mercredi, novembre 23, 2022

"Salauds de pauvres !"


 
Les autorités canadiennes auraient donné leur feu vert pour qu'une femme de 32 ans soit envoyée à la mort en raison de ses revenus extrêmement bas.


L’évangile de la prospérité


L’évangile de la prospérité anathématise les miséreux et toutes les victimes du nouveau féodalisme mondial imposé par d'ultrariches "saigneurs".

Dans des assemblées évangéliques des prédicateurs hurlent : "Dieu vous veut riche, très riche !"

Les prêcheurs s’indignent contre la misère. Mais ce n’est pas pour dénoncer l’iniquité d’un système qui fait la part belle aux exploiteurs. Au contraire, ils accablent les millions de victimes de l'horreur économique en martelant : "La pauvreté, la maladie, l’épreuve proviennent du péché ou de Satan !"

L’évangile de la prospérité arrive à point nommé. Son expansion permet d’étouffer les voix des croyants devant le scandale de la nouvelle misère. Les campements d’indigents n’offusquent pas cette sorte de chrétiens. Convaincus par de riches pasteurs qui n’hésitent pas à triturer les textes bibliques, ces chrétiens ne sont soucieux que de plaire à Yahvé-Mammon et de recevoir ses somptueuses faveurs. 

Dès 1923, le pasteur E.W. Kenyon (1867-1948) se lança dans la promotion d’un nouveau christianisme. C’est lui le véritable père du mouvement qui se réclame de l’évangile de la prospérité. 

Selon le pasteur Simon Mvondo, doyen de la Faculté de Théologie Biblique du Cameroun à Yaoundé : 

Cet évangile se caractérise de deux manières. D’un côté, le chrétien doit posséder des richesses financières et matérielles qui sont, au dire des défenseurs de cet évangile, un signe de la bénédiction de Dieu. 

Ainsi, un chrétien qui manque d’argent ou de biens matériels est considéré comme placé sous la malédiction de Dieu. Les adeptes de cet évangile recherchent des postes à grande responsabilité dans les lieux de service. Celui qui n’accède pas à ces postes à responsabilité n’est pas content de son sort. Alors il doit consulter son pasteur, son apôtre ou son prophète pour faire confession de péchés qui se cacheraient dans sa vie et adresser des prières à Dieu. 

D’un autre côté, le chrétien doit être en bonne santé et ne pas souffrir de persécution ou de quelque problème que ce soit. D’où les prières de guérison et de délivrance organisées publiquement à même les carrefours des routes de nos villes et villages. Chaque difficulté dans la vie du chrétien est perçue comme un mauvais sort ou un démon lancé par notre adversaire le diable. Le chrétien doit donc ainsi se soumettre à la cure d’âme de ces leaders qui ont le prétendu don de guérison, de miracle ou de prophétie. Le mouvement a gagné l'Europe, l'Afrique et beaucoup d'autres endroits.

Le pasteur Creflo Dollar, le bien nommé, mène un train de vie princier. Il ne se déplace qu’en Rolls-Royce et en jet privé et est souvent accompagné de gardes du corps.

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"Salauds de pauvres !" est une invective lancée par le personnage de Grangil incarné par l'acteur Jean Gabin dans le film de Claude Autant-Lara "La Traversée de Paris", sorti en 1956 et adapté d'une nouvelle de Marcel Aymé, publiée dans le recueil "Le Vin de Paris", où se retrouve cette réplique. 




mardi, novembre 22, 2022

Réincarnation et politique


Par la vertu politique échapper à la rechute


Après la mort, l’âme doit se libérer de toutes ses fautes
avant d’habiter un nouveau corps, à la mesure de sa nature morale. (PYTHAGORE)

Car j'ai été autrefois garçon et fille, buisson, oiseau et poisson,
cheminant à la surface de l'eau. (EMPEDOCLE)

Pour les Grecs de l'Antiquité, à chaque rechute hors du monde des Idées pures, l’âme se fabrique un nouveau corps à la mesure de sa valeur morale. De corps en corps, d'action politique en engagement social, l'être peut espérer finalement ne plus chuter du tout, et demeurer dans l'Empyrée du Xe Ciel. Une vision qui a bien marqué les origines du christianisme.

Platon évoque à plusieurs reprises - toujours sous la forme du mythe qui dit non le vrai mais le vraisemblable - la migration des âmes (par exemple, dans le Phèdre, avec l'« Attelage ailé » et le « décret d’Adrastée » qui fixe l'ordre des « incarnations »), comme il évoque en diverses occasions la métempsycose, ou la palingénésie, avec l'idée d’un retour périodique des âmes à la vie dans des cycles de réincarnation. C’est l’objet, en particulier, de quelques longs développements du Timée, dialogue de vieillesse, souvent énigmatique, mais toujours riche en fulgurances cosmogoniques ou eschatologiques.

De quoi s'agit-il ? Lors de la première naissance « établie identique pour tous les êtres », et par la seule volonté divine, l'âme descend dans le corps. Cette première incarnation de l'âme immortelle dans une enveloppe charnelle est une déchéance, que compenseront pour partie l'éducation et l’apprentissage des savoirs vrais. Mais d'autres incarnations suivront, qui dépendront alors directement des mérites acquis par les âmes ici-bas. Au cours de ces palingénésies, les âmes déchues pourront migrer et se réincarner, qui dans un corps de mammifère, qui dans celui d’un poisson, voire, pour les plus déchues d’entre elles, d’un mollusque. Platon ne va pas aussi loin qu'Empédocle qui n’excluait pas la réincarnation dans les plantes.

Les sources de Platon sont certainement égyptiennes, pythagoriciennes (les akousmata - choses entendues - rapportent la croyance que Pythagore et les « siens » avaient cru en la métempsycose) ou orphiques. Ces mêmes sources seront encore vivantes, plusieurs siècles plus tard, chez ceux d'entre les néoplatoniciens (Plotin, Proclus) qui reviendront dans leur commentaire de Platon sur l'idée d’une migration des âmes.

Questions à Maurice de Gandillac :

Quelle place Florin, auquel vous venez de consacrer un petit livre éclairant, accorde-t-il à cette figuration d’une transmigration des âmes ?

Maurice de Gandillac : La doctrine la plus constante, tout au long de la tradition grecque, n'est pas tant l'idée de réincarnation ou de palingénésie au sens propre, que celle de migration des âmes. Dire qu’elles s’en vont dans des corps est à la fois vrai et faux. C’est vrai en ce sens où un tel langage a été parlé ; on dira, par exemple, que celui qui s'est mal conduit se réincarnera dans un personnage de basse condition sociale, ou dans un animal. Mais, en même temps, c’est faux, car on ne peut pas dire que l'âme aille dans une case déterminée, comme s’il y avait des cases en attente d'être remplies, inférieures ou supérieures. Cette image ne convient pas du tout, car les corps eux-mêmes ne préexistent pas aux âmes. Pour Plotin, en particulier, l'âme ne s’incarne pas véritablement dans un corps, elle se fait un corps à son image, qui représentera sa propre dignité, à savoir la distance plus ou moins grande qu'il y a entre la vision pure des Idées et la vision plus ou moins entachée de temporalité, de multiplicité, de matérialité liée à la distraction des âmes, ce qui a provoqué leur dispersion et les a fait chuter. Cette chute des âmes, Plotin ne l’entend pas mécaniquement, comme une descente plus ou moins bas. En réalité, selon sa qualité propre, l’âme se fait un corps à son image, dont elle se sert - car il existe bien un monde fabriqué par l’Âme du monde, laquelle s’exprime dans un univers qui est un tout (to pan) et où l'âme qui s’est fait un corps a un rôle a jouer ; il y a place, par exemple, pour une société avec des vertus politiques (arétaï politikaï) comme la justice et la force, qui ont toute leur importance. Suivant que l'âme aura plus ou moins bien rempli sa fonction, elle redescendra dans une autre vie, formant chaque fois un corps à son image.

Question : Pourquoi redescend-elle ?

Maurice de Gandillac : C'est un point difficile de la pensée de Plotin... Elle redescend, sans doute, parce qu'insuffisamment purifiée, n’ayant pu atteindre la pure vision et la pure union, quasi mystique, avec l'Un, qui la ferait échapper à d’autres réincarnations. C’est comme dans le Védanta, dont nous sommes ici assez près. Il y a un moment où le bodhisattva qui est arrivé à la domination
totale de soi, à l’union parfaite avec le Brahman indifférencié, n’aura pas à revenir, n’aura pas d’avatars... Pour Plotin, c'est moins net. Mais c'est tout de même le degré de purification qui fait que l'âme retombant, retrouvant la mémoire des choses temporelles, se fera un corps à son image.

Question : Comment le façonne-t-elle ? Quelle genèse est ici à l’œuvre ?

Maurice de Gandillac : C'est la genèse fondamentale de l’univers entier, car il n'y a pas d'autre manière de passer de la contemplation à l’action. Ce sont des créations d'images, le monde n'étant qu’une série d’images. Il ne faut pas se dissimuler que cette matérialité est extrêmement ténue, car les choses que nous voyons sont plus ou moins illusoires. Dire que ce sont de pures illusions serait une interprétation par trop védantique, peu conforme à certains textes de Plotin qui accordent une certaine consistance à ce monde créé par l’Âme du monde. Celle-ci s'exprime dans une réalité, qu’on appelle la matière, mais qui est aussi engluante pour l'âme, car elle s’englue dans son corps, risquant d’y perdre sa substance supérieure. Elle perd alors sa propre dignité, et il faudra un effort considérable de « reprise en main », si je puis dire, pour de nouveau s’élever plus haut...

Question : Une ascèse donc, une catharsis...

