inversé. Cela ne nous concerne plus". Imaginez notre stupeur, car même si le jeune homme montrait des signes d'individualisme et d'un dégoût insondable pour le samsara, il était notre as. C'est ainsi que le Seigneur Maitreya s'est retrouvé privé de véhicule, comme Cendrillon qui a perdu son carrosse parce qu'elle a dépassé l'heure. Où trouver un véhicule comme Krishnaji ? Si vous l'avez connu, vous me comprenez.

J.L. : Oui, je l'ai rencontré en Suisse. Qu'est-il arrivé à Krishnamurti ? Vous avez parlé du «processus qu'ils ont utilisé pour sa mutation ». Qui sont ces initiateurs mystérieux qui passent au-dessus de vous ? Est-ce qu'on ne vous a pas joué un mauvais tour ?

Djwal Khool : Oh, oui ! Un très mauvais tour. C'est la fraternité des Lohans. Toujours eux. Des bouddhistes puristes et manichéens de surcroît. A chaque fois que nous tenons un corps valable, ils l'attirent de l'autre côté de la grande frontière. On ne peut rien contre cela. Ils ne luttent pas et il n'y a aucune prise sur eux. Ils séduisent les âmes comme Krishna avec sa flûte. C'est irrésistible.

Dès qu'une âme ne supporte plus de revenir en incarnation dans notre circuit elle devient sensible à l'appel du grand large, et elle s'en va avec les Lohans. Généralement on sait comment la retenir avec ... heu ... une augmentation de salaire si vous voyez ce que je veux dire, mais les Lohans et d'autres gnostiques sont de bons passeurs d'âmes.

Celui qui traverse la frontière échappe à notre influence. C'est ce qui arrive toujours quand un de nos poulains commence à vibrer trop fort et que la réalité de l'existence lui apparaît pour ce qu'elle est. La réalité terrestre lui devient tellement insupportable que ça le propulse hors du circuit. Ce sont les meilleurs qui s'en vont. Ils quittent la terre et le système solaire pour s'engager sur le chemin des étoiles lointaines. L'appel de la grande libération, mon ami, la grande libération ... Il faut faire cesser cette hémorragie.

J.L. : Il vous reste quand même le grand nombre pour faire tourner la roue de votre évolution. Mais je sais ce que vous pensez des masses ...

Djwal Khool : Vous avez l'air d'en savoir des choses. Est-ce qu'on vous a déjà contacté pour vous proposer une collaboration ? Appartenez-vous à une loge ? Votre petite revue là ... heu ... est-ce qu'elle parle de sujets spirituels ? On pourrait vous aider si vous allez dans la bonne direction ...

J.L. : Ni loge, ni grand maître, Monsieur le Maître. C'est pourquoi c'est plutôt difficile, mais on ne se plaint pas. Je m'intéresse à des sujets spirituels mais d'un point de vue assez inhabituel. Disons que je ne me laisse pas pousser dans le sens du courant.

Djwal Khool : Hum, je vois très bien, mon cher ami. Oui, je comprends. Vous êtes un franc tireur. Très amusant. J'aime beaucoup les rebelles, vous savez. Nous ne les trairons pas comme des ennemis. Nous savons reconnaître les qualités des dissidents. Ils nous dérangent un peu jusqu'au moment où ils s'approchent si près de notre cercle magique qu'il suffit de leur prendre la main pour les faire entrer chez nous en douceur. Ce sont ensuite les meilleurs agents, à condition de les avoir à l'œil.

J.L. : Comme Helena Blavatsky, je suppose.

Djwal Khool : Notre chère dame russe ! Je l'aimais beaucoup malgré son côté fantasque. Quel feu ! Elle nous pose encore bien des problèmes, vous savez. Elle est restée indomptable. Vous vous souvenez lorsque la robe du prêtre orthodoxe s'est enflammée le jour du baptême d'Helena ? Avec elle ça risque de flamber. Il y a toujours un risque avec ces êtres de feu. Nous avons pourtant les moyens de les neutraliser et d'en faire d'excellents serviteurs.

J.L.: Madame Blavatsky est-elle encore sur vos lignes ? Est-elle donc toujours à votre service ?

Djwal Khool : C'est une question trop indiscrète, mon ami. Trop indiscrète. Cherchez par vous-même. Si ce Steiner, ce rose-croix allemand ou autrichien, je ne sais plus, n'avait pas contacté Helena après son transit, elle n'aurait peut-être pas rompu les vœux qui la liaient à notre fraternité. Comment pouvait-elle prendre d'elle-même la décision de nous renier en déclarant à ce... heu.. . ce Steiner que nous l'avions trompée.

Mais, je n'ai pas à discuter de cela avec un profane. Parlez-moi plutôt de vos recherches.

J.L. : Je n'ai pas grand chose à dire. C'est assez compliqué. J'ose toutefois vous avertir que j'ai un préjugé défavorable à l'égard de votre fraternité. Depuis que je sais que vous tenez un double langage et que vous poursuivez un but qui n'est pas celui que vous affichez, je vous ai dans le collimateur, comme on dit.

Djwal Khool : Comme c'est amusant. J'aime cette franchise. La sincérité c'est beau, n'est-ce pas ? Mon cher ami, il faudrait que nous collaborions car vous avez de l'originalité. Vous savez, la plupart de nos disciples sont ennuyeux, de vrais lèche-bottes, ou bien des petits gourous prétentieux. Et quelle ignorance !

Quant à nos collaborateurs de haut niveau, ils sont aveuglés par l'orgueil, les plus valables n'ont qu'une idée, d'abord monter jusqu'à nous, et ensuite prendre notre place. Mais il n'y a pas de place pour tous en haut de la pyramide. Quant aux godillots, ils seraient prêts à se faire tuer, et ils peuvent tuer pour nous, mais comme ils sont stupides !

La stupidité, mon ami, la bêtise, la lâcheté, comme tout cela est pénible. Nous travaillons avec des âmes idéalistes mais sottes. Si je dis blanc, ils pensent blanc. Depuis des siècles, nous travaillons avec cette engeance. Ils sont si ignorants et vaniteux. On peut leur faire gober n'importe quoi et je n'ai aucune illusion sur leur compte. Ils nous servent parce que nous sommes les plus forts. Il ne faudrait pas que le vent tourne. Je n'ai aucune illusion sur nos shelas (disciples).

J.L. : Remarquez, Monsieur Le Tibétain, il est préférable qu'ils ne comprennent rien à vos plans réels. D'après ce que j'en sais, cela pourrait les rendre furieux. Vous les menez en bateau sur un océan vide où l'horizon est une toile peinte en bleu. Et ils rament jusqu'à en crever, en vous baisant les pieds, mais sans jamais voir la terre promise. Même vous, ils ne vous voient jamais en vrai. Jamais. Au bout, c'est un mur bleu. Et vous les faites tourner en rond depuis des millions d'années. Excusez l'expression, en français on dirait que c'est dégueulasse. Sauf votre respect Monsieur le Maître.

