samedi, septembre 03, 2022

Françoise DOLTO défendait la pédophilie "consentante"






Par Prajñâ


Commençons par cette pétition signée par Françoise Dolto et publiée par le journal Le Monde le 23 mai 1977 : Cette pétition visait à faire modifier certains textes de loi pour aller dans le sens d’une reconnaissance du droit de l’enfant et de l’adolescent à entretenir des relations avec des personnes de son choix. Vous l’avez compris, il s’agissait de relations sexuelles.

Il faut savoir que F. Dolto signera cette pétition à côté de Gabriel Matzneff, écrivain, pédophile notoire, poursuivi par la justice française en 2021, de même qu’avec d’autres intellectuels français pro-pédophiles de l’époque.

D’après Catherine Dolto (médecin pédiatre), fille de F. Dolto, il est impossible que sa mère ait signé à côté de ces gens-là.

F. Dolto, par la suite, n’émettra jamais le moindre regret public et apparemment non plus privé puisque sa fille n’en a (aurait ?) pas entendu parler, non plus de regret d’avoir signé à côté de ces personnes.

La volonté de dépénaliser la pédophilie « consentante » est confirmée dans son livre : « La cause des adolescents : regarder leur liberté et leur différence » chez Pocket.

Mais que pourrait bien signifier le mot « consentant » chez un enfant sans aucune défense ?!

Page 267 : « Ce qu’il faudrait c’est que la loi ne s’occupe plus de l’âge, ne s’occupe seulement que de l’inceste, des relations entre parents proches, frères, sœurs, parents, oncles, tantes, mais qu’il n’y ait absolument rien entre adultes et enfants comme interdiction ». …

F. DOLTO défendait la thèse que si un enfant avait été prévenu dans son éducation, il pouvait se soustraire à une relation pédophile et il devenait responsable à partir du moment où cela arrivait. F. Dolto défend cette thèse en long, en large et en travers dans ce second livre :

« L’Enfant, le Juge et le Psychanalyste », 
Françoise DOLTO et Andrée RUFFO (juriste) :  chez Gallimard.

P. 34 : « Mais le rôle du juge, c’est qu’à partir de là l’enfant se prenne davantage en charge ; c’est surtout, je crois, la prévention, c’est-à-dire la mise au courant des lois de l’enfant, très jeune. Si les enfants savaient que la loi interdit les privautés sensuelles et sexuelles entre adultes et enfants, eh bien, à partir du moment où un adulte le lui demande, s’il accepte, c’est qu’il est complice, il n’a pas à se plaindre. Mais il peut avoir, sans se plaindre, à dire « mais ça m’a fait très mal – Oui. Pourquoi t’es-tu laissé faire puisque tu savais que ce n’était pas permis … ? » A partir du moment où l’enfant est au courant, très jeune, de la loi, il est complice et on peut l’aider beaucoup mieux … »

P. 53 : « Ils sont responsables de laisser les parents commettre un acte qui les avilit dans leur relation à leurs parents … ».

P. 33 :
Q : La juge Andrée Ruffo pose la question à F. Dolto : Non, ce que je veux dire, c’est qu’il arrive souvent avec des enfants de 12, 13 ans, qu’on nous dise : « cet enfant a des troubles du comportement parce qu’il a vécu un inceste, parce qu’il a été rejeté, parce qu’il a été méprisé. Mais moi je refuse de lui accorder la protection pour ses troubles.

F. D. : Mais vous avez tout-à-fait raison parce que l’important c’est : puisqu’il a survécu, qu’est-ce qu’il y a eu de suffisant pour y prendre son pied ? Si un être est vraiment traumatisé, il tombe malade ; si un être n’a pas de quoi vivre, il ne continue pas.

P. 80 :
Cela dépend de chaque enfant, et je crois que ça dépendra de la relation en maturation qu’il va rencontrer avec la famille dans laquelle il sera placé, ou avec l’éducateur avec qui il pourra parler et qui pourra justement lui faire comprendre que l’excitation dans laquelle était son père, peut-être sans l’avoir cherché, l’enfant en était complice. Parce que je crois que ces enfants sont plus ou moins complices de ce qui se passe. L’enfant est dans une ambiguïté : il faut obéir au père, et puis son père, après tout …

P. 83 :
Q : A.R. : Oui, par exemple, un enfant dit « Papa a fait ceci ou cela avec moi… ». R : F.D. : Oui, justement, et les enfants ne pourraient plus le faire s’ils avaient été informés avant. « Eh, là, pourquoi as-tu laissé faire puisque tu savais que tu ne devais pas, pourquoi as-tu laissé faire ? Ton rôle d’enfant c’était de l’empêcher.

P. 84 :
« … les enfants ont des désirs pour des adultes. Ils piègent les adultes à cause de ça. Ils n’ont que ça à penser, à provoquer l’adulte. Je suis sûr que dans les familles d’accueil ils doivent refaire le même grabuge qu’ils faisaient à la maison » …

P. 88 :
Q : A.R. : Et qu’est-ce que vous faites en tant que juge pour enfants ?
R : F.D. : On prévient l’enfant : « ça ne recommencera pas sans ça tu seras complice ».
Q : A.R. : Et le Père, qu’est-ce qu’on fait ?
R : F.D. : Eh, bien, le Père on lui dit la même chose …

Maintenant nous allons toucher le fond avec l’entretien suivant : de F. Dolto dans ce dossier : « Les enfants en morceaux » publié en 1979, N°44 de la revue « choisir la cause des femmes ».

F.D. : L’enfant martyr souffre moins que ses parents maltraitants … Une fille violée par son père est toujours consentante … C’est toujours la Mère qui fournit sa fille dans le lit de son Père …

Q : Donc, la petite fille est toujours consentante ?
R : Tout-à-fait.
Q : Mais enfin, il y a bien des cas de viol ?
R : Il n’y a pas viol du tout. Elles sont consentantes.
Q : Quand une fille vient vous voir et qu’elle vous raconte que dans son enfance, son père a coïté avec elle, et qu’elle a ressenti cela comme un viol, que lui répondez-vous ?
R : Elle ne l’a pas ressenti comme un viol. Elle a simplement compris que son Père l’aimait et qu’il se consolait avec elle parce que sa femme ne voulait pas faire l’amour avec lui.

Catherine Dolto (médecin pédiatre) se montrera troublée (au téléphone …) des documents présentés. Elle a d’ailleurs prétendu n’avoir jamais lu ces entretiens… mais Catherine Dolto est la gérante sur internet des archives de sa Mère Françoise Dolto … alors ?


Une conclusion :


Madame Françoise Dolto,

Vous souvenez-vous de vos visites en Seine-et-Marne dans un centre religieux avec votre mari Boris ? Vous y rencontrerez de nombreux lettrés, des doyens de facultés de médecine de Paris, des savants venus de l’étranger, des religieux et des moines chrétiens et hindous, et bien d’autres … Vous souvenez-vous ? C’était juste après la guerre, entre les années 1946 et 1957. Qu’en avez-vous retenu ?

Je doute fort que vos écrits, s’ils avaient été écrits à cette époque, auraient été acceptés et reconnus. Je suis même certain que l’on vous aurait demandé de ne plus remettre les pieds dans ce lieu saint.

Comprenez-vous ? Non ? Certes, vous n’aviez pas encore écrit vos ignominies dictées par le Satan qui occupera, à travers vos écrits, votre corps mental et le reste de votre curieuse existence. A la mort de Jacques Lacan qui jouait au maître Zen à l’époque de mai 68 ce fut bien la foire d’empoigne entre vous et d’autres de ses élèves. Il parlait du petit « a » et du grand « A » dans ses théories profanes. Avait-il oublié que le mot « âne » commence par « a » avec un chapeau pour cacher des oreilles d’âne ?

Quant à votre fils, le chanteur Carlos (mort à 65 ans en 2008), que lui serait–il donc arrivé s’il lui était arrivé quelque chose ? Considéré comme sympathique, il amusera et occupera la galerie, faisant rire pendant des années les imbéciles heureux du troupeau des moutons abêtis devant leur poste de TV française ; vulgaire, grossier, tartuffe, entre deux fiestas bien arrosées sur les Yachts luxueux au port de St Tropez avec Johnny Halliday & Co… Ah, ça y allait des meilleurs champagnes et le reste … Bien gros et gras, en chemise à fleurs, il devait gagner bien plus d’argent que vous avec la psychanalyse. Ce qui est heureux, au moins, c’est qu’il n’eut pas l’idée d’écrire autant d’âneries que vous. N’oubliez pas que vous avez laissé, par vos ouvrages, aux pervers narcissiques, un héritage particulier qui inspire ce jour même des tas de psychopathes politiques et autres de nos institutions ; sur le plan du karma donc du votre, vous n’étiez pas sans le savoir, ce n’est pas bon du tout …

Vous entendrez parler de la cosmologie hindou, je suppose ? Je ne sais pas si vous êtes « Renée » quelque part dans le monde des désirs du kâma-loka ? Si c’est le cas, peut-être estce sous la destinée d’une petite fille innocente au sein d’une famille équilibrée ? Aussi, si jamais vous veniez à être violée par votre nouveau Père, voici un simple conseil : connectez-vous à internet et cherchez les livres de Françoise Dolto. Je vous assure que vous ne le regretterez pas.

Avec toute mon absence de considération,

Prajñâ


vendredi, septembre 02, 2022

Le 21e siècle selon Schwab, sera religieux (religare), relié à l'Intelligence Artificielle


Les gourous laissent la place à l'IA.

Orchestrée par de riches prédateurs autoproclamés "maîtres du monde", une nouvelle religion (la Grande Réinitialisation) utilise la peur, la peur des "pandémies", de la guerre, de la paupérisation... pour s'imposer.

A l'instar des politiciens, journalistes, syndicalistes, médecins et tous les acteurs corrompus de l'opération Covid-19, les gourous de l'ancienne mouvance spiritualiste ne s'opposent pas au covidisme et à la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab. Ils se contentent de vendre leurs vieilles salades flétries en attendant leur récompense pour leur soumission au pouvoir occulte.

