samedi, septembre 17, 2022

The Line Neom, entre technologie et eschatologie



 

NEOM est un projet eschatologique érigé sur la terre des Prophètes, au Mont Sinaï, à l'endroit même où Moïse reçut la révélation et où les enfants d'Israël adorèrent le veau d’or.


En octobre 2017, l’Arabie Saoudite a annoncé souhaiter construire une méga ville destinée au tourisme de luxe. Elle sera régie par un droit particulier conforme au monde occidental. Le projet devrait devenir un pionnier mondial dans le domaine du développement technologique et des énergies renouvelables. [...]

Neom se dressera donc au centre du Moyen Orient et aura des frontières avec la Jordanie, l’Egypte et la Palestine. Elle marquera le croisement des trois continents. Cela donnera une nouvelle conception des relations politiques et des conflits dans le monde, de nouvelles relations se formeront selon les intérêts économiques que créera le projet.

De plus, ce projet a une dimension analytique liée à l’entité israélienne. L’investissement de cette dernière dans la méga ville est très important selon différents journaux, qui ont parlé de débats secrets entre l’entité et l’Arabie Saoudite à propos du sujet, ainsi que des différentes sociétés se basant dans l’entité qui visent à investir dans des projets technologiques.

Aussi, l’investissement de l’entité israélienne dans le projet Neom aura sans doute des répercussions sur ses relations avec l’Arabie Saoudite qui ne l’a jamais ouvertement reconnue. De plus, le projet transformera le climat politique avec de nouvelles relations liant l’Occident au Moyen Orient.

D’un autre côté, les pays du Golfe étant renfermés et très traditionnels ne permettant pas aux touristes et aux étrangers d’être totalement libres. Neom représentera la nouvelle Arabie Saoudite, la ville sera le clone de Dubaï d’une façon plus vaste, elle ne suivra pas les lois de la région, mais sera sous contrôle international. Cela permettra d’après certaines analyses politiques et géostratégiques, l’acquisition de ces territoires par l’entité israélienne.


Entre technologie et eschatologie


Au-delà des différentes analyses liées au domaine économique, stratégique ou politique, le web a connu une quantité considérable d’écrits et de médias qui lient le projet Neom à l’eschatologie ou encore aux religions.

Certains comparent le robot au veau d’or vénéré par les enfants d’Israël en l’absence du prophète Moïse, en la terre du mont Sinaï et la vallée sacrée Towa. L’endroit exacte où la ville futuriste va être conçue, qui est en réalité Le Hedjaz, la terre des prophètes, elle est considérée comme sacrée. La construction d’un espace mondial, universel, où tout habitant du monde peut s’y rendre, était le proclamé non sacré, ce qui facilitera l’accès à ce territoire.

Le projet Neom reste ainsi intrigant et effrayant à la fois, car en croisant plusieurs simulations, il approche ce que la science fiction décrit sur le futur et l’imitation matérielle de la vie.

L’idée futuriste imite l’espace extérieur, la nature, la lune, la pluie, le soleil, et met en évidence la simulation des organismes vivants, elle se basera sur l’intelligence artificielle, l’apprentissage, l’adaptation des machines et leur capacité à simuler l’homme dans sa logique et sa réflexion, un rêve cybernétique qui se liera à la réalité.

Enfin, il semble difficile de cerner les enjeux et les buts précis de ce projet, car en dehors de la dimension économique, d’autres dimensions entrent en jeu. L’endroit stratégique de Neom qui ne semble pas une coïncidence, surtout lorsqu’on sait qu’elle se situe à quelques kilomètres de la Palestine, et que les sommes pharaoniques investies dans ce projet laissent comprendre son ampleur et son impact futur.

Extrait du PDF "Projet Neom, entre rêve cybernétique et eschatologie", téléchargement gratuit ICI.


vendredi, septembre 16, 2022

La "ville intelligente" : Ne rien posséder et être heureux ?


Située en plein désert, The Line Neom, une mégapole de seulement 200 mètres de large sur une longueur de 170 kilomètres, sera constituée de deux gratte-ciels massifs recouverts de miroirs. 9 millions de personnes y seront quasiment emmurées.


Selon les mondialistes et le fondateur du FEM (Forum Economique Mondial), Klaus Schwab, nous devons à l’avenir ne rien posséder et être heureux. Le projet « The Line » promu par le FEM, montre à quoi cela devrait ressembler exactement. Dans le désert de l’Arabie Saoudite, doit être construit un gigantesque bâtiment appelé The Line.

Cette construction de 170 kilomètres de long, 500 mètres de haut et 200 mètres de large devrait accueillir jusqu'à neuf millions de personnes. À titre de comparaison, la Suisse compte environ 8,7 millions d'habitants. Les habitants de cette ville ne posséderont ni maison individuelle, ni voiture. De plus, les habitants seront exposés à une surveillance totale avec des capteurs, des caméras, des logiciels de reconnaissance faciale et des scanners d'identification biométrique. Au lieu de voitures, un train public à grande vitesse fourni par le gouvernement servira de moyen de transport.

Le projet du prince héritier d'Arabie Saoudite, Mohammed ben Salmane, a été présenté par son équipe de presse comme une « révolution de civilisation ». Pour la mise en œuvre de ce projet, le prince héritier ne recule devant rien. Ainsi, les habitants de la région, une tribu indigène Howeitat, ont été déplacés de force.

Cela a permis de commencer les premiers travaux de terrassement en novembre 2021. Au printemps 2022, la première pierre des premiers modules d'habitation a été posée.

Mohammed ben Salmane a conçu la « ville intelligente » de manière à ce que les 17 objectifs de développement durable de l'Agenda 2030 soient atteints. Cet agenda a été adopté en septembre 2015 par les chefs d'État de presque tous les pays du monde.

Alors que les objectifs de développement durable donnent en apparence l'impression de servir le bien commun et d'améliorer le monde, lorsqu’on les examine de plus près, ils se révèlent être des outils de contrôle totalitaire et conduisent à l'abolition de toute liberté, comme le montre cet exemple.

Mais nous, le peuple, n'avons pas voté pour ce mode de vie « durable », ni pour la fin de la propriété privée, ni pour la dépendance totale de quelques multimilliardaires et mondialistes qui posséderaient alors tout.

Source : www.kla.tv/23622 (vidéo)



jeudi, septembre 15, 2022

Rites secrets du bouddhisme, les grands initiés sont des pédocriminels


"Ce sont justement les actes les plus immoraux, les plus frappés de tabou qui paraissent avoir particulièrement fasciné les adeptes de cette doctrine." Edward CONZE


Le bouddhisme tantrique est en réalité un ésotérisme et, comme tout ésotérisme, il réserve ses enseignements les plus secrets à une élite qui a fait le serment de ne jamais révéler ses véritables pratiques.

Pendant que les simples dévots sont cantonnés dans un bouddhisme populaire fait de croyances et de superstitions, l'élite se livre à des rites sexuels secrets.

"Au IIe siècle, l'empereur Kushâna Kanishka entreprit une réforme du Bouddhisme sur la base des conceptions du Shivaïsme tantrique. Dans un grand concile réuni au Cachemire furent définis les canons de ce nouveau Bouddhisme qui est un Shivaïsme déguisé et que l'on appelle Mahâyana (Grand Véhicule). Cette synthèse du Bouddhisme et du Shivaïsme fut principalement l’œuvre d'Ashvaghosha, un Hindou converti au Bouddhisme. Le Mahâyana se répandit principalement au Tibet où nous retrouvons de nombreuses pratiques des Kâpâlikas (porteurs de crânes) shivaïte car ils utilisaient eux aussi un crâne humain comme réceptacle pour leur nourriture. […] Le but des Kâpâlikas n'est pas d'obtenir une libération hypothétique après la mort ; ils cherchent au moyen des Siddhis, des pouvoirs magiques, à transgresser les limites du corps matériel qui emprisonne l'être véritable, pour atteindre une consubstantialité avec les êtres célestes..." (Alain Daniélou)

Le modèle des initiés lamaïstes est davantage Padmasambhava, le "second Bouddha", que Shakyamouni. Contrairement au Bouddha Shakyamouni, qui se serait "éteint" ou libéré dans un ultime saut nirvanique, Padmasambhava séjournerait à Zangdok Pelri, la Glorieuse Montagne Cuivrée, dont il a fait sa terre pure. Il y coulerait des jours heureux entouré de ses épouses et de nombreuses dakinis parfois un peu extravagantes mais toujours très jeunes.

Les grands initiés lamaïstes rêvent tous d'imiter Padmasambha. Pour ce faire, les lamas suivent les recommandations de manuels spéciaux, les Tantras supérieurs.

Edward CONZE, spécialiste incontesté du bouddhisme, écrit :

"On ne s’attend pas, en fait, à ce que les adeptes d’une religion revendiquent comme une sorte de devoir sacré, par exemple, le commerce sexuel quotidien dans des endroits écartés avec des filles âgées de douze ans, de la caste candâla. 

Le Guhyasamâjatantra, l’une des plus ancienne, et aussi des plus sacrées, parmi les Écritures du Tantra de la Main-gauche, enseigne, semble-t-il, exactement le contraire de ce que soutenait l’ascétisme bouddhique. Il nous dit que nous atteindrons facilement la bouddhéité si « nous cultivons tous les plaisirs des sens, autant que nous pouvons le désirer ». Les rigueurs et les austérités échouent, alors que la satisfaction de tous les désirs » réussit. Ce sont justement les actes les plus immoraux, les plus frappés de tabou qui paraissent avoir particulièrement fasciné les adeptes de cette doctrine." Edward Conze, "Le bouddhisme dans son essence et son développement".

Robert SAILLET :

"Un maître, d’origine cachemirienne, Guhyaprajna, dit Marpo, « le Rouge », vint au Tibet occidental. Il semble que son enseignement sur les tantra ait été teinté de Shivaïsme. On lui reproche, ainsi qu’à des maîtres du même genre, d’avoir répandu que le yoga consistait dans l’union sexuelle avec des femmes et que pour accéder à la délivrance, il fallait mettre à mort des êtres vivants. De pareilles conceptions furent en tout cas mises en application par un groupe de « moines-brigands », qui enlevaient des femmes et des hommes pour les sacrifier au cours de cérémonies tantriques (Ganachakra puja : le rite de l’orgie collective)." 
Robert Saillet, "Le bouddhisme tantrique indo-tibétain".


