jeudi, septembre 01, 2022

Soyez en sûr, le nouvel ordre mondial ne prévaudra pas !



Sa fureur dévastatrice qui voudrait réduire la population mondiale à un ½ milliard d’êtres humains ne prévaudra pas.
Sa haine pour la vie d’un être et pour la vie qui est en train de s’éteindre ne prévaudra pas.
Son plan tyrannique ne prévaudra pas.


Mgr Vigano : Le Grand Reset est une religion.


Satan au Vatican


Le 14 août 2022, la veille de l’Assomption, l’Archevêque Mgr VIGANO fera sa conférence devant des moines Capucins, Dominicains et des laïcs chrétiens sur le « Great Reset et le nouvel ordre mondial ». Il faut en l’entendant pouvoir passer du sens symbolique au sens métaphysique, ce qui n’est pas évident. Italien, il prouve ici sa grande maîtrise de la langue française au service d’une pensée limpide et cristalline. Le témoignage synthétique de Mgr VIGANO diffusé aussi sur internet s’adressera par ailleurs au plus grand nombre à instruire et à réveiller. Dans l’urgence actuelle c’était la meilleure chose qu’il pouvait offrir à son prochain pour lui permettre d’élever son niveau de conscience et l’aider ainsi à pouvoir sortir de la peur dans l’instinct de troupeau. Mgr VIGANO ne pouvait faire autrement que de transmettre aussi son message à tous dans la propre terminologie catholique de sa Tradition qu’il protège.

Beaucoup sont déjà les futurs adeptes de cette autre religion du « climatisme » qui accompagnera celle du « covidisme » en déclin probable, mais sans certitude. Ils auront du mal à comprendre qu’ils ont été trompés. Non seulement ils refuseront de comprendre dans le déni par besoin de cohérence avec eux-mêmes, d’y réfléchir, mais ils ne le peuvent déjà plus ou si peu du fait des dégâts irréversibles de la propagande incessante sur leur équilibre psychique en rétroaction constante avec leur cœur maintenant déséquilibré et égaré, aussi du fait des effets physiologiques neuronaux prouvés des injections sur leurs cerveaux et sur leur système immunitaire naturel en voie de destruction. C’est ainsi que la servitude volontaire s’affirme par ignorance, négligence, indolence, légèreté, chez ceux qui ne vivent qu’en obéissant à l’invraisemblable, aussi par leur vouloir-ignorer qui les conduit au pire s’ils ne peuvent quitter le troupeau.

Prajñâ

14 août 2022
Propos de Monseigneur l’Archevêque VIGANO


Quand l’être humain agit, il agit en vue d’une fin. Son action, ce qu’il fait, représente un moyen ordonné à une fin qui peut être moralement bonne et mauvaise. L’action procède de la volonté. Elle naît de la pensée qui est acte de l’intelligence. Ce que nous faisons est déterminé par qui nous sommes. L’ensemble de nos facultés : mémoire, intelligence et volonté. La scolastique résume parfaitement le concept en trois mots : « personne n’agit sans but », et même ce qui se passe sous nos yeux depuis plus de 2 ans maintenant est la conséquence d’un ensemble de causes concomitantes qui présuppose une pensée initiale, un principe informateur pour ainsi dire. Et quand nous réalisons que les raisons qui nous sont données pour justifier les actions entreprises n’ont aucun caractère rationnel, cela signifie que ces raisons sont des prétextes, des fausses raisons qui cherchent à cacher une vérité inavouable. Telle est la façon de procéder du malin. Quand il nous tente, il nous fait croire qu’il est notre ami, qu’il se soucie de notre bien. Tout comme le bonimenteur de foire, le diable nous propose ses trouvailles miraculeuses, c’est le désir de bonheur et de richesse pour la somme modique de notre âme immortelle (vendre son âme au diable) ; mais cela, comme un escroc, il omet de le dire bien sûr. Tout au plus, il l’écrit en petits caractères dans les clauses du contrat. Tout est mensonge quand il s’agit de Satan. Les prémisses sont fausses : « votre Dieu vous opprime avec de nouveaux préceptes », les promesses sont fausses : « vous pouvez désirer et obtenir ce que vous voulez » ; et tout est mensonge également quand les serviteurs de Satan s’organisent pour établir la « dystopie » du nouvel ordre mondial. Et bien, puisque nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les conspirateurs du Great Reset nous disent clairement quel est leur objectif final, puisqu’il s’agit de quelque chose d’inavouable et criminel, nous pouvons néanmoins reconstruire ce qui dans leur pensée guide leurs actions en connaissant les principes qui inspirent leur agir et en les étayant avec leurs propres mots, et nous sommes également capables de comprendre que les raisons données ne sont que des prétextes. Or, justement, les prétextes, tels qu’ils sont présentés, démontrent la malice et la préméditation, car si leur projet était honnête et bon, ils n’auraient pas besoin de le déguiser avec des excuses illogiques et incohérentes.