Maurice de Gandillac : Il y a en effet beaucoup de catharsis dans cette affaire... Notons bien que dans le néo-platonisme, il y a l'idée essentielle que les vertus politiques ont une valeur, car dans le temps qui nous est imparti ici-bas, dans nos vies limitées - celle de Plotin fut relativement courte, abrégée par la maladie - il faut agir, avoir une action sociale. Ainsi Plotin sera-t-il précepteur, tuteur d'enfants abandonnés, il travaillera aussi à l’amélioration de la cité terrestre en formant le rêve d’une platonopolis, une sorte de communauté des sages (ou des saints) platoniciens, un peu comme ces sociétés de sanctification que l'on trouve aussi bien chez les juifs (avec Qumrân), dans l'islam, ou dans le monachisme chrétien ou bouddhiste. À l’intérieur d’une civilisation ou d’une société donnée, les plus purs se réuniront en petits groupes, préfigurant ce que serait l’état des âmes ayant échappé au corps.

Revenons à cette idée de réincarnation...

Maurice de Gandillac : Je ne pense pas que cette idée soit fondamentale pour la pensée grecque ; elle restera très marginale, et assez indéterminée dans ses modalités, sauf peut-être chez certains pythagoriciens. Mais nous sommes si peu renseignés sur ce qu’étaient véritablement la pensée de Pythagore et le pythagorisme...

Question : Diogène Laërce lui consacre une partie du livre VIII des « Vies, Doctrines et Sentences des philosophes illustres » (« Hermès lui avait dit de choisir ce qu’il voulait, excepté l’immortalité. Il avait donc demandé de garder, vivant comme mort, le souvenir de ce qui lui arrivait. […] Et il racontait comment elle [son âme, ici entrée dans le corps d’Euphorbe] avait accompli ses parcours, dans quelles plantes et quels animaux elle s’était trouvée présente, et tout ce que son âme avait éprouvé dans l'Hadès. »)... Dans le « Timée » de Platon, la réincarnation est évoquée avec davantage de précision. Selon vous, est-ce seulement symbolique (la réincarnation serait alors purement nominale) ou réel (une réincarnation ontologique) ?

Maurice de Gandillac : Bien fin celui qui pourra dire ce que pensait réellement Platon. Il s’est pratiquement toujours exprimé sous la forme du mythe. Il y a certes de la sagesse dans certains mythes, mais ce ne sont que des images comme celle de l'artisan - le démiurge – qui fabrique le monde. Je pense qu'il s'agit encore d'une image, lorsqu'il parle de la chute des âmes, en particulier
de leur chute dans des corps. Chez Platon aussi, me semble-t-il - même si c’est moins net que chez Plotin -, on ne peut pas dire que les corps soient déjà là, tout préparés, en attente, car ce qu’ils seront dépendra beaucoup de l'âme qui va descendre en eux et qui les façonnera. Il ne faut pas exagérer, même chez Platon, l'opposition entre l'âme et le corps, l’âme étant si multiple avec ses trois parties que si par son sommet (le nous) elle est déjà divine, par sa partie inférieure (Yépithumia), elle est presque corporelle. Qu'est-ce qu'un désir, en effet, sinon un mouvement du corps ? Cela n'aurait aucun sens pour un esprit pur. On n'imagine pas un ange ayant des convoitises ! C'est d'ailleurs ce qui rend si difficile l'idée d’une chute des anges !

Question : En revanche, il y a bien chez Platon l'idée d’une incarnation, pensons à la théorie de la réminiscence...

Maurice de Gandillac : La théorie de la réminiscence suppose en effet que l'âme ait été concitoyenne des Idées avant notre vie présente. Mais, là aussi, c’est peut-être une façon de parler. Aujourd’hui, on parlerait d'innéité... Descartes, lui, parlera d'idées éternelles. Ces idées, pourtant, elles sont là d’une certaine manière, il n’est pas besoin d'avoir eu une vie antérieure, car s’il y a à la pointe supérieure de l’âme une possibilité de saisie des vérités éternelles, la réminiscence ne s’impose plus. On peut parler d'un passé, sans qu’il soit nécessaire de s’être promené dans le ciel, puisque nous sommes en contact direct avec lui par le sommet de notre âme. C’est en tout cas ce que dira Plotin. Certes, il lui arrive de parler le langage de la réminiscence, mais dans bien des textes il dit aussi très clairement que le sommet de l’âme est en contact direct avec l'éternel par l’entremise de l’Âme du monde, qui contient tout, le haut comme le bas. C'est pourquoi on ne peut pas parler, en toute rigueur, de réincarnation, car cela supposerait que la chair soit préexistante, et que le spirituel soit placé dans la chair... Encore une fois, il me semble que nous avons affaire à des métaphores, rien de plus, même lorsque Platon joue sur les mots : le sema (corps) est le sema (tombeau) de l'âme. Le mot incarnation lui-même me gêne à cause de son usage théologique dans le christianisme.

Question : Où il n’est plus question de chute des âmes...

Maurice de Gandillac : En effet ; l'idée d’incarnation du Verbe n’est pas de l'ordre de la transmigration des âmes, ce n’est pas une âme qui descend dans un corps, c’est le divin qui s'unit à l’humain. Il ne pourrait y avoir d’incarnation si la chair était quelque chose de totalement mauvais, même si saint Paul le laisse entendre, mais sa langue est très équivoque car touchée par les gnoses : ce qu’il appelle sarx (la chair) - traduit par le caro latin - est en effet le mal, le péché, le monde du démon. Or, en bonne théologie chrétienne, le corps du Christ ne saurait être de la mauvaise chair, car c'est le corps d'Adam originaire qui est fait à l’image de Dieu, comme l’homme enson entier.

Question : Il y a aussi dans la tradition chrétienne l’idée de résurrection des corps, qui confirme que le corps ne saurait être simplement mauvais...

Maurice de Gandillac : Une telle résurrection est assez incompréhensible., et n'apparaît plus guère dans le catéchisme moyen, duquel, d'ailleurs, on a éliminé, autant que faire se pouvait, toute trace de platonisme... Sauf l'idée d’immortalité de l’âme. L’idée des corps ressuscitants est vraiment très confuse. Ça ne peut être un vrai corps, mais un autre corps, qui ne serait pas le nôtre, un corps auquel manquerait les propriétés du corps...

Question : Jacques Maritain, à la suite de saint Thomas d’Aquin, a tenté d’imaginer cette résurrection des corps, cherchant à répondre, par exemple, à des questions comme : dans quel état le corps sera-t-il ressuscité ? Les infirmes retrouveront-ils leur corps infirme ? Et les nouveau-nés, et les vieillards, quel corps sera pour eux éternisé ? A l’âge du Christ crucifié, trente-trois ans ?

Maurice de Gandillac : À l’acmé, est la réponse la plus classique. Mais ce sont alors des difficultés en cascades... Ces corps, où seraient-ils ? Ils seront des milliards d'ici à la fin des temps ! Là encore, nous sommes dans les images, n’intervenant que dans des civilisations limitées...

Question : N’est-ce pas la grande originalité du christianisme ? Pensons aux rires sceptiques qui accueilleront l’annonce d’une résurrection des morts faite par saint Paul aux Athéniens /

Maurice de Gandillac : Certains juifs, semble-t-il - en particulier les Pharisiens - enseignaient déjà une telle résurrection des corps ; reportez-vous à ce que dit la Samaritaine dans l'Évangile de saint Jean. Mais c’est une tradition juive assez tardive, car pour la tradition originelle, la mort est la mort, la récompense est sur terre, et il n’y a pas de vie éternelle. Sinon pour quelques personnes qui échapperont à la condition commune, comme Élie qui sur son char de feu s'en va ailleurs...


François l'Yvonnet, Rencontre avec Maurice de Gandillac, "Enquête sur la réincarnation". PDF gratuit ICI.




lundi, novembre 21, 2022

Tous les politiciens et les personnages influents sont sous le contrôle de services secrets et de la mafia



Le livre de la journaliste d'investigation Whitney Webb, "One Nation Under Blackmail" (en 2 volumes), est une mise en accusation accablante des conséquences de la relation, vieille de près d'un siècle, entre les services de renseignement américains et israéliens et le réseau connu sous le nom de "National Crime Syndicate". 

Whitney Webb révèle comment l'union sordide entre le renseignement et le crime organisé a donné naissance au réseau pédocriminel de Jeffrey Epstein.

Whitney Webb démontre que les politiciens et les personnages influents sont sous le contrôle de la mafia et d'agences de renseignement.

"Whitney détient des tonnes d'informations sur le réseau Epstein/Maxwell qui dépassent le trafic sexuel, écrit la blogueuse Isabelle. Vous comprendrez que les informations qui pourraient être divulguées sur Epstein prochainement seront extrêmement limitées...

Elle parle bien sûr des Clinton, mais aussi de Donald Trump qui est sous la gouverne du crime organisé et des renseignements depuis près de 40 ans ! D'ailleurs sa femme Melania lui a été présentée par Jeffrey Epstein... De très nombreux proches et collaborateurs de Trump sont impliqués jusqu'au cou, et compromis, dans les tentacules véreuses du duo Epstein-Maxwell.

La promesse que Trump va exposer l'État profond et les réseaux de trafic d'enfants est une opération psychologique qui sert à rendre opaque les innombrables scandales sexuels et financiers du "marais" dans lequel Trump a les deux pieds dedans !

Whitney, comme peu d'autres, démontrent comment TOUS les politiciens qui montent au pouvoir sont corrompus jusqu'à la moëlle. Parce que s'ils ne l'étaient pas, jamais ils n'accéderaient au pouvoir ! 

Voici la plus récente entrevue de l'excellente journaliste d'enquête Whitney Webb :


Vous pouvez passer le premier 10 minutes.
Traduction en français disponible."


Source : 



dimanche, novembre 20, 2022

La Grande Escroquerie du réchauffement climatique


Par Prajñâ



Pour nombre de scientifiques, le soleil gouverne le climat, le CO2 ne compte pas


Ces 150 dernières années la température de la planète a augmenté d’un peu moins de ½ degré celsius. Le réchauffement planétaire provoqué par l’homme n’est qu’une simple théorie sur le climat. C’est devenu une des causes politique et morale emblématique de notre époque. Pour ses défenseurs, le temps des débats est révolu. Toute critique même la plus rigoureuse scientifiquement serait illégitime voire dangereuse.