Un sage indien, Ramana Maharshi (1879-1950), disait de ces salades : « Les diverses écoles de philosophies, avec toutes leurs ramifications compliquées, prétendent clarifier les choses et révéler la Vérité. Mais en fait, elles créent une totale confusion là où devrait régner la simplicité. […]

Prenons l’école du Vedanta, par exemple. Elle enseigne qu’il existe quinze variétés de prana. On demande à l’étudiant d’apprendre leurs noms par cœur et de connaître leurs fonctions. L’énergie subtile ascendante est appelée prana ; quand elle descend on la nomme apana ; quand elle fait fonctionner les sens on lui donne un autre nom. A quoi tout cela peut-il bien servir ? Pourquoi vouloir classifier, attribuer des noms, énumérer des fonctions, etc. ? […]

La kundalini et les chakras n’ont d’existence que pour ceux qui débutent dans la voie du yoga ; mais pour celui qui pratique l’investigation intérieure, ils n’existent pas ».

Une offensive religieuse est en cours. Elle colporte les dogmes remaquillés de l’ancien monde spirituel. Par exemple, la vie éternelle de l'esprit libéré devient l'immortalité bio-numérique grâce à la convergence du numérique et du vivant des transhumanistes déments. 

Klaus Schwab, l'actuel président du Forum économique mondial, co-auteur de "COVID-19 - The Great Reset", explique que des puces d'interaction technologique seront intégrées dans le cerveau humain afin de le relier à l'intelligence artificielle (IA).  

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"Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas" : cette prophétie est souvent attribuée à André Malraux (1901 – 1976), écrivain et ministre de la culture (de 1959 à 1969) pendant la présidence de De Gaulle.



COVID-19 La grande réinitialisation, Klaus Schwab et Thierry Malleret.

Introduction :

" Invoqué ou non évoqué, le Dieu sera là, il est omniprésent". Telle était l’expression gravée dans la pierre que quiconque franchissant le seuil de la maison de Carl Gustav Jung pouvait apercevoir. Jusqu’à présent, nous nous sommes attardés à étudier la religion en tant que fait social présent dans toute société, avec sa dimension communautaire et ses répercussions culturelles. Nous allons désormais aborder une autre facette de la religion : celle de l’homme et de son lien individuelle à Dieu. Nous pouvons cependant nous demander si le psychologue, empiriste et spécialiste de la psyché humaine ne sort pas de son domaine de compétence en abordant l’étude de la corrélation entre l’homme et la religion, lien si personnel, intime et subjectif si nous le considérons sous l’angle de la vie spirituelle. Freud avait alors établi que dans un domaine où rien ne peut être prouvé ou démontré, la religion n’était que pur conditionnement de l’individu par l’environnement culturel, utilisée d’une part pour édicter des principes moraux et des règles de conduite et d’autre part afin de soulager et rassurer l’être humain face à des interrogations insolvables souvent effrayantes. De plus, alors que la plupart des scientifiques ont reconnu aujourd’hui les limites de la science quant aux phénomènes métaphysiques tels que les grandes questions théologiques, Jung, psychologue des profondeurs de l’âme humaine s’attèle à ce " problème " religieux et va tenter de démontrer ce rapport très fort de l’homme au sacré, rapport dont il est le premier convaincu. ..."

PDF gratuit ICI


jeudi, septembre 01, 2022

Soyez en sûr, le nouvel ordre mondial ne prévaudra pas !



Sa fureur dévastatrice qui voudrait réduire la population mondiale à un ½ milliard d’êtres humains ne prévaudra pas.
Sa haine pour la vie d’un être et pour la vie qui est en train de s’éteindre ne prévaudra pas.
Son plan tyrannique ne prévaudra pas.


Mgr Vigano : Le Grand Reset est une religion.


Satan au Vatican


Le 14 août 2022, la veille de l’Assomption, l’Archevêque Mgr VIGANO fera sa conférence devant des moines Capucins, Dominicains et des laïcs chrétiens sur le « Great Reset et le nouvel ordre mondial ». Il faut en l’entendant pouvoir passer du sens symbolique au sens métaphysique, ce qui n’est pas évident. Italien, il prouve ici sa grande maîtrise de la langue française au service d’une pensée limpide et cristalline. Le témoignage synthétique de Mgr VIGANO diffusé aussi sur internet s’adressera par ailleurs au plus grand nombre à instruire et à réveiller. Dans l’urgence actuelle c’était la meilleure chose qu’il pouvait offrir à son prochain pour lui permettre d’élever son niveau de conscience et l’aider ainsi à pouvoir sortir de la peur dans l’instinct de troupeau. Mgr VIGANO ne pouvait faire autrement que de transmettre aussi son message à tous dans la propre terminologie catholique de sa Tradition qu’il protège.

Beaucoup sont déjà les futurs adeptes de cette autre religion du « climatisme » qui accompagnera celle du « covidisme » en déclin probable, mais sans certitude. Ils auront du mal à comprendre qu’ils ont été trompés. Non seulement ils refuseront de comprendre dans le déni par besoin de cohérence avec eux-mêmes, d’y réfléchir, mais ils ne le peuvent déjà plus ou si peu du fait des dégâts irréversibles de la propagande incessante sur leur équilibre psychique en rétroaction constante avec leur cœur maintenant déséquilibré et égaré, aussi du fait des effets physiologiques neuronaux prouvés des injections sur leurs cerveaux et sur leur système immunitaire naturel en voie de destruction. C’est ainsi que la servitude volontaire s’affirme par ignorance, négligence, indolence, légèreté, chez ceux qui ne vivent qu’en obéissant à l’invraisemblable, aussi par leur vouloir-ignorer qui les conduit au pire s’ils ne peuvent quitter le troupeau.

Prajñâ

14 août 2022
Propos de Monseigneur l’Archevêque VIGANO


Quand l’être humain agit, il agit en vue d’une fin. Son action, ce qu’il fait, représente un moyen ordonné à une fin qui peut être moralement bonne et mauvaise. L’action procède de la volonté. Elle naît de la pensée qui est acte de l’intelligence. Ce que nous faisons est déterminé par qui nous sommes. L’ensemble de nos facultés : mémoire, intelligence et volonté. La scolastique résume parfaitement le concept en trois mots : « personne n’agit sans but », et même ce qui se passe sous nos yeux depuis plus de 2 ans maintenant est la conséquence d’un ensemble de causes concomitantes qui présuppose une pensée initiale, un principe informateur pour ainsi dire. Et quand nous réalisons que les raisons qui nous sont données pour justifier les actions entreprises n’ont aucun caractère rationnel, cela signifie que ces raisons sont des prétextes, des fausses raisons qui cherchent à cacher une vérité inavouable. Telle est la façon de procéder du malin. Quand il nous tente, il nous fait croire qu’il est notre ami, qu’il se soucie de notre bien. Tout comme le bonimenteur de foire, le diable nous propose ses trouvailles miraculeuses, c’est le désir de bonheur et de richesse pour la somme modique de notre âme immortelle (vendre son âme au diable) ; mais cela, comme un escroc, il omet de le dire bien sûr. Tout au plus, il l’écrit en petits caractères dans les clauses du contrat. Tout est mensonge quand il s’agit de Satan. Les prémisses sont fausses : « votre Dieu vous opprime avec de nouveaux préceptes », les promesses sont fausses : « vous pouvez désirer et obtenir ce que vous voulez » ; et tout est mensonge également quand les serviteurs de Satan s’organisent pour établir la « dystopie » du nouvel ordre mondial. Et bien, puisque nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les conspirateurs du Great Reset nous disent clairement quel est leur objectif final, puisqu’il s’agit de quelque chose d’inavouable et criminel, nous pouvons néanmoins reconstruire ce qui dans leur pensée guide leurs actions en connaissant les principes qui inspirent leur agir et en les étayant avec leurs propres mots, et nous sommes également capables de comprendre que les raisons données ne sont que des prétextes. Or, justement, les prétextes, tels qu’ils sont présentés, démontrent la malice et la préméditation, car si leur projet était honnête et bon, ils n’auraient pas besoin de le déguiser avec des excuses illogiques et incohérentes.

Mais qu’est-ce que le Grand Reset ?

C’est l’imposition forcée d’une 4e révolution industrielle qui conduira le système économique et social actuel à l’implosion et permettra par un appauvrissement général et une réduction drastique de la population, la centralisation du pouvoir entre les mains d’une élite aspirante à l’immortalité et à la domination du monde.

Ils voudraient nous réduire à une masse amorphe de clients-esclaves confinés dans des boxes et perpétuellement connectés au réseau ; à travers le Great Reset ils veulent « effacer » la société chrétienne occidentale afin d’instaurer une synarchie libérale communiste sur le modèle de la dictature chinoise à laquelle toute la population est contrôlable et manœuvrable à volonté.

