mercredi, novembre 14, 2012

Comment Dieu disparut de Jorwerd




D’innombrables ouvrages ont été rédigés sur la transformation de la vie au village. Mais la manière dont « les forces du marché commencèrent à pénétrer dans la société civile et réduisirent à néant le domaine privé » (Barber) n’a peut être jamais décrite d’une manière aussi saisissante que dans l’ouvrage de Geert Mak, « Comment Dieu disparut de Jorwerd » (1996, traduit en allemand en 1999) un ouvrage entre temps devenu un classique.

Jorwerd est un petit village agricole de la province de la Frise, dans le Nord des Pays-Bas. Jusqu’à il y a quarante, cinquante ans, les fermiers contrôlaient le domaine central de l’économie, même si cette économie montrait une faible productivité. Cela commençait déjà au niveau de la famille :

« Les familles nombreuses classiques de paysans n’avaient pas la vie facile, mais elles avaient un gros avantage par rapport aux familles en ville : elles disposaient habituellement de leurs propres légumes produits sur place, de leur propre viande, de leur propre lait, beurre, fromage, œufs, pommes de terre, et pouvaient donc ainsi subvenir elles-mêmes à leurs besoins vitaux. » (p.23).

Ce qui devait être acheté en surplus (par exemple le café, le thé, le sucre, le savon) ne représentait pas une grosse dépense. Mais surtout, l’achat se décidait à partir du besoin bien déterminé. Et pourtant cela se modifia : « Jusque dans les années soixante, beaucoup de fermiers n’entraient jamais eux-mêmes dans un magasin. La situation de classe moyenne était chez elle. » Lors d’un entretien avec des villageoises plus âgées, celles-ci déclaraient: « Nous inscrivions dans un peut livre de comptes, ce dont nous avions besoin, mais pas plus. Le café, le thé, le savon qu’il fallait. Pour toute la famille, je n’achetais alors jamais plus que pour vingt marks par semaine. » (p.24). Ce système disparut irrémédiablement dans les années soixante-dix. les gens devinrent mobiles, la classe moyenne disparut à Jorwerd, la publicité et les bas prix des supermarchés dans la ville – désormais accessibles en voiture – modifièrent complètement les comportements d’achat.

Cela se produisit du côté de la consommation. Mais aussi, eu égard à la production, le contrôle s’en déplaça également vers l’extérieur. Car le progrès technique fit son entrée dans la ferme agricole. D’abord, surgirent les machines à traire et le tracteur remplaça le cheval. Ces investissements n’étaient pas encore de gros obstacles pour le fermier. Mais dans les années soixante-dix, cela aussi changea. Le réservoir à lait devint par exemple un standard : « les fermiers durent s’offrir de gros réservoirs à lait. Avant cela, on travaillait avec les bidons de lait démodés, qui étaient déposés le matin et le soir au bord de la route, afin que le camion de lait puisse facilement les prendre, une opération accompagnée du bruit et du claquement caractéristiques, pour les emporter vers les innombrables petites laiteries. » (p.94).

Le contrôle sur les circuits économiques se déplaça bien loin de la communauté locale. Des facteurs en provenance de l’extérieur, en particulier des découvertes techniques, jouaient désormais un rôle décisif. En outre, le fermier tombait dans la dépendance vis-à-vis des banques. Chez les fermiers de Jorwerd, l’acceptation du crédit amena dans les années soixante un changement de mentalité : « Pour beaucoup, les visites à la banque commencèrent déjà avec le premier tracteur, vers la fin des années cinquante. La plupart des fermiers ne pouvaient absolument pas payer comptant cet engin. Mais on eut besoin de plus en plus d’argent : pour des machines, des étables, pour des installations toujours nouvelles. Et lorsque, à partir de 1975, environ, l’argent de la laiterie, par l’intermédiaire du transporteur de lait, n’arriva plus sur la table de la cuisine (…) la banque prit une grande ampleur dans la vie des fermiers. » (p.95).

Les habitants de Jorwerd s’en remettaient de moins en moins les uns aux autres, mais de plus en plus à des gens extérieurs au village. Ce fut par exemple le cas du forgeron.

Le forgeron de Jorwerd était, comme les nombreux forgerons de village, un généraliste authentique. Il ferrait les chevaux, réparait les gouttières, posait les poêles, et même les réparations générales du tracteur ne lui posaient pas de difficultés particulières. Sur maintes voies ferrées de la Frise, circulaient encore par-ci par-là des Renault 4 réformées, qu’il avait astucieusement transformées en balayeuses des voies. Même sa Harley Davidson transformée en moto-balayeuse fut l’un de ses succès les plus exemplaires. Il aimait la technique de sa propre initiative, et cependant la technique se détacha finalement de lui. » (p.161 et suiv.).