Un lama tibétain, spécialiste des rites de Kalachakra, a révélé ceci :

"Le rite commence avec des fillettes de 10 ans. Jusqu'à leur vingtième année, les partenaires sexuelles représentent des vertus positives. Au-delà, elles comptent comme porteuses d'énergie de colère, de haine, etc. et comme femmes-démons. Dans les étapes initiatiques de 8 à 11 du tantra de Kalachakra, l'expérimentation se fait avec une « seule » femme. Pour les étapes de 12 à 15 appelées le Ganashakra, 10 femmes participent au rite aux côtés du maître. L'élève a le devoir d'offrir les femmes comme « présents » à son lama. Les laïcs se faisant initier doivent amener leurs parentes féminines (mères, sœurs, épouse, filles, tantes, etc.). En revanche, les moines ayant reçu la consécration ainsi que les novices peuvent utiliser des femmes de diverses castes qui ne sont pas leurs parentes. Dans le rite secret lui-même, les participants font des expériences avec les semences masculines et féminines (sperme et menstruation) ; les femmes ne sont pour l'initié masculin que des donneuses d'énergie et leur rôle cesse à la fin du rite". Gen Lamrimpa, "Transcending Time, an explanation of the Kalachakra Six-Session", cité par E. Martens, "Histoire du bouddhisme tibétain : La compassion des puissants".


Le Kalachakra Tantra, "La Roue du Temps", est le texte le plus sacré du bouddhisme tibétain. Selon la légende, sa rédaction est attribuée au premier roi du royaume mythique de Shambhala. Ce texte fondamental a été traduit en français. Il est distribué dans toutes les grandes librairies. Certains libraires, peu attentifs au contenu des livres qu'ils vendent, l'ont mis à côté de délicats textes religieux empreints de poésie mystique. Pourtant, le chapitre six du texte sacré des bouddhistes tibétains comprend un traité d'alchimie et de démonologie qui n'a rien de poétique. En effet, La strophe 125 évoque un recette de sorcellerie peu ragoûtante. Il est écrit :

"La consommation de matière fécales et d’urine, de sperme et de sang menstruel, mélangés à la chair humaine, prolonge la vie. Ce sont les cinq ingrédients qui entrent dans la composition des pilules de nectar".

D'après les lamas, c’est le Bouddha lui-même qui aurait expliqué comment préparer et utiliser ces ingrédients pour rajeunir, supprimer toutes les maladies, mettre fin aux difformités corporelles…

De nos jours, des lamas distribuent parfois ces " pilules de nectar " à leurs élèves les plus zélés. C'est une faveur rare, toujours appréciée comme une grâce. Toutefois, le lama Kelsang Gyatso, entré dans la dissidence qui ébranle l’école Gelug, recommande de ne pas consommer ces pilules fabriquées avec des substances impures, telles que de l’urine et des excréments.

La sorcellerie est présente dans beaucoup d'autres textes religieux tibétains. Le Hevajra Tantra, particulièrement vénéré par les Sakyapa, indique les mantras utilisés pour les principales catégories de rites magiques. Des rites qui ignorent totalement la moralité et la compassion bouddhiques.

Les rites des lamas de haut rang permettraient d'obtenir le pouvoir :

- d'ensorceler ;
- d'arrêter les actions d'autrui, de les pétrifier ;
- de séparer deux amis, des parents, des amoureux, etc., et de créer de l'animosité entre les gens ;
- de faire fuir les ennemis, de les faire tomber en disgrâce, de détruire les habitations des ennemis ;
- de tuer ou de blesser les ennemis au moyen de pratiques en apparence inoffensives...

Ainsi des lamas, qui prétendent adhérer à la doctrine du renoncement du Bouddha, pratiquent secrètement un occultisme profondément immoral et criminel.

Dans "Mandala Matrix", Marc Bosche écrit :

"Je pensais rencontrer un monde psychique et spirituel, antique, ancien et hiératique pendant ma retraite spirituelle. Il est en effet apparu au début, un peu comme un décor, une toile peinte : les yidams, les mandalas et les formules des mantras apparaissant un peu en trompe l’œil comme aux avants scènes. Puis c'est - derrière - un autre monde qui s'est invité, comme s'il était une réalité plus active et efficiente, se " servant " de ces images traditionnelles et figées du bouddhisme himalayen.

Ce monde, qui s’est avéré au final prédateur et exploitif, n'avait rien d'antique, de vieux ou de traditionnel. Il m'est apparu comme ultra moderne selon nos critères, un monde de technologies sophistiquées venues de " mondes " parallèles aux nôtres. Il était doté de sciences appliquées psycho somatiques subtiles agissant "par osmose". Elles servaient en particulier à prélever nos énergies subtiles, les échantillonnant par qualités.

Ces activités subtiles étaient dotées de " feed back " (capacités de rétroaction), de coordination et d'auto contrôle cybernétique, etc.

Il m'a semblé que ce monde psychique du tantra bouddhiste n'est pas seulement peuplé de vieux "démons" ou de vieilles "dakinis" rouges, mais mu par des activités de technologies, inconcevables encore pour nous, qui prélèvent notre vitalité subtile, nos énergies de conscience et de vie de manière rationnelle et organisée. Ces activités ne nous renvoient des leurres yoguiques et des images tantriques toutes faites que pour mieux brouiller les pistes, comme pour mieux se cacher derrière. Le monde tantrique serait habité par une réalité technologique subtile, une bio science exploitive venue d'autres mondes, d'autres dimensions imperceptibles de l'expérience consciente et collective, dont nous n'avons encore aucune idée.

Nous ne serions ainsi pas seulement le "bétail des dieux", comme l'écrit le voyageur tantrika Daniélou. Nous ne serions pas seulement le bétail humain trait pour le lait de notre vitalité et de nos énergies subtiles. Nous serions aujourd’hui dans une sorte d'élevage industriel imperceptible, dont les clôtures barbelées nous sont invisibles, reliés à des dimensions peuplées de collectivités inaccessibles. Leurs activités autonomes s'installeraient progressivement et perceptiblement dans les canaux et plexus subtils à l’intérieur du corps, en particulier lors de l'adhésion au tantra et de l'ouverture dévotionnelle.

Comme vous le voyez personne ne pourra y croire un seul instant, en-deçà de la faculté imaginative suscitée par l’évocation littéraire. Il est impossible de le prouver ou d'en apporter la moindre présomption de preuve. De plus je ne suis pas sûr des limites, ni des enjeux réels de ces phénomènes s'ils existent, ni qu'ils soient strictement limités au monde tantrique. En particulier l’éveil spontané de la kundalini s’apparente aussi à ces phénomènes en terme de symptômes perçus. Il est donc bien difficile chez un tantrika de différencier les activités subtiles qui ressortissent de l’ouverture à sa lignée de lamas, et ce qui est dû à l’activation autonome et universelle de la kundalini en lui."


mercredi, septembre 14, 2022

Viols dans des temples européens : le silence des maîtres du bouddhisme


Les autrices ont commencé à travailler sur le sujet en 2011, avec la rencontre de Mimi, une ancienne adepte de Sogyal Rinpoché (à droite). Son témoigne relate des faits "d’une violence inouïe", assurent les journalistes.

Un livre, "Bouddhisme, la loi du silence", et un documentaire lèvent le voile sur une longue série de viols et de maltraitances commis par des lamas. Rencontre avec les journalistes Élodie Emery et Wandrille Lanos.



L’enquête menée par les journalistes Élodie Emery et Wandrille Lanos est implacable. Elle révèle que le dalaï-lama et le moine Matthieu Ricard étaient au courant des agressions commises par des lamas sur des femmes et des enfants depuis les années 1990 dans des temples bouddhistes européens, mais que les deux autorités spirituelles bouddhistes se sont défaussées de leurs responsabilités. Pire : elles ont continué d’entretenir des relations avec de puissants lamas, alors même qu’ils étaient déjà mis en cause par des victimes.

Le bouddhisme évoque généralement la bienveillance, l’altruisme, la compassion. Pourquoi avez-vous décidé d’enquêter durant onze années sur cette religion ?

ÉLODIE EMERY ET WANDRILLE LANOS : Le sujet nous est tombé dessus par hasard. En 2011, nous faisions la rencontre de Mimi, une ancienne adepte de Sogyal Rinpoché. Elle a été la première à s’exprimer sur ce qu’elle avait vécu aux côtés de ce maître très proche du dalaï-lama, qui est aussi l’auteur d’un best-seller de littérature spirituelle : le Livre tibétain de la vie et de la mort. Ce qu’elle racontait était d’une violence inouïe. Au départ, nous pensions enquêter sur un phénomène isolé. Il a fallu des années et un empilement de témoignages successifs pour que nous comprenions l’ampleur du phénomène auquel on s’attaquait. Et qui, effectivement, est en opposition radicale avec l’image que nous cultivons du bouddhisme sous nos latitudes.

"LES EUROPÉENS ET AMÉRICAINS DU NORD ONT VOULU CROIRE QU’UN PEUPLE, LES TIBÉTAINS, DÉTENAIT LES CLÉS DE CE BONHEUR QUI LES OBSÈDE."

Vous racontez dans votre enquête comment, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, le dalaï-lama a su habilement convertir les besoins spirituels des Occidentaux en pouvoir politique afin de bâtir une hégémonie culturelle et poursuivre son combat contre la Chine. Pourquoi a-t-il si bien réussi là où d’autres religions ou promesses politiques ont échoué ?

On peut dire que nécessité fait loi. Sans le soutien du reste du monde, le Tibet et sa culture risquaient d’être rayés de la carte sans que personne ne sache le situer sur un planisphère. Le dalaï-lama a endossé la responsabilité de faire entendre la cause de son peuple, et il l’a fait avec beaucoup de talent. Il faut écouter son discours de remerciement lorsqu’il reçoit le prix Nobel de la paix en 1989 : il aborde notre responsabilité à l’égard de la planète, l’impact de la science sur nos vies, l’importance de la spiritualité. C’est absolument précurseur à l’époque, et il a coché une à une toutes les aspirations d’un Occident désillusionné par ses propres religions, fatigué du matérialisme à tous crins. Les Européens et Américains du Nord, qui ont accueilli des lamas dès les années 1970, ont voulu croire qu’un peuple, les Tibétains, détenait les clés de ce bonheur qui les obsède. C’est aussi cette projection très naïve qui a permis le silence autour des abus pendant trente ans.

Votre investigation rassemble les témoignages de 32 victimes du bouddhisme. Les abus sexuels que vous documentez sont-ils des cas isolés, des « dérives » ? Ou s’agit-il d’un problème systémique de cette religion ?

Nous avons trouvé des cas aux États-Unis, en Australie, au Canada, en Inde, en France, en Belgique, au Royaume-Uni, en Espagne, au Portugal, en Allemagne, aux Pays-Bas… Partout où les centres bouddhistes se sont implantés. Partout, les abus sont défendus par la mobilisation des mêmes concepts doctrinaux – la dévotion à l’égard du maître, l’idée que tous les moyens sont bons pour casser ses carcans mentaux et atteindre l’Éveil. À cette échelle, il devient compliqué de défendre l’idée de quelques fruits pourris qui ne doivent pas gâcher le beau verger, pour reprendre une image chère à Matthieu Ricard.

Dans le chapitre de votre livre consacré à Matthieu Ricard, le traducteur officiel du dalaï-lama, on apprend que ces deux hommes ont eu connaissance de cas de viols dans des temples bouddhistes, mais qu’ils se sont défaussés de leurs responsabilités. Ricard qualifie même ces faits de « potins de la commère ». Quels intérêts défend Matthieu Ricard lorsqu’il minore en ces termes la gravité des faits ?

Matthieu Ricard refuse absolument de s’exprimer sur ces sujets. Et lorsqu’il y est acculé, son argument est toujours le même : il n’occupe pas de fonction officielle dans le bouddhisme, son rôle n’est pas de dénoncer qui que ce soit, la charge en incombe aux disciples et à eux seuls. En s’abstenant d’intervenir malgré son statut de figure publique du bouddhisme, il défend sa propre réputation et celle de sa religion. Il respecte aussi un principe bouddhiste qui consiste à ne jamais dire du mal d’autres lamas, quelles que soient les circonstances.


"NOUS CONSTATONS QUE LES CENTRES ET LAMAS MIS EN CAUSE PAR LES VICTIMES SONT BIEN LOIN DU MEA CULPA."

Le dalaï-lama a-t-il été plus courageux ?

Il a été averti à maintes reprises des affaires qui gangrènent le bouddhisme en Occident. Il en existe une trace incontestable : en 1993, vingt maîtres occidentaux viennent le trouver à Dharamsala pour lui demander de publier un communiqué précisément à ce sujet. Les discussions sont filmées. Pour finir, une résolution commune a été rédigée à l’issue des rencontres… Sauf que le dalaï-lama ne l’a pas signée. Vingt-cinq ans plus tard, d’autres victimes l’ont sommé d’agir ; à nouveau, il leur fait des promesses, à nouveau, il se dédit.

Avez-vous fait l’objet de pressions au cours de votre enquête ?

Il est certain que l’enquête a été difficile. Le mot est passé dans les communautés que deux journalistes avaient entrepris une entreprise de « destruction du bouddhisme tibétain ». De manière ironique, les témoins qui nous ont parlé, dont beaucoup se disent encore bouddhistes eux-mêmes, considèrent au contraire que le fait d’exposer ces dérives relève plutôt du sauvetage que de la mise à mort.

Nous constatons que les centres et lamas mis en cause par les victimes sont bien loin du mea culpa. Ils ont fait pression sur Arte, qui diffuse notre film, en exigeant le retrait du documentaire de la plateforme de diffusion ou en exprimant leur intention d’aller en justice. Notre statut de journaliste et le droit à l’information nous protègent – c’est plus que peuvent en dire les victimes qui ont été ostracisées, harcelées et menacées lorsqu’elles ont eu le courage de prendre la parole.

Violence et abus sexuels dans les monastères bouddhistes

Matthieu Ricard dans son monastère (Shéchèn, au Népal).


Les monastères tibétains acceptent de très jeunes enfants comme novices (getsül). Ils reçoivent une éducation bouddhiste et deviennent moines (trapa) à l'âge adulte.

Une fois admis au monastère, les enfants ne sont pas autorisés à le quitter et à retourner à la vie laïque avant l'âge de 21 ans, âge auquel ils peuvent décider de la prise des vœux de moine pleinement ordonné. S'ils tentent de s'échapper et de retourner dans leur famille pour une raison quelconque, ils sont repris par les dob-dob (moines policiers) et renvoyés de force dans les monastères.

« Il est courant que les petits garçons subissent des abus sexuels et des viols pendant des années par les moines adultes », d'après des témoins et aussi des reportages (dès la fin des années 1990, la télévision américaine avait alerté l'opinion sur la violence subie par les moinillons bouddhistes).


Dans le film "Tulku" de Gesar Mukpo (un des fils de Chogyam Trungpa), un tulku hollandais, élevé en Inde et au Bhoutan, rapporte que les monastères sont des "cloaques" de haine, de jalousie, de violence et de maltraitance. En privé, il a dit à un ami commun qu'il était terrifié chaque nuit car il était à la merci de moines pédophiles.

Dans le film "Ma réincarnation", à propos de Namkhaï Norbu (célèbre lama enseignant le Dzogchen) et de son fils, Yeshi. Yeshi révèle la raison pour laquelle son père refusait de l'envoyer dans un monastère : Namkaï Norbu savait que son fils subirait la violence des moines plus âgés, même en tant que tulku privilégié.

Un autre tulku occidental rapporte que lorsqu'il était dans un monastère Guéloug, le viol des novices était routinier...

Les prédateurs sexuels se font moines bouddhistes. Dans les monastères tibétains du Népal et d'Inde, ils sont quasiment assurés de l'impunité, contrairement à d'autres pays. Ainsi, le moine bouddhiste Hans D. a été condamné par le tribunal d'Augsburg en Bavière pour avoir abusé de sept enfants, âgés de quatre à 13 ans. En Thaïlande, l'ancien moine bouddhiste Fabian Frederick Blandford a été reconnu coupable d'abus sexuels sur des mineurs. Etc...



Moinillons et esclaves sexuels du Bhoutan

Matthieu Ricard se rend régulièrement au Bhoutan, dit-il que le pays du "Bonheur National Brut" est lui aussi secoué par des scandales d'abus sexuels d'enfants ?

Après avoir fui leur monastère, ce sont les jeunes moines bouddhistes bhoutanais, agressés sexuellement par des moines plus âgés, qui rapportèrent eux-mêmes les faits aux journalistes.

Un moinillon de 11 ans dénonça au magazine "The Raven" les abus sexuels commis par un moine de 20 ans dans le monastère bouddhiste de Punakha, à environ 45 milles au nord-est de la capitale de Thimphu. L'enfant expliqua que lui et son ami de 12 ans étaient obligés de coucher à tour de rôle avec le lama supérieur du monastère.

Un vieux lama pédophile, de plus de 60 ans, molestait régulièrement non seulement les deux garçons, mais aussi deux autres moinillons, âgés de neuf et 11 ans.

Des mois après avoir été régulièrement maltraités, les deux garçons purent s'enfuir du monastère pour rejoindre leur village du district de Chukha, dans le sud-ouest du pays, où Sonam Ongmo, rédacteur en chef du magazine "The Raven", prit, lui, leur défense pendant que Matthieu Ricard faisait le cabot sur les plateaux de TV.

Chhoekey Penjor, chef adjoint de l'information à la Division des enfants de la Commission nationale des femmes et des enfants du gouvernement, affirma que les allégations des enfants étaient vraies et que "les mesures nécessaires avaient été prises"...






BONUS


Bouddhisme et violence

"D
e nombreux auteurs ont cherché à élaborer une théorie de la violence, souvent en la rapportant à d’autres phénomènes, comme le sacré ou le pouvoir. Ils nous montrent la violence à l’œuvre là où on ne la perçoit ordinairement pas, et nous obligent ainsi à la considérer sous un jour différent. Pierre Bourdieu, par exemple, nous conduit à dépasser la définition de la violence comme force physique, et à considérer la violence cachée, symbolique, qu’il définit comme le fait d’imposer des moyens arbitraires comme légitimes par l’intermédiaire de relations de pouvoir cachées. Cette définition est du coup si large qu’elle inclut pratiquement toute forme d’éducation, toute institution pédagogique. Elle a toutefois le mérite d’attirer l’attention sur la violence cachée derrière le fait d’imposer des significations comme légitimes, et sur la nature arbitraire de ces significations.

Une bonne part de la violence bouddhique (rituels de subjugation, formules imprécatoires, etc.) entre dans le cadre de cette violence symbolique. Parfois violence symbolique et violence physique se confondent, par exemple dans le cas des sacrifices animaux – que le bouddhisme dans l’ensemble récuse. Mais même lorsqu’il n’y a pas violence physique à proprement parler, les effets de la violence symbolique n’en sont pas moins bien réels.

Cette distinction recouvre en partie celle qui existe entre violence directe et indirecte. La première, la plus massive et la plus évidente, est avant tout la violence physique. La violence indirecte, quant à elle, peut prendre plusieurs formes, dont certaines sont parfois élusives. Signalons d’abord la violence théorique, doctrinale ou philosophique, qui dans certains cas débouche sur la violence physique. Viennent ensuite diverses formes de violence symbolique, telles qu’elles s’expriment notamment par la mythologie, l’iconographie, le rituel et les sermons. Le bouddhisme, religion de salut, est également une culture de la peur – même s’il ne peut se comparer sur ce plan au christianisme. Enfin, la violence structurelle ou institutionnelle est un effet de système qui passe souvent inaperçu de ceux qui la subissent. Définir comme on le fait parfois la violence comme « toute douleur ressentie comme infligée » laisse en suspens la violence euphémisée ou naturalisée, qui semble inscrite dans l’ordre des choses, alors qu’elle a des origines bien humaines. Le bouddhisme contribue à naturaliser la violence lorsqu’il y voit un effet du karma de l’individu qui la subit, plutôt que la responsabilité morale de l’individu ou de la collectivité qui en sont la source. Au reste, certaines formes de violence plus diffuses ne sont pas propres au bouddhisme en tant que doctrine, mais plutôt à l’organisation monastique. On peut du coup décrire la discipline (monastique ou militaire) comme une forme de violence institutionnalisée."


Bernard Faure, "Bouddhisme et violence".





mardi, septembre 13, 2022

Le sacrifice des enfants zouhris



"Les affaires de disparition d’enfants au Maroc sont parfois attribuées à des faits liés à la chasse au trésor. Ainsi, à l’image de la quête du Saint Graal, des chercheurs de trésors continueraient de recourir à des pratiques sataniques, allant même jusqu’à kidnapper ou sacrifier des enfants dits «zouhris» dans leurs quêtes", écrit le journaliste Yassine Benargane dans Yabiladi.

Maître d'une obédience maçonnique de rite égyptien située au Brésil, Pascal Treffainguy est bien informé en matière d'occultisme. Il est aussi Lama dans la lignée Kagyu du Vajrayana, le bouddhisme magique du Tibet. Pascal Treffainguy est l'auteur du texte, "Les Khazars aiment les trésors enfouis et les Edomites le paient de leur vie".




Les Khazars aiment les trésors enfouis et les Edomites le paient de leur vie


Retour sur un rituel cananéen de Shoah : l’égorgement des rouquins à la peau blanche (Edomites). On rapporte que des enfants de moins de 6 ans, portés disparus, ont été affreusement mutilés dans les régions rurales marocaines et algériennes où la sorcellerie, le charlatanisme et les actes sataniques de la magie noire ont jeté l’effroi au Maghreb. 

Les Fkihs pratiquent une magie noire pour retrouver ces trésors. Mais pour cela ils ont besoin des enfants zouhris. Ils estiment en effet que la découverte et l’exhumation de ces trésors cachés nécessite une offrande au Djinn-gardien afin qu’il parte et abandonne le trésor. La cérémonie d’exhumation de trésors se déroule en présence de plusieurs escrocs qui viennent généralement avec un croquis indiquant la description du lieu du trésor. Les Fkihs marocains appellent l’emplacement du trésor du terme « takyéda ». Commence alors le rituel magique qu’ils appellent « taâzima ». C’est une sorte de pacte satanique entre le fkih et le diable. Le but est d’appeler le djinn gardien du lieu pour ensuite le chasser et avoir accès au trésor.

Le rituel ce compose d’une série d’oraisons connues des seuls Fkihs Soussis. On prétend que ce sont les hébreux qui leur auraient apprises. Le djinn invoqué demande alors un enfant Zouhri en guise d’offrande. C’est à ce moment que les fkihs égorgent l’enfant sur le lieu du trésor imaginaire. La direction prise par l’écoulement du sang désigne l’emplacement exact du trésor.

A Adjelmous, des dizaines d’enfants ont été enlevés entre 1999 et 2003. On a retrouvé leurs corps mutilés dans la forêt toute proche, certainement drogués par les malfaiteurs pour être conduits vers le Maroc. Les enfants devaient-ils être eux aussi conduits à la clinique de Oujda ? On se rappelle qu’en mai 2008, les services de la gendarmerie de Maghnia avaient mis hors d’état de nuire un réseau de trafic international d’organes dans lequel était impliqué un ressortissant marocain, S. M., âgé de 30 ans, qui a tenté d’enlever un enfant de 2 ans à Maghnia et qui avoua, lors de son audition par les enquêteurs de la Gendarmerie algérienne, qu’il appartenait à un important réseau de trafic d’organes implanté à Oujda, au Maroc, où un certain Abdeljalil Amar les attendait pour transférer l’enfant dans une clinique privée. Selon D. Abdelkader, un trabendiste connu à Bab El Assa et très au fait de ce qui se passe à Oujda, « la clinique appartient à un juif (apostat), mais les enfants sont aussi enlevés pour leurs particularités physiques qu’on appelle les Zouhris que les ravisseurs vendent à des prix excessivement élevés. » L’un des enfants victimes a été retrouvé, selon les témoignages, sans les yeux. Ceci corrobore la thèse selon laquelle ces enfants roux aux yeux clairs sont aussi enlevés pour leurs organes, notamment la cornée.

Ces pratiques sont contraires au code pénal algérien et à la Loi islamique, excluant de la communauté musulmane comme juive ceux qui s'y compromettent avec le diable. Sources. 

Quant aux khazars qui ont apostasié le judaïsme et qui pourrissent la vie de nos frères israéliens, comme palestiniens, on remarque le rôle nauséabond joué avec sa marionnette Zelensky par un oligarque ukrainien : Ihor Kolomoïsky. Ce cavalier noir oligarque est revenu en force dans le pays à la faveur de l’élection de Volodymyr Zelensky. 

En 2016, l’Etat avait repris la main sur PrivatBank, son établissement bancaire frauduleux, après y avoir découvert un trou de 5,5 milliards de dollars. Depuis, Kolomoïsky s’est envolé avec le tiers des économies des Ukrainiens, pays originaire des Édomites orientaux, vers Israël puis Londres. 

Londres est un repère d'escrocs à l'usure bien connu, où des juifs et des chrétiens apostats pratiquent la magie noire avec des enfants, qu'ils violent et sacrifient à la Bête al-djassassa, "celle qui écoute". 

Entre Édomites et Khazars, c’est je t’aime moi - non plus, deux groupes rivaux au sein d’une même mafia destructrice à la source des trois guerres mondiales, obsédée par les trésors, les drogues et les meurtres d'enfants. 

La déchéance de l’occident finira par l’égorgement des Édomites, selon la prophétie rabbinique... un désastre atomique et chimique du type cancer de la gorge - thyroïde ? On nage dans les dessous nauséabonds du monde anglo-saxon, où l'on retrouve magie noire, pédocriminalité et chasse aux trésors.


Pascal Treffainguy.


lundi, septembre 12, 2022

Journalistes vendus – Comment les politiciens et la finance dirigent les médias de masse


France Télévision a diffusé dans son JT du 10 août une image d'une cheminée endommagée en la présentant comme un missile russe. Sur LCI, le journaliste Julien Arnaud et son équipe ont accusé la chaîne Russia One de relayer les images d’une prétendue fausse manifestation en France, qui a pourtant eu lieu.


Journalistes vendus 
Comment les politiciens et la finance 
dirigent les médias de masse


Le 
13 janvier 2017 est décédé Udo Ulfkotte (56 ans), journaliste allemand trop méconnu en France.

Udo Ulfkotte avait de graves problèmes cardiaques et savait depuis quelques années que son temps était compté. Il avait donc décidé de parler librement, de dénoncer tous les scandales dont il avait eu connaissance et de mettre en garde ses compatriotes.

En 2014, dans son livre intitulé « Gekaufte Journalisten – Wie Politiker, Geheimdienste und Hochfinanz Deutschlands Massenmedien lenken » (Journalistes vendus – Comment les politiciens et la finance dirigent les médias de masse), Udo Ulfkotte révèle que les journalistes sont à la solde de lobbies et d’intérêts étrangers.

Avec beaucoup de détails, Udo Ulfkotte explique l’ampleur de la désinformation et comment les médias dominants sont payés par des services secrets, l’OTAN, les États-Unis et des multinationales. Les journalistes qui veulent conserver leur emploi et faire carrière ne peuvent refuser. Lui-même raconte qu’il recevait des articles « tout faits » de services secrets américains et n’avait qu’à apposer sa signature et les faire paraître dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung.

Udo Ulfkotte affirmait également que le Mossad est responsable de multiples assassinats déguisés en morts naturelles et que les services secrets israéliens sont derrière les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises.

Brièvement converti à l’islam, Udo Ulfkotte en était revenu, dénonçant avec d’autant plus de vigueur l’immigration et l’islamisation de l’Allemagne.

Source 

Le livre d'Udo Ulfkotte en allemand
« Gekaufte Journalisten: Wie Politiker, Geheimdienste und Hochfinanz Deutschlands Massenmedien lenken ».

E
n anglais
« Journalists for Hire: How the CIA Buys the News ».

En France, la décomposition de la démocratie et l'ampleur de la corruption des journalistes ne permettent pas d'espérer une édition du livre d'Udo Ulfkotte en langue française. 



dimanche, septembre 11, 2022

Never Forget ...9-11 was an INSIDE JOB

 


Rummy, Cheney et consorts...

"Boum ! Boum ! Boum !"

 Vidéo.



Dans cet essai passionnant d’une grande richesse, fruit de trois années de recherches, Laurent Guyénot s’intéresse à « l’histoire profonde » des États-Unis durant ces cinquante dernières années. Par histoire profonde, il faut entendre les décisions et activités occultes qui déterminent les grands événements historiques. Cette histoire s’oppose souvent à l’histoire officielle, car elle est bien moins glorieuse et beaucoup plus « perverse ». Dans cette histoire de cinquante ans de manipulations de toutes sortes, Laurent Guyénot s’appuie sur les archives secrètes, les témoins et les « dénonciateurs » pour nous faire découvrir une autre réalité des faits.

De l’assassinat du président Kennedy, le 22 novembre 1963, jusqu’au 11 septembre 2001, Laurent Guyénot éclaire les grands événements de ces cinquante dernières années : la baie des Cochons, la Guerre froide, la guerre du Viêt Nam, Bush père et fils, l’Afghanistan, l’Irak, al-Qaïda…

Les règles de Laurent Guyénot sont la fluidité de la narration, l’exactitude et la précision. L’essentiel du livre est constitué de faits avérés et tous sourcés. Toute rumeur infondée a été exclue.

PDF gratuit ICI.


Introduction : 

Le sujet de ce livre est l’histoire profonde des États-Unis et de sa sphère d’influence durant les cinquante dernières années. Par « histoire profonde » (Deep History) ou « politique profonde » (Deep Politics), le politologue Peter Dale Scott entend les décisions et activités occultes qui déterminent les grands événements historiques, et tout particulièrement les conflits armés. 

L’histoire profonde s’appuie sur les documents secrets déclassifiés ou fuités et sur le journalisme d’investigation, plutôt que sur les rapports officiels ou les discours publics, pour expliquer les soubresauts de l’histoire. Elle inclut, mais ne se limite pas à l’histoire des services secrets (la communauté états-unienne du Renseignement comprend seize agences gouvernementales). Considérant que les événements déclencheurs de guerre retenus par la « grande histoire » sont presque toujours de faux prétextes, l’histoire profonde est nécessairement révisionniste. Elle est aussi pacifiste, puisqu’elle cherche à exposer à la lumière les vraies causes des guerres. Elle est menée par des investigateurs indignés plutôt que par les historiens de métier. Elle est « conspirationniste » si l’on entend par là qu’elle admet le rôle des complots et pactes secrets, des opérations d’infiltration et manipulation, des financements occultes et trafics d’influence, des guerres psychologiques et campagnes de désinformation, des opérations paramilitaires et clandestines, dans la marche du monde depuis le début de la Guerre froide, et de manière croissante depuis le 11-Septembre. En fait, seule l’histoire profonde permet d’expliquer le basculement du monde de la Guerre froide à la Guerre anti-terroriste, autrement dit du 20ème au 21ème siècle, car cette évolution résulte directement de l’action la plus secrète des États.

Une part importante de l’histoire profonde est consacrée aux « opérations sous fausse bannière » (false flag), par lesquelles un État feint une attaque ennemie pour justifier son entrée en guerre au nom de la légitime défense, auprès de sa propre opinion publique comme de la communauté internationale. Il s’agit pour l’agresseur de se faire passer pour l’agressé. 

L’histoire institutionnelle – écrite par les vainqueurs – accuse volontiers les nations vaincues de tels agissements : on sait qu’en 1931, lorsque l’armée japonaise décida d’envahir la Manchourie, elle dynamita ses propres rails de chemin de fer près de la base militaire de Mukden et accusa les Chinois de ce sabotage. On soupçonne aussi qu’en 1939, lorsqu’Hitler eut besoin d’un prétexte pour envahir la Pologne, il ordonna l’assaut de soldats et détenus allemands revêtus d’uniformes polonais sur l’avant-poste de Gleiwitz. Et l’on soupçonne qu’auparavant, en 1933, il avait fait incendier le palais du Reichstag pour accuser un « complot communiste » et suspendre les libertés individuelles. En revanche, les nations victorieuses parviennent plutôt bien à maintenir enfouis leurs propres mensonges et crimes de guerre. C’est le rôle de l’historien des profondeurs de les exhumer. 

L’histoire profonde est l’histoire de l’« État profond » (Deep State), par quoi l’on désigne les structures de pouvoir qui, dans les coulisses du spectacle politique, mettent en branle les grands mouvements de l’histoire. Bien qu’il ait toujours existé, l’État profond s’est renforcé dans les démocraties modernes (dans une dictature il se confond avec l’État public), en raison du besoin éprouvé par certaines forces de se retrancher hors du regard des citoyens et des sanctions électorales. L’État profond est hostile aux institutions démocratiques de l’État républicain. La transparence que revendique le second est l’ennemi du premier. Mais l’État profond cherche moins à détruire la démocratie qu’à en fixer les limites et l’influencer. Aux États- Unis, il a pris en cinquante ans le contrôle presque total de la politique étrangère, de sorte que toutes les actions directes ou indirectes des États-Unis dans le monde ont des causes cachées du grand public. ...



samedi, septembre 10, 2022

Le Royaume britannique et la pédocriminalité





Des relations existaient entre Buckingham Palace et l'animateur de la BBC Sir Jimmy Savile (1926-2011), un pédocriminel sataniste anobli par la reine Elisabeth II, décédée le 8 septembre 2022 au château de Balmoral.

En 1990, le pape Jean-Paul II décora Jimmy Savile de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand. (Selon la revue Chiesa Viva, fondée par l'abbé Don Luigi Villa, mandaté par le Padre Pio : "Le Vatican fourmille de prélats francs-maçons et de dignitaires satanistes. En outre, Chiesa Viva affirme : "L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, se déroula au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963...")

Michael Hoffman, auteur, entre autres, de "Secret Societies and Psychological Warfare", écrit :

En 1984, Savile a été accepté comme membre de l'Athenæum, un club de gentlemen de la haute société dans le quartier élitiste de Pall Mall à Londres, après avoir été proposé par le cardinal Basil Hume de l'Église de Rome.

Un autre ecclésiastique membre du réseau pédophile de Savile était l'évêque anglican de Gloucester, le révérend Peter Bell, qui avait des liens profonds avec la famille royale, notamment la reine Elisabeth et le prince Charles. Sir James Savile a rencontré le prince Charles grâce à des "intérêts caritatifs mutuels".

Le prince aurait transmis à Savile des cadeaux à l'occasion de son 80e anniversaire, accompagnés d'une note énigmatique disant: "Personne ne saura jamais ce que vous avez fait pour ce pays, Jimmy. C'est pour vous remercier pour cela."

Savile était également un ami proche de la Première ministre britannique Margaret Thatcher.

"Une correspondance montrant la profondeur de l'amitié entre Sir Jimmy Savile et l'ancienne Première ministre Margaret Thatcher est dévoilée aujourd'hui dans un dossier secret de Downing Street, qui a été fortement expurgé par des fonctionnaires à la suite de révélations sur les abus sexuels commis par le défunt artiste. Le dossier de 21 pages, publié sous la règle des 30 ans par les Archives nationales, montre l'extraordinaire accès de Savile aux plus hauts échelons de la société britannique."

"Thatcher et Savile se sont rencontrés assez souvent... Certains documents et sections du dossier gouvernemental sur les relations de Thatcher avec Savile restent soustraits à l'examen public pendant encore 10 ans."

Le Premier ministre Thatcher est soupçonné d'avoir dissimulé un réseau de viol d'enfants opérant parmi de hauts fonctionnaires du gouvernement britannique.

En 2017, Nico Hines, rédacteur en chef londonien du blog "Daily Beast" (thedailybeast.com), a rapporté ce qui suit :

Don Hale, "un éditeur de journal, a reçu des preuves surprenantes que le haut responsable de l'application des lois britannique savait qu'il y avait un réseau de pédophiles VIP à Westminster, au cœur du gouvernement britannique... Leon Brittan, le ministre de l'Intérieur de Margaret Thatcher, était pleinement conscients de l'existence de ce réseau pédophile qui comprenait des politiciens de haut niveau ... Le lendemain matin, des policiers de l'unité de lutte contre le terrorisme et de renseignement connue sous le nom de Special Branch ont fait irruption dans le bureau du journal, ont saisi le matériel et ont menacé de faire arrêter Hale s'il révélait un jour ce qui avait été trouvé. [...]

"... des allégations incluses dans les documents du ministère de l'Intérieur selon lesquelles environ 16 députés et membres de la Chambre des lords, et 30 personnalités de premier plan de l'Église d'Angleterre, des écoles privées et des grandes entreprises, étaient membres et défenseurs de "Pédophile Information Exchange", ce groupe de l'ombre s'exprimait parfois publiquement en faveur de la campagne pour que l'âge du consentement soit aboli et que l'inceste soit légalisé.

"... Il y a de plus en plus de preuves que le MI5 et le MI6, les services de sécurité britanniques, ont bloqué à plusieurs reprises les enquêtes... Le directeur adjoint de longue date du MI6 et ancien haut-commissaire au Canada, Peter Hayman, était lui-même prétendument un pédophile, et en dépit de cela a été nommé par Geoffrey Dickens. Peter Hayman avait été pris avec du matériel explicite en 1978 mais aucune accusation n'avait été portée contre lui.

"Des dossiers secrets découverts aux Archives nationales cette année ont révélé que le procureur général de l'époque pensait qu'il n'était pas dans l'intérêt public que Hayman soit poursuivi. Le Premier ministre Thatcher a ordonné que sa dépravation soit cachée au public. Thatcher devait également être au courant des allégations contre son ministre de l'Intérieur, Leon Brittan ... Un autre de ses lieutenants les plus fiables, Sir Peter Morrison, avait également abusé de garçons mineurs. Elle a nommé Morrison pour diriger sa campagne de réélection en 1990, malgré tout."

Source : Michael Hoffman https://www.revisionisthistory.org, relayé par H. Makow.


vendredi, septembre 09, 2022

Le programme de domination mondiale a été révélé en 1995


Septembre 2025, une boulangerie allemande : " Fermée en raison d'une insolvabilité pas immédiate mais l'énergie est chère et nous ne pouvons pas demander 7 euros pour un morceau de pain. Nous revenons au printemps. Ou peut-être pas."
Point 7 du programme révélé en 1995 : "(...) de plus en plus d'industries seront obligées de fermer leurs portes..." 
"Robert Habeck, le ministre allemand de l’économie a expliqué tranquillement que les artisans ne pourront pas survivre à l’augmentation des prix de l’énergie. Le Great Reset envisage des faillites en cascade des PME, seuls les grands groupes doivent survivre." (Vu sur Twitter)



Les 27 points du plan de domination mondiale

D'après le livre de Serge Monast
Les protocoles de Toronto

PDF gratuit ICI


La satisfaction des instincts

1. - Décupler la "Société des Loisirs" qui nous a été si profitable. En nous servant de l'invention du "Vidéo" que nous avons financé, et des jeux qui lui sont rattachés, finissons de pervertir la morale de la jeunesse. Offrons-lui la possibilité de satisfaire maintenant tous ses instincts. Un être possédé par ses sens, et esclave de ceux-ci, nous le savons, n'a ni idéal, ni force intérieure pour défendre quoi que ce soit. Il est un "Individualiste" par nature, et représente un candidat parfait que nous pouvons modeler aisément selon nos désirs et nos priorités. D'ailleurs, rappelez-vous avec quelle facilité nos prédécesseurs ont pu orienter toute la jeunesse allemande au début du siècle en se servant du désabusement de cette dernière !



L'écologie, un prétexte 

2. - Encourager la "Contestation Etudiante" pour toutes les causes rattachées à "l'Ecologie". La protection obligatoire de cette dernière sera un atout majeur le jour où nous aurons poussé les Etats-Nations à échanger leur "Dette Intérieure" contre la perte de 33 % de tous leurs territoires demeurés à l'état sauvage.


Enfermement de la jeunesse dans un monde virtuel

3. - Comblons le vide intérieur de cette jeunesse en l'initiant, dès son tout jeune âge, à l'univers des Ordinateurs. Utilisons, pour cela, son système d'éducation. Un esclave au service d'un autre esclave que nous contrôlons.


Libre-Echange International


4. - Sur un autre plan, établissons le "Libre-Echange International" comme étant une priorité absolue pour la survie économique des Etats-Nations. Cette nouvelle conception économique nous aidera à accélérer le déclin des "Nationalistes" de toutes les Nations; à les isoler en factions diverses, et au moment voulu, à les opposer farouchement les uns aux autres dans des guerres intestines qui achèveront de ruiner ces Nations.


Ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive 

5. - Pour nous assurer à tout prix de la réussite d'une telle entreprise, faisons en sorte que nos Agents déjà infiltrés dans les Ministères des Affaires Intergouvernementales et de l'Immigration des Etats-Nations fassent modifier en profondeur les Lois de ces Ministères. Ces modifications viseront essentiellement à ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive à l'intérieur de leurs frontières (immigrations que nous aurons d'ailleurs provoquées en ayant pris soin de faire éclater, ici et là, de nouveaux conflits locaux). Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l'opinion publique des Etats-Nations ciblées, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet, de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l'intérieur de leur territoire. 

Nous verrons à faire en sorte que des groupes d'extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d'immigrants ; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées.


Chômage de masse

6. - Ce "Libre-Echange" qui, en réalité, n'en est pas un car il est déjà contrôlé par nous tout au sommet de la hiérarchie économique, noyautons-le en "Trois Commissions Latérales": [celle de l'Asie, celle de l'Amérique, celle de l'Europe]. Il nous apportera la discorde à l'intérieur des Etats-Nations par la hausse du chômage relié aux restructurations de nos Multinationales.


Paupérisation et main-d'œuvre-esclave 

7. - Transférons lentement, mais sûrement, nos multinationales dans de nouveaux pays acquis à l'idée de "l'Economie de Marché", tels les pays de l'Est de l'Europe, en Russie et en Chine par exemple. Nous nous fichons bien, pour l'instant, si leur population représente ou non un vaste bassin de nouveaux consommateurs. Ce qui nous intéresse, c'est d'avoir accès, en premier lieu, à une "Main-d'œuvre-Esclave" (à bon marché et non syndiquée) que nous offrent ces pays et ceux du Tiers-monde. D'ailleurs, leurs gouvernements ne sont-ils pas mis en place par nous ? Ne font-ils pas appel à l'aide étrangère, et aux prêts de notre "Fond Monétaire International" et de notre "Banque Mondiale" ? Ces transferts offrent plusieurs avantages pour nous. Ils contribuent à entretenir ces nouvelles populations dans l'illusion d'une "Libération Economique", d'une "Liberté Politique" alors qu'en réalité, nous les dominerons par l'appétit du gain et un endettement dont ils ne pourront jamais s'acquitter. Quant aux populations occidentales, elles seront entretenues dans le rêve du [Bien-Etre Economique] car les produits importés de ces pays ne subiront aucune hausse de prix. Par contre, sans qu'elles s'en aperçoivent au début, de plus en plus d'industries seront obligées de fermer leurs portes à cause des transferts que nous aurons effectués hors des pays occidentaux. Ces fermetures augmenteront le chômage, et apporteront des pertes importantes de revenus pour les Etats-Nations.


Economie mondialisée 

8. - Ainsi nous mettrons sur pied une "Economie Globale" à l'échelle mondiale qui échappera totalement au contrôle des Etats-Nations. Cette nouvelle économie sera au-dessus de tout ; aucune pression politique ou syndicale ne pourra avoir de pouvoir sur elle. Elle dictera ses propres "Politiques Mondiales", et obligera à une réorganisation politique, mais selon nos priorités à l'échelle mondiale.


Contrôle international de la Télévision et de tous les Médias

9. - Par cette "Economie Indépendante" n'ayant de Lois que nos Lois, nous établirons une "Culture de Masse Mondiale". Par le contrôle international de la Télévision, des Médias, nous instituerons une "Nouvelle Culture", mais nivelée, uniforme pour tous, sans qu'aucune "Création" future ne nous échappe. Les artistes futurs seront à notre image ou bien ne pourront survivre. Fini donc ce temps où des "Créations Culturelles Indépendantes" mettaient à tout moment en péril nos projets mondialistes comme cela fut si souvent le cas dans le passé.



Domination mondiale par la force

10. - Par cette même économie, il nous sera alors possible de nous servir des forces militaires des Etats-Nations (telles celles des Etats-Unis) dans des buts humanitaires. En réalité, ces "Forces" nous serviront à soumettre des pays récalcitrants à notre volonté. Ainsi les pays du Tiers-Monde et d'autres semblables à eux ne pourront pas être en mesure d'échapper à notre volonté de nous servir de leur population comme main-d'œuvre-esclave.



Système économique aliénant 

11. - Pour contrôler le marché mondial, nous devrons détourner la productivité de son but premier (libérer l'homme de la dureté du travail). Nous l'orienterons en fonction de la retourner contre l'homme en asservissant ce dernier à notre système économique où il n'aura pas le choix de devenir notre esclave, et même un futur criminel.

Précariser les peuples 

12. - Tous ces transferts à l'étranger de nos Multinationales, et la réorganisation mondiale de l'économie auront pour but, entre autres, de faire grimper le chômage dans les pays occidentaux. Cette situation sera d'autant plus réalisable parce qu'au départ, nous aurons privilégié l'importation massive des produits de base à l'intérieur des Etats-Nations et, du même coup, nous aurons surchargé ces Etats par l'emploi exagéré de leur population à la production de services qu'ils ne pourront plus payer. Ces conditions extrêmes multiplieront par millions les masses d'assistés sociaux de tous genres, d'illettrés, de sans abris.



Détruire le tissu social 

13. - Par des pertes de millions d'emplois dans le secteur primaire; à même les évasions déguisées de capitaux étrangers hors des Etats-Nations, il nous sera ainsi possible de mettre en danger de mort l'harmonie sociale par le spectre de la guerre civile.


Utiliser la dette nationale pour plus d'austérité

14. - Ces manipulations internationales des gouvernements et des populations des Etats-Nations nous fourniront le prétexte d'utiliser notre F.M.I. pour pousser les gouvernements occidentaux à mettre en place des "Budgets d'Austérité" sous le couvercle de la réduction illusoire de leur "Dette Nationale"; de la conservation hypothétique de leur "Cote de Crédit Internationale"; de la préservation impossible de la "Paix Sociale".


Contrôle mondial de l'économie

15. - Par ces "Mesures Budgétaires d'Urgence", nous briserons ainsi le financement des Etats-Nations pour tous leurs "Méga-Projets" qui représentent une menace directe à notre contrôle mondial de l'économie.

Toujours plus de dépendance 

16. - D'ailleurs toutes ces mesures d'austérité nous permettront de briser les volontés nationales de structures modernes dans les domaines de l'Energie, de l'Agriculture, du Transport et des Technologies nouvelles.



Instauration partout d'une "Technologie de Contrôle"

17. - Ces mêmes mesures nous offriront l'occasion rêvée d'instaurer notre "Idéologie de la Compétition Economique". Celle-ci se traduira, à l'intérieur des Etats-Nations, par la réduction volontaire des salaires, les départs volontaires avec [Remises de Médailles pour Services rendus]; ce qui nous ouvrira les portes à l'instauration partout de notre "Technologie de Contrôle". Dans cette perspective, tous ces départs seront remplacés par des "Ordinateurs" à notre service.



Forces de répression dépourvues de conscience morale

18. - Ces transformations sociales nous aideront à changer en profondeur la main d'œuvre "Policière et Militaire" des Etats-Nations. Sous le prétexte des nécessités du moment, et sans éveiller de soupçons, nous nous débarrasserons une fois pour toutes de tous les individus ayant une "Conscience Judéo-Chrétienne". Cette "Restructuration des Corps Policiers et Militaires" nous permettra de limoger sans contestation, le personnel âgé, de même que tous les éléments ne véhiculant par nos principes mondialistes. Ceux-ci seront remplacés par de jeunes recrues dépourvues de "Conscience et de Morale", et déjà toutes entraînées, et favorables à l'usage inconsidéré de notre "Technologie de Réseaux Electroniques".



L'ONU

19. - Dans un même temps, et toujours sous le prétexte de "Coupures Budgétaires", nous veillerons au transfert des bases militaires des Etats-Nations vers l'Organisation des Nations-Unies.


Démilitarisation des Etats-nations

20. - Dans cette perspective, nous travaillerons à la réorganisation du "Mandat International des Nations-Unies". De "Force de Paix" sans pouvoir décisionnel, nous l'amènerons à devenir une "Force d'Intervention" où seront fondues, en un tout homogène, les forces militaires des Etats-Nations. Ceci nous permettra d'effectuer, sans combat, la démilitarisation de tous ces Etats de manière à ce qu'aucun d'entre eux, dans l'avenir, ne soient suffisamment puissants (indépendants) pour remettre en question notre "Pouvoir Mondial".


"Force Multi-Nationale" sous les ordres de l'oligarchie mondialiste

21. - Pour accélérer ce processus de transfert, nous impliquerons la force actuelle des Nations-Unies dans des conflits impossibles à régler. De cette manière, et avec l'aide des Médias que nous contrôlons, nous montrerons aux populations l'impuissance et l'inutilité de cette "Force" dans sa forme actuelle. La frustration aidant, et poussée à son paroxysme au moment voulu, poussera les populations des Etats-Nations à supplier les instances internationales de former une telle "Force Multi-Nationale" au plus tôt afin de protéger à tout prix la "Paix".



Une force multinationale de répression des populations 


22. - L'apparition prochaine de cette volonté mondiale d'une "Force Militaire Multi-Nationale" ira de pair avec l'instauration, à l'intérieur des Etats-Nations, d'une "Force d'Intervention Multi-Juridictionnelle". Cette combinaison des "Effectifs Policiers et Militaires", créée à même le prétexte de l'augmentation de l'instabilité politique et sociale grandissante à l'intérieur de ces Etats croulant sous le fardeau des problèmes économiques, nous permettra de mieux contrôler les populations occidentales. Ici, l'utilisation à outrance de l'identification et du fichage électronique des individus nous fournira une surveillance complète de toutes les populations visées.



Fichage et injustice généralisés 

23. - Cette réorganisation policière et militaire intérieure et extérieure des Etats-Nations permettra de faire converger le tout vers l'obligation de la mise en place d'un "Centre Mondial Judiciaire". Ce "Centre" permettra aux différents "Corps Policiers des Etats-Nations" d'avoir rapidement accès à des "Banques de Données" sur tous les individus potentiellement dangereux pour nous sur la planète. L'image d'une meilleure efficacité judiciaire, et les liens de plus en plus étroits créés et entretenus avec le "Militaire", nous aideront à mettre en valeur la nécessité d'un "Tribunal International" doublé d'un "Système Judiciaire Mondial"; l'un pour les affaires civiles et criminelles individuelles, et l'autre pour les Nations.



Suppression des armes de défense en créant un climat de terreur 

24. - Au cours de la croissance acceptée par tous de ces nouvelles nécessités, il sera impérieux pour nous de compléter au plus tôt le contrôle mondial des armes à feu à l'intérieur des territoires des Etats-Nations. Pour ce faire, nous accélérerons le "PLAN ALPHA" mis en œuvre au cours des années 60 par certains de nos prédécesseurs. Ce "Plan" à l'origine visait deux objectifs qui sont demeurés les mêmes encore aujourd'hui: Par l'intervention de "Tireurs fous", créer un climat d'insécurité dans les populations pour amener à un contrôle plus serré des armes à feu. Orienter les actes de violence de manière à en faire porter la responsabilité par des extrémistes religieux, ou des personnes affiliées à des allégeances religieuses de tendance "Traditionnelle", ou encore, des personnes prétendant avoir des communications privilégiées avec Dieu.

Aujourd'hui, afin d'accélérer ce "Contrôle des Armes à Feu", nous pourrons utiliser la "Chute des Conditions Economiques" des Etats-Nations qui entraînera avec elle, une déstabilisation complète du Social; donc augmentation de la violence. Je n'ai pas besoin de vous rappeler, ni de vous démontrer, Frères, les fondements de ce "Contrôle" des armes à feu. Sans celui-ci, il deviendrait presque impossible pour nous de mettre à genoux les populations des Etats visés.

Rappelez-vous avec quel succès nos prédécesseurs ont pu contrôler l'Allemagne de 1930 avec les nouvelles "Lois" mises en application à l'époque; Lois d'ailleurs sur lesquelles sont fondées les Lois actuelles des Etats-Nations pour ce même contrôle.


"Armes Electro-Magnétiques", empoisonnement chimique de la nature et des produits alimentaires

25. - Les dernières "Etapes" se rapportent à la "PHASE OMEGA" expérimentée à partir des expérimentations effectuées au début des années 70. Elles renferment la mise en application, à l'échelle mondiale, des "Armes Electro-Magnétiques". Les "Changements de Climat" entraînant la destruction des récoltes ; la faillite dans ces conditions, des terres agricoles; la dénaturation, par moyens artificiels, des produits alimentaires de consommation courante; l'empoisonnement de la nature par une exploitation exagérée et inconsidérée, et l'utilisation massive de produits chimiques dans l'agriculture; tout cela, Frères, mènera à la ruine assurée des industries alimentaires des Etats-Nations. L'avenir du "Contrôle des Populations" de ces Etats passe obligatoirement par le contrôle absolu, par nous, de la production alimentaire à l'échelle mondiale, et par la prise de contrôle des principales "Routes Alimentaires" de la planète. Pour ce faire, il est nécessaire d'utiliser l'Electro-Magnétique, entre autre, pour déstabiliser les climats des Etats les plus productifs sur le plan agricole. Quant à l'empoisonnement de la nature, elle sera d'autant plus accélérée que l'augmentation des populations l'y poussera sans restriction.


Usage d'une technologie provoquant des tremblements de terre 

26. - L'utilisation de l'Electro-Magnétique pour provoquer des "Tremblements de Terre" dans les régions industrielles les plus importantes des Etats-Nations contribuera à accélérer la "Chute Economique" des Etats les plus menaçants pour nous; de même qu'à amplifier l'obligation de la mise en place de notre Nouvel Ordre Mondial.



La domination par la désinformation, le mensonge, l'hypocrisie et l'individualisme 

27. - Qui pourra nous soupçonner ? Qui pourra se douter des moyens utilisés ? Ceux qui oseront se dresser contre nous en diffusant de l'information quant à l'existence et au contenu de notre "Conspiration", deviendront suspects aux yeux des autorités de leur Nation et de leur population. Grâce à la désinformation, au mensonge, à l'hypocrisie et à l'individualisme que nous avons créé au sein des peuples des Etats-Nations, l'Homme est devenu un Ennemi pour l'Homme.

Ainsi ces "Individus Indépendants" qui sont des plus dangereux pour nous justement à cause de leur "Liberté", seront considérés par leurs semblables comme étant des ennemis et non des libérateurs. L'esclavage des enfants, le pillage des richesses du Tiers-Monde, le chômage, la propagande pour la libération de la drogue, l'abrutissement de la jeunesse des Nations, l'idéologie du "Respect de la Liberté Individuelle" diffusée au sein des Eglises Judéo-Chrétiennes et à l'intérieur des Etats-Nations, l'obscurantisme considéré comme une base de la fierté, les conflits inter-ethniques, et notre dernière réalisation: "les Restrictions Budgétaires"; tout cela nous permet enfin de voir l'accomplissement ancestral de notre "Rêve": celui de l'instauration de notre "NOUVEL ORDRE MONDIAL".





Serge Monast


Fin juin de 1967 marque les derniers préparatifs de la mise au point du plan de la "chute des nations" par les hautes instances de la franc-maçonnerie anglo-saxonne à Toronto (Canada). Cette réunion secrète, hautement confidentielle, est organisée par les "6.6.6." (comme ils se nomment eux-mêmes), ceux qui dirigent les 6 plus grandes banques mondiales, les 6 plus grands consortiums énergétiques de la planète (dont le pétrole), et les 6 plus grands consortiums de l'agro-alimentaire (dont le contrôle des principales routes alimentaires du monde). Ces 6.6.6., étant les plus hauts responsables de la finance internationale, vont définir, à l'intérieur de leur réunion, une "stratégie commune" en vue de la mainmise absolue sur le "commerce mondial" ; sur la possession de l'arme énergétique (porte ouverte sur le XXIe siècle) ; et sur le contrôle international de l'agroalimentaire (lequel comprend aussi, pour eux, les consortiums pharmaceutiques comprenant, à leur tour, le marché mondial des "vitamines" et des "vaccins"). 

Dans cet ouvrage, Serge Monast nous dévoile deux documents explosifs et confidentiels s'intitulant "Panem et circenses" (rapport officiel de juin 1967 des 6.6.6. sur le projet du "génocide du vital au profit du rentable occulte") & "l'Aurore rouge" (rapport officiel de juin 1985 des 6.6.6. visant en 27 protocoles, au contrôle total de la planète par la main-mise sur le F.M.I., le G.A.T.T., la commission de Bruxelles, l'OTAN, l'O.N.U., ainsi que d'autres organismes internationales. À la révision des événements survenus depuis les vingt-cinq dernières années, il apparaît que le scénario décrit dans ces deux documents confidentiels nous permet de mieux comprendre ce qui, jusqu'à aujourd'hui, paraissait des plus incompréhensibles à plus d'un.

jeudi, septembre 08, 2022

Pourquoi l'ONU accélère-t-elle l'Agenda 2030 ?



Le 4 mai 2022, Klaus Schwab du Forum économique mondial et le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres ont signé un accord pour accélérer l'Agenda 2030.

L'agenda 2030 est un programme mondial pour le développement durable qui passe par la taxe carbone, l'interdiction des énergies jugées polluantes, le passeport énergétique, l'identité numérique...

En raison du prix de l'énergie, entre autres, l'Union européenne est maintenant entrée dans une phase de destruction de l'économie et d'appauvrissement des populations.


2030 selon la cyclologie traditionnelle

Par Charles Ridoux

Cette date de 2030 ou 2031 a été avancée, ici et là, comme devant marquer, selon diverses traditions, la fin du cycle actuel. A cette date Gaston Georgel consacre un chapitre de son dernier ouvrage, "Le Cycle Judéo-Chrétien", et Jean Phaure en traite également dans son "Cycle de l’Humanité Adamique". Dans l’avant-propos de son "Cycle Judéo-Chrétien", Gaston Georgel définit en ces termes son objectif :

"Le but du présent ouvrage est de montrer, ou mieux de prouver, que le cycle christique, c’est-à-dire la durée totale de la vie de l’Église depuis la Pentecôte jusqu’à la Parousie, soit 2000 ans, s’insère très exactement dans le déroulement de l’histoire de la présente humanité dont il constitue en quelque sorte, d’une façon non pas approximative, mais extrêmement précise, le sceau ou le couronnement, réalisant ainsi les promesses du cycle juif antérieur."

S’appuyant sur les Évangiles, qui mettent en rapport la Crucifixion de Jésus le Vendredi Saint, puis la destruction de Jérusalem quarante ans plus tard, et enfin la destruction de Rome et le Jugement dernier à la fin des temps, Gaston Georgel affecte au cycle christique une durée de 2000 ans (à partir de la Crucifixion). Il évoque l’hypothèse du cardinal Nicolas de Cues, qui, à partir du nombre jubilaire 50 (dans lequel saint Augustin voyait la « perfection de la récompense ») proposait une durée de 2500 ans (50 x 50). Ce nombre est associé à la Pentecôte (cinquante jours après Pâques – alors que l’Ascension se situe quarante jours après Pâques, nombre de l’épreuve) ainsi qu’au jubilé juif au terme duquel les dettes étaient remises et les prisonniers rendus à la liberté, ce qui symbolisait le retour de l’Age d’Or. Gaston Georgel assimile ainsi le cycle christique tout entier à un grand jubilé de cinquante fois quarante ans. Notons qu’au début du cycle, 40 ans après la Crucifixion a lieu la destruction de Jérusalem (en l’an 70). A la fin du cycle, 40 ans avant 2030 nous avons la Chute du Mur de Berlin - et la clôture des 72 ans du Jour de Yahvé.

Puis Gaston Georgel évoque la célèbre prophétie des Papes, dite aussi Prophétie de saint Malachie, à laquelle Raoul Auclair a consacré un de ses livres (paru en 1969). On sait que ce texte, attribué à saint Malachie, contemporain et disciple de saint Bernard, énumère, à partir de Célestin II (1143-1144), une liste de cent onze devises papales successives. Le précédent pape, Jean-Paul II était associé à la devise "De labore solis", et le pape actuel, Benoît XVI à la devise "De gloria olivae". Après devrait régner Pierre le Romain, qui sera le dernier pontife de l’histoire. Une série de médaillons présente la suite des pontifes romains au haut d’une frise qui fait le tour du vaste quadrilatère de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs à Rome ; il était très impressionnant de voir, tout à la fin du pontificat de Jean-Paul II, les deux dernières places encore vides… Raoul Auclair a mis en évidence que la 73e devise ("Axis in medietate signi") indique le milieu chronologique de la prophétie ; cette devise est associé à Sixte Quint, dont le milieu du règne tombe en 1587. Entre le départ de la prophétie (1143) et 1587, il s’est écoulé 444 ans ( 4 x 111 ans) ; on peut en conclure que la fin doit se situer 444 ans après 1587, soit en 2031.

Une autre source, citée par Gaston Georgel, provient du fond de l’Asie et a été transmise par un livre étonnant de Ferdinand Ossendowski intitulé "Bêtes, Hommes et Dieux". Le passage de l’auteur en France avait donné lieu, en 1924 à un table ronde organisée par le journaliste Frédéric Lefèvre, réunissant René Grousset, un historien spécialiste de l’Asie, le philosophe néo-thomiste Jacques Maritain et René Guénon, qui avait déjà publié son "Introduction aux doctrines hindoues" et dont venait de sortir un ouvrage intitulé "Orient et Occident". L’ouvrage d’Ossendowski relate une « Prophétie du Roi du Monde », datée de 1891 – l’année de la dernière conjonction NE-PL – selon laquelle :

" …Dans la cinquantième année [après 1891], trois grands royaumes seulement apparaîtront, qui vivront heureux pendant soixante et onze ans. Ensuite il y aura dix-huit ans de guerres et de destructions. Alors les peuples d’Agartha sortiront de leurs cavernes souterraines et apparaîtront sur la surface de la terre."

Une simple addition des chiffres conduit une fois encore à la date fatale de 2030 (1891 + 50 + 71 + 18). On pourrait sans doute associer les « trois royaumes » qui apparaissent en 1941 aux trois puissances qui vont dominer le monde à partir de la Seconde Guerre mondiale (États-Unis, Russie, Chine). Les 18 ans de guerres et de destructions devraient commencer, selon cette prophétie, en 2012, au moment du carré UR-PL. Certes, il y a autour du personnage d’Ossendowski beaucoup d’ombres et d’ambiguïtés, mais il se peut qu’il ait été néanmoins un vecteur de transmission de données traditionnelles à un moment où le « sceau de la prophétie » était appelé à être ouvert.

Enfin, Gaston Georgel évoque une étude de René Guénon consacrée à la tradition atlantéenne, où ce dernier apporte des précisions relatives à la date de l’effondrement de l’Atlantide :

"Quant au cataclysme qui y mit fin, certaines données concordantes semblent indiquer qu’il eut lieu sept mille deux cents ans avant l’année 720 du Kali-Yuga, année qui est elle-même le point de départ d’une ère connue, mais dont ceux qui l’emploient encore actuellement ne semblent plus savoir l’origine ni la signification."

Gaston Georgel explique que « l’ère connue » dont parle René Guénon serait l’ère juive, dont le début est situé à la date de 3761 av. J.-C.

"Si ceci était exact, le Kali-Yuga aurait commencé en 720 + 3761 = 4481, et devrait en conséquence se terminer en 6480 – 4481 + 1 = 2000 (ap. J.-C.). On peut affirmer que l’an 2000 est une date trop rapprochée, compte tenu de certains « signes des temps », il convient donc de rechercher à quoi pourrait correspondre du point de vue de la tradition juive cet an 2000."

Ayant commencé par un cycle de 720 ans, le Kali-Yuga – dont la durée de 6480 ans comporte neuf cycles de 720 ans – devrait également s’achever sur cycle semblable, ce qui met en valeur la date de 1310 (2030-720), juste au moment de la destruction des Templiers. Précisons enfin que Gaston Georgel présente comme « théorique » la date de 2030, estimant que la date réelle, concrète, serait plutôt 2028, correspondant à 2000 ans après le début de la vie publique de Jésus et à 111 ans après la date cruciale de 1917. [...]

Il se trouve que, lors du stage de Laval de 1994, nous avions interprété l’année 1989 comme marquant le passage du « relais » entre les deux entités qui sont désignées dans l’Apocalypse de saint Jean comme la « Bête de la Mer » et la « Bête de la Terre ». Voici ce que nous soumettions alors à la réflexion des participants à ce stage :

Méditant sur le temps qui paraît devoir être imparti à la Bête de la Terre, déjà en train de prendre le relais de la Bête de la Mer, nous avons remarqué qu'entre 1989 - fin du temps de la Bête de la Mer qui a régné 72 ans depuis 1917 - et la date avancée de 2031, il s'écoule une durée de 42 ans, nombre cyclique fondamental, en particulier dans l'Apocalypse. Nous avons donc risqué l'hypothèse que nous vous livrons aujourd'hui, avec crainte et tremblement : la période qui s'étend devant nous jusqu'à la fin du cycle, aux alentours de 2031, peut être considérée comme un « Supplément de tribulation » de 42 ans venant s'ajouter au « Jour de Yahveh » de 72 ans, cette dernière phase étant dévolue au règne de la « Bête de la Terre » venant prendre le relais de la « Bête de la Mer ».

Il nous était alors aussi venu à l’esprit de prendre en considération la période globale de 114 ans entre 1917 et 2031. Le centre tombe sur 1974, année de la crise pétrolière faisant suite à la guerre du Kippour en 1973. Malgré l’implication d’Israël dans cette scansion, il ne nous apparaissait pas, à première vue, que cette date soit parmi les plus marquantes du siècle. En revanche, une coupure de la période en trois phases de 38 ans chacune amenait à évoquer le cycle des Nœuds lunaires, et nous pouvons observer que ces phases sont rythmées par la conjonction de l’axe des Nœuds lunaires à l’axe du Centre galactique (de 25°30 à 26°30 du Sagittaire). Ce qui donne comme jalons les années 1955 et 1993. Notre conclusion portait enfin sur les thèmes harmoniques de 1996 et de 2026 et sur la période de 30 ans + 3 ans ½ qui conduit à 2031 :

Si l'année 2010 semble devoir être une échéance importante et chargée dans le cheminement vers la fin du cycle, deux dates ressortent, en revanche, par leurs splendides harmoniques : 1997 et 2026. A première vue, ces harmoniques devraient présager plutôt d'heureux événements. Mais si nous gardons à l'esprit qu'en fin de cycle toutes choses obéissent à une logique de l'inversion, il n'est peut-être pas excessif, compte tenu des nombres cycliques éveillés par ces deux dates - 30 ans de 1996 à 2026, trois ans et demi de 2026 à 2031... - d'y lire la possibilité d'une manifestation « à rebours ». C'est là, et encore une fois à titre de pure hypothèse, une réponse voilée à certaines questions relatives au thème de l'Antéchrist.

On ne saurait évoquer la fin d’un cycle sans d’abord préciser de quel cycle cette fin marque le terme. Des deux auteurs que nous avons pris pour guides dans cette exploration, Raoul Auclair et Gaston Georgel, il apparaît que le premier se limite au cycle de 7 000 ans (« Notre Génération ») et qu’il situe le moment crucial prochain comme devant être celui qui fait passer le monde du Sixième au Septième Jour de ce cycle. La perspective de Gaston Georgel, qui s’appuie sur l’enseignement de René Guénon en matière de cyclologie traditionnelle, est infiniment plus vaste, puisque la fin dont il est ici question est celle d’un Manvantara de 64 800 ans. Gaston Georgel le précise à la fin de son Cycle Judéo-Chrétien :

"Cette dernière période, le Cycle moderne, n’appartient pas seulement à l’histoire du judéo-christianisme, mais également à celle de notre actuel Manvantara (durée de 64 800 ans), dont il constitue précisément et très exactement la dernière phase, puisque l’Age sombre (6480 ans) se divise naturellement en trois « années cosmiques » de 2160 ans chacune, la dernière, ou cycle de César (60 av. J.-C. – 2030 ap. J.-C. environ) se subdivisant à son tour en trois phases de 720 ans dont la troisième (1310-2030) s’identifie avec le Cycle moderne."

Mais, aussi bien Raoul Auclair que René Guénon lui-même insistent à plusieurs reprises sur le fait que la fin d’un cycle, aussi vaste fût-il, ne signifie pas la Fin du monde : elle n’apparaît comme telle que pour ceux qui ne voient rien au-delà du cycle actuel en cours d’achèvement. René Guénon précise cependant le caractère particulier de la fin du Manvantara :

"[La fin] que nous envisageons ici a incontestablement une portée plus considérable que beaucoup d’autres, puisqu’elle est la fin d’un Manvantara tout entier, c’est-à-dire de l’existence temporelle de ce qu’on peut appeler proprement une humanité, ce qui, encore une fois, ne veut nullement dire qu’elle soit la fin du monde terrestre lui-même, puisque, par le « redressement » qui s’opère au moment ultime, cette fin même deviendra immédiatement le commencement d’un autre Manvantara."

René Guénon ne manque pas, toutefois, de souligner avec force que le prochain Manvantara est séparé de notre époque par une « barrière » infranchissable, et que cela n’a rien à voir avec les élucubrations des idéologues du New Age qui attendent l’Ère du Verseau comme un simple prolongement de l’époque actuelle. "Le Règne de la quantité et les signes des temps" s’achève d’ailleurs sur des considérations relatives au double aspect « bénéfique » et « maléfique » sous lequel se présente la marche du monde en tant que manifestation cyclique. La manifestation prise en elle-même apparaîtra comme une descente et une dégradation progressive (du simple fait de l’éloignement du Principe qui en est à l’origine) ; mais replacée dans l’ensemble de l’existence universelle, elle produit des résultats positifs qui sont intégrés eux-mêmes dans le cadre d’un autre cycle de manifestation.

Source : http://www.ridoux.fr/p/0-rct-as.html


"L'Occident moderne est la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde"

Une performance d'art moderne occidental : Être traîné avec une bougie dans l'anus sur un sol inondé et sale. La Russie est en train...