Mais qu’est-ce que le Grand Reset ?

C’est l’imposition forcée d’une 4e révolution industrielle qui conduira le système économique et social actuel à l’implosion et permettra par un appauvrissement général et une réduction drastique de la population, la centralisation du pouvoir entre les mains d’une élite aspirante à l’immortalité et à la domination du monde.

Ils voudraient nous réduire à une masse amorphe de clients-esclaves confinés dans des boxes et perpétuellement connectés au réseau ; à travers le Great Reset ils veulent « effacer » la société chrétienne occidentale afin d’instaurer une synarchie libérale communiste sur le modèle de la dictature chinoise à laquelle toute la population est contrôlable et manœuvrable à volonté.

Dans une société inspirée même en partie seulement par les valeurs du Catholicisme, les groupes de pouvoir financiers et l’élite du nouvel ordre mondial n’auraient pas leur place. Mais cela ne doit pas nous laisser croire que leur opposition à la société Chrétienne est une motivation simplement économique et politique. En réalité, ce qui déclenche cette haine c’est qu’il puisse exister même dans le point le plus reculé de la planète une alternative possible à la « dystopie mondialiste », un monde dans lequel l’employeur peut honnêtement payer ses employés, dans lequel l’état impose des impôts raisonnables aux citoyens, dans lequel les œuvres de charité rendent les services gratuitement et sans spéculation, dans lequel l’innocence des enfants est respectée et la « propagande LGBTQ » n’est pas autorisée, un monde dans lequel le règne social de Jésus-Christ se montre non seulement quand il est possible mais comme la meilleure forme de société administrée pour le bien commun et pour la gloire de Dieu. La simple existence d’un terme de comparaison est un désaveu brûlant de la tromperie mondialiste, montrant son horreur et son échec. Les mensonges sur la nécessité des confinements sont désavoués par l’évidence que là où ils n’ont pas été adoptés les cas de maladies graves ont été moins nombreux que lorsque des fermetures et des couvres feux ont été imposés. Les mensonges sur l’efficacité du sérum génique sont démystifiés par les cas de réinfections des triples vaccinés, des effets indésirables graves et des morts subites. Les mensonges sur le peuple souverain et les droits inviolables de la personne ont été démentis par des règles absurdes, des normes inconstitutionnelles, des lois discriminatives dans le silence du pouvoir judiciaire. Même le terme de comparaison constituée par la messe de toujours rendait impossible de préférer sa contrefaçon. C’est pourquoi l’église Bergonienne veut en empêcher la célébration, et en éloignant les fidèles, dans ce cas, aussi pour nous imposer cette horreur. On a eu recours à la tromperie disant aux fidèles que la messe apostolique était incompréhensible et qu’il fallait la traduire et la simplifier afin que les fidèles en apprécient mieux la signification. Mais c’est un mensonge. Et s’ils nous avaient expliqué que leur but est exactement le même que celui que les hérétiques protestants s’étaient fixés, c’est-à-dire de détruire le « Cœur » de l’église catholique, nous serions allés les chercher avec des fourches à la main. Le monde globaliste ne tolère donc pas les comparaisons. Il exige cette exclusivité qu’il dénonce avec horreur dès lors que ce n’est pas lui qui le revendique. Il déchire ses vêtements sur le pouvoir temporel de l’église avec la complicité des pères formateurs hérétiques puis exigent une obéissance absolue et irrationnelle du dogme qu’ils proclament depuis Davos ou Bruxelles. Il célèbre la liberté d’expression et de presse qu’il finance généreusement mais ne tolère ni la dissidence ni la vérité qu’il cherche à rendre tout simplement inaccessible et invisible. Et encore, le monde globaliste n’a pas de passé à nous montrer pour confirmer la grandeur de ses idées, de sa philosophie et de sa foi. Inversement, il vit de la falsification de l’histoire, de l’effacement du passé, de son élimination chez les nouvelles générations afin qu’il n’y ait personne qui devant la Cathédrale de Chartres soit capable de reconnaître les images du Christ et des Saints, afin que personne ne sache que dans la Sainte Chapelle était conservée l’ampoule du St Chrême (onguent) portée par un ange pour consacrer les Rois de France, afin que personne ne puisse reconnaître leurs gestes, ne trouvent leurs tombes, ne comprennent les trésors de l’art et de la littérature qui ont fait la grandeur des nations catholiques. L’effacement de la culture révèle la radicale inconsistance ontologique du mondialisme face à la splendeur de la civilisation chrétienne.