Dans une société inspirée même en partie seulement par les valeurs du Catholicisme, les groupes de pouvoir financiers et l’élite du nouvel ordre mondial n’auraient pas leur place. Mais cela ne doit pas nous laisser croire que leur opposition à la société Chrétienne est une motivation simplement économique et politique. En réalité, ce qui déclenche cette haine c’est qu’il puisse exister même dans le point le plus reculé de la planète une alternative possible à la « dystopie mondialiste », un monde dans lequel l’employeur peut honnêtement payer ses employés, dans lequel l’état impose des impôts raisonnables aux citoyens, dans lequel les œuvres de charité rendent les services gratuitement et sans spéculation, dans lequel l’innocence des enfants est respectée et la « propagande LGBTQ » n’est pas autorisée, un monde dans lequel le règne social de Jésus-Christ se montre non seulement quand il est possible mais comme la meilleure forme de société administrée pour le bien commun et pour la gloire de Dieu. La simple existence d’un terme de comparaison est un désaveu brûlant de la tromperie mondialiste, montrant son horreur et son échec. Les mensonges sur la nécessité des confinements sont désavoués par l’évidence que là où ils n’ont pas été adoptés les cas de maladies graves ont été moins nombreux que lorsque des fermetures et des couvres feux ont été imposés. Les mensonges sur l’efficacité du sérum génique sont démystifiés par les cas de réinfections des triples vaccinés, des effets indésirables graves et des morts subites. Les mensonges sur le peuple souverain et les droits inviolables de la personne ont été démentis par des règles absurdes, des normes inconstitutionnelles, des lois discriminatives dans le silence du pouvoir judiciaire. Même le terme de comparaison constituée par la messe de toujours rendait impossible de préférer sa contrefaçon. C’est pourquoi l’église Bergonienne veut en empêcher la célébration, et en éloignant les fidèles, dans ce cas, aussi pour nous imposer cette horreur. On a eu recours à la tromperie disant aux fidèles que la messe apostolique était incompréhensible et qu’il fallait la traduire et la simplifier afin que les fidèles en apprécient mieux la signification. Mais c’est un mensonge. Et s’ils nous avaient expliqué que leur but est exactement le même que celui que les hérétiques protestants s’étaient fixés, c’est-à-dire de détruire le « Cœur » de l’église catholique, nous serions allés les chercher avec des fourches à la main. Le monde globaliste ne tolère donc pas les comparaisons. Il exige cette exclusivité qu’il dénonce avec horreur dès lors que ce n’est pas lui qui le revendique. Il déchire ses vêtements sur le pouvoir temporel de l’église avec la complicité des pères formateurs hérétiques puis exigent une obéissance absolue et irrationnelle du dogme qu’ils proclament depuis Davos ou Bruxelles. Il célèbre la liberté d’expression et de presse qu’il finance généreusement mais ne tolère ni la dissidence ni la vérité qu’il cherche à rendre tout simplement inaccessible et invisible. Et encore, le monde globaliste n’a pas de passé à nous montrer pour confirmer la grandeur de ses idées, de sa philosophie et de sa foi. Inversement, il vit de la falsification de l’histoire, de l’effacement du passé, de son élimination chez les nouvelles générations afin qu’il n’y ait personne qui devant la Cathédrale de Chartres soit capable de reconnaître les images du Christ et des Saints, afin que personne ne sache que dans la Sainte Chapelle était conservée l’ampoule du St Chrême (onguent) portée par un ange pour consacrer les Rois de France, afin que personne ne puisse reconnaître leurs gestes, ne trouvent leurs tombes, ne comprennent les trésors de l’art et de la littérature qui ont fait la grandeur des nations catholiques. L’effacement de la culture révèle la radicale inconsistance ontologique du mondialisme face à la splendeur de la civilisation chrétienne.

Le monde globaliste n’a pas d’avenir …

… ou plutôt l’avenir qu’ils entendent nous réserver est le plus sombre, le plus terrifiant que l’esprit humain puisse concevoir. L’avenir qu’ils nous présentent est faux, irréalisable. « Je n’ai pas de maison, je ne possède rien et je suis heureux » tentent de nous convaincre Klaus Schwab et les promoteurs de l’agenda 2030. Mais leur but n’est pas de nous rendre heureux, qui ponctuellement n’arrivera pas, bien sûr, mais de nous confisquer nos maisons et nos biens. Quand ils nous parlent de pacifisme et de désarmement, ce n’est pas parce qu’ils veulent la paix, mais parce que, étant désarmés et sans idéaux, nous nous laisserons envahir et dominer sans réagir. Ils ne veulent pas que nous accueillions, intégrions réellement les notions d’autres cultures et religions, mais ils veulent créer les prémisses du désordre social et la conséquence de la disparition de nos traditions et de notre foi. Quand ils nous parlent de résilience, ils ne nous disent pas qu’ils nous protègeront des sinistres qui nous menacent mais que nous devons nous résigner et les absorber sans protester. Quand ils nous accusent d’extrémisme ou de fondamentalisme, c’est seulement parce qu’ils savent que les fidèles et les citoyens aux idéaux nobles et saints peuvent résister et organiser une opposition et rependre la dissidence.

Et lorsqu’ils nous imposent une « inoculation » de masse avec un sérum génique dépourvu d’efficacité mais aux nombreux effets indésirables, graves et mortels, ils ne le font pas pour notre santé mais pour « modifier notre ADN » et nous rendre malade chronique avec un système immunitaire définitivement compromis et une espérance de vie inférieure à celle des personnes en bonne santé (dont les non-vaccinés : c’est nous qui le rajoutons) et pour introduire dans notre organisme, comme nous l’avons appris dans la plainte récemment déposée par maître Carlo-Brusa, des « nanoparticules » ressemblant au « graphène » et capables de nous rendre géo–localisables, militaires compris. Ne vous attendez jamais à la vérité de la part des partisans du Great Reset car là où il n’y a pas de « Christ » il ne peut y avoir de vérité. Et nous savons combien ils ressentent de la haine pour notre Seigneur, une haine qu’il ne peuvent plus cacher, qu’ils exhibent dans le spectacle des inaugurations des évènements européennes. Pensons à l’inauguration du tunnel de St Gothard en Suisse, aux jeux olympiques de Londres en 2012 et tout récemment à l’inauguration des jeux du commonwealth of nations à Birmingham [le lecteur peut retrouver ces inaugurations sur internet effectivement démoniaques dont celle de Londres en 2012 qui anticipait par son spectacle le futur Covid 19 et les injections !] … Une haine qu’ils exhibent dans des recommandations de ne pas célébrer Noël, de ne pas utiliser des noms Chrétiens pour nos enfants. Leurs haines deviennent meurtrières lorsqu’ils théorisent l’avortement comme un droit de l’homme cachant son atrocité derrière l’expression hypocrite de « santé reproductive » parce que c’est la vie qu’ils détestent dans laquelle ils voient l’image et la ressemblance de ce Dieu qu’ils ont perdu à jamais. Cette image et cette ressemblance sont beaucoup plus profondes qu’on ne le croit.

Elles consistent en la dimension trinitaire de l’homme avec ses facultés qui se réfèrent aux trois personnes divines : la MEMOIRE : le Père, l’INTELLIGENCE : le fils, la VOLONTE : l’Esprit saint [« Spiritus » dans l’ancienne tradition occidentale quasi disparue : Corpus–anima/animus –Spiritus ; dans la tradition de la Grèce antique : Soma – psukhé - Noüs]. Et tout comme dans la très sainte Trinité, l’Esprit est l’Amour qui procède du Père et du Fils, de même chez l’homme, la Volonté est la faculté qui provient de la Mémoire des choses passées et de leur compréhension des choses présentes.

Ce n’est pas un hasard si dans un renversement du monde contemporain l’homme se retrouve privé de ses souvenirs, de son histoire, de ses traditions.

Pensez à la « cancel culture : culture supprimée » et aux demandes de pardon des actions de notre passé falsifié ou déformé. On se retrouve incapable d’exprimer un jugement critique. Pensez à la « DISSONANCE COGNITIVE » générée par la « psycho-pandémie » et incapable d’ordonner sa Volonté en la subordonnant à l’Intelligence. Pensez à l’incapacité de réagir face au mal imposé ou au bien dont nous sommes privés. La société moderne avec sa fable concernant la démocratie nous a appris à penser que nous pouvons éventuellement être catholique, être même traditionnaliste tant que nous ne remettons pas en question le fait que l’égalité des droits est reconnue à quiconque. Il faut respecter les idées des autres nous disentils ! Mais dans la sphère métaphysique, dans l’éternité de Dieu. Cette bataille entre le bien et le mal n’a rien de profane ou d’œcuménique. Elle est Réelle comme réelles sont des armées déployées : celles de Dieu et celles du Diable. Les anges du paradis et les esprits apostats de l’enfer n’ont rien à faire de l’irénisme conciliaire. Ils mènent une bataille dans laquelle il faut arracher autant d’hommes que possible à l’adversaire. Les saints qui intercèdent pour nous n’ont pas lu Frattelli Tuti (3ième encyclique du Pape François en 2020 …) et la balance de St Michel n’est pas calibrée sur le monde du cas par cas, l’éthique de la situation d’un Jésuite hérétique sur les contorsions pastorales du chemin synodal. Cessons d’être politiquement correcte. Toujours pris par la crainte que nos convictions puissent déranger les consciences sensibles de ceux qui n’hésitent pas à déchirer une créature sans défense dans le sein de sa mère ou à étouffer les personnes âgées et les malades dans leur sommeil. Nous avons trop souvent été silencieux face à des choses qui ne devraient même pas être mentionnées, de la « normalisation des vices » aux transgressions les plus dégradantes. Pourtant, en tant que catholiques nous devrions savoir que Dieu est vivant en dépit des athées, que le Christ exerce les titres de souveraineté sur nous en tant que créateur et rédempteur, en dépit des libéraux. Si nous ne sommes pas persuadés de ces réalités nous ne pouvons même pas comprendre l’action de l’ennemi qui est parfaitement conscient de ces réalités. Si nous ne sommes pas persuadés de ces réalités nous ne donnerons aucun exemple crédible à ceux qui par nos paroles et nos actions pourraient ouvrir les yeux et seront dociles à la grâce. Il est difficile de croire les modernistes qui par leurs comportements dépourvus de charité (et d’amour) désavouent leurs vains discours. Il est impossible de croire ceux qui vous demandent de manger des sauterelles et des cafards pour sauver la planète lors qu’ils se nourrissent de précieux morceaux de bœuf de Kobé (jusqu’à 400€ le Kg), ou d’abandonner la voiture diesel alors qu’ils se déplacent en Jet privé. Il y en a eu des centaines à Davos lors du sommet du World Economic Forum. Nous devons redécouvrir cette dimension de réalisme et d’objectivité qu’ils nous ont fait perdre pas à pas où dont ils nous ont appris à avoir honte. Nous sommes Militer Christi, soldat du Christ appelé à combattre un ennemi qui voudrait nous frapper dans le dos ou nous faire déserter lâchement.

