vendredi, décembre 13, 2019

"Antisémite !" l'alléluia du peuple-prêtre



L'antisémite ! Absurdité, hystérie et pouvoir illégitime du "lobby-qui-n'existe-pas".

"Des extrémistes de la pensée, autoproclamés gardiens et protecteurs de la morale de leur peuple, ont besoin pour exister de se sentir détestés. Ils tentent d’imposer au monde, à grands renforts de propagande, l’idée qu’il existe un antisémitisme omniprésent afin d’êtres considérés comme une minorité persécutée depuis la nuit des temps et pour l’éternité. Ils se complaisent dans la pensée qu’il n’existe que deux peuples sur terre ; les « élus » et les « antisémites ».

Exaspérés par l’inexistence d’un antisémitisme réel, certains en viennent à élaborer de toutes pièces, de fausses agressions antisémites. Les plus fanatiques d’entre eux vont même jusqu’à s’auto mutiler afin de se faire passer pour des victimes opprimées, éternellement agressées pour leur seule appartenance à cette communauté. Et après, on vient nous parler de « cerveaux malades » !

Ce réel antisémitisme n’existant pas, à part, peut être, pour quelques nazillons de comptoir sans cervelle, ces extrémistes de la pensée ont depuis peu trouvé un nouveau moyen pour tenter de persuader l’opinion publique que tout le monde les détestent : L’anti-sionisme !!! Youpi !

Ils ont trouvé de nouveaux antisémites en tous ceux qui critiquent la politique agressive et coloniale d’Israël. Ils vont pouvoir ainsi continuer à vivre comme ils aiment : En tentant de nous persuader qu’ils sont haïs par la terre entière !

Quant à nous, pauvres Goyim, déclarer que l’on n’aime pas les Falafels ou préférer les Oranges d’Espagne, peut désormais nous ranger dans la catégorie des… antisémites !

Personnellement, leur « jeu » m’amuse… J’en fais des chansons."
L'Éveillé


Bientôt le noachisme
On nous fait peur avec le califat, mais on nous impose le rabbinat


"(...) nous dirigeons l'élite..."

La proposition de loi du député LREM Sylvain Maillard, portant sur la définition de l’antisémitisme a été adoptée le 3 décembre 2019. 

La communauté talmudiste, "qui a beaucoup souffert", devrait devenir le peuple-prêtre de l'humanité. 

Les goyim-moutons seront convertis au noachisme, la nouvelle religion planétaire d'inspiration judaïque. Donc, ils ne doivent plus émettre la moindre critique contre ceux qui deviendront leurs bergers dans le domaine religieux.

"Ce sacerdoce israélite, constituant le cœur de l’humanité, est l’intermédiaire entre les Gentils et le Dieu unique (le monothéisme). Dans cette pensée, le catholicisme est considéré comme un polythéisme en raison du concept de la Sainte Trinité (idolâtrie ou trithéisme selon les rabbins talmudiques).

Afin de correspondre au schéma du noachisme, la religion catholique doit procéder à une refonte complète rejetant la Sainte Trinité et la divinité du Christ. Cette mutation doit aboutir au « catholicisme d’Israël » selon l’expression du livre du rabbin Elie Benamozegh (« Israël et l’humanité »), ouvrage recensant la pensée talmudique. Comme le précise logiquement l’auteur : « Quiconque abjure l’idolâtrie est un véritable Juif. Quiconque rejette le polythéisme confesse toute la loi. » Dans le prolongement de cet idéal, le judaïsme talmudique reconstruit l’unité de la famille humaine afin de la mener vers un nouveau jardin d’Eden — la perfection étant à la fin — dans l’attente de l’arrivée du Messie. Logiquement, le rabbin Benamozegh précise : « De là cette belle théorie de la Kabbale qui fait de l’union et de la concorde des esprits ici-bas le moyen de réaliser la descente et l’établissement de la divinité sur la terre. »

Cette espérance du bonheur purement terrestre reposant sur l’idée du « Progrès », que nous retrouvons sous des formes variées dans le marxisme et le libéralisme, est en contradiction complète avec le catholicisme. La religion trinitaire, considérant le passage sur terre comme une série d’épreuves et comme un tremplin, a une espérance céleste. Ces deux universalismes sont incompatibles. Cela n’a pas empêché les autorités de l’Église, depuis Vatican II, d’affirmer dans un ouvrage « Le peuple juif et ses saintes Écritures dans la Bible chrétienne », que « L’attente juive messianique n’est pas vaine » (chapitre II, A5). D’un point de vue catholique, cette affirmation est une hérésie car le Christ est le Messie, passé il y a 2000 ans. Cette contradiction flagrante n’a pas empêché ce livre, paru en 2001, d’avoir comme préfacier… le cardinal Joseph Ratzinger.

Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des États-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. Il semblerait que les choses s’accélèrent. En effet, le 23 septembre 2012, toutes les communautés juives du monde ont appelé, par une courte prière, à l’arrivée du Messie (Mashia’h). Pour les catholiques, cela équivaut à appeler l’antéchrist. Compte tenu de la déliquescence de l’Église depuis Vatican II, cette prière est comme un appel à une mutation profonde. Il est vrai que le mondialisme est un messianisme pressé."


Lire l'intégralité de l'article :




jeudi, décembre 12, 2019

Macron est-il un contre-initié féru de magie noire ?

"Seul le fantastique a des chances d'être vrai." 
Pierre Teilhard de Chardin


Beaucoup de personnes connaissent l'analyse du profil psychologique d’Emmanuel Macron par le professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien, analyse basée notamment sur la biographie et les images de campagne de Macron. La conclusion du psychiatre est lapidaire : "Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même."

En revanche, le grand public ignore que Macron est l'objet d'une véritable aversion parmi des médiums youtubeurs.

La médium Margot Velazquez, qui anime sa propre chaîne YouTube, s'est intéressée à la véritable personnalité de Macron, à l'entité réelle, celle qui transmigrerait depuis des âges immémoriaux. Ses révélations évoquent le monde de Tolkien. (Selon la médium, cet auteur est devenu célèbre en puisant son inspiration dans de réelles sagas inscrites dans les archétypes de l'histoire de l'humanité.)

En résumé : 

"Macron, a commis des abus de pouvoir dans une très ancienne civilisation." Il était parvenu à corrompre l'instance suprême du gouvernement, le grand conseil théocratique, et à exercer un pouvoir tyrannique en tant que roi-sorcier. Mais, le peuple le renversa. Lui et son épouse furent condamnés et exécutés. Au moment de son exécution, Macron jura de se venger du peuple qui l'avait destitué. Or, toujours d'après la médium, le peuple réfractaire de ces temps très lointains s'est lui aussi réincarné en France. Et voilà pourquoi Macron déteste autant les Français.

Instant divertissement :

Pourquoi Macron déteste-t-il les Français ?