« Chaque forgeron de village pouvait réparer sans problème les outils agraires les plus importants d’une ferme de 1970 : tracteurs, moissonneuses, outillages de traite, épandeurs à fumier et beaucoup d’autres encore. Pour les tracteurs et machines à traire qui apparurent sur le marché après 1970, cela ne valait plus. Elles étaient tellement bourrées d’électronique et de technologies, que seules des personnes jeunes pouvaient encore s’en sortir avec elles. Un forgeron ordinaire de l’ancienne trempe ne pouvait plus s’en tirer. Là aussi, les fermiers se retrouvèrent dans une dépendance toujours plus intense des forces économiques du monde extérieur. » (p.163). « Ainsi disparut à Jorwerd quelque chose qui, pendant des centaines d’années, avait fait corps d’une manière décisive à l’existence du fermier : sa propre économie à lui, à l’intérieur d’une plus grande. Les frontières entre les deux s’évanouirent, la digue de fidélités et de traditions se rompit de plus en plus, et tout d’un coup, le village fut entraîné et balayé comme s’il n’avait jamais existé. » (p.164).

Au moyen d’un contrôle modérateur sur l’économie, aussi bien sur le marché comme sur la production, l’État intervint en régulant – exactement comme le décrit Barber. Pour les fermiers de Jorwerd et ailleurs, l’introduction des contingents de lait fut une intervention extraordinairement couronnée de succès. En 1984, les ministres de l’agriculture européens décidèrent de limiter la production de lait. Chaque fermier ne fut plus autorisé qu’à produire une quantité déterminée. Chaque litre de lait, qui dépassait cette quantité, devait être sanctionné par une amende considérable. Il en ressortit des affaires de spéculation sur les quota de lait. Un fermier, à qui était permis une production de 250 000 litres de lait, obtenait de ce fait une droit de production d’un montant de 450 000 €, qu’il pouvait revendre. Par la suite, il y eut des quotas sur le fumier d’étable. Les éleveurs ne furent plus autorisés à dépasser une certaine quantité de fumier. Le marché spéculatif s’agrandit. Les éleveurs de cochons furent prêts à payer pour avoir le droit d’épandre leur excédent de fumier sur le terrain d’une autre ferme (p.105). Pour l’ensemble des relations sociales, il est très important dans ce contexte, qu’il s’agisse d’interventions qui n’ont pas la moindre influence sur le fermier particulier, mais qui agissent d’une manière décisive sur sa vie et en font de plus en plus une réalité virtuelle. Un fermier a récapitulé les effets de ces manœuvres de la manière suivante : « On n’est plus fermiers, on est producteurs. »

Cette perte, dans le contrôle de sa propre vie, ne fut pas compensée par plus de démocratie. La volonté de la population, de configurer sa propre communauté de vie, ne fut ni reconnue ni honorée. « L’État » veut une tutelle, même si cela est vraiment plus cher: « Alors que les journaux et la politique débordaient d’histoires « d’autonomie » et « d’entraide », la communauté utilisait d’une manière particulièrement rare, les possibilités, que le sens social villageois offrait encore dans la pratique. La plupart des grands changements à Jorwerd – le remblayage du port, la reconstruction – remontaient presque toutes à des suggestions des habitants eux-mêmes. Par la suite, c’est à peine si de telles initiatives se manifestèrent. Ainsi la route vers le champ « Kaat » n’était qu’un gros bourbier, mais un jour, Willem Osinga proposa de la remettre en ordre avec quelques volontaires en une paire de samedis après-midi – il y avait encore quelques pavés disponibles, et la communauté n’eût besoin que de livrer un charretée de sable —, mais cela ne se fit pas de cette façon. Plus tard, la communauté s’en est elle-même acquittée. Coût: trente mille Florins. « Avec cet argent, on aurait pu faire une foule de choses dans le village », bougonna Osinga. » (p.225 et suiv.).

Jos Verhulst et Arjen Nijeboer



Livre de Jos Verhulst et Arjen Nijeboer Démocratie directe, téléchargement gratuit.



Que sont devenus les paysans ? 

1950-2000, Jorwed, village-témoin 
Geert Mak 


L'agriculture européenne a changé davantage en quelques décennies qu'en vingt siècles auparavant. Sur fond d'exode rural, ce que nous voyons disparaître dans cet ouvrage aussi édifiant qu'essentiel n'est rien de moins qu'un mode de vie, fondé sur des acquis culturels immémoriaux.

Posant un regard attentif et sensible sur les phases successives de l'évolution d'un village du nord des Pays-Bas au cours de la seconde moitié du XXe siècle, Geert Mak nous montre, avec une belle puissance d'analyse et un sens de l'universel, comment la "révolution silencieuse" a consommé le déracinement de la société paysanne tout entière.