Parce qu’il sait que lorsque nous combattons ouvertement, derrière nous il trouve la vierge immaculée (aussi éternel féminin de la mystique), cette Mère qui est l’ennemie des tests (Covid) dans toutes les mères de la terre, cette épouse de l’agneau qu’ils vilipendent en attaquant le caractère sacré du mariage et des vertus domestiques, cette femme que le serpent humilie en défigurant la féminité et en imposant une parodie obscène. La doctrine mondialiste est essentiellement satanique parce qu’elle est l’application sociale et globale la plus directe, la plus implacable de la rébellion de Satan. Nous y trouvons cet « hybris », ce fol orgueil de se croire comme Dieu et usurpe les attributs divins [c’est ce que dira le psychopathe Dr Laurent Alexandre, un eugéniste, devant l’école polytechnique : Vous êtes des dieux, les autres sont des inutiles ! En psychiatrie est nommé le syndrome de Dieu qui caractérise celui qui se prend pour Dieu] qui conduit aujourd’hui la science à nier sa vocation au service du bien pour la mettre au service du nouvel ordre mondial pour accomplir avec le progrès technologique ce qui était impensable : effacer la séparation entre l’homme et la machine, entre son Esprit et l’intelligence artificielle. Il n’est donc pas surprenant que le « Trans-humanisme » est l’un des points essentiels de l’agenda 2030, derrière ce projet fou de mettre la main sur la création et même de doser et altérer le sanctuaire de la conscience dans lequel seul Dieu descend avec sa grâce. Derrière ce plan de violer l’être humain pour le rendre plus performant, il y a encore une aberration doctrinale, un mensonge opposé à la vérité de Dieu : créer un être immortel comme certains le voudraient. Et la réédition technologique d’un délire infernal à la base duquel se trouve la présomption de pouvoir effacer dans l’homme les conséquences du péché originel. L’arbre d’Adam a apporté la mort et la maladie, la tromperie du Trans-humanisme promettant l’immortalité et la santé. Là où il a conduit à l’affaiblissement de l’intelligence et aux mauvais penchants de la volonté, la fraude de l’homme machine promet l’accès à la connaissance et la possibilité d’être en soi-même sa propre loi. Là où le péché a conduit à la fatigue du travail, à la guerre et aux épidémies, la « DYSTOPIE » mondialiste promet un revenu universel, la paix et la prévention de toutes les maladies ; mais la mort, la maladie, l’affaiblissement de l’intelligence et le mauvais penchant de la volonté, la fatigue du travail, les guerres et les épidémies, sont la juste punition de l’offense impunie que toute l’humanité dont ses progéniteurs a causée à la majesté de Dieu en lui désobéissant. Celui qui s’illusionne, croyant qu’il n’y a pas de conséquences à cette désobéissance ne veut pas accepter sa déchéance ni reconnaître l’œuvre de rédemption de Jésus-Christ qui est venu sur la terre et est mort sur la croix pour nous racheter du jeu de Satan. C’est là que réside la véritable perspective théologique à partir de laquelle, considérer la crise de la société et de l’église.

Le délire du Trans-humanisme ne vise pas à rendre la course de l’athlète plus rapide ou la visée du soldat plus précise mais à corrompre l’homme dans le corps après l’avoir frappé dans l’âme (cœur). Satan ne se résigne pas à la défaite, d’autant plus terrible qu’en elle a resplendit l’obéissance de notre Seigneur au Père éternel en opposition à l’orgueil du luciférien.

Et si Dieu par le chemin de la grâce vient à toucher les âmes et à les ramener à lui, les restituant à la vie éternelle, Satan s’acharne aujourd’hui sur les corps pour contaminer l’œuvre du créateur et défigurer la créature. Son œuvre dévastatrice s’étend réellement au reste de la création avec des résultats abominables qui prétendent rivaliser avec la magnificence de Dieu. Tel est le combat entre le bien et le mal qui depuis la création d’Adam inclut également les êtres humains appelés à choisir dans quel camp se ranger.

Parce ce que la neutralité est déjà une alliance avec ceux qui méritent la défaite. Nous savons à quel point l’ennemi du nouvel ordre mondial est puissant et quelle est son organisation. Nous savons aussi ce qui le meut et ce qu’il veut accomplir. Mais c’est précisément pour cette raison que nous savons que ces victoires ne sont qu’apparentes et vouées à l’échec. Et que notre devoir dans cette guerre déjà gagnée par le crucifié, c’est de choisir dans quel camp nous nous rangerons pour combattre. Comprendre qu’il peut y avoir des personnes vouées au mal qui choisissent délibérément de se ranger du côté de Lucifer contre Dieu est le premier pas à faire si nous voulons résister. Ils « testent » le coup d’état en cours. Ces personnes constituent d’une certaine manière le corps mystique de Satan et agissent pour propager le mal dans le monde et effacer le nom du Christ, tout comme le corps mystique du Christ qui est l’église agit dans la communion des saints pour propager la grâce et glorifier le nom de Dieu.

Encore une fois, si nous pensons que l’urgence pandémique a été gérée par des gens incompétents et non par des exterminateurs iniques, nous sommes complètement sur la mauvaise voie, tout comme nous le sommes si nous croyons que nos dirigeants ne sont pas soumis à cette élite de criminels, d’usuriers et de subversifs, alors qu’ils ont fait carrière grâce à eux.

Il fut un temps où il était normal que le sujet d’un Royaume chrétien vive conformément aux commandements divins dans lequel soit interdit l’avortement, le divorce, la sodomie, l’usure. Ce monde, grâce au travail lent et patient des conspirateurs a été remplacé par celui qui n’est pas un corps complètement le leur dans lequel règne des pouvoirs qui le tirent de leur légitimité, ni de Dieu, ni du peuple. Ces pouvoirs empêchent ce qui était auparavant encouragé et récompensé et encouragent ce qui était interdit et puni. Le Règne du Christ est remplacé par l’antéchrist. Ainsi, le vrai, le bien et le beau (concerne aussi les comportements) sont expressions théologiques des perfections de Dieu.

Dans la république mondialiste, le faux, le mal et le laid, en sont les manifestations les plus évidentes, au point de pouvoir devenir la norme générale loin de l’état d’un précepte moral auquel il faut se conformer ; même dans ce cas, si vous y prêtez attention, une autre tromperie est proposée à nouveau : celle selon laquelle la tyrannie des souverains et du clergé justifiée par la superstition papiste aurait été remplacée par les gouvernements du peuple sous les hospices de la raison. Aujourd’hui, nous voyons à quel point le Léviathan mondialiste, le « sanhédrin (tribunal composé de 71 prêtres qui jugèrent et condamnèrent Jésus) Bergolien » sont tyranniques, unis par le fait d’avoir régné et trahi leurs rôles de dirigeants de l’état et de pasteurs de l’église.

Chers amis, votre tâche comme celle de beaucoup de gens de bonne volonté accomplie dans d’autres nations est une tâche sacrée et très importante. C’est la tâche de reconstruire, de restaurer, d’édifier exactement le contraire de ce que les adeptes du diable savent faire, capables seulement de détruire, de démolir, d’accumuler des décombres. Et pour reconstruire, il faut repartir des fondations qui sont le fondement de l’édifice social en plaçant le Christ comme pierre angulaire, comme clé de voute.

Rappelez-vous que cette génération perverse et corrompue n’a pas d’avenir.

Elle est victime de sa propre cécité et de sa propre stérilité, de sa propre incapacité à générer. Parce que donner la vie est une œuvre divine et cela s’applique autant à la vie du corps qu’à celle de l’âme. Tandis que le diable n’est capable que de donner la mort et avec elle le sourd désespoir, l’âme est arrachée à sa fin ultime et suprême qui est Dieu.

Soyez en sûr. Le nouvel ordre mondial ne prévaudra pas.

Sa fureur dévastatrice qui voudrait réduire la population mondiale à un ½ milliard d’êtres humains ne prévaudra pas.

Sa haine pour la vie d’un être et pour la vie qui est en train de s’éteindre ne prévaudra pas.

Son plan tyrannique ne prévaudra pas.

C’est la privation du bien qui nous fait comprendre ce qui nous a été enlevé pour que nous trouvions la détermination, la force de nous battre, de résister.

L’apostasie qui afflige la hiérarchie catholique devenue servante du monde ne prévaudra pas non plus.


Les semeurs de discordes et d’erreurs qui infestent nos églises, s’éteindront inexorablement. Derrière la fausse promesse du printemps conciliaire il y a toujours la fraude et la malice du menteur.


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Question : Excellence, Vatican 2, a eu lieu il y a plus de 60 ans, la destruction de la liturgie il y a 50 ans, Assise il y a presque 50 ans ; après 60 ans de désastres religieux et politiques où tout a été détruit, où les catholiques fidèles sont méprisés, voire injustement condamnés, vous devenez à 80 ans passés un anti-conciliaire acharné. Pourquoi n’agissez-vous que maintenant ?

Réponse : J’ai eu l’occasion de témoigner dans mes interventions passées de ce qui a été mon parcours de prise de conscience progressive de la crise qui afflige l’église catholique et des causes profondes de l’apostasie actuelle. Comme je l’ai dis alors, mon engagement dans le service diplomatique du Saint-Siège, d’abord comme jeune secrétaire dans les Représentations Pontificales en Irak et au Koweit, puis à Londres à la Secrétariat d’état, et ensuite comme chef de Mission à Strasbourg au conseil de l’Europe ; puis comme Nonce Apostolique au Nigéria ; et de nouveau à la Secrétariat d’état en tant que Délégué pour les Représentations Pontificales, puis comme Secrétaire Général du Gouvernorat et enfin en tant que Nonce Apostolique aux Etats-Unis, mon engagement – je disais – au service du Saint-Siège, que j’ai essayé d’exercer avec dévouement en y consacrant la totalité de mon temps et de mes forces, m’a complètement absorbé rendant pratiquement impossible une réflexion approfondie des événements qui se déroulaient dans l’église. Cela ne m’avait cependant pas empêché de nourrir des forces intérieures et même des critiques par rapport aux « nouveautés » introduites après le concile.

Je pense particulièrement aux graves abus liturgiques, à la crise de la vie religieuse, je pense au panthéon d’Assise, aux déplorables demandes de pardon pour les croisades, par exemple, pendant le Jubilé de 2000. Je pense aussi à ce que j’avais pu percevoir comme jeune étudiant à l’Université Grégorienne à Rome. Je percevais que tout cela découlait de principes nouveaux posés par le concile. Mais ce n’est que beaucoup plus tard, devant les gravissimes scandales de l’alors Cardinal McCarrick et de tout son réseau homosexuel ; et, durant les scandales plus graves encore de BERGOGLIO, le lien intrinsèque entre la corruption doctrinale et la corruption morale m’est apparue en toute son évidence, ainsi que les causes profondes de la crise qui sévit depuis des décennies dans l’église, engendrées par la révolution conciliaire.