Djwal Khool : Pas de problème. Vraiment je m'amuse beaucoup avec vous. Vous en connaissez un rayon, mais ça vous sert à quoi finalement ? Etes-vous plus avancé que nos chers disciples ? Avez-vous décroché un statut d'Illuminati parmi la racaille reptilienne des princes de ce monde ? Cela m'étonnerait beaucoup si j'en crois votre absence de pragmatisme ? Où comptez-vous aller sans notre aide ? Vous végétez, voilà tout, et vous tendez vers nous vos poings d'anarchiste impuissant au lieu d'être raisonnable.

En ce monde cruel, il faut collaborer, mon ami. Il y a de la place pour vous. Il y a une situation occulte qui vous attend. Et vous savez ce que j'entends par situation, n'est-ce pas, il ne faut pas viser notre statut à la manière des bourgeois. Vous croyez avoir compris le jeu, mais vous êtes loin du but.

J.L. : Vous me surprenez agréablement par votre franchise. Mais admettez que vous exploitez le genre humain pour faire tourner les turbines d'une évolution dont vous êtes les seuls bénéficiaires. Vous élevez le niveau seulement parce que cela vous fait monter plus haut et que cela vous permet d'échapper au karma. Vous naviguez sur un fleuve de sang, et je pèse mes mots.

Djwal Khool : Ah, ne parlez pas de jugement. Soyons simples. Nous faisons avancer les choses, et il faut bien que quelqu'un s'en charge. C'est une fonction. Je suis un initié de la Fraternité planétaire, et je défends ma maison, mon entreprise, ma caste, et j'ose l'avouer, mes intérêts. Comme vous, mais à une autre échelle.

J.L. : Moi, je ne dis pas aux gens ce qu'ils doivent penser et je ne leur impose pas une existence foncièrement inutile. Vous, par contre, vous entretenez une souffrance infinie.

Djwal Khool : C'est notre fonction, vous dis-je. Si nous ne leur donnons pas des directives et des idéaux, ils se laissent aller à la passivité. Ils stagnent. Vous comprenez ? Ils végètent. Nous les observons depuis si longtemps. Ils ne veulent que la sécurité.

Vous les perturbez avec votre liberté. Ils nous tueraient si nous leur donnions la liberté. Ils deviendraient sauvages et fous. Privés de normes imposées par nous, ils se détruisent. Il faut les faire rêver.

Pourquoi leur enseigner des doctrines de libération dont ils ne veulent pas ? Libérez-vous vous-même, si toutefois vous parvenez à vous glisser entre les mailles du filet.

Que puis-je vous dire d'autre ? Vous voyez, nous ne sommes pas des monstres. Nous sommes des maîtres justes.

J.L. : Puisque vous m'en donnez l'occasion, je vais vous dire quelque chose. J'ai compris vos buts depuis longtemps, et j'ai beaucoup réfléchi à la manière de vous combattre et de vous vaincre. Il y a des failles dans votre système, mais il est vrai que peu d'hommes s'en aperçoivent tellement la lutte pour la survie les empêche d'être lucides. Lorsqu'ils commencent à réaliser dans quel monde ils vivent, l'heure de la mort est proche. Et ils doivent refaire tout le parcours depuis le berceau jusqu'à la combe. Encore et toujours. C'est la grande passivité. Dans cette situation, vous qui êtes si dynamiques, les bergers de la terre, vous menez le troupeau où il ne voudrait pas aller. Vous les égorgez au passage selon vos besoins ce qui ne vous empêche pas de chercher de bons pâturages pour le bétail qui vous engraisse.

Djwal Khool : Vous me faites plaisir. Oui, nous les aimons. Nos doctrines le démontrent. Nous préconisons l'amour et la compassion. Nous voulons qu'ils broutent dans la sécurité en bénissant le ciel.

J.L. : N'allons pas trop vite ! Vous ne faites que répéter ce que les grands sages sont venus enseigner, mais en détournant leurs paroles vers une application terrestre. Vous savez enjôler avec des paroles flatteuses. Et je dirai même que cela est devenu si excessif dans votre programme Nouvel Âge que nombre d'endormis commencent à trouver votre jeu suspect.

Là est la faille. Vous êtes condamné à la surenchère. Vous êtes au bout du rouleau. Tant que des millions de gogos supplient les "maîtres" de descendre sur la terre, vous vous croyez en position de force, mais au moment d'apparaître - votre extériorisation, comme vous dites - je vous promets une surprise.

Djwal Khool : Mon cher ami, vous me décevez. Vous ne vous imaginez tout de même pas que le choc en retour n'a pas été prévu. Croyez-vous que nous aurions été assez sots pour mettre ce programme en action sans un plan B de rechange ? Vous avez une trop mauvaise opinion de la Grande Loge Blanche et
de nos relais supérieurs. Non, la situation est sous contrôle, y compris la perspective d'activer un plan C. Nous avons des ennemis, cela est clairement établi, et nous ne sous-estimons pas notre adversaire. Mais, notre Seigneur va régner sur le monde.

J.L. : Pouvez-vous m'en dire plus sur cet adversaire ? Cela m'intéresse au plus haut point ... Qui donc a décidé de s'opposer à votre programme ? Je croyais que les fraternités spirituelles authentiques n'émettaient aucune résistance à votre encontre.

Djwal Khool : C'est tout à fait ça. C'est blindé de ce côté.

De temps en temps, les Lohans nous dérobent des têtes de bétail qu'ils attirent dans leurs verts pâturages célestes, mais cela n'affaiblit notre système que sur des périodes si étirées que nous avons le temps de voir venir. Je dois quand même vous avouer qu'une seule âme qui nous quitte est enregistrée comme une perte car on ne sait jamais si elle reviendra pour en délivrer d'autres. Ceux-là, les intrépides qui redescendent dans le circuit en bravant les périls pour sauver leurs frères, ils nous font du tort indéniablement. Nous les traquons. Ce sont vraiment des hérétiques. Pas de pitié. L'ordre planétaire en dépend.

J.L. : C'est ce que je voulais entendre, et je vous remercie pour cette franchise. Vous avouez donc que vous retenez l'humanité dans un enclos, en lui donnant l'illusion qu'elle évolue, qu'elle "ascensionne" comme disent vos channels. Mais vous omettez le plus important, non ?

Djwal Khool : Le plus important ? Que voulez-vous dire ? Notre programme est exposé dans les livres de mon médium Bailey et de nos mille channels dans les moindres détails. Nous appelons à créer un Ordre Mondial qui sera l'aube du royaume des cieux sur la terre. Nous en avons convaincu les idéalistes de tous les bords et de toutes les loges. Je n'ai rien dissimulé.

J'ai dit et je confirme que la télévision est notre outil de propagande numéro un. J'ai dit et je confirme que notre Seigneur s'adressera à tous les peuples du monde le jour de la "déclaration". Je n'ai pas caché notre intention de réduire nos adversaires par la violence de l'arme atomique au besoin. Je n'ai pas caché que la vaccination massive des populations était nécessaire à leur ... heu ... bonne santé morale. Peut-on être plus sincère ? Mes disciples auraient pu se détourner de moi, en criant au crime écologique, et d'autres stupidités du même genre, mais non, ils vous maudiront si vous essayez de briser le rêve du meilleur des mondes. C'est leur seule évasion, dans l'Âge Noir. Ils veulent rêver, comprenez-le.