Qu'elle soit des Pays-Bas, de France ou d'ailleurs, la paysannerie a vécu partout les mêmes bouleversements technologiques et économiques, la même rationalisation implacable de ses outils de travail et de son imaginaire. Les conséquences de cette mutation, Geert Mak nous les commente sans nostalgie ni folklorisme, ce qui n'exclut pas chez lui une réelle empathie pour les personnages inoubliables qui peuplent son ouvrage, véritable roman historique. Et, page après page, nous ne voyons pas seulement disparaître les paysans, mais une partie de notre monde, un symbole, des valeurs, des souvenirs ; nous voyons, en quelque sorte, s'évanouir l'âme de notre société.




mardi, novembre 13, 2012

La Sagesse du Fou





« Des tibétologues payés par l'Etat et pourquoi pas des connerilogues grassement rémunérés !

« Il y a une école française de tibétologie. Deux chaires sont consacrées aux études tibétaines à l'École pratique des Hautes Études, trois équipes du CNRS comptent des tibétologues, cinq grandes bibliothèques de recherche en France possèdent des fonds tibétains importants. »  

Voici ce qu'a déclaré un de ces tibétologues :

« Nous sommes payés par la République pour enseigner, publier, apporter nos connaissances sur le Tibet et ses populations dont la culture singulière et d'un haut raffinement intellectuel est en danger, conséquence de la politique du gouvernement chinois depuis plus d'un demi-siècle. »

Bravo, s'exclame un internaute, pour le raffinement intellectuel des lamas tibétains ! »

Ce commentaire du post La conspiration cybernétique & le lamaïsme, mis en ligne hier, fait sourire les personnes qui connaissent la composition des pilules des 5 « nectars » (dont l’écœurante recette se trouve dans le Kalachakra Tantra), les pratiques de magie noire du Hevajra Tantra, les perversions sexuelles du Guhyasamâja Tantra, les rituels du 5ème dalaï-lama contenus dans un Vade-mecum diabolique, Le Manuscrit d'Or... Tous ces Tantras, où il est question de sexe, sang, sperme, excréments..., sont, aux yeux des tibétologues qui les traduisent, des textes raffinés...

Le post d'aujourd'hui débute aussi par une note d'humour, une petite histoire drôle proposée par Claude Louis Roudil :

Chez un commissaire priseur, on vend un perroquet aux enchères.

- 100 euros !
- 200 !
- 500 !
- 1000 !
(Etc...)

Au bout d'un moment, un homme emporte les enchères pour un prix exorbitant. Il s'adresse au commissaire priseur :

- Dites, votre perroquet, j'espère qu'il parle, pour ce prix ?

Et le perroquet répond :

- Qui a fait monter les enchères, d'après toi ?

Dans « La Sagesse du Fou », livre écrit par Claude Louis Roudil, le perroquet, le lion, le chat et l'aigle symbolisent quatre paliers d'évolution de l'homme.

Le perroquet. A ce premier stade, l'homme, « par nécessité ou pour sa survie, va reproduire des habitude et des modes de pensée ». […]


Le lion. « Le deuxième stade d'une logique évolution après avoir vécu une certaine accumulation de faits, d'idées, de principes, est « l'opposition » à ce trop plein de fausses évidences, associée à la recherche d'une indépendance », écrit Claude Louis Roudil. […]

Le chat. « A ce niveau on cherche encore l'indépendance mais aussi le calme, la sagesse et l'originalité. […] On ne fait pas faire ce que l'on veut à un chat, il n'obéit pas. » [...]

L'aigle. « Le quatrième niveau symbolisé par l'aigle est le stade ultime de sagesse non-duelle, de détachement et donc de liberté pour l'homme », précise Roudil.

La Sagesse du Fou nous fait sortir des marécages nauséabonds des pratiques magiques lamaïstes pour nous conduire jusqu'au plus haut niveau de la véritable spiritualité, l'espace infini non-duel symbolisé par l'aigle.

Ce livre est un manuel de sagesse qui peut s'ouvrir au hasard et chaque page délivre de précieux conseils inspirés en grande partie par le Ch'an/Zen, c'est-à-dire par un bouddhisme éloigné des sutras et des rites. Les racines du Ch'an/Zen plongent dans la grande simplicité philosophique de Lao Tseu, de Tchouang Tseu et du taoïsme originel.

A propos de conscience

« Pourquoi faut-il étudier la conscience ? Pour au moins trois raisons.

1) Parce qu'on ne peut pas échapper à soi-même. Parce qu'on ne peut fuir sa conscience. Partout où l'on va on l'emmène avec soi. Le naïf garde son innocence qu'il soit à Paris ou à New York. Le craintif traîne son angoisse et sa peur partout où il va. L'intellectuel emporte avec lui son savoir et ses conclusions. L'homme ordinaire traîne avec lui ses opinions et préjugés. Le passionné obéit partout à ses désirs et l'obsédé ne peut se séparer de ses fantasmes. Quant à l'homme simple, il garde sa modestie où qu'il aille.