Et je n’ai pas pu garder le silence.

La catastrophe était prévisible dès le début. Mais comme je l’ai expliqué, nous avions été formés - Dans notre formation au ministère sacerdotal et encore plus dans celle en vue du service diplomatique – à considérer impensable que le Pape et l’ensemble de la hiérarchie catholique pouvaient abuser de leur autorité en l’exerçant pour un but contraire à celui que Notre Seigneur a voulu pour son église. Nous avions été éduqués à ne pas mettre en question l’autorité des Supérieurs. Et cela a été exploité par ceux qui, justement en exploitant notre obéissance et notre amour pour l’église du Christ, nous ont lentement, pas à pas, conduits à l’acceptation de nouvelles doctrines, étrangères à celles que la Sainte église avait toujours enseignée, surtout en ce qui concerne l’œcuménisme et la liberté religieuse. D’ailleurs, de même que dans l’église, la « DEEP Church » s’est étendue par degrés vers la dissolution du corps ecclésial, de même que dans la sphère civile le « Deep state » s’est développé de manière je dirais similaire par une infiltration progressive atteignant les formes tyranniques du Nouvel Ordre Mondial du World Economic Forum et de l’Agenda 2030. Dans ce cas également on pourrait se demander : pourquoi les citoyens ne se sont-ils pas rebellés contre la subversion de l’état par des séditieux qui ont pris le pouvoir dans le but de détruire les institutions qu’ils auraient dû servir en vue du bien commun ? Beaucoup répondraient : Nous ne pouvions pas imaginer leurs desseins pervers, leur projet de faire de nous des esclaves d’un système inique. Nous ne pouvions pas croire que quand ils parlaient de démocratie ou de souveraineté populaire, ils voulaient nous soumettre progressivement à un pouvoir totalitaire radicalement antichrétien. Je considère que le fait de n’avoir pas compris hier la nature du processus révolutionnaire en cours, pouvait être excusable.

En revanche, ne pas comprendre aujourd’hui est irresponsable et fait de nous les complices d’un coup d’état mondial dans les choses temporelles et de l’apostasie dans la sphère ecclésiale.

Remercions donc ceux qui bien avant nous, de leurs voix prophétiques ont lancé l’alarme sur la menace qui pesait à la fois sur la société civile et sur l’église catholique.

Question : Que pensez-vous de Mgr Lefebvre et de son combat, particulièrement dans son acte si controversé tels les Sacres de 1988 ?

Réponse : Je ne puis que regarder Mgr Lefebvre qu’avec admiration et beaucoup de gratitude pour sa fidélité et son courage. Un courage et une fidélité à toute épreuve face à tant d’adversité et d’hostilité, et même d’acharnement de la part d’une hiérarchie gagnée aux idées de la modernité et infiltrée par les partisans maçonniques d’un projet de destruction capillaire sans précédent, dont nous réalisons aujourd’hui toute la portée dévastatrice de ses extrêmes conséquences. Mgr Lefebvre doit être regardé comme un saint homme, non comme un schismatique, comme un fervent missionnaire et un confesseur de la foi, un zélé défenseur de la Tradition, du Sacerdoce et de la Messe catholique. Il s’est exposé à de grandes sanctions, jusqu’à l’excommunication, parce qu’il estimait plus juste de devoir obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes, de garder et transmettre la Tradition plutôt que d’embrasser les doctrines modernistes. Sa vie est marquée par la piété, l’esprit de sacrifice, le sens du devoir, la droiture de la conscience et par une grande cohérence intérieure. La sienne est une vie donnée à Dieu et à l’église, dévouée au service des âmes, à l’évangélisation, à l’enseignement et à la prédication de la Sainte Doctrine, à la célébration du Saint Sacrifice de la Messe et à la formation de jeunes hommes appelés au Sacerdoce. Une vie qui est toute entière un témoignage rendu à la Solidité de la Foi que nous ont transmis les Apôtres, les Pontifes, les conciles et les Saints Docteurs de la Foi et pour laquelle les martyrs ont versé leur sang. Certains jugent les Sacres de 1988 comme « un pas de trop », d’autres y reconnaissent une nécessité vitale pour la sauvegarde de la Messe de toujours. Mgr Lefebvre a saisi l’urgence du temps que nous vivons et le drame d’une situation qui s’est encore aggravée et a pris de nouveaux accents de gravité durant ces dernières années, rendant plus évident l’état d’exception dans lequel nous nous trouvons. Certains parlent de désobéissance, nous parlons de fidélité. Mgr Lefebvre a continué d’enseigner et de faire ce que la Sainte église a toujours fait et enseigné. Il s’est opposé au libéralisme, à la destruction de la Messe et de tout l’édifice liturgique de l’église, à la ruine du Sacerdoce, de la vie religieuse et des mœurs chrétiennes. Je le redis : certains parlent de désobéissance ; nous, nous parlons de fidélité.

L’Alliance anti mondialiste est un appel que j’ai lancé en novembre 2021, conscient de la très grave menace, sans précédent qui pèse sur l’humanité entière à cette heure de l’histoire, conscient aussi de l’urgence de constater partout un front de résistance visant à contraster le coup d’état planétaire orchestré par une élite puissante en vue de l’établissement d’un nouvel ordre mondial inhumain et anti–christique. Je n’ai jamais eu la prétention de devenir le leader d’un mouvement ni d’assumer son organisation. Tel un semeur, j’ai jeté aux 4 Vents la semence, afin qu’elle soit sagement recueillie et qu’elle puisse fructifier. Je ne saurais mesurer l’état de sa germination. La situation actuelle, tant au niveau des différentes nations que sur l’échiquier international est très mouvante, sombre et difficile à déchiffrer. Nous savons seulement que nous devons nous préparer intérieurement aux événements qui nous attendent.

Une chose est certaine, il est impossible de résoudre la crise civile et ecclésiale dans laquelle nous sombrons avec des moyens humains. Recherchons d’abord le Royaume de Dieu et sa Justice, et tout le reste nous sera donné par surcroît.

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Notre Conclusion :

Au-delà de tout syncrétisme, nous considérons les Propos de Mgr VIGANO comme essentiels et particulièrement salutaires. Ils se rapportent à une Tradition ancienne d’un christianisme en voie de disparition mais qu’il protège avec ardeur.

En Orient il est dit : « Tout ce qui est bien dit est Dharma ». « Les faux billets attestent toujours des vrais ». Et, tirée du Samyutta-Nikâya du Canon Pâli : « La disparition de la bonne loi n’a pas lieu tant qu’une contrefaçon de la bonne n’apparaît pas dans le monde. C’est lorsque la contrefaçon de la bonne loi apparaît dans le monde que la bonne loi disparaît ». N’est-ce pas ce que Mgr VIGNANO nous dit ?

Prajñâ


mercredi, août 31, 2022

La plante qui fait les yeux émerveillés





L'extrême religiosité des Indiens d'Amérique — de la frontière canadienne au Guatemala — les a conduits à sacraliser les plantes et, parmi celles-ci, à déifier un cactus : le peyotl.

Par les étranges manifestations visuelles, les successions d'images fantastiques qui semblent « libérer » l'esprit de l'homme et le conduire dans un monde que l'on pourrait confondre avec le ciel, le peyotl s'identifia rapidement, pour les Indiens, à une entité divine et bientôt s'associa au rite solaire. Rien d'étonnant quand on connaît les étroites relations qui existent, malgré les distances, entre les Indiens d'Amérique du Nord et ceux d'Amérique centrale et leurs théogonies communes. Aux croyances qu'ils partagent — comme les Tarahumaras, habitants des hautes terres mexicaines, et, entre autres tribus, les Hopis. les Algonquins, les Apaches, les Sioux, etc., d'Amérique du Nord —, s'ajoute chez eux, confusément sans doute, cette perception d'une très lointaine origine ethnique commune à eux tous :

« Des quatre tribus mexicaines, écrit A. Rouhier, Huichols, Coras, Tepehuanes et Tarahumaras — parlant la langue nahuatl ou aztèque, ayant conservé du peyotl un souvenir vivace et célébrant pour lui d'importantes cérémonies religieuses —, les trois premières semblent avoir une commune origine. Elles paraissent avoir été du nombre de celles qui, après avoir émigré d'une contrée lointaine et fabuleuse, errèrent longtemps à travers les arides steppes des tierras frias et vinrent, sous la conduite d'un grand chef qui leur donna des lois, former l'immense et florissant empire du Nayarit. »

Chez les anciens Mexicains, selon le Père Barnadino de Sahagun, au XVe siècle, les Chichimèques faisaient une importante consommation du peyotl. En revanche, le Dr Cardenas, à la même époque, déclarait que ce cactus privait de tout jugement le misérable qui en faisait usage, et lui faisait connaître des démons, des fantômes, « toutes choses qui étaient les marques de la ruse de Satan ». Mais le peyotl était et est encore utilisé comme agent préservatif et curatif de toutes les maladies. Infusé, il devient aussi une liqueur reconstituante. Céleste ou démoniaque, curatif ou délirant, on comprend que le peyotl soit entouré depuis toujours d'une aura de scandale et de mystère.

Michel Hérubel


Une étude extrêmement complète sur le peyotl, ce bouton de cactus aux vertus onirogènes. L’auteur étudie l’origine géographique et botanique du peyotl, son culte au Mexique, ainsi que la chimie, la pharmacologie et les possibilités thérapeutiques.

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BONUS


"En Bolivie orientale, les chamans du Tanaca utilisent l'ayahuasca (yagé) pour atteindre la transe, et le tabac comme arme magique contre les mauvais esprits. Dans le nord du Pérou, le tabac liquéfié est encore un ingrédient essentiel de la médecine populaire, conjointement avec le cactus hallucinogène San Pedro. Même dans une société aussi totalement adonnée à une seule plante psychédélique comme l'est celle des Huicholes avec le peyotl, le tabac joue un rôle crucial, non seulement dans la guérison chamanique, mais encore dans les rites peyotiques. Dans les Codex, on reconnait les prêtres aztèques à ce qu'ils ont avec eux un petit sac à tabac. Aujourd'hui encore, la blague à tabac est l'insigne du chercheur de peyotl, et elle est traitée avec le plus grand respect durant toute la pérégrination."