(Durée 15:23)




La France en flammes, des Gilets jaunes à Notre-Dame de l'Apocalypse

(Durée 23:47)

"Immigration de masse, justice sous influence, vente du patrimoine industriel... voilà selon Jean-Michel Vernochet, le "cahier des charges" auquel doit répondre le président Macron, et qui un jour amènera les Français, non plus à vivre côte à côte mais face à face ! Dans son dernier ouvrage "La France en flammes", le géopolitologue l'affirme tout net, ce déferlement de violence est le fruit d'un plan mûrement élaboré par l'Etat profond. Et qui a débuté avec l'incendie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris

Face à la situation catastrophique dans laquelle se trouve la France, Jean-Michel Vernochet estime que l'Etat n'hésitera pas une seconde à se lancer dans une nouvelle guerre pour tenter de redresser l'économie..."


Des Gilets jaunes à Notre-Dame de l'Apocalypse
Jean-Michel Vernochet

« La révolte populaire et sociale des Gilets jaunes a défrayé l’actualité de nombreux mois… Mais a-t-on bien mesuré l’ampleur du phénomène et compris sa nature ?

Que veulent vraiment ces « Gaulois réfractaires » stigmatisés par Emmanuel Macron ? 
Les reproches qu’ils adressent au régime sont-ils légitimes ?

Dans cette rétrospective des événements, l’auteur apporte des réponses et propose des analyses percutantes, au mépris du politiquement correct.

Sous une plume acérée, cette chronique se déroule jusqu’à l’incendie de Notre-Dame, à propos duquel sont rappelés certains enjeux mal connus et certains faits troublants ; le moins que l’on puisse dire est que le Système politico-médiatique en place n’en sort pas grandi…

L’auteur :
Géopolitologue et essayiste, ancien enseignant à l’École supérieure de journalisme de Paris, Jean-Michel Vernochet se consacre depuis des décennies au journalisme pour de nombreux médias. »


mercredi, décembre 11, 2019

L'interdiction de la prise d'image, feu vert pour plus de répression policière

La Ve République est à l'agonie. Elle mourra probablement durant l'année 2020.

(Durée 13:25)

Michel Maffesoli  : "Le sang va (encore) couler..."

L'oligarchie des parasites ne survit que par la violence de policiers devenus d'odieux miliciens agressifs, sadiques voire criminels.

Un de ces parasites, le sénateur LR Jean-Pierre Grand (69 ans), pour s'assurer du soutien des miliciens qui empêchent l'effondrement du régime spoliateur de Macron et de ses prédécesseurs, demande à ses comparses parlementaires de punir très sévèrement la diffusion de photos ou vidéos des forces de l'ordre en modifiant la loi sur la liberté de la presse.

Afin de conserver ses privilèges et ceux de sa caste, le sénateur met tout en oeuvre pour dissimuler la sauvagerie des cerbères de la macronie aux abois.



L’amendement du sénateur Grand "prévoit de modifier la loi de 1881 sur la liberté de la presse par cet ajout : «Lorsqu’elle est réalisée sans l’accord de l’intéressé, la diffusion, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, de l’image des fonctionnaires de la police nationale, de militaires ou d’agents des douanes est punie de 15 000 euros d’amende

L’amendement justifie l’interdiction par des motifs de sécurité : «A l’occasion de mouvements sociaux comme celui des gilets jaunes, les forces de l’ordre ont été régulièrement filmées par des manifestants dans le cadre de leur opération de maintien de l’ordre. Ainsi de nombreuses images de policiers ont été diffusées sur les réseaux sociaux, les rendant facilement identifiables et donc potentiellement des cibles avec leur famille (conjoint et enfants).»

Un autre amendement, émanant du même sénateur, prévoit lui de modifier l’article 226-1 du code pénal, aux mêmes fins d’interdire les images et enregistrements des forces de l’ordre, sous peine cette fois d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

Un troisième amendement de Jean-Pierre Grand vise également à interdire de divulguer l’identité des policiers." 

Source :
https://www.liberation.fr/checknews/2019/12/10/un-senateur-veut-punir-de-15-000-euros-la-diffusion-de-photos-ou-videos-de-forces-de-l-ordre_1768277


L’Ordre Souverain et Militaire du Temple de Jérusalem

(Durée 3:01)
La fête médiévale du Grand Fauconnier.


L’Ordre Souverain et Militaire du Temple de Jérusalem

"Ces néo-templiers sortirent de « l’ombre » en 1808, au cours d’une messe célébrée en l’église Saint-Paul Saint-Antoine de Paris, le jour anniversaire de la mort de Jacques de Molay." [...]


Fabre-Palaprat, le fondateur et grand maître de l'ordre, était "responsable d’un schisme à l’intérieur des Rose-Croix, il fut épaulé par Napoléon qui voulait en créer un au sein de l’Église catholique afin de contrôler les pouvoirs temporel et spirituel en France

Pour justifier son titre, Bernard-Raymond Fabre-Palaprat s’appuyait sur une charte de transmission remontant à 1324, dont il n’était accordé qu’à de rares privilégiés la faveur de voir l’original. Bien sûr, les  paléographes auraient aussitôt compris. Que disait cette charte de transmission, conservée à Londres actuellement, et qui date, selon les experts du XVIIe siècle ?

D’où Palaprat sortait-il son ordre ? La supercherie est frappante. Nous avons pris la peine de tout regarder. Au fur et à mesure, les faux apparaissent suivant des critères bien établis.

Le premier établissement des futurs néo-templiers fut la Loge de la Croix qui reçut ses constitutions le 23 décembre 1805, du Grand Orient de France. Les recrues furent puisées dans la loge Sainte-Catherine et représentées par l’aristocratie : de Choiseul, de Chabrillan, de Vergennes, de Dillon, de Narbonne, de Béthune, de Montmorency, etc. À l’intérieur du système dont les grades étaient calqués sur ceux de la Rose-Croix, se trouvait une classe se réclamant de l’Ordre du Temple.

Cet Ordre Intérieur eut pour imprésarios trois maçons : Ledru, docteur en médecine, de Courchamp, clerc de notaire, et un inconnu prénommé Saintot. Ce trio prétendait avoir reçu les pouvoirs de la maîtrise suprême du Temple, le 10 juin 1804, par Radix de Chavillon qui les avait hérités lui-même, en 1792, du dernier Maître secret de l’Ordre du Temple, Louis, Hercule, Timoléon de Cossé, duc de Brissac. Les troubles révolutionnaires ne permirent pas à Chevillon de rencontrer les subordonnés, il nomma Ledru lieutenant-général d’Afrique, de Saintot lieutenant-général d’Asie, de Courchamp Grand Précepteur. Il leur remit alors les documents prouvant « l’authenticité » de l’Ordre du Temple :

— le registre des procès-verbaux des réunions secrètes,
— l’archétype des statuts révisés en 1707,
— la pièce primordiale : charta transmissionis, émanant du successeur immédiat de Jacques de Molay, portant le nom et les signatures des grands Maîtres qui se sont succédé depuis 1324 jusqu’à 1792.

Déjà à cette époque, Morisson de Greenfield, médecin militaire anglais, avait communiqué un mémoire dans lequel il mettait en évidence la supercherie de Ledru, à un autre membre de l’association nommé Clavel. Or, Ledru avait été médecin ordinaire du duc de Brissac et aurait acheté, au moment de la mise en vente des biens du duc, tous les documents qu’il produisit, en 1804, comme provenant de Radix de Chevillon.

Ces documents font état du véritable rénovateur de l’Ordre du Temple, qui aurait été Philippe d’Orléans V Se souvenant de la résurrection des Templiers à Versailles en 1692, il avait formé, en 1705, une association secrète « qui avait renoncé à son but primitif – mœurs très poussés à la Socrate – pour s’occuper de matières politiques ». Le Régent se nomma Grand Maître, et les statuts primitifs furent mis au goût du jour.

Cela paraît déjà plus que douteux. Or, il y a ce passage : « l’association entreprit dans l’origine de se faire reconnaître en la qualité qu’elle prenait par l’Ordre du Christ au Portugal. » La mèche est vendue par les fondateurs eux-mêmes qui ne croyaient en rien à une prétendue succession de Jacques de Molay.

Le jésuite Bonnani confectionna la Charte de Transmission et y apposa les fausses signatures des divers Grands Maîtres. Bien que l’on ait dit que cette Charte était originale, nous savons maintenant, par des examens scientifiques, que la Charte de Transmission, avec les signatures, est un faux du début du XVIIIe siècle : encre, calligraphie, paléographie, épaisseur du parchemin en témoignent. [...]

Les prétentions du Maître du Temple le poussèrent à fonder une nouvelle religion. Il admit, en 1810, Mgr Guillaume Mauviel. Ce dernier, après avoir été évêque de Saint-Domingue en 1800, rentra en France en 1805, accepta l’Église concordataire et demanda la cure de Mantes, en Seine-et-Oise. Mort en 1814, il avait consacré évêque le Maître Fabre-Palaprat, le 29 juillet 1810. En moins de trois mois, Mauviel avait été nommé Primat de l’Ordre. Le Grand Maître l’invita à exercer publiquement les fonctions de son ministère. Mauviel, ou pour le Temple Guillaume des Antilles, noblesse oblige, confessa par écrit qu’il ne pouvait faire cela n’ayant pas reçu d’acte légal de sa communion avec Rome. Palaprat le destitua le 10 mars 1810, suivant l’article 18 des statuts, qui disait que tout ministre ecclésiastique de l’ordre doit faire profession de l’Église catholique, apostolique et romaine. Mais cela ne dura pas. Fabre-Palaprat, en février 1812, faisait savoir qu’en « sa qualité de souverain pontife et patriarche de l’Ordre il avait le pouvoir de conférer l’onction de la chevalerie ». En toute humilité !

En 1814, il acheta sur les quais, un manuscrit grec intitulé « Evangelicon ». C’était une version de l’évangile de saint Jean, précédée d’une introduction appelée « Léviticon ». Cette découverte fit connaître à Fabre-Palaprat la religion secrète johannite, qui avait un aspect différent de celui que connurent les Maçons des frères de l’Ecole du Nord. Cette trouvaille devait devenir le credo d’une nouvelle Église dont le maître du Temple serait le pape, le primat, le docteur, etc.

II composa aussitôt une légende templière, combinant la tradition maçonnique sur l’origine égyptienne de la société secrète avec la thèse socinienne, l’anti-cléricalisme des Encyclopédistes. À en croire le Léviticon, l’Ordre d’Orient, né en Égypte, avait été fondé par des chefs pour assurer le pouvoir de la caste sacerdotale et du gouvernement théocratique. On est loin du système synarchique des véritables Templiers.

Dans le Léviticon, le Christ est un philosophe et un initié. Il est appelé « Fils de Dieu » uniquement parce qu’il « était doué d’un génie tout divin. » La vie du Christ, inventée de toutes pièces, nous indique qu’il a été élevé à l’école égyptienne et initié très jeune. Jésus conféra l’initiation à saint Jean l’Evangéliste et aux autres apôtres, qu’il avait divisé en plusieurs ordres. Le Christ disparu, l’ordre fut animé d’un autre esprit sous l’inspiration de saint Jean.
On retrouve ici l’origine de la théorie templière que certains devaient exploiter. Par l’intermédiaire des primats de l’Église johannite, la tradition primitive de l’Ordre fut altérée. Son premier chef, Hugues de Payens, fut « instruit dans la doctrine ésotérique et dans des formules initiatoires des chrétiens d’Orient, par le patriarche Théoclès, 66e successeur de saint Jean ». Les Templiers retombèrent dans les erreurs en s’alliant avec les sectes musulmanes dont les chefs les initièrent dans une caverne du Liban. Guillaume de Montbard aurait été le premier initié. Il transmit le message à quelques frères qui initièrent tous les Templiers au culte maçonnique. Les idées de Palaprat furent, non pas reprises, mais travaillées, par certaines sectes et surtout des hurluberlus qui, ne pouvant être admis dans la Franc-Maçonnerie, se séparèrent de cette dernière et gardèrent des cercles d’études « initiatiques » qui aboutirent à toutes les théories que nous connaissons aujourd’hui.

Plusieurs membres du « Cercle d’Etudes initiatiques », épris d’un certain nationalisme, se séparèrent et redonnèrent une autre conception, en faisant des Templiers les héritiers directs des druides, principalement des Carnutes."


Laurent Dailliez, Les Templiers, ces inconnus.


mardi, décembre 10, 2019

L'Assemblée nationale adopte la nouvelle définition de l'antisémitisme





Pour en finir avec l'inversion accusatoire des parlementaires macroniens plus sionistes que français (des traîtresvassaux du CRIF et d'Israël), il faut entendre ce que dit le rabbin Aaron Teitelbaum, porte-parole des Juifs antisionistes : "Nous n’avons rien à voir avec le sionisme. Nous n’avons rien à voir avec leurs guerres. Nous n’avons rien à voir avec l’Etat d’Israël. [...] "L'Etat d'Israël est la pire abomination qui soit !"

"L'Etat d'Israël est la pire abomination qui soit !" pour s'en convaincre on peut, par exemple :


1 - Lire l'article de Laurent Guyénot, Le 11 septembre était une opération israélienne.

Olivier Demeulenaere : "Cet article, paru sur le site Unz Review, est remarquable. Je l’ai traduit car il offre la synthèse la plus dense, la plus cohérente et la plus convaincante que j’aie jamais pu lire sur cette psy-op machiavélique (pour ne pas dire démoniaque) du 11 septembre. Attention : Si vous en êtes encore à la version “Ben Laden et Al Qaïda”, votre représentation du monde risque d’en être bouleversée.

2 - Lire le livre de Laurent Guyénot  JFK-11 Septembre : 50 ans de manipulations.

3 - Télécharger gratuitement le pdf JFK-11 Septembre : 50 ans de manipulations.

4 - Lire des travaux du Dr Kevin Barrett, un universitaire américain qui étudie les événements du 11 septembre depuis la fin de 2003. Kevin Barrett affirme que 27 millions de musulmans ont été tués à la suite des guerres menées par les États-Unis après le 11 septembre 2001, suite à des attaques sous fausse bannière.

5 - Lire les rapports des experts qui ont soulevé des questions au sujet du récit officiel du 11 Septembre. "Ils estiment que des éléments voyous au sein du gouvernement américain, tels que l’ancien vice-président Dick Cheney, en collusion avec Israël et le lobby juif américain, ont orchestré ou au moins encouragé les attaques du 11 septembre afin d’accélérer la machine de guerre américaine et de faire avancer le programme sioniste, en passant par pertes et profits la mort de 3000 goyim américains, car le jour de l’attentat, tous les juifs qui travaillaient dans ces tours étaient remarquablement absents."

Qui est Sylvain Maillard, auteur de la proposition de résolution contre l’antisémitisme adoptée par l’Assemblée nationale ?

dimanche, décembre 08, 2019

Les maquis anti-radars sont-ils les éclaireurs de la Résistance ?

La France des campagnes


"Il y a de plus en plus de maquisards qui flinguent les radars tourelles..." 
(...) la Résistance aux radars, c'est une sorte de laboratoire pour d'autres Résistances..."



Les radars détruits par des tirs de chevrotine sont l'expression de la colère populaire contre le racket des automobilistes. C'est aussi un avertissement adressé à l'oligarchie des parasites et aux forces de l'ordre. La police, dit Verdi, s'est "métamorphosée sous la pression d’un psychopathe en milice de répression du peuple".

524 €/mois, coût par Français de l'Union européenne

"Répondre au dogme, à la religion de l'Union européenne, par des faits..."

(Durée 3:43)
Un Credo européiste : L'euro nous protège du chômage.


Charles-Henri Gallois : "524 €/mois pour chaque Français, c’est le coût astronomique de notre appartenance à l’euro et à l’Union européenne !"

Il précise sur Twitter : "Ce n’est pas en quittant l’Union européenne et l'euro que les Français vont s’appauvrir mais bien en y restant !

Le coût total de l'appartenance à l'UE et à l'euro est de 241 milliards d'euros par an, soit 660 millions d'euros par jour. L'estimation est pourtant basse."


"Contrairement à la propagande, la catastrophe, c’est d’y rester, pas d’en sortir ! Frexit !!"

Le livre de Charles-Henri Gallois :


"J'étais pro-européen comme tout le monde. Parce que c'est comme ça. Parce que l'on vous répète du berceau à la tombe que l'Union européenne est formidable. Parce que, aimant les autres peuples européens, l'idée d'une union pouvait paraître a priori sympathique, vue rapidement de l'extérieur. Parce que l'on vous répète que la France serait trop petite seule dans la mondialisation. Parce que l'Europe, c'est la paix. Parce qu'en sortir serait la catastrophe.

Avec du recul et en creusant le fonctionnement de cette organisation politique, tous les arguments en faveur de l'UE sont pavloviens, basés sur des slogans et sur la peur.

Vous allez le comprendre : lorsque l'on analyse l'UE en profondeur et que l'on décide rationnellement qu'il vaut mieux s'en libérer, c'est un combat des faits face à un dogme. C'est d'ailleurs tout l'objet de ce libre, répondre au dogme, à la religion de l'UE, par des faits."

Charles-Henri Gallois a 30 ans. Engagé politiquement très jeune, il est diplômé de l'école de commerce EM de Lyon. Il travaille dans le secteur privé en consolidation et contrôle de gestion international. Il est Trésorier et Responsable national de l'Union populaire républicaine (UPR) pour l'Économie.


La dictature européenne préfigure-t-elle la dictature mondiale des ultra-riches et des sionistes ?


Quittent-ils la galère macronienne avant le naufrage ? 

11 députés ne font plus partie de la secte LREM aux ordres de la Commission européenne.

Au début du mois de Décembre, encore deux députées ont quitté La République En Marche (LREM) :

"Marion Lenne, députée de Haute-Savoie, a mentionné un "désaccord sur le fonctionnement" du parti, quand Pascale Fontenel-Personne, députée de la Sarthe, évoque "une résurgence de la vieille politique opaque et calculatrice au niveau local" dans le cadre des municipales." (SOURCE)

samedi, décembre 07, 2019

27 millions de morts suite aux attaques sous fausse bannière

(Durée 3:37 - langue anglaise)
27 million Muslims killed due to US war on terror


Selon le Dr Kevin Barrett, un universitaire américain qui étudie les événements du 11 septembre depuis la fin de 2003, quelque 27 millions de musulmans ont été tués à la suite des guerres menées par les États-Unis après le 11 septembre 2001, suite à des attaques sous fausse bannière.

Le Dr Barrett, membre fondateur du groupe scientifique pour l’enquête du 9/11, a fait ces remarques lors d’une interview accordée à Press TV jeudi à la suite de la publication d’une étude réalisée par le Watson Institute of International Public Affairs au Brown Université.

Selon l’étude, la guerre menée par les États-Unis contre le terrorisme a entraîné plus de 800.000 décès directs en Afghanistan, au Pakistan et au Moyen-Orient.

Selon l’étude, les dépenses engagées par le gouvernement américain dans les guerres d’après les attentats du 11 septembre 2001 en Irak, en Afghanistan et ailleurs dans le monde s’élèvent à 6.500 milliards de dollars.


"En fait, c’est une sous-estimation flagrante de la vérité. En fait, l’Université Brown et tous les responsables de l’étude devraient tous être accusés de négationnisme, car le nombre réel de personnes tuées au cours des guerres du 11 septembre 2001 dépasse largement les 800.000" , a déclaré le Dr Barrett.

"En fait, selon le Dr Gideon Polya – l’un des principaux experts mondiaux en matière de mortalité évitable 
 –  c’est un professeur de sciences australien – 27 millions de personnes ont été tuées, et cinq millions de personnes qui seraient nées ne sont pas nées parce que leurs mères enceintes ont été tuées, ce qui signifie que 32 millions de personnes ont été effacées de ce monde à cause de ces guerres", a-t-il ajouté.

« De plus, le coût est beaucoup plus élevé que le chiffre supposé de six billions de dollars cité par l’Université Brown. Il est donc presque impossible d’exagérer l’ampleur de la catastrophe qui a eu lieu lorsque les autorités américaines et israéliennes ont décidé de poursuivre leur opération sous fausse bannière en faisant exploser le World Trade Center, qui devait être démoli depuis des années. La ville de New York était désespérée sur la manière de le détruire« , a-t-il noté.

Les attentats du 11 septembre 2001, constituaient une série d’attaques aux États-Unis qui ont tué près de 3.000 personnes et causé des dommages à la propriété et aux infrastructures d’une valeur d’environ 10 milliards de dollars.

Les autorités américaines ont affirmé que les attaques avaient été perpétrées par 19 terroristes d’Al-Qaïda, mais de nombreux experts ont soulevé des questions au sujet du récit officiel.

Ils estiment que des éléments voyous au sein du gouvernement américain, tels que l’ancien vice-président Dick Cheney, en collusion avec Israël* et le lobby juif américain, ont orchestré ou au moins encouragé les attaques du 11 septembre afin d’accélérer la machine de guerre américaine et de faire avancer le programme sioniste, en passant par pertes et profits la mort de 3000 goyim américains, car le jour de l’attentat, tous les juifs qui travaillaient dans ces tours étaient remarquablement absents.


Source : https://www.veteranstoday.com/2019/11/23/27million/

via https://numidia-liberum.blogspot.com/2019/11/la-pretendue-guerre-americaine-contre.html

(* Lecture conseillée JFK-11 Septembre. Dans cet essai passionnant, fruit de trois ans de recherches, Laurent Guyénot démontre que le 11 septembre était une opération israélienne. Essai qui peut disparaître depuis que les députés français ont voté, mardi 3 décembre 2019, une résolution assimilant l’antisionisme à l’antisémitisme. Un vote qui révèle que des parlementaires sont aux ordres du mondialisme talmudo-maçonnique. Mais quand les peuples se révoltent, l'adoption de cette résolution, stupide et controversée même par des rabbins, pourrait signifier que les mondialistes sont aux abois...)


L'entité sioniste criminelle est maudite par des rabbins

"Le rabbin de Satmar, Aaron Teitelbaum, prononce en yiddish un discours antisioniste devant des milliers de disciples au Nassau Coliseum de Long Island, à New York, le 3 juin 2018. Il déclare : « Nous n’avons rien à voir avec le sionisme. Nous n’avons rien à voir avec leurs guerres. Nous n’avons rien à voir avec l’Etat d’Israël ». 

Satmar, l’un des groupes hassidiques les plus importants dans le monde, est farouchement antisioniste et ne reconnaît pas l’état d’Israël ; il considère qu’un état juif ne devrait pas exister avant l’arrivée du Messie."


"L'Etat d'Israël est la pire abomination qui soit !"
(Rabbin Aaron Teitelbaum) 

(Durée 1:58)

Gay Paradise

(Les hétéros sont-ils en enfer ?)



L'Église de Suède a accepté et présenté une image des adeptes LGBTQ et de Dieu vivant ensemble au ciel.



L’œuvre, Paradise, d’Elisabeth Ohlson Wallin, a été dévoilée par l’église Saint-Paul de Malmö, qui a publié une déclaration dans MyNewsDesk louant l’inclusivité affichée.

"Nous sommes reconnaissants au talent artistique d'Elisabeth, qui nous permet de construire une église crédible qui montre que nous sommes tous logés au paradis, indépendamment de ce que nous aimons et identifions comme tel", lit-on dans une traduction de la déclaration suédoise.

Wallin, artiste queer produisant en Suède depuis la fin des années 1980, a souvent exploré le rôle de la religion dans l'affirmation des LGBTQ.

En 2012, elle a produit Ecce Homo, une reconstitution de La Dernière Cène de Da Vinci avec un Jésus-Christ transgenre. Des gardes armés ont été appelés pour protéger l'oeuvre du vandalisme lorsqu’elle était exposée en Serbie.

vendredi, décembre 06, 2019

Le peuple uni contre l’abjection macronienne

"Renverser le psychopathe de l’Elysée, était bien, d’abord et avant tout, la principale motivation sur les pavés des villes, grands, moyennes ou petites. Se débarrasser de Macron, c’est sauver nos retraites et, plus globalement, notre modèle social, hérité du Conseil National de la Résistance." (Verdi) 

Spoliation/privatisation des autoroutes, barrages hydroélectriques, aéroports, SNCF, la Française des jeux, la Poste...





Mobilisation massive contre Macron, plus de 2 millions de manifestants dans les rues, le 5 décembre


(Durée 31:37)
(Verdi, journaliste humaniste proche de la la France Insoumise, dénonce avec force la dictature mondiale concoctée par les ultra-riches et les sionistes.)

L’heure de la révolte de grande ampleur a sonné. Plus de 2 millions de manifestants dans les rues de France, contre Macron, ce jeudi 5 décembre, malgré le froid et la répression macronienne. 

Renverser le psychopathe de l’Elysée, était bien, d’abord et avant tout, la principale motivation sur les pavés des villes, grands, moyennes ou petites. Se débarrasser de Macron, c’est sauver nos retraites et, plus globalement, notre modèle social, hérité du Conseil National de la Résistance. 

En toile de fond du combat des vrais Français contre l’abjection macronienne, les vrais organes de presse livrent un combat pour l’info libre, contre les merdias propagandistes aux ordres des ultra-riches, qui soutiennent le destructeur de la France. 

La participation réelle dans les principales villes : https://rapportsdeforce.fr/classes-en... 

La télé publique au-dessous de tout et surtout de ses missions d’informer s’est comportée en média collabo du régime. ACRIMED, l’observatoire des médias a épinglé sévèrement France 2 : https://www.acrimed.org/La-greve-du-5... 

De son côté, Mediapart, par la voix d’Edwy Plenel, son directeur, s’est positionné sans ambiguïté du côté de la France en lutte. https://www.youtube.com/watch?v=OhaGM... 

Le combat continue. Mélenchon (FI) s’est félicité de l’appel à manifester le 5 décembre, lancé par Marine Le Pen (RN), à ses militants et sympathisants. La convergence citoyenne a fait la force des manifestations massives du 5 décembre. La CGT a appelé à rejoindre les manifestations de gilets jaunes, le 7 décembre. Un peu partout, les grèves ont été reconduites, au moins jusqu’au lundi 9 décembre inclus. Le politiquement correct et la bien-pensance sont les fléaux, dans lesquels les peuples libres ne doivent pas sombrer, s'ils veulent survivre. Face à l'ignominie macronienne, indignez-vous, révoltez-vous !


Hávamál

(Durée 21:34)

Se procurer Hávamál : http://esprit-viking.com/boutique/ 
Soutenir les free movies de divulgation : https://www.tipeee.com/l-esprit-viking 
L' association Pagans libres païens : http://www.pagans.eu/presentation-gui...


"Première version complète d'Hávamál en Français : 165 Strophes de sagesse « Viking ». Poème de la mythologie Nordique particulièrement simple à appréhender, il est idéal pour mettre un pied dans la tradition Hyperboréenne. C'est le dieu Odin lui-même, qui nous éclaire de sa sagesse autant pour appréhender la vie d'une façon plus aérienne, que pour nous guider dans des situations concrètes du quotidien. A la fois manuel de savoir vivre et livre de philosophie, c'est un rappel au bon sens et une haute expression des valeurs ancestrales européennes. A l'heure où notre civilisation -oubliant le bien fondé de la morale- commence à perdre pied, Hávamál est une bouée de sauvetage, un fragment d'Asgard laissé par nos ancêtres. Dépourvue de dogmes, la tradition païenne est une formidable alternative à la morale religieuse."


Le "pôle" et le siège hyperboréen

Julius Evola

"(...) des données traditionnelles nombreuses et précises mentionnent le nord comme étant l'emplacement d'une île, d'une terre ou d'une montagne, emplacement dont la signification se confond avec celle du lieu du premier âge. Il s'agit donc d'une connaissance ayant une valeur à la fois spirituelle et réelle, du fait qu'elle s'applique à une situation où le symbole et la réalité s'identifièrent, où l'histoire et la supra-histoire, au lieu d'apparaître comme des éléments séparés, transparurent, au contraire, l'une à travers l'autre. C'est là le point précis où l'on peut s'insérer dans les événements conditionnés par le temps. Selon la tradition, à une époque de la haute préhistoire qui correspond à l'âge d'or ou de l'« être » , l'île ou terre « polaire » symbolique aurait été une région réelle située au septentrion, voisine de l'endroit où se trouve aujourd'hui le pôle arctique. Cette région était habitée par des êtres qui possédaient cette spiritualité non-humaine à la-quelle correspondent [...] les notions de « gloire », d'or, de lumière et de vie et qui fut évoquée plus tard par le symbolisme suggéré précisément par leur siège ; ils constituèrent la race qui posséda en propre la tradition ouranienne à l'état pur et « un » et fut la source centrale et la plus directe des formes et des expressions variées que cette tradition revêtit chez d'autres races et d'autres civilisations. [...]

Des textes aryens de l'Inde, comme les Veda et le Mahâbhârata, conservent le souvenir de la région arctique sous forme d'allusions astronomiques et de calendriers, qui ne sont compréhensibles que par rapport à cette région. Dans la tradition hindoue, le mot dvîpa, qui signifie textuellement « continent insulaire » est souvent employé, en réalité, pour désigner différents cycles, par transposition temporelle d'une notion spatiale (cycle - île). Or, on trouve dans la doctrine des dvîpa des références significatives au centre arctique, qui se trouvent mélangées toutefois avec d'autres données. La çvetadvîpa, ou « île de la splendeur », que nous avons déjà mentionnée, est localisée dans l'extrême septentrion et l'on parle souvent des Uttarakura comme d'une race originaire du Nord. Mais le çvetadvîpa de même que le kura font partie du jambu-dvîpa, c'est-à-dire du « continent insulaire polaire », qui est le premier des différents dvîpa et, en même temps, leur centre commun. Son souvenir se mêle à celui du saka-dvîpa, situé dans la « mer blanche » ou « mer de lait » , c'est-à-dire dans la mer arctique. Il ne s'y serait pas produit de déviation par rapport à la norme ni à la loi d'en-haut: quatre castes, correspondant à celles dont nous avons déjà parlé, y vénérèrent Vishnu sous sa forme solaire, qui l'apparente à l'Apollon hyperboréen. Selon le Kurma-purâna le siège de ce Vishnu solaire, ayant pour signe la « croix polaire », c'est-à-dire la croix gammée ou svastika, coïncide, elle aussi, avec le çveta-dvîpa, dont on dit dans le Padmapurâna, qu'au-delà de tout ce qui est peur et agitation samsârique, il est la résidence des grands ascètes, mahâyogî, et des « fils de Brahman » (équivalents des « hommes transcendants » habitant dans le nord, dont il est question dans la tradition chinoise) : ils vivent près de Hari, qui est Vishnu représenté comme « le Blond » ou « le Doré », et près d'un trône symbolique « soutenu par des lions, resplendissant comme le soleil et rayonnant comme le feu ». Ce sont des variantes du thème de la « terre du Soleil ». Sur le plan doctrinal, on trouve un écho de ce thème dans le fait [...] que la voie du deva-yâna qui, contrairement à celle du retour aux mânes ou aux Mères, conduit à l'immortalité solaire et aux états super-individuels de l'être, fut appelée la voie du nord : en sanskrit, nord, uttara, signifie également la « région la plus élevée » ou « suprême » et l'on appelle uttarâyana, chemin septentrional, le parcours du soleil entre les solstices d'hiver et d'été, qui est précisément une voie « ascendante ».

Des souvenirs encore plus précis se conservèrent chez les Aryens de l'Iran. La terre originelle des Aryens, créée par le dieu de lumière, la terre où se trouve la « gloire », où, symboliquement, serait « né » aussi Zarathoustra, où le roi solaire Yima aurait rencontré Ahura Mazda, est une terre de l'extrême septentrion. Et l'on garde le souvenir précis de la congélation. La tradition rapporte que Yima fut averti de l'approche « d'hivers fatals » et qu'à l'instigation du dieu des ténèbres, surgit contre l'Arianem Vaêjô le « serpent de l'hiver ». Alors « il y eut dix mois d'hiver et deux d'été », il y eut « le froid pour les eaux, le froid pour la terre, le froid pour la végétation. L'hiver s'y abattit avec ses pires calamités ». Dix mois d'hiver et deux d'été : c'est le climat de l'Arctique.

La tradition nordico-scandinave, de caractère fragmentaire, présente divers témoignages confusément mêlés, où l'on peut néanmoins trouver la trace de souvenirs analogues. L'Asgard, la résidence d'or primordiale des Ases, est localisé dans le Mitgard, la « Terre du Milieu ». Cette terre mythique fut identifiée à son tour soit au Gardarike, qui est une région presque arctique, soit à l'« île verte »ou « terre verte » qui, bien qu'elle figure dans la cosmologie comme la première terre sortie de l'abîme Ginungagap, n'est peut-être pas sans rapport avec le Groënland - le Grünes Land. Le Groënland, comme son nom même paraît l'indiquer, semble avoir présenté, jusqu'au temps des Goths, une riche végétation et ne pas avoir été encore atteint par la congélation. Jusqu'au début du Moyen Age, l'idée subsista que la région du nord avait été le berceau de certaines races et de certains peuples. D'autre part, les récits eddiques relatifs à la lutte des dieux contre le destin, rök, qui finit par frapper leur terre - récits dans lesquels des souvenirs du passé interfèrent avec des thèmes apocalyptiques - peuvent être considérés comme des échos du déclin du premier cycle. Or, on retrouve ici, comme dans le Vendîdâd, le thème d'un terrible hiver. Au déchaînement des natures élémentaires s'ajoute l'obscurcissement du soleil ; le Gy1faginning parle de l'épouvantable hiver qui précède la fin, de tempêtes de neige qui empêchent de jouir des bienfaits du soleil. « La mer se lève en tempête et engloutit la terre ; l'air devient glacial et le vent accumule des masses de neige ».



mercredi, décembre 04, 2019

Un peuple désarmé est un peuple vaincu

"Bon vent au 5 décembre et aux journées qui suivront."


(Durée 22:10)

Verdi : L’heure est à l’insurrection et à rien d’autre. Il n’y a pas d’alternative autre que le renversement de Macron, si les vrais Français veulent retrouver leur liberté et leur modèle social et économique. La grève générale illimitée et le blocage du pays sont les moyens de l’insurrection "pacifique". 


"Les Étasuniens, dit Verdi, c'est l'origine des malheurs du monde depuis un siècle. Malheurs du monde avec sa tête de pont qu'est cet Etat factice qui n'aurait jamais dû voir le jour et qui s'appelle Israël."

Bruno Guigue : "Pour parvenir à ses fins en politique, disait Machiavel, il faut être à la fois « lion et renard », faire usage de la force et de la ruse en fonction des circonstances. Mais pour faire usage de la force, encore faut-il en avoir. Aussi positive soit-elle pour la majorité de la population, une politique progressiste suscite toujours la haine recuite des possédants. Cette haine de classe, véritable passion triste des privilégiés cramponnés à leur prébendes, ne tarira jamais. Il faut le savoir, et se donner les moyens de l’empêcher de nuire. Dans les conditions effectives du combat politique, ce qui détermine l’issue finale n’est pas la pureté des intentions, mais le rapport de forces. Face à la coalition de la bourgeoisie locale et de l’impérialisme, les progressistes n’ont pas le choix des armes : il faut qu’ils les prennent, l’idéal étant évidemment de ne pas avoir à s’en servir, en comptant sur la faible propension de l’adversaire au suicide héroïque. Pour exercer cet effet dissuasif, il faut avoir des milliers de volontaires lourdement armés et prêts à défendre la révolution au péril de leur vie."

La France est détruite de l'intérieur par Macron et une "secte" politico-messianique constituée de satanistes pédocriminels, de sionistes, d'ultra-riches, de financiers apatrides, de journalistes corrompus et de traîtres, comme les policiers, militaires, préfets, hauts fonctionnaires, élus, membres du gouvernement, tous adeptes de la franc-maçonnerie. Ils sont, directement ou indirectement, au service de Rothschild et du Nouvel Ordre Mondial.

Le 5 décembre est le jour de la convergence de toutes les forces populaires pour la libération de la France et la fin de la tyrannie des financiers apatride et des prédateurs économiques.


L'écologie au secours du Nouvel Ordre Mondial

(Durée 13:56)


Alain Soral écrit dans Comprendre l'Empire :

"La lutte contre la pollution,  contre les virus, contre le terrorisme et les dérèglements financiers étant autant de causes qui exigent, au nom du bien-être et du salut de l'humanité, de passer au-dessus des gouvernements issus du suffrage populaire, pour être confiées au niveau planétaire à un collège d'experts non élus...

Ainsi, avec le documentaire Une vérité qui dérange, présenté par Al Gore, ex-candidat malheureux (pour ne pas dire spolié) à la présidence étasunienne, l'oligarchie mondialiste va faire de l'écologie - ancienne idéologie conservatrice des années 1920-1930 passée par une phase de récupération gauchiste à partir des années 1970 - le fer de lance climatique du mondialisme.

Une écologie appuyée sur les travaux du GIEC - émanation climatologique de l'ONU, créé en 1988 et déjà utilisé par le gouvernent de Margaret Tatcher pour justifier la désindustrialisation de l'Angleterre - au service du nouveau marché de l'écologie promu par les ex-internationalistes de gauche passés au mondialisme de droite comme Daniel Cohn-Bendit (décidément sur tous les mauvais coups !) pour faire gober aux peuples d'Occident la thèse du « réchauffement climatique ».

Un bricolage mensonger, établissant un lien causal entre un supposé dangereux réchauffement planétaire, l'émission de CO2 et la production industrielle, censé permettre au futur g ouvernement mondial d'imposer la non moins fumeuse « taxe carbone ».

Une taxe présentée aux masses par les médias comme « anti-pollution », alors qu'elle n'est en réalité qu'un énième racket financier sorti des cerveaux malades de Goldmann Sachs : faire payer - via un marché carbone - le droit d'émettre du CO2 ; soit l'impôt ultime sur l'air respiré !
Un vaste montage médiatico-financier fondé sur une escroquerie scientifique, heureusement dénoncé par les plus grands climatologues indépendants, et que vont bientôt refuser les puissances émergentes, telles l'Inde et la Chine, qui voient clairement dans ce nouveau marché spéculatif où l'on achète le droit de polluer, une tentative américaine de freiner leur développement industriel et leur future suprématie économique mondiale..."


Autres livres d'Alain Soral :


Alain Soral dérange, agace, mais il l'un des rares penseurs de sa génération à se poser et à poser les bonnes questions : celles qui font mal, parfois, et surtout celle que l'on n'aime pas s'entendre poser.

C'est l'une des raison qui explique le succès populaire de ses deux abécédaires, Jusqu'où va-t-on descendre ? et Socrate à Saint-Tropez où il analyse avec pertinence, humour et humeur la lente dérive de l'universalisme républicain issu de la Révolution de 1789, vers cet agglomérat de communautarismes revendicatifs et de narcissismes hostiles qui constitue aujourd'hui la société française.

Exemples : Délinquance, des banlieues rouges aux banlieues beurs ; Écologie, l'arnaque des pistes cyclables ; Féminisme, le phénomène Bridget Jones ; Gauchisme, comment passe-t-on de Mai 68 au Cac 40 ? ; Libéralisme, de l'intérêt d'avoir toujours une lutte antifasciste de retard ; Minorités, pourquoi pas une Beauf Pride ?...

Société française peu à peu réduite à une grande surface de marchandises et de consommateurs, sous l'impulsion des "li-li-bo-bo' (libéraux-libertaires bourgeois bohèmes), cette nouvelle classe dominante d'animateurs de la transgression standardisée, unis par leur mépris du citoyen français et du monde du travail.




Extrait de l'introduction :

«La femme est l'avenir de l'homme.»

Cette sentence devenue célèbre résume à elle seule le credo de l'époque, son idéologie.
Que le poète qui l'a prononcée ait vécu en stalinien et fini pédé devrait pourtant inciter à la prudence, voire à la réflexion.


À moins que le but de ce slogan, devenu «Demain sera féminin» dans un catalogue de vente par correspondance ', soit justement de couper court à toute réflexion sérieuse ; d'exiger de nous, hommes de bonne volonté qui voulions continuer à réfléchir, que nous nous en remettions à la fameuse intuition et autre sensibilité féminines quant à notre avenir.

Étrange : dans cette société libérale où presque toutes les critiques sont permises, voire encouragées (surtout celles qui en sapent les fondements : chrétienté, raison, science, république, père, famille, morale...), il est devenu très mal vu de ne pas dire que du bien des femmes.
Malgré cette pression médiatique croissante - et ne faisant finalement que rejoindre la tradition classique unanimement misogyne depuis la nuit des temps jusqu'à Simone de Beauvoir - je vais oser poser ici la question interdite :

Et si c'était parce que la femme est fondamentalement sans vision politique et sans projet social, donc qui accepte comme naturel, voire indépassable, le système en vigueur (en l'occurrence le néolibéralisme), que les hommes au pouvoir (ces mêmes tenant du néolibéralisme) tenaient à tout prix à nous imposer (...)


La culture de masse contre les peuples

Le développement de la culture de masse a entraîné l'érosion des formes autonomes de culture populaire et la dissolution des liens sociaux au profit d'un monde artificiel d'individus isolés, fondement de la société de consommation. Le capitalisme ne peut donc être réduit à un système d'exploitation économique, il représente un "fait social total".II ne tient que sur l'intériorisation d'un imaginaire et grâce au développement d'une culture du divertissement permanent. Cette uniformisation des comportements et des aspirations se présente comme l'affranchissement de toutes les contraintes (sociales, spatiales, temporelles, etc.). Survalorisée et triomphante, la culture de masse (séries américaines, nouvelles technologies, football, jeux vidéos, etc.) trouve des défenseurs même chez les intellectuels dits contestataires. Il est donc urgent et nécessaire de mener une critique intransigeante du mode de vie capitaliste et de démontrer comment notre civilisation du loisir participe de la domestication des peuples.


"Sociologie du dragueur", publié en 1996, est l'ouvrage qui a fait connaître Alain Soral au grand public comme sociologue pugnace, connu pour son franc-parler et ses positions radicales contre toutes formes de communautarisme.

Dans Sociologie du dragueur, Alain Soral, ancien dragueur des rues qui revendique plus de 700 conquêtes, étudie avec la minutie du sociologue toute la problématique que pose la drague: ses fondements, ses règles, ses techniques, son idéologie et les différents aspects de l'être qu'elle révèle.
Où, quand, qui et comment drague-t-on ? Tous ces aspects de la pratique sont décortiqués et analysés pour comprendre les motivations du dragueur.

Il s'agit avant tout d'une étude toute masculine qui se passe loin des femmes et tente de s'en protéger. Une étude dans laquelle ne peuvent entrer le penseur ou le philosophe car il faut avoir pratiqué pour conceptualiser la démarche du dragueur. Parler de la drague c'est dépasser l'apologie de la femme ou de la misogynie des discours officiels. D'où une critique acerbe du féminisme comme pensée des femmes puisque la femme, pas plus que l'homme n'est une catégorie sociale. Avec son discours, le féminisme est la voix de la social-démocratie qu'elle féminise à outrance. Le dragueur reste la seule réplique masculine à cette féminisation.

Dans ce livre d'une grande rigueur d'analyse sur un sujet inexploré quant à son contenu sociologique, Alain Soral répond à toutes les questions que soulèvent la drague et le dragueur dans un style qui manie avec bonheur intelligence et humour.



Bon c'est décidé, je vais faire un effort. De toute façon j'étais au bout de ma critique des communautarismes, la colère qui se répète, ça tourne au fonds de commerce, je n'allais pas devenir le Jean-Pierre Coffe du politiquement incorrect, le monsieur "c'est d'la merde" du pamphlet. Me calmer, donc, ne plus déraper et attendre qu'on me jette quelques miettes... Aller, faire simplement comme les autres après tout : mentir, pleurnicher, émouvoir... juste m'avilir un peu plus. Je m'appelle Oussama Joseph Maximilien... Non, ça part encore trop brutal. Je m'appelle... Robert, c'est mieux, plus personne ne s'appelle Robert aujourd'hui, ça fait français. Je m'appelle Robert et je suis au bout du rouleau... Ainsi commence Chute !, le deuxième roman d'Alain Soral. Un roman où son double, Robert Gros, se heurte de tout son poids de lucidité morale et de désespoir social au mensonge, à la lâcheté et à la brutalité de notre pseudo-démocratie contemporaine. Chute ! nous entraîne dans les affres d'un homme de 45 ans et sa lente et inexorable descente aux enfers, lui qui a cru qu'il pourrait changer le monde ou, tout au moins, le rendre moins cruel. Livre amer et désabusé sur notre société, Chute ! n'épargne personne, à commencer par l'auteur lui-même. Dans ce grand roman, nous sommes saisis par la minutie et la subtilité avec laquelle Soral restitue le désenchantement d'un homme, assortie d'une critique sans faille de notre société qui privilégie l'envie et la consommation sur l'Etre...







Misères du désir, c'est un beau titre. Quand on pense à tout les emmerdes que vous attire l'entreprise de conquête sexuelle : humiliation du "non", frais de table, maladies vénériennes, mariage, divorce et pension, prison pour pédophilie, voire pire... on se dit, comme Bertrand Cantat, que s'abstenir eût été préférable. Qu'on se contente seulement d'écrire sur le plaisir, comme certain puceau lettré chauve aux yeux verts, c'est alors l'art lui-même qui vous rappelle à sa hiérarchie : si Dante avait baisé Béatrice, point de Divine Comédie. Misères du désir donc, on me demande d'en faire un livre... ça me va. Mais d'abord pourquoi moi ? Sans doute parce que j'avais par le passé, dans un autre livre, avant mon mariage à l'Eglise, revendiqué sept cents conquêtes. Sur ces fameuses sept cents conquêtes dûment pénétrées et homologuées, je dois au lecteur qui m'aime, comme aux féministes qui me haïssent, une petite explication. Moi je ne voulais pas écrire "conquêtes", je trouvais le terme précieux et prétentieux, je voulais écrire "sondées". Sondées c'est le terme exact du point de vue sociologique, mais mon éditeur trouvait "sondées" trop gynécologique, fort de l'autorité du payeur il opta pour "conquêtes" qui lui semblait plus romantique. Du coup ce qui était dans mon esprit pure volonté de rigueur scientifique, humilité, passa pour de la forfanterie, et le panel représentatif de celui qui s'adonne à la pratique avant d'écrire, par soucis de réalité, pour de la prétention et de l'abattage, voire du mépris. Quelle gloire peut-on tirer des filles quand on sait qu'elles sont physiquement, psychologiquement et socialement programmées pour ça ? Assez sur ce sujet, on l'aura compris, faire écrire un éloge de la retenue par un ex-baiseur est un paradoxe plus attractif que de commander le titre à Christopher Reeves ou au père de La Morandais...

"L'Occident moderne est la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde"

Une performance d'art moderne occidental : Être traîné avec une bougie dans l'anus sur un sol inondé et sale. La Russie est en train...