Nous avons imposé le dogme de progrès dans tous les domaines, et vous passerez pour un salaud de réactionnaire si vous tentez de dire le contraire. Nous leur avons profondément implanté l'idée du Grand Soir et des matins qui chantent et, désormais, les masses désirent que le "Royaume des cieux advienne sur la terre".

Allez donc leur dire que c'est une chose impossible dans le règne de la dualité, et ils vous lyncheront. Allez prétendre publiquement que "le Royaume n'est pas de ce monde" et ils vous crucifieront. Vous passerez pour un illuminé. Un dément. Notre Fraternité épouse le courant des instincts collectifs, ce qui est l'art de la haute politique. N'est-ce pas clair ? Pouvez-vous admettre les règles supérieures de la Politique ou voulez-vous rester un naïf ? Vous me décevriez beaucoup dans ce cas. Vous resterez un révolté impuissant. La Politique, c'est chevaucher le dragon des masses humaines et réguler leur instinct bestial par une culture appropriée. Nous instaurons l'ordre à travers le chaos. Notre empire, visible et invisible, n'est-il pas merveilleux ?

Joël Labruyère, extrait de Kali Yuga. Pour se procurer le livre et des numéros de la revue Undercover, contacter :





samedi, mars 06, 2021

La "régulation" de l'espèce humaine aurait débuté


(1:12)

Inde, le 6 mars 2021, Hôpital de Dharamsala, faisant fi des pratiques traditionnelles de santé, comme le Bouddha de médecine, le rituel de longue vie de Tara, les pilules de nectar, etc., le dalaï-lama (85 ans) se fait injecter la première dose du vaccin contre le Coronavirus, la prétendue "peste noire" du 3e millénaire. L'ancien agent de la CIA, a-t-il été mandaté par la "gouvernance mondiale informelle" (l'expression est d'Alain Minc, une éminence grise de Rothschild) pour faire la promotion d'une vaccination controversée ? 



Filibert : Cet article (ci-dessous) confirme ce que disait le Professeur Dolores Cahill de Dublin qui estime qu'au moins 30% des vaccinés vont mourir dans quelques mois par tempête cytokinique (un peu comme une allergie aux arachides) une fois que l'organisme aura synthétisé la protéine Spike en grand nombre ! La Généticienne Française Alexandra Henrion-Caude est d'accord avec Dolores Cahill sur cette analyse et ce processus !


Le Dr Tenpenny explique comment les vaccins à ARNm amorceront le processus de dépeuplement dans les 3-6 prochains mois (juillet 2021).

Elle et d’autres scientifiques ont prédit que des millions de personnes pourraient mourir et que leur décès serait attribué à une nouvelle souche de COVID, pour faire pression pour les vaccins.

Voici quelques extraits plus significatifs de l’interview : "Aux États-Unis, dans les 30 premiers jours suivant le début des vaccinations, les effets indésirables se sont produits jusqu’à présent sur plus de 40.000 personnes, dont environ 31.000 cas de choc anaphylactique, soit environ 5.000 cas de réactions neurologiques et d’autres problèmes, mais ce n’est que le début.

Ces vaccins créeront essentiellement un phénomène appelé amélioration dépendante des anticorps (ADE) ou une augmentation de la dépendance aux anticorps permettant à un "morceau" d’ARNm messager de se répliquer indéfiniment en créant des morceaux de protéine (Protéine Spike) à l’intérieur de notre corps. réponse, il produira des anticorps, et c’est pourquoi Bill Gates a déclaré que notre corps deviendrait un “producteur automatique de vaccins endogènes” en réponse à ces protéines ».

C’est pourquoi nous parlons de variantes anglaises et brésiliennes, au contraire déjà présentes dans notre corps en raison de vaccinations de masse.

L’exemple de l’Ombrie, en première position pour le nombre de vaccinations, offre des raisons de réflexion : c’est dans cette région qu’il y a une explosion de Covid, avec toutes ses variantes.

Le cheval de Troie, comme le dit le Dr Tenpenny, nous est en fait injecté via le vaccin ARNm et il existe plusieurs mécanismes par lesquels ces substances créeront ce chaos en nous, à savoir les anticorps qui détruiront nos poumons et qui désactiveront l’anti-macrophages inflammatoires et entraîneront le virus à l’intérieur de la cellule lui permettant de se répliquer et provoquant la mort de nombreuses personnes dans l’année suivant la vaccination: non seulement pour le choc anaphylactique ou les maladies cardiovasculaires mais aussi pour les maladies auto-immunes, car les anticorps de la Protéine Spike ils commencera à attaquer et à décomposer les globules rouges.

Lorsque les gens commencent à mourir, les médecins recommandent des doses supplémentaires et le rappel du vaccin aggravera la situation.

Pour toutes les mises à jour pertinentes, visitez le blog du Dr Tenpenny au lien suivant (Archives du blog du Dr Tenpenny – Vaxxter).

Liens :

https://finalscape.com/le-dr-tenpenny-explique-comment-les-vaccins-a-arnm-amorceront-le-processus-de-depeuplement-dans-les-3-6-prochains-mois/

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vendredi, mars 05, 2021

Le mondialisme messianique, une mystique fondée sur des rites sacrificiels



(...) la volonté d'établir un nouvel ordre mondial oblige à une restructuration complète du monde. Celui-ci obéit à deux étapes. Premièrement, il s'agit de mettre en place des blocs continentaux (Union européenne, Unasur, Union eurasienne, Union africaine, ... ) constituant une gouvernance mondiale. Cette dernière se doit, pour des raisons d'efficacité, d'être en mesure d'appliquer un modèle commun planétaire diffusé via des unions régionales. Celles-ci, à l'instar des "Administrations régionales" du "Meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, répercutent ces mesures afin de les diffuser en profondeur dans leur espace géographique. [...]

SOROS est arrivé

(...) La finalité du système est d'aboutir à une fusion de ces unions régionales avec mélange complet et indifférencié de tous les peuples de la terre. C'est le principe du "glocal" ou "région-monde".

Une surface territoriale réduite (le local) doit représenter l'échantillon planétaire humain. La multiplication de ce "local" sur toute la surface de la terre doit constituer le "global". L'idéal suprême pour l'oligarchie est d'avoir un simple individu, déraciné, psychologiquement déstructuré et nomade afin de mieux le soumettre, en paraphrasant le général Eisenhower, au complexe militaro-industrialo-pharmaco de la gouvernance mondiale. Pour l'oligarchie et en liaison avec les techniques les plus développées, une humanité réduite à 500 millions d'habitants, comme le prescrit le Georgia Guidestones, représente le profil adéquat de la rentabilité maximale. [...]

