dimanche, décembre 04, 2022

Qui complote ?




Contrairement aux élucubrations de conspirationnistes imaginatifs, les comploteurs fréquentent davantage les cercles mondains et les sphères du pouvoir que des temples sataniques souterrains.

Les bruits qui courent sur les Illuminati, les Synarques, les Reptiliens, les Petits-Gris (Short Greys), etc. détournent l’attention d’une partie de l’opinion publique des véritables coupables. 

Les véritables comploteurs ont leur entrée à l'Assemblée nationale et au Sénat ; ce sont des notables ambitieux, des élus, des banquiers, des hommes d’affaires cupides et insatiables...

Le 1er janvier 1974, la brochure "Pacifisme intégral" éditait l’article de l’avocat Jean Gauchon, intitulé "Guerre mondiale n° 1 – Comment la grande boucherie fut montée de toutes pièces par accords secrets".

"Les marchands de canons, écrit Gauchon, dont les principaux étaient Schneider en France et Krupp en Allemagne, étaient étroitement unis en une sorte de trust international dont le but secret était d’accroître l’immense fortune de ses membres en augmentant la production de guerre, de part et d’autre de la frontière. A cet effet, ils disposaient de moyens puissants pour semer la panique parmi la population des deux pays, afin de persuader chacune que l’autre n’avait qu’un but : l’attaquer. De nombreux journalistes, des parlementaires, étaient grassement rétribués par eux pour remplir ce rôle."

Les historiens peuvent établir une longue liste de personnages sulfureux capables du pire et jamais du meilleur. Les conspirationnistes affirment que ces figures historiques sont souvent des agents d’une redoutable société secrète, une puissante fraternité des ténèbres. Or, ces initiés, que l’on dit d’une intelligence diabolique, sont plutôt sujet au crétinisme en matière de dissimulation. N’importe qui peut découvrir les plans de leur fraternité, réputée impénétrable, sur Internet. De nombreux sites dévoilent ces plans et des rumeurs particulièrement pessimistes : 

- Une puissante loge noire est déterminée à éliminer une grande partie de la population humaine.

- Le chaos social et la troisième guerre mondiale menacent.

- Chacun aura le choix entre la puce sous-cutanée ou le camp de concentration.

- Etc.

La divulgation du programme de domination mondiale d’une société ultra secrète doit nous inciter à la prudence. Cette prétendue révélation empoisonne l’existence de nombreuses personnes. Internet entretient l’anxiété et jette ainsi des angoissés, des inquiets chroniques entre les griffes de gourous qui annoncent l’âge d’or et commercialisent des méthodes initiatiques lénifiantes. Les pratiques de ces gourous peuvent effectivement procurer un sentiment de bien être, mais ce ne sont pas des voies d’accès à la véritable spiritualité. Le plus souvent, il s'agit de vulgaires et dangereuses méthodes de développement personnel. L’espoir d’accéder au nirvana peut se transformer en cauchemar. En effet, durant le crépuscule du Kali-yuga, le spiritualisme frelaté en vogue s’accompagne souvent de pratiques évocatoires et d’une ouverture imprudente du psychisme à des forces obscures.

Le candidat à la libération se tient donc à l’écart de ce spiritualisme douteux qui est dénoncé dans le "Kalki Purâna". D’après ce texte sacré de l'hindouisme, l’abandon des véritables principes spirituels laissera le champ libre à une nouvelle foi. Selon des écrits anciens, le cycle nommé "Kali-yuga" en Inde se caractérise par une sorte de désagrégation de la vie sociale et spirituelle.

Le Kali-yuga hindou correspond à l'Age du Loup de la tradition germano-scandinave, la dissolution et les conflits caractérisent cet âge. Mais quand tout part à vau-l’eau, la possibilité de sortir du vortex samsarique s’offre à nous. Nous pouvons alors entreprendre un efficace travail de déconditionnement. Ce déconditionnement, préconisé par les sages d’Orient et d’Occident, est effectué individuellement sans aucune dépendance à l’égard d’un maître ou d’un enseignement. 

Des sites conspirationnistes ne font que ressasser les symptômes de l’agonie d’un monde parvenu au terme du Manvantarä (l’ensemble des quatre âges qui constituent la durée de l’humanité actuelle). Ils ignorent les opportunités de libération qui se présentent durant cette période. Beaucoup de personnes sont troublées par les constats, les interprétations et les supputations des conspirationnistes. Les esprits confus sont des proies faciles. 

Les bouleversements du Kali-yuga ne perturbent pas outre mesure les candidats à la Libération. Bien sûr, ils connaissent l’existence de clubs où les manipulateurs et les ambitieux se retrouvent pour mieux exploiter les populations, mais ils ont d’autres chats à fouetter…


samedi, décembre 03, 2022

Ignoble médecine mercantile, ignoble Dr Querrioux

(5:33)
Mélina : "Un texte visionnaire servi par un acteur hors du commun. Le Dr Knock (Louis Jouvet), récemment installé, explique au pharmacien comment il va exploser son chiffre d'affaires et décrit la « médecine moderne ». Et à la fin, le pharmacien se frotte les mains… Toute ressemblance avec une situation plus actuelle… Knock est un film français réalisé par Guy Lefranc, sorti en 1951 !"


Fleuri tous les ans le 11 novembre, le monument aux médecins "morts pour la France" de la faculté de médecine Paris-Descartes, à Paris, présente une singularité : un nom y a été masqué à la lettre "Q", celui de Fernand Querrioux. (Lire l'article "Le triomphe de l'ignoble Dr Querrioux" dans Le Quotidien du médecin.)

Dans les pièces de Molière (qui n'incrimine pas les médecins juifs), on voit des praticiens incapables et cupides se quereller au chevet du malade qu'ils négligent au profit de leur seul intérêt. Le Dr Fernand Querrioux, lui, considérait que les responsables de la médecine mercantile ne pouvaient être que juifs : "Les juifs ont introduit dans l’exercice de la médecine leur esprit mercantile ancestral", écrit Querrioux dans son livre
 (PDF gratuit ci-dessous).

Qualifié de "bourreau de la communauté médicale juive", le docteur Fernand Querrioux est l'auteur de "La médecine et les juifs". Le livre commence par le Serment d'Hippocrate :

"La profession de médecin, écrit Querrioux, est moralement régie par un ensemble de principes qu’on nomme déontologie. Ce sont ces règles qui dictent la conduite du médecin vis-à-vis de ses malades, de ses confrères ou de la société.

Hippocrate, qui traita de la médecine par préceptes, fut l’auteur du premier code de déontologie.

Son serment célèbre, qui contient les principes fondamentaux de cette conscience médicale est encore en honneur de nos jours puisqu’il est lu, au moment de la soutenance de leur thèse, par les étudiants de la Faculté de médecine de Montpellier. En voici la formule :

« Je jure, par Apollon médecin, par Asclepios, Hygie et Panacée, et je prends à témoin tous les dieux, toutes les déesses, d’accomplir, selon mon pouvoir et ma raison, le serment dont ceci est le texte :

- d’estimer à l’égal de mes parents celui qui m’a enseigné cet art, de faire vie commune et, s’il est besoin, de partager mes biens avec lui ;

- de tenir ses enfants comme mes propres frères, de leur enseigner cet art, s’ils ont besoin de l’apprendre, sans salaire ni promesse écrite ;

- de faire participer aux préceptes, aux leçons et à tout le reste de l’enseignement, mes fils, ceux du maître qui m’a instruit, les disciples, inscrits et engagés selon les règlements de la profession, mais ceux-là seulement. 

J’appliquerai les régimes pour le bien des malades, selon mon pouvoir et mon jugement, jamais pour faire tort ou mal à personne.

Je ne donnerai à personne, pour lui complaire, un médicament mortel, ni un conseil qui l’induise à sa perte. 

De même, je ne donnerai pas à la femme de remèdes capables de tuer son fruit. Mais j’emploierai constamment ma vie, jusqu’à la vieillesse, à garder la femme pure de toute faute. 

Je ne taillerai pas moi-même ceux qui souffrent de la pierre, mais j’en ferai présent aux Maîtres expert en cet art, en les leur confiant.

Dans quelque maison que ce soit où j’entre, j’entrerai pour le salut du malade, fuyant, au plus loin, tout soupçon de malfaisance et de corruption : et cela, qu’il s’agisse des femmes ou des hommes, des enfants ou des serviteurs. 

Ce que, dans l’exercice où en dehors de l’exercice, et dans le commerce de la vie, j’aurai vu ou entendu qu’il ne faille pas répandre, je le tiendrai en tout pour un secret. 

Si j’accomplis ce serment avec fidélité, qu’il m’arrive de jouir de ma vie et de mon art en bonne réputation parmi les hommes et pour toujours ; 

si je m’en écarte et l’enfreins, qu’il m’arrive le contraire. »

La fonction du médecin doit être considérée comme un véritable sacerdoce, toute de dévouement, de discrétion, de pitié, de charité, d’honneur et de droiture. Elle exige donc des praticiens intègres et d’une impeccable dignité. "Le médecin est au service des malades. C’est un service sacré", selon la formule du nouveau secrétaire général à la Santé Publique, le docteur Serge Huard.