Le monde globaliste n’a pas d’avenir …

… ou plutôt l’avenir qu’ils entendent nous réserver est le plus sombre, le plus terrifiant que l’esprit humain puisse concevoir. L’avenir qu’ils nous présentent est faux, irréalisable. « Je n’ai pas de maison, je ne possède rien et je suis heureux » tentent de nous convaincre Klaus Schwab et les promoteurs de l’agenda 2030. Mais leur but n’est pas de nous rendre heureux, qui ponctuellement n’arrivera pas, bien sûr, mais de nous confisquer nos maisons et nos biens. Quand ils nous parlent de pacifisme et de désarmement, ce n’est pas parce qu’ils veulent la paix, mais parce que, étant désarmés et sans idéaux, nous nous laisserons envahir et dominer sans réagir. Ils ne veulent pas que nous accueillions, intégrions réellement les notions d’autres cultures et religions, mais ils veulent créer les prémisses du désordre social et la conséquence de la disparition de nos traditions et de notre foi. Quand ils nous parlent de résilience, ils ne nous disent pas qu’ils nous protègeront des sinistres qui nous menacent mais que nous devons nous résigner et les absorber sans protester. Quand ils nous accusent d’extrémisme ou de fondamentalisme, c’est seulement parce qu’ils savent que les fidèles et les citoyens aux idéaux nobles et saints peuvent résister et organiser une opposition et rependre la dissidence.

Et lorsqu’ils nous imposent une « inoculation » de masse avec un sérum génique dépourvu d’efficacité mais aux nombreux effets indésirables, graves et mortels, ils ne le font pas pour notre santé mais pour « modifier notre ADN » et nous rendre malade chronique avec un système immunitaire définitivement compromis et une espérance de vie inférieure à celle des personnes en bonne santé (dont les non-vaccinés : c’est nous qui le rajoutons) et pour introduire dans notre organisme, comme nous l’avons appris dans la plainte récemment déposée par maître Carlo-Brusa, des « nanoparticules » ressemblant au « graphène » et capables de nous rendre géo–localisables, militaires compris. Ne vous attendez jamais à la vérité de la part des partisans du Great Reset car là où il n’y a pas de « Christ » il ne peut y avoir de vérité. Et nous savons combien ils ressentent de la haine pour notre Seigneur, une haine qu’il ne peuvent plus cacher, qu’ils exhibent dans le spectacle des inaugurations des évènements européennes. Pensons à l’inauguration du tunnel de St Gothard en Suisse, aux jeux olympiques de Londres en 2012 et tout récemment à l’inauguration des jeux du commonwealth of nations à Birmingham [le lecteur peut retrouver ces inaugurations sur internet effectivement démoniaques dont celle de Londres en 2012 qui anticipait par son spectacle le futur Covid 19 et les injections !] … Une haine qu’ils exhibent dans des recommandations de ne pas célébrer Noël, de ne pas utiliser des noms Chrétiens pour nos enfants. Leurs haines deviennent meurtrières lorsqu’ils théorisent l’avortement comme un droit de l’homme cachant son atrocité derrière l’expression hypocrite de « santé reproductive » parce que c’est la vie qu’ils détestent dans laquelle ils voient l’image et la ressemblance de ce Dieu qu’ils ont perdu à jamais. Cette image et cette ressemblance sont beaucoup plus profondes qu’on ne le croit.