Le N.O.M., une mystique fondée sur des rites sacrificiels

Outre la diversité des mesures pour soumettre et avilir l'humanité, on ne peut qu'être frappé du caractère démoniaque de ces politiques touchant tous les secteurs propres au bon développement de la vie. Un tel degré de perversité et cette persévérance inouïe pour mener à terme ces projets ne peuvent pas être seulement l'œuvre d'êtres dépravés. Nous avons affaire à une attaque et à une destruction en règle de la Création. Ces propos peuvent étonner voire même faire sourire ceux qui ne croient ni en Dieu ni au diable. Pourtant, les diverses techniques de manipulations génétiques concernant les hommes et les plantes, sans oublier la géo-ingénierie (modification du climat) [...] nous obligent à voir plus haut. Le nouvel ordre mondial est d'abord et avant tout une mystique reposant sur des rites sacrificiels.

Pierre Hillard, extraits de sa préface du livre de Claire Séverac, La guerre secrète contre les peuples.


Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros

Bruno Gollnisch reçoit Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, pour ses trois ouvrages sur le mondialisme (ci-dessous), ainsi que Pierre-Antoine Plaquevent, dirigeant du think tank "Strategika" et auteur de Soros et la société ouverte - Métapolitique du globalisme. Un débat pour comprendre les origines de l'idéologie mondialiste et ses répercussions sur nos sociétés modernes.

(27:15)



3 livres de Pierre Hillard sur le mondialisme :

Archives du mondialisme - De la guerre contre l'Ancien et le Nouveau Testament

Sionisme et Mondialisme : Le sionisme de ses origines au IIIe Reich, 1895-1941




PDF Gratuit : La fondation Bertelsmann et la "gouvernance mondiale"
Pierre Hillard

Lorsqu'on parle d'un "think tank", on pense tout de suite à une institution américaine. On ignore souvent la puissance des fondations allemandes et leur capacité d'influence sur les politiques définies au sein de la communauté euroatlantique. Tel est le cas de la Fondation Bertelsmann, adossée à la grande entreprise du secteur de l'édition et des médias. Forte de plus de 300 collaborateurs, la Fondation est capable d'intervenir sur tous les grands sujets qui intéressent les acteurs de la mondialisation. Outre un engagement dans le domaine de la santé, il est peu de débats concernant l'avenir de l'Union européenne auxquels elle n'ait pas imprimé sa marque. Dans un contexte de tensions entre les États-Unis et l'Europe, la Fondation Bertelsmann se voit un rôle de médiatrice. Mais, ce qui l'intéresse surtout, comme le montre l'auteur, c'est d'imaginer les contours d'une "gouvernance mondiale". Alors même que la Fondation a largement contribué au consensus transatlantique des trente dernières années, la crise actuelle sert à la Fondation à rebondir : jamais, plaide-t-elle, on n'avait eu autant besoin de cadres globaux pour la communauté internationale. Cette enquête, remarquablement documentée, éclaire bien des décisions politiques des années récentes. ...

PDF gratuit 


jeudi, mars 04, 2021

Le véritable but de l'Agenda 2030 des Nations Unies

(5:00)

Lucis Trust, comment Lucifer s'invite à l'ONU...


L'Agenda 2030, présenté comme la solution à tous nos problèmes, de la pauvreté au réchauffement climatique, est en réalité un plan visant à instaurer une dictature mondiale.


Les Nations Unies, dont la plupart des représentants servent des régimes autocratiques
(Note : La constitution de la 5e République permet à un autocrate de diriger la France quasiment comme un Caudillo ou un Duce ; avec Macron, on peut dire sans trop se tromper : "comme un Führer"), ont de grands projets pour votre vie, vos enfants, votre pays et votre monde. Et ces plans ne se limitent pas au coercitif accord "climatique" signé à Paris.

Alors qu'aux États-Unis, les médias au service de l'establishment faisaient la promotion de l'EIIS, du football et bien sûr du "réchauffement climatique", pratiquement tous les gouvernements (dictatures) nationaux de la planète se sont réunis lors de la 70e Assemblée générale annuelle au siège de l'ONU à New York pour adopter le 15e plan directeur annuel pour la planète. Des mondialistes de haut niveau, tels que l'ancien chef de l'OTAN le socialiste Javier Solana, célèbrent ce plan, que le sommet a "approuvé à l'unanimité", comme le prochain "Grand bond en avant" - oui, c'est bien le vieux slogan de campagne du Parti communiste chinois. 

Le plan directeur est composé de 17 "Objectifs de développement durable pour l'après-2015" (ODD) avec 169 "cibles" spécifiques à imposer à la totalité de l'humanité, comme le plan le mentionne explicitement. 

"(...) dans ce voyage collectif, nous nous engageons à ce que personne ne soit laissé pour compte", lit-on dans le manifeste des Nations Unies, intitulé "Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l'horizon 2030". Mais si vous aimez la liberté, l'autonomie gouvernementale, les marchés libres ou la Constitution américaine, vous souhaiteriez certainement que l'ONU vous laisse tranquille.

Officiellement surnommé "Agenda 2030", le complot de l'ONU est clairement perceptible dans le titre complet qui précise : l'Agenda vise à transformer le monde. Ce programme fait suite au dernier plan de l'ONU sur 15 ans, les défunts "Objectifs du Millénaire pour le développement" ou OMD. Il s'accorde parfaitement avec le très controversé Agenda 21 des Nations Unies, y compris avec une grande partie de la même rhétorique et du même programme. Mais les objectifs combinés de l'Agenda 2030 pour atteindre ce que l'on appelle par euphémisme le "développement durable" reproduisent les précédents plans de l'ONU en plus radical, plus draconien et plus cher.

"Cet agenda est un plan d'action pour les peuples, la planète et la prospérité", lit-on dans le préambule. "Tous les pays et toutes les parties prenantes, agissant en partenariat collaboratif, mettront en œuvre ce plan." Ironiquement, le préambule affirme même que les objectifs de l'ONU "libéreront la race humaine de la tyrannie de la pauvreté" et "guériront" la planète - ou, comme le mentionne le document de l'ONU, "la Terre Mère". Prétendant, pas très subtilement d'ailleurs, usurper le rôle de Dieu, l'ONU a même affirmé que "l'avenir de l'humanité et de notre planète est entre nos mains".

S'exprimant le 25 septembre (2015) lors de la cérémonie d'ouverture de la conférence qui a adopté l'Agenda 2030, le secrétaire général Ban Ki-moon a fait allusion à l'ampleur réelle du complot : 

"Le nouvel ordre du jour est une promesse faite par les dirigeants à tous les peuples du monde entier", a-t-il expliqué, amalgamant parmi les "dirigeants" des gangsters assassins de masse tels que Kim Jong-un, Raul Castro, Robert Mugabe et d'autres despotes qui ont une grande influence sur la plupart des Etats membres de l’Organisation des Nations Unies. "C'est une vision universelle, intégrée et transformatrice pour un monde meilleur (Le Meilleur des mondes - Brave New World)." "Nous avons besoin de l'engagement de tous, partout", a déclaré M. Ban, désignant le "guide" offert par les 17 ODD. "Ils sont une liste de choses à faire pour les peuples et la planète..." "Nous devons parvenir à ces objectifs pour transformer le monde", a poursuivi M. Ban. Les institutions devront toutes collaborer à ce projet grandiose...

