Les documents Pfizer continuent à être publiés, dans le silence complice des médias mainstream.
Fait intéressant, la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.
Ainsi, Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l'injection, les personnes de tous âges souffraient d'une immunosuppression transitoire ou, en d'autres termes, d'un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la 1e dose. Cela peut avoir faussé les taux d'infection, car les personnes n'étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur premier vaccin et officiellement complètement vaccinées 2 semaines après la deuxième dose. Or, si les personnes sont sensibles à l'infection au cours de cette première semaine, mais sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l'impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l'infection alors que ce n'est tout simplement pas vrai. L'essai de Pfizer lui-même a montré que l'infection était significativement plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo - 409 contre 287 - au cours des 7 premiers jours suivant le vaccin.
Le fait que Pfizer et la Food and Drug Administration des USA aient été conscients que le vaccin provoquait une immunosuppression est incriminant, maintenant que les données du gouvernement britannique montrent que, par rapport aux non vaccinés, ceux qui ont reçu deux doses sont :
- Jusqu'à 3 fois plus susceptibles d'être diagnostiqués positifs au COVID-19 ;
- 2 fois plus susceptibles d'être hospitalisés avec COVID-19 ;
- 3 fois plus susceptibles de mourir du COVID-19 Selon une comparaison des taux de mortalité, toute personne de plus de 40 ans qui a été doublement piquée est désormais plus susceptible de mourir du COVID qu'une personne non vaccinée du même âge.
Au 25 mars 2022, il y avait aux USA 145.781 hospitalisations et 26.396 décès répertoriés liés à la "vaccination".
Il n'y a jamais eu de produit médical dans l'histoire moderne qui puisse être comparé. Rien n'a été aussi nocif et mortel que ces injections expérimentales.
Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126.212.580 doses de son "vaccin" ARNm dans le monde. Divisé par 158.893 effets secondaires dont il avait reçu notification, nous obtenons un taux d'événements indésirables par dose de près de 1/800, ce qui fait qu'il était tout simplement irresponsable de "vacciner" en masse.
Résumé de l'article FDA and Pfizer Knew COVID Shot Caused Immunosuppression par Tara (Twitter)
Note :
Dans le bouddhisme, TARA est un bodhisattva féminin qui a des pouvoirs miraculeux notamment pour protéger contre les dangers physiques.
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Vidéo témoignage
"Qu'est-ce qu'ils nous ont injectés ?"
