lundi, janvier 07, 2019

Un boxeur déchaîné contre les sbires de Macron

Pour "défendre une femme", dit son ancien entraîneur.


Les images que Bourdin et RMC-BFMTV ne montrent pas du véritable contexte du passage à l'acte de Christophe Dettinger (le boxeur au grand cœur).



HOMMAGE À CHRISTOPHE

« Cette séance de boxe est un exemple à suivre, pour nous autres Gilets Jaunes. »


paru dans lundimatin, le 7 janvier 2019


Si les vidéos montrant, ce samedi à Paris, un « boxeur » affronter à mains nues des gendarmes ont provoqué des réactions outrées, notamment dans la classe politique ou chez les syndicats policiers, certains Gilets Jaunes semblent avoir apprécié le courage de leur camarade (que la police semble avoir identifié comme étant un certain Christophe, ex-champion de France d’anglaise). Un exemple ici, avec cette « lettre de soutien » que nous avons reçu et accepté de publier.


Je n’étais pas à Paris ce week-end. Je portais mon Gilet Jaune dans une ville du Sud, où nous étions plus nombreux que la semaine précédente. Ce qui a illuminé ma journée ce n’est pourtant pas la vue de centaines de gilets fluo, mais, en rentrant chez moi, de découvrir la vidéo de Christophe, le boxeur parisien. Je ne signerai pas cette lettre de soutien de mon nom, désolé pour ceux qui l’apprécieront, mais c’est à cause de (attention les journalistes, bouchez vos oreilles) la répression. Ce que je vais dire ne plaira pas à la foule haineuse des macronistes, ni à ceux qui ont retourné leur gilet. Mais, oui, Christophe est un superhéros. Pas parce que qu’il sait se rétablir comme Spiderman ou parce qu’il envoie des patates comme Sagat. Plus simplement, mais c’est une chose rare, parce qu’il nous a montré une digne manière d’agir.

Je ne parlerai pas du fameux « contexte ». Les GJs et leurs soutiens le connaissent. Le contexte général : les milliers de blessés et d’arrestations arbitraires, les mains arrachées et les yeux explosés dans le silence médiatique et avec la bénédiction du gouvernement. Le contexte particulier : des gendarmes qui bloquent le cortège de Gilets sur un pont, et qui font n’importe quoi (quelle bonne idée !). Les commentateurs, eux, s’en foutent du contexte. Ou plutôt ils s’en servent exactement comme ils le veulent, tant que ça permet de présenter les policiers en victimes ou d’excuser leurs exactions. A Mantes-la-Jolie la police filme des gamins agenouillés pendant plusieurs heures les mains sur la tête ? On brandit le contexte (des violentes émeutes par des méchants jeunes de banlieue). A Paris, des manifestants jettent des projectiles sur des motards ? On mettra le contexte et les grenades (jetées sur une foule qui ne leur avait rien demandé) sous le tapis.

Non, peu importe le contexte, les vidéos ont suffit à me rendre joyeux, en voyant Christophe plonger tête la première pour entreprendre de faire reculer une ligne de robocops à lui tout seul.

Dans une première séquence, on voit cet homme, grand, vêtu de noir et d’un bonnet, effectuer une figure aérienne, atterrir malgré tout sur ses deux jambes, réajuster son couvre-chef, et puis enchaîner les jabs contre le bouclier d’un gendarme, qui cède sous les coups et est contraint de reculer, alors que ses collègues renoncent à le soutenir. Cette vidéo a provoqué mon hilarité, mais aussi la cacophonie habituelle : « violence », « inacceptable », « intolérable », blablabla. Même la Fédération de Boxe a fait un communiqué.

De quelle violence parle-t-on ? De celle d’un homme qui n’a ni protections, ni armes et qui boxe, en un contre quatre, un gendarme doté d’un plastron, un bouclier, un casque avec une visière pare-balle, des genouillères, des trucs sur les épaules, un tonfa, des grenades rangées dans le dos et des dizaines de collègues autour de lui. Un homme à mains nues face à un robot (où est la fente pour glisser les sous de la prime ?). Quelles blessures vont-ils pouvoir lui inventer ?

Alors on dira que le type est un boxeur et que, bien qu’il ne soit pas armé, c’est son corps qui est une arme ! C’est vrai… C’est vrai qu’après avoir procédé à tant d’arrestations de GJs pour « groupement armé » parce qu’ils avaient trois conneries dans leurs coffres, après avoir confisqué des masques à gaz (parce que quand même si les GJs ne crachent pas leurs poumons c’est pas du jeu), on pourrait arrêter des manifestants à cause de leur corps, ou de leurs compétences. Un punching-ball de foire au péage, et on teste les GJs un par un. Trop fort ? Interdit de manif’. 


On pourrait aussi imposer les moufles en manifestation.
En fait il n’y a pas de débat. Dans le combat de Christophe, il y a toujours la même disproportion entre une police surarmée d’un côté et des manifestants qui n’ont que leurs mains.