L'accord sur l'Agenda 2030 met également en évidence l'audace du programme. "Il s'agit d'un agenda d'une portée et d'une importance sans précédent", se vante le document. "Jamais auparavant les dirigeants du monde n'avaient promis une action et un effort communs dans le cadre d'un programme politique aussi vaste et universel", poursuit l'accord. "Ce que nous annonçons aujourd'hui, c'est un programme d'action mondiale pour les quinze prochaines années,  c'est une charte pour les hommes et la planète au XXIe siècle."

L'agenda

La caractéristique la plus frappante de l'Agenda 2030 est peut-être la feuille de route pratiquement non dissimulée vers le socialisme mondial et le corporatisme / fascisme, comme l'ont souligné d'innombrables analystes. 

Pour commencer, considérons l’objectif 10 de l’ordre du jour, qui appelle les Nations Unies, les gouvernements nationaux et toute personne sur Terre à "réduire les inégalités au sein des pays et entre eux". Pour ce faire, poursuit l'accord, cela "ne sera possible que si la richesse est partagée et les inégalités de revenus corrigées".

Comme le document de l'ONU le précise également, le socialisme national pour "combattre les inégalités" au niveau d'un Etat ne suffit pas. Le socialisme international est nécessaire pour lutter contre les inégalités... "D'ici 2030, veiller à ce que tous les hommes et toutes les femmes, en particulier les pauvres et les vulnérables, aient des droits égaux aux ressources économiques", exige le document. En termes plus simples, les contribuables occidentaux devraient se préparer à être escroqués afin que leur richesse puisse être redistribuée au niveau international alors que leurs propres économies sont de plus en plus réduites
(par les prélèvements et taxes de toutes sortes). Bien sûr, comme cela a été le cas depuis des générations, la plupart des richesses extraites du secteur productif seront redistribuées aux Etats (notamment, les plus pauvres) adhérents des Nations Unies (autrement dit, le revenu du travail des uns sera parasité par l'indigence des autres. Le résultat sera le nivellement économique et la paupérisation de tous favorisant ainsi la domination absolue des ultra-riches.)

Cependant, la redistribution des richesses à elle seule ne suffira pas. Les gouvernements doivent également prendre le contrôle des moyens de production - soit directement, soit par le biais de mandats dictatoriaux. 

"Nous nous engageons à apporter des changements fondamentaux dans la manière dont nos sociétés produisent et consomment des biens et des services", indique le document. Il dit également que "les gouvernements, les organisations internationales, le secteur des entreprises et les autres acteurs et particuliers non étatiques doivent contribuer à changer les modes de consommation et de production non durables… pour évoluer vers des modes de consommation et de production plus durables." 

En clair, le document de l'Agenda 2030 affirme que les modèles de "consommation et de production" d'aujourd'hui ne sont pas viables, nous devrons donc nous en tirer avec moins. Combien moins ? Il serait difficile de trouver une évaluation plus claire et concise que celle proposée par feu Maurice Strong, le milliardaire canadien récemment décédé et le gourou de l'environnement de l'ONU de longue date qui a dirigé le Sommet de la Terre de 1992, dans un document pré-Sommet de la Terre : "C'est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée… impliquant une forte consommation de viande, la consommation de grandes quantités d'aliments surgelés et "prêts-à-manger'', la possession de véhicules à moteur, de nombreux appareils électriques, la climatisation domestique et professionnelle... une banlieue coûteuse le logement… ne sont pas durables." 

En vérité, ces "modes de vie et modes de consommation" sont durables, tant que la liberté qui rend possible la prospérité n'est pas détruite au nom de la "durabilité". L'ONU et le lobby environnemental affirment que nous devons vivre avec moins car il y a maintenant trop de gens sur la planète qui consomment trop de ressources. Mais l'argumentation pour accepter les restrictions imposées par l'ONU est manifestement fausse.

Bien sûr, les promoteurs de l'Agenda 2030 affirmeront qu'au lieu de nous appauvrir, la gouvernance mondiale qu'ils envisagent prendrait bien soin de nous - à travers la couverture sanitaire universelle, par exemple. 

L’une des cibles de l’Objectif 3 : assurer une "vie saine" et un "bien-être", est la suivante : "Parvenir à une couverture sanitaire universelle", y compris "des vaccins pour tous". L'accès universel à la "santé mentale", ainsi que les "services de santé sexuelle et reproductive" - mots de code pour l'avortement et la contraception - sont également inclus. On attend de tous les gouvernements qu'ils intègrent ces services dans leurs "stratégies et programmes nationaux", selon l'accord.

Il convient de noter que le dictateur soviétique Vladimir Ilitch Lénine, assassin de son propre peuple, a clairement indiqué que le contrôle des soins de santé était la "clé de voûte" du socialisme. Les Nations Unies sont évidemment d’accord. [...]

Aussi important que le contrôle de la santé, les enfants. 

Le plan de diffusion du socialisme international ferait défaut sans contrôler également l'enfance grâce à la propagande socialiste mondiale. C'est pourquoi tout un objectif de l'Agenda 2030 est de faire en sorte que tous les enfants, partout dans le monde, soient transformés en ce que l'ONU appelle des "agents de changement", prêts à œuvrer à l'avènement du nouvel ordre mondial. "Les enfants et les jeunes femmes et hommes sont des agents essentiels du changement et trouveront dans les nouveaux objectifs une plate-forme pour canaliser leurs capacités infinies d'activisme vers la création d'un monde meilleur" (Le Meilleur des mondes - Brave New World), explique l'accord.

Le type d'activistes que l'ONU espère faire de vos enfants est explicitement défini dans l'accord :

"D'ici à 2030, veiller à ce que tous les apprenants acquièrent les connaissances et les compétences nécessaires pour promouvoir le développement durable, y compris, entre autres, par l'éducation pour le développement durable et les modes de vie durables, les droits de l'homme, l'égalité des sexes, la promotion d'une culture de la paix et de la non-violence, citoyenneté mondiale et appréciation de la diversité culturelle et de la contribution de la culture au développement durable", déclare le plan mondial pour 2030. Compte tenu de ce que l'ONU entend par "développement durable" - contrôle de la population, planification centrale, gouvernance mondiale, etc. - l'agenda pour vos enfants prend un ton encore plus sinistre.

Les enfants de l'Ordre nouveau, de l'idéologie du "vert et du durable" et de la citoyenneté mondiale seront conditionnés par ce que l'ONU appelle "l'éducation". 

Dans le document de l'ONU, le mot "éducation" est mentionné plus de 20 fois. Et tout au long de l'accord, l'ONU préconise ouvertement l'utilisation des écoles pour endoctriner toute l'humanité dans un nouvel ensemble de valeurs, d'attitudes et de croyances en vue du nouvel ordre mondial "vert" et "durable". L’agenda de l’éducation de l’ONU place également "l’éducation" sexuelle au premier plan. "D'ici à 2030, garantir l'accès universel aux services de santé sexuelle et reproductive [avortement et contraception], y compris pour la planification familiale, l'information et l'éducation", explique le document. [...]