Johannes Wilbert, "Le tabac et l'extase chamanique chez les Indiens Warao du Venezuela". PDF gratuit ICI.


mardi, août 30, 2022

Ils interdisent les substances initiatiques et utilisent la peur de la mort pour restreindre nos libertés





A Campagnol, le vieux Roger va bientôt mourir. Une substance (interdite) annihile sa peur de la mort :

Violer les corps pour dompter les esprits, avec le vaccin les empires perpétuent leur méthode 


Le trépas, les trois étapes de la mort


Après avoir étudié plus de 20 000 cas de personnes déclarées cliniquement mortes et rappelées à la vie, le Docteur Elisabeth Kubler-Ross expose sa compréhension du processus de la fin de vie :


« Je voudrais vous expliquer très sommairement ce que chaque être va vivre au moment de la mort. Et cette expérience est générale, donc indépendante du fait que vous soyez aborigène d'Australie, hindou, musulman, chrétien ou incroyant ; elle est également indépendante de votre âge ou de votre statut socio-économique. Car il s'agit d'un événement purement humain, comme le processus normal d'une naissance est un événement purement humain.


L'expérience de la mort est presque identique à celle de la naissance. C'est une naissance dans une autre existence qui peut être prouvée d'une façon tout à fait simple. Pendant deux mille ans on vous a invités à « croire » aux choses de l'au-delà. Pour moi ce n'est plus une affaire de croyance mais une affaire de connaissance. [...]


Au moment de la mort il y a trois étapes. Avec le langage que j'utilise pour de très jeunes enfants mourants, je dis que la mort physique de l'homme est identique à l'observation que nous pouvons faire lorsque le papillon quitte le cocon. Le cocon et sa larve sont le corps humain passager. Ils ne sont toutefois pas identiques à vous, n'étant qu'une maison provisoire, si vous pouvez l'imaginer ainsi. Mourir est tout simplement déménager dans une plus belle maison, symboliquement s'entend.


Dès que le cocon est endommagé de façon irréversible, que ce soit par suicide, meurtre, infarctus ou maladie chronique peu importe comment — il va libérer le papillon, c'est-à-dire votre âme. Dans cette deuxième étape, lorsque votre papillon — toujours symboliquement — a quitté son corps, vous vivrez des événements importants que vous devez savoir pour ne plus jamais avoir peur de la mort.


Dans la deuxième étape vous serez approvisionné en énergie psychique, alors que dans la première étape vous l'êtes en énergie physique. Dans cette dernière vous avez besoin d'un cerveau qui fonctionne, c'est-à-dire d'une conscience éveillée, pour pouvoir communiquer avec les autres. Dès que ce cerveau — ou ce cocon — est trop endommagé, vous n'avez évidemment plus de conscience éveillée. Au moment où celle-ci vous manque, c'est-à-dire quand le cocon est endommagé au point que vous ne puissiez plus respirer et que vos pulsations cardiaques et vos ondes cérébrales ne puissent plus être mesurées, le papillon se trouve déjà à l'extérieur du cocon. Ce qui ne veut pas dire que vous êtes déjà mort, mais que le cocon ne fonctionne plus. En quittant ce cocon, vous arrivez dans la deuxième étape de l'énergie psychique. Les énergies psychique et physique sont les deux seules énergies que l'homme puisse manipuler. [...]


Dès que vous êtes un papillon libéré, c'est-à-dire dès que votre âme a quitté le corps, vous vous apercevez tout d'abord que vous voyez tout ce qui se passe sur le lieu de votre mort, dans la chambre de malade, sur le lieu de l'accident ou là où vous avez quitté ce corps. Vous ne percevez plus alors ces événements avec votre conscience mortelle, mais avec une perception nouvelle. Vous enregistrez tout, et ce au moment où vous n'avez plus de tension artérielle, où vous n'avez plus ni pouls ni respiration, parfois même en l'absence d'ondes cérébrales. Vous savez exactement ce que chacun dit et pense et comment il se comporte. Et vous pourrez par la suite dire avec précision qu'on a dégagé le corps de la voiture accidentée avec trois chalumeaux de découpage. Il y a même eu des personnes qui nous ont précisé l'immatriculation de la voiture qui les avait renversées mais qui avait poursuivi sa route. On ne peut expliquer scientifiquement que quelqu'un qui n'a plus d'ondes cérébrales puisse encore lire une immatriculation. Les savants doivent être humbles. Nous devons accepter avec humilité qu'il y ait des millions de choses que nous ne comprenons pas encore. Mais cela ne veut pas dire que ces choses, uniquement parce que nous ne les comprenons pas, n'existent pas ou ne sont pas réalités. » [...]


Le retour de compagnons de jeu


Selon les témoignages recueillis par la doctoresse, au moment du trépas, il y aurait le « retour » de présences, les compagnons de jeu de l'enfance.


« Dans cette deuxième étape, explique Elisabeth Kubler-Ross, vous vous apercevez également qu'aucun être humain ne peut mourir seul, non seulement parce que le mort est en mesure de rendre visite à n'importe qui, mais également parce que des gens qui sont morts avant vous, et que vous aimiez, vous attendent toujours. Et puisque le temps n'existe pas, quelqu'un qui à vingt ans a perdu un enfant, peut en mourant à quatre-vingt dix-neuf ans retrouver son enfant comme enfant, puisque pour ceux de l'autre côté une minute peut avoir la durée de cent ans de notre temps. Ce que l’Église raconte aux petits enfants à propos de leur ange gardien est basé sur des faits, car il est prouvé que chaque être, de sa naissance à sa mort, est accompagné d'êtres spirituels. Chaque homme a de tels guides, que vous le croyiez ou non, et que vous soyez juif, catholique ou sans religion n'a aucune importance. Car cet amour est inconditionnel, et c'est pourquoi à chaque homme est fait le cadeau d'un guide. Ce sont eux que mes petits enfants appellent « compagnons de jeu ». De tout petits enfants parlent avec leurs « compagnons de jeu » et en sont parfaitement conscients. Mais dès qu'ils entrent à l'école, les parents leur disent : « Maintenant tu es grand. Tu vas à l'école. Il ne faut plus jouer à ces enfantillages ». Ainsi on oublie qu'on a des « compagnons de jeu », jusqu'à ce qu'on se trouve sur son lit de mort. Et soudain une vieille femme qui meurt me dit : « Le voilà à nouveau ». Et sachant de quoi elle parle, je demande à cette femme de partager avec moi ce qu'elle vient de vivre. Et elle m'explique : « Voyez-vous, lorsque j'étais petite, il était toujours avec moi. Mais j'avais complètement oublié qu'il existait. » Et le lendemain elle meurt, heureuse de savoir que quelqu'un qui l'a beaucoup aimée l'attend à nouveau.


En général vous êtes attendu par la personne que vous aimiez le plus. C'est elle que vous rencontrez toujours en premier. Chez les tout petits enfants de deux ou trois ans par exemple, dont les grands-parents et parents ainsi que les autres membres de la famille sont encore en vie, c'est en général leur ange gardien personnel qui les accueille, ou ils sont reçus par Jésus ou un autre personnage religieux. Je n'ai jamais fait l'expérience qu'un enfant protestant ait vu Marie au moment de sa mort, alors qu'elle est aperçue par de nombreux enfants catholiques. Il ne s'agit pas là d'une discrimination, mais ils sont tout simplement attendus de l'autre côté par ceux qui ont eu pour eux le plus d'importance.


Après avoir réalisé dans cette deuxième étape l'intégralité retrouvée du corps et rencontré ceux que l'on aime, on prend conscience que la mort n'est qu'un passage dans une autre forme de vie. On a abandonné les formes physiques terrestres car on n’en a plus besoin. Et avant de quitter son corps pour prendre la forme que l'on aura dans l'éternité, on passe par une phase de transition entièrement empreinte par des facteurs culturels terrestres. Il peut s'agir du passage d'un tunnel ou d'un portail ou de la traversée d’un pont. En tant qu'originaire de la Suisse j'ai pu traverser un col alpin avec des fleurs sauvages. Chacun a le ciel qu'il imagine. Et pour moi, le ciel c'est évidemment la Suisse, avec des montagnes et des fleurs sauvages. J’ai pu vivre cette transition comme un col alpin de toute beauté dont les herbages étaient si colorés de fleurs qu’ils me faisaient l'effet d'un tapis persan.


Et ensuite, dès que vous avez accompli ce passage, une lumière rayonne au bout. Et cette lumière est plus que blanche, elle est d’une clarté absolue. Et au fur et à mesure que vous approchez cette lumière, vous êtes rempli du plus grand amour, indescriptible et inconditionnel, que vous puissiez imaginer. Il n'y a pas de mots pour le décrire.


Lorsque quelqu'un a une expérience du seuil de la mort, il ne peut regarder cette lumière que très brièvement. Et il faut qu'il retourne tout de suite sur terre. Mais lorsque vous mourez — je veux dire mourir définitivement —, ce contact entre le cocon et le papillon que l'on pourrait comparer à un cordon ombilical (« cordon d'argent ») est rompu. Après, il n'est plus possible de retourner dans le corps terrestre. Mais vous ne voulez de toute façon pas y retourner, car lorsqu'on a vu la lumière, personne ne veut plus revenir. Et dans cette lumière vous vous rendez compte pour la première fois de ce que l'homme aurait pu être. Vous y vivez la compréhension sans jugement, vous y vivez un amour inconditionnel, indescriptible. Et dans cette présence que beaucoup appellent Christ ou Dieu, Amour ou Lumière, vous réalisez que toute votre vie ici-bas n'est qu'une école par laquelle vous devez passer, que vous devez apprendre certaines choses et passer certains examens. Quand vous avez terminé le programme et réussi les examens, vous pouvez rentrer. » […]


Le savoir total de la troisième étape


« Dans cette Lumière, poursuit Elisabeth Kubler-Ross, en présence de Dieu, du Christ, ou quel que soit le nom que vous lui donniez, vous devez regarder toute votre vie terrestre, du premier jour jusqu'au jour de la mort. En revoyant votre propre vie, vous êtes dans la troisième étape. Dans cette étape vous ne disposez plus de la conscience de la première étape ou de cette possibilité de perception de la seconde étape. Maintenant vous possédez le savoir. Vous connaissez exactement chaque pensée que vous avez eue à tout moment de votre vie, vous connaissez chaque acte que vous avez accompli et chaque parole que vous avez prononcée. Mais cette possibilité de se souvenir n'est qu'une infime partie de votre savoir total. Car au moment où vous regardez encore une fois toute votre vie, vous réalisez toutes les conséquences qui ont résulté de chacune de vos pensées, de chacun de vos mots et de chacun de vos actes. »


Elisabeth Kubler-Ross, "La mort est un nouveau soleil".