Il n’y a pas non plus de déchainement de violence dans ces images. Car en fait ce qui « choque » la plupart des politiques et des journalistes (en fusion depuis 2 mois) c’est qu’on ne soit pas faibles. Qu’on ne donne pas l’image de gens faibles. Alors que c’est ce qu’ils voudraient voir. Ils voudraient nous voir d’abord peu nombreux. La déception fut grande quand en fin de journée le Ministère a été obligé d’avouer que le mouvement connaissait un « rebond ». Samedi, en début d’après-midi, la chaîne LCI titrait « moins d’un millier de manifestants dans toute la France, hors Paris ». Moins de mille ! Pourquoi mille ? Pourquoi pas deux ? « Deux gilets jaunes repérés au bord de la D332 avec un cric » ç’aurait été presque plus crédible.

Ils veulent nous voir peu nombreux et inoffensifs. D’abord on aurait bien voulu nous voir pique-niquer (le 24 novembre), puis manifester en cage (le 1er décembre), puis manifester en garde-à-vue (le 8 décembre), puis ne plus manifester du tout (pendant les fêtes). Comme on n’a répondu à aucun de ces souhaits de policiers et d’éditorialistes, chaque nouvelle manifestation de notre détermination est un outrage. Et il est donc là le vrai scandale : ce samedi nous n’étions pas faibles. Malgré les faux décomptes nous étions nombreux. Et malgré les intimidations, les menaces, les barrages, les fouilles, nous ne nous sommes pas laissés faire. Surtout Christophe.

Dans une seconde vidéo on voit sur la passerelle un corps à corps entre des Gilets jaunes et les mêmes gendarmes mobiles. Au milieu de cette foire d’empoigne, Christophe met des coups de pieds à un gendarme tombé au sol. Second scandale. En plus d’être violent, il serait donc un lâche. C’est vrai que ce n’est pas un geste de grande classe. Il doit le savoir Christophe puisqu’il pratique le noble art. C’est la disqualification assurée. La bagarre est captée par les caméras des sous-BFM de l’internet. Qui s’empresseront d’en diffuser les extraits hollywoodiens quasi en direct. Comme quelques semaines plus tôt avec l’affrontement entre GJs et voltigeurs sur les Champs. De ces vidéos attrape-mouches, les bousiers gouvernementaux formeront des Dragibus prêts à gober pour l’AFP : « lynchage », « factieux », « antisémites » ! Macron en a fait un chapelet le premier de l’an : c’est la « foule haineuse » qui s’en prend « aux élus, aux forces de l’ordre, aux journalistes, aux juifs, aux étrangers, aux homosexuels ». Sur les plateaux des grandes chaînes on réclame la gueule ouverte ce genre de susucres, les vidéoclips de « violences » tirées de l’internet, surtitrés aux éléments de langage LREM.

L’inégalité des moyens à dispositions des bélligérants : un gilet jaune face à une armure, peut expliquer ce genre de coup bas. Peut-être aussi la curiosité, qui pousse à agiter du bout du pied une carcasse de plastique et métal comme pour vérifier s’il y a bien quelque chose d’humain là-dedans. Ce n’est pas classe, mais est-ce lâche pour autant ? Les GJs se souviennent tous d’un événement qui permet peut-être mieux d’établir ce qu’est la lâcheté. Le 1er décembre, (les journalistes : cachez vos yeux je vais parler violence policière) un homme était tabassé au sol par 8 CRS. Ils l’ont poursuivi dans une rue. Ils étaient en armures, et ils l’ont frappé à de multiples reprises avec leurs matraques. Si cet acte est d’une lâcheté innommable, ce n’est pas parce que l’homme était à terre. Ce n’est pas parce qu’ils étaient 8 contre 1, pas parce qu’ils avaient des armures et lui juste un bonnet, pas parce qu’ils avaient des matraques et lui rien du tout. C’est parce que ces policiers savaient qu’ils seraient couverts. Ils pouvaient frapper sans crainte.

Christophe a été arrêté au bout de quelques heures, parce qu’il a été rapidement identifié (il n’était même pas masqué). Si les policiers auteurs de violence pouvaient être aussi vite identifiés ils seraient sanctionnés n’est-ce pas ? Le même jour que les exploits de Christophe, un policier était filmé en train de boxer un manifestant sans protection, à Toulon. Son identité a rapidement été révélée sur les réseaux sociaux. Le procureur de la République a décidé de ne pas ouvrir d’enquête à son encontre. Il est libre. NDLR : le préfet a tout de même saisi l’IGPN dans cette affaire