(...) l'argent nécessaire pour mettre en œuvre l'Agenda 2030 et d'autres programmes des Nations Unies ne représente qu'une partie du coût réel. 

D'autres éléments non pas de prix, comme la perte de notre indépendance et de notre liberté nationales que la montée de la gouvernance mondiale et du socialisme mondial entraînera inévitablement. 

De manière révélatrice, donner aux dictateurs les moyens de participer à l'instauration de la gouvernance mondiale est ouvertement vanté par l'Agenda 2030. Le document déclare : "Nous nous engageons à élargir et à renforcer la voix et la participation des pays en développement [les dirigeants (souvent corrompus) de ces pays] - y compris les pays africains, les pays les moins avancés, pays en développement sans littoral, petits États insulaires en développement et pays à revenu intermédiaire - dans la prise de décisions économiques internationales, l’établissement de normes et la gouvernance économique mondiale."

Promoteurs puissants

Lorsque l'Agenda 2030 a été adopté lors de la 70e réunion annuelle de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York le 25 septembre, le complot de l'ONU visant à réorganiser la civilisation a été inauguré par une "puissante ovation", a rapporté le Département de l'information des Nations Unies. Chacun des 193 gouvernements membres de l’ONU - des dictatures communistes et islamistes meurtrières aux dirigeants ce qui reste du "monde libre" - a promis d’aider à imposer les objectifs controversés de l’ONU à son peuple.

Dictateurs de tous les pays

Tout cela paraissait si merveilleux pour certains des dictateurs les plus brutaux du monde qu’ils pouvaient difficilement contenir leur joie. "Cet agenda promet un nouveau monde courageux, un nouveau monde que nous devons construire consciemment, un nouveau monde qui appelle à la création d'un nouveau citoyen du monde", s'est exclamé le dictateur marxiste Robert Mugabe, le meurtrier de masse génocidaire asservissant le Zimbabwe qui est aussi président de l'Union africaine. "Je veux croire que nous sommes à la hauteur de cette tâche à laquelle nous nous sommes engagés volontairement et collectivement. Notre succès, et en particulier la promesse d’un monde nouveau qui nous attend, dépend de cet engagement." Il a également promis d'imposer vigoureusement l'Agenda 2030 de l'ONU aux victimes affamées et appauvries que son régime domine avec des mesures comparables à celles de l'Agenda 2030. Le régime communiste de Castro a promis de travailler avec l'homme fort du Venezuela, le socialiste Nicolas Maduro et d'autres tyrans pour imposer les objectifs de l'ONU à leurs victimes - le tout avec un financement des contribuables occidentaux.

La dictature chinoise

Les tyrans qui gouvernent la Chine communiste, quant à eux, ont également été des pom-pom girls enthousiastes pour les objectifs de l'ONU - objectifs que le régime se vantait de jouer un "rôle crucial" dans leur développement. La dictature chinoise, tristement célèbre pour les avortements forcés, la censure, la persécution religieuse et politique, la "politique de l'enfant unique", la terrible pollution, les tribunaux kangourous, et bien sûr, assassinant plus d'êtres humains que toute autre entité dans l'histoire de l'humanité, a utilisé son vaste machine de propagande mondiale pour célébrer l'Agenda 2030.

"La Chine a apporté des contributions importantes aux efforts mondiaux pour parvenir à un programme de développement post-2015 juste, inclusif et durable", a déclaré le représentant permanent adjoint du régime à l'ONU, Wang Min, cité dans un rapport de la presse communiste chinoise et service d'espionnage Xinhua. "La Chine est également très active dans la mise en avant des propositions chinoises… L'accord comprend des propositions importantes de la Chine et de nombreux autres pays en développement sous de nombreux aspects."

Entre autres "engagements", la Chine a promis de dépenser 2 milliards de dollars dans les pays étrangers pour atteindre les objectifs de l'ONU en matière d '"éducation" et de "santé", son financement passant à 12 milliards de dollars d'ici 2030. le fait que Pékin soit si enthousiasmé par l'ordre du jour est assez révélateur. Faisant écho à la rhétorique du président Mao, le mondialiste de l'UE et de l'OTAN Javier Solana a déclaré : "Avec un engagement soutenu de tous les pays, développés et en développement, le monde peut faire en sorte qu'il célèbre un autre grand bond en avant en 2030." (Je souligne.) Le dernier "Grand bond en avant", présidé par le président Mao Tse-tung entre 1958 et 1963, a abouti au meurtre d'environ 45 millions de Chinois qui ont été affamés, battus à mort...

[...]

Le pape François

(...) la principale personnalité religieuse du monde, le pape François, s’est adressée aux gouvernements membres de l’ONU en leur demandant de soutenir les objectifs de l’ONU. "L'adoption du Programme de développement durable à l'horizon 2030 ... est un signe d'espoir important", a-t-il déclaré, avant d'exiger également un régime "climatique" de l'ONU.

Google...

Au-delà des gouvernements et des personnalités religieuses, une grande partie du secteur privé a également soutenu avec enthousiasme les nouveaux objectifs. Parmi les méga-entreprises qui soutiennent ce programme figurent les trois principaux moteurs de recherche au monde : Google, Bing de Microsoft et Yahoo. Il n’était pas immédiatement clair si le soutien de ces entreprises au programme de l’ONU affecterait l’impartialité supposée des résultats de recherche, mais les critiques du plan de l’ONU ont néanmoins exprimé leur inquiétude.

D'après un article d'Alex Newman (
Extraits) :



mercredi, mars 03, 2021

Covid-19, à qui profite le crime contre l'humanité ?



Pourquoi le test RT-PCR (dans le nez) s'est-il largement répandu en prétextant une "terrifiante" pandémie permettant ainsi de collecter l'ADN de l'humanité ?

Pourquoi interdire aux médecins de soigner les malades du coronavirus avec des remèdes efficaces ?

Pourquoi la thérapie génique qui consiste à introduire du matériel génétique dans des cellules pour lutter contre la pandémie ?

A qui les gouvernements obéissent-ils pour imposer ces mesures et les lois liberticides ?

Dans un entretien au journal Yediot Aharonot repris par les médias du monde entier début décembre 2020, le général israélien à la retraite chargé du programme spatial de son pays, Haim Eshed, affirme que des civilisations extraterrestres nous rendent visite depuis des années et qu'elles ont conclu un pacte avec les États-Unis et Israël pour demeurer dans l'ombre. 

Parmi ces visiteurs extraterrestres, des auteurs mentionnent les Petits-Gris. Richard Glenn, nous alerte à leur sujet dans son livre au titre édifiant : "Opération Cheval de Troie - La Terre aux mains des Petits Gris". 