Un voyage fabuleux au-delà du monde sensible. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross, reconnues dans le monde entier, permettent de confirmer l'existence d'une vie après la mort. Il s'agit bien du passage à un autre état de conscience dans lequel on continue à sentir, à voir et entendre, à s'épanouir. Les témoignages saisissants livrés ici en sont la preuve. La mort est renaissance et vie. La mort est un nouveau soleil.

E. Kübler-Ross a développé un dispositif d'écoute de malades incurables (...). Elle a notamment mis au jour cinq phases du mourir qui servent aujourd'hui de référence à la pratique des soins palliatifs.





lundi, août 29, 2022

Ce qui émancipe




S'identifier à ce que l'on possède en soi de plus vivant, 
cela seul émancipe


L'école a prorogé pendant des siècles la mise sous séquestre de l'enfant par la famille autoritaire et patriarcale. Maintenant que s'esquisse entre les parents et leur progéniture une compréhension mutuelle faite d'affection et d'autonomie progressive, il serait regrettable que l'école cessât de s'inspirer de la communauté familiale.

Paradoxalement, le système éducatif, qui accueille avec les jeunes ce qui change le plus, est aussi ce qui a le moins changé.

La famille traditionnelle préférait fabriquer des enfants à la chaîne plutôt que d'offrir la vie à deux ou trois petits êtres auxquels elle eût consacré sans réserve son amour et son attention. Ceux qui ne mouraient pas en bas âge gardaient le plus souvent une blessure secrète. La tyrannie, la culpabilité, le chantage affectif engendrèrent de la sorte des générations de matamores dissimulant sous la dureté du caractère un infantilisme qui leur enjoignait de chercher un substitut du père et de la mère dans ces familles d'emprunt que constituaient les églises, les partis, les sectes, le grégarisme national et les corps d'armée en tous genres. L'histoire n'a pas connu, pour son inhumanité, que des bravaches en mal d'assistance. Il fallait quelque cynisme pour évoquer la « sélection naturelle », propre à l'espèce animale, alors que la production de chair à usine et à canon impliquait sa correction statistique, et que l'économie familiale de procréation comportait un vice de forme où la mort trouvait son compte.

L'évolution des mœurs nous fait regarder aujourd'hui comme une monstruosité cette prolifération bestiale de vies irrémédiablement condamnées à se résorber sous les coups de machette de la guerre, du massacre, de la famine, de la maladie. Il n'empêche : stigmatiser la surpopulation des pays où l'obscurantisme religieux se nourrit de la misère qu'il entretient sciemment, et accepter en Europe qu'un même esprit archaïque et méprisant continue de traiter les étudiants comme du bétail relève d'une inconséquence certaine.

Car le surpeuplement des classes n'est pas seulement cause de comportements barbares, de vandalisme, de délinquance, d'ennui, de désespoir, il perpétue de surcroît l'ignoble critère de compétitivité, la lutte concurrentielle qui élimine quiconque ne se conforme pas aux exigences du marché. La brute arriviste l'emportant sur l'être sensible et généreux, voilà ce que les margoulins au pouvoir appellent eux aussi, comme les brillants penseurs de jadis, une sélection naturelle.
Il n'y a pas d'enfants stupides, il n'y a que des éducations imbéciles. Forcer l'écolier à se hisser au sommet du panier contribue au progrès laborieux de la rage et de la ruse animales mais sûrement pas au développement d'une intelligence créatrice et humaine.

Dites-vous que nul n'est comparable ni réductible à qui que ce soit, à quoi que ce soit. Chacun possède ses qualités propres, il lui incombe seulement de les affiner pour le seul plaisir de se sentir en accord avec ce qui vit. Que l'on cesse donc d'exclure du champ éducatif l'enfant qui s'intéresse plus aux rêves et aux hamsters qu'à l'histoire de l'Empire romain. Pour qui refuse de se laisser programmer par les logiciels de la vente promotionnelle, tous les chemins mènent vers soi et à la création.

Il fallait hier s'identifier au père, héros ou crétin aux sarcasmes si doux. Maintenant que les pères s'avisent que leur indépendance progresse avec l'indépendance de l'enfant, maintenant qu'ils éprouvent assez l'amour de soi et des autres pour aider l'adolescent à se défaire de leur image, qui supportera que l'école propose encore comme modèles d'accomplissement le financier efficace et véreux, l'homme politique énergique et gâteux, le mafieux régnant par le clientélisme et la corruption, l'affairiste tirant ses derniers profits du pillage de la planète ?

C'est se condamner à ne s'atteindre jamais que de rechercher son identité dans une religion, une idéologie, une nationalité, une race, une culture, une tradition, un mythe, une image.

S'identifier à ce que l'on possède en soi de plus vivant, cela seul émancipe. 

Raoul Vaneigem dans "Avertissement aux écoliers et lycéens". Dans son livre, "Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations", il écrit :

L’enfant acquiert une expérience subjective de la liberté, inconnue à toute espèce animale, mais il reste par ailleurs dans la dépendance objective de ses parents ; il a besoin de leurs soins, de leur sollicitude. Ce qui différencie l’enfant de l’animal tient à ce que l’enfant possède le sens de la transformation du monde, c’est-à-dire la poésie, à un degré illimité. En même temps, on lui interdit l’accès à des techniques que les adultes emploient la plupart du temps contre une telle poésie, et par exemple contre les enfants, en les conditionnant. Et quand les enfants accèdent enfin aux techniques, ils ont, sous le poids des contraintes, perdu dans leur maturité ce qui faisait la supériorité de leur enfance. L’univers des maîtres anciens tombe sous la même malédiction que l’univers des enfants : il n’a pas accès aux techniques de libération. Dès lors, il est condamné à rêver d’une transformation du monde et à vivre selon les lois de l’adaptation au monde. Dès l’instant où la bourgeoisie développe à un degré très élevé les techniques de transformation du monde, l’organisation hiérarchisée - que l’on est en droit de tenir pour le meilleur type de concentration d’énergie sociale dans un monde où l’énergie n’a pas le précieux appui des machines - apparaît comme un archaïsme, comme un frein au développement de la puissance humaine sur le monde. Le système hiérarchique, le pouvoir de l’homme sur l’homme, empêche de reconnaître les adversaires valables, il interdit la transformation réelle du milieu ambiant, pour l’emprisonner dans les nécessités d’adaptation à ce milieu et d’intégration à l’état de chose. 




dimanche, août 28, 2022

N'oublions jamais : Agnès Buzyn a choyé à la Chloroquine le producteur Raymond Blumenthal



"Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule [l’hydroxychloroquine] ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19", a indiqué le Ministère français de la santé dans un communiqué, après la parution d’un décret au Journal officiel (JO).

Arrêté du 13 janvier 2020 portant classement sur les listes des substances vénéneuses signé par la ministre des solidarités et de la santé (Agnès Buzyn) : Est classée sur la liste II des substances vénéneuses l'hydroxychloroquine sous toutes ses formes. (Décision qui rendra la "vaccination" contre le Covid-19 incontournable.)

Interviewé par i24news, une chaîne de télévision israélienne, le producteur de films Raymond Blumenthal reconnaît avoir été guéri du coronavirus grâce à la chloroquine (hydroxychloroquine) donnée par Agnès Buzyn, l'ancienne ministre de la santé accusée d’avoir privé volontairement les Français de ce remède qui était depuis cinquante ans en vente libre.

YouTube supprimera le témoignage vidéo de Raymond Blumenthal, puis des journaleux parleront d'une "fake news".


Le devoir de mémoire, en espérant le retour de l'Etat de droit, a incité des internautes a enregistrer cette vidéo visible ici :


Raymond Blumenthal et Agnès Buzyn sont nés sous la même étoile, celle de David, ce qui confère en France des privilèges en matière de santé. 

N'oublions jamais

Depuis 2020, il est interdit de soigner avec l’hydroxychloroquine une personne atteinte par le Coronavirus. A l'âge de Raymond Blumenthal, une détresse respiratoire aiguë peut survenir. Et, dans ce cas, en 2020, les soignants devaient administrer une dose de rivotril, c'est à dire euthanasier le malade

Pour en savoir plus :

Le Dr Charbonier dénonce l'euthanasie active des personnes âgées :
https://bouddhanar.blogspot.com/2020/04/le-dr-charbonier-denonce-leuthanasie.html


samedi, août 27, 2022

Génocide par injections



"Le regretté Dr Vladimir Zelenko à New-york parlera de génocide en début 2021 et implorera ses amis Rabbins de Jérusalem, qu’il avait soignés avec le protocole Raoult en ajoutant du Zinc, de dire aux Israéliens de ne pas se faire injecter. Il implorera aussi les parents de ne pas faire injecter leurs enfants. Il le redira quelques jours avant sa mort."

"Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule [l’hydroxychloroquine] ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19", a indiqué le Ministère français de la santé dans un communiqué, après la parution d’un décret au Journal officiel (JO).


Des chambres à gaz de l’Allemagne nazie à un génocide par injections ARNm

Par Prajñâ


Les nazis exterminèrent 6 millions d’humains dans leurs camps de concentration. Depuis début 2020, d’autres nazis d’un 4ième Reich pas seulement virtuel et son OTAN, déguisés et travestis en sauveurs, maltraitent l’Occident. Les gens, disent-ils, doivent comprendre que c’est pour « leur santé », pour « votre santé » qu’ils vous injectent avec tant d’amour … des produits qui ne font dans les faits que remplacer les anciennes chambres à gaz. C’est l’intention principale. Nous ne parlerons pas ici des autres intentions totalitaires. Leur slogan sera et est encore : « tous vaccinés, tous protégés », bien que ce slogan ait dépassé sa date de péremption ; slogan répété par le Pape François « vaccinez-vous tous par amour ! » ce qui ne l’empêcha pas, en avril 2020, de dire qu’il n’était plus le vicaire du Christ. Le N°14 du Tibet, quant à lui, aussi propagandiste des injections, n’est pas non plus le vicaire du Bouddha depuis longtemps.

Ce slogan « Tous vaccinés, tous protégés » remplacera la douche salutaire et sanitaire promise à ceux qui entraient dans les chambres à gaz mais n’en ressortaient jamais en chantant debout sur leurs deux jambes. Ce ne fut qu’après la fin de la seconde guerre mondiale que le peuple allemand sidéré et terrifié apprendra les horreurs perpétrées par ses propres dirigeants du 3ième Reich. Alors, un autre slogan naîtra des cendres de tous les malheureux disparus : « PLUS JAMAIS CELA ». Force est de constater que c’est ce jour « encore et toujours cela » mais d’une manière inédite poussée sur un terreau malsain de perversion aux extrêmes limites.

Les deux rappels suivants bien connus méritaient leur place et serviront d’introduction : Alexandre Soljenitsyne : “ Nous savons qu’ils mentent, ils savent qu’ils mentent, ils savent aussi que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent… et qu’ils peuvent continuer à mentir ».

Adage de la médecine chinoise traditionnelle : « La perversité externe révèle la faiblesse interne, la faiblesse interne APPELLE la perversité externe ».

Ces deux propos riches de signification à la fois psychologique et métaphysique, disent ce que nous vivons pour celles et ceux qui ont encore des yeux pour voir.

Rappelons qu’au cours des deux dernières années tout a déjà été dit et diffusé sur le plan biologique et psychologique des effets des injections par de remarquables érudits chercheurs et médecins respectant l’éthique médicale.

Le point suivant est nouveau et doit retenir l’attention :

En début août 2022, un groupe « indépendant » de 60 médecins, biologistes et scientifiques allemands appuyés par d’autres groupes de recherches internationaux vient de mettre en évidence que toutes les injections des différents laboratoires injecteurs, sans exception, contiennent des nanoparticules métalliques. Toutes ces particules métalliques sont connues comme dangereuses pour l’organisme et peuvent par ailleurs pour certaines d’entre elles jouer le rôle de supraconducteurs (comme le graphène) pour les ondes électromagnétiques. Tous ces échantillons ont été analysés par des méthodes de mesures médicales et physiques des plus modernes de technologies actuelles. En plus de « l’oxyde de graphène » dont nous avions déjà parlé, ils ont découvert des métaux alcalins dont le « cesium », des métaux alcalino-terreux dont le « barium », des métaux dits de transition dont le « cobalt, fer, chrome, titane », des métaux de terres rares très recherchées dont le « cerium, gadolinium », un groupe comportant de « l’alumine », un groupe comportant du « carbone-silicium » … métaux provenant de ces terres rares qui servent à la fabrication des composants électroniques et puces informatiques dont Taiwan est le fabriquant N°1 à 60% sur la planète. Ces chercheurs ne comprennent pas encore totalement pourquoi tous ces composants mis en évidence qui n’ont pas leur place dans un vaccin se trouvent dans ces injections. (Rappelons que l’aluminium est responsable de nombreux autismes). Ils viennent de déposer les résultats de leurs découvertes irréfutables sur le bureau du gouvernement allemand. Leurs travaux s’ajoutent aux travaux antérieurs de multiples chercheurs, les confirment et les renforcent. Quel sera le devenir de leurs témoignages ?

Voici quelques points marquants de faits nommés antérieurement qui démontrent clairement que ces faits font preuves irréfutables :

1. Henry Kissinger né le 27 mai 1923 ; il a 99 ans. Juif allemand, de son vrai nom Heinz Alfred Kissinger, il est très intéressant de parcourirsa biographie qui montre l’ambiguïté et la perversité du personnage. Il sera et est toujours une éminence grise des présidents américains depuis plus de 60 années … Voici un extrait de son discours sur le conseil de l’OMS sur l’eugénisme le 25 février 2009 :

« Une fois que le troupeau accepte les vaccinations obligatoires, c’est la fin de la partie. Ils accepteront tout don forcé de sang ou d’organes « pour le plus grand bien ». Nous pouvons modifier génétiquement les enfants et les stériliser « pour le plus grand bien ». Contrôlez l’esprit des moutons et vous contrôlez le troupeau. Les fabricants de vaccins sont prêts à gagner des milliards. Et beaucoup d’entre vous dans cette salle sont des investisseurs. C’est un gros gagnant-gagnant ! Nous éliminerons le troupeau et le troupeau nous paie pour les services d’extermination ».

2. Jacques Attali en 1981 dans la revue « l’avenir de la vie » : « On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien ! Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir ». Jacques Attali récidivera en 2009 en affirmant qu’il y aura une pandémie virale qui servira à la mise en place d’un gouvernement mondial et d’une police mondiale.

Sarkozy, il y a quelques années, lors d’un discours : « Nous mettrons en place un gouvernement mondial et personne, vous m’entendez bien, je dis bien, personne ne pourra nous en empêcher ».

3. Klaus Schwab, né le 30 mars 1938, suisse-allemand. Il suivra les enseignements de Henri Kissinger et deviendra son élève. Vers 1972 il fonde le Forum économique mondial, FEM, et met en place sa formation : « Young-global-leader ». Il s’agit de former en particulier des jeunes politiques à son idéologie globaliste unilatérale. Jean-Pierre Raffarin, Edouard Philippe, Olivier Véran et sa compagne députée, Emmanuel Macron, et bien d’autres en France ont suivi cette formation de 8 semaines et ont « eu leur diplôme ».

Ne pas oublier qu’en début 2022, Klaus Schwab dira au cours d’un forum, devant Emmanuel Macron : « Je remercie Emmanuel Macron pour son travail, il est pour l’Europe le « Messie ». Oui, vous avez bien lu ce qui vient d’être dit !! [définition du mot Messie : Libérateur envoyé par Dieu !].

Les preuves des effets secondaires graves sortent de partout et les media continuent de les cacher. 

Si nous prenons le COVID Long post-injection, qu’est-ce que le COVID Long ? Il s’agit d’une fatigue incessante et invalidante que certains vivent depuis juillet 2020 après les premières injections, et qui empêche ces gens injectés de vivre normalement, voir même ne plus pouvoir travailler ou être indépendant. Leur système immunitaire naturel est très perturbé voire quasi détruit. Il leur est impossible de faire un effort physique comme auparavant, pour la plupart, à cause en particulier de micro-thromboses qui tapissent les endothéliums vasculaires. Aux USA ils sont en ce moment entre 15 et 20 millions (oui, nous avons bien dit « millions »), au Brésil : 13 millions. Ce sont les chiffres officiels. Tous les pays européens, occidentaux, sont touchés. Les chiffres en France sont cachés. Les pays peu ou si peu vaccinés comme l’Afrique ne sont pas touchés par ce phénomène. Nous ne reparlerons pas des autres et différents effets secondaires que chacun devrait maintenant connaître.

Une conclusion :

Le complot n’est pas du côté des peuples sauf à y participer pas seulement par la peur mais hélas et consciemment comme le collabo en 39-45. Rien de nouveau. Le Pr Perronne a parlé en 2020 de génocide en cours. Il a eu beaucoup d’ennuis. Le regretté Dr Vladimir Zelenko à New-york parlera de génocide en début 2021 et implorera ses amis Rabbins de Jérusalem, qu’il avait soignés avec le protocole Raoult en ajoutant du Zinc, de dire aux Israéliens de ne pas se faire injecter. Il implorera aussi les parents de ne pas faire injecter leurs enfants. Il le redira quelques jours avant sa mort. Beaucoup d’autres parlent aussi de génocide en cours … Encore une fois, nous espérons nous tromper. Et si nous nous trompons nous en serons heureux. Mais … Maintenant, que celles et ceux hors troupeau qui ont une recherche spirituelle, qu’ils l’approfondissent et ce sera pour le bien de tous.


vendredi, août 26, 2022

La moitié de la population mondiale va disparaître

 

Une vérité enrobée de mensonges.


BFMTV et d'autres médias contrôlés par l'oligarchie préparent les esprits à la dépopulation. Et, comme à leur habitude, ils développent des explications fallacieuses : "contraception, baisse de la natalité, hausse de la mortalité due au vieillissement de la population...". 

Pour mieux noyer le poisson, les médias font allusion au futur :

"Selon une étude menée par James Pomeroy, économiste de HSBC, et rapportée par Les Échos, nous ne seront pas 10 milliards d'ici la fin du siècle mais... 4 milliards. Un chiffre divisé par deux en 80 ans qui s'explique, selon l'économiste, par une baisse de la natalité et une mortalité en hausse due au vieillissement de la population."

"Celui qui parle de l'avenir est un coquin. C'est l'actuel qui compte", disait Louis-Ferdinand Céline.

Le programme de dépopulation a commencé avec les injections à ARN messager qui provoquent de nombreux effets secondaires, notamment, quand les vaccinés ne décèdent pas rapidement, la diminution de l'immunité et la stérilisation.

"La population va décliner dans la deuxième moitié du XXIe siècle", avait annoncé "The Lancet" en 2020.

(1:17)

The Lancet fut contraint de retirer une "étude" sur l’hydroxychloroquine qui avait conduit à la suspension de l’usage de ce traitement contre le Covid-19.

Dans beaucoup de pays, les dirigeants interdirent l'usage des traitements contre le Covid-19 et incitèrent, par toutes sortes de contraintes, à l'acceptation des injection à ARN messager, baptisées "vaccins Covid-19".



Réchauffement climatique : La Froide Vérité

De nos jours, des vidéos sont rapidement censurées et les paroles s'envolent . Grâce à la transcription et l'impression de l'aud...