mercredi, novembre 27, 2019

Qui est derrière le canular du changement climatique provoqué par l'homme ?




La thèse du réchauffement de la terre provoqué par l’homme est-elle basée sur des données falsifiées ? 

La Cour suprême du Canada s'est prononcée contre la plainte en diffamation de Michael Mann, qui a créé la courbe climatique légendaire de la « crosse de hockey ». Il a perdu le procès qui l’opposait depuis longtemps à Tim Ball, professeur de climatologie à l'Université de Winnipeg et auteur de nombreux livres sur les sciences du climat. Un verdict d’une puissance explosive énorme au sujet duquel les médias grand public sont restés jusqu'à présent collectivement silencieux.

Les chercheurs américains Michael Mann, Raymond Bradley et Malcolm Hughes avaient publié en 1999 une étude sur les températures des mille à deux mille dernières années.


Des données proxy, c’est-à-dire des mesures de remplacement, ont été utilisées pour la reconstitution des températures.

Les climatologues obtiennent ces données à partir de bases naturelles, comme par exemple les cernes d'arbres, les carottes de glace, les coraux et d'autres données collectées sur l'hémisphère Nord. Cela est nécessaire car les mesures directes de températures, appelées données instrumentales, ne sont disponibles que depuis environ 150 ans.

Leur reconstitution a révélé que la température globale avait progressivement diminué au cours des mille dernières années, mais qu'elle avait ensuite affiché une forte tendance à la hausse au XXe siècle. Leur représentation graphique des températures est connue sous le nom de « courbe en forme de crosse de hockey ».Ce graphique a été appelé une « crosse de hockey » parce que la ligne de température plate des derniers siècles ressemble au manche d'une crosse de hockey, l'extrémité monte rapidement comme sa palette. En 2001, le graphique a attiré beaucoup d'attention parce qu'il a été inclus dans le troisième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l'évolution du climat GIEC (partie 1, chapitre 2.3.2.2.) et a par la suite figuré à une place de choix dans le film « An Inconvenient Truth » d'Al Gore, en français « Une vérité qui dérange ».

Avec cette fameuse courbe en forme de crosse de hockey, Michael Mann a jeté les bases de la panique de Greta Thunberg et de tous les autres militants du climat.

Et cela, bien qu'une controverse sur la fiabilité de l'étude de Mann ait suivi. Michael Mann s'est montré très susceptible à la critique selon laquelle son graphique était falsifié. Entre autres choses, il a attaqué à plusieurs reprises son pire critique Tim Ball et l'a poursuivi en justice pour diffamation. Ball, aujourd‘hui âgé de 81 ans, était professeur de climatologie à l'Université de Winnipeg. Dans de nombreux commentaires et allocutions, il a critiqué la thèse du changement climatique d'origine humaine. Aujourd'hui, après neuf ans, Michael Mann a perdu les batailles devant les diverses instances et dernièrement devant la Cour suprême de la Colombie-Britannique. Le tribunal voulait voir des preuves, mais Michaël Mann n'a pas pu les fournir. Sans ces preuves, on peut vraisemblablement présumer que la « crosse de hockey » climatique repose sur des données falsifiées. Dans ce cas, le scientifique aurait non seulement trompé les gouvernements, mais il aurait aussi escroqué des fonds publics. Cette « crosse de hockey » forme la base de toute la panique au sujet du le climat !

Un verdict d'une puissance explosive énorme, au sujet duquel les médias grand public sont restés jusqu’à présent collectivement silencieux.




Qui est derrière le canular du changement climatique provoqué par l'homme ?


Le professeur de météorologie à la Pennsylvania State University, Michael E. Mann, appartient à la communauté des victimes de la circoncision du 8ème jour.

Mais il n'est pas le seul :

Le réalisateur, du film catastrophe Une vérité qui dérange, Davis Guggenheim est lui aussi juif ashkénaze. http://en.wikipedia.org/wiki/Davis_Guggenheim


Jeffrey Skoll, le producteur délégué de ce canular cinématographique est également juif ashkénaze.
http://en.wikipedia.org/wiki/Jeff_Skoll

Autre juif ashkénaze, Joseph J. Romm, chercheur principal au Center for American Progress.
http://www.americanprogress.org/experts/RommJoseph.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Joseph_J._Romm

Stephen H. Schneider, encore un juif ashkénaze, est professeur de biologie environnementale et changements mondiaux, Université Stanford.
http://stephenschneider.stanford.edu
http://en.wikipedia.org/wiki/Stephen_Schneider

Gavin A. Schmidt, toujours un juif ashkénaze, est climatologue, Institut Goddard de la NASA pour les études spatiales.
http://www.giss.nasa.gov/staff/gschmidt
http://en.wikipedia.org/wiki/Gavin_Schmidt

Le juif ashkénaze Benjamin D. Santer est chercheur en climatologie au Laboratoire national Lawrence Livermore
http://www.eoearth.org/article/Santer,_Benjamin_D .
http://en.wikipedia.org/wiki/Benjamin_D._Santer


Todd D. Stern est juif ashkénaze et envoyé spécial pour le changement climatique, Département d'État américain.
http://www.state.gov/r/pa/ei/biog/122554.htm
http://www.whorunsgov.com/Profiles/Todd_D._Stern

Le président et fondateur de Chicago Climate Exchange (CCX), Richard L. Sandor, est juif ashkénaze.
http://www.chicagoclimatex.com/content.jsf?id=122
http://www.time.com/time/specials/2007/article/0,28804,1663317_1663322_1669930,00.html


Nicholas H. Stern est juif ashkénaze et professeur d'économie et de gouvernement, London School of Economics (LSE)
http://en.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Stern,_Baron_Stern_of_Brentford
http://en.wikipedia.org/wiki/Stern_Review

Ignacy Sachs est socio-économiste à l'École des hautes études en sciences sociales et juif ashkénaze.
http://www.unhistory.org/CD/Sachs.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Ignacy_Sachs



L'escroquerie du siècle, la fraude à la taxe carbone

Plusieurs juifs impliqués dans l’"escroquerie du siècle" à la taxe carbone avaient trouvé refuge en Israël pour échapper aux poursuites judiciaires ou blanchir leurs gains. Cette escroquerie a coûté, au total, 1,6 milliard à l'État français d'après la Cour des comptes et 5 milliards à l'Union européenne.

"La fraude à la TVA sur les quotas de carbone, parfois improprement appelée « fraude à la taxe carbone », a pour cadre la bourse du carbone qui permet l’échange de droits (ou quotas) d’émission de CO2, le principal gaz à effet de serre d'origine anthropique. Elle aurait duré de novembre 2008 à juin 2009." Lire la suite :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fraude_à_la_TVA_sur_les_quotas_de_carbone

Qui est derrière le canular du changement climatique provoqué par l'homme ? 