Ces extraterrestres ne seraient pas aussi sympathiques que Paul du film de Greg Mottola. Dans ce film, Paul est un extraterrestre Petit-Gris. Il vit sur terre depuis 60 ans et collabore avec le gouvernement américain. Le Petit-Gris se cache à l'abri des regards dans une base militaire ultra secrète jusqu'au jour où il décide de s'enfuir...

(1:57)

PAUL - Bande-annonce VF


En 1986, paraît le livre de Jimmy Guein : Nos Maîtres les Extraterrestres - Le monde étrange des contactés - Nouvelles révélations - Demain le chaos !

"Jimmy Guieu nous l'affirme, entre autres révélations inquiétantes : Ils sont là, parmi nous, tapis dans leurs tanières, de gigantesques nases souterraines, dissimulées à plus de mille mètres de profondeur. Ils nous guettent, nous agressent, enlèvent parfois certains des nôtres : ils sont les maîtres de l'univers... "Ils", ce sont ces petits êtres venus de mondes lointains, ces "Gris" qui, grâce à la complicité des grands de ce monde — Truman et Staline hier, qui aujourd'hui ? — , menacent de coloniser, d'asservir, voir d'éliminer l'espèce humaine. Spécialiste des OVNI — et plus généralement des manifestations extraterrestres — depuis près d'un demi-siècle, Jimmy Guieu avait tiré la sonnette d'alarme en publiant "Le monde étrange des contactés" il y a plus de cinq ans. Depuis, la menace n'a fait que se préciser, et bien des faits nouveaux — et révélateurs, pour qui a pris conscience du péril — sont intervenus, qui viennent étayer sa thèse. Il les livre aujourd'hui au public, qu'il met en garde : la conspiration du silence doit être brisée, et la résistance contre les "Gris" s'organiser. Dès aujourd'hui, il y va tout simplement de la survie de l'humanité."

Télécharger gratuitement le livre de Jimmy Guieu
"Nos Maîtres les Extraterrestres"


Filibert :

Nos Élites ont vendu la Planète à des mauvais Extraterrestres en échange de certaines technologies et la possibilité de devenir immortel !

L'Agenda 2030 de l'ONU et avant l'Agenda 21 sont des plans de dépopulation pour protéger la nature et réduire l'émission de carbone, mais en fait c'est un accord avec de mauvais Extraterrestres pour leur offrir la Planète avec du matériel génétique humain pour leurs besoins !

Mais pour laisser de la place aux Extraterrestres, nos élites ont décidé de réduire la population de plus de 90% et le Plandémie actuel avec des vaccins euthanasiants, avec des effets retards de 3 à 12 mois, est en cours !

Comme disait Macron : "La Bête de l'événement est là !" et la "Bête", le 666 ou le "Baal" des Babyloniens, demande des sacrifices pour la nourrir, et c'est peut-être le Vaccin à ARNm qui est la bête qui s'en charge !

C'est pour cela qu'il disait que c'est pas sûr qu'il pourrait se représenter vu les mesures qu'il devra prendre !

Et si ces mesures sont de tuer une bonne partie de la population avec des Vaccins Mortifères, c'est sûr que la population restante sera très remontée contre lui !

Phil Schneider


Le dénonciateur Phil Schneider retrouvé mort après avoir révélé un programme extraterrestre lié au Nouvel Ordre Mondial Nazi !

Phil Schneider, géologue et ingénieur gouvernemental avec plus de 17 ans d'expérience dans les "projets noirs", est sans aucun doute l'un des lanceurs d'alerte les plus importants de l'histoire moderne.

En septembre 1995, M. Schneider a fait une présentation à la Preparedness Expo dans laquelle il a exposé le nouvel ordre du jour du monde et comment il se connecte aux extraterrestres.

Au cours de ce discours, il a présenté des preuves physiques de métaux et d'artefacts étrangers ainsi que des photographies supplémentaires pour valider ses affirmations.

Moins de six mois après avoir fait cette présentation, il a été retrouvé mort dans son appartement avec une corde à piano enroulée autour du cou dans ce que la plupart qualifieraient d'une exécution de style militaire.

Selon certains proches de l'enquête, M. Schneider aurait été torturé à plusieurs reprises et brutalement avant d'être tué.

Quoi qu'il en soit, les autorités ont en quelque sorte jugé sa mort comme un suicide.

Phil a continué à dire à sa famille et à ses amis: "Si jamais je me suicide, je suis assassiné !"

Phil, sachant qu'il était une cible et que ce qu'il faisait était de jouer avec des personnes et des créatures extrêmement puissantes, a prévenu tout le monde qu'il était une cible et que s'il mourait mystérieusement ou se suicidait, il était assassiné.

Avant de passer à la vidéo, cet article contient un résumé des informations que M. Schneider a présentées à l'Expo, mais il est préférable de connaître quelques faits de base avant d'entrer dans le champ de ce qui se passe sous notre nez.

M. Schneider a beaucoup travaillé à la construction de bases militaires souterraines profondes, mieux connues sous le nom de "DUMBS".

Il affirme que les informations sur les étrangers sont bien cachées au public et que l'armée américaine est au courant de la présence d'étrangers depuis une période remontant à 1909.

Il a également affirmé que plus de 500 milliards de dollars étaient alloués chaque année à des projets noirs traitant de questions extraterrestres.

Il a en outre affirmé que 28% du produit national brut des États-Unis était consacré à la construction de bases souterraines.

Ce "budget opaque", comme il l’appelait, évite complètement le congrès.

Il ne fait aucun doute que ces projets se poursuivent encore à ce jour...

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lundi, mars 01, 2021

Un abbé s'oppose à la dictature sanitaire

(1:24)

L' Abbé Philippe de MAISTRE sur la dictature sanitaire.



Le bouddhisme, sa recherche de l'extinction de la personnalité et ses techniques de déconnexion de la vie (conçue comme une illusion), peut développer une indifférence qui fait le jeu de l'avidité capitaliste d'une minorité. Il est peut-être utile de rappeler que naguère l’Église défendait des idées sociales qui rejetaient le libéralisme économique ou plus exactement l'horreur économique dénoncée en son temps par Viviane Forrester.

La "pandémie", évoquée dès 2009 par le talmudiste Jacques Attali, est un prétexte au grand "Reset" économique (la nouvel étape du "libéralisme" économique fondé sur l'esclavage des populations où le numérique remplace les chaînes) et à l'instauration de la tyrannie mondiale de l'élite satanico-messianique.

Il faut savoir que le libéralisme économique a toujours ignoré et violé les lois de la morale à plusieurs points de vue.

Dans un livre écrit en 1957, avant Vatican 2, "La doctrine sociale de l’Église", l'archevêque de Cambrai, Monseigneur Guerry, écrit :



1° (...) le but suprême de la vie économique est de produire toujours davantage pour réaliser la plus grande accumulation des richesses en vue d'un plus grand bien-être matériel.

Certes, la doctrine sociale de l’Église ne sous-estime pas la nécessité d'une productivité croissante pour assurer l'une des conditions du bien commun temporel. Mais elle enseigne qu'il existe une hiérarchie des valeurs. La valeur suprême ici-bas, ce n'est pas la vie économique, ni le bien-être matériel : c'est l'homme et tout doit être subordonné à la personne humaine, mis au service de sa destinée, tout, y compris la vie économique.