2) Parce que nous touchons ici au cœur du fonctionnement de notre être. Si nous comprenons comment agit la conscience nous pouvons faire un pas de géant dans la connaissance du monde et de nous même car nous n'en sommes pas distincts. La conscience contient toute l'histoire de l'humanité. Tout phénomène n'a de sens que par la conscience.

3) Enfin, parce que l'action de l'homme dépend de sa lucidité. Lorsqu'il est parfaitement conscient, son action est correcte mais lorsqu'il est leurré par un phénomène mental, il s'égare. C'est par la connaissance de soi donc par la capacité qu'a la conscience de s'observer et de se reconnaître que l'homme peut comprendre l'origine et les motifs de son action. À l'inverse, ignorer sa conscience et son fonctionnement équivaut pour lui à vivre en fermant les yeux, donc à rester dans l'ignorance. »

Claude Louis Roudil, La Sagesse du Fou.



La Sagesse du Fou

Le « Je pense donc je suis. » de Descartes n'est valable que si je m'identifie à mes pensées. Mais si tel n'est pas le cas, alors que suis-je ? Je ne suis rien ? Pas tout à fait puisque l'être est toujours présent. L'être est là, c'est sa fonction ! Qu'est-ce que l'être ? Pour comprendre l'être il suffit de laisser passer ses pensées, sentiments et sensations comme dans la méditation bouddhiste Zen. Si l'on ne s'y accroche pas on réalise la vacuité de la forme. Rien n'existe « en soi » tout est impermanent et interdépendant. L'être est un ciel sans nuages. Il n'est qu'une transparence au-delà des apparences. L'être est cette non-entité toujours présente en nous. "Si tu ne trouves pas la vérité à l'endroit où tu es, où espères-tu la trouver ?" (Maître Dogen)


Editions Charles Antoni, L'Originel


Image :
http://www.wildart.co.uk/index.cfm/F2484299-3048-2B65-C0611CB209A02A7A/nav/Features

lundi, novembre 12, 2012

Conspiration cybernétique & lamaïsme





Hier, un internaute a commenté le post Tibet, près de 70 immolations par le feu en reprenant un extrait de l'un des premiers questionnements qui sont à l'origine de ce blog.

Il y a quelques années, je m'interrogeais sur une situation assez singulière :

Des universitaires, des chercheurs, des membres du CNRS, généralement rémunérés par les contribuables français, font ouvertement la promotion du lamaïsme en traduisant et commentant des livres tibétains. Mais pour quelle raison s'efforcent-ils de dissimuler les horreurs contenues dans des textes comme la biographie secrète du cinquième dalaï-lama, Le Manuscrit d’Or, par exemple ?

Le contenu de ce manuscrit est qualifié de « trésors mystiques » par d'érudits tibétologues payés pour se moquer du monde, car en réalité, quand on l'examine attentivement, Le Manuscrit d'Or du cinquième dalaï-lama est un monstrueux Vade-mecum de magie noire. Il contient des rites macabres nécessitant des ingrédients répugnants. Selon le cycle du rD-rje gro-lod gnam-lcags ‘bar-ba, l’encens est remplacé par la chair humaine brûlante (sha-chen-gyi bdug-spos), les lampes sont alimentées par de la graisse humaine fondue (tshil-chen-gyi mae-me), le sang remplace l’eau rituelle, les fleurs sont substituées par des yeux… Une peau humaine (g.yang-gzhi) et un crâne sont utilisés par les magiciens tantriques qui suivent les instructions données par le Zur Chos-dbying rang-grol. L’initiation à la déesse gSang- sgrub, un aspect particulier de dPal-dan lhamo (la protectrice du dalaï-lama), demande une tête humaine fraîchement coupée.

La barbarie qui émaille la « spiritualité » du cinquième dalaï-lama n’émeut personne. Elle passe totalement inaperçue, noyée dans le courant d’éloges et d’émerveillement inconditionnels qui transporte le bouddhisme tantrique au cœur des nations modernes. De nombreux artistes et des intellectuels succombent à la fascination du lamaïsme magique et… sanguinaire. Mais qui veut voir les coupes crâniennes remplies de sang représentées sur presque tous les tangkas ? Les tantras les plus obscènes et les moins ragoûtants sont traduits et qualifiés de révélations merveilleuses.