Elles consistent en la dimension trinitaire de l’homme avec ses facultés qui se réfèrent aux trois personnes divines : la MEMOIRE : le Père, l’INTELLIGENCE : le fils, la VOLONTE : l’Esprit saint [« Spiritus » dans l’ancienne tradition occidentale quasi disparue : Corpus–anima/animus –Spiritus ; dans la tradition de la Grèce antique : Soma – psukhé - Noüs]. Et tout comme dans la très sainte Trinité, l’Esprit est l’Amour qui procède du Père et du Fils, de même chez l’homme, la Volonté est la faculté qui provient de la Mémoire des choses passées et de leur compréhension des choses présentes.

Ce n’est pas un hasard si dans un renversement du monde contemporain l’homme se retrouve privé de ses souvenirs, de son histoire, de ses traditions.

Pensez à la « cancel culture : culture supprimée » et aux demandes de pardon des actions de notre passé falsifié ou déformé. On se retrouve incapable d’exprimer un jugement critique. Pensez à la « DISSONANCE COGNITIVE » générée par la « psycho-pandémie » et incapable d’ordonner sa Volonté en la subordonnant à l’Intelligence. Pensez à l’incapacité de réagir face au mal imposé ou au bien dont nous sommes privés. La société moderne avec sa fable concernant la démocratie nous a appris à penser que nous pouvons éventuellement être catholique, être même traditionnaliste tant que nous ne remettons pas en question le fait que l’égalité des droits est reconnue à quiconque. Il faut respecter les idées des autres nous disentils ! Mais dans la sphère métaphysique, dans l’éternité de Dieu. Cette bataille entre le bien et le mal n’a rien de profane ou d’œcuménique. Elle est Réelle comme réelles sont des armées déployées : celles de Dieu et celles du Diable. Les anges du paradis et les esprits apostats de l’enfer n’ont rien à faire de l’irénisme conciliaire. Ils mènent une bataille dans laquelle il faut arracher autant d’hommes que possible à l’adversaire. Les saints qui intercèdent pour nous n’ont pas lu Frattelli Tuti (3ième encyclique du Pape François en 2020 …) et la balance de St Michel n’est pas calibrée sur le monde du cas par cas, l’éthique de la situation d’un Jésuite hérétique sur les contorsions pastorales du chemin synodal. Cessons d’être politiquement correcte. Toujours pris par la crainte que nos convictions puissent déranger les consciences sensibles de ceux qui n’hésitent pas à déchirer une créature sans défense dans le sein de sa mère ou à étouffer les personnes âgées et les malades dans leur sommeil. Nous avons trop souvent été silencieux face à des choses qui ne devraient même pas être mentionnées, de la « normalisation des vices » aux transgressions les plus dégradantes. Pourtant, en tant que catholiques nous devrions savoir que Dieu est vivant en dépit des athées, que le Christ exerce les titres de souveraineté sur nous en tant que créateur et rédempteur, en dépit des libéraux. Si nous ne sommes pas persuadés de ces réalités nous ne pouvons même pas comprendre l’action de l’ennemi qui est parfaitement conscient de ces réalités. Si nous ne sommes pas persuadés de ces réalités nous ne donnerons aucun exemple crédible à ceux qui par nos paroles et nos actions pourraient ouvrir les yeux et seront dociles à la grâce. Il est difficile de croire les modernistes qui par leurs comportements dépourvus de charité (et d’amour) désavouent leurs vains discours. Il est impossible de croire ceux qui vous demandent de manger des sauterelles et des cafards pour sauver la planète lors qu’ils se nourrissent de précieux morceaux de bœuf de Kobé (jusqu’à 400€ le Kg), ou d’abandonner la voiture diesel alors qu’ils se déplacent en Jet privé. Il y en a eu des centaines à Davos lors du sommet du World Economic Forum. Nous devons redécouvrir cette dimension de réalisme et d’objectivité qu’ils nous ont fait perdre pas à pas où dont ils nous ont appris à avoir honte. Nous sommes Militer Christi, soldat du Christ appelé à combattre un ennemi qui voudrait nous frapper dans le dos ou nous faire déserter lâchement.