Il y a, au fond du libéralisme, toute une conception de l'homme et de l'économie sociale, qui est en contradiction avec la conception chrétienne.

2° dans les mobiles de l'activité économique : la règle suprême est, pour le libéralisme, l'intérêt personnel. Que chacun poursuive son intérêt personnel en toute liberté et l'intérêt général sera réalisé!

La doctrine sociale de l’Église admet la légitimité de l'intérêt personnel, du gain et de l'accroissement honnête des biens individuels et familiaux : elle y voit un stimulant de l'homme à accomplir son devoir, une condition du progrès économique, la rétribution d'un service rendu. Mais elle connaît l'homme, son égoïsme foncier, fruit du péché originel : elle sait que ses passions sont un obstacle à la claire vision et à la poursuite du bien commun. Elle enseigne que ce n'est pas par le simple jeu des libertés individuelles que ce bien commun sera assuré, mais qu'il y faut un effort de la conscience pour se soumettre à une loi morale, qui lui rappelle les exigences du bien commun, de la justice et de la charité.

3° dans la condition de la vie économique : le libéralisme réclame la liberté complète des producteurs et la libre concurrence pour la poursuite du profit maximum. Donc pas de groupements d'ordre économique et social, qui limiteraient ou gêneraient la liberté des individus : pas d'organisation professionnelle, ni de syndicats.

Conséquences : C'est la porte ouverte à tous les abus dans l'exploitation des travailleurs.

C'est le déchainement de l'individualisme dans les relations professionnelles et d'une lutte âpre, acharnée entre concurrents au mépris de toute justice et de toute charité.

C'est le primat du profit, l'ignorance systématique du bien commun, le renversement des valeurs humaines et de l'ordre voulu par Dieu.

Un tel comportement habituel engendre une obnubilation de la conscience, une durcissement des producteurs, esclaves du libéralisme, ils deviennent insensibles aux souffrances et aux misères des hommes.

C'est finalement une matérialisation et une paganisation de l'économie, à l'opposé de la conception chrétienne de l'économie sociale.

La critique du capitalisme libéral 

Toutes ces conséquences expliquent les jugements sévères et les condamnations des Souverains Pontifes sur le capitalisme.

Léon XIII - fin du XIX° siècle (1891) - C'est alors le régime de la libre-concurrence. La recherche du plus grand profit conduit le chef d'entreprise à réduire son prix de revient, et donc sur les conditions de travail de la main d'œuvre pour l'emporter sur ses concurrents.

Léon XIII dénonce dans l'Encyclique Rerum Novarum les bas salaires que les ouvriers « isolés et sans défense » doivent accepter et subir, « livrés à la merci de maîtres inhumains et à la cupidité d'une concurrence effrénée ». Le Pape condamne aussi les abus dans le travail des femmes et des enfants : on les embauche de préférence parce qu'ils sont une main d'œuvre moins onéreuse. Le Pape dénonce enfin la durée excessive du travail et l'absence d'hygiène et de repos hebdomadaire.

Ce régime amoral, cause de tant de maux, Léon XIII le définit dans ce contraste saisissant : d'une part une concentration des richesses et des moyens de production dans les mains d'un petit nombre, d'autre part la multitude des prolétaires laissée dans l'indigence et subissant un joug presque servile.

Pie XI - Quarante ans après. Au régime libéral de la concurrence a succédé un régime super-capitaliste, « une véritable dictature économique », comme le Pape l'appelle dans l'Encyclique Quadragesimo Anno : c'est l'époque des ententes et coalitions, des cartels et des trusts. « Ce n'est plus seulement la concentration des richesses mais encore l'accumulation d' une énorme puissance, d'un pouvoir économique discrétionnaire, aux mains d'un petit nombre d'hommes qui, d'ordinaire, ne sont pas les propriétaires, mais les simples dépositaires et gérants du capital qu'ils administrent à leur gré ».

Le Pape Pie XI, avec force, condamne les désordres économiques et sociaux d'un tel régime, son caractère inhumain. « Toute la vie économique est devenue horriblement dure, implacable, cruelle...» «Soif insatiable des richesses...» « endurcissement de la conscience ». Beaucoup « uniquement préoccupés d'accroître par tous les moyens leur fortune, ont mis leurs intérêts au-dessus de tout et ne se sont fait aucun scrupule, même des plus grands crimes », contre le prochain.

Or à quoi sont dus tous ces désordres ? à ce fait que la science économique a été séparée de la loi morale.

Sans doute, considéré en soi, abstraitement, ce régime capitaliste, déclare Pie XI, n'est pas intrinsèquement mauvais, mais en fait il a été vicié. « Il n'est pas à condamner en lui-même ». «Mais il y a violation de l'ordre quand le capital n'engage les ouvriers ou la classe des prolétaires qu'en vue d'exploiter à son gré et à son profit personnel l'industrie et le régime économique tout entier, sans tenir aucun compte ni de la dignité humaine des ouvriers, ni du caractère social de l'activité économique, ni même de la justice sociale et du bien commun. »

En 1937, dans l'Encyclique Divini Redemptoris, où il affirme que « le libéralisme a frayé la voie au communisme », Pie XI condense tout son enseignement de Quadragesimo Anno en ces mots : il a « montré les moyens de sauver le monde actuel de la misère dans laquelle le libéralisme amoral nous a plongés ». Il ajoute, en s'adressant aux patrons, qu'ils portent « le lourd héritage d'un régime économique injuste qui a exercé ses ravages durant plusieurs générations. »

Bien entendu, des adversaires de l’Église continueront à accuser l’Église de n'avoir jamais dénoncé le régime économique du capitalisme libéral et de s'être inféodée à lui. Les Papes se sont élevés avec indignation contre cette accusation qu'ils appellent une « calomnie ». Calomnie en effet, car les textes sont là, clairs, formels, indiscutables. Ce qui est vrai, hélas ! c'est que trop de chefs d'entreprise ont voulu les ignorer. Pie XI a condamné sévèrement cette attitude. […]

En résumé, la doctrine sociale de l’Église, jugeant le régime capitaliste par référence à la loi morale, le condamne non pas sans doute en lui-même d'une manière abstraite et intemporelle, puisqu'elle reconnaît la légitimité du salariat et du profit dès lors qu'ils respectent la justice, mais tel qu'il est en fait, organisé et pratiqué : car ce ne sont pas seulement des abus, des erreurs de particuliers qui sont visés, c'est « le système social » lui-même, là où il se fonde sur une conception de la propriété privée, qui s'oppose à la fin communautaire assignée par Dieu aux biens de la terre, méconnaît sa subordination au bien commun, condamne l'ouvrier « à une dépendance, à une servitude économique inconciliable avec ses droits de personne » et devient « un pouvoir dirigé vers l'exploitation du travail d'autrui ».

Mgr Guerry, « La doctrine sociale de l’Église », Bonne Presse, édition de 1960.


Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...