L’attrait du lamaïsme s’explique-t-il par des influences occultes ? Nombre d’Occidentaux sont fascinés par les pouvoirs surnaturels, les fameux siddhis qui apparaissent en corollaires de l’évolution spirituelle. Malgré les avertissements traditionnels, des adeptes du lamaïsme entretiennent l’espoir secret de maîtriser des forces qui permettent de lire dans les pensées, de prévoir l’avenir, d’opérer des matérialisations, de rendre des objets invisibles, de pénétrer dans des corps étrangers et de pratiquer la lévitation. Pantañjali évoque ces pouvoirs surnaturels dans son « Yoga-soutra ».

Aujourd'hui, l'auteur de Conspiration Cybernétique a aimablement apporté sa contribution afin de nous permettre d'échapper aux manipulations des érudits tibétologues et autres propagandistes du lamaïsme. Il écrit :

« Dans mon livre Conspiration Cybernétique, j'explique notamment que le principe de réincarnation des TULKU est un mode de manipulation magique qui n'a pas séduit que les seuls lamas. Je pense que cette façon de maintenir des trames en activité au delà des règles propres à la manifestation terrestre d'une incarnation régulière, se pratique également pour le maintient de certaine dynasties à l’œuvre pour la domination du monde. Ce n'est donc pas un hasard si tout ce beau monde fait un si bon ménage.

Je décris les 2 voies possibles : soit par la transmission d'un patrimoine spécifique d'ADN et ou par le transfert d'une trame dans un nouveaux corps utilisé ensuite pour sa spécificité biologique réceptacle d'une entité propre à la dynastie en question. Par exemple, le grand-père renaît corps et âmes si l'on peut dire à travers le petit fils, etc.

Cela afin de garder l'emprise de la dynastie sur un empire financier et pour la poursuite d'un plan hégémonique caractérisant les eugénistes dans la tradition des fameux dieux venus du ciel... Autrement dit, les usurpateurs de l'humanité primordiale se sont maintenus contre vents et marées, tout comme les 14 incarnations du Dalaï-lama... Il est clair que si ces créatures avaient œuvré pour le bien de l'humanité nous n'en serions pas là.

L'objectif de la Conspiration Cybernétique est aussi de mettre en avant l'hypothèse que des changements en profondeur s'opèrent dans les constructions astrale des égrégores propre à ces trames. La dissolution est en cours et l'usage de cette magie ne pourra plus fonctionner par la redistribution des cartes qui vient. Il s'agit bien d'une mise à zéro des compteurs ce qui va permettre la reprise d'une trajectoire en vortex ascendant pour l'humanité et toutes les autres formes de vie terrestre. Il ne s'agira plus de la logique d'un cercle tournant sur lui même, rejouant en permanence le même film.

Par ailleurs, il est utile de dire que l'exploitation de la fission nucléaire à largement contribué aux dérèglements des plans éthériques, sabotant au passage la manifestation d'instructeurs clairvoyants destinés à l'accompagnement de l'humanité dans les changements en cours. Voilà une des raisons qui font que des êtres d'exception se sont retrouvés catapultés dans des existences ne leurs permettant pas d'accomplir leurs tâches... Voilà également pourquoi des cercles occultes ont mis en place de prétendus instructeurs, Paraclet et autre Maitreya... Et voilà pourquoi les gourous ont pris le pouvoir dans les consciences occidentales durant les années 50 et 70. Il s'agissait bien de remplir un vide sidéral implacable. D'autre part, l'énergie propre a une espèce répond à des exigences particulières pour le maintient de cette derrière sur le plan concordant avec son niveau d'évolution. Dans le cas de l'espèce humaine, le sabotage est parfait. L'intoxication chimique des corps et la démence organisée conditionnent globalement la destinée de l'espèce. Autrement dit, l'humanité est plaquée sur la note exclusive du sol alors que nous devrions bénéficier de toute la gamme. Il est clair que si cela était à nouveau possible nos formidables facultés nous permettraient de voir les ordinateurs pour ce qu'il sont c'est à dire des machines inutiles appartenant à une histoire révolue.

Voilà pourquoi un monde entièrement virtuel se construit sous nos yeux. Cet univers virtuel permet à ces entités aux abois d'accéder à la vie éternelle, qui leur fait défaut, grâce aux circuits de la sphère électromagnétique et bientôt quantique. Les plans supérieurs leur sont définitivement interdits, il n'ont alors pas d'autre choix que de créer de toutes pièces un monde de secours.