Parce qu’il sait que lorsque nous combattons ouvertement, derrière nous il trouve la vierge immaculée (aussi éternel féminin de la mystique), cette Mère qui est l’ennemie des tests (Covid) dans toutes les mères de la terre, cette épouse de l’agneau qu’ils vilipendent en attaquant le caractère sacré du mariage et des vertus domestiques, cette femme que le serpent humilie en défigurant la féminité et en imposant une parodie obscène. La doctrine mondialiste est essentiellement satanique parce qu’elle est l’application sociale et globale la plus directe, la plus implacable de la rébellion de Satan. Nous y trouvons cet « hybris », ce fol orgueil de se croire comme Dieu et usurpe les attributs divins [c’est ce que dira le psychopathe Dr Laurent Alexandre, un eugéniste, devant l’école polytechnique : Vous êtes des dieux, les autres sont des inutiles ! En psychiatrie est nommé le syndrome de Dieu qui caractérise celui qui se prend pour Dieu] qui conduit aujourd’hui la science à nier sa vocation au service du bien pour la mettre au service du nouvel ordre mondial pour accomplir avec le progrès technologique ce qui était impensable : effacer la séparation entre l’homme et la machine, entre son Esprit et l’intelligence artificielle. Il n’est donc pas surprenant que le « Trans-humanisme » est l’un des points essentiels de l’agenda 2030, derrière ce projet fou de mettre la main sur la création et même de doser et altérer le sanctuaire de la conscience dans lequel seul Dieu descend avec sa grâce. Derrière ce plan de violer l’être humain pour le rendre plus performant, il y a encore une aberration doctrinale, un mensonge opposé à la vérité de Dieu : créer un être immortel comme certains le voudraient. Et la réédition technologique d’un délire infernal à la base duquel se trouve la présomption de pouvoir effacer dans l’homme les conséquences du péché originel. L’arbre d’Adam a apporté la mort et la maladie, la tromperie du Trans-humanisme promettant l’immortalité et la santé. Là où il a conduit à l’affaiblissement de l’intelligence et aux mauvais penchants de la volonté, la fraude de l’homme machine promet l’accès à la connaissance et la possibilité d’être en soi-même sa propre loi. Là où le péché a conduit à la fatigue du travail, à la guerre et aux épidémies, la « DYSTOPIE » mondialiste promet un revenu universel, la paix et la prévention de toutes les maladies ; mais la mort, la maladie, l’affaiblissement de l’intelligence et le mauvais penchant de la volonté, la fatigue du travail, les guerres et les épidémies, sont la juste punition de l’offense impunie que toute l’humanité dont ses progéniteurs a causée à la majesté de Dieu en lui désobéissant. Celui qui s’illusionne, croyant qu’il n’y a pas de conséquences à cette désobéissance ne veut pas accepter sa déchéance ni reconnaître l’œuvre de rédemption de Jésus-Christ qui est venu sur la terre et est mort sur la croix pour nous racheter du jeu de Satan. C’est là que réside la véritable perspective théologique à partir de laquelle, considérer la crise de la société et de l’église.

Le délire du Trans-humanisme ne vise pas à rendre la course de l’athlète plus rapide ou la visée du soldat plus précise mais à corrompre l’homme dans le corps après l’avoir frappé dans l’âme (cœur). Satan ne se résigne pas à la défaite, d’autant plus terrible qu’en elle a resplendit l’obéissance de notre Seigneur au Père éternel en opposition à l’orgueil du luciférien.

Et si Dieu par le chemin de la grâce vient à toucher les âmes et à les ramener à lui, les restituant à la vie éternelle, Satan s’acharne aujourd’hui sur les corps pour contaminer l’œuvre du créateur et défigurer la créature. Son œuvre dévastatrice s’étend réellement au reste de la création avec des résultats abominables qui prétendent rivaliser avec la magnificence de Dieu. Tel est le combat entre le bien et le mal qui depuis la création d’Adam inclut également les êtres humains appelés à choisir dans quel camp se ranger.

Parce ce que la neutralité est déjà une alliance avec ceux qui méritent la défaite. Nous savons à quel point l’ennemi du nouvel ordre mondial est puissant et quelle est son organisation. Nous savons aussi ce qui le meut et ce qu’il veut accomplir. Mais c’est précisément pour cette raison que nous savons que ces victoires ne sont qu’apparentes et vouées à l’échec. Et que notre devoir dans cette guerre déjà gagnée par le crucifié, c’est de choisir dans quel camp nous nous rangerons pour combattre. Comprendre qu’il peut y avoir des personnes vouées au mal qui choisissent délibérément de se ranger du côté de Lucifer contre Dieu est le premier pas à faire si nous voulons résister. Ils « testent » le coup d’état en cours. Ces personnes constituent d’une certaine manière le corps mystique de Satan et agissent pour propager le mal dans le monde et effacer le nom du Christ, tout comme le corps mystique du Christ qui est l’église agit dans la communion des saints pour propager la grâce et glorifier le nom de Dieu.