Est-ce une secte judaïque, qui cherche à imposer son mondialisme messianique et la dictature écologique planétaire, ou la "khazarian-mafia", pour reprendre l'expression de Benjamin Fulford, ou les deux, avec les Rothschild tapis dans l'ombre ?


lundi, novembre 25, 2019

Pourquoi éborgner volontairement des personnes innocentes

(Durée 1:36)
Plusieurs centaines de personnes ont participé à Valenciennes, dans le calme, à une marche en soutien à Manuel C., "Gilet jaune" qui a perdu l'usage d'un œil après avoir été blessé par un projectile probablement tiré par la police à Paris le 16 novembre. La compagne de la victime incrimine directement Didier Lallement, le préfet de police franc-maçon chargé de la répression par l'impitoyable Macron.


Éborgner la population, qui n'aspire qu'à mieux vivre, signifie-t-il que le pouvoir appartient désormais à un système dictatorial symbolisé par l’œil unique ?

De nombreux policiers sont des francs-maçons initiés aux grades lucifériens ouvertement antichrétiens. 

Selon les textes religieux, l'Antichrist ou Antéchrist est borgne :

"Malheur au pasteur de néant, qui abandonne ses brebis ! Que l'épée fonde sur son bras et sur son œil droit ! Que son bras se dessèche, Et que son œil droit s'éteigne !" Zacharie 11:17

L'industrie du divertissement est sous contrôle talmudo-maçonnique. 
Les vedettes font le signe de l'avènement du règne du borgne menteur, l'Antéchrist.

(Durée 2:23) 


dimanche, novembre 24, 2019

Des cathos éblouis... Et les francs-maçons initiés ?

(Bande annonce)
"Les éblouis" sur les écrans depuis ce mercredi. Le film dépeint la plongée d’une famille dans une secte catholique qui va susciter la rébellion d’une adolescente."

En revanche, le cinéma ne dépeint plus le monde des initiés francs-maçons depuis que Jean Marquès-Rivière, le scénariste de "Forces occultes", film antimaçonnique et antiparlementariste, fut condamné à mort par contumace. 

La franc-maçonnerie, une secte criminelle dont les méfaits pourraient inspirer le cinéma. 

Dans un pays libéré de la mafia maçonnique, on oserait faire un film avec cette histoire vraie relatée par Alexandre Lebreton : 

Un gynécologue franc-maçon s'acharne sur une sage-femme qui finit par tout quitter.

(Durée 2:01)
Sources : 
Réseau maçonnique à la Sécurité Sociale - Magouilles & conflits d'intérêts - l'ex FM gynécologue Maurice Caillet dénonce : 

vendredi, novembre 22, 2019

Nemrod et la Tour de Babel

(Durée 24:36)

Réflexions autour de l'épisode biblique de la tour de Babel et du personnage de Nemrod qui en dit long sur les sociétés humaines arrivées en fin de cycle.


"La révolte "nemrodienne" de la caste guerrière contre l’autorité spirituelle, dit René Guénon, est inspirée par Set, qui fut en Egypte, entre autres, le "dieu à la tête d’âne", et qui, sous la forme de l’âne rouge était représenté comme une des entités les plus redoutables parmi toutes celles que devait rencontrer le mort au cours de son voyage d’outre-tombe, ou, ce qui ésotériquement revient au même, l’initié au cours de ses épreuves ; ne serait-ce pas là, plus encore que l’hippopotame, la "bête écarlate" de l’Apocalypse ? [...] En tout cas, un des aspects les plus ténébreux des mystères "typhoniens" était le culte du dieu à la tête d’âne, auquel on sait que les premiers chrétiens furent parfois accusés faussement de se rattacher [...] nous avons quelques raisons de penser que, sous une forme ou sous une autre, il s’est continué jusqu’à nos jours, et certains affirment même qu’il doit durer jusqu’à la fin du cycle actuel."

"Emmanuel Macron, ôh tête de con" (tête d'âne), chante la population en colère qui rejette Macron, son Europe nemrodienne et sa caste de banksters.



Pierre-Yves Lenoble

Cet opuscule vise à montrer qu’il existe une loi immuable qui détermine la destinée des civilisations humaines. Celles-ci, comme du reste toute chose manifestée en ce monde, passent nécessairement par ces stades successifs de développement : naissance – croissance – apogée – déclin – mort. Dès lors, le trop fameux « sens de l’Histoire » de même que les idées modernes de « Progrès » ou d’ « Évolution », ne constituent que de vulgaires fables. La progression indéfinie au sein d’un univers fini est effectivement une pure hérésie, rien n’étant éternel ici-bas. 

Ainsi, à travers cet essai, l’auteur, s’appuyant sur des sources traditionnelles diverses et variées, se propose d’affirmer les caractères cycliques et catastrophistes de l’histoire universelle. Cette morphologie historique, bien connue des Anciens, stipule que le destin des civilisations est à tout jamais fixé par des lois naturelles, pour ne pas dire par la Volonté divine, et, surtout, qu’il dépend prioritairement de la soumission intégrale de l’ensemble du groupe humain aux vérités universelles contenues dans une tradition révélée. 

En d’autres termes, et pour entrer dans le vif du sujet, nous verrons à travers cette étude que si les civilisations naissent et se développent en compagnie de leurs mythes et de leurs dieux tutélaires, celles-ci, en retour, s’effondrent et disparaissent en reniant leur sacralité fédératrice et en commettant l’erreur prométhéenne du matérialisme moderniste. La marche des temps historiques ne se déploie donc pas en ligne droite évolutive, mais bien comme une suite de vagues ou de courbes de Gauss successives, ce qui faisait dire tout simplement au grand historien grec Polybe que « Tous les organismes, tous les États et toutes les activités passent par un cycle naturel, d’abord la croissance, puis la maturité et enfin la décomposition »…

jeudi, novembre 21, 2019

Les musulmans d'Europe

(Durée 6:15)
Les "Musul-germains", musulmans des Balkans, étaient considérés comme un "peuple européen de race supérieure" par le Reichsführer-SS Heinrich Himmler et le régime nazi.

Gilles Ardinat :


"Le régime nazi n’a jamais condamné l’islam. Les musulmans présents sur les territoires conquis par l’Allemagne n’ont pas été persécutés (Kosovars, Tatars de Crimée, Caucasiens…). 

Au contraire, Hitler et ses lieutenants avaient une certaine bienveillance envers cette religion. L’Allemagne a noué, dès les années 1930, des liens secrets avec des activistes arabes du Proche-Orient (opposés à la présence britannique). 

Le Grand Mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini, militant anticolonialiste et antisioniste, fut un fidèle allié de l’Allemagne. Accueilli à Berlin et reçu par Hitler en personne en 1941, il était le parrain d’un institut islamique monté par les nazis. Cet institut assurait une propagande à destination des musulmans d’Europe et du monde arabe. 

Le Grand Mufti et les dignitaires nazis se reconnaissaient de nombreux points de convergence : détestation du monde anglo-saxon et du communisme, vision du rôle de la femme dans la société et, surtout, haine des juifs. M. Al-Husseini affirmait : “L’Allemagne combat un ennemi qui est aussi le nôtre. Ayant parfaitement saisi la nature du juif, elle a décidé d’éliminer définitivement le péril juif pour mettre un terme au mal qu’il afflige au monde entier.”