Où était en 1939 la splendeur de la médecine ? Qu’étaient devenus sa gloire et son ornement ? La médecine était tellement corrompue que les groupements professionnels réclamaient à cor et à cri une réglementation rigoureuse.

Depuis l’apparition des juifs dans cette profession, on a constaté d’abord des manquements et des abus et enfin des pratiques malhonnêtes qu’ont ravalé la médecine au rang du plus bas commerce. Les juifs ont introduit dans l’exercice de la médecine leur esprit mercantile ancestral ; nous avons assisté là comme ailleurs à la réclame sous toutes ses formes, même les plus éhontées : à l’écran, à la radio, dans la presse.

Des pages entières de quotidiens vantaient les procédés charlatanesques ou tel "titilleur de nez", des affiches s’étalaient sur les murs côté des réclames pour apéritifs ou pour savon de toilette. Les milieux médicaux se souviennent encore du scandale causé par quelques "grands médecins" de Paris, de Marseille et de certaines villes d’eaux qui, il y a quelques années, acceptèrent, dans un journal
américain "The Saturday evening post", de vanter un laxatif : "The New Fleischmann’s yeast" moyennant la somme de mille dollars. Toute une page du journal était consacrée à la réclame de ce laxatif : avec l’avis du "maître du jour" et sa photographie au milieu d’une figuration quelquefois importante d’internes, étudiants, infirmières Parmi les médecins qui acceptèrent de contribuer au lancement de ce laxatif, on compte une majorité de juifs.

Nous avons encore sous les yeux la photographie d’un spécialiste de l’intestin en train de faire un lavage d’estomac. Ce patient n’est autre que le beau-frère du médecin. Par hasard sans doute, il est propriétaire d’hôtel dans la ville d’eaux du spécialiste et l’assistant — car il y a un assistant — est le maître d’hôtel de cet astucieux commerçant.

Comme nous sommes loin de ce que dit le secrétaire général à la Santé Publique : "Le médecin français doit être le plus réputé, le plus instruit", mais aussi "le plus intègre, le plus dévoué qui soit".

Malheureusement en 1940, que de consciences molles, que d’appétits dévoyés, que de malades exploités, grugés et même ruinés par des praticiens indignes !

Ainsi ce médecin-juif des hôpitaux de Paris, qui prenait comme honoraires, il y a dix ans, la somme de 10.000 francs pour faire un pneumothorax. Le malade ne peut payer que la moitié comptant. A quelque temps de là ne pouvant s’acquitter du solde, ce malade dont l’état empire se voit traduit en justice, poursuivi, traqué par son créancier implacable. Cette lamentable histoire se termine par la mort
de ce malheureux à l’hôpital.

Et ce cas dont nous parle un de nos confrères français de la banlieue-sud : 

Un jour je suis appelé d’urgence auprès d’une malade : ménage d’ouvriers, habitation modeste de deux pièces. La malade se plaint d’un violent point de côté et paraît très inquiète. Après un examen qui ne révèle absolument rien d’organique, je me hâte de la rassurer. Mais la patiente insiste, me demande si je suis sûr de mon
diagnostic et finit par me faire le récit suivant : "Je sens bien que je ne suis pas très malade, mais je désirais en avoir le cœur net. Un de vos confrères sort d’ici et a déclaré à mon mari que j’étais atteinte d’une pleurésie purulente (3 litres de pus dans le côté il faut que je sois transportée d’urgence dans sa clinique, sinon, demain matin je serai morte. Le prix de l’intervention ? — 4.000 frs pour l’opération, à payer tout de suite. Plus les frais de clinique pendant environ un mois. Vous n’avez pas cette somme ?

— Oh en raclant bien les fonds de tiroir... ! Et puis vous trouverez certainement quelqu’un pour vous prêter l’argent nécessaire. La vie vaut bien un sacrifice...

Or, il n’y avait aucun signe de pleurésie purulente et il n’était même pas possible d’invoquer une erreur de diagnostic. Faut-il vous dire que le premier médecin était juif et propriétaire de la clinique où il voulait envoyer la pleurésie purulente... imaginaire.

Un autre médecin-juif, propriétaire d’une clinique, fait entrer chez lui une femme qui doit être opérée d’hémorroïdes par un de ses coreligionnaires. Il la garde trois semaines sans intervenir et les
frais d’hospitalisation sont payés régulièrement. Enfin il se décide à opérer. La Malade au bout d’une dizaine de jours va très mal. Le mari à bout de ressources demande un délai pour payer ce qui reste dû : il est obligé de signer une reconnaissance de dettes. Sur ce la malade est expédiée à l’hôpital où elle meurt 48 heures après.

Nous connaissons de nombreux malades traités pendant des mois et parfois des années entières, souvent sans nécessité par ces disciples de la science sans conscience..."


La médecine et les juifs
Selon les documents officiels
Fernand Querrioux

PDF gratuit ICI 



vendredi, décembre 02, 2022

"Des brigades mobiles ont injecté du Rivotril aux personnes âgées dans les Ehpad"


Quand le Pr Perronne a parlé des 25 000 morts de trop "en France en 2020, dont énormément dans les Ehpad, il a subi le feu de tous les gardiens du Système. Aujourd’hui, la vérité remonte à la surface. Ces « brigades mobiles » font penser à des commandos de tueurs..."  (Source)


Quand le Dr Charbonier a dénoncé l'euthanasie active des personnes âgées en France en 2020, il a été interdit de parole.





L'interview d'avril 2020 du docteur Jean-Jacques Charbonier, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital de Toulouse, a été censurée par YouTube.

Dans la vidéo, le docteur Charbonnier s'exprimait sur le décret du 29 mars 2020 qui autorise des médecins à prescrire du rivotril pour précipiter les fins de vie.

"Donc, disait Jean-Jacques Charbonier, ce rivotril, lui, n'est pas donné du tout pour ça normalement. (...) c'est de l'euthanasie active, il ne faut pas se leurrer... Des médecins vont pouvoir le prescrire sur ordonnance en mettant simplement "HORS AMM COVID-19" (...) ce traitement (...) est fait pour tuer (...) pour abréger les fins de vie... 

On est dans une situation où il y a un gouvernement qui ne fait pas un décret pour un traitement qui est susceptible de guérir les gens, sous prétexte qu'il est peut-être dangereux. Par contre, il fait un décret pour qu'un produit soit utilisé pour tuer des gens. Je ne comprends pas. Je ne comprends vraiment pas l'attitude de ce gouvernement. Qu'est-ce qu'il veut, pourquoi il fait ça ? [...]

C'est de l’ingérence médicale. Comment un gouvernement peut indiquer aux médecins comment exercer leur art ? Il faut que les médecins retrouvent leur pouvoir, leurs droits et leurs devoirs face aux malades. Quand on priorise le malade, on ne fait pas du tout ça. Dans les EHPAD actuellement, c'est l'hécatombe..."


Crise sanitaire : Euthanasie des personnes âgées ?


"Il est manifeste que ces politiciens criminels avec la complicité du corps médical veulent profiter de l'état d'urgence pour s'octroyer les pleins pouvoirs et autoriser par décret mortifère contraire à l'esprit de la déclaration des droits de l'homme qui édicte le droit à la vie, à exterminer les personnes âgées dans les EHPAD ; c'est un plan d'abattage massif d'une catégorie de population, soit un génocide relevant des crimes contre l'humanité."

Lire la suite : 


Le Dr Jean-Jacques Charbonier est l'auteur, entre autres, de Devenir hyperconscient

"Médecin anesthésiste-réanimateur toujours en exercice, il a collecté durant plus de trois décennies des centaines de témoignages de personnes ayant vécu des histoires époustouflantes lors d’arrêts cardiaques ou de comas.

Curieux de tout ce qui touche au domaine de la conscience et sans a priori, il a accueilli avec un grand respect l’enseignement de chamans et de médiums, tout en s’intéressant également à d’autres approches scientifiques telles que la physique quantique. Enfin, il a recueilli avec beaucoup de rigueur et d’attention les expériences qu’ont vécues plus de 10 000 personnes qu’il a lui-même placées sous hypnose.

L’ensemble de ses recherches lui a permis de mettre au point une technique simple et accessible à tous qui nous transforme en individu hyperconscient.

Cet ouvrage expose en détail son cheminement, cet état d’hyperconscience et les manières de l’atteindre. Il démontre que nous avons tous en nous des capacités extraordinaires telles que la médiumnité, la vision à distance, la voyance, la régression dans des vies antérieures, l’intuition, la télépathie, la guérison, l’inspiration, la connexion aux informations divines et bien d’autres encore, tout aussi surprenantes."


jeudi, décembre 01, 2022

Le Totalitarisme démasqué


De la corruption philosophique et psychologique
Fraudes épistémologiques

Ariane Bilheran est une philosophe française qui a beaucoup investigué la philosophie morale et politique en continuité des travaux d’Hannah Arendt. Docteur en psychopathologie, elle est l’auteure du livre « Le débat interdit ». Elle contribue par ses travaux à ceux de Jean Dominique Michel, anthropologue de la santé et de la médecine, et à ceux de Vincent Pavan, penseur éclairé et le plus grand mathématicien français actuel qui a été récemment interdit d’enseigner dans son université d’Aix en Provence pour avoir osé démontrer la supercherie du Covid 19 et l’utilisation frauduleuse des mathématiques à cette fin. Cet exposé magistral décrit et démontre clairement les techniques de manipulation mentale, en particulier les fraudes épistémologiques utilisées par tous les totalitarismes, et cela depuis toujours. Ses connaissances éclairées dans le domaine des spiritualités donnent en plus à sa lucidité une dimension métaphysique, ce qui est rare. C’est pourquoi nous remercions ces trois chercheurs, nobles au sens véritable, qui par leur courage de réfléchir, hors esprit de troupeau, font partie de la « véritable élite » qui n’a rien à voir avec cette frauduleuse-élite parasitaire qui domine et torture les peuples à des fins sordides. Que signifie donc « vivre et exister » sans ce courage ?

Prajñâ

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Conférence d’Ariane Bilheran 

Je vais vous présenter ce que j’ai présenté à Lisbonne sur la corruption philosophique et psychologique concernant la crise depuis 2020. Lorsque l’on fait de la philosophie on revient (devrait revenir) toujours à l’étymologie. Et comme nous l’avons bien décrit avec Vincent Pavan, dans le « débat interdit », il y a un vrai problème éthique de corruption de la langue et de la logique. L’étymologie du mot « corruption » nous conduit au verbe latin « corrumpere » qui veut dire « rompre avec ». Cicéron, le grand orateur romain, nous parlait de « corrompre les mœurs d’une cité » et il nous disait que la corruption était d’abord « la manifestation d’une décadence morale » et que l’on peut corrompre avec de l’argent. C’est la méthode la plus connue. Le mot « corruption » signifie aussi « briser ensemble », « casser, détruire avec l’autre ».

La corruption est une « rupture entre les êtres »

Les époques corrompues sont celles où le lien entre les êtres se rompt sous la méfiance, l’envie, la haine, la méchanceté [commentaire : on retrouve ici les « 3 racines, trimûla, qui causent la souffrance dans la psychologie hindou : lobha, dvesa, moha : avidité, haine, stupidité par ignorance] ; et quand nous approfondissons encore plus on se rend compte que le verbe « rumpere » provient du latin « rupes » qui veut dire « paroi de rocher, ravin, grotte, précipice ».

Donc, la corruption est un précipice entre l’autre et moi, entre l’Etat et son peuple ; c’est un gouffre qui divise les familles, les amis, les professions et tout simplement l’humanité comme nous le vivons tous depuis plus de deux ans. Alors, de tout temps, le pouvoir est lié à la corruption. Et ce qui nous interpelle et nous l’avons vu depuis le 1er trimestre 2020, c’est pour l’endoctrinement des masses.

L’histoire qui a été racontée aux peuples est la suivante : 

Un ennemi visible ou invisible, imaginaire ou pas mais ici invisible nous persécute, et nous devons « entrer en guerre » contre cet ennemi. Tout le monde se souvient de ce discours. Et cette guerre justifie l’utilisation du harcèlement, de la propagande de guerre et donc tous les moyens sont permis. Sur le plan psychologique c’est « un délire de persécution ». Maintenant tout le monde connaît le terme de « paranoïa » qui, avant, était mis dans un tiroir. Ce délire de persécution traumatise les individus, les dissocie et les fait entrer dans ce que Mattias Desmet, psychologue clinicien, a appelé une « psychose de masse », c’est-à-dire un discours qui ne correspond plus du tout à la réalité de l’expérience. Et ce discours peut conduire l’individu à des passages à l’acte nuisible, haineux, dangereux, qu’il n’aurait pas commis en d’autres circonstances. Dans le système totalitaire, le contenu de ce discours de délire peut changer comme, par exemple, la nature de l’ennemi désigné : un jour, un ennemi et le lendemain, un autre ennemi, mais la structure est la même.

Et pour obtenir l’endoctrinement des masses, il faut utiliser un harcèlement constant pour susciter et entretenir régulièrement chez l’individu un état de terreur à partir duquel, bien sûr, on le conduira à croire et à adopter des comportements. Les apparentes « pauses » dans ce harcèlement font partie de la manipulation comme lorsque le bourreau après la torture vous donne un verre d’eau et prononce une phrase aimable avant de recommencer. Donc, il ne faut absolument pas être dupe des « pauses ». Les méthodes qui ont été employées sur les populations sont des méthodes sectaires et je renvoie à la plainte qui a été déposée par Maître Virginie de Araujo-Recchia (qui travaille avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, concernant les dérives sectaires et leurs crimes contre l’humanité).

Ces méthodes sont les suivantes :

Terreur, un virus extrêmement dangereux veut nous tuer ; la séquestration ; des confinements ; des freins à la liberté de mouvement et l’atteinte aux droits fondamentaux inaliénables, ce qui veut dire qu’ils ne peuvent s’aliéner en aucune circonstance.

Et bien là, cela n’a pas été le cas, par exemple, le droit à l’égalité devant la loi, la liberté d’expression. Il y a également une maltraitance généralisée sur toute la population : culpabilisation des individus potentiellement meurtriers de leur entourage, séduction, chantage, refus de soins pour certaines catégories de populations, désorganisation des repères spatiaux et temporels pour l’ensemble de la population mondiale. On le voit aujourd’hui, beaucoup de gens ont du mal à se projeter par tout cela dans le temps, tout simplement parce que des repères fondamentaux ont été attaqués. La surveillance, la transgression de la vie intime des personnes, etc. Les citoyens qui questionnent, comme nous, sont considérés comme mauvais jusqu’à même des appels au meurtre des discours politiques.

En Italie, des personnalités du journalisme, de la politique et de la médecine ont appelé à une ségrégation dans les trains entre vaccinés et non-vaccinés, à l’affichage par un panneau porté autour du cou pour les non-vaccinés avec des déclarations publiques de rétablir les chambres à gaz.

Il y a eu aussi des conflits de loyauté. Conflit de loyauté, c’est une notion de psychologie qui parle de choix impossibles à faire, des « faux choix ». Par exemple : « tu dois choisir entre le droit au travail, tes moyens de subsistance, et le droit de disposer de ton propre corps » : c’est un faux choix.

Il y a eu une suggestion hypnotique jusqu’à induire un interdit de penser chez les gens avec les masses Media, les répétitions d’une comptabilité mortifère quotidienne, des discours de haine et des images de panique.

Il y a eu aussi de l’intimidation, de la menace, de la censure et des persécutions. Toute forme de désaccord ou d’interrogation rencontrent aujourd’hui censure, calomnie, répression et nous en avons des exemples vivants comme Vincent Pavan ou Emmanuel Darles, ce jour. Nous n’avons pas le droit de réfuter la narration dogmatique officielle malgré les nombreux paradoxes qu’elle contient.

Il y a eu aussi des chocs traumatiques réitérés sur la durée et envoyés sur la population ; par exemple, des décisions de fermetures prises par décret au dernier moment, parfois même des décrets à l’intérieur des décrets, des discours paradoxaux (injonctions paradoxales) afin de sidérer les citoyens. En France, le gouvernement s’est illustré par dire tout et son contraire, parfois à quelques semaines d’intervalle sans jamais se justifier sur les propos tenus antérieurement.

Il y a eu enfin des anomalies généralisées et des faits de corruption ; par exemple, inciter des professionnels, traditionnellement non habilités, à pratiquer des injections comme des diététiciens, des kinésithérapeutes, mais également des psychologues (ce n’est pas notre métier), moyennant des tarifications juteuses. La corruption consiste à détourner les déontologies des métiers, à obliger les professionnels à des pratiques qui ne font pas partie de leur cadre de référence, tout en obligeant les professionnels qui étaient formés à ne plus pouvoir exercer leur métier dans les règles de l’art ; par exemple, les médecins, à soigner.

Dans cette dérive totalitaire, il y a ce que l’on appelle « l’idéologie » qui est « une croyance délirante » qui n’a plus de lien avec la vérité logique et avec la vérité de l’expérience ; et cette idéologie a besoin sans cesse de se renouveler pour maintenir au pouvoir un pouvoir qui est devenu ou qui était illégitime.

Donc, il faut par le harcèlement obtenir l’adhésion à l’idéologie.

Cette idéologie doit évoluer. Pourquoi ? Parce que si elle se fige on va commencer à l’interroger et interroger le discours. C’est pourquoi, il faut absolument maintenir les populations dans une croyance anxieuse qui inquiète et excite les esprits.

L’endoctrinement des masses est une corruption morale, psychique, intellectuelle et émotionnelle des esprits. 

Notre problème c’est aussi l’obéissance « des gens de bien » à un système corrompu. 

Comme nous l’a démontré le Dr Olivier Soulier (brillant spécialiste de l’embryologie) pour le Covid, il y a une corruption énorme en haut lieu et ce n’est un secret pour personne que toute cette affaire enrichie démesurément des laboratoires tout en appauvrissant davantage les classes populaires et les classes moyennes.

Mais il y a deux autres maux dont nous souffrons : 

1 – Le premier, ce sont les individus qui se sont laissés corrompre ; nous avons vu émerger de faux-experts sur les plateaux TV, grassement payés mais aussi dans certains pays une population majoritairement achetée pour se taire et rester chez elle, ou des professionnels de santé gracieusement payés pour faire des piqûres, ou encore dans certains pays des primes et des bonus ont été donnés aux cliniques et aux hôpitaux pour déclarer des cas Covid ou des morts Covid. Ceci relève de la corruption par l’argent qui est une corruption essentiellement institutionnelle. 

2 – Le second problème, ce sont les gens de bien qui se soumettent à un système corrompu sans le voir en toute bonne foi, et nous souffrons de l’obéissance aveugle, de naïveté, de la passivité, de la crédulité et de l’honnêteté de tous les acteurs subalternes de ceux qui sont endoctrinés dans l’idéologie qui non seulement ne reçoivent pas d’argent mais sont prêts à sacrifier père, mère, enfants, au nom de l’idéologie dans laquelle ils sont endoctrinés ; vous le savez, j’ai une expérience des peuples d’Amérique du sud et cela m’a démontré que les peuples qui avaient une culture de la corruption résistent beaucoup mieux à la corruption totalitaire.

Le corrompu cherche évidemment son intérêt immédiat, financier ou pratique. C’est sans doute un mal mais c’est un moindre mal que son exact contraire. Le fait que des responsables et l’encadrement institutionnel accomplissent scrupuleusement leur mission dans la plus grande intégrité quand cette mission est au service d’une puissance mauvaise. C’est cela la banalité du mal dont nous parlait Hannah Arendt. Adolf Eichmann (1902-1962 ; criminel nazi mort par pendaison) n’était nullement un corrompu mais un fonctionnaire zélé qui ne cherchait aucun bénéfice personnel immédiat. C’était sa ligne de défense et elle était parfaitement exacte. Les peuples frondeurs où règne la corruption endémique avec un respect tout relatif pour la loi où l’on pratique les arrangements, les dessous de table, sont des peuples où l’air devient plus respirable lorsque le pouvoir dérive sur un versant totalitaire.

Au contraire, dans le nazisme, il était impossible de graisser la patte d’un fonctionnaire dans un pays protestant, puritain, Kantien, où le respect de la loi se place au-dessus de tout, même lorsque la loi est devenue déviante. 

De la même façon, pour le Covid, le patron de restaurant ou de bistrot qui s’applique avec zèle à contrôler le passe-sanitaire n’est nullement corrompu, hélas, quand son intérêt financier aurait plutôt été à ne pas appliquer la loi. Dans la même idée, les millions de communistes qui dans le monde soutenaient le pouvoir Stalinien, n’étaient pas corrompus mais des idéalistes parfaitement désintéressés !

Le système totalitaire est donc la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu au sommet de la pyramide qui nomme ses experts, ses intellectuels, ses dirigeants, et une masse d’individus crédules, obéissants, qui au contraire ne sont pas assez corrompus pour faire valoir leur intérêt personnel au détriment du sacrifice idéologique invoqué pour le « bien commun ».

Pour parvenir à ce résultat et endoctriner les esprits, il est impératif d’user de la « fraude », de la ruse, de la tromperie, de l’escroquerie. Dans l’idéologie qui est le délire de la psychose de masse et qui correspond au délire paranoïaque, il faut que les premiers principes, c’est-à-dire ceux sur quoi se fonde le discours, aient une apparence rationnelle mais soient totalement erronés.

Les hypothèses de base prises pour des vérités sont des erreurs logiques et cela a été la raison du livre « Le débat Interdit » où Vincent Pavan nous a livré les clés magistrales de cette erreur logique épistémologique.

Alors, si on reprend le délire de l’idéologie nazi, le raisonnement est le suivant. Le principe : « les juifs sont des parasites, or les parasites sont nuisibles, donc les juifs sont nuisibles », et bien ce raisonnement est faux car les juifs ne sont pas des parasites. Le premier principe est faux ! Mais si on admet ce 1er principe comme vrai, le délire commence et il entraînera les masses dans des passages à l’acte violents.

Les conditions de la raison ne sont pas aléatoires. Il existe des règles de langage et de logique et la recherche de la vérité doit répondre à des principes rigoureux, pas à des élucubrations fantaisistes. Dans notre affaire, tout a commencé par un dévoiement des mathématiques dans ce qu’on leur fait dire, conclure et pronostiquer et dans leur instrumentalisation inclue. Vincent Pavan l’explique. (Commentaire : Cédric Villani, autre mathématicien célèbre mais corrompu, refusera un débat sain avec Vincent Pavan car, entretemps, il courbera l’échine, se soumettant aux injonctions du gouvernement …)

Il y eu aussi une fraude langagière des Media de masses, élément indispensable pour mettre en place la démarche totalitaire. Le Pr. d’université Victor Kemperer, fils de Rabbin, juif et philologue, « décrypteur de la langue totalitaire », avait analysé la langue du 3ème Reich et noté de graves distorsions infligées à la langue allemande par le nazisme et on peut noter des euphémismes et des litotes pour atténuer la gravité ; c’est-à-dire qu’il s’agit de rendre acceptable une réalité moralement condamnable.

Après tout, si isoler c’est protéger, personne ne se formalisera d’abandonner autrui à son sort « car c’est prévu dans le programme », ni de les envoyer dans des camps de mise en quarantaine puisque c’est pour le bien de la personne ! Le langage est technique et euphémisant avec l’isolement prophylactique, avec le « track tracing » puisqu’il s’est agit ni plus ni moins que de traquer les citoyens.

Mais on ne le dira pas comme cela. La langue totalitaire devient un outil de persécution de certaines catégories de citoyen en utilisant des discours comme : ils ont des mauvais comportements … ils sont irresponsables …

Le quotidien Sud-ouest titra : « les français sont-ils irresponsables ? » : cette rengaine de la responsabilité. Le relâchement : « les français se relâchent ». Les jeunes gens sont estimés égoïstes, négligents. Le but est de coloniser les esprits. Dans le registre de la langue Covid, des mots ont disparus : soigner, diagnostiquer, guérir, immunité naturelle peu évoquée sinon cachée, et même « médicaments », remède, traitement ; il y a d’autres mots qui ont revêtu un sens inattendu : traçage, écouvillons ; des expressions dénuées de sens ont été employées : le porteur sain (cette expression est ancienne et sera promulguée par Big-Pharma), le malade asymptomatique (cela n’existe pas).

C’est extraordinaire, on assiste à un « ensauvagement des mots » comme le soulignait Victor Kemperer avec une communication asymétrique du haut vers le bas, fondée sur l’amplification du pouvoir vers la masse sans qu’aucune de ses assertions ne puissent être interrogées ou mise à la contradiction.

Il y a eu des amalgames entre malade et testé positif, entre porteur de virus et testé négatif, entre malade et contagieux, entre contagieux et assassin ! (Rappelons au passage que les tests PCR n’ont jamais rien prouvé, en réalité !). La criminalisation de tout individu « potentiellement » malade justifie une répression sur la base de sanctions exemplaires, de répressions, et dans certains pays de camps (d’internement).

Le 02/04/2021 on a appris que le gouvernement Italien avait décidé de rendre obligatoire la vaccination pour les soignants par décret et toute personne qui entendait faire valoir son droit et son « consentement éclairé » ou tout simplement doutait du discours de ce pouvoir assurant que cette vaccination « protège » serait sévèrement réprimée avec une suspension de salaire ou une affectation à des taches où elle ne serait pas en contact avec des patients. (Commentaire : rappelons que ce n’est pas ni un vaccin ni une thérapie mais une expérimentation comme les nazis faisaient des expérimentations… mais les gens ne le savent pas.)

On a parlé de travailleurs réfractaires. La langue véhicule des paradoxes (ici des doubles contraintes ou injonctions paradoxales qui entraînent la perplexité et la sidération) si vous dites une chose et son contraire à la fois.

Alors, le 19/03/21, France Info a titré : « Confiner sans enfermer ! ». Des mots ont été surinvestis. Je cite le discours d’Emmanuel Macron du 21/03/21 où il appelle les Français à se mobiliser. Se mobiliser ça vient du latin « movere » : mouvoir ; mais c’était un discours sur le confinement. Il fallait se mobiliser en restant chez soi, autrement dit « se mouvoir dans l’immobilité ! ».

Des néologismes, des nouveaux mots ont été introduits. Ce n’est un secret pour personne. Et cela permet évidemment de mettre toutes les interprétations que l’on veut dans ces mots que l’on ne définit jamais. Et puis est apparu tout un champ lexical de techniques savantes auxquelles, évidemment, nous, individus lambda, nous ne comprenons rien : variant, agent infectieux, auto-isolement, cellule haute, charge virale de transmission de l’infection, certificat d’immunité, faux positif, foyer infectieux, porte d’entrée, porte de sortie, propagation virale, taux de létalité, taux de mortalité, cas de morbidité, etc. J’en ai relevé plus d’une soixantaine …

La langue n’est donc plus un mode de communication, de relation entre les individus, mais de séparation.

Vous vous rappelez la définition de « briser le lien entre les êtres ». La langue devient un outil de division, de confusion. Tout un vocabulaire réservé à l’infectiologie d’études scientifiques complexes est diffusé à l’ensemble du champ social. Le vocabulaire est devenu hygiéniste et mécaniste. Donc, chacun devient habilité par le poids des mots à devenir médecin de son voisin, épidémiologiste, diagnostiqueur, contrôleur et policier ! La santé c’est le contrôle.

Des comparaisons et des analogies hasardeuses ont été également utilisées. Je prends par exemple le Directeur général de la santé, Jérome Salomon, dans son audition à l’Assemblée Nationale sur la Gestion de la crise sanitaire du Corona virus, lorsqu’il affirma :

« Dans l’histoire, ce peut être comparé à la pandémie de peste noire de 1347, la peste noire avait emporté la moitié de la population de l’Europe… ».

La langue reconstruite par l’idéologie utilise des métaphores techniques. Victor Kemperer avait analysé qu’il s’agissait d’accoupler, mettre ensemble l’organique et la dimension mécanique dans la langue, c’est-à-dire avait pour objectif de « mécaniser » le vivant, de faire de nous des êtres mécaniques. Alors, on nous a parlé de mesures de freinage ; je cite le site du ministère de l’intérieur sur les déplacements internationaux, en cas d’urgence caractérisée par l’apparition d’un variant susceptible de présenter un risque de transmissibilité accru ou variant ou d’échappement immunitaire, le mécanisme de frein d’urgence sera activé et le pays sera alors en liste rouge avec, évidemment, des mesures de rétorsion sur la population.

Donc, le tour de force consiste à la fois à déshumaniser l’être humain et à humaniser ce qu’il n’est pas, ce que faisaient très bien les nazis avec les animaux : humanisation des animaux et déshumanisation des êtres humains.

Cette humanisation de ce qui n’est pas c’est la personnification notamment du virus qui circule de plus en plus vite. 

Emmanuel Macron le 16/03/2020 et le 30/03/2021 : « le virus est un ennemi invisible, insaisissable, qui progresse et qu’il faut prendre en tenaille » ! … évidemment, il faut lui faire la guerre, c’est un petit soldat à qui il faut faire la guerre puisqu’il a l’intention de nous tuer.

Je voudrais rappeler que dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il y a plus de virus que d’habitants en Europe et que 8% du génome humain est d’origine virale, que les virus ont été présents avant l’espèce humaine sur terre et qu’ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire. 

Dans la corruption de la langue nous pourrions rajouter l’utilisation des slogans qui fonctionnent « au lavage de cerveau » et à répétition, qu’ils ont pour fonction psychologique de conjurer l’angoisse. C’est une sorte de répétition « mantra » massive pour calmer l’angoisse. Alors :

- Protégez-vous, protégez les autres ! 
- Protège-toi, protège les autres !
- Sauvez les jeunes en confinant les vieux ! 
- Quand on aime ses proches on ne s’approche pas ! 
- « La responsabilité c’est la confiance !» (Emmanuel Macron le 31/03/2021)

Le viol politique de la langue est sans doute le plus invisible et la plus dangereuse. La langue « trafiquée » perd toute une gamme d’émotions et devient un outil pour nous terroriser, pour manipuler notre empathie, désigner des ennemis et nous culpabiliser.

Les mots qui ne veulent plus rien dire pour désigner la réalité qui nous entoure conduisent aux pires tragédies de l’histoire.

Je vais rappeler cet exemple si fameux de Staline qui avait appeler la constitution de 1936 : « la constitution la plus démocratique du monde », tout en procédant aux rafles arbitraires de la population et aux liquidations de ses généraux.

Après la fraude de la langue, la fraude épistémologique. L’épistémologie pour le philosophe consiste à étudier les conditions d’exercice de la science.

Je vais citer les principales fraudes épistémologiques dans la crise qui nous occupe :

La première fraude : 

Les premiers principes ayant entraîner les décisions politiques sur les confinements sont des « mensonges », des « erreurs » grossières qui trahissent la logique et subvertissent la science en instrumentalisant les mathématiques ; et merci à Vincent Pavan de nous avoir éclairé sur cette question. 

La seconde fraude épistémologique : 

La science n’est plus un outil de discernement et de recherche mais devient un instrument politique de contrôle au fonctionnement inquisitorial.

La troisième fraude : 

La science n’est plus le lien du doute et du débat mais le lien de la certitude idéologique et du dogme religieux. D’ordinaire, en science, nous nous arrangeons avec des paradigmes qui évoluent, ce que l’on appelle des « révolutions scientifiques ». Nous sommes toujours impuissants, imparfaits, face à la complexité du monde qui nous entoure. 

Le « scientisme », en revanche, se débarrasse de tout cela et proclame une vérité qui est un dogme et évacue tout débat et toute controverse.

La quatrième fraude : 

C’est la confusion entre la matière morte et la matière vivante. Le « scientisme » confond la matière morte et la matière vivante. Appliquer des mathématiques à l’être vivant est une fraude épistémologique parce que l’on a oublié dans l’ensemble de l’analyse le paramètre « vivant ». Cela conduit donc à traiter les êtres vivants comme de la matière morte. Cette « imposture intellectuelle » est connue par la philosophie depuis l’antiquité.

La cinquième fraude épistémologique : 

C’est la confusion entre les sciences opératives et les sciences spéculatives. Qu’est-ce que cela veut dire ? Nous devons cette catégorisation à l’immense philosophe Boèce au 5ième siècle après J.C. (Philosophe latin, chrétien et théoricien du politique ; il sera assassiné). La médecine opère et intervient sur le réel avec le patient, avec la réalité de l’expérience ; elle ne peut fonctionner de la même manière que les sciences spéculatives qui restent dans le pur concept, dans l’abstraction, pour parler de maladie et de santé. Plus généralement, on ne peut pas traiter l’humain selon des sciences dures (physique-chimie-mathématiques). C’est un « réductionnisme » qui est une « imposture ».

Appuyer la science spéculative au détriment de la science opérative a tout simplement permis de soumettre le politique à la science ou la science au politique et d’entraîner cette confusion. Et confondre la médecine avec une science spéculative a permis de s’exonérer de toute boucle rétroactive avec le réel, avec le retour de l’expérience. Est-ce que cela marche ? Qu’est-ce que l’on fait ? Quels impacts sur les êtres vivants ?

(Commentaire : nous trouvons la même chose entre la franc-maçonnerie opérative, les compagnons du devoir des différents métiers, et la franc-maçonnerie spéculative qui viendra plus tard et qui ce jour et à son sommet a un pouvoir politique énorme de décision politique.)

Le philosophe Italien Gorgio Agamben (né en 1942) a rappelé que le dévoiement de la pratique médicale constitue le principe par excellence du totalitarisme. 

Les régimes totalitaires utilisent toujours le « scientisme » et en particulier la médecine qui permet un contrôle sur les corps pour asseoir une pseudo-légitimité à leur existence. Et ils exigent une sorte de ferveur « religieuse » envers le scientisme.

En d’autres termes, il est impossible d’appliquer des concepts scientifiques issus des sciences dures, qui sont des sciences de la matière morte, à l’expérience politique, morale et spirituelle humaine. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin des humanités.

La démarche scientifique portée au-delà des limites qui sont les siennes est alors utilisée pour tenter de justifier des démarches qui ne sont ni scientifiques ni humaines. Alors, toutes ces fraudes scientifiques en cascade ont conduit à la réduction de l’individu à un état viral, une unité mathématique plus ou moins un cas positif ou un cas négatif ! Il y a des chiffres et un code barre, un QR code !

La définition de la santé s’est transformée. Elle est devenue absence de maladie potentielle en réduisant le corps humain à une nature inerte et pure qui devrait se défendre contre des virus qui lui seraient totalement extérieurs.

Le grand philosophe français, normalien agrégé, médecin, résistant pendant la guerre 39-45, successeur de Gaston Bachelard en épistémologie, Georges Canguilhem (1904-1995) proposait une tout autre définition de la santé qui si elle avait été suivie aurait indubitablement changé l’orientation politique. Il nous disait dans « La connaissance de la vie » : « La santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire, la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres ». Vivre, pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter, se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. 

La maladie n’est pas un ennemi à abattre comme en temps de guerre mais c’est un déséquilibre interne qu’il convient de comprendre pour pouvoir œuvrer à rétablir l’équilibre.

Concernant la fraude du langage et la fraude de la science, nous pouvons parler de la fraude politique et juridique, la philosophie politique permet de réfléchir aux conditions du pouvoir et du droit. Dans la crise Covid, la fraude politique et juridique a été mise en lumière par toujours le fameux philosophe Georges Canguilhem et consiste dans la problématique suivante : « légitimer l’état d’exception ». 

Prenons le cas de l’état nazi. Hitler promulgue le 21/02/1933 un décret pour la protection du peuple et de l’état que suspendait les articles de la constitution de Weimar relatifs aux libertés personnelles. Le décret ne fut jamais révoqué si bien que tout le 3ième Reich put être considéré d’un point de vue juridique comme un état d’exception … qui a duré 12 ans.

Victor Agamber nous dit que dans un état d’exception, le totalitarisme peut être défini en ce sens comme l’instauration par l’état d’exception d’une guerre civile légale qui permet l’élimination physique non seulement des adversaires politiques mais des catégories entières de citoyens qui pour une raison ou une autre semblent non-intégrables dans le système politique. Dès lors, la création volontaire d’une urgence permanente est devenue une pratique essentielle des états contemporains.

Victor Agamber nous disait en 2003 : l’urgence sanitaire a justifié la mise en œuvre de cette situation politique extraordinaire qui est l’état d’exception qui permet de suspendre l’ordre juridique. Tout le pouvoir est donné à l’exécutif. Le parlement devient un instrument de l’exécutif pour ratifier des décrets promulgués par le pouvoir exécutif. C’est la fin de la séparation des pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires. Cette séparation est pourtant la règle absolue pour éviter tout glissement vers l’arbitraire comme nous le disait Montesquieu.

Victor Agamber précise : « Une situation où l’urgence est devenue la règle et où la distinction même entre la paix et la guerre, entre guerre extérieure et guerre civile mondiale, devient impossible, est une situation totalitaire ».

L’adage latin nous dit : « La nécessité n’a pas de loi ». La nécessité justifie la transgression, ici sanitaire mais aussi, au vu que d’autres nécessités se profilent à l’horizon … 

Nous pouvons distinguer deux problématiques :

1 – La nécessité sanitaire, guerrière, énergétique, etc., justifie-t-elle une transgression de l’ordre juridique et du droit en général ? Et justifie-t-elle la confiscation de tous nos droits inaliénables ?

DANTE Alighieri (1265-1321) y avait répondu dans le « De Monarchia » : « Il est impossible d’atteindre l’objectif du droit sans le droit ». 

Quiconque se propose d’atteindre l’objectif du droit doit procéder selon le droit. On ne peut pas légaliser un moment sans droit, tout simplement. 

2 – La deuxième problématique pour ce qui nous occupe et la nécessité dans la crise Covid est : En est-t-elle vraiment une ? A en croire les études concernant les manipulations des chiffres, le danger était largement exagéré.

Donc, l’état de nécessité a été créé « artificiellement » pour justifier une suspension de l’ordre juridique et cette suspension est devenue une habitude des régimes politiques modernes. Elle est une pure violence à l’égard des populations.

D’ordinaire, la loi a une fonction symbolique, notamment au travers du code pénal qui consiste à poser les bases d’une civilisation pour la protéger au nom de l’intégrité des individus. Ici, nous avons une fraude juridique qui a autorisé la suspension de l’ordre juridique pour lui en substituer une autre frauduleuse : l’urgence, la nécessité de l’état d’exception. En clair, la loi a été enfreinte pour enlever les droits des individus au nom de la loi.

C’est toujours le tour de passe-passe des systèmes totalitaires qui consiste à transgresser la loi pour en faire, non plus un instrument de protection des individus mais un instrument de persécution, de stigmatisation et d’intimidation. 

Faire valoir aujourd’hui nos droits naturels dans l’ordre juridique républicain, par exemple se mouvoir et ne pas être stigmatisé, est devenu une transgression de l’ordre juridique.

Nous pouvons finir concernant les fraudes sur la fraude morale, psychique et spirituelle.

La fraude morale :

Elle a consisté à faire admettre à la population, par la manipulation des esprits, qu’était légitime cet adage politique « la fin justifie les moyens ». Les consciences ont été manipulées par des cabinets d’influenceurs au nom du « bien commun » !


Alors, au nom de ce prétendu bien commun, il est devenu acceptable de : 

- Ne pas soigner des gens, 

- D’ostraciser des individus en supprimant l’accès à leurs moyens de subsistance, 

- D’insécuriser la population et de créer la panique, 

- D’utiliser le chantage, 

- D’utiliser les conflits de loyauté : Choisir entre la conservation de son titre de médecin et sa fonction de médecin de soigner,

- De ne pas honorer le devoir anthropologique et spirituel envers nos morts. Dans certains pays, les morts ont été rendus dans des sacs poubelles à des familles et il y a eu interdiction de funérailles.

Il est devenu acceptable d’abandonner nos anciens à leurs sorts et nous n’ignorons pas ce qui s’est passé dans les EPHAD où il est devenu acceptable d’euthanasier une partie de la population considérée comme inutile et de faire le tri entre les patients ; au nom de ce « bien commun » il est devenu acceptable de maltraiter une grande partie de la population, notamment les enfants et les adolescents.

J’ai vu de mes propres yeux au nom du Covid, des nourrissons venant de naître, arrachés à leurs mères, interdits d’allaitement et mis dans des box fermés au sein de grandes salles déshumanisées. Nous devons revoir absolument tout cela.

« La fin justifie les moyens » signifie qu’il est acceptable de sacrifier des individus au nom de la quantité, du plus grand nombre, et il est devenu acceptable que certains individus aient moins de droits que d’autres ou de les déposséder de leurs droits humains. Des discours politiques n’ont d’ailleurs pas cessé de nous parler de sacrifice. L’objectif est vraiment la logique sacrificielle de la désignation de l’ennemi ; alors cet ennemi peut varier : le juif, le musulman, le chrétien, l’homme, la femme, le vacciné, le non-vacciné, l’hétérosexuel, l’homosexuel, etc.

Dans tous les cas, il faut sacrifier une partie de la population.

Et je vais vous citer un discours d’Emmanuel Macron qui nous dit : « Rien n’est obtenu si rien n’est sacrifié ».

Est-ce que c’est vraiment raisonnable d’y consentir ? 

Les considérations morales n’entrent plus en ligne de compte dans le discours sauf lorsqu’elles sont utilisées en termes de chantage et de manipulation. Alors, bien sûr, c’est toujours pour le « bien » du groupe que l’individu doit se sacrifier et avec cette logique sacrificielle, les individus ne comptent plus et peuvent servir d’objets d’expérimentation jusqu’au génocide. Il n’y a plus de limites morales, juridiques ni spirituelles. Le citoyen est d’ailleurs traité comme un prisonnier sans liberté conditionnelle ; On nous a parlé de bracelets électroniques. Sans nul doute que cela reviendra … !

Je la cite beaucoup tant elle me paraît extrêmement importante, mais je ne me lasse pas de Arthur Koestler (1905-1983) dans le « Zéro et l’Infini » pour diagnostiquer l’impasse dans laquelle nous sommes :

« Il n’y a que 2 conceptions de la morale humaine et elles sont à des pôles opposés ; l’une d’elles, Chrétienne et humanitaire, déclare l’individu sacré et affirme que les règles de l’arithmétique ne doivent pas s’appliquer aux unités humaines qui dans notre équation représentent soit Zéro soit l’Infini. L’autre conception part du principe fondamental qu’une fin collective justifie tous les moyens et non seulement permet mais exige que l’individu soit en toute façon subordonné et sacrifié à la communauté, laquelle peut disposer de lui soit comme d’un cobaye qui sert d’expérience, soit comme de l’agneau que l’on offre en sacrifice ».

Notre statut ontologique d’être humain, notre essence d’être humain nous donne des droits fondamentaux, ces droits sont inaliénables, c’est-à-dire qu’ils ne sauraient être supprimés, confisqués sous aucun prétexte : le droit de respirer, nous sommes tous des êtres d’oxygène, le droit de se mouvoir, le droit de s’exprimer, le droit d’aspirer à la liberté. 

Tous les systèmes totalitaires entendent contrôler la liberté de mouvement et il est fort à parier que les contrôles des mouvements des citoyens soient réinventés à la faveur d’autres urgences fabriquées, l’écologie, le terrorisme, l’énergie, au nom de l’état d’exception … 

Le transhumanisme n’est ni plus ni moins que la modification radicale de notre statut ontologique d’être humain.

Si nous devenons transhumains, nous ne serons plus humains et nous perdrons tous nos droits humains. Le droit et la philosophie discutent et se répondent autour d’une question cruciale. Qu’est-ce que l’être humain ? Où se situe notre humanité ? Elles se situent dans l’aspiration à la liberté, à l’amour, dans nos états d’âme, dans notre imaginaire, dans nos rêves, dans nos émotions, dans notre singularité propre, dans notre créativité personnelle. 

Pour sauver la liberté, « nous ne pouvons pas consentir » à notre liberté. Pour sauver le bien commun nous ne pouvons pas consentir à renoncer au bien de l’individu. Cela implique la reconnaissance de l’autre comme un autre sacré n’a pas le droit de transgresser.

Tu aimeras ton prochain comme toi-même est peut-être même au-delà de toi-même. La charité est le désintérêt dans l’aide. Elle est une morale d’assistance, attention, refuge, amour du genre humain. 

Cicéron nous disait : « la charité du genre humain, l’amour du genre humain et non pas l’amour d’une partie du genre humain » ; par exemple l’amour du genre humain vacciné. Non ! Mais de tout le genre humain, noir, petit, handicapé, blanc, jaune, vieillard, enfant, non-vacciné, etc. Le genre humain qui nous plaît et celui qui ne nous plaît pas, tous les êtres humains, pas seulement quelques-uns.