Encore une fois, si nous pensons que l’urgence pandémique a été gérée par des gens incompétents et non par des exterminateurs iniques, nous sommes complètement sur la mauvaise voie, tout comme nous le sommes si nous croyons que nos dirigeants ne sont pas soumis à cette élite de criminels, d’usuriers et de subversifs, alors qu’ils ont fait carrière grâce à eux.

Il fut un temps où il était normal que le sujet d’un Royaume chrétien vive conformément aux commandements divins dans lequel soit interdit l’avortement, le divorce, la sodomie, l’usure. Ce monde, grâce au travail lent et patient des conspirateurs a été remplacé par celui qui n’est pas un corps complètement le leur dans lequel règne des pouvoirs qui le tirent de leur légitimité, ni de Dieu, ni du peuple. Ces pouvoirs empêchent ce qui était auparavant encouragé et récompensé et encouragent ce qui était interdit et puni. Le Règne du Christ est remplacé par l’antéchrist. Ainsi, le vrai, le bien et le beau (concerne aussi les comportements) sont expressions théologiques des perfections de Dieu.

Dans la république mondialiste, le faux, le mal et le laid, en sont les manifestations les plus évidentes, au point de pouvoir devenir la norme générale loin de l’état d’un précepte moral auquel il faut se conformer ; même dans ce cas, si vous y prêtez attention, une autre tromperie est proposée à nouveau : celle selon laquelle la tyrannie des souverains et du clergé justifiée par la superstition papiste aurait été remplacée par les gouvernements du peuple sous les hospices de la raison. Aujourd’hui, nous voyons à quel point le Léviathan mondialiste, le « sanhédrin (tribunal composé de 71 prêtres qui jugèrent et condamnèrent Jésus) Bergolien » sont tyranniques, unis par le fait d’avoir régné et trahi leurs rôles de dirigeants de l’état et de pasteurs de l’église.

Chers amis, votre tâche comme celle de beaucoup de gens de bonne volonté accomplie dans d’autres nations est une tâche sacrée et très importante. C’est la tâche de reconstruire, de restaurer, d’édifier exactement le contraire de ce que les adeptes du diable savent faire, capables seulement de détruire, de démolir, d’accumuler des décombres. Et pour reconstruire, il faut repartir des fondations qui sont le fondement de l’édifice social en plaçant le Christ comme pierre angulaire, comme clé de voute.

Rappelez-vous que cette génération perverse et corrompue n’a pas d’avenir.

Elle est victime de sa propre cécité et de sa propre stérilité, de sa propre incapacité à générer. Parce que donner la vie est une œuvre divine et cela s’applique autant à la vie du corps qu’à celle de l’âme. Tandis que le diable n’est capable que de donner la mort et avec elle le sourd désespoir, l’âme est arrachée à sa fin ultime et suprême qui est Dieu.

Soyez en sûr. Le nouvel ordre mondial ne prévaudra pas.

Sa fureur dévastatrice qui voudrait réduire la population mondiale à un ½ milliard d’êtres humains ne prévaudra pas.

Sa haine pour la vie d’un être et pour la vie qui est en train de s’éteindre ne prévaudra pas.

Son plan tyrannique ne prévaudra pas.

C’est la privation du bien qui nous fait comprendre ce qui nous a été enlevé pour que nous trouvions la détermination, la force de nous battre, de résister.

L’apostasie qui afflige la hiérarchie catholique devenue servante du monde ne prévaudra pas non plus.


Les semeurs de discordes et d’erreurs qui infestent nos églises, s’éteindront inexorablement. Derrière la fausse promesse du printemps conciliaire il y a toujours la fraude et la malice du menteur.


*******


Question : Excellence, Vatican 2, a eu lieu il y a plus de 60 ans, la destruction de la liturgie il y a 50 ans, Assise il y a presque 50 ans ; après 60 ans de désastres religieux et politiques où tout a été détruit, où les catholiques fidèles sont méprisés, voire injustement condamnés, vous devenez à 80 ans passés un anti-conciliaire acharné. Pourquoi n’agissez-vous que maintenant ?