Musul-germains 

Cette entente conduisit à la création d’une unité de SS musulmans en 1943 : la division Handschar (nom du sabre recourbé typique des pays orientaux). Le Grand Mufti assura la formation idéologique de ces 20.000 SS, principalement d’origine bosniaque. Alors que les aumôniers catholiques et protestants étaient exclus de la SS, Hitler insista pour que des imams accompagnent la division Handschar. Les menus sans porc ni alcool furent instaurés et les entraînements respectaient les cinq prières quotidiennes. Himmler, chef des SS, veilla personnellement à faire respecter cette religion : “Je n’ai rien à reprocher à l’islam […] c’est une religion utile et sympathique pour un soldat.” Les idéologues nazis, considérant ces populations comme supérieures du point de vue racial, inventèrent même le concept de « musul-germains » (supposant une parenté avec les mythiques aryens)." 
Lire la suite :

Gilles Ardinat est professeur agrégé d’histoire-géographie. 




Léon Degrelle :

"kosmopolitisch aus Temperament" 


"Le Grand Mufti avait parfaitement compris ce que signifiait le racisme. 

Le terme (racisme) est devenu, surtout dans l’ivresse d’après-guerre, une injure ; il est assimilé à la haine de l’étranger ou xénophobie : mépris et volonté d’asservir et d’exproprier des peuples voisins et étrangers, propre à l’Ancien Testament et au concept messianique juif qui est son ressort permanent, passé et actuel. [...]

Les Allemands sont, au contraire, selon le mot de leur philosophe Emmanuel Kant, « cosmopolites par tempérament », « kosmopolitisch aus Temperament », (Réflexions de Kant publiées par Benno Erdmann, tome I) et s’adaptent aisément partout, avec un sens de l’hospitalité et une générosité qui n’a d’égal que leur sérieux ; alors que ce racisme désignait aussi en Allemagne, et il ne faut pas l’y confondre, une théorie de la diversité des races, et les lois de leur mélange, bien antérieure à Adolf Hitler et indépendante de lui. C’est ainsi que la « théorie des races » dénombrait plusieurs variétés mêmes sur le sol allemand, de la mer du nord et de la Baltique aux Alpes, nordiques, westiques, dinariques, ostiques, ostbaltiques, faliques, sudétiques etc. et que celles-ci se groupaient en ensemble plus vaste embrassant les nations et dépassant leur étroitesse. C’est ainsi que la nation bourgeoise hollandaise, formée politiquement autour de sa bourgeoisie capitaliste et de l’activité courtière juive, immigrée d’Espagne et du Portugal, était décrite composée d’ethnies triples franques, saxonnes et frisonnes liée au grand ensemble allemand impérial, etc. Jamais on n’a eu parlé par exemple scientifiquement dans le racisme allemand de "race allemande" ou même "blanche" comme dans le Ku Klux Klan néo-esclavagiste. On a caricaturé cette conception allemande pour des raisons de propagande, comme aujourd’hui l’on caricature le sacrifice des Palestiniens en le traitant de fanatisme ou d’attitude suicidaire. 

 Une théorie des races

Il s’agit, touchant le racisme, comme théorie des races, avant tout d’une connaissance et d’une hygiène des races humaines, de l’examen de leur diversité au sein même des constructions artificielles des Etats, car les races dépassent les frontières politiques et appellent à une fédération élargie, et du respect des cadres naturels de vie. La race était donc un facteur d’unité générique et un point commun à toute l’humanité, une sorte de lieu naturel d’où les hommes tiraient le meilleur d’eux-mêmes dans une compétition que le Coran dit bien une volonté divine."


Le racisme hitlérien

« Pour Hitler, pour nous tous, être raciste ne consistait pas à se dresser contre les autres races mais à donner à la race européenne toutes les possibilités de se fortifier, de s’épanouir, de s’embellir. Former dans un ensemble solidaire une jeunesse solide, harmonieuse, loyale, vibrante du désir de servir et de se surpasser, faire de la mère et de la famille, forte, saine, rayonnante, les joyaux de la société était un objectif juste, utile et louable. »


« Donner à l’Europe raciale son maximum d’épanouissement physique et moral n’impliquait pas le mépris des autres races. Que celles-ci se développent à leur tour dans leur personnalité rayonnante ! Qu’elles en fassent chez elles, au sein de leur propre communauté, autant que nous dans notre espace européen. »

La société marchande

« Jamais Hitler n’eût admis les mélanges raciaux que supportent si mal à présent les pays démocratiques de l’après-guerre, ayant charrié – amené vers eux comme dans un chariot , par mercantilisme, (de l’italien "mercante", le marchand, tendance à tout rapporter au commerce, au profit, à l’avantage économique.) des millions d’immigrants dépaysés, coupés de leur religion et de leur culture, objets d’aversion dès que leur exploitation industrielle devient sans intérêt économique.

C’est chez eux, dans leur milieu naturel, au sein de leur race, sur le sol millénaire de leurs peuples qu’ils avaient à s’épanouir, à retrouver ou à exalter leurs caractéristiques civilisatrices. Notre racisme tendait à les encourager avec force dans ce sens-là. Avec joie nous les eussions aidés. »

L'apport de l'islam

« C’est ce qui explique l’intérêt tout spécial que Hitler portait aux peuples de l’Islam, livrés trop souvent à la domination et au mépris des négriers étrangers qui avaient imposé à ces pays hautement civilisés leur langue et leurs mœurs. Sans les apports de ces peuples anciens, l’Europe eût sans doute pataugé dans les balbutiements d’un Haut Moyen Age qui ne se souvenait même plus de l’Athènes de Socrate et de la Rome d’Auguste. C’est l’Islam qui nous avait apporté, à Cordoue, Aristote voilà plus de dix siècles. »



Quelques livres de Léon Degrelle 
(1906-1994, journaliste, écrivain et directeur de presse engagé dans la mouvance catholique belge. Il fonda le mouvement REX et combattit dans la 28ᵉ division SS "Wallonie".) :



Léon Degrelle : persiste et signe ...

Commentaire d'un lecteur du blog : "Ce rappel historique pourra-t-il mettre en garde les nationalistes chrétiens contre l'islamophobie ? Une islamophobie qui est orchestrée par les médias sionistes afin de provoquer la guerre civile. La république maçonnique est plus proche du satanisme que l'islam qui dénonce depuis toujours le borgne menteur, le Dajjal (l'Antéchrist)."

lundi, novembre 18, 2019

J'accuse (de) Polanski

Paris, mercredi 13 novembre, des groupuscules féministes ont empêché la diffusion du film "J'accuse". Une nouvelle fois, Roman Polanski est accusé d'agression sexuelle. 

Le réalisateur juif s'est toujours victimisé en se comparant à Dreyfus. Or d'un point de vue historique, la question de l'innocence de Dreyfus n'est pas résolue.

(Durée 20:57)
Faut-il boycotter "J'accuse", le film de Polanski ?