Ce n'est pas drôle car dans cette perspective il est clair que l'humanité laborieuse est obsolète. Le transhumanisme est là pour nous en convaincre. Ce n'est pas une illusion mais une triste réalité, car l'illusion est de croire que tout n'est qu'illusion, et le New Age est là pour nous y faire croire. »

Sinouhé l'ARTISTE
Le blog de Sinouhé l'ARTISTE :

Quelques folios extraits du Manuscrit d'Or :

Les ingrédients du cycle rituel du rDo-rje gro-lod gnam-lcags’bar-ba :
http://bouddhanar-1.blogspot.com/2009/12/les-offrandes-tantriques-des-dalai.html


Un rite lamaïste requiert une tête humaine fraîchement coupée :
http://bouddhanar-1.blogspot.com/2009/12/ofrrandes-rituelles-des-dalai-lamas-ii.html

Le cœur d'un enfant né d’une union incestueuse était (
est – si ce rituel est pratiqué secrètement de nos jours) disposé sur l'autel d'une déité vénérée par les lamas tibétains :http://bouddhanar-1.blogspot.com/2009/12/offrandes-des-dalai-lamas-iii.html


samedi, novembre 10, 2012

Tibet, près de 70 immolations par le feu





On peut comprendre le geste de Mohamed Bouazizi, le jeune tunisien qui a préféré mourir que de vivre dans la misère (les autorités lui ayant confisqué son outil de travail, une charrette de marchand ambulant). En s'immolant par le feu le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi fut à l'origine d'un mouvement social qui se répandit dans toute la Tunisie et mit fin à la dictature.

Au Tibet, les immolations par le feu de moines bouddhistes posent une question : 

Comment des moines peuvent-ils être affectés par les méandres de la politique et les autres illusions du samsara au point de s'autodétruire ? Tous les bouddhistes savent que l'existence humaine est trop précieuse et trop difficile à obtenir pour être gaspillée.

Dans le bouddhisme il est possible de mettre fin à ses jours en prétextant le suicide altruiste. En effet, selon les Jâtakas (les récits des nombreuses vies antérieures du Bouddha), Shākyamouni, avant de devenir le Bouddha historique, aurait dans une lointaine existence offert son corps à une tigresse affamée allaitant 5 tigrons. Ainsi, la notion de suicide altruiste permet de manipuler des personnes dans un but social, politique ou militaire. Durant la seconde guerre mondiale, les kamikazes étaient « bénis » par des responsables religieux du Japon, des dignitaires bouddhistes et des prêtres shintoïstes. En outre, les lamas tibétains propagent une doctrine guerrière parmi les initiés de Kalachakra. Dans une vie future, ces initiés seront, leur dit-on, les combattants glorieux de Shambhala qui viendront établir le nouvel ordre mondial de la bonne loi ou du saint Dharma ; le suicide altruiste ne crée pas de mauvais karma.

Autre chose, sans pour autant dédouaner les autorités non démocratiques de Chine, les personnes qui connaissent un peu la fausseté des hiérarques tibétains et les ambiguïtés du dalaï-lama sont toujours prudentes sur la question de la répression des libertés au Tibet. Personnellement, il y a quelques années, j'avais parcouru une grande partie du Kham et le nord du Yunnan sans être inquiété par la police chinoise. Pourtant, j'avais souvent revêtu ma tenue monastique (à l'exception du gilet bleu, cette tenue est identique à celle de l'école du dalaï-lama).

Dans le Yunnan, à Shangrila (anciennement Zhongdian en chinois et Gyalthang en tibétain), j'avais rencontré un américain installé dans cette région comme éleveur de bétail. Pour rien au monde, il aurait envisagé de repartir aux USA. Quand on a vu le Yunnan, il est facile de comprendre ce yankee. Mais, c'est bien connu, la privation de liberté enlaidit tout...

On ne peut nier que les Hans, l'ethnie chinoise majoritaire, posent des problèmes au Tibet et dans d'autres régions de Chine où vivent les shǎoshu mínzú, littéralement « peuples en petit nombre », c'est-à-dire les « minorités ethniques ». En effet, les Hans sont de redoutables concurrents pour les commerçants, artisans, ouvriers, employés, chômeurs... de ces minorités. De plus, au Tibet, la politique de sédentarisation accentue les tensions. Les Tibétains sont forcés d’installer des clôtures de barbelés autour de leurs troupeaux. « Les nomades tibétains, écrit la réalisatrice Geneviève Blault, qui avaient réussi à préserver leur mode de vie ancestral jusqu’à tout récemment, voient désormais leur existence menacée au quotidien. Le gouvernement de Beijing est convaincu que la population nomade doit accéder à des standards de développement occidentaux. En 2010, les autorités chinoises visaient un taux de sédentarisation de 80% des nomades à la grandeur du plateau tibétain. »

En réalité, comme en France et partout dans le monde, le peuple tibétain est confronté aux problèmes générés par le capitalisme et la mondialisation (chômage, pauvreté, domination de l'argent, despotisme oligarchique...). 