Réponse : J’ai eu l’occasion de témoigner dans mes interventions passées de ce qui a été mon parcours de prise de conscience progressive de la crise qui afflige l’église catholique et des causes profondes de l’apostasie actuelle. Comme je l’ai dis alors, mon engagement dans le service diplomatique du Saint-Siège, d’abord comme jeune secrétaire dans les Représentations Pontificales en Irak et au Koweit, puis à Londres à la Secrétariat d’état, et ensuite comme chef de Mission à Strasbourg au conseil de l’Europe ; puis comme Nonce Apostolique au Nigéria ; et de nouveau à la Secrétariat d’état en tant que Délégué pour les Représentations Pontificales, puis comme Secrétaire Général du Gouvernorat et enfin en tant que Nonce Apostolique aux Etats-Unis, mon engagement – je disais – au service du Saint-Siège, que j’ai essayé d’exercer avec dévouement en y consacrant la totalité de mon temps et de mes forces, m’a complètement absorbé rendant pratiquement impossible une réflexion approfondie des événements qui se déroulaient dans l’église. Cela ne m’avait cependant pas empêché de nourrir des forces intérieures et même des critiques par rapport aux « nouveautés » introduites après le concile.

Je pense particulièrement aux graves abus liturgiques, à la crise de la vie religieuse, je pense au panthéon d’Assise, aux déplorables demandes de pardon pour les croisades, par exemple, pendant le Jubilé de 2000. Je pense aussi à ce que j’avais pu percevoir comme jeune étudiant à l’Université Grégorienne à Rome. Je percevais que tout cela découlait de principes nouveaux posés par le concile. Mais ce n’est que beaucoup plus tard, devant les gravissimes scandales de l’alors Cardinal McCarrick et de tout son réseau homosexuel ; et, durant les scandales plus graves encore de BERGOGLIO, le lien intrinsèque entre la corruption doctrinale et la corruption morale m’est apparue en toute son évidence, ainsi que les causes profondes de la crise qui sévit depuis des décennies dans l’église, engendrées par la révolution conciliaire.

Et je n’ai pas pu garder le silence.

La catastrophe était prévisible dès le début. Mais comme je l’ai expliqué, nous avions été formés - Dans notre formation au ministère sacerdotal et encore plus dans celle en vue du service diplomatique – à considérer impensable que le Pape et l’ensemble de la hiérarchie catholique pouvaient abuser de leur autorité en l’exerçant pour un but contraire à celui que Notre Seigneur a voulu pour son église. Nous avions été éduqués à ne pas mettre en question l’autorité des Supérieurs. Et cela a été exploité par ceux qui, justement en exploitant notre obéissance et notre amour pour l’église du Christ, nous ont lentement, pas à pas, conduits à l’acceptation de nouvelles doctrines, étrangères à celles que la Sainte église avait toujours enseignée, surtout en ce qui concerne l’œcuménisme et la liberté religieuse. D’ailleurs, de même que dans l’église, la « DEEP Church » s’est étendue par degrés vers la dissolution du corps ecclésial, de même que dans la sphère civile le « Deep state » s’est développé de manière je dirais similaire par une infiltration progressive atteignant les formes tyranniques du Nouvel Ordre Mondial du World Economic Forum et de l’Agenda 2030. Dans ce cas également on pourrait se demander : pourquoi les citoyens ne se sont-ils pas rebellés contre la subversion de l’état par des séditieux qui ont pris le pouvoir dans le but de détruire les institutions qu’ils auraient dû servir en vue du bien commun ? Beaucoup répondraient : Nous ne pouvions pas imaginer leurs desseins pervers, leur projet de faire de nous des esclaves d’un système inique. Nous ne pouvions pas croire que quand ils parlaient de démocratie ou de souveraineté populaire, ils voulaient nous soumettre progressivement à un pouvoir totalitaire radicalement antichrétien. Je considère que le fait de n’avoir pas compris hier la nature du processus révolutionnaire en cours, pouvait être excusable.

En revanche, ne pas comprendre aujourd’hui est irresponsable et fait de nous les complices d’un coup d’état mondial dans les choses temporelles et de l’apostasie dans la sphère ecclésiale.

Remercions donc ceux qui bien avant nous, de leurs voix prophétiques ont lancé l’alarme sur la menace qui pesait à la fois sur la société civile et sur l’église catholique.

Question : Que pensez-vous de Mgr Lefebvre et de son combat, particulièrement dans son acte si controversé tels les Sacres de 1988 ?

Réponse : Je ne puis que regarder Mgr Lefebvre qu’avec admiration et beaucoup de gratitude pour sa fidélité et son courage. Un courage et une fidélité à toute épreuve face à tant d’adversité et d’hostilité, et même d’acharnement de la part d’une hiérarchie gagnée aux idées de la modernité et infiltrée par les partisans maçonniques d’un projet de destruction capillaire sans précédent, dont nous réalisons aujourd’hui toute la portée dévastatrice de ses extrêmes conséquences. Mgr Lefebvre doit être regardé comme un saint homme, non comme un schismatique, comme un fervent missionnaire et un confesseur de la foi, un zélé défenseur de la Tradition, du Sacerdoce et de la Messe catholique. Il s’est exposé à de grandes sanctions, jusqu’à l’excommunication, parce qu’il estimait plus juste de devoir obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes, de garder et transmettre la Tradition plutôt que d’embrasser les doctrines modernistes. Sa vie est marquée par la piété, l’esprit de sacrifice, le sens du devoir, la droiture de la conscience et par une grande cohérence intérieure. La sienne est une vie donnée à Dieu et à l’église, dévouée au service des âmes, à l’évangélisation, à l’enseignement et à la prédication de la Sainte Doctrine, à la célébration du Saint Sacrifice de la Messe et à la formation de jeunes hommes appelés au Sacerdoce. Une vie qui est toute entière un témoignage rendu à la Solidité de la Foi que nous ont transmis les Apôtres, les Pontifes, les conciles et les Saints Docteurs de la Foi et pour laquelle les martyrs ont versé leur sang. Certains jugent les Sacres de 1988 comme « un pas de trop », d’autres y reconnaissent une nécessité vitale pour la sauvegarde de la Messe de toujours. Mgr Lefebvre a saisi l’urgence du temps que nous vivons et le drame d’une situation qui s’est encore aggravée et a pris de nouveaux accents de gravité durant ces dernières années, rendant plus évident l’état d’exception dans lequel nous nous trouvons. Certains parlent de désobéissance, nous parlons de fidélité. Mgr Lefebvre a continué d’enseigner et de faire ce que la Sainte église a toujours fait et enseigné. Il s’est opposé au libéralisme, à la destruction de la Messe et de tout l’édifice liturgique de l’église, à la ruine du Sacerdoce, de la vie religieuse et des mœurs chrétiennes. Je le redis : certains parlent de désobéissance ; nous, nous parlons de fidélité.

L’Alliance anti mondialiste est un appel que j’ai lancé en novembre 2021, conscient de la très grave menace, sans précédent qui pèse sur l’humanité entière à cette heure de l’histoire, conscient aussi de l’urgence de constater partout un front de résistance visant à contraster le coup d’état planétaire orchestré par une élite puissante en vue de l’établissement d’un nouvel ordre mondial inhumain et anti–christique. Je n’ai jamais eu la prétention de devenir le leader d’un mouvement ni d’assumer son organisation. Tel un semeur, j’ai jeté aux 4 Vents la semence, afin qu’elle soit sagement recueillie et qu’elle puisse fructifier. Je ne saurais mesurer l’état de sa germination. La situation actuelle, tant au niveau des différentes nations que sur l’échiquier international est très mouvante, sombre et difficile à déchiffrer. Nous savons seulement que nous devons nous préparer intérieurement aux événements qui nous attendent.

Une chose est certaine, il est impossible de résoudre la crise civile et ecclésiale dans laquelle nous sombrons avec des moyens humains. Recherchons d’abord le Royaume de Dieu et sa Justice, et tout le reste nous sera donné par surcroît.

*******

Notre Conclusion :

Au-delà de tout syncrétisme, nous considérons les Propos de Mgr VIGANO comme essentiels et particulièrement salutaires. Ils se rapportent à une Tradition ancienne d’un christianisme en voie de disparition mais qu’il protège avec ardeur.

En Orient il est dit : « Tout ce qui est bien dit est Dharma ». « Les faux billets attestent toujours des vrais ». Et, tirée du Samyutta-Nikâya du Canon Pâli : « La disparition de la bonne loi n’a pas lieu tant qu’une contrefaçon de la bonne n’apparaît pas dans le monde. C’est lorsque la contrefaçon de la bonne loi apparaît dans le monde que la bonne loi disparaît ». N’est-ce pas ce que Mgr VIGNANO nous dit ?

Prajñâ


Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...