Alfred Dreyfus reste suspect

D'un point de vue historique la question de l'innocence de Dreyfus n'est pas résolue

"En ce qui concerne Dreyfus lui-même, écrit Monique Delcroix, l'affaire d'origine, Dreyfus et le bordereau de 1894, on peut tenir pour acquis que Dreyfus a été condamné à la légère et que, en l'état du dossier tel que nous le connaissons, il serait aujourd'hui vraisemblablement acquitté au bénéfice du doute.

Faut-il y voir nécessairement une machination de l'état-major ou des services secrets ? Nous ne Je pensons pas. Répétons qu'en 1894, période où l'humiliation de la défaite de 1870 est présente dans tous les cœurs, où la France rêve de revanche sur l'Allemagne, le crime de trahison est le pire qui soit. Il révulse comme le crime de pédophilie révulse aujourd'hui et cet aspect passionnel explique une justice rapide, même s'il ne l'excuse pas. N'oublions pas non plus que Dreyfus a été condamné par un tribunal militaire, justice d'exception, justice d'Etat, dont le caractère sommaire a fait bien d'autres victimes que le célèbre capitaine.

Mais, si d'un point de vue judiciaire, l'absence de preuve de culpabilité de Dreyfus peut conduire à l'acquittement, d'un point de vue historique la question de son innocence n'est pas résolue pour autant.

La réalité d'une trahison provenant du sein même de l'état-major peut difficilement être contestée (mémento de Schwattzkoppen notamment).

Alfred Dreyfus reste suspect. Incontestablement, son écriture ressemble à celle du bordereau. Incontestablement, il cherchait à connaître des secrets militaires à la limite de son service. Incontestablement, il a été en relation avec une espionne autrichienne. Tout cela est peut-être fortuit, mais peut-être pas.

Pour être sûr de l'innocence de Dreyfus, il faudrait être sûr de la culpabilité d'Esterhazy. Et là, rien ne va plus."



Monique Delcroix

Certes, l'affaire Dreyfus a fait couler énormément d'encre depuis un siècle. Mais la quasi-totalité des ouvrages sont soumis à ce que Monique Delcroix nomme la « vulgate », c'est-à-dire une manière obligée de raconter l'histoire. Non seulement l'innocence d'Alfred Dreyfus est érigée en dogme, mais de plus un historien « correct » se doit de tenir pour établi que c'est Esterhazy qui a écrit le fameux bordereau ; que le colonel Picquart a découvert fortuitement la culpabilité d'Esterhazy ; que l'état-major a guidé et protégé Esterhazy jusqu'à son procès ; que les dreyfusards n'ont eu aucune relation avec Picquart, ni indirecte avant juillet 1897 ni directe avant janvier 1898, et strictement aucun contact avec Esterhazy. Or, rien de tout cela n'est acquis. Cette trame correspond à une simple hypothèse, à une explication de l'affaire Dreyfus qui s'avère être très contestable.

Une étude extrêmement serrée prouve que l'historiographie officielle a accumulé les silences, multiplié les dissimulations et gommé les incohérences.

Des affirmations répétées durant un siècle ne deviennent pas pour autant des vérités et dès que l'on s'affranchit du prêt-à-penser, dès que l'on sort du cadre rassurant de l'histoire toute faite, les questions affluent... C'est ainsi qu'en filigrane apparaît une autre possibilité que l'on s'est efforcé de dénigrer et de soustraire à l'étude : Esterhazy pourrait bien avoir été stipendié par les défenseurs de Dreyfus pour endosser la paternité du bordereau. Pour la première fois, cette hypothèse, qui oblige à reconsidérer le rôle de Picquart et des chefs dreyfusards, est traitée avec le sérieux qu'elle mérite.

Le présent ouvrage ne saurait pourtant être qualifié d' "antidreyfusard", car il porte également un jugement sévère sur certaines légendes véhiculées par les tenants de la culpabilité de Dreyfus.


Lire l'article de Monique Delcroix sur le livre d'Adrien Abauzit L’Affaire Dreyfus, Entre farce et grosses ficelles, un ouvrage résolument antidreyfusard :

dimanche, novembre 17, 2019

L'imposture bergoglienne

FRANÇOIS est-il un antipape ?

Le pape François, un homme de parole.

Il y a un peu plus d'un an, en septembre 2018, sortait le film "Le pape François, un homme de parole", accusé par certains d'être un film de commande, voire de propagande.   

Le film réalisé par Wim Wenders a pour objectif de rassurer les chrétiens qui constatent que "l’élection du pape François, le 13 mars 2013, est un pas de plus dans l’insertion de l’Église dans les instances mondialistes. Sitôt élu, il a reçu l’hommage des partisans du nouvel ordre mondial et du noachisme. Il est vrai que son action en Argentine a laissé de très bons souvenirs aux partisans d’un monde sans frontières. Ainsi, on peut relever l’engagement du cardinal Bergoglio en faveur de la fête juive Hanoucca. Nous pouvons citer aussi la joie de la franc-maçonnerie juive argentine, les B’nai B’rith, qui a salué l’élection de cet homme sur la chaire de saint Pierre", écrit Pierre Hillard dans Chroniques du mondialisme.

Miles Christi :

"(...) le "magistère" de François est reçu favorablement par les gauchistes, les juifs, les féministes, les laïcistes et les homosexualistes : tous les ennemis de l’Eglise et de la civilisation chrétienne se complaisent dans son message écologique, œcuménique et mondialiste. Mais il semblerait que ce "détail" n’est pas de nature à troubler l’immense majorité des catholiques. Le fait que les LGBT considèrent François "Homme de l’année" et que nos "frères aînés" (les talmudistes) qui exècrent le Christ lui tressent des couronnes semblerait être quelque chose de tout à fait naturel. Aussi naturel qu’un pape qui ne croit pas dans un dieu catholique et qui se dit prêt à baptiser des martiens. [...]

Dans la sphère spirituelle, ce qui intéresse vraiment François n’est pas l’acceptation de Jésus Christ comme Messie et Sauveur mais la déification de la conscience humaine, érigée en norme morale suprême de la vie, au détriment de l’Evangile et des commandements divins. [...]

La mission de l’église bergoglienne n’est pas celle de rendre à Dieu le culte qui lui est dû ni de guider les âmes vers le Ciel, mais bien celle de promouvoir le culte de l’homme libre, autonome et affranchi de toute norme surnaturelle et transcendante. [...]

Si l’homme est capable de faire le bien en se passant de la révélation et de la grâce, si, au bout du compte, tout le monde se sauve, y compris ceux qui rejettent Dieu et son Eglise, alors la  seule chose importante sera celle de satisfaire les besoins temporels des hommes, la question de la vérité religieuse ayant perdue toute signification. [...]

Bâtir la cité terrestre, naturaliste, égalitariste et utopiste, au détriment de la cité céleste et du salut éternel, auquel on accède seulement par la rédemption opérée par Notre Seigneur Jésus Christ, voilà le seul objectif poursuivi par François. [...]


La clarté de ses intentions saute aux yeux, tout comme sa détermination inébranlable à parachever l’oeuvre dévastatrice initiée par les néo-saints conciliaires Roncalli et Montini, les artisans du diabolique aggiornamento de l’Eglise et de la « nouvelle Pentecôte » de Vatican II."