Notre humanité est présente dans tous ses actes, nourrir des affamés, désaltérer des assoiffés, vêtir des démunis, soigner les malades, visiter les prisonniers, enterrer les morts, apaiser les souffrances par une oreille attentive et, en témoigner. La charité est l’antidote au marchandage des corps et des esprits. Bien sûr, elle n’a rien à voir avec la fausse charité des pseudo philantropes qui font de l’exonération fiscale et se parent de bonnes intentions. La charité est le lien du pur amour (bienveillance) que tous les tyrans du monde haïssent car ce lien ne leur est pas donné. Le sens du mot « barbarie » est de ne pas parler la langue. Nous sommes des êtres de langage, et c’est aussi ce qui nous humanise. Il nous faut revenir sur la durée, c’est-à-dire proposer d’autres récits que le dogme officiel depuis l’expérience et le vécu des individus. Tenir sur la durée suppose comme le dit Victor Agamber de cultiver l’amitié comme une noble résistance politique. Le compagnonnage, le compagnon est celui avec qui l’on rompt le pain pour renforcer le lien et c’est notre réponse à la corruption du pouvoir totalitaire corrompu.


mercredi, novembre 30, 2022

Balenciaga et la pédocriminalité débridée

 


La marque Balenciaga a lancé une campagne publicitaire mettant en scène des gamins sur le point de subir des sévices sexuels.

Tweet d'Aldo Sterone : "Je vous donne le plan : le but de certaines élites est de banaliser, normaliser puis rendre légale la pédophilie. Être contre la pédophilie, ne sera plus une opinion, mais un délit ou un crime de haine. Balenciaga c’est juste un accident de parcours dans cet effort."

Lotta Volkova, la styliste en chef de Balenciaga, a une obsession maladive pour la torture, Satan, le cannibalisme et la mutilation des enfants.

mardi, novembre 29, 2022

L'Empire du mal




Sur le plan moral les réseaux de la domination par le mensonge et la dissimulation sont déjà le mal.

Mais ce mal peut aller beaucoup plus loin quand ceux qui s'appellent eux-mêmes "les fils de la lumière" - sans doute en référence à l'idéologie des Lumières qui les a portés - y voit un autre sens, plus noir, plus trouble et plus ésotérique.

Lucifer signifiant aussi "porteur de lumière", soit dans le livre d'Isaïe, ce roi babylonien raillé pour avoir voulu s'élever au-dessus de sa condition d'homme et dépasser Dieu.

Une figure prométhéenne associée à l'orgueil et progressivement devenue, dans la tradition chrétienne, le symbole du mal et un des noms du Diable. Personnage que l'Apocalypse selon Saint Jean identifie à Satan le tentateur, Satan le menteur, Satan le diviseur, et désigné aussi par Jésus, dans l’Évangile de Jean, comme "meurtrier" et "Seigneur de la Terre"...

Dès lors, l'existence, au plus haut niveau d'initiation, de maçonneries sataniques type : Illuminati, Skull and Bones et autres sectes vouant un culte aux dieux anti-chrétiens, babyloniens ou égyptiens, tel Moloch, avec cérémonies simulant des meurtres d'enfants comme dans The Cremation of care du Bohemian Club, n'est pas si délirante.

Pas si délirante, puisque pour assumer la cruauté qu'impliquent les décisions prises au plus haut niveau par ces réseaux de domination occultes sur l'humanité souffrante-décisions générant : chômage, famines et guerres - il faut avoir renoncé aux commandements chrétiens d'humilité et de charité et avoir, littéralement, voué son âme au diable !

C'est d'ailleurs ce constat terrifié que faisait le producteur hollywoodien Aaron Russo, suite aux propos que lui aurait tenus le grand initié Nick Rockefeller. Propos révélant les desseins maléfiques de l'oligarchie mondialiste et qu'Aaron Russo osa dénoncer dans une confession vidéo célèbre, quelques mois avant sa mort, parce qu'il se savait condamné...

Extrait de Comprendre l'empire d'Alain Soral (format Kindle) ou :

https://www.kontrekulture.com/achats-livres-subversifs/26-comprendre-empire-alain-soral.html

PDF gratuit ICI



lundi, novembre 28, 2022

Quel avenir spirituel pour l'humanité ?





"Le XXe siècle, écrit Daniel Robin, a assisté à un recul très net des religions monothéistes institutionnalisées (Judaïsme, Christianisme, Islam) issues du "Livre" (la Bible). En revanche, et parallèlement à ce déclin, il a vu naître au sein même de ces trois religions des intégrismes violents et radicaux. L’Amérique puritaine [...] se réclame d’un christianisme pur et dur, et se dit prête à partir en croisade contre les « infidèles musulmans ». De son coté l’Islam a engendré des intégrismes qui font de la haine du non-musulman une profession de foi, et de la mise à mort de l’infidèle, le chemin du paradis.

Autre signe des temps : l’intérêt croissant du public pour tout ce qui touche à l’ésotérisme (magie, alchimie, chamanisme, société secrètes, initiations, etc..), à la parapsychologie, aux anges, aux NDE, aux contacts avec les défunts, et aux ovnis. 

Pour notre part nous pensons (nous espérons), par exemple, que l’étude approfondie des expériences de mort imminente (NDE ou EMI), jouera sûrement un rôle majeur dans le renouveau spirituel dont nous aurons bien besoin pour affronter les épreuves qui nous attendent. 

Cet autre signe des temps est un point très important car il montre que la dimension verticale de l’être humain, qui a été évacuée sans discernement par les élites intellectuelles et scientifiques de nos pays, cherche d’une façon ou d’une autre à s’exprimer, même si elle doit emprunter, pour y parvenir, les voies de la marginalité. Remarquons au passage que ces élites, responsables de l’étouffement systématique et de l’atrophie alarmante de cette dimension verticale, ont toutes été formées dans le creuset de nos universités qui distillent une arrogante idéologie rationaliste et matérialiste.

L
e professeur John E. Mack (décédé le 27 septembre 2004 à Londres) était parfaitement conscient de ce que nous pourrions appeler une "manipulation de la réalité" opérée par les élites intellectuelles des pays occidentaux. Et il était bien placé pour s’en rendre compte puisqu’il était lui-même universitaire (professeur de psychiatrie à Harvard), et parce qu’il eut à endurer les reproches de cette élite inquisitoriale qui voyait d’un mauvais œil ses travaux sur les abductés. Il se demandait à ce propos : « Je n’arrive pas bien à saisir pourquoi nous nous cramponnons tellement à nos conceptions et nos façons d’interpréter le monde. Peut-être doit-on penser qu’un paradigme scientifique compréhensible, comme toute idéologie, rassure en confortant le sentiment de maîtrise et de pouvoir ». Et les raisons de cet attachement suspect au paradigme scientifique en vigueur ne seraient-elles pas à rechercher du côté de "l’élite intellectuelle et politique de nos cultures (qui) semble encore plus que quiconque soucieuse de perpétuer une vision matérialiste de la réalité". Car c’est bien en effet "cette élite scientifique et gouvernementale, sans parler des médias sélectionnés qu’elle contrôle, qui détermine ce que nous devons prendre pour la réalité, et ces institutions monolithiques sont comme par hasard les principales bénéficiaires de l’idéologie dominante." (Mack)

Ce qui signifie que l’élite intellectuelle et politique en place ne souhaite pas voir s’éveiller chez les êtres humains ordinaires la conscience d’une dimension spirituelle de leur existence. Cette prise de conscience collective serait dangereuse car elle risquerait de remettre en question la main-mise que cette élite exerce sur les masses. Mais les temps sont mûrs pour que se produisent des mutations (par mutation nous pensons avant tout à une mutation d’ordre spirituelle), qui renverseront bientôt les pouvoirs en place. Du moins nous l’espérons.

Autre signe des temps encourageant : l’attrait croissant pour les religions orientales (Hindouisme, Bouddhisme, Taoïsme, Zen), et notamment en France pour le Bouddhisme tibétain. 

La mondialisation, qui dans l’esprit de beaucoup de nos contemporains se limite à la seule mondialisation des échanges économiques, se révèle être aussi celle des échanges culturels et religieux. Plus qu’à un « choc » des cultures, c’est plutôt à un processus de mélange et d’interpénétration des cultures auquel nous assistons en ce début du IIIe millénaire. Ce phénomène est déroutant mais il était prévisible. Il ne doit d’ailleurs pas nous effrayer, mais au contraire nous stimuler parce qu’il est sûrement l’annonciateur d’une mutation prochaine. De ce vaste brassage des cultures, des religions et des civilisations, devrait en principe émerger quelque chose de nouveau qui couronnera harmonieusement cet ensemble momentanément disparate..."


Source :

Téléchargement gratuit du livre "Civilisation Type I, sommes-nous prêts ?" :





dimanche, novembre 27, 2022

La vérité se trouve de l’autre côté du miroir


« Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale…

C’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable "Golem", dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la "caste dominante". »



La vérité se trouve de l’autre côté du miroir


Par François Dubois 


"De l’autre côté du miroir" est la suite d’"Alice au pays des merveilles". 

Le miroir offre un reflet qui n’est pas la réalité. Si cette image paraît semblable en tout point à ce qu’elle reflète, elle en est la représentation symétriquement inversée. Il s’agit là d’une allégorie qui nous montre que tout ce qui est falsifié résulte par essence d’un processus d’inversion du réel, et que ce qui n’est pas réel est par essence trompeur. 

Le miroir matérialise également notre volonté d’aller chercher une réalité non objective à travers le symbole de falsification du réel qu’il représente. Une absence d’objectivité en lien avec l’ego et le narcissisme. C’est le symbole du miroir dans Blanche-Neige où il répond à une question subjective, « Qui est la plus belle ? » comme s’il était pourvoyeur d’une vérité universelle. Il constitue donc le piège hypnotique parfait utilisable par quiconque souhaite se dissimuler derrière lui pour agir à l’abri des regards. Il est l’outil de captation narcissique idéal qui inscrit celui qui le regarde dans un faux attendu au point de lui faire croire que cette représentation inversée du monde est sa propre réalité. 

Or la vérité se trouve de l’autre côté et ne répond pas forcément à une attente ou à quelque chose de souhaité. Elle existe, qu’on le veuille ou non, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Ainsi voir ce qui se passe de l’autre côté du miroir c’est capter la vérité dissimulée en même temps que comprendre les mécanismes utiles à son décodage.

Aujourd’hui, l’écran télévisé est la prolongation spectaculaire du miroir. Grâce à lui, le spectacle peut s’inviter dans l’intimité d’un foyer. Reflet tronqué et subjectif de la réalité, il se fait passer pour ce qu’il n’est pas : une fenêtre objective ouverte sur le monde. L’écran devient à son tour l’objet qui maintient le spectateur dans une interprétation illusoire de la réalité. 

Nous vivons dans un monde où celui qui possède le contrôle des médias télévisés devient détenteur d’une arme de falsification du réel derrière laquelle il peut se dissimuler pour agir en toute liberté. Comme le miroir, il répond aux attentes du spectateur, lui offrant le faux attendu au point de l’instituer comme une vérité nouvelle et acceptée… Et de devenir une véritable fabrique du consentement !
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L’histoire d’Alice au pays des merveilles repose sur cette logique d’inversion et de falsification du réel. Aussi se compose-t-elle en trois strates. 

La première est le monde normal, un monde vécu sans être compris, dans lequel Alice est ancrée par la force des choses. 

La seconde est la représentation inverse et spectaculaire de ce monde : le monde des merveilles, auquel la jeune Alice aspire au début, par volonté de s’affranchir du conformisme et de la rigueur du quotidien. Ce dernier est un monde qui s’érige en faux et qu’elle va expérimenter comme une nouvelle réalité. Agissant comme un leurre, il est destiné à dissimuler la véritable nature du monde (ignorée du profane) par le biais d’un processus d’inversion. Comme le miroir, il est un reflet de la réalité qui conduit le spectateur à la réinterpréter de façon spectaculaire comme un récit burlesque et dénué de sens. La réalité est exactement l’inverse. 

Mon livre offre ainsi au lecteur la possibilité de découvrir la troisième strate, qui se situe de l’autre côté du miroir. Ce regard initié permet d’analyser le sens que revêtent ces symboles spectaculaires rapportés au fonctionnement de notre monde et d’en dévoiler les maux dissimulés. L’ouvrage décode ainsi le parcours initiatique d’Alice et permet de réfléchir sur l’objectif et le sens à donner à cette entreprise de dissimulation. [...]

C’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable "Golem", dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la "caste dominante". 

Ce que vous qualifiez « d’élite » est, par essence, constitutif d’une catégorie de personnes minoritaire et endogame contrainte d’élaborer en permanence des stratégies afin de conserver ses privilèges dans le temps. Cette catégorie de personnes est apatride et nomade, elle exploite les ressources du globe et les richesses des peuples avec une cupidité indispensable au renforcement du caractère absolutiste de son pouvoir. 

Ayant compris que toute richesse est quantifiable, et donc limitée, elle entend mettre toutes les chances de son côté en spoliant les peuples afin de satisfaire sa volonté de toute puissance. C’est un état de faits, la répartition des richesses n’a jamais été aussi inégalitaire qu’à l’heure où nous nous parlons. 

À ce jour, une telle accumulation de richesses devient inaccessible au commun des mortels. C’est pourquoi ceux que nous définissions il y a peu comme appartenant à une « hyperclasse » ne s’assimilent désormais plus à une classe (puisque la notion de classe autorise les transitions) mais à une caste. Ainsi le capital autorise-t-il avec ses propres outils une endogamie, essence même de l’élitisme, qui permet à ce groupe de prospérer dans l’entre-soi et qui a existé autrefois, sous d’autres formes, dans des rapports de domination plus directs (transmission par le sang de la noblesse par exemple). Cette injuste situation, qui se manifeste de surcroît par un parasitisme mortifère, doit pouvoir, malgré tout, continuer à instituer la domination de ce groupe en même temps que contribuer à sa survie. Si elle veut perdurer, cette caste doit donc inscrire l’humanité dans un rapport de domination et d’exploitation non consenti qui doit relever d’un processus de soumission inconsciente des masses. Cela doit être compris pour justifier la nécessité qu’elle a à se faire oublier. Pour fonctionner, cette dissimulation obéit à trois règles : possession, manipulation, contrôle.

Le groupe dominant (je n’aime pas trop l’appeler « élite » car cela sous-entend qu’ils sont les meilleurs d’entre nous) utilise donc en premier lieu les indispensables richesses qu’il possède pour se fondre dans l’ensemble des acteurs constitutifs de la société du spectacle. Ce groupe s’est petit à petit spécialisé dans la création de conglomérats et dispose désormais d’une mainmise sur l’ensemble des secteurs stratégiques clés à travers ses réseaux. Ce que j’avance ici se constate dans les faits,. Il suffit d’observer comment s’est diversifiée l’activité économique des plus grands milliardaires ces dernières années, ou encore d’observer quand les stratégies de défense du spectacle deviennent manifestes et révèlent ce jeu de possession (voir la réaction de Cyril Hanouna lorsqu’on parle des activités occultes de Vincent Bolloré sur sa chaîne). Mais la dissimulation du pouvoir réel, spoliateur et parasitaire, ne peut pas se résumer à un simple jeu de possession et n’est rien sans les outils de la manipulation spectaculaire.

Ainsi, la seconde règle consiste à organiser la manipulation spectaculaire par le biais de leviers utiles à créer des narrations dont le but est de légitimer toutes les actions menées contre l’intérêt des masses. Il est question de porter une idéologie pour dissimuler des intérêts purement économiques utiles au pouvoir réel. C’est là qu’interviennent les pouvoirs d’apparat, c’est-à-dire le politique et les médias. Ils sont les dépossédés victimes de la règle numéro une, transformés par la force des choses en exécutants. Ils ne sont pas choisis mais « placés » par le jeu des soutiens financiers et des cooptations. Ainsi, c’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable « Golem » dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la « caste dominante». 

A l’aide des médias complices et subventionnés, appartenant eux-mêmes à des réseaux facilement identifiables, il entend poursuivre l’œuvre dissimulée de ses prédécesseurs depuis la chute organisée du général De Gaulle. Ce président est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale et nous dévoile par ailleurs, la perception eschatologique de la dimension dans laquelle il s’inscrit en évoquant « face-média » la bête de l’événement. Il est aussi intéressant de noter que contrairement au pouvoir réel, le pouvoir d’apparat, dans une grande cohérence spectaculaire, a impérativement besoin d’être vu et de susciter l’adhésion pour participer à l’illusion démocratique.
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Ce qui nous amène à la troisième règle indispensable à la dissimulation : le contrôle des masses. Je ne reviendrai pas sur les stratégies mises en œuvre, mais le contrôle de la pensée devient de nos jours un outil de dissimulation majeur. Cela se produit en détournant les attentions, en horizontalisant les conflits et en réduisant les capacités intellectuelles. J’entendais il y a peu, Jacques Attali, venu faire la promo de son dernier livre qui traite de l’école, expliquer sur France Culture, avec sa suffisance habituelle, que les gouvernements déterminaient les niveaux scolaires en fonction de leurs besoins.
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Pour conclure, je dirais que actuellement un problème plus grave se pose. Cette caste dominante a compris que son unique point faible était son parasitisme, autrement dit, sa dépendance aux peuples et l’obligation qui en résulte de se cacher. Elle compte y remédier en investissant massivement dans les nouvelles technologies, l’I.A, le transhumanisme, la virtualisation et l’automatisation (ne croyez pas qu’Elon Musk est un ami parce qu’il a acheté Tweeter). C’est l’un des objectifs du « great reset ». L’ère du tout numérique sera le « verrouillage final » qui scellera le destin de l’humanité. Comme le souligne Yuval Noah Harari, nous irons ainsi vers un modèle sociétal qui va produire de nombreux « inutiles », entendez en réalité que d’ici là, il ne sera plus nécessaire à cette caste de vampiriser le monde pour exister… Et comprenez que pour autant, elle entendra toujours asseoir sa domination en s’accaparant les richesses et en utilisant les technologies pour exercer un pouvoir absolu. Pourquoi ces futurs « dieux » devraient-ils alors s’embêter à gouverner toutes ses bouches devenues inutiles et se multipliant sans cesse ? Ces paroles s’inscrivent dans un contexte narratif où l’idéologie néo-malthusienne bat son plein, posant désormais la démographie comme une problématique en lien avec le partage des ressources… C’est très inquiétant.

Extraits de l'article du Media en 4 4 2 :


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