Qui sont les faibles et les lâches ? Sur un rond-point, puis dans une manifestation, deux policiers différents m’ont dit : « il ne faudra pas venir nous appeler quand il y aura des attentats ». Sur les réseaux sociaux plusieurs policiers invitaient Christophe à des duels, des combats de boxe en un contre un. A Nantes le même samedi un policier portait un masque du Punisher. C’est tout le drame des policiers : ils se voient comme des héros, des hommes forts, les derniers remparts de la France face au chaos. Alors que ce qu’ils font, depuis 2 mois, tous les samedis, c’est de tirer au flashball dans la tête de lycéens, lancer des grenades explosives sans viser et dans la foule, donner des coups de matraques à des vieux, arracher les téléphones qui les filment, traîner des jeunes femmes au sol et par les cheveux, confisquer des lunettes de piscine, bloquer des gens sur un pont parce qu’ils veulent aller à l’Assemblée Nationale. On a vu meilleurs Supermen.

Que les choses soient claires. La faiblesse et la lâcheté ce ne sont pas les patates de Christophe. C’est éborgner des manifestants, tout en niant tirer dans la tête. C’est faire de la provocation tous les jours sur Twitter et s’enfuir par la porte de derrière de son Ministère quand on vient y sonner. C’est porter plainte pour « violence » contre quelqu’un qu’on a savaté. C’est dire « qu’ils viennent me chercher » avec deux hélicos prêts à décoller dans la cour. C’est lancer des grenades de désencerclement sur la foule, puis réclamer 45 jours d’ITT pour choc psychologique parce qu’on a vous a lancé deux trottinettes. C’est dire « force et honneur », et n’avoir ni l’un ni l’autre.

On m’a averti de « ne pas soutenir ce Christophe sans savoir qui c’est ». C’est peut être un pédo-nazi, ou pire un macroniste infiltré. La question n’est pas celle de l’homme, ni du boxeur, mais de son geste. Qui nous a redonné courage et qui doit nous inspirer. Ça ne veut pas dire se mettre à la boxe anglaise. Ça veut dire : avancer, ne pas reculer, rester déterminés.


dimanche, janvier 06, 2019

Coralie, morte pour la cause du peuple ?

Coralie, Gilet jaune belge et mère de deux enfants, aurait été tuée par le tir d'un flash-ball pendant la manifestation du 5 décembre à Paris... 


"Les officiels belges comme français n'ont pas pu confirmer les rapports relayés sur les réseaux sociaux selon lesquels une Gilet jaune belge aurait trouvé la mort lors des manifestations à Paris samedi." Sputnik 
(mis à jour 16:08 06.01.2019)

Flash-balls, grenades de désencerclement, gaz lacrymogène, blindés..., les armes "non-létales" qu'utilisent les policiers contre les personnes qui manifestent pour vivre dignement, sans subir le racket de l'oligarchie des parasites :



La grenade GLI F4 (assourdissante et gaz) contient une charge explosive constituée de 25 grammes de TNT. Elle arrache la main de celui qui tente de la relancer pour éviter le gaz lacrymogène qu'elle diffuse. La France est le seul pays européen à utiliser ce type de grenade pour le maintien de l'ordre.
Jusqu'à la mort du jeune Rémi Fraisse, qui a eu une partie de la colonne vertébrale et de la moelle épinière arrachées par l'explosion, les gendarmes utilisaient des GRENADES OFFENSIVES contre des manifestants désarmés.

vendredi, janvier 04, 2019

Bruno Le Maire "respecte" le peuple en le jetant en prison

Pour Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances de la dictature macronienne, l'arrestation d'Éric Drouet, l'une des figures du mouvement des gilets jaunes : "Cela s'appelle le respect de l'État de droit. Et le respect du peuple, c'est respecter l'État de droit"

Quand Le Maire parle du "respect du peuple", il est aussi clownesque qu'en 2011. A l'époque, Le Maire était ministre de l'agriculture, il fut interrogé sur ses compétences...    


"Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture ( http://www.agoravox.fr/tribune-libre/... « Tartuffes au grand salon » ), ne sait pas répondre à quelques questions basiques sur l'agriculture, posées par Ariane Massenet au Grand Journal sur Canal +  - Un hectare, c'est quoi ? - Ben, c'est un hectare... - Oui, c'est combien, en mètres ? - Alors ça, j'ai jamais été doué en maths..."

Le Maire, le premier baron LR (Les Républicains) à avoir rejoint En Marche, sous les huées de ses camarades qui le traitaient de « traître », est au service de la finance apatride et du mondialisme messianique destructeur des États-nations. 


L'arrestation musclée d'Eric Drouet à Paris.

mardi, janvier 01, 2019

2019, que dit l'oracle au peuple français ?

"Loin de s'étioler, le mouvement des Gilets Jaunes va se renforcer dans le temps et finir par tout balayer sur son passage..."


Oracle : Margot Velazquez


Emmanuel Macron consulte une voyante.