Ce qui est certain, les Tibétains n'ont pas l'intention de restaurer l'ancienne dictature religieuse des lamas.





vendredi, novembre 09, 2012

Prendre aux pauvres pour donner aux riches




Dans Le Capital, le dernier film de Costa-Gavras, un homme propulsé à la tête d'une banque, Marc Tourneuil (joué par Gad Elmaleh), déclare :

« Nous allons continuer de prendre aux pauvres pour donner aux riches. »

Cette petite phrase résume toute la perversité du système oligarchique.

Les oligarchies impérialistes

J'ai appris une chose et je sais en mourant
Qu'elle vaut pour chacun :
Vos bons sentiments, que signifient-ils
Si rien n'en paraît au dehors ?
Et votre savoir, qu'en est-il,
S'il reste sans conséquences ? [...]

Je vous le dis :
Souciez-vous, en quittant ce monde,
Non d'avoir été bons, cela ne suffit pas,
Mais de quitter un monde bon !
BERTOLT BRECHT
Sainte Jeanne des abattoirs


« Une oligarchie étroite qui n'a jamais connu son Vichy, qui n'a donc jamais été démasquée, règne depuis plus de cent cinquante ans sur un État et un peuple dont la législation, le système idéologique et les bureaucraties électorales sont étroitement adaptés à ses besoins. Grâce à un système bancaire extraordinairement hypertrophié, grâce aussi à ces institutions admirables que sont le secret bancaire et le compte à numéro, l'oligarchie suisse fonctionne comme le receleur indispensable du système capitaliste mondial. Avec son butin quotidien, elle finance ses propres aventures étrangères : ses sociétés multinationales contrôlent aujourd'hui, de l'Indonésie à l'Afrique du Sud, du Brésil au Guatemala, des régions et des populations entières. Le bilan commercial de la Suisse avec les pays de la misère est — fait unique pour un État industriel d'Europe — constamment excédentaire. Au sein du système impérialiste mondial, les seigneurs de la banque de Genève et de Zurich exercent de nombreuses autres fonctions ils contribuent à l'étouffement du Chili populaire en réduisant, puis en coupant les lignes de crédit internationales. Ils « stabilisent » puis renforcent les dictatures racistes d'Afrique du Sud, de Rhodésie, les régimes totalitaires de Bolivie et d'Indonésie. Mais leur victoire la plus éclatante, les seigneurs de la banque helvétique la remportent au niveau de la lutte de classe idéologique : par leur appareil de propagande internationale hors pair, par leur corruption de larges secteurs de la classe politique autochtone, les seigneurs de la banque répandent l'idée d'une identité complète entre leur stratégie de pillage et de recel et les intérêts nationaux de l'État et du peuple suisses. Produisant constamment un discours de neutralité et de paix, le visage à demi masqué par le drapeau de la Croix-Rouge, les seigneurs de la banque, ces monstres froids, se font passer, auprès des peuples du dehors comme de leurs sujets autochtones, pour des philanthropes, riches certes, mais pacifiques et pieux. [...]

La planète où nous vivons est un charnier. Ce charnier, les oligarchies impérialistes s'appliquent à le remplir jour après jour de victimes nouvelles. Je connais de près l'une de ces oligarchies, celle qui opère à partir de la Suisse. Je veux dire sa praxis. Et du même coup je veux faire voir la dépendance que cette oligarchie instaure pour la Suisse en tant que nation, en tant que peuple, à l'égard de l'impérialisme. Aucun doute : l'impérialisme, stade suprême du capitalisme, est aujourd'hui en « crise ». Mais cette « crise » est une crise de restructuration, d'adaptation, non une agonie. [...]

Qu'est-ce que l'impérialisme ? Assis sous les voûtes sombres de la « Predigerkirche » (Église des prédicateurs), transformée en bibliothèque municipale, à Zurich en 1916, Lénine a tenté de répondre à cette question : le système capitaliste se nourrit de l'accumulation ininterrompue de capitaux, de l'accélération et de l'intensification de la production, du pillage des ressources disponibles de la nature, du savoir rapidement cumulatif en matière de gestion, de technologie et de science. Un jour, ce système entre dans ce que Lénine appelle le stade « hégémonique ». Ce jour est arrivé en Suisse, en France comme dans d'autres pays de l'Europe industrialisée, aux États-Unis, au Japon. L'accumulation capitaliste concentre entre les mains de quelques-uns des richesses colossales. La concurrence entre groupes capitalistes rivaux tend à disparaître. Les monopoles naissent. Ce sont des groupes de capitalistes qui dominent un ou plusieurs secteurs économiques précis et qui y dictent leur loi. Or, les monopoles ont une tendance naturelle à l'expansion. La maximalisation du profit, la croissance continue sont leur règle. Les monopoles conquièrent le monde. Partout ils font reculer les modes de production pré-capitalistes. Ils raflent des marchés sur les cinq continents, occupent les régions productrices de matières premières et détruisent — avec les modes de production non capitalistes — des univers entiers de civilisation. Bref : ils font un monde à leur image.