Pourtant dans ce film, nous allons montrer que les températures actuelles n’ont rien d’extraordinaire, que le climat de la terre a toujours changé et qu’aucune preuve scientifique ne démontre que le climat soit déterminé par le dioxyde de carbone « généré ou non » par l’homme. Partout on vous répète sans le moindre doute que le changement climatique est le fait de l’homme. C’est un MENSONGE.

Prof. Tim Ball, ancien climatologue de l’université de Winnipeg :

"Je ne crois pas que le CO2 produit par l’homme soit la seule cause du réchauffement climatique."


Prof. Niv Shaviv, institut de physique de l’université de Jérusalem :

"Si vous m’aviez posé la question, il y a quelques années, je vous aurais dit, c’est le CO2. Pourquoi ? Parce que comme tout le monde j’écoutais ce que disaient les Media. Les nouvelles du réchauffement planétaire provoqué par l’homme dont les Media nous inondent semblent chaque jour de plus en plus apocalyptiques et malgré cela un certain nombre d’éminents spécialistes du climat affirment aujourd’hui que cette théorie n’a tout simplement aucun sens. Il y eut des périodes dans l’histoire de la terre durant lesquelles les quantités de C02 étaient 10 fois plus élevées. Si le C02 avait un effet de serre aussi capital sur le climat cela apparaîtrait sur la courbe des températures."

Prof. Ian Clark, département des sciences de la terre, université d’Ottawa :

"Si on analyse le climat à l’échelle géologique on n’accordera jamais au C02 une influence aussi importante. On ne peut dire que le CO2 est à l’origine de variations climatiques car il ne l’a jamais été."

Dr Piers Corbyn, météorologue :

"Aucun changement climatique majeur de ce dernier millénaire peut s’expliquer par le C02."

Prof. John Christy, Lead author, IPCC :

"J’ai souvent entendu dire qu’il y avait un consensus scientifique sur la question du réchauffement planétaire selon lequel les hommes seraient en train de causer un changement catastrophique du système climatique. En tant que scientifique je pense que c’est FAUX. Le réchauffement climatique provoqué par l’homme n’est pas une théorie scientifique ordinaire. Elle est soutenue par un organisme politique puissant de l’ONU, le G.E.I.C., le Groupe d’Experts Inter-gouvernementaux sur l’évolution du Climat."

Prof. Philip Scott, département de biogéographie, université de Londres :

"Le G.E.I.C, comme tout organisme de l’ONU est politique et les conclusions de ses rapports sont influencées par la politique."

Prof. Paul Reiter, IPPC et institut Pasteur, Paris :

"Prétendre que le G.E.I.C rassemble les 1500 à 2500 meilleurs scientifiques du monde est FAUX. Il suffit de regarder les biographies de ses membres pour voir qu’ils ne sont pas scientifiques."

Prof. Richard Lindzen, IPCC et M.I.T. Californie :

"Pour faire monter le nombre à 2500, ils ont dû faire appel à des réviseurs, à des fonctionnaires, etc., à tout ce qui leur passait sous la main et ils n’ont demandé l’accord à personne ; beaucoup, d’ailleurs, ne sont pas d’accord !"

Paul Reiter :

"Je connais un certain nombre de personnes, de vrais spécialistes qui n’étant pas d’accord avec la polémique ont démissionné et malgré tout sont restés dans la liste des auteurs et sont entrés parmi les fameux 2500 scientifiques du monde !"


Voici l’histoire d’une théorie sur le climat qui s’est transformée en idéologie politique


Patrick Moore, cofondateur de GreenPeace :

"Je n’ai plus envie de parler de mouvement écologiste parce que c’est devenu un mouvement d’activismes politiques très influents sur le plan international. Voici comment tout un domaine de la science a été dénaturé."

Docteur Roy Spencer, chercheur en sciences, université d’Alabama, Huntsville :

"Les scientifiques du climat ont besoin qu’il y ait un problème s’ils veulent que l’on finance leurs travaux. Nous avons tout intérêt à provoquer la panique pour que l’argent soit investi dans les sciences du climat. La chose à ne surtout pas dire, c’est que « peut-être » il n’y a pas de problème ?!

On nous dit de nous inquiéter car le climat mondial est en train de changer, mais le climat mondial n’a jamais cessé de changer.

La longue histoire de la terre est ponctuée de périodes bien plus chaudes ou bien plus froides que la nôtre. Le climat a toujours évolué sans que nous les hommes y soyons pour quelque chose ! La tendance actuelle au réchauffement remonte à il y a au moins 200 ans et elle suit une période très froide de l’histoire de la terre que les climatologues appellent « Petit âge de glace ».

Au 14ième siècle l’Europe est entrée dans le petit âge de glace et durant les hivers les plus durs et les plus rigoureux de cette période-là la Tamise gelait. Avant le petit âge de glace, a eu lieu une période de douceur lors de laquelle les températures étaient plus chaudes qu’aujourd’hui, une période que les climatologues appellent « optimum médiéval ». En Europe elle correspond au temps des bâtisseurs de Cathédrales."

Prof. Philippe Stott :

"Il est important de comprendre que le climat au moyen-âge a permis un tout nouveau style de vie. De nos jours, on s’imagine que le réchauffement aura des conséquences apocalyptiques mais en fait quand on décrit cette période médiévale de chaleur, elle est toujours associée à la richesse. En remontant encore le temps, au-delà de l’optimum médiéval, on découvre d’autres périodes chaudes dont une très longue durant l’âge de bronze et l’âge de pierre, que les géologues appellent « optimum climatique holocène ». Les températures étaient alors sensiblement supérieures aux températures actuelles et cela durant 3000 ans. Les variations climatiques du passé étaient de toute évidence naturelles. Alors pourquoi cela serait-ce différent aujourd’hui ?

Selon la théorie du réchauffement planétaire généré par l’homme, le dioxyde de carbone émis par l’industrie fait grimper les températures. Mais qu’est-ce qui le prouve ?"

Prof. Patrick Michaels, G.E.I.C et département des sciences de l’environnement, Virginie :

"Quiconque affirmant que le dioxyde de carbone est le responsable majeur du réchauffement planétaire du 20ième siècle n’a pas vu les chiffres élémentaires. Au début du 20ième siècle, la majeure partie du monde se trouve dans l’ère préindustrielle. Très peu de gens ont une voiture ou même l’électricité. L’industrie est encore assez primaire, réduite à quelques pays paralysés par la crise économique. Mais après la seconde guerre mondiale, tout change et on commence à produire en masse pour un marché international des produits de consommation tels que les réfrigérateurs, les machines à laver, les téléviseurs et les voitures. Pour désigner cette explosion de l’activité industrielle, les historiens parlent des « 30 glorieuses ».

Dressons un parallèle avec l’évolution de la température. Ces 150 dernières années la température de la planète a augmenté d’un peu plus de ½ degré celsius, mais curieusement ce réchauffement principalement eut lieu au début du 20ième siècle entre 1905 et 1940 au moment où la production industrielle était relativement faible, puis après 1940 le climat s’est rafraîchi !

Voici un relevé des températures de l’arctique au cours du 20ième siècle. Durant le Boom économique de l’après-guerre les températures s’effondrent et paradoxalement elles cesseront de décroître seulement lors de la crise économique des années 1970."

Prof. Syun-Ichi Akasolu, directeur de l’IARC, centre international de recherche arctique :

"La quantité de CO2 a augmenté de manière exponentielle aux alentours de 1940 mais à cette époque la température a commencé à baisser et cela a duré jusqu’en 1975. Le rapport est donc inversé. « Quand le CO2 augmente rapidement la température baisse ». On ne peut donc pas dire qu’ils évoluent dans le même sens."

Prof. Tim Ball, ancien prof. de climatologie, université de Winnipeg :

"La température a augmenté sensiblement jusqu’en 1940 quand la production humaine de CO2 était relativement basse, puis dans les années d’après-guerre quand l’industrie et toutes les économies ont pris leur essor et que le CO2 produit par l’homme est monté en flèche, la température mondiale s’est mise à baisser. En d’autres termes, les faits ne correspondent pas à la théorie.

Qu’est-ce qui nous fait dire que le dioxyde de carbone est responsable des changements climatiques ?

Le CO2 ne représente qu’une infime partie de l’atmosphère de la terre. En fait les variations de son niveau dans l’atmosphère ne se mesure qu’en dizaines de parties / million.

Le % que représente le CO2 dans l’atmosphère par rapport aux autres gaz, l’O2, l’azote, l’argon, etc., est de 0,054% ! C’est une part incroyablement faible. Et quand vous vous intéressez à la part soi-disant ajoutée par l’homme, le point de convergence de toutes nos inquiétudes, elle est encore plus faible ! …

L’effet de serre n’est qu’une composante des systèmes climatiques de la terre et le CO2 est un gaz à effet de serre relativement mineur.

L’atmosphère se compose d’une multitude de gaz dont un petit pourcentage s’appelle gaz à effet de serre et 99% de ce tout petit pourcentage est de la vapeur d’eau, gaz à effet de serre le plus important.

La vapeur d’eau est un gaz à effet de serre de loin le plus important. Non seulement le CO2 est un gaz à effet de serre secondaire mais on est loin d’être sûr que ces gaz-là soient responsables d’un changement climatique.

Pour en savoir plus, regardons le ciel ou une partie du ciel appelé « troposphère »."

Richard Lindzen :

"Si les gaz à effet de serre sont responsables du réchauffement, celui-ci sera plus important au milieu de la troposphère dans les 10 à 12 premiers kms de l’atmosphère qu’à la surface de la terre. Ceci s’explique par de bonnes raisons théoriques liées à la manière dont fonctionne l’effet de serre.

L’effet de serre fonctionne ainsi :

1 – Le soleil envoie sa chaleur sur terre.

2 – Sans le gaz à effet de serre, ses radiations solaires seraient renvoyées vers l’espace en laissant une planète froide et inhabitable.

3 – Les gaz à effet de serre retiennent la chaleur dans la troposphère quelques kms au-dessus de la surface de la terre et c’est là selon les modèles climatiques que le taux de réchauffement devrait être le plus élevé si les gaz à effet de serre en sont bien la cause."

Pr. Frederick Singer, premier directeur de l’agence américaine de satellites météorologiques :

'Selon tous les modèles sans exception, le réchauffement devrait augmenter à mesure que l’on monte de la surface de la terre vers l’atmosphère et le réchauffement maximal au-dessus de l’équateur devrait en fait être à une altitude d’une dizaine de kms.

Le Pr. John Kristy est l’un des scientifiques chargés de mesurer la température de l’atmosphère de la terre. En 1991, il a reçu la médaille de la NASA récompensant une réalisation scientifique exceptionnelle et en 1996 une récompense spéciale da la société météorologique américaine pour avoir fait progresser fondamentalement notre capacité de maîtrise du climat. Il a également été l’auteur d’un rapport du G.I.E.C (il donnera ensuite sa démission du GIEC). Pour relever la température de l’atmosphère, les scientifiques comme le Prof. Kristy, ont recours à 2 moyens : les satellites et les ballons sondes. On a constaté systématiquement qu’au-dessus de beaucoup d’endroits de la planète, la majeure partie de l’atmosphère ne se réchauffait pas autant que ce que l’on observe à la surface de la terre. C’est un vrai casse-tête pour nous. Parce que la théorie est assez simple : si la surface se réchauffe, l’atmosphère supérieure devrait se réchauffer rapidement, la montée de la température de cette partie de l’atmosphère n’est absolument pas dramatique et ne correspond vraiment pas à la théorie que les modèles climatiques du moment expriment.

L’un des ennuis des modèles c’est qu’ils prédisent que à l’exception des régions polaires, plus on monte haut dans l’atmosphère plus le taux de réchauffement augmente et d’après les deux sources de données, les données satellitaires que tout le monde cite mais aussi celles des ballons sondes, il est très clair que l’on n’observe pas du tout cet effet-là. En fait, il semblerait plutôt que les températures de la surface de la terre se réchauffent légèrement plus que les couches d’air supérieures. C’est une sacrée différence.

Ces données laissent entendre que le réchauffement observé n’est probablement pas dû au gaz à effet de serre. Les observations ne montrent pas une augmentation avec l’altitude. Au contraire, la majorité des observations montrent une légère baisse du taux de réchauffement avec l’altitude. On peut donc dire d’une certaine manière que les preuves réfutent l’hypothèse selon laquelle l’homme serait à l’origine du réchauffement planétaire.

Le récent réchauffement de la terre s’est produit au mauvais moment et au mauvais endroit. Si le CO2 était responsable des changements climatiques la température aurait dû monter après le Boom économique d’après-guerre et le taux de réchauffement devrait être plus élevé dans la troposphère qu’à la surface de la terre. Pourtant c’est le contraire qui s’est produit. Alors, dans la longue histoire du climat de la terre, existe-t-il un exemple d’un changement de température entraîné par le dioxyde de carbone ?

Forer la glace dans ses profondeurs est un moyen de se plonger dans le passé. Cela a d’ailleurs permis aux scientifiques de trouver un lien entre le CO2 et l’évolution des températures de la planète. Les études de carottes glaciaires sont fréquemment citées pour étayer la théorie du réchauffement planétaire provoqué par l’homme. Mais la glace renferme des données que l’on mentionne très rarement. Le Prof. Yan Clark est un éminent paléo-climatologue qui analyse en arctique les températures de la terre depuis des centaines de milliers d’années. Quand on s’intéresse au climat sur une très longue échelle temporelle, on recherche des matériaux géologiques qui ont enregistré les variations climatiques, prenons une carotte de glace par exemple.

Certes, on reconstitue les températures à partir des isotopes de la glace mais on libère également l’atmosphère prise dans cette glace et on peut alors observer le CO2 qu’elle contient.

Le Prof. Clark et d’autres chercheurs ont en effet mis en évidence un rapport entre la variation de taux de CO2 et celle de la température de l’air mais pas celui qu’on attendait. Voici l’enregistrement climatique présent dans la carotte de Vostok qui montre l’évolution des températures d’une époque lointaine à une époque plus proche dans un intervalle capital puisqu’il commence juste après une ère de glaciation : on note que la température grimpe mais aussi que le CO2 la suit avec un temps de décalage, un retard de 800 ans ! On peut donc dire que la température a 8 siècles d’avance sur le CO2…

Plusieurs études majeures de la calotte glaciaire ont été menées et toutes montrent la même chose : les températures augmentent ou baissent, puis quelques siècles plus tard le taux d’oxyde de carbone les suit.

De toute évidence, le dioxyde de carbone n’est pas la cause de ce réchauffement, on peut même dire que le réchauffement entraîne l’augmentation du dioxyde de carbone.

Très clairement, le CO2 ne peut pas causer des changements de température. Il en est le produit, il suit le changement de température. Les mesures réalisées grâce aux forages de la calotte glacière nous conduisent au cœur même du problème.

On dit que la température montera si le taux de CO2 en tant que gaz à effet de serre augmente dans l’atmosphère mais les forages font la démonstration inverse. Ils prouvent que l’hypothèse fondamentale de la théorie du changement climatique est dû à l’homme est FAUSSE.

Mais comment le réchauffement des températures peut-il faire augmenter la quantité de CO2 contenu dans l’atmosphère ? : La réponse se trouve au fond des océans.

Les océans émettent dans l’atmosphère près de 80 gigas-tonnes de dioxyde de carbone/an alors que les humains n’en émettent que 7 environ mais la quantité de CO2 provenant des océans dépend de la température.

Comme ont appris tous les écoliers dans leurs manuels de géographie, l’océan et l’atmosphère s’échangent le dioxyde de carbone. Quand l’océan se réchauffe il rejette du CO2 dans l’atmosphère et quand il refroidit il en absorbe et la conserve.

Mais pourquoi existe-t-il un décalage de plusieurs siècles entre un changement de température et une variation de la quantité de CO2 absorbé ou rejeté par les océans ?

Parce que les océans sont si vastes et si profonds qu’il leur faut des siècles pour se réchauffer ou refroidir.

Les océans sont vastes et occupent la majeure partie de la surface de la terre et c’est pour cela qu’ils mettent autant de temps à se réchauffer ou à refroidir. Cela leur prend des centaines d’années.

L’idée la plus répandue selon laquelle le dioxyde de carbone serait à l’origine des changements climatiques est en contradiction avec la quantité de données scientifiques dont nous disposons, qu’elles proviennent de ballons sondes ou de satellites ou de carottes de glace ou de relevés météorologiques historiques. Mais si le CO2 n’est pas le moteur de l’évolution climatique, alors qui l’est ?

Prof. Philipp Scot :

"N’est-ce pas étonnant de penser que ce sont les hommes qui en faisant le plein d’essence ou en allumant la lumière commande le climat ? Mais regardez le ciel, regardez cette chose immense qu’est le soleil. Bien que nous soyons 7,5 milliards nous ne sommes rien à côté de lui."

Dr Piers Corbyn :

A la fin des années 1980, ce physicien solaire décide d’essayer une méthode de prévision météorologique radicalement nouvelle. Sa technique permet des prévisions plus précises que celles du MET office de météo du gouvernement britannique. La presse l’acclame alors comme le « super monsieur météo ». Le secret de cette réussite ? : le soleil. Notre technique de prévision météo sur le long terme a commencé par l’étude des tâches solaires et le désir de les prévoir. C’est alors que j’ai compris qu’il était beaucoup plus intéressant de se servir du soleil pour prévoir le temps. Nous savons aujourd’hui que les tâches solaires sont des champs magnétiques intenses qui apparaissent en période de haute activité solaire. Mais pendant des siècles, bien avant que l’on comprenne correctement le phénomène, les astronomes du monde entier ont compté les tâches solaires pensant que plus elles étaient nombreuses, plus cela annonçait un temps chaud. En 1893, l’astronome Britannique Edward Maunder observe que pendant le petit âge de glace, le nombre de tâches solaires était quasi nul, ce qui marque une période d’inactivité solaire connue désormais sous le nom de « minimum de Maunder ». Mais les tâches solaires sont-elles un indicateur météorologique fiable ? J’ai décidé d’évaluer notre technique en pariant sur le temps par l’intermédiaire de Bookmakers … Je pariais contre les prévisions du Met office et j’ai gagné de l’argent mois après mois. Le Met office avait prévu que l’hiver dernier serait exceptionnellement froid ; Nous, nous avons dit, NON car c’est faux ; on sera très proche des normales saisonnières, tout en précisant qu’il ferait particulièrement froid après Noël et en février. Nous avons eu raison et ils ont eu tort.

En 1991, des scientifiques renommés de l’institut météorologique Danois décident de dresser une liste des tâches solaires du 20ième siècle et d’établir une comparaison avec les relevés des températures. Ils découvrent ainsi un lien incroyablement étroit entre l’activité du soleil et les changements de température sur terre. D’après leurs observations, l’activité solaire a nettement augmenté jusqu’en 1940 pour décroître jusqu’aux années 1975 et enfin reprendre. Quand nous avons mis en avant cette corrélation entre la température et les tâches solaires, les cycles solaires, on nous a dit : « ok, mais ce n’est peut-être qu’une coïncidence… ». Alors, comment prouver que ce n’était pas une simple coïncidence ? La solution évidente était d’étudier de plus longues périodes ou des périodes différentes. Nous sommes donc remontés dans le temps. Avec des confrères nous nous sommes penchés sur 400 ans de passé astronomique afin d’établir un parallèle entre l’activité des tâches solaires et les variations de température, et cette fois encore il sera découvert que les variations de l’activité solaire sont intimement liées aux changements de température sur terre. C’est le soleil, semble-t-il, et NON le dioxyde de carbone ou quoi que ce soit d’autre qui influencerait les changements de climat. Le soleil a une influence directe sur la terre qui lui envoie sa chaleur, mais les scientifiques ont établi qu’il avait également une influence très directe en régulant la formation des nuages. En fait, son influence est si multiple qu’il n’est pas surprenant que les variations de l’activité solaire correspondent autant aux changements climatiques de la terre.

Nigel Calder :

Si vous aviez des rayons X à la place des yeux, ce que vous verriez comme une jolie boule ronde jaune inoffensive vous apparaîtrait comme un tigre enragé, le soleil étant une brute d’une incroyable violence ! Il envoie de grands souffles de gaz et un vent solaire qui balaye incessamment la terre. D’une certaine manière nous nous trouvons à l’intérieur de l’atmosphère du soleil. L’intensité de son champ magnétique a presque doublé au cours du 20ième siècle.

En 2005, des astrophysiciens de Harvard ont publié un graphique dans le journal officiel de l’union américaine de géophysique. Une courbe représente l’évolution des températures de l’arctique au cours des 100 dernières années et l’autre courbe l’augmentation du dioxyde de carbone sur la même période. Manifestement, elles ne sont pas liées l’une à l’autre …

… L’activité solaire des 5 derniers siècles sur une base décennale est en corrélation avec les températures dans l’arctique et de la glace de mer. Pour nombre de scientifiques, la conclusion s’impose : le soleil gouverne le climat. Le CO2 ne compte pas.

Alors pourquoi, si tel est le cas, nous assènent-on constamment jour après jour que le réchauffement planétaire est le fait de l’homme ? Pourquoi tant de personnes des Media et d’autres professions présentent-elles cela comme un fait incontestable ? …

Pour comprendre l’impact de la théorie du réchauffement planétaire, racontons comment elle s’est développée ? …

Les prévisions climatiques alarmistes ne sont pas nouvelles. En 1974, la BBC prévient que de violents orages et de grandes inondations pourraient être le signe annonciateur d’une catastrophe imminente et quelles en seraient la cause … Le rédacteur de cette série TV est alors le rédacteur en chef du New Scientist … Dans le « Weather machine » nous nous faisions l’écho « de l’idée dominante de l’époque » c’est-à-dire la crainte d’un refroidissement planétaire et de l’arrivée d’une nouvelle période glaciaire. Nous sommes tout petits à côté de la glace. Après des décennies à observer la chute des températures, les experts de l’époque annoncent que le refroidissement du monde aura des conséquences catastrophiques : « nous sommes sous la menace constante d’un grand gel … ». Cette nouvelle période glaciaire s’emparera-t-elle de nos terres ? ». Ensevelira-t-elle nos villes du nord ? … mais au milieu de ces prévisions alarmistes pointe une lueur d’espoir…

Un scientifique suédois, Pert Bolyn, suggère timidement que le dioxyde de carbone émis par l’homme pourrait réchauffer la planète mais il n’en est pas certain … … La planète renferme de grandes réserves de pétrole. Il nous reste encore beaucoup de charbon mais il semblerait que nous le brulions de plus en plus vite et si nous continuons ainsi, dans une cinquantaine d’années le climat pourrait s’être réchauffé de quelques degrés (cette hypothèse était propagandiste).

Nous avons également été les premiers à laisser la parole sur une chaîne de TV internationale à ce Suédois qui parlait du danger du dioxyde de carbone. Je me souviens que d’éminents spécialistes m’ont farouchement reproché de m’être laissé séduire par ces idées fantaisistes.

Dès les années 1970, à l’apogée de la peur du refroidissement planétaire, « la théorie excentrique » de réchauffement planétaire provoquée par l’homme semble absurde mais deux événements viennent inverser la tendance :

1 – les températures commencent à se réchauffer

2 – les mineurs britanniques se mettent en grève. Margareth Thatcher qui est alors premier ministre de Grande Bretagne fait de l’énergie un problème politique. Au début des années 1970, le choc pétrolier a plongé le monde dans la crise. En Grande Bretagne, une grève écrasante des mineurs également a provoqué des coupures d’électricité et la chute du gouvernement conservateur. Madame Thatcher est prête à tout pour ne pas subir le même sort et voici ce qu’elle dit : « nous avons vu dans ce pays l’émergence d’une minorité révolutionnaire organisée dont le véritable objectif est la destruction du régime parlementaire démocratique ». La politisation du sujet a commencé avec Margaret Thatcher.

Elle s’est toujours beaucoup impliquée dans la promotion de l’énergie nucléaire. Je m’en souviens puisque j’ai été secrétaire d’état à l’énergie et cela bien avant que l’on parle de problème de changement climatique parce qu’elle s’inquiétait pour la sécurité de l’énergie et de ce que dit le pétrole. Le syndicat national des mineurs ne lui inspirait pas confiance. Elle ne croyait ni au pétrole ni au charbon. Elle pensait donc que nous devions continuer à développer l’énergie nucléaire ; puis quand la théorie de réchauffement climatique est apparue, elle a pensé : « c’est parfait ! », voilà un nouvel argument en faveur du nucléaire puisque cette énergie n’émet pas d’émission de CO2 ; tel a été son propos qui depuis a été quelque peu déformé. Elle s’est donc rendue à la Royal Society Academy Britannique des sciences et a dit : « Il y a de l’argent à la clé si vous prouvez cette théorie ! ». « Alors, forcément, ils l’ont prouvé !! ».

Prof. Philip Scot :

Inévitablement, dès lors que les politiques soutiennent une cause et y associent leur nom d’une manière ou d’une autre, l’argent afflue. C’est ainsi et inévitablement que les institutions de recherche et de développement se sont mis à bouillonner si je puis dire. Elles allaient étudier le climat mais en mettant un accent particulier sur la relation entre le dioxyde de carbone et la température.

En 1988, à la demande de Madame Thatcher, le MET Office met en place une équipe de modélisation climatique pour constituer plus tard la base d’un nouveau comité international baptisé le G.E.I.C … Et le premier grand rapport qu’ils nous ont publié prévoyait une catastrophe climatique provoquée par le réchauffement climatique. Je me souviens de la conférence destinée à la presse scientifique à laquelle j’ai assisté. J’étais frappé par deux choses :

1 – la simplicité et l’éloquence du message ainsi que l’énergie avec laquelle il nous était transmis.

2 – le mépris total de toutes les découvertes climatologiques réalisées jusqu’alors y compris le rôle du soleil qui pourtant avait été au centre de la Royal Society lors d’une réunion importante quelques mois plus tôt !

Mais le toute nouvelle importance accordée au dioxyde de carbone générée par l’homme dans les problèmes environnementaux ne séduira pas que Margaret Thatcher …


Patrick MOORE (un des plus grands écologistes de sa génération et il est un des fondateurs de Greenpeace) :

"Le climat est devenu un centre d’intérêt majeur pour deux raisons bien distinctes.

1 – Au milieu des années 1980, la majorité des gens était en accord avec la plupart des idées raisonnables que le mouvement écologiste préconisait. Quand une majorité de gens est d’accord avec vous il n’est pas facile de continuer à la provoquer. La seule façon de rester contestataire était d’adopter des positions encore plus extrêmes ; quand j’ai quitté Greenpeace, ils étaient en train de se mettre d’accord sur une campagne interdisant le chlore dans le monde entier. Je leur ai dit, concernant le CO2 : « il fait partie du tableau de la classification périodique des éléments, je ne suis pas sûr que notre juridiction permette d’interdire un élément chimique ! ».

2 – Et deuxièmement l’extrémisme écologique qui a vu le jour à cause de l’échec du communisme. Le mur est tombé. Beaucoup de pacifistes et de militants politiques se sont alors tournés vers le mouvement écologiste en amenant avec eux leur néo–marxisme. Ils ont très intelligemment appris à manier la langue des verts pour masquer des programmes plus proches de l’anti–capitalisme ou de l’anti–mondialisme que de l’écologie et de la science.

La gauche a été légèrement désorientée par l’échec manifeste du socialisme et bien plus encore du communisme, de la forme de communisme qu’elle avait adoptée. Elle est restée anti–capitalisme mais elle a dû trouver un nouveau prétexte à son anti–capitalisme. Et cela a donné une alliance étonnante, allant de la droite avec Margaret Thatcher jusqu’aux écologistes anti–capitalistes d’extrême gauche. Et c’est ce qui a donné un grand élan à cette idée « farfelue ».

Au début des années 1990, la théorie du réchauffement planétaire provoquée par l’homme ne revêt plus un caractère excentrique. Elle donne lieu à une campagne politique à grande échelle ce qui attire l’attention des Media et qui lui vaut un supplément de financement public.

Avant Bush père, les fonds investis dans la climatologie et les sciences du climat s’élevaient à environ 170 millions de dollars par an ce qui était raisonnable compte-tenu de l’importance du domaine. Le budget est ensuite passé à plus de 2 milliards de dollars, soit en fait 11 fois plus, d’où des changements considérables … Beaucoup d’emplois ont été créés. Beaucoup de nouvelles personnes qui auparavant s’en désintéressaient sont entrées dans cette filière. On a vu surgir des cohortes de personnes dont le seul intérêt pour ce domaine tenait au réchauffement planétaire.

Si je voulais faire de la recherche disons sur les écureuils de Sussex et ceci est valable depuis les années 1990, je remplirais ma demande de bourse en disant : « je souhaite réaliser une étude sur le comportement de collecte des noisettes chez l’écureuil au regard de ses effets sur le réchauffement climatique » … et ainsi j’obtiendrais de l’argent ! Si j’omets cette référence il se peut qu’on ne me verse rien …

Nous sommes tous en concurrence pour obtenir des fonds et si notre domaine d’étude suscite des inquiétudes, nous aurons d’autant moins de peine à justifier l’allocation de fonds dans le domaine en question.

Une proportion importante de ces fonds a été consacrée à l’élaboration de modèles permettant de concevoir des projections climatiques.

Mais quel est au juste le degré d’exactitude de ces modèles ?


Le Dr Roy Spencer a été un chercheur de haut rang en études climatiques au centre de vol spatial Marchal de la NASA. Il s’est vu décerné des médailles par la société météorologique américaine et la NASA pensant sa contribution exceptionnelle dans le domaine scientifique :

"Les modèles climatiques sont ce que valent les hypothèses qu’elles intègrent. Mais, il existe des centaines d’hypothèses. Il suffit que l’une d’elle soit fausse pour que la projection perde toute pertinence, tous les modèles partant de l’hypothèse que le CO2 produit par l’homme plutôt que par le soleil ou les nuages soit la cause du changement climatique."

Prof. Tim Ball :

"L’analogie à laquelle j’ai l’habitude de me référer est la suivante : ma voiture marche mal mais je ne tiendrai compte ni du moteur (le soleil) ni de la transmission (la vapeur d’eau). Je vais me consacrer à l’écrou de la roue arrière droite … soit le CO2 produit par l’homme. C’est voir à quel point la science se fourvoie."

Prof. Ian Clark, département des sciences de la terre, Ottawa :

"Faute d’une bonne compréhension du système climatique et de mise en corrélation de tous ses composants : rayons cosmiques, solaires, CO2, vapeur d’eau, nuages, etc., votre modèle ne vaut rien !

L’éventail des prévisions climatiques varie considérablement. Ces variations résultent d’une légère modification des hypothèses sur lesquels les modèles sont fondés. J’ai travaillé avec les modélistes. En fignolant les paramètres de modèles mathématiques, « on modélise tout et n’importe quoi ». On peut faire apparaître un réchauffement ou un refroidissement du climat en apportant des modifications.

Au premier abord, les modèles informatiques ont de quoi impressionner le novice. Il donne souvent lieu à de folles spéculations qui se présentent sous la forme d’énoncés scientifiques rigoureux. Ils fournissent également aux Media une source abondante de scénarios spectaculaires.

Ce qui me surprend en qualité de journaliste (ici d’investigation véritable) de longue date c’est la façon dont sur ce chapitre les principes journalistiques les plus élémentaires semblent aussi être bafoués. (Cela sera la même chose pour la fausse pandémie covid).

Il y a une nouvelle génération de reporters et de journalistes spécialisés dans l’environnement ; si vous en faite partie et que cette histoire de réchauffement planétaire est jetée au rebus, votre emploi connaît le même sort !

Les reportages se doivent d’être de plus en plus alarmistes, parce qu’il reste heureusement une poignée de chroniqueurs aguerris près à déclarer : « vous teniez le même discours il y a 5 ans ». « Ah, oui ! » … « mais (répondra-t-il) aujourd’hui c’est bien pire ». Le niveau de la mer va monter de trois mètres d’ici à mardi prochain ou je ne sais quoi. Ils sont contraints d’adopter un discours toujours plus véhément.

Les Media ont désormais coutume d’imputer le moindre ouragan ou la moindre tempête au réchauffement climatique.

Mais sur quel fond scientifique s’appuient-ils ? C’est de la propagande.

Tous les manuels de météorologie nous disent que les principales causes des perturbations climatiques est la différence des températures entre les tropiques et les pôles et on nous dit que si le climat se réchauffe, cette différence se réduira. On devrait donc en conclure que le climat sera moins rigoureux et qu’il y aura moins de variations climatiques. Mais pour une raison ou une autre comme ce n’est pas assez catastrophique, on vous dit le contraire. On n’entend parfois dire qu’un réchauffement modéré suffirait à faire fondre les calottes de glace polaires de la planète."

Mais que nous apprend l’histoire climatique de notre planète ?

Prof. John Christy :

"Nous disposons de relevés de températures effectués au Groenland il y a plusieurs milliers d’année. Le Groenland a connu dans le passé des températures bien plus élevées qu’aujourd’hui. Il y a seulement 1000 ans, il y faisait plus chaud qu’aujourd’hui sans pour autant qu’il y ait eu plus de fontes des glaces dramatiques."

Prof. Philip Stott :

"Même si l’on considère le « permagel », cette couche de glace que l’on trouve par exemple en Russie, on s’aperçoit qu’une grande partie de celui-ci a fondu il y a 7 ou 8000 ans dans des portions bien plus importantes que celles des projections historiques, mais le monde ne s’est pas pour autant brusquement effondré."

Le Prof. Syun-ichi Akasofu, directeur du centre arctique de l’Alaska, le plus important institut en la matière.

Il souligne que les calottes de glace sont soumises en permanence à un processus naturel d’expansion et de contraction. La chute de blocs de glaces du continent antarctique dont de temps à autre on entend parler a dû se produire à toutes les époques mais comme nous disposons aujourd’hui de satellites qui détectent le moindre de ces phénomènes, ils font l’actualité. Je vois tous ces programmes télévisés de faux réchauffement planétaire montrant de grands blocs de glace qui s’effondrent sur les bords des glaciers, mais on n’oublie que la glace est toujours en mouvement.

Ces images satellites de la NASA montrent dans toutes leur ampleur l’expansion et la contraction naturelle des glaces de la mer polaire au cours des années 1990. Les journaux d’information diffusent régulièrement des images de glace se détachant des bords de l’arctique. Ce que l’on omet de dire en revanche c’est qu’il s’agit d’un phénomène aussi ordinaire en antarctique que la chute des feuilles un jour d’automne. On me demande : « avez-vous vu de la glace tomber sur les bords des glaciers ? ». « Oui, c’est le dégel du printemps ! ». Il se produit tous les ans. Les journalistes nous sollicitent en permanence à l’affut d’éléments sur l’effet de serre. Je leur réponds qu’il n’existe rien de tel. Il est aussi courant d’imputer la variation du niveau des mers au changement climatique.

Cette corrélation est-elle scientifiquement avérée ?

La variation du niveau des mers sur la planète est régie par deux facteurs.

1 – Des facteurs locaux, le rapport de la mer à la terre, lequel a soi-dit en passant plus à voir avec l’élévation ou l’affaissement du niveau des terres qu’avec la hausse ou la baisse du niveau des eaux.

2 – Le statisme, la variation du niveau des mers à l’échelle mondiale. Celle-ci est liée à l’expansion thermique des océans. Elle n’a rien à voir avec la fonte des glaces et se déroule sur des durées bien plus longues que l’espace de votre vie ou de la mienne, avant même que l’on puisse la détecter. On soutient par ailleurs qu’une faible hausse des températures entrainera la propagation vers le nord de maladies tropicales mortelles transmises par les insectes, telle la malaria.

Mais là encore, est-ce exact ?

Le Prof. Paul Rieter de l’institut pasteur à Paris est un des spécialistes les plus réputés de la malaria et d’autres maladies inoculées par des insectes. Il est membre du comité consultatif de l’OMS et a présidé le comité américain d’entomologie médicale de la société américaine de médecine tropicale et a dirigé la publication de la section santé du rapport d’évaluation nationale des conséquences potentielles de la variabilité climatique commandée par le gouvernement américain.

« Les moustiques ne se cantonnent pas aux régions tropicales. Chacun peut constater qu’il y en a dans toutes les régions aux climats tempérés. On en trouve même énormément en arctique. En fait, dans les années 1920 c’est en Union Soviétique que s’est propagée la plus grande épidémie de malaria. On a compté 13 millions de cas déclarés et près de 600.000 morts, une catastrophe épouvantable qui a atteint le cercle arctique. En Arkhangelsk on a comptabilisé 30.000 cas et 10.000 morts. La malaria n’est pas uniquement une maladie tropicale et pourtant les associations climatiques répandent la menace que la maladie pourrait se déplacer vers les régions du nord.

Les rapports officiels émis par le G.I.E.C. sont souvent très alarmants mais sont-ils fiables ?

J’ai été scandalisé par la lecture du 2ième et du 3ième rapport d’évaluation. Ce n’était qu’une addition d’informations inexactes, sans aucune source scientifique ; en tous les cas pratiquement aucune littérature scientifique élaborée par des spécialistes sérieux n’y étaient cités. (Ce sera la même chose avec les médecins de plateaux TV et les annonces du ministre de la santé Olivier Veran et ses représentants pendant le Covid).

Dans une lettre ouverte au Wall Street Journal, l’ex président de l’académie nationale des sciences américaines, le Prof. Frédéric Sides révèle que le G.I.E.C a bien censuré les commentaires de certains scientifiques.

Il écrit : « ce rapport n’est pas conforme à la version approuvée par les scientifiques ayant contribué à sa rédaction ». De fait plus de 1/5ième du chapitre scientifique a été supprimé comme par exemple : « aucune étude n’a pu être prouvée de façon définitive que l’on pouvait attribuer des changements climatiques aux gaz à effet de serre ou encore à ce jour aucune étude ne peut dire que l’homme est totalement ou en partie responsable des changements climatiques observés. Et le Professeur de conclure : « jamais je n’ai constaté une violation aussi alarmante des règles de la déontologie que celles dont témoignent les événements qui ont abouti aux rapports du G.E.I.C ; en retour le G.E.I.C. ne nie pas d’avoir supprimer des articles tout en certifiant que cela n’a pas été fait par malhonnêteté ou partie pris … ! ; il affirme par ailleurs que les incertitudes sur les causes du réchauffement global ont été conservées … ».

Les modifications ont été apportées suites à des remarques faites par certains gouvernements, par des scientifiques indépendants et par des ONG.

Quand j’ai démissionné du G.E.I.C., j’ai cru que l’affaire était classée jusqu’à ce que je constate que mon nom figure encore sur l’avant-projet. J’ai donc demandé qu’il soit retiré. On m’a dit que j’avais contribué à l’écrire et que par conséquent il y resterait. J’ai répondu que je n’y avais pas vraiment contribué puisque l’on n’avait pas transcrit ce que je disais. Enfin, cela a été un vrai combat jusqu’à ce que je les menace de poursuites juridiques et qu’ils finissent par enlever mon nom ; et je ne suis pas le seul à qui ce soit arrivé. Je connais un certain nombre de personnes, de vrais spécialistes qui n’étaient pas en accord avec la polémique et ont démissionné, et qui malgré tout sont restés sur la liste des auteurs et sont restés parmi les fameux 2500 meilleurs scientifiques du monde … !

De nos jours, un mouvement institutionnel très puissant soutient que l’homme est le principal responsable des réchauffements planétaire.

Nous voici à Nairobi où sont rassemblés nombres de fonctionnaires dévoués (!), de militants de plusieurs ONG, de collecteurs de fonds pour la taxe carbone et de journalistes spécialisés dans l’écologie ; cette conférence organisée par l’ONU (!) va durer 10 jours. On y discutera des bouleversements climatiques de la planète et on attend plus de 6000 participants.

Prof. Patrick Michaels :

"Il ne faut pas perdre de vue que le réchauffement climatique peut créer des dizaines de milliers d’emplois ; c’est une source de « profits » énormes. On investira des milliards de dollars dans la recherche sur le climat dont un grand nombre de personnes dépendent de ces investissements et qu’ls ont bien l’intention que cela continue comme cela !"

Imaginons que quelqu’un se lève et dise : essayons de regarder tout cela calmement et réétudions rationnellement la valeur de chaque affirmation. « Alors, cette personne serait immédiatement bannie. »

Prof. Tim Ball :

"A trop secouer le cocotier on risque de prendre une noix de coco sur la tête. Cela va nous arriver. C’est compréhensible. Mais cela devient assez inquiétant, difficile à vivre, et les attaques de plus en plus personnelles. Il y a eu des menaces de mort et ce genre de choses. Croyez-moi, ce n’est pas une promenade de santé."

Prof. Patrick Moore (Co-founder of green peace) :

"De nos jours, émettre des réserves sur les causes du réchauffement climatique équivaut à prétendre que l’holocauste n’a pas eu lieu !!

Je ne suis pas le seul franchement à penser que l’on pourrait comparer toute cette affaire de réchauffement climatique à une RELIGION et que les gens qui ne sont pas d’accord sont traités d’hérétiques. Je suis un hérétique. Les gens qui réalisent ce documentaire sont tous des hérétiques.

Ce mouvement écologique relève de l’activisme politique et les partisans sont devenus incontournables à un niveau planétaire. De nos jours, tout homme politique en est conscient qu’il soit de gauche, de droite ou du centre. Il doit prendre en compte l’environnement.

… Dans les mondes occidentaux les gouvernements se découvrent un besoin urgent d’établir des accords internationaux pour restreindre la production industrielle dans les pays développés ou émergeants, mais à quel prix ?"

Paul Driessen est un ancien écologiste de Green peace, auteur du livre "Black Death" :

"Ma grande inquiétude, c’est que les politiques mises en œuvre pour soi-disant lutter contre le réchauffement climatique ait une répercussion désastreuse sur les populations les plus pauvres du globe."

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Anne Moguela est sur le point de préparer un repas pour ses enfants. Elle fait partie des 2 milliards d’habitants de la population mondiale qui n’ont pas d’électricité. Ces gens doivent donc faire un feu de bois ou de crottins séchés à l’intérieur de leur habitat. La fumée produite par ces feux est une forme de pollution très dangereuse pour les voies respiratoires. Ils n’ont pas non plus accès à l’eau potable. Par conséquent, dans les pays pauvres près de 4 à 6 millions d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année à cause de problèmes respiratoires ou de diarrhée.

Si vous demandez à un paysan ce que représente pour lui le progrès, il vous dira que c’est l’électricité. Vivre sans électricité crée une série de problèmes, tous liés les uns aux autres.

Le premier est que vous n’avez pas de lumière et vous vous couchez donc de bonne heure. Aucune raison de rester éveillé puisque l’on ne se parle pas dans le noir. Sans électricité, on ne peut pas conditionner ou réfrigérer la nourriture. On ne peut donc pas la conserver. De plus, un feu dans une cuisine fait trop de fumée et consomme trop de bois pour servir de chauffage. Et il n’y a pas d’eau chaude.

Nous autres, occidentaux ne pouvons même pas imaginer combien la vie quotidienne serait dure sans électricité. L’espérance de vie de ces populations est effroyablement courte et leur mode d’existence est limitée à tout point de vue.

James Shikwali, Economiste et auteur africain :

"A quelques kms de là, l’ONU se fait l’hôte d’une conférence sur le réchauffement planétaire dans ses locaux luxueux et bien protégés. Au magasin de cadeaux on vend des produits de l’artisanat des tribus locales pendant que les délégués discutent des moyens de promouvoir les différentes formes d’énergies durables. L’Afrique produit du charbon ainsi que du pétrole mais les écologistes réfutent ces combustibles à bas prix. Ils promeuvent l’utilisation des énergies solaires ou éoliennes en Afrique et dans tout le tiers monde cela semble cher aux européens et aux américains mais pour les africains, il est inutile d’en parler. C’est contraire au bon sens. Les pays riches peuvent se permettre des expérimentations coûteuses sur les énergies nouvelles, mais nous on en est au stade de la survie."

Pour l’ancien écologiste qu’est Paul Driessen, l’aspect le plus abject de lutte contre le réchauffement climatique est le projet d’obliger les pays pauvres à se servir des sources d’énergie les plus chères de la planète et des moyens de production électrique les moins efficaces.

Très clairement, obliger le 1/3 du monde à n’utiliser que l’énergie solaire ou éolienne revient à leur interdire l’accès à l’électricité.

L’objection que l’on peut faire aux écologistes occidentaux qui nous verraient bien utiliser les panneaux solaires et des éoliennes c’est que ce n’est pas comme cela que l’on va industrialiser l’Afrique. Honnêtement, je ne vois pas comment un panneau solaire pourrait alimenter une aciérie ou une ligne de chemin de fer ; ça pourrait peut-être suffire pour un transistor.

Patrick Moore, co-founder of Green Peace :

"Le mouvement environnementaliste est de loin le plus puissant dans cet « art » d’empêcher les pays en voie de développement de se développer."

James Shikwati :

"On nous dit de ne plus utiliser nos ressources énergétiques comme le pétrole ou le charbon. C’est nous pousser au suicide."

Patrick Moore :

"Je crois que j’ai le droit de les traiter « d’anti–humains ». Certes on n’est pas obligé de penser que l’homme a plus de valeur qu’une baleine, qu’un hibou ou que n’importe quoi d’autre, mais je suis contre l’idée de mettre l’humanité au rebus, que l’on puisse laisser des millions d’individus devenir aveugles ou mourir. Cela me dépasse. Il est désormais si fermement établi que l’homme est responsable du réchauffement climatique et tout opposition à ce concept et efficacement muselé que la théorie semble irréfutable, mais l’alarme sonnée contre le réchauffement climatique est surdimensionnée.

Il y aura toujours des gens pour croire que c’est la fin du monde, surtout si le plus éminent des savants anglais proclame que le seul endroit viable sur terre d’ici la fin du 21ième siècle sera l’antarctique et que le genre humain survivra grâce à quelques couples qui auront émigré à temps dans cette région. C’est vraiment comique. En fait NON, c’est triste comme tout !"


CONCLUSION


Voici du « 16 novembre 2022 » les propos du Docteur et Professeur Knut Loeschke, membre du conseil universitaire de l’université de Leipzig, membre du conseil d’administration de l’institut Max Planck de mathématiques en sciences naturelles, président du conseil de surveillance de l’hôpital universitaire de Leipzig et de la société de conseil en informatique Soft-line AG.

Il déclare :

"J’en ai marre, ou pour le dire encore plus clairement : j’en ai marre du babillage climatique permanent et de plus en plus religieux, des fantasmes sur la transition énergétique, du culte des voitures électriques, des histoires effrayantes sur les scénarios apocalyptiques du Corona à conflagration aux catastrophes météorologiques. Je ne supporte pas des gens qui crient cela dans des microphones et devant des caméras ou qui l’impriment dans les journaux tous les jours. Je souffre de voir comment la science est transformée en putain de politique.

J’en ai marre d’avoir été abusé, les adolescents me disent de quoi avoir honte. J’en ai marre que des dérangés m’expliquent que je suis responsable de tout et de tous, mais surtout en tant qu’allemand, de la misère passée, présente et future du monde entier.

J’en ai marre des minorités religieuses et sexuelles (LGBTQ) qui, exploitant sans vergogne leurs droits minoritaires bien établis avec un soutien médiatique constant, veulent me dire ce que je peux et ne peux pas faire et dire.

J’en ai marre quand des gens complètement fous gâchent ma langue maternelle allemande et pensent qu’ils doivent m’apprendre à écrire et à parler de manière traditionnelle.

J’en ai marre de voir comment des complètement analphabète qui n’ont rien fait d’autre dans leur vie que de porter la mallette de quelqu’un d’autre, croient qu’ils peuvent gouverner l’Allemagne. Je ne peux plus le supporter quand, sous prétexte d’une « société hétéroclite », la loi et la sécurité disparaissent et quand vous sortez de la gare principale le soir que vous devez grimper sur la saleté, la crasse, les sans-abris, les toxicomanes et les voleurs de drogue, devants des murs couverts de griffonnages.

Je souhaite que les personnes de mon pays soient valorisées et soutenues, quels que soit leur sexe, leur couleur de peau et leurs origines, qui produisent chaque jour la richesse de la société dans son ensemble par leur travail assidu, productif et créateur de valeur : les employés des entreprises, les artisans, les indépendants, les nombreux entrepreneurs engagés et socialement actifs dans les petites et moyennes entreprises. Je veux que les enseignants de nos enfants, nos médecins et infirmières malades et nécessiteux reçoivent la reconnaissance, l’appréciation et le soutien qu’ils méritent chaque jour. J’aimerais que les jeunes et les fougueux se défoulent dans les limites bien définies de notre espace juridique, mais aussi qu’ils s’inclinent devant leurs parents et grands-parents, devant les vieux et les expérimentés."

… à suivre …






samedi, novembre 19, 2022

La capitale mondiale du satanisme, la France



"Peut-on encore purger la France gorgée de cette gangrène démoniaque qui agit non seulement au plus bas de l’échelle sociale mais surtout au plus haut degré de l’Etat républicain qui laisse prospérer ces réseaux de trafics d’enfants, d’organes, de drogues, avec le silence scrupuleux des médias. Les journalistes en France sont d’autant plus payés et promus qu’ils gardent scrupuleusement le silence et respectent soigneusement cette omerta."




Un visage d’ange au royaume du Diable, par Lotfi Hadjiat


Rudement secoué par le crime crapuleux commis vendredi 14 octobre sur la petite Lola, 12 ans, au visage d’ange, et pouvant à peine imaginer la violence inouïe du choc subie par ses proches, à qui j’adresse ici toute ma profonde sympathie, je me renseigne sur l’enquête en cours. Le corps de la jeune fille, violée, torturée, égorgée a été retrouvé ligoté dans une malle, avec des chiffres inscrits sur des parties de son corps. Les premiers suspects sont deux hommes et deux sœurs, quatre adultes originaires d’Algérie. Plusieurs pistes sont alors envisageables.

D’abord, la piste du crime crapuleux commis par une bande de détraqués sadiques isolée ; auquel cas il faut soigner ces détraqués en les jetant vivants dans un grand feu sur la place publique en plein jour.

Ensuite, la piste du crime rituel de sorcellerie, tel qu’il se pratique malheureusement au Maghreb, même si ces crimes sont là-bas sévèrement punis. J’apprends en particulier que « Le 21 septembre 2016, les services de sécurité de Tissemsilt (en Algérie) retrouvent Hamani Yacine, âgé de 9 ans », lui aussi victime de crime rituel. « Huit personnes ont été arrêtées dont quatre membres de la famille de l’enfant »… Lola était peut-être aux yeux de nos quatre criminels ce qu’ils appellent une enfant « zouhri », c’est-à-dire une enfant porte-bonheur, aux yeux clairs et cheveux clairs, dont le sacrifice aux démons permettrait de découvrir des trésors cachés… On savait déjà que le très laïc État français accueillait tous les fanatiques religieux du monde, maintenant on sait qu’il accueille toute la sorcellerie du monde. Selon toute apparence, l’Executif français veut quoi qu’il en coûte faire de la France la capitale mondiale du satanisme.

Enfin, la troisième piste, celle du trafic d’organes. J’ai appris encore que des trafiquants d’organes sévissent aussi dans le Maghreb. Et « qu’en mai 2008, les services de la gendarmerie de Maghnia avaient mis hors d’état de nuire un réseau de trafic international d’organes dans lequel était impliqué un Marocain, âgé de 30 ans, qui a tenté d’enlever un enfant de 2 ans à Maghnia (en Algérie) et qui avoua, lors de son audition par les enquêteurs de la Gendarmerie nationale, qu’il appartenait à un important réseau de trafic d’organes implanté à Oujda, au Maroc, où un certain Abdeljalil Amar les attendait pour transférer l’enfant dans une clinique privée » (source : Maghreb Observateur). Et selon un certain « D. Abdelkader, un trabendiste connu à Bab-El-Assa et très au fait de ce qui se passe à Oujda, cette « clinique appartient à un Juif » » (source : Maghreb Observateur).

Mais revenons à la capitale mondiale du satanisme, la France, dont le saint patron est Saint-Michel, le sublime archange qui précisément, selon la tradition, vaincra le Diable dans la guerre finale du Bien contre le Mal. Peut-on encore purger la France gorgée de cette gangrène démoniaque qui agit non seulement au plus bas de l’échelle sociale mais surtout au plus haut degré de l’Etat républicain qui laisse prospérer ces réseaux de trafics d’enfants, d’organes, de drogues, avec le silence scrupuleux des médias. Les journalistes en France sont d’autant plus payés et promus qu’ils gardent scrupuleusement le silence et respectent soigneusement cette omerta. Des milliers d’enfants disparaissent en France chaque année, et seul Dieu sait ce qu’ils subissent comme abominations. Élise Lucet avait révélé en 2000, sur France 3, des rituels de sacrifices d’enfants avec des témoignages saisissants d’enfants survivants, qui dessinaient leur bourreau vêtu d’une grande robe avec inscrit dessus un cercle contenant un triangle avec trois points dedans… symbole éminemment franc-maçonnique… Mais curieusement, après ce documentaire effroyable, les nobles autorités judiciaires et policières françaises ne réclamèrent aucune enquête sur ces réseaux du Diable et le très glorieux État républicain français se garda bien de décréter grande cause nationale la lutte contre ces réseaux.

En tout état de cause, ces réseaux sont si puissants qu’ils ont réussi jusqu’à présent à étouffer toute enquête qui aurait pu les inquiéter. Le trafiquant de jeunes filles Epsteïn est par exemple mort dans sa cellule, suicidé… c’est en tous cas ce qu’ont dit les journalistes très scrupuleux, qui très scrupuleusement évitent toujours d’enquêter sur tous les noms contenus dans les carnets d’Epsteïn, noms que la très noble justice américaine n’a pas non plus dévoilé après le procès à huis clos de Ghislaine Maxwell, bras droit d’Epstein et fusible qu’on a fait sauté pour épargner les réseaux comme dans toute affaire pédo-criminelle (Dutroux, Fourniret… ). L’Etat pense obtenir la paix sociale en laissant prospérer tous ces réseaux, tous ces trafics, en laissant circuler l’argent sale du plus bas au plus haut niveau de la société pour que chacun se sucre au passage. Mais parfois, ces circuits de l’horreur silencieux et invisibles laisse éclater l’horrible vérité. Parfois des enfants sont retrouvés, comme Lola, à la grande stupeur de la population parfaitement laïque qui ne croit pas du tout en l’existence du Diable. Et les médias et les institutions s’empressent alors de traiter ce crime crapuleux comme un cas isolé, un cas psychiatrique…, et d’étouffer toute enquête portant sur les réseaux… Mais tant que ces réseaux ne seront pas démasqués, démantelés et détruits, ces crimes horribles se perpétueront, plongeant les proches des victimes dans des abîmes de douleurs, dans l’incompréhension, ou dans des volcans de colère, des désirs de vengeance compréhensibles pour la perte irréparable subie. Notre seul espoir est que cette saine colère et cette saine vengeance s’appliquent intégralement sur ces réseaux du Diable.


vendredi, novembre 18, 2022

"Il faut des sanctions contre les auteurs de propagande de guerre"



Ségolène Royal a twitté :

"Pendant des heures une fausse information sur la Pologne a semé la peur et l’escalade des menaces. Il faut des sanctions contre les auteurs de propagande de guerre qui veulent empêcher le cessez-le-feu et créer une instance de validation des informations de guerre-paix."

Les deux premiers qui devraient être sanctionnés sont la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président de l’Union européenne, Charles Michel. Ils ont excité tout le monde avec leurs communiqués !

Il y a aussi les bellicistes hystériques, comme Lévy ou Glucksmann, qui hurlent avec Zelensky pour réclamer la mise en pratique de l'article 5 de l'OTAN et provoquer une guerre mondiale.

Bernard-Henri Lévy sur Twitter :

"N’en déplaise aux experts en intention et escalade :
- 1) l’Histoire a un inconscient ;
- 2) la Pologne est à nouveau frappée ;
- 3) les pro-Poutine sont à l’Ouest, les missiles viennent de Russie ;
- 4) Zelenski avait raison ;
- 5) l'OTAN doit, d'une façon ou d’une autre, dire : Stand With Poland."

Le tweet de Raphaël Glucksmann :

"Les missiles russes frappent en Pologne, sur le territoire de l'Union européenne et de l'OTAN. Vladimir Poutine est un danger public mondial qui doit être vaincu, pas un homme avec qui on discute." (Source)

Glucksmann effacera ce tweet quand les médias officiels mettront en ligne des articles suffisamment clairs et précis, comme celui de BFMTV : 


"Il a perdu une occasion de se taire" : en contredisant l'Otan sur l'origine du missile en Pologne, Zelensky se complique la tâche https://bfmtv.com/international/

Les Etats-Unis utilisent l’Ukraine pour faire la guerre à la Russie, mais la marionnette ukrainienne devient incontrôlable.


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BONUS :

Les Etats-Unis sèment la mort...

L'ambassade de Chine a publié une liste des États qui ont été bombardés par les États-Unis d'Amérique après la Seconde Guerre mondiale :


- Corée et Chine 1950-53 (guerre de Corée)
- Guatemala 1954 - Indonésie (1958)
- Cuba (1959-1961)
- Guatemala (1960)
- Congo (1964)
- Laos (1964-1973)
- Vietnam (1961-1973)
- Cambodge (1969-1970)
- Guatemala (1967-1969)
- Grenade (1983)
- Liban (1983, 1984) (destruction de cibles dans les territoires du Liban et de la Syrie)
- Libye (1986)
- Salvador (1980)
- Nicaragua (1980)
- Iran (1987)
- Panama (1989)
- Irak (1991) (Guerre du Golfe)
- Koweït (1991)
- Somalie (1993)
- Bosnie (1994, 1995)
- Soudan (1998)
- Afghanistan (1998)
- Yougoslavie (1999)
- Yémen (2002)
- Irak (1991-2003) (troupes conjointes américaines et britanniques)
- Irak (2003-2015)
- Afghanistan (2001-2015)
- Pakistan (2007-2015)
- Somalie (2007-2008, 2011)
- Yémen (2009, 2011)
- Libye (2011, 2015)
- Syrie (2014-2015)

Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...