"Il y a de bonnes raisons pour célébrer l'abolition du régime de servage au Tibet. C'était une victoire des droits humains, une mise en application de la Charte de l'ONU", a commenté le sinologue allemand.
"Le soi-disant gouvernement tibétain en exil est le représentant des anciens exploitants. Lorsque le dalaï-lama parle de la liberté, c'est la liberté pour les peu nombreux qui exploitent les masses", a affirmé le professeur Holz.
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Une série de vidéos dépeint l’histoire du servage au Tibet
http://bouddhanar-9.blogspot.com/2009/03/histoire-des-serfs-tibetains.html
Les pratiques magiques du bouddhisme tibétain provoquent une véritable intoxication psychique. Elles détruisent l’entendement et le discernement des malheureux adeptes du lamaïsme. Soumettre et exploiter les êtres humains est une constante dans l’ordre féodal des Dalaï-lamas. Cet ordre se perpétue en Occident sous le couvert d’une spiritualité de pacotille.
Le personnage du lama (gourou) péroreur du dharma, coiffé d’une tiare, assis sur un trône doré et entouré de flagorneurs, est très différent de l’homme vrai du Taoïsme. Le gourou est un manipulateur qui endoctrine et asservi ses disciples. L’homme vrai n’a pas besoin de disciple. Sa sagesse reste cachée ; elle ne doit pas être perçue extérieurement. Sa parfaite simplicité lui donne parfois l’apparence d’un sot :
Tout le monde a du superflu
Moi seul parais avoir tout perdu
Car je suis simple d’esprit
(Tao Te Ching)