Max Horkheimer dit : « Désormais, toute histoire est histoire de marchandise. » Quelle marchandise devient sujet de l'histoire ? Le capital financier. Il est composé par le capital industriel et le capital bancaire. Entre les mains de ceux qui le possèdent, il devient une arme d'une terrifiante efficacité. Le petit groupe d'hommes qui, dans chaque pays capitaliste-hégémonique du centre, possède, utilise, met en œuvre la stratégie du capital financier s'appelle l'oligarchie.

Deux questions préalables se posent. La première : existe-t-il une spécificité de l'impérialisme secondaire par rapport à l'impérialisme premier ? Ou l'impérialisme secondaire n'est-il qu'un impérialisme sous tutelle, totalement dépendant, bref, un simple relais de transmission dans la hiérarchie mondiale du mépris et du profit ? A cette question les fondateurs de la sociologie de l'impérialisme ont répondu d'une façon uniforme et claire : Pas de spécificité qui tienne ! L'impérialisme secondaire est un impérialisme tout à fait ordinaire qui ne se distingue en rien d'un hypothétique impérialisme premier. Or, depuis la publication de leurs analyses, le paysage social de la planète a subi nombre de mutations importantes. La question se pose dans des termes nouveaux. Elle exige un nouvel examen. Deuxième question préalable : l'impérialisme est le stade ultime du développement capitaliste. Il est le capitalisme, il en véhicule la rationalité la plus intime, la visée la plus visible, le projet le plus meurtrier. Il ne disparaîtra qu'avec le système capitaliste lui-même. »

Jean Ziegler, Une Suisse au-dessus de tout soupçon, 1976.


Assommons les pauvres







L'Opéra de quat'sous de Bertolt Brecht


L'Opéra de quat'sous (Die Dreigroschenoper) est une comédie musicale de Bertolt Brecht et Kurt Weill. Il s'agit de la lutte de pouvoir et de concurrence entre deux « hommes d'affaires » : Jonathan Jeremiah Peachum, et un dangereux criminel, Macheath dit « Mackie-le-Surineur » (Mackie Messer). 

"M'sieur Mackie croque son prochain"


Les dents longues, redoutables
Le requin tue sans merci
Le surin au fond d'la poche
Sans reproche, c'est Mackie

Sur les bords de la Tamise
Le sang coule dans la nuit
On périt les poches vides
Poches pleines, quelqu'un fuit

Jenny Trowler agonise
Un couteau entre les seins
Sur les rives dans l'eau grise
M'sieur Mackie s'en lave les mains

Et la veuve d'âge tendre
Que l'on viole dans son lit
Que l'on vole sans attendre
Le gentleman, c'est Mackie

L'incendie sur la ville
Le feu brille, la mort vient
On s'étonne, on questionne
Oui mais Mackie ne sait rien

Le sang coule des mâchoires
Au repas du grand requin
Mains gantées et nappe blanche
M'sieur Mackie croque son prochain...


mercredi, novembre 07, 2012

La Conspiration Cybernétique





« La conspiration Cybernétique » est un texte écrit par Sinouhé l'Artiste, un lecteur de Bouddhanar. On y trouve des associations intéressantes entre la cybernétique, l'occultisme et la politique luciférienne des maîtres du monde.

« La Conspiration Cybernétique » permet d'entrevoir un programme qui vise à modifier radicalement la société. L'élite accédera à l'immortalité dans une trentaine d'années (2045 Avatar Project) grâce à la réalisation, d'abord, d'une sorte de double numérique, puis d'un corps hologramme immortel. Quant au commun des mortels, il est destiné à l'esclavage.

Pour en savoir plus sur l'immortalité en 2045 : http://bouddhanar.blogspot.fr/2012/08/immortalite.html )

En ce jour de réélection d'Obama, beaucoup de personnes regardent vers l'Amérique du nord. Or cette région du monde occupe une place particulière dans les recherches de Sinouhé l'Artiste. Son texte débute par une analyse étonnante de l'autre réalité qui se cache derrière la municipalité de Palo Alto, dans le comté de Santa Clara, au sud de la péninsule de San Franscisco.


Palo Alto
L'antre de la bête


« La relation avec Palo Alto ("le Grand ARBRE"), écrit Sinouhé l'Artiste, vient du fait que cette ville est l'épicentre de toutes les innovations cybernétiques avec quelques autres lieux de par le monde ; mais on peut dire, que c'est à Palo Alto que le lien avec la génération Peace and Love prend tout son sens.

Dans les années 50 et 60, Palo Alto a été un des points de rencontre de la génération LSD avec les prototypes de la GEEK attitude avant de devenir le poumon de la silicon valley et le lieu d'expérimentation des dogmes de la société occidