dimanche, novembre 20, 2022

La Grande Escroquerie du réchauffement climatique


Par Prajñâ



Pour nombre de scientifiques, le soleil gouverne le climat, le CO2 ne compte pas


Ces 150 dernières années la température de la planète a augmenté d’un peu moins de ½ degré celsius. Le réchauffement planétaire provoqué par l’homme n’est qu’une simple théorie sur le climat. C’est devenu une des causes politique et morale emblématique de notre époque. Pour ses défenseurs, le temps des débats est révolu. Toute critique même la plus rigoureuse scientifiquement serait illégitime voire dangereuse.

Pourtant dans ce film, nous allons montrer que les températures actuelles n’ont rien d’extraordinaire, que le climat de la terre a toujours changé et qu’aucune preuve scientifique ne démontre que le climat soit déterminé par le dioxyde de carbone « généré ou non » par l’homme. Partout on vous répète sans le moindre doute que le changement climatique est le fait de l’homme. C’est un MENSONGE.

Prof. Tim Ball, ancien climatologue de l’université de Winnipeg :

"Je ne crois pas que le CO2 produit par l’homme soit la seule cause du réchauffement climatique."


Prof. Niv Shaviv, institut de physique de l’université de Jérusalem :

"Si vous m’aviez posé la question, il y a quelques années, je vous aurais dit, c’est le CO2. Pourquoi ? Parce que comme tout le monde j’écoutais ce que disaient les Media. Les nouvelles du réchauffement planétaire provoqué par l’homme dont les Media nous inondent semblent chaque jour de plus en plus apocalyptiques et malgré cela un certain nombre d’éminents spécialistes du climat affirment aujourd’hui que cette théorie n’a tout simplement aucun sens. Il y eut des périodes dans l’histoire de la terre durant lesquelles les quantités de C02 étaient 10 fois plus élevées. Si le C02 avait un effet de serre aussi capital sur le climat cela apparaîtrait sur la courbe des températures."

Prof. Ian Clark, département des sciences de la terre, université d’Ottawa :

"Si on analyse le climat à l’échelle géologique on n’accordera jamais au C02 une influence aussi importante. On ne peut dire que le CO2 est à l’origine de variations climatiques car il ne l’a jamais été."

Dr Piers Corbyn, météorologue :

"Aucun changement climatique majeur de ce dernier millénaire peut s’expliquer par le C02."

Prof. John Christy, Lead author, IPCC :

"J’ai souvent entendu dire qu’il y avait un consensus scientifique sur la question du réchauffement planétaire selon lequel les hommes seraient en train de causer un changement catastrophique du système climatique. En tant que scientifique je pense que c’est FAUX. Le réchauffement climatique provoqué par l’homme n’est pas une théorie scientifique ordinaire. Elle est soutenue par un organisme politique puissant de l’ONU, le G.E.I.C., le Groupe d’Experts Inter-gouvernementaux sur l’évolution du Climat."

Prof. Philip Scott, département de biogéographie, université de Londres :

"Le G.E.I.C, comme tout organisme de l’ONU est politique et les conclusions de ses rapports sont influencées par la politique."

Prof. Paul Reiter, IPPC et institut Pasteur, Paris :

"Prétendre que le G.E.I.C rassemble les 1500 à 2500 meilleurs scientifiques du monde est FAUX. Il suffit de regarder les biographies de ses membres pour voir qu’ils ne sont pas scientifiques."

Prof. Richard Lindzen, IPCC et M.I.T. Californie :

"Pour faire monter le nombre à 2500, ils ont dû faire appel à des réviseurs, à des fonctionnaires, etc., à tout ce qui leur passait sous la main et ils n’ont demandé l’accord à personne ; beaucoup, d’ailleurs, ne sont pas d’accord !"

Paul Reiter :

"Je connais un certain nombre de personnes, de vrais spécialistes qui n’étant pas d’accord avec la polémique ont démissionné et malgré tout sont restés dans la liste des auteurs et sont entrés parmi les fameux 2500 scientifiques du monde !"


Voici l’histoire d’une théorie sur le climat qui s’est transformée en idéologie politique


Patrick Moore, cofondateur de GreenPeace :

"Je n’ai plus envie de parler de mouvement écologiste parce que c’est devenu un mouvement d’activismes politiques très influents sur le plan international. Voici comment tout un domaine de la science a été dénaturé."

Docteur Roy Spencer, chercheur en sciences, université d’Alabama, Huntsville :

"Les scientifiques du climat ont besoin qu’il y ait un problème s’ils veulent que l’on finance leurs travaux. Nous avons tout intérêt à provoquer la panique pour que l’argent soit investi dans les sciences du climat. La chose à ne surtout pas dire, c’est que « peut-être » il n’y a pas de problème ?!

On nous dit de nous inquiéter car le climat mondial est en train de changer, mais le climat mondial n’a jamais cessé de changer.

La longue histoire de la terre est ponctuée de périodes bien plus chaudes ou bien plus froides que la nôtre. Le climat a toujours évolué sans que nous les hommes y soyons pour quelque chose ! La tendance actuelle au réchauffement remonte à il y a au moins 200 ans et elle suit une période très froide de l’histoire de la terre que les climatologues appellent « Petit âge de glace ».

Au 14ième siècle l’Europe est entrée dans le petit âge de glace et durant les hivers les plus durs et les plus rigoureux de cette période-là la Tamise gelait. Avant le petit âge de glace, a eu lieu une période de douceur lors de laquelle les températures étaient plus chaudes qu’aujourd’hui, une période que les climatologues appellent « optimum médiéval ». En Europe elle correspond au temps des bâtisseurs de Cathédrales."

Prof. Philippe Stott :

"Il est important de comprendre que le climat au moyen-âge a permis un tout nouveau style de vie. De nos jours, on s’imagine que le réchauffement aura des conséquences apocalyptiques mais en fait quand on décrit cette période médiévale de chaleur, elle est toujours associée à la richesse. En remontant encore le temps, au-delà de l’optimum médiéval, on découvre d’autres périodes chaudes dont une très longue durant l’âge de bronze et l’âge de pierre, que les géologues appellent « optimum climatique holocène ». Les températures étaient alors sensiblement supérieures aux températures actuelles et cela durant 3000 ans. Les variations climatiques du passé étaient de toute évidence naturelles. Alors pourquoi cela serait-ce différent aujourd’hui ?

Selon la théorie du réchauffement planétaire généré par l’homme, le dioxyde de carbone émis par l’industrie fait grimper les températures. Mais qu’est-ce qui le prouve ?"

Prof. Patrick Michaels, G.E.I.C et département des sciences de l’environnement, Virginie :

"Quiconque affirmant que le dioxyde de carbone est le responsable majeur du réchauffement planétaire du 20ième siècle n’a pas vu les chiffres élémentaires. Au début du 20ième siècle, la majeure partie du monde se trouve dans l’ère préindustrielle. Très peu de gens ont une voiture ou même l’électricité. L’industrie est encore assez primaire, réduite à quelques pays paralysés par la crise économique. Mais après la seconde guerre mondiale, tout change et on commence à produire en masse pour un marché international des produits de consommation tels que les réfrigérateurs, les machines à laver, les téléviseurs et les voitures. Pour désigner cette explosion de l’activité industrielle, les historiens parlent des « 30 glorieuses ».

Dressons un parallèle avec l’évolution de la température. Ces 150 dernières années la température de la planète a augmenté d’un peu plus de ½ degré celsius, mais curieusement ce réchauffement principalement eut lieu au début du 20ième siècle entre 1905 et 1940 au moment où la production industrielle était relativement faible, puis après 1940 le climat s’est rafraîchi !

Voici un relevé des températures de l’arctique au cours du 20ième siècle. Durant le Boom économique de l’après-guerre les températures s’effondrent et paradoxalement elles cesseront de décroître seulement lors de la crise économique des années 1970."

Prof. Syun-Ichi Akasolu, directeur de l’IARC, centre international de recherche arctique :

"La quantité de CO2 a augmenté de manière exponentielle aux alentours de 1940 mais à cette époque la température a commencé à baisser et cela a duré jusqu’en 1975. Le rapport est donc inversé. « Quand le CO2 augmente rapidement la température baisse ». On ne peut donc pas dire qu’ils évoluent dans le même sens."

Prof. Tim Ball, ancien prof. de climatologie, université de Winnipeg :

"La température a augmenté sensiblement jusqu’en 1940 quand la production humaine de CO2 était relativement basse, puis dans les années d’après-guerre quand l’industrie et toutes les économies ont pris leur essor et que le CO2 produit par l’homme est monté en flèche, la température mondiale s’est mise à baisser. En d’autres termes, les faits ne correspondent pas à la théorie.

Qu’est-ce qui nous fait dire que le dioxyde de carbone est responsable des changements climatiques ?

Le CO2 ne représente qu’une infime partie de l’atmosphère de la terre. En fait les variations de son niveau dans l’atmosphère ne se mesure qu’en dizaines de parties / million.

Le % que représente le CO2 dans l’atmosphère par rapport aux autres gaz, l’O2, l’azote, l’argon, etc., est de 0,054% ! C’est une part incroyablement faible. Et quand vous vous intéressez à la part soi-disant ajoutée par l’homme, le point de convergence de toutes nos inquiétudes, elle est encore plus faible ! …

L’effet de serre n’est qu’une composante des systèmes climatiques de la terre et le CO2 est un gaz à effet de serre relativement mineur.

L’atmosphère se compose d’une multitude de gaz dont un petit pourcentage s’appelle gaz à effet de serre et 99% de ce tout petit pourcentage est de la vapeur d’eau, gaz à effet de serre le plus important.

La vapeur d’eau est un gaz à effet de serre de loin le plus important. Non seulement le CO2 est un gaz à effet de serre secondaire mais on est loin d’être sûr que ces gaz-là soient responsables d’un changement climatique.

Pour en savoir plus, regardons le ciel ou une partie du ciel appelé « troposphère »."

Richard Lindzen :

"Si les gaz à effet de serre sont responsables du réchauffement, celui-ci sera plus important au milieu de la troposphère dans les 10 à 12 premiers kms de l’atmosphère qu’à la surface de la terre. Ceci s’explique par de bonnes raisons théoriques liées à la manière dont fonctionne l’effet de serre.

L’effet de serre fonctionne ainsi :

1 – Le soleil envoie sa chaleur sur terre.

2 – Sans le gaz à effet de serre, ses radiations solaires seraient renvoyées vers l’espace en laissant une planète froide et inhabitable.

3 – Les gaz à effet de serre retiennent la chaleur dans la troposphère quelques kms au-dessus de la surface de la terre et c’est là selon les modèles climatiques que le taux de réchauffement devrait être le plus élevé si les gaz à effet de serre en sont bien la cause."

Pr. Frederick Singer, premier directeur de l’agence américaine de satellites météorologiques :

'Selon tous les modèles sans exception, le réchauffement devrait augmenter à mesure que l’on monte de la surface de la terre vers l’atmosphère et le réchauffement maximal au-dessus de l’équateur devrait en fait être à une altitude d’une dizaine de kms.

Le Pr. John Kristy est l’un des scientifiques chargés de mesurer la température de l’atmosphère de la terre. En 1991, il a reçu la médaille de la NASA récompensant une réalisation scientifique exceptionnelle et en 1996 une récompense spéciale da la société météorologique américaine pour avoir fait progresser fondamentalement notre capacité de maîtrise du climat. Il a également été l’auteur d’un rapport du G.I.E.C (il donnera ensuite sa démission du GIEC). Pour relever la température de l’atmosphère, les scientifiques comme le Prof. Kristy, ont recours à 2 moyens : les satellites et les ballons sondes. On a constaté systématiquement qu’au-dessus de beaucoup d’endroits de la planète, la majeure partie de l’atmosphère ne se réchauffait pas autant que ce que l’on observe à la surface de la terre. C’est un vrai casse-tête pour nous. Parce que la théorie est assez simple : si la surface se réchauffe, l’atmosphère supérieure devrait se réchauffer rapidement, la montée de la température de cette partie de l’atmosphère n’est absolument pas dramatique et ne correspond vraiment pas à la théorie que les modèles climatiques du moment expriment.

L’un des ennuis des modèles c’est qu’ils prédisent que à l’exception des régions polaires, plus on monte haut dans l’atmosphère plus le taux de réchauffement augmente et d’après les deux sources de données, les données satellitaires que tout le monde cite mais aussi celles des ballons sondes, il est très clair que l’on n’observe pas du tout cet effet-là. En fait, il semblerait plutôt que les températures de la surface de la terre se réchauffent légèrement plus que les couches d’air supérieures. C’est une sacrée différence.

Ces données laissent entendre que le réchauffement observé n’est probablement pas dû au gaz à effet de serre. Les observations ne montrent pas une augmentation avec l’altitude. Au contraire, la majorité des observations montrent une légère baisse du taux de réchauffement avec l’altitude. On peut donc dire d’une certaine manière que les preuves réfutent l’hypothèse selon laquelle l’homme serait à l’origine du réchauffement planétaire.

Le récent réchauffement de la terre s’est produit au mauvais moment et au mauvais endroit. Si le CO2 était responsable des changements climatiques la température aurait dû monter après le Boom économique d’après-guerre et le taux de réchauffement devrait être plus élevé dans la troposphère qu’à la surface de la terre. Pourtant c’est le contraire qui s’est produit. Alors, dans la longue histoire du climat de la terre, existe-t-il un exemple d’un changement de température entraîné par le dioxyde de carbone ?

Forer la glace dans ses profondeurs est un moyen de se plonger dans le passé. Cela a d’ailleurs permis aux scientifiques de trouver un lien entre le CO2 et l’évolution des températures de la planète. Les études de carottes glaciaires sont fréquemment citées pour étayer la théorie du réchauffement planétaire provoqué par l’homme. Mais la glace renferme des données que l’on mentionne très rarement. Le Prof. Yan Clark est un éminent paléo-climatologue qui analyse en arctique les températures de la terre depuis des centaines de milliers d’années. Quand on s’intéresse au climat sur une très longue échelle temporelle, on recherche des matériaux géologiques qui ont enregistré les variations climatiques, prenons une carotte de glace par exemple.

Certes, on reconstitue les températures à partir des isotopes de la glace mais on libère également l’atmosphère prise dans cette glace et on peut alors observer le CO2 qu’elle contient.

Le Prof. Clark et d’autres chercheurs ont en effet mis en évidence un rapport entre la variation de taux de CO2 et celle de la température de l’air mais pas celui qu’on attendait. Voici l’enregistrement climatique présent dans la carotte de Vostok qui montre l’évolution des températures d’une époque lointaine à une époque plus proche dans un intervalle capital puisqu’il commence juste après une ère de glaciation : on note que la température grimpe mais aussi que le CO2 la suit avec un temps de décalage, un retard de 800 ans ! On peut donc dire que la température a 8 siècles d’avance sur le CO2…

Plusieurs études majeures de la calotte glaciaire ont été menées et toutes montrent la même chose : les températures augmentent ou baissent, puis quelques siècles plus tard le taux d’oxyde de carbone les suit.

De toute évidence, le dioxyde de carbone n’est pas la cause de ce réchauffement, on peut même dire que le réchauffement entraîne l’augmentation du dioxyde de carbone.

Très clairement, le CO2 ne peut pas causer des changements de température. Il en est le produit, il suit le changement de température. Les mesures réalisées grâce aux forages de la calotte glacière nous conduisent au cœur même du problème.

On dit que la température montera si le taux de CO2 en tant que gaz à effet de serre augmente dans l’atmosphère mais les forages font la démonstration inverse. Ils prouvent que l’hypothèse fondamentale de la théorie du changement climatique est dû à l’homme est FAUSSE.

Mais comment le réchauffement des températures peut-il faire augmenter la quantité de CO2 contenu dans l’atmosphère ? : La réponse se trouve au fond des océans.

Les océans émettent dans l’atmosphère près de 80 gigas-tonnes de dioxyde de carbone/an alors que les humains n’en émettent que 7 environ mais la quantité de CO2 provenant des océans dépend de la température.

Comme ont appris tous les écoliers dans leurs manuels de géographie, l’océan et l’atmosphère s’échangent le dioxyde de carbone. Quand l’océan se réchauffe il rejette du CO2 dans l’atmosphère et quand il refroidit il en absorbe et la conserve.

Mais pourquoi existe-t-il un décalage de plusieurs siècles entre un changement de température et une variation de la quantité de CO2 absorbé ou rejeté par les océans ?

Parce que les océans sont si vastes et si profonds qu’il leur faut des siècles pour se réchauffer ou refroidir.

Les océans sont vastes et occupent la majeure partie de la surface de la terre et c’est pour cela qu’ils mettent autant de temps à se réchauffer ou à refroidir. Cela leur prend des centaines d’années.

L’idée la plus répandue selon laquelle le dioxyde de carbone serait à l’origine des changements climatiques est en contradiction avec la quantité de données scientifiques dont nous disposons, qu’elles proviennent de ballons sondes ou de satellites ou de carottes de glace ou de relevés météorologiques historiques. Mais si le CO2 n’est pas le moteur de l’évolution climatique, alors qui l’est ?

Prof. Philipp Scot :

"N’est-ce pas étonnant de penser que ce sont les hommes qui en faisant le plein d’essence ou en allumant la lumière commande le climat ? Mais regardez le ciel, regardez cette chose immense qu’est le soleil. Bien que nous soyons 7,5 milliards nous ne sommes rien à côté de lui."

Dr Piers Corbyn :

A la fin des années 1980, ce physicien solaire décide d’essayer une méthode de prévision météorologique radicalement nouvelle. Sa technique permet des prévisions plus précises que celles du MET office de météo du gouvernement britannique. La presse l’acclame alors comme le « super monsieur météo ». Le secret de cette réussite ? : le soleil. Notre technique de prévision météo sur le long terme a commencé par l’étude des tâches solaires et le désir de les prévoir. C’est alors que j’ai compris qu’il était beaucoup plus intéressant de se servir du soleil pour prévoir le temps. Nous savons aujourd’hui que les tâches solaires sont des champs magnétiques intenses qui apparaissent en période de haute activité solaire. Mais pendant des siècles, bien avant que l’on comprenne correctement le phénomène, les astronomes du monde entier ont compté les tâches solaires pensant que plus elles étaient nombreuses, plus cela annonçait un temps chaud. En 1893, l’astronome Britannique Edward Maunder observe que pendant le petit âge de glace, le nombre de tâches solaires était quasi nul, ce qui marque une période d’inactivité solaire connue désormais sous le nom de « minimum de Maunder ». Mais les tâches solaires sont-elles un indicateur météorologique fiable ? J’ai décidé d’évaluer notre technique en pariant sur le temps par l’intermédiaire de Bookmakers … Je pariais contre les prévisions du Met office et j’ai gagné de l’argent mois après mois. Le Met office avait prévu que l’hiver dernier serait exceptionnellement froid ; Nous, nous avons dit, NON car c’est faux ; on sera très proche des normales saisonnières, tout en précisant qu’il ferait particulièrement froid après Noël et en février. Nous avons eu raison et ils ont eu tort.

En 1991, des scientifiques renommés de l’institut météorologique Danois décident de dresser une liste des tâches solaires du 20ième siècle et d’établir une comparaison avec les relevés des températures. Ils découvrent ainsi un lien incroyablement étroit entre l’activité du soleil et les changements de température sur terre. D’après leurs observations, l’activité solaire a nettement augmenté jusqu’en 1940 pour décroître jusqu’aux années 1975 et enfin reprendre. Quand nous avons mis en avant cette corrélation entre la température et les tâches solaires, les cycles solaires, on nous a dit : « ok, mais ce n’est peut-être qu’une coïncidence… ». Alors, comment prouver que ce n’était pas une simple coïncidence ? La solution évidente était d’étudier de plus longues périodes ou des périodes différentes. Nous sommes donc remontés dans le temps. Avec des confrères nous nous sommes penchés sur 400 ans de passé astronomique afin d’établir un parallèle entre l’activité des tâches solaires et les variations de température, et cette fois encore il sera découvert que les variations de l’activité solaire sont intimement liées aux changements de température sur terre. C’est le soleil, semble-t-il, et NON le dioxyde de carbone ou quoi que ce soit d’autre qui influencerait les changements de climat. Le soleil a une influence directe sur la terre qui lui envoie sa chaleur, mais les scientifiques ont établi qu’il avait également une influence très directe en régulant la formation des nuages. En fait, son influence est si multiple qu’il n’est pas surprenant que les variations de l’activité solaire correspondent autant aux changements climatiques de la terre.

Nigel Calder :

Si vous aviez des rayons X à la place des yeux, ce que vous verriez comme une jolie boule ronde jaune inoffensive vous apparaîtrait comme un tigre enragé, le soleil étant une brute d’une incroyable violence ! Il envoie de grands souffles de gaz et un vent solaire qui balaye incessamment la terre. D’une certaine manière nous nous trouvons à l’intérieur de l’atmosphère du soleil. L’intensité de son champ magnétique a presque doublé au cours du 20ième siècle.

En 2005, des astrophysiciens de Harvard ont publié un graphique dans le journal officiel de l’union américaine de géophysique. Une courbe représente l’évolution des températures de l’arctique au cours des 100 dernières années et l’autre courbe l’augmentation du dioxyde de carbone sur la même période. Manifestement, elles ne sont pas liées l’une à l’autre …

… L’activité solaire des 5 derniers siècles sur une base décennale est en corrélation avec les températures dans l’arctique et de la glace de mer. Pour nombre de scientifiques, la conclusion s’impose : le soleil gouverne le climat. Le CO2 ne compte pas.

Alors pourquoi, si tel est le cas, nous assènent-on constamment jour après jour que le réchauffement planétaire est le fait de l’homme ? Pourquoi tant de personnes des Media et d’autres professions présentent-elles cela comme un fait incontestable ? …

Pour comprendre l’impact de la théorie du réchauffement planétaire, racontons comment elle s’est développée ? …

Les prévisions climatiques alarmistes ne sont pas nouvelles. En 1974, la BBC prévient que de violents orages et de grandes inondations pourraient être le signe annonciateur d’une catastrophe imminente et quelles en seraient la cause … Le rédacteur de cette série TV est alors le rédacteur en chef du New Scientist … Dans le « Weather machine » nous nous faisions l’écho « de l’idée dominante de l’époque » c’est-à-dire la crainte d’un refroidissement planétaire et de l’arrivée d’une nouvelle période glaciaire. Nous sommes tout petits à côté de la glace. Après des décennies à observer la chute des températures, les experts de l’époque annoncent que le refroidissement du monde aura des conséquences catastrophiques : « nous sommes sous la menace constante d’un grand gel … ». Cette nouvelle période glaciaire s’emparera-t-elle de nos terres ? ». Ensevelira-t-elle nos villes du nord ? … mais au milieu de ces prévisions alarmistes pointe une lueur d’espoir…

Un scientifique suédois, Pert Bolyn, suggère timidement que le dioxyde de carbone émis par l’homme pourrait réchauffer la planète mais il n’en est pas certain … … La planète renferme de grandes réserves de pétrole. Il nous reste encore beaucoup de charbon mais il semblerait que nous le brulions de plus en plus vite et si nous continuons ainsi, dans une cinquantaine d’années le climat pourrait s’être réchauffé de quelques degrés (cette hypothèse était propagandiste).

Nous avons également été les premiers à laisser la parole sur une chaîne de TV internationale à ce Suédois qui parlait du danger du dioxyde de carbone. Je me souviens que d’éminents spécialistes m’ont farouchement reproché de m’être laissé séduire par ces idées fantaisistes.

Dès les années 1970, à l’apogée de la peur du refroidissement planétaire, « la théorie excentrique » de réchauffement planétaire provoquée par l’homme semble absurde mais deux événements viennent inverser la tendance :

1 – les températures commencent à se réchauffer

2 – les mineurs britanniques se mettent en grève. Margareth Thatcher qui est alors premier ministre de Grande Bretagne fait de l’énergie un problème politique. Au début des années 1970, le choc pétrolier a plongé le monde dans la crise. En Grande Bretagne, une grève écrasante des mineurs également a provoqué des coupures d’électricité et la chute du gouvernement conservateur. Madame Thatcher est prête à tout pour ne pas subir le même sort et voici ce qu’elle dit : « nous avons vu dans ce pays l’émergence d’une minorité révolutionnaire organisée dont le véritable objectif est la destruction du régime parlementaire démocratique ». La politisation du sujet a commencé avec Margaret Thatcher.

Elle s’est toujours beaucoup impliquée dans la promotion de l’énergie nucléaire. Je m’en souviens puisque j’ai été secrétaire d’état à l’énergie et cela bien avant que l’on parle de problème de changement climatique parce qu’elle s’inquiétait pour la sécurité de l’énergie et de ce que dit le pétrole. Le syndicat national des mineurs ne lui inspirait pas confiance. Elle ne croyait ni au pétrole ni au charbon. Elle pensait donc que nous devions continuer à développer l’énergie nucléaire ; puis quand la théorie de réchauffement climatique est apparue, elle a pensé : « c’est parfait ! », voilà un nouvel argument en faveur du nucléaire puisque cette énergie n’émet pas d’émission de CO2 ; tel a été son propos qui depuis a été quelque peu déformé. Elle s’est donc rendue à la Royal Society Academy Britannique des sciences et a dit : « Il y a de l’argent à la clé si vous prouvez cette théorie ! ». « Alors, forcément, ils l’ont prouvé !! ».

Prof. Philip Scot :

Inévitablement, dès lors que les politiques soutiennent une cause et y associent leur nom d’une manière ou d’une autre, l’argent afflue. C’est ainsi et inévitablement que les institutions de recherche et de développement se sont mis à bouillonner si je puis dire. Elles allaient étudier le climat mais en mettant un accent particulier sur la relation entre le dioxyde de carbone et la température.

En 1988, à la demande de Madame Thatcher, le MET Office met en place une équipe de modélisation climatique pour constituer plus tard la base d’un nouveau comité international baptisé le G.E.I.C … Et le premier grand rapport qu’ils nous ont publié prévoyait une catastrophe climatique provoquée par le réchauffement climatique. Je me souviens de la conférence destinée à la presse scientifique à laquelle j’ai assisté. J’étais frappé par deux choses :

1 – la simplicité et l’éloquence du message ainsi que l’énergie avec laquelle il nous était transmis.

2 – le mépris total de toutes les découvertes climatologiques réalisées jusqu’alors y compris le rôle du soleil qui pourtant avait été au centre de la Royal Society lors d’une réunion importante quelques mois plus tôt !

Mais le toute nouvelle importance accordée au dioxyde de carbone générée par l’homme dans les problèmes environnementaux ne séduira pas que Margaret Thatcher …


Patrick MOORE (un des plus grands écologistes de sa génération et il est un des fondateurs de Greenpeace) :

"Le climat est devenu un centre d’intérêt majeur pour deux raisons bien distinctes.

1 – Au milieu des années 1980, la majorité des gens était en accord avec la plupart des idées raisonnables que le mouvement écologiste préconisait. Quand une majorité de gens est d’accord avec vous il n’est pas facile de continuer à la provoquer. La seule façon de rester contestataire était d’adopter des positions encore plus extrêmes ; quand j’ai quitté Greenpeace, ils étaient en train de se mettre d’accord sur une campagne interdisant le chlore dans le monde entier. Je leur ai dit, concernant le CO2 : « il fait partie du tableau de la classification périodique des éléments, je ne suis pas sûr que notre juridiction permette d’interdire un élément chimique ! ».

2 – Et deuxièmement l’extrémisme écologique qui a vu le jour à cause de l’échec du communisme. Le mur est tombé. Beaucoup de pacifistes et de militants politiques se sont alors tournés vers le mouvement écologiste en amenant avec eux leur néo–marxisme. Ils ont très intelligemment appris à manier la langue des verts pour masquer des programmes plus proches de l’anti–capitalisme ou de l’anti–mondialisme que de l’écologie et de la science.

La gauche a été légèrement désorientée par l’échec manifeste du socialisme et bien plus encore du communisme, de la forme de communisme qu’elle avait adoptée. Elle est restée anti–capitalisme mais elle a dû trouver un nouveau prétexte à son anti–capitalisme. Et cela a donné une alliance étonnante, allant de la droite avec Margaret Thatcher jusqu’aux écologistes anti–capitalistes d’extrême gauche. Et c’est ce qui a donné un grand élan à cette idée « farfelue ».

Au début des années 1990, la théorie du réchauffement planétaire provoquée par l’homme ne revêt plus un caractère excentrique. Elle donne lieu à une campagne politique à grande échelle ce qui attire l’attention des Media et qui lui vaut un supplément de financement public.

Avant Bush père, les fonds investis dans la climatologie et les sciences du climat s’élevaient à environ 170 millions de dollars par an ce qui était raisonnable compte-tenu de l’importance du domaine. Le budget est ensuite passé à plus de 2 milliards de dollars, soit en fait 11 fois plus, d’où des changements considérables … Beaucoup d’emplois ont été créés. Beaucoup de nouvelles personnes qui auparavant s’en désintéressaient sont entrées dans cette filière. On a vu surgir des cohortes de personnes dont le seul intérêt pour ce domaine tenait au réchauffement planétaire.

Si je voulais faire de la recherche disons sur les écureuils de Sussex et ceci est valable depuis les années 1990, je remplirais ma demande de bourse en disant : « je souhaite réaliser une étude sur le comportement de collecte des noisettes chez l’écureuil au regard de ses effets sur le réchauffement climatique » … et ainsi j’obtiendrais de l’argent ! Si j’omets cette référence il se peut qu’on ne me verse rien …

Nous sommes tous en concurrence pour obtenir des fonds et si notre domaine d’étude suscite des inquiétudes, nous aurons d’autant moins de peine à justifier l’allocation de fonds dans le domaine en question.

Une proportion importante de ces fonds a été consacrée à l’élaboration de modèles permettant de concevoir des projections climatiques.

Mais quel est au juste le degré d’exactitude de ces modèles ?


Le Dr Roy Spencer a été un chercheur de haut rang en études climatiques au centre de vol spatial Marchal de la NASA. Il s’est vu décerné des médailles par la société météorologique américaine et la NASA pensant sa contribution exceptionnelle dans le domaine scientifique :

"Les modèles climatiques sont ce que valent les hypothèses qu’elles intègrent. Mais, il existe des centaines d’hypothèses. Il suffit que l’une d’elle soit fausse pour que la projection perde toute pertinence, tous les modèles partant de l’hypothèse que le CO2 produit par l’homme plutôt que par le soleil ou les nuages soit la cause du changement climatique."

Prof. Tim Ball :

"L’analogie à laquelle j’ai l’habitude de me référer est la suivante : ma voiture marche mal mais je ne tiendrai compte ni du moteur (le soleil) ni de la transmission (la vapeur d’eau). Je vais me consacrer à l’écrou de la roue arrière droite … soit le CO2 produit par l’homme. C’est voir à quel point la science se fourvoie."

Prof. Ian Clark, département des sciences de la terre, Ottawa :

"Faute d’une bonne compréhension du système climatique et de mise en corrélation de tous ses composants : rayons cosmiques, solaires, CO2, vapeur d’eau, nuages, etc., votre modèle ne vaut rien !

L’éventail des prévisions climatiques varie considérablement. Ces variations résultent d’une légère modification des hypothèses sur lesquels les modèles sont fondés. J’ai travaillé avec les modélistes. En fignolant les paramètres de modèles mathématiques, « on modélise tout et n’importe quoi ». On peut faire apparaître un réchauffement ou un refroidissement du climat en apportant des modifications.

Au premier abord, les modèles informatiques ont de quoi impressionner le novice. Il donne souvent lieu à de folles spéculations qui se présentent sous la forme d’énoncés scientifiques rigoureux. Ils fournissent également aux Media une source abondante de scénarios spectaculaires.

Ce qui me surprend en qualité de journaliste (ici d’investigation véritable) de longue date c’est la façon dont sur ce chapitre les principes journalistiques les plus élémentaires semblent aussi être bafoués. (Cela sera la même chose pour la fausse pandémie covid).

Il y a une nouvelle génération de reporters et de journalistes spécialisés dans l’environnement ; si vous en faite partie et que cette histoire de réchauffement planétaire est jetée au rebus, votre emploi connaît le même sort !

Les reportages se doivent d’être de plus en plus alarmistes, parce qu’il reste heureusement une poignée de chroniqueurs aguerris près à déclarer : « vous teniez le même discours il y a 5 ans ». « Ah, oui ! » … « mais (répondra-t-il) aujourd’hui c’est bien pire ». Le niveau de la mer va monter de trois mètres d’ici à mardi prochain ou je ne sais quoi. Ils sont contraints d’adopter un discours toujours plus véhément.

Les Media ont désormais coutume d’imputer le moindre ouragan ou la moindre tempête au réchauffement climatique.

Mais sur quel fond scientifique s’appuient-ils ? C’est de la propagande.

Tous les manuels de météorologie nous disent que les principales causes des perturbations climatiques est la différence des températures entre les tropiques et les pôles et on nous dit que si le climat se réchauffe, cette différence se réduira. On devrait donc en conclure que le climat sera moins rigoureux et qu’il y aura moins de variations climatiques. Mais pour une raison ou une autre comme ce n’est pas assez catastrophique, on vous dit le contraire. On n’entend parfois dire qu’un réchauffement modéré suffirait à faire fondre les calottes de glace polaires de la planète."

Mais que nous apprend l’histoire climatique de notre planète ?

Prof. John Christy :

"Nous disposons de relevés de températures effectués au Groenland il y a plusieurs milliers d’année. Le Groenland a connu dans le passé des températures bien plus élevées qu’aujourd’hui. Il y a seulement 1000 ans, il y faisait plus chaud qu’aujourd’hui sans pour autant qu’il y ait eu plus de fontes des glaces dramatiques."

Prof. Philip Stott :

"Même si l’on considère le « permagel », cette couche de glace que l’on trouve par exemple en Russie, on s’aperçoit qu’une grande partie de celui-ci a fondu il y a 7 ou 8000 ans dans des portions bien plus importantes que celles des projections historiques, mais le monde ne s’est pas pour autant brusquement effondré."

Le Prof. Syun-ichi Akasofu, directeur du centre arctique de l’Alaska, le plus important institut en la matière.

Il souligne que les calottes de glace sont soumises en permanence à un processus naturel d’expansion et de contraction. La chute de blocs de glaces du continent antarctique dont de temps à autre on entend parler a dû se produire à toutes les époques mais comme nous disposons aujourd’hui de satellites qui détectent le moindre de ces phénomènes, ils font l’actualité. Je vois tous ces programmes télévisés de faux réchauffement planétaire montrant de grands blocs de glace qui s’effondrent sur les bords des glaciers, mais on n’oublie que la glace est toujours en mouvement.

Ces images satellites de la NASA montrent dans toutes leur ampleur l’expansion et la contraction naturelle des glaces de la mer polaire au cours des années 1990. Les journaux d’information diffusent régulièrement des images de glace se détachant des bords de l’arctique. Ce que l’on omet de dire en revanche c’est qu’il s’agit d’un phénomène aussi ordinaire en antarctique que la chute des feuilles un jour d’automne. On me demande : « avez-vous vu de la glace tomber sur les bords des glaciers ? ». « Oui, c’est le dégel du printemps ! ». Il se produit tous les ans. Les journalistes nous sollicitent en permanence à l’affut d’éléments sur l’effet de serre. Je leur réponds qu’il n’existe rien de tel. Il est aussi courant d’imputer la variation du niveau des mers au changement climatique.

Cette corrélation est-elle scientifiquement avérée ?

La variation du niveau des mers sur la planète est régie par deux facteurs.

1 – Des facteurs locaux, le rapport de la mer à la terre, lequel a soi-dit en passant plus à voir avec l’élévation ou l’affaissement du niveau des terres qu’avec la hausse ou la baisse du niveau des eaux.

2 – Le statisme, la variation du niveau des mers à l’échelle mondiale. Celle-ci est liée à l’expansion thermique des océans. Elle n’a rien à voir avec la fonte des glaces et se déroule sur des durées bien plus longues que l’espace de votre vie ou de la mienne, avant même que l’on puisse la détecter. On soutient par ailleurs qu’une faible hausse des températures entrainera la propagation vers le nord de maladies tropicales mortelles transmises par les insectes, telle la malaria.

Mais là encore, est-ce exact ?

Le Prof. Paul Rieter de l’institut pasteur à Paris est un des spécialistes les plus réputés de la malaria et d’autres maladies inoculées par des insectes. Il est membre du comité consultatif de l’OMS et a présidé le comité américain d’entomologie médicale de la société américaine de médecine tropicale et a dirigé la publication de la section santé du rapport d’évaluation nationale des conséquences potentielles de la variabilité climatique commandée par le gouvernement américain.

« Les moustiques ne se cantonnent pas aux régions tropicales. Chacun peut constater qu’il y en a dans toutes les régions aux climats tempérés. On en trouve même énormément en arctique. En fait, dans les années 1920 c’est en Union Soviétique que s’est propagée la plus grande épidémie de malaria. On a compté 13 millions de cas déclarés et près de 600.000 morts, une catastrophe épouvantable qui a atteint le cercle arctique. En Arkhangelsk on a comptabilisé 30.000 cas et 10.000 morts. La malaria n’est pas uniquement une maladie tropicale et pourtant les associations climatiques répandent la menace que la maladie pourrait se déplacer vers les régions du nord.

Les rapports officiels émis par le G.I.E.C. sont souvent très alarmants mais sont-ils fiables ?

J’ai été scandalisé par la lecture du 2ième et du 3ième rapport d’évaluation. Ce n’était qu’une addition d’informations inexactes, sans aucune source scientifique ; en tous les cas pratiquement aucune littérature scientifique élaborée par des spécialistes sérieux n’y étaient cités. (Ce sera la même chose avec les médecins de plateaux TV et les annonces du ministre de la santé Olivier Veran et ses représentants pendant le Covid).

Dans une lettre ouverte au Wall Street Journal, l’ex président de l’académie nationale des sciences américaines, le Prof. Frédéric Sides révèle que le G.I.E.C a bien censuré les commentaires de certains scientifiques.

Il écrit : « ce rapport n’est pas conforme à la version approuvée par les scientifiques ayant contribué à sa rédaction ». De fait plus de 1/5ième du chapitre scientifique a été supprimé comme par exemple : « aucune étude n’a pu être prouvée de façon définitive que l’on pouvait attribuer des changements climatiques aux gaz à effet de serre ou encore à ce jour aucune étude ne peut dire que l’homme est totalement ou en partie responsable des changements climatiques observés. Et le Professeur de conclure : « jamais je n’ai constaté une violation aussi alarmante des règles de la déontologie que celles dont témoignent les événements qui ont abouti aux rapports du G.E.I.C ; en retour le G.E.I.C. ne nie pas d’avoir supprimer des articles tout en certifiant que cela n’a pas été fait par malhonnêteté ou partie pris … ! ; il affirme par ailleurs que les incertitudes sur les causes du réchauffement global ont été conservées … ».

Les modifications ont été apportées suites à des remarques faites par certains gouvernements, par des scientifiques indépendants et par des ONG.

Quand j’ai démissionné du G.E.I.C., j’ai cru que l’affaire était classée jusqu’à ce que je constate que mon nom figure encore sur l’avant-projet. J’ai donc demandé qu’il soit retiré. On m’a dit que j’avais contribué à l’écrire et que par conséquent il y resterait. J’ai répondu que je n’y avais pas vraiment contribué puisque l’on n’avait pas transcrit ce que je disais. Enfin, cela a été un vrai combat jusqu’à ce que je les menace de poursuites juridiques et qu’ils finissent par enlever mon nom ; et je ne suis pas le seul à qui ce soit arrivé. Je connais un certain nombre de personnes, de vrais spécialistes qui n’étaient pas en accord avec la polémique et ont démissionné, et qui malgré tout sont restés sur la liste des auteurs et sont restés parmi les fameux 2500 meilleurs scientifiques du monde … !

De nos jours, un mouvement institutionnel très puissant soutient que l’homme est le principal responsable des réchauffements planétaire.

Nous voici à Nairobi où sont rassemblés nombres de fonctionnaires dévoués (!), de militants de plusieurs ONG, de collecteurs de fonds pour la taxe carbone et de journalistes spécialisés dans l’écologie ; cette conférence organisée par l’ONU (!) va durer 10 jours. On y discutera des bouleversements climatiques de la planète et on attend plus de 6000 participants.

Prof. Patrick Michaels :

"Il ne faut pas perdre de vue que le réchauffement climatique peut créer des dizaines de milliers d’emplois ; c’est une source de « profits » énormes. On investira des milliards de dollars dans la recherche sur le climat dont un grand nombre de personnes dépendent de ces investissements et qu’ls ont bien l’intention que cela continue comme cela !"

Imaginons que quelqu’un se lève et dise : essayons de regarder tout cela calmement et réétudions rationnellement la valeur de chaque affirmation. « Alors, cette personne serait immédiatement bannie. »

Prof. Tim Ball :

"A trop secouer le cocotier on risque de prendre une noix de coco sur la tête. Cela va nous arriver. C’est compréhensible. Mais cela devient assez inquiétant, difficile à vivre, et les attaques de plus en plus personnelles. Il y a eu des menaces de mort et ce genre de choses. Croyez-moi, ce n’est pas une promenade de santé."

Prof. Patrick Moore (Co-founder of green peace) :

"De nos jours, émettre des réserves sur les causes du réchauffement climatique équivaut à prétendre que l’holocauste n’a pas eu lieu !!

Je ne suis pas le seul franchement à penser que l’on pourrait comparer toute cette affaire de réchauffement climatique à une RELIGION et que les gens qui ne sont pas d’accord sont traités d’hérétiques. Je suis un hérétique. Les gens qui réalisent ce documentaire sont tous des hérétiques.

Ce mouvement écologique relève de l’activisme politique et les partisans sont devenus incontournables à un niveau planétaire. De nos jours, tout homme politique en est conscient qu’il soit de gauche, de droite ou du centre. Il doit prendre en compte l’environnement.

… Dans les mondes occidentaux les gouvernements se découvrent un besoin urgent d’établir des accords internationaux pour restreindre la production industrielle dans les pays développés ou émergeants, mais à quel prix ?"

Paul Driessen est un ancien écologiste de Green peace, auteur du livre "Black Death" :

"Ma grande inquiétude, c’est que les politiques mises en œuvre pour soi-disant lutter contre le réchauffement climatique ait une répercussion désastreuse sur les populations les plus pauvres du globe."

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Anne Moguela est sur le point de préparer un repas pour ses enfants. Elle fait partie des 2 milliards d’habitants de la population mondiale qui n’ont pas d’électricité. Ces gens doivent donc faire un feu de bois ou de crottins séchés à l’intérieur de leur habitat. La fumée produite par ces feux est une forme de pollution très dangereuse pour les voies respiratoires. Ils n’ont pas non plus accès à l’eau potable. Par conséquent, dans les pays pauvres près de 4 à 6 millions d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année à cause de problèmes respiratoires ou de diarrhée.

Si vous demandez à un paysan ce que représente pour lui le progrès, il vous dira que c’est l’électricité. Vivre sans électricité crée une série de problèmes, tous liés les uns aux autres.

Le premier est que vous n’avez pas de lumière et vous vous couchez donc de bonne heure. Aucune raison de rester éveillé puisque l’on ne se parle pas dans le noir. Sans électricité, on ne peut pas conditionner ou réfrigérer la nourriture. On ne peut donc pas la conserver. De plus, un feu dans une cuisine fait trop de fumée et consomme trop de bois pour servir de chauffage. Et il n’y a pas d’eau chaude.

Nous autres, occidentaux ne pouvons même pas imaginer combien la vie quotidienne serait dure sans électricité. L’espérance de vie de ces populations est effroyablement courte et leur mode d’existence est limitée à tout point de vue.

James Shikwali, Economiste et auteur africain :

"A quelques kms de là, l’ONU se fait l’hôte d’une conférence sur le réchauffement planétaire dans ses locaux luxueux et bien protégés. Au magasin de cadeaux on vend des produits de l’artisanat des tribus locales pendant que les délégués discutent des moyens de promouvoir les différentes formes d’énergies durables. L’Afrique produit du charbon ainsi que du pétrole mais les écologistes réfutent ces combustibles à bas prix. Ils promeuvent l’utilisation des énergies solaires ou éoliennes en Afrique et dans tout le tiers monde cela semble cher aux européens et aux américains mais pour les africains, il est inutile d’en parler. C’est contraire au bon sens. Les pays riches peuvent se permettre des expérimentations coûteuses sur les énergies nouvelles, mais nous on en est au stade de la survie."

Pour l’ancien écologiste qu’est Paul Driessen, l’aspect le plus abject de lutte contre le réchauffement climatique est le projet d’obliger les pays pauvres à se servir des sources d’énergie les plus chères de la planète et des moyens de production électrique les moins efficaces.

Très clairement, obliger le 1/3 du monde à n’utiliser que l’énergie solaire ou éolienne revient à leur interdire l’accès à l’électricité.

L’objection que l’on peut faire aux écologistes occidentaux qui nous verraient bien utiliser les panneaux solaires et des éoliennes c’est que ce n’est pas comme cela que l’on va industrialiser l’Afrique. Honnêtement, je ne vois pas comment un panneau solaire pourrait alimenter une aciérie ou une ligne de chemin de fer ; ça pourrait peut-être suffire pour un transistor.

Patrick Moore, co-founder of Green Peace :

"Le mouvement environnementaliste est de loin le plus puissant dans cet « art » d’empêcher les pays en voie de développement de se développer."

James Shikwati :

"On nous dit de ne plus utiliser nos ressources énergétiques comme le pétrole ou le charbon. C’est nous pousser au suicide."

Patrick Moore :

"Je crois que j’ai le droit de les traiter « d’anti–humains ». Certes on n’est pas obligé de penser que l’homme a plus de valeur qu’une baleine, qu’un hibou ou que n’importe quoi d’autre, mais je suis contre l’idée de mettre l’humanité au rebus, que l’on puisse laisser des millions d’individus devenir aveugles ou mourir. Cela me dépasse. Il est désormais si fermement établi que l’homme est responsable du réchauffement climatique et tout opposition à ce concept et efficacement muselé que la théorie semble irréfutable, mais l’alarme sonnée contre le réchauffement climatique est surdimensionnée.

Il y aura toujours des gens pour croire que c’est la fin du monde, surtout si le plus éminent des savants anglais proclame que le seul endroit viable sur terre d’ici la fin du 21ième siècle sera l’antarctique et que le genre humain survivra grâce à quelques couples qui auront émigré à temps dans cette région. C’est vraiment comique. En fait NON, c’est triste comme tout !"


CONCLUSION


Voici du « 16 novembre 2022 » les propos du Docteur et Professeur Knut Loeschke, membre du conseil universitaire de l’université de Leipzig, membre du conseil d’administration de l’institut Max Planck de mathématiques en sciences naturelles, président du conseil de surveillance de l’hôpital universitaire de Leipzig et de la société de conseil en informatique Soft-line AG.

Il déclare :

"J’en ai marre, ou pour le dire encore plus clairement : j’en ai marre du babillage climatique permanent et de plus en plus religieux, des fantasmes sur la transition énergétique, du culte des voitures électriques, des histoires effrayantes sur les scénarios apocalyptiques du Corona à conflagration aux catastrophes météorologiques. Je ne supporte pas des gens qui crient cela dans des microphones et devant des caméras ou qui l’impriment dans les journaux tous les jours. Je souffre de voir comment la science est transformée en putain de politique.

J’en ai marre d’avoir été abusé, les adolescents me disent de quoi avoir honte. J’en ai marre que des dérangés m’expliquent que je suis responsable de tout et de tous, mais surtout en tant qu’allemand, de la misère passée, présente et future du monde entier.

J’en ai marre des minorités religieuses et sexuelles (LGBTQ) qui, exploitant sans vergogne leurs droits minoritaires bien établis avec un soutien médiatique constant, veulent me dire ce que je peux et ne peux pas faire et dire.

J’en ai marre quand des gens complètement fous gâchent ma langue maternelle allemande et pensent qu’ils doivent m’apprendre à écrire et à parler de manière traditionnelle.

J’en ai marre de voir comment des complètement analphabète qui n’ont rien fait d’autre dans leur vie que de porter la mallette de quelqu’un d’autre, croient qu’ils peuvent gouverner l’Allemagne. Je ne peux plus le supporter quand, sous prétexte d’une « société hétéroclite », la loi et la sécurité disparaissent et quand vous sortez de la gare principale le soir que vous devez grimper sur la saleté, la crasse, les sans-abris, les toxicomanes et les voleurs de drogue, devants des murs couverts de griffonnages.

Je souhaite que les personnes de mon pays soient valorisées et soutenues, quels que soit leur sexe, leur couleur de peau et leurs origines, qui produisent chaque jour la richesse de la société dans son ensemble par leur travail assidu, productif et créateur de valeur : les employés des entreprises, les artisans, les indépendants, les nombreux entrepreneurs engagés et socialement actifs dans les petites et moyennes entreprises. Je veux que les enseignants de nos enfants, nos médecins et infirmières malades et nécessiteux reçoivent la reconnaissance, l’appréciation et le soutien qu’ils méritent chaque jour. J’aimerais que les jeunes et les fougueux se défoulent dans les limites bien définies de notre espace juridique, mais aussi qu’ils s’inclinent devant leurs parents et grands-parents, devant les vieux et les expérimentés."

… à suivre …






Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...