Miles Christi est l'auteur de "Trois ans avec François, l'imposture bergoglienne". 
Miles Christi

Lorsque le 13 mars 2013 François s'adressa pour la première fois à la foule, dépourvu des ornements liturgiques pontificaux, il donna quelques signes avant-coureurs de ce qui allait se produire par la suite. Il y eut d'abord son étonnant buona sera !, salutation profane, inouïe dans la bouche d'un Souverain Pontife, et qui laissait transparaître sa volonté de désacralisation du ministère pétrinien. Cette impression fut confirmée lorsqu'il se prosterna devant la foule, lui demandant de prier pour sa personne avant de la bénir, endossant ainsi implicitement le principe révolutionnaire de la souveraineté populaire. 

Trois jours plus tard, il renouvela sa profession de foi humaniste en donnant une « bénédiction silencieuse » aux représentants des medias présents dans la Salle Paul VI du Vatican, prétextant qu'ils n'étaient pas tous catholiques ou croyants, et qu'il se devait de « respecter la conscience de chacun ». 

Le décor était déjà largement planté. La suite des événements n'a fait que confirmer la portée symbolique de ces gestes précurseurs, posés en guise de manifeste idéologique et de programme d'action. Ce modeste recueil d'articles ne prétend pas à l'exhaustivité, étant donné le caractère intarissable de son « magistère médiatique », qu'il utilise pour semer systématiquement la confusion partout où il va, fort du prestige que lui confère son investiture pontificale. Car il est vrai que l'occupant de la Maison Sainte-Marthe porte « deux cornes semblables à celles d'un agneau » (Ap. 13, 11). Mais son langage, force est de le constater, n'est autre que celui du dragon...

De son côté, Freddy Malot, fondateur d'une "Eglise Rouge", signe le brûlot "Un ANTIPAPE de plus : FRANÇOIS dernier"

"En 1835, le régime Civilisé occidental se transforme sans barguigner en son contraire : en Barbarie conquérante. [...]

Depuis 1835, ce sont deux Empires Protestants (WASP !) qui menèrent successivement la danse Barbare, précisément parce que nés d’une rupture franche avec le christianisme Latin-Papal, contrairement aux empires Catholiques (français et ibériques), qui ont bien pu apporter leur pierre aux Temps Modernes (Gallicans, Oratoriens, Jansénistes), mais toujours en traînant le boulet de Trente (1545-1547 ; 1551-1563 ; 1566 : Catéchisme) et des Chouans (1793). Seule la dialectique lève l’apparent paradoxe du phénomène. Les deux empires de Réformés dégénérés : d’abord celui de Victoria (1841), “Her Britannic Majesty” (H.B.M.) ; ensuite celui de Wilson (1917), des USA à la “Manifest Destiny” (O’Sullivan – 1845)."
Télécharger gratuitement "Un ANTIPAPE de plus : FRANÇOIS dernier"



vendredi, novembre 15, 2019

L'impérialisme américano-sioniste

"Je pense que la meilleure illustration de l'emprise d’Israël sur la politique étrangère américaine se trouve dans les déclarations faites par le président George W. Bush quelques jours après le 11 septembre 2001, ciblant sept nations. Ce chiffre de sept nations a été plusieurs fois repris depuis, par exemple par le général Wesley Clark, fils du rabbin Benjamin Jacob Kanne, qui donnait la liste suivante : « l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et pour finir l’Iran. » Or, tous les juifs savent ce que veulent dire les « sept nations » : ce sont les ennemis d’Israël voués à la destruction selon le Deutéronome (7 :1-2) et le Livre de Josué (24 :11). 

La destruction des « sept nations » ennemies d’Israël est un projet qui n’émane pas des vrais patriotes américains, mais des néoconservateurs, dont certains, je le rappelle, sont fils ou petit-fils de rabbins. Faut-il le rappeler, les néoconservateurs ne sont pas plus conservateurs que les « nouveaux chrétiens » du Moyen Âge n’étaient chrétiens : ils ont détourné le mouvement conservateur républicain, qui était traditionnellement isolationniste, pour le transformer en machine de guerre contre les ennemis d’Israël." Laurent Guyénot.


Kadhafi : victime de la domination américaine

La Libye Le chef de l’État libyen et ancien président de l’Union africaine, Mouammar Kadhafi, brutalement assassiné en 2011, était considéré comme l’un des espoirs politiques de l’Afrique. Sous son gouvernement, la Libye est devenue un exemple brillant en Afrique. 

La Libye sous Kadhafi 


⇒ Il n’y avait pas d’intérêts sur les crédits. 

⇒ L'électricité était gratuite.

⇒ L’enseignement était gratuit.

⇒ Les soins médicaux étaient gratuits.

⇒ Tous les jeunes mariés recevaient de l’Etat libyen une somme équivalente à environ 45 000 € pour s’acheter leur propre appartement et fonder leur famille. 


⇒ Une partie de la vente du pétrole libyen était versée directement sur les comptes des citoyens libyens. 

⇒ Kadhafi était sur le point de terminer le plus grand projet mondial de pipeline d’eau potable à travers le Sahara, pour assurer un meilleur approvisionnement en eau de la population et de l’agriculture.

 L’objectif de Kadhafi était de conduire les pays africains vers un nouvel avenir autonome. Toutefois, lorsqu’en 2009, il a proposé aux États africains d’introduire une nouvelle devise indépendante du dollar américain, le dinar, basé sur son équivalent en or, il est devenu, selon l’expert financier Ernst Wolff, une menace majeure pour la suprématie américaine. En effet celle-ci est basée sur le dollar, et non sur son équivalent en or. Une nouvelle monnaie influente, basée sur l’or, serait donc devenue un concurrent sérieux et donc une menace pour la suprématie américaine. C’est pour cette raison que selon Ernst Wolff le rêve d’un système monétaire indépendant et d’un nouvel avenir autonome pour l’Afrique a été perdu dans le bombardement de la coalition de guerre dirigée par les États-Unis.  

Les conséquences n’ont pas seulement été la destruction d’un pays florissant, mais aussi d’énormes flux de réfugiés qui, depuis lors, affluent en Europe via la Libye. 

Voir aussi le film documentaire « La guerre par instrumentalisation » (www.kla.tv/7896)


La croisade de Roger pour la paix mondiale et le prépuce


Rav Touitou : "C’est une excellente nouvelle que l’islam envahisse l’Europe !"
(La circoncision au huitième jour rend-elle méchant ?)

Les quotas d'immigration de Macron sont une escroquerie. L'Union européenne ne stoppera jamais l'invasion migratoire car le mélange des peuples est la pierre angulaire du mondialisme messianique. Et comme l'a martelé Sarkozy en son temps, le métissage "ce n'est pas un choix, c'est une obligation". 

Sarkozy au pouvoir n'était que le valet des sorciers du mondialisme. Roger Dommergue disait d'eux, "par l’argent ils sont maîtres des gouvernements, par la révolution maîtres des masses".

L'invasion migratoire et la destruction des nations s'accompagnent de l'inversion des valeurs. Inversion exprimée par Howard Zinn (1922 - 2010), historien, politologue américain et membre de la communauté des circoncis du 8ème jour, qui disait avec une jubilation qui rappelle les satanistes frankistes :

"Nous entrons enfin en l’ère de Sodome et Gomorrhe. En ce jour tout le monde rit aux éclats hystériques, extases sublime et anales. Le monde est tel comme l’Anus Mundi. Lucifer glousse avec toute la Hiérarchie Infernale. Car l’homme se fait avoir gravement, tel un petit bébé par Aïlel Ben Sharar, Asmodée, Samaël, Lilith, Astaroth, Marduk, Tiamat, Behemot, Léviathan, Belzébuth, Ashéra, Pazuzu, Toth, et les autres, dansant la farandole du neuvième cercle."



Qui était Roger Dommergue


4 juin 2012, un an avant son décès, Roger Dommergue écrit : "Il est important que je me situe avant le développement de cet exposé unique au monde. J’ai 88 ans et il est nécessaire que chacun puisse comprendre et constater la vérité, la sincérité absolue de mes dires et la vérité cristallisée des faits que je vais exposer après des années de réflexion et de contrôle.

Du côté de ma mère je suis né d’une très riche famille juive égyptienne qui a dû sa fortune à la banque et au coton.

On peut encore trouver à Alexandrie le palais de Ménasce, le lycée de Ménasce, l’hôpital de Ménasce, la rue de Ménasce avec la statue de mon grand-oncle le Baron Jacques de Ménasce.

En 1944 je me suis engagé volontaire contre l’Allemagne. A cette époque je ne savais rien de la Géopolitique, ce qui n’est actuellement pas le cas.

L’idée de cacher quoi que ce soit au groupe responsable auquel j’appartiens, qu’il s’agisse d’exactions ou de crimes, ne me viendrait pas à l’idée. Mais si ma conclusion, elle, semble désagréable, elle conduit à la vraie liberté, Nous parlerons de la circoncision au huitième jour qui est le plus énorme marché de dupes que l’humanité ait eu à subir.


L'antijuivisme

Ce qui est communément appelé antisémitisme (le mot antijuivisme, bien qu’insuffisant, est plus réaliste) s’est déroulé tout au long de l’histoire de l’humanité. Ils ont été chassés de tous les pays de l’Antiquité, comme de tous les pays de l’ère chrétienne. Il n’y a là aucune exception. Cette éviction dramatique a été le drame de quatre mille ans. Actuellement les paramètres de l’antisémitisme ont pris une ampleur gigantesque dont les Juifs sont parfaitement inconscients, comme ils sont inconscients que les peuples de pays différents, d’époques différentes, de langues différentes, ne peuvent en aucun cas s’être donné le mot pour les persécuter.


Le pacte du diable, couper le prépuce du bébé 8 jours après sa naissance 


 « Quant à la circoncision au huitième jour, 
ne t’en préoccupe pas, cela dépasse l’entendement. »
Le Talmud

Les Juifs n’ont pas de race : les races n’existent pas, hormis ce qu’il est convenu d’appeler race blanche, rouge, jaune et noire ; il n’existe que les ethnies qui sont le résultat de l’adaptation hormonale à un environnement géographique pendant au moins un millénaire : Pas de Chopin en Afrique et pas de spécialistes du tam-tam en Pologne. D’ailleurs, les Juifs sont très différents les uns des autres, ils n’ont aucune Unité ethnique. Ils ont parfois des traits bien particuliers, des pouvoirs spéculatifs brillants, mais ils manquent totalement de sens moral, et d’esprit de synthèse. Leur manque de scrupules et leur cruauté sont connus depuis toujours. Cela est exclusivement dû à la circoncision à la première puberté, au huitième jour de la naissance.

La première puberté dure 21 jours et va marquer celui qui est victime de cette opération hormonale pendant toute la durée de la première puberté.

Ainsi tous ces êtres ont été fatalement marqués à toutes les époques, dans tous les pays, Il est donc impensable que les humains se soient donné le mot pour les persécuter : comme le dit Bernard Lazare, « l’antisémitisme vient du Juif lui-même et pas de l’antisémite ».

Les véritables causes sont donc l’usure, qui est souvent tragique, et le « vampirisme », l’attraction vers soi-même de tout ce qui peut être pris.


Judéocratie mondiale, tous les moyens sont bons

Aujourd’hui la soi-disant démocratie, c'est-à-dire la dictature juive, dont les membres sont grassement payés par le bulletin de vote et nos impôts, a mené à une réalité tragique : par l’argent ils sont maîtres des gouvernements, par la révolution maîtres des masses.

L’énorme scandale qui se fait jour actuellement, montre qu’ils ont manipulé la Federal Reserve vers des limites qui dépassent de loin l’imagination humaine.

Six financiers juifs étaient à la tête de cette organisation dont le grand prêtre était Warburg. La Federal Reserve est strictement privée !!!


Les financiers des guerres

Au cours de ces informations sur la finance nous avons eu la confirmation que les deux guerres mondiales ont été financées par eux (il est plus que probable que la troisième sera aussi financée par eux et déclarée par le truchement du catalyseur de l’Iran, qui ne possède aucune arme atomique alors qu’Israël possède l’armement le plus sophistiqué du monde).


Les financiers du bolchevisme

Ils ont aussi financé le bolchevisme, dont le système politique fut entièrement juif, qui a liquidé trente à quarante millions de personnes. Soljenitsyne donne les noms de toutes les têtes qui ont financé et gouverné le pays y compris les bourreaux carcéraux et concentrationnaires, avec Kaganovitch en tête. Il est à noter que Staline n’a pas manqué de fusiller quelques Juifs de son élite qui ne se conformaient pas à ses visées politiques.


La traite des esclaves

A ce panorama il ne faut pas oublier de mentionner que l’esclavage du Nord au Sud a été l’apanage des Juifs et que l’immense flotte commerciale qui transportait dans l’Atlantique des nègres d’Afrique vers l’Amérique était entièrement juive. Des milliers de ces malheureux esclaves sont morts pendant ces voyages sur l’Atlantique. [...]


Le suicide de ceux qui savent

Les fonctionnaires de la police et de la justice se suicident bien souvent, précisément parce qu’ils mériteraient de vivre : ils en ont assez de voir que la Justice est l’injustice, ils en ont assez de cette délinquance boursouflée…

« Liberté, égalité, fraternité » sont juste bons pour tous les Lévy, elles n’ont aucune valeur pour les enfants parmi lesquels un d’eux meurt de faim toutes les quatre secondes ! Ce ne sont pas les Juifs de la Haute Finance et de la spéculation débridée qui changeront quoi que ce soit à ce navrant état de choses.

Supprimons à jamais la circoncision au moment de la première puberté et le cauchemar planétaire s’évanouira."

Prof. Roger Dommergue Polacco de Menasce
Extraits de "La fin du judéo cartésianisme".


PDF gratuit  "La fin du judéo cartésianisme" de Roger Dommergue Polacco de Ménasce, ICI

Roger Dommergue Polacco de Menasce, professeur français juif, philosophe, essayiste :

jeudi, novembre 14, 2019

Alexandra David-Néel, l’invention d’un mythe



Alexandra David-Néel, ni bouddhiste, ni spirituelle
(mais franc-maçonne*)


"C'est lorsque l'Europe a cessé de se concevoir comme chrétienne que le bouddhisme a commencé à devenir populaire chez nous, mais sous une forme sécularisée, où l'on insistait sur sa dimension rationnelle. Chez certains anticléricaux ou francs-maçons, notamment, on a voulu y voir une philosophie déconnectée des rites de la chrétienté. On l'ignore parfois, mais quelqu'un comme Clemenceau (franc-maçon) a été séduit par le bouddhisme. Jules Ferry (franc-maçon) aussi. Il a même préconisé son enseignement à l'école. Dans les années 1890, le musée Guimet organisait des cérémonies bouddhistes à Paris. Alexandra David-Néel (franc-maçonne) y a d'ailleurs assisté." Marion Dapsance.

Marion Dapsance et Frédéric Lenoir (un petit "philosophe" qui a profité de la bouddhamania pour vendre beaucoup de livres). Ils ont tous les deux fait leurs doctorats sur le bouddhisme à l'École pratique des hautes études, à Paris. 


Bouddha « un anti-Christ »

Dans Qu’ont-ils fait du bouddhisme ? Marion Dapsance remettait en cause la manière dont le bouddhisme est généralement présenté en Occident, c’est-à-dire comme une sorte de sagesse universelle, pouvant apporter bien-être et paix à l’humanité. Elle s’en prenait notamment à l’idéologie visant à faire du Bouddha « un anti-Christ », qu’elle fait remonter au début du XIXe siècle, au moment où l’Occident cessa d’être chrétien, avec des personnalités tel Eugène Burnouf (1801-1852), anticlérical, libre-penseur et fondateur de la Société asiatique.

L’anti spiritualité d’Alexandra David-Néel 

Prolongeant sa critique des importateurs du bouddhisme en Europe, cette anthropologue de l’École pratique des hautes études (EPHE) s’attaque (dans son dernier livre Alexandra David-Néel, l’invention d’un mythe) à « l’anti spiritualité d’Alexandra David-Néel ». Car la célèbre exploratrice, décédée en 1969 à presque 101 ans, a contribué par ses nombreux articles et livres – notamment Voyage d’une Parisienne à Lhassa en 1927 et Le Bouddhisme : ses doctrines et ses méthodes en 1939 – à diffuser un bouddhisme réinventé, conçu comme l’antithèse du catholicisme.

Enfant unique d’un couple de commerçants, la jeune Louise David, née à Saint-Mandé (Val-de-Marne) en 1868, cherchait un sens à sa vie qu’elle ne trouva pas dans le catholicisme, la religion de sa mère, même si elle songea un temps au carmel « par idéal romantique », selon Marion Dapsance.


Après s’être convertie à 20 ans au protestantisme, elle rencontra par les ouvrages de Helena Blavatsky la « théosophie moderne », fondée sur un syncrétisme à base d’hindouisme et de bouddhisme. « Louise David est restée théosophe toute sa vie, ce qui lui a permis, souligne Marion Dapsance, de bénéficier d’un réseau international de personnes partageant les mêmes centres d’intérêt et prêtes à l’assister dans ses voyages. »

Trahison de la pensée bouddhique 

C’est dans ces milieux orientalistes, marqués à la fois par l’ésotérisme et le matérialisme, que Louise David a découvert le bouddhisme à partir de 1890. Et c’est donc à travers ce prisme qu’elle l’analysa. Ce qui fait dire à l’auteure que « Louise David, occultiste athée, a joué un rôle important dans la trahison de la pensée bouddhique qui revendique précisément l’indépendance totale de l’esprit par rapport à la matière – rendant seule possible la transmigration ».

Autre spécificité de Louise David, selon Marion Dapsance : son objectif, à 30 ans, n’était ni l’épanouissement personnel ni le service d’autrui, « mais simplement la survie face à une société conçue comme aliénante ». En ce sens, elle adhéra à un club anarchiste bruxellois et s’engagea dans la rédaction d’écrits politiques et féministes – à une époque où une femme qui ne souhaitait pas se marier n’avait guère d’autre choix que de devenir une « demi-mondaine », tout en poursuivant une carrière de chanteuse sous le pseudonyme d’Alexandra Myrial.

Le panthéisme hindou, "un athéisme mystificateur et cynique"

Après avoir épousé à 36 ans Philippe Néel de Saint-Sauveur, elle continua sa vie d’errance entre capitales européennes, Asie et Afrique du Nord – elle fut un temps directrice artistique du casino de Tunis. Son mari ayant mis sa fortune à sa disposition, même s’ils ne vécurent jamais ensemble après leur mariage, celle qui est désormais connue comme Alexandra David-Néel part pour l’Inde, en 1911, avec l’intention d’écrire sur « Le Vêdanta vivant ». Elle y rencontre quelques brahmanes mais, à aucun moment, ne recherche un guru ou un guide spirituel : à ses yeux, écrit Marion Dapsance, « le panthéisme hindou est un athéisme mystificateur et cynique ».

Avec ce même manque d’estime pour ce qu’elle appelait le « lamaïsme », l’exploratrice rencontre à Kalimpong, près de Darjeeling, le 13e dalaï-lama dont elle parle comme du « pape jaune » ou du « grand manitou ». Et « lorsqu’elle constate la religiosité des peuples de Ceylan, d’Indochine et du Tibet, elle conclut, dénonce Marion Dapsance, que ces gens ne sont pas des bouddhistes authentiques
».


*) Dès 1888, Alexandra David-Néel fréquente la franc-maçonnerie et atteindra le 30ème degré dans le rite écossais ancien et accepté.



de Marion Dapsance

Alexandra David-Neel (1868-1969) est présentée comme une figure spirituelle majeure du XXe siècle. Ses longs voyages en Inde et en Asie, sa connaissance du bouddhisme et des coutumes tibétaines, son intérêt pour les philosophies orientales laissent penser que cette femme de lettres s'est engagée dans une quête mystique et a fini par adopter les croyances de l'Extrême-Orient. 


Une lecture attentive de ses écrits montre qu'Alexandra David-Néel était au contraire une matérialiste convaincue, hostile à toute forme de religion

Ce livre, fondé sur des textes connus, oubliés et inédits, retrace l'itinéraire de cette femme hors du commun. Il montre la manière dont la jeune artiste lyrique Louise David, catholique convertie au protestantisme, à l'ésotérisme fin-de-siècle, puis au nihilisme et à l'anarchisme, s'est inventé un programme de vie hétéroclite qu'elle nomma « modernisme bouddhiste » et qui lui inspira un personnage devenu mythique : Alexandra David-Néel, journaliste-orientaliste, « lampe de sagesse », « femme aux semelles de vent »


mardi, novembre 12, 2019

Pédocriminalité, l'enquête que les médias ne feront jamais

(Durée 18:01)

ARENBERG, BRUNEL, ZAMPOLLI, CLAUDE HADDAD, PEDOHELP, et éducation sexuelle...