La voyante très concentrée ferme les yeux et lui dit :

- Je vous vois passer dans une grande avenue, dans une voiture, le toit ouvert, le peuple applaudit. La foule est heureuse, comme jamais. Des personnes courent après la voiture. Il y a tellement de monde que la police a du mal à se frayer un chemin. Les gens portent des drapeaux français, chantent et crient des mots d'espoir : "maintenant, tout ira mieux".

À ces mots, Macron se gonfle de joie et demande à la voyante :

- Et moi, comment je réagis à tout cela ?

La voyante répond :

- Je n'arrive pas à le voir, le cercueil est fermé.


dimanche, décembre 30, 2018

Merci Macron, ton arrogance nous a réveillés !

Un réquisitoire de quatre minutes contre Macron, l'oligarchie, la corruption...



Le peuple français est déterminé à s'affranchir de la dictature oligarchique en 2019.

Partout, on réclame la véritable démocratie et la redistribution de la richesse produite par les travailleurs. 

Ici, on entend : "Finissons-en avec l’injustice des puissants ! Pour cela, exigeons une véritable démocratie !"

Là, il se dit : "Mettons en œuvre les principes de la souveraineté du peuple et de la nation, de la citoyenneté, du juste retour de la richesse, de la simplification de la vie sociale, de la séparation réelle des trois pouvoirs institutionnels..."

Les principales revendications des Français :

— Le référendum d’initiative populaire (ou RIC) pouvant aller jusqu’à la destitution du président de la République ;

— La suppression de toutes les taxes, y compris la TVA, et l’augmentation des tranches de l’impôt sur le revenu, de plus, imposition particulière des fortunes aux origines douteuses ;

— L’indépendance de la justice ;

— La maîtrise de la finance ;

— La relocalisation des entreprises ; ETC.

samedi, décembre 29, 2018

Extase


"Céline explique pourquoi elle est entrée dans la communauté du Sacré cœur de Jésus alors que ses proches ne comprennent pas cette décision." Il est vrai qu'à l'ère du nihilisme hédoniste et du culte du moi, des parents peuvent être déstabilisés par la ferveur et l'engagement de cette communauté du renouveau charismatique catholique qui déclare : 

"Conscients de la tiédeur spirituelle de notre monde, nous recherchons, par amour du Christ, à L’aimer, Le servir, L’adorer dans des temps privilégiés proposés à tous ceux qui ont le désir de Le rencontrer et de vivre de même."

Strip-tease vous déshabille

Strip-tease, émission de la télévision belge, a été créée par Jean Libon et Marco Lamensch. "L'objectif des créateurs était de réaliser des documentaires d'un genre nouveau dans lesquels les commentateurs s'effaceraient pour laisser parler les protagonistes. L’émission aborde essentiellement des passages de la vie de tous les jours (repas de famille, séance de vaisselle, la vie d’une fermière)." Le spectateur peut ainsi se reconnaître dans son intimité quotidienne : « Strip-tease : l’émission qui vous déshabille ».


LIVRES :
Marco Lamensch

"Les coulisses de l'émission Strip-tease, racontées par son co-créateur, Marco Lamensch, qui lève le voile sur ce qu'il s'est passé devant et derrière la caméra, et nous explique comment on fait un film, 100% Strip-tease !"

Mathieu Ortlieb

"On se doutait bien que Strip-tease se mitonnait dans les enfers et que des sorciers pervers distillaient poisons et traîtrises. Mais Mathieu pousse l’infamie au comble de la trahison : Dire le secret du poison. CE LIVRE EST UNE IGNOMINIE !"


jeudi, décembre 27, 2018

La compassion

1997, la bouddhamania occidentale est à son apogée. Claude Challe organise une soirée caritative afin de récolter des fonds pour le Tibet.



"Srip-Tease a découvert dans ce que la nuit parisienne offre de plus branché, quelques locomotives prêtes à payer de leur personne pour prêcher la bonne parole et lutter pour de grandes causes. Dans le beau monde, cela va de soi..."


Fils d'un tailleur juif, Claude Chalom (né en 1945 en Tunisie) devenu Claude Challe, est un designer sonore français connu principalement pour être le co-fondateur de Buddha Bar, une chaîne de restaurant-bar-lounge. Il est une figure de la grande époque des Bains Douches, célèbre boîte de nuit parisienne où il dirigea la programmation musicale.

"Adepte de la méditation et féru de religions", Claude Challe est l'auteur d'un livre souvenir intitulé "Party de vie" (Editions du Panama). Il y expose sa philosophie et "raconte ses années hippies sur la route de l'Inde, sa plongée dans le monde de la nuit, ses conquêtes féminines, ses amis stars".


mercredi, décembre 26, 2018

Le Graal

Le Graal selon Kaamelott, série télévisée humoristique.


Plus sérieuse, l'analyse synthétique du symbolisme du Graal par Pierre-Yves Lenoble.


BLOG de Pierre-Yves Lenoble : http://sophiaperennis.unblog.fr/



Lecture :


Joseph d'Arimathie - Merlin - 
Les Premiers Faits du roi Arthur



Les romans du Graal en prose française nous sont parvenus dans un grand nombre de copies manuscrites qui s'échelonnent du XIIIe au XVe siècle. Ils forment un entrelacs complexe de versions ou de réécritures qui ont été étudiées par les érudits depuis plus d'un siècle. Dès que l'on s'intéresse aux œuvres du Moyen Age, il ne faut en effet jamais perdre de vue que l'on se trouve devant une littérature en mouvement, en perpétuelle transformation de sa lettre et de son contenu. Le saint Graal du XVe siècle n'est plus le Graal de Chrétien de Troyes. Le vers est de plus en plus concurrencé par la prose qui tend à définir désormais la quintessence du genre romanesque.

Certains des récits ultérieurement inclus dans les versions cycliques de l'histoire du Graal étaient à l'origine des œuvres autonomes, écrites en vers. L'histoire de Lancelot, par exemple, apparaît en français avec un roman en octosyllabes, "Le Chevalier de la Charrette" de Chrétien de Troyes (vers 1181). La matière de ce roman - l'enlèvement de Guenièvre par Méléagant et sa libération par Lancelot - est incluse dans un premier Lancelot en prose (vers 1215-1225) au sein duquel elle est réduite au rang d'épisode.

Ce Lancelot en prose, qui s'ouvre sur le récit des enfances du héros, s'achevait probablement avec la mort de Galehaut. Il n'est pas encore relié à "La Quête du Saint Graal": le futur héros du Graal n'y est pas Galaad, mais Perceval. On parle à son propos de version « non cyclique ».


Cette première version en prose fut ensuite transformée et amplifiée, sans doute par étapes successives, jusqu'à une version cyclique (vers 1235-1240), véritable fresque du Graal, dans laquelle l'histoire de Lancelot occupe toujours une place centrale, mais dont l'enjeu narratif ne concerne plus uniquement ce héros : il se déplace vers la quête du Graal, forme ultime de la quête romanesque portée par cette tradition.


Philippe Walter


lundi, décembre 24, 2018

François Asselineau est-il l'avatar de la reconstruction ?



François Asselineau est-il l'avatar de la reconstruction ? s'interroge l'auteur de la vidéo, un lecteur de Luc Bigé, notamment du livre La voie du héros - Les douze travaux d'Hercule. (Les douze Travaux sont autant d’étapes de transformation intérieure qui vont conduire le héros de la vie ordinaire vers la vie extraordinaire.)


S'inspirant des textes de spécialistes de la cyclologie et de l'ésotérisme, comme Patrick Burenstenas, expert de la tradition primordiale (Un alchimiste raconte), l'auteur de la vidéo dénonce la déliquescence de la vie politique et prédit de profonds changements sociétaux, "le chaos généralisé", dit-il. Mais, après la pluie revient le soleil, la reconstruction d'une société plus spirituelle deviendra possible grâce à un mystérieux avatar, c'est-à-dire une "incarnation divine".


dimanche, décembre 23, 2018

Haute trahison !

Le véritable programme de Macron est de transférer la souveraineté de la France à l'Union Européenne.




François Asselineau, le président de l'UPR, revient sur son appel à lancer le déclenchement de la procédure de destitution du président de la République par l'article 68 de la Constitution.Car depuis ce dernier, Macron à déjà à nouveau enfreint deux articles de la Constitution et non des moindres !



58 députés et de 35 sénateurs peuvent libérer la France de la marionnette des Rothschild 

Franck Marlin, député LR de l'Essonne, s'engage à mettre en œuvre la procédure de destitution de Macron.

Lettre du député Marlin au président de l'UPR.


samedi, décembre 22, 2018

7 nouveaux messies



Dans son livre, The Last Testament, le photo journaliste norvégien Jonas Bendiksen, nous emmène dans un voyage d'exploration spirituelle à la rencontre de sept hommes qui déclarent être le nouveau Messie.

Royaume-Uni 

David Shayler, qui était autrefois un espion au service du MI5, enseigne la conscience du Christ, l'amour inconditionnel et la suprématie de la loi de Dieu sur la législation de l'homme. Depuis quelques années, le Messie britannique se travestit et se fait appeler Dolores Kane afin d'incarner l'aspect féminin de la divinité. 



Zambie


Le Jésus de Kitwe, chauffeur de taxi prêchant ses commandements sur les marchés de Zambie avec ses deux disciples, au risque de se faire régulièrement agresser par des détracteurs en colère. "Ceux que j’ai rencontrés, écrit 
Jonas Bendiksen, sont sincères et ont réellement fait l’expérience d’une révélation, quelle que soit son origine, commente le photographe norvégien. Ce n’est pas pour en tirer un gain personnel, pour certains c’est plutôt un fardeau. Après tout qui était Jésus de Nazareth ? Un pauvre charpentier sans accointances avec les riches ou le pouvoir, un marginal souvent pris pour un fou !"

Brésil

Inri Cristo, aube blanche, couronne tressée sur de longs cheveux gris, se déplace sur un trône à roulettes entouré de neuf disciples virginales toutes de bleu vêtues. Sa chaîne YouTube diffusant des clips populaires revisités en « Versions Mystiques ».

Japon

Le Japonais, Jesus Matayoshi, harangue ses compatriotes du toit de sa voiture, persuadé qu’il apportera le Royaume de Dieu sur terre par un processus politique démocratique.

Philippines

Apollo Quiboloy, philippin fondateur de l’entreprise "Le Royaume de Jésus-Christ", revendique six millions de disciples, deux jets privés, des chaînes de TV…


Russie

Au cœur de la Sibérie, Vissarion, look et visage christiques, vit dans un écovillage utopique, revendiquant 5 000 disciples organisés selon leurs propres structures sociales. "J’aurais pu vivre dans cette communauté en harmonie avec la nature, prônant l’écologie, la créativité… Après ces trois années magiques, la question pour moi n’est pas de savoir s’ils sont ou non des messies, mais le sens du message qu’ils diffusent aux gens. Esclave de mon rationalisme je ne suis pas devenu croyant, mais j’ai été touché par plusieurs d’entre eux. Ils ont un niveau de conscience et une vie cosmique que je n’ai pas", dit Jonas Bendiksen.


Afrique du Sud 

Moïse, le Messie du KwaZulu Natal appelé aussi le "Roi des rois", alerte ses fidèles "le Jour du jugement dernier approche".


vendredi, décembre 21, 2018

La chute de "Jean de Dieu", médium brésilien adulé, pervers sexuel présumé



C'est à son tour, pourrait-on dire. Joao Teixeira de Faria, médium tout puissant au Brésil, qu'on peut plutôt désigner comme un gourou, vient de tomber du haut de son empire spirituel. 


Il est accusé d'agressions sexuelles non pas par quelques femmes, mais par 330 au total, des Brésiliennes et également beaucoup d'étrangères, des Européennes, Américaines, Sud-Américaines... Il a dû se rendre à la police de Goiania, la capitale de l'Etat du Goias, dans le centre-ouest du pays; il n'avait pas le choix car un mandat d'arrêt avait été lancé contre lui.

Jusqu'aux révélations, cet homme qui se fait appeler Joao de Deus (traduisons "Jean de Dieu"), âgé maintenant de 76 ans, recevait dans son temple, construit à Abadiania, des milliers de gens, dont de nombreuses femmes, pour les soulager grâce à de soi-disant séances de "guérison spirituelle". Il était aussi admiré par quelques stars, dont la présentatrice vedette de la télévision américaine, Oprah Winfrey, qui avait réalisé avec lui une émission en 2012. Et, cerise sur le gâteau, il a eu pour patients les trois derniers présidents du Brésil, Lula da Silva, Dilma Rousseff, qui ont eu tous deux des cancers, et Michel Temer, l'actuel chef de l'Etat.

De drôles de "guérisons spirituelles", passant par le sexe

Mais la semaine dernière, le ciel s'est assombri d'un seul coup pour le fameux "Jean de Dieu". TV Globo, la plus grande chaîne de télévision brésilienne, a diffusé toute une série de témoignages de femmes qui ont expliqué qu'il n'y avait pas de "guérison spirituelle" sans satisfaire, sous la contrainte, des demandes sexuelles diverses et variées du gourou. La parole libérée, des centaines de plaintes - 330 donc - ont afflué au bureau du parquet du Goias, provenant entre autres de Belgique, de Suisse, d'Allemagne, des Etats-Unis, d'Australie, de Bolivie...


"Je me suis remis à la justice divine et comme je l'ai promis, je me rends à présent pour me remettre à la justice de la Terre", a déclaré avec emphase le médiatique médium. Ce qu'il a oublié de dire, c'est qu'il était déjà sous le coup d'un mandat d'arrêt pour l'empêcher de fuir le pays. Selon la presse brésilienne, il avait commencé à retirer de plusieurs banques la "modique" somme de 35 millions de réais, ce qui équivaut à 8 millions d'euros. Comme quoi, le spirituel, ça peut rapporter gros !

Un "monstre", selon sa fille qu'il aurait violée des années durant

Ne se sentant plus seule après le grand nombre de plaintes déposées, Dalva Teixeira, la propre fille de Joao Teixeira de Faria, a enfin pu raconter son calvaire dans un hebdomadaire : elle affirme qu'elle a été violée par son père dès l'âge de dix ans, et pendant au moins quatre ans. Elle s'est même retrouvée enceinte et a fui celui qu'elle appelle depuis le "monstre".

Joël Chatreau

mercredi, décembre 19, 2018

Curé, Enragé et Gilet Jaune




Les Gilets jaunes, la fin du cycle néolibéral ? S'interroge Aleteia, le site internet d’actualités générales et de spiritualité lancé en 2012 par la Fondation pour l'évangélisation par les médias avec le soutien de l'Église catholique.


Gilets jaunes : la fin du cycle néolibéral ?



par Henri Hude 


La crise des Gilets jaunes, mise en perspective historique, révèle la fin de l’exercice néolibéral, sous la pression coalisée de tous ceux qu’il n’a pas assez respectés.

La crise des Gilets jaunes en France vient s’ajouter à celle du Brexit en Grande-Bretagne, de l’élection de Trump aux USA, à la crise politique endémique désormais en Allemagne, à la crise d’unité nationale en Espagne et à l’alliance Di Maio/Salvini en Italie. Tous ces phénomènes expriment à leur façon une crise du monde et du modèle néolibéral. Pour éviter tout simplisme dans l’interprétation et l’évaluation, cette crise doit absolument être mise en perspective historique.



Des socialistes devenus individualistes

Il y a cinquante ans, le monde occidental était en marche à petits pas vers le socialisme. Le communisme totalitaire était une réalité menaçante à nos frontières européennes. Dans chaque pays, la démagogie électorale tendait à réduire sans cesse les marges des entreprises et la liberté de gestion des entrepreneurs, avec une tendance continuelle à aller vers une redistribution maximale, vers la cogestion, puis l’autogestion : en un mot la réduction maximale de la liberté d’entreprise et du droit de propriété privée.

Mais en même temps, le capitalisme équilibré par la social-démocratie avait énormément accru la richesse générale et créé une mentalité plus embourgeoisée qui rendait le communisme obsolète, d’autant que l’excès de socialisme nuisait désormais au développement de la prospérité désirée. C’est pourquoi la révolution de 1968, qui avait commencé en épopée de révolution socialiste se termina en comédie de révolution sexuelle individualiste. La gauche, devenue dans ses chefs individualiste et bourgeoise, ne put s’opposer longtemps aux politiques néolibérales, voire les mit elle-même en œuvre. Tout ceci commença à s’affirmer au long des années 1970, renversant la tendance historique vers l’égalité et le socialisme. 



Les néolibéraux contre la démocratie

Comme la démocratie nationale s’était révélée trop égalitaire et menant au socialisme, les néolibéraux ont drastiquement limité la démocratie politique, pour sauver la liberté économique. Parmi les principaux moyens employés pour arriver à cette fin, nous pouvons citer l’interdiction faite aux États de faire du déficit sans emprunter sur les marchés financiers. Il y a aussi ces traités de libre-échange et la liberté consécutive de circulation des capitaux, des marchandises et de la main d’œuvre à la surface de la planète. En d’autre termes, la mondialisation. Il faut aussi relever la primauté des traités sur les constitutions nationales, le renforcement du contrôle des décisions politiques par des organes judiciaires, souvent supranationaux, statuant à partir d’une interprétation néolibérale des droits de l’homme. Je note également que l’association des nations dans des groupements supranationaux échappe de fait à tout contrôle démocratique. Sans compter l’imposition d’une orthodoxie philosophique impitoyable, le « politiquement correct », chargée de culpabiliser et d’inhiber toute résistance à la domination néolibérale. 


La fin du cycle néolibéral

Nous arrivons en ce moment au bout de l’exercice néolibéral, qui succombe sous la coalition de tous ceux qu’il n’a pas assez respectés. Il a abouti à vider la démocratie politique de la plus grande part de son contenu, puisque la politique des États est déterminée à 90% par les marchés, les traités, les juges et les organisations internationales. Les inégalités se sont énormément accrues entre les bénéficiaires et les perdants de l’économie néolibérale. Et tout simplement, malgré l’énormité du déficit et des dépenses publiques (financés par la dette, c’est-à-dire par nos enfants), une masse de gens n’arrivent plus à joindre les deux bouts.


Source :

mardi, décembre 18, 2018

L’attentat de Strasbourg ressemble à un scénario


Quiconque a suivi les attentats terroristes de ces dernières années n’a certainement pas été surpris que l’auteur présumé de l’attentat du marché de Noël de Strasbourg ait été abattu. 


Le soir du 13 décembre 2018, les médias ont fait état d’attentats terroristes, comme par exemple celui de Londres le 7 juillet 2005, de Berlin le 19 décembre 2016 et donc de Strasbourg le 11 décembre 2018, qui semblent être un même scénario qui se répète d’année en année. 

Mais reprenons au début : Le 11 décembre, une personne isolée a tiré sur des passants près du marché de Noël de Strasbourg et les a poignardés. Quatre personnes ont été tuées, une autre est en état de mort cérébrale et onze ont été blessées. L’auteur aurait été blessé par des soldats en patrouille et se serait échappé dans un taxi volé. Le 13 décembre, il a finalement été abattu par les forces de sécurité après un échange de coups de feu.

Dans ce qui suit, il convient de relever quelques incohérences évidentes, signes d’un « scénario » qui se répète :

1. Il a été étonnamment facile de déterminer l’identité de l’auteur du crime.

Dans le cas de Strasbourg exceptionnellement le passeport de l’auteur n’a pas été retrouvé contrairement à Londres en 2005 (date uniquement à l’écran : 7.7.2005), à Paris en 2015 (7.1. et 13.11.2015) ou à Berlin en 2016 (19.12.2016), mais cette fois ce sont les caméras de surveillance qui ont fait leur devoir. Le suspect a été identifié, il s’agit de Chérif Chekatt, 29 ans, qui avait déjà fait l’objet de 27 condamnations. Alors que dans le passé les auteurs étaient souvent masqués, par exemple à Paris en 2015, cette fois-ci, l’auteur n’avait apparemment pas besoin de l’être.

Chérif Chekatt était internationalement connu de la police et on lui avait attribué un très haut degré de criminalité, mais pas encore en relation avec le terrorisme. Il n’était pas connu des autorités allemandes comme une « menace terroriste », bien qu’il ait fait des séjours en Allemagne et en Suisse depuis 2012. Néanmoins, l’auteur aurait crié « Allahu akbar » (Allah est grand), comme d’autres l’ont fait à Munich en 2016 (22.7), indiquant un motif islamique. Cependant, cela pourrait aussi être une tromperie délibérée que d’associer inlassablement l’islam à la terreur et de discréditer la religion. Le fait que la milice terroriste de l’État islamique (EI) ait revendiqué le bain de sang est également « digne d’un scénario » ; elle l’avait déjà fait lors d’attaques précédentes, mais cela n’a jamais été prouvé.

2. Les forces de sécurité sont sur place.


Bien qu’aucun exercice répétant exactement le scénario qui s’est déroulé ailleurs, n’ait eu lieu cette fois-ci au moment de l’attaque [voir : www.kla.tv/10254, peut-être montrer des exemples à l’écran], cette dernière attaque a eu lieu dans le cadre d’une opération militaire française, l’opération Sentinelle. 10 000 soldats et 4 700 policiers sont déployés sur 722 lieux pour protéger des attaques terroristes les sites sensibles comme les marchés de Noël. Il convient également de mentionner que la police française s’était rendue chez le tueur Chekatt la veille du crime pour l’arrêter dans le cadre d’une « tentative de meurtre » lors d’un vol qualifié. Ils n’ont pas trouvé Chekatt, mais selon le bureau du procureur, les enquêteurs ont trouvé une grenade, des munitions et quatre couteaux. Comme nous l’avons mentionné au début, le fait que les principaux témoins, les auteurs eux-mêmes, ne puissent jamais être interrogés personnellement fait partie du scénario classique. Les suspects sont soit morts en « kamikazes », soit abattus par la police.

3. Les attaques terroristes sont instrumentalisées par les gouvernements.

Après chacune des « attaques terroristes » passées, les droits des citoyens ont été davantage restreints et la suprématie des gouvernements n’a cessé de croître. Voir : www.kla.tv/10254, (montrer des exemples à l’écran) Vous trouverez des exemples dans les émissions citées à la fin.

Après l’attentat de Strasbourg, le niveau d’alerte terroriste maximum a été imposé dans tout le pays. Même SPIEGEL ONLINE a constaté que l’attaque n’était pas gênante pour le président français Emmanuel Macron.

On a porté moins d’attention à la révolte incessante des « Gilets Jaunes », ces centaines de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue pour manifester contre les inégalités sociales, et l’attentat a redonné au président très controversé son rôle classique de garant de la sécurité de tous les Français.

De nombreux utilisateurs des réseaux sociaux pensent même que l’attaque aurait pu être une action sous faux pavillon menée par le gouvernement. La raison en serait les protestations de plus en plus nombreuses des gilets jaunes, qui pourrait signifier la fin de la présidence de Emmanuel Macron.

A ce stade on ne peut pas affirmer avec une certitude absolue qu’il s’agissait vraiment d’une action sous faux pavillon. Ce qu’on peut dire cependant, c’est que le président Macron sait certainement comment utiliser l’attentat à son avantage.

Ces schémas qui ressemblent à des scénarios qui se répètent dans les attentats terroristes ont conduit divers commentateurs à la conclusion qu’il ne s’agit pas d’attentats terroristes isolés ou d’attaques commises par des kamikazes, mais d’une gestion du terrorisme, planifiée de manière stratégique avec des attaques mises en scène. Vous trouverez de plus amples informations dans les émissions affichées.

de d.d

Liens :


Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire

Anthropologue français, spécialisé en santé publique, Jean Dominique Michel enseigna dans de nombreuses universités. Dans une courte vidéo ...