0:25 - Fabrizio Cerina / Paolo Zampolli 
03:17 - John Casablancas, Jean Luc Brunel, Claude Haddad 
04:34 - Giuseppe Cipriani, Harvey Weinstein 
05:49 - Prince Pierre d'Arenberg, ICMEC, FAPE, Chirac 
08:25 - pedo help, association une vie, rutgers, ippf

Une enquête de RevoFsociety

 (* Le "Black Book", le carnet d'adresses de Jeffrey Epstein contient des dizaines de noms de personnalités françaises : Jean-Luc Brunel, Jacques de Crussol d’Uzès (héritier du domaine d'Uzès ), Hermine de Clermont-Tonerre (actrice et figure du gotha), Jean-Yves Le Fur (hommes d'affaires), Albert Benamou (gérant d'une galerie d’art parisienne), les princes Louis Albert de Broglie et Pierre d'Arenberg, Azzedine Alaïa (designer de mode), Marie Joseph Experton (avocate), Alberto Pinto (photographe et designer d'intérieur), Betty Lagardère (épouse de l'homme d'affaire Jean-Luc Lagardère), Edouard de Rothschild (homme d'affaires et héritier de la famille Rothschild), Jacques Grange (décorateur et architecte d'intérieur), Philippe Junot (banquier, premier mari de Caroline de Monaco)... Lire : Rothschild, Lagardère, Clermont-Tonerre : qui sont les contacts français du “Livre noir” de Jeffrey Epstein ?

Voir la vidéo de Radio Québec : 
"Epstein, les médias complices" 


lundi, novembre 11, 2019

L'immolation par le feu d'un étudiant, Macron, les sionistes parasites et criminels... Verdi explose

Un étudiant s'immole par le feu : "J'accuse Macron de m'avoir tué"

(Durée 27:10)

Le 8 novembre, un étudiant stéphanois de 22 ans, en détresse sociale, désespéré par la société imposée par Macron, s'est immolé à Lyon. Dans une lettre, il accuse Macron et le rend directement responsable de son suicide. Son corps est brûlé à 90% :

« Aujourd'hui, je vais commettre l'irréparable, si je vise donc le bâtiment du CROUS à Lyon, ce n'est pas par hasard, je vise un lieu politique, le ministère de l'enseignement supérieur et la recherche et par extension, le gouvernement.

Cette année, faisant une troisième l2, je n'avais pas de bourses, et même quand j'en avais, 450€/mois, est-ce suffisant pour vivre ?

J'ai eu la chance d'avoir des personnes formidables autour de moi, ma famille et mon syndicat, mais doit-on continuer à survivre comme nous le faisons aujourd'hui ?

Et après ces études, combien de temps devrons-nous travailler, cotiser, pour une retraite décente ? Pourrons-nous cotiser avec un chômage de masse ?

Je reprends donc une revendication de ma fédération de syndicats aujourd'hui, avec les salaires étudiant et d'une manière plus générale, le salaire à vie, pour qu'on ne perde pas notre vie à la gagner.

Passons à 32 heures de travail par semaine, pour ne plus avoir d'incertitudes vis-à-vis du chômage, qui conduit des centaines de personnes comme moi chaque année à ma situation, et qui meurent dans le silence le plus complet.

Luttons contre la montée du fascisme, qui ne fait que nos diviser et créer et du libéralisme qui crée des inégalités.

J'accuse Macron, Hollande, Sarkozy et l'UE de m'avoir tué, en créant des incertitudes que l'avenir de tous-tes, j'accuse aussi le Pen et les éditorialistes d'avoir créé des peurs plus que secondaires… »

Le 9 novembre était le 49ème anniversaire de la mort du Général de Gaulle. Un événement la plupart du temps passé sous silence dans les merdias. Pourtant, plus que jamais, il est la référence, en particulier pour combattre l’erreur de casting qu’est Macron. 

Un nouvel ordre mondial aux mains des sionistes, qui sont le parasite du judaïsme

Les oiseaux de mauvais augures qui prédisent tout et n’importe quoi ne font qu’agiter les spectres de la peur, sans fondement, notamment en parlant sans cesse d’effondrement financier. Ce faisant, ils servent les desseins du Nouvel Ordre Mondial. Un nouvel ordre mondial aux mains des sionistes, qui sont le parasite du judaïsme. [...]

11 Novembre 1918, la Première Guerre mondiale prend fin...  "Guerre voulue par les sionistes qui visaient la création d'un Etat religieux en Palestine." [...]

"Les sionistes sont derrière tous les coups bas de la planète. Ce sont eux qui sont derrière la création de groupes terroristes ; qui troublent les esprits y compris de musulmans qui se laissent abuser. [...]

En ce jour de commémoration de la fin de la Première Guerre mondiale, Verdi est catégorique : "c'est à cause des sionistes qu'il y a eu des millions de morts supplémentaires (durant la Première Guerre mondiale). Des millions de vies auraient pu être épargnées si les sionistes n'étaient pas intervenus en 1917. En 1917, le Kaiser, empereur d'Allemagne, demande à négocier. Les Rothschild interviennent et incitent à la capitulation totale des Allemands en échange de la création d'un Etat juif en Palestine." Pour affaiblir l'Allemagne, les Britanniques, complices des sionistes, feront durer la guerre au prix de millions de vies. 

Le sionisme mondialiste est criminel. Son Nouvel Ordre Mondial est une entreprise satanique.

Verdi dénonce souvent le Nouvel Ordre Mondial. A partir de 17:55, il en fait un résumé particulièrement clair et désigne aussi les principales institutions qui participent à ce plan démoniaque.

Lecture :

Les illusions perdues
Angelo Diano

De plus en plus d’êtres humains sont en grande souffrance matérielle et morale. La manipulation des esprits par les puissants médias, que sont la télé et internet, via les réseaux sociaux, annihile les velléités de révolte contre les injustices. Elle endort les consciences, déboussole les femmes, désoriente les gens. L’ultra-libéralisme fait des ravages à travers le monde, pour le profit d’une poignée d’exploiteurs. 

Au cours des dix dernières années, la France s’est cherchée un président à la hauteur des enjeux. Sarkozy a été chassé en 2012, après un quinquennat calamiteux. Hollande, un faux homme de gauche, l’a remplacé, en poursuivant la même politique destructrice du tissu social. Comble de l’ironie, en voulant dégager les politiciens profiteurs, qui ont encombré les trente dernières années, les Français ont porté Macron au pouvoir, un sémillant technocrate, qui a la caractéristique d’être d’abord le président des riches et le défenseur de la finance ! 

Comme ses deux derniers prédécesseurs, l’ex-banquier d’affaires Macron est avant tout un serviteur zélé du capitalisme débridé, maintenu coûte que coûte par les Etats-Unis, un pays dont le comportement hégémonique menace le monde. 

Ce livre est un recueil des articles de l’auteur, publiés sur Agoravox, sous le pseudonyme de Verdi.


Agents de la finance apatride coupables de haute trahison.
(...) ceux de la synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent...  (Apocalypse 3/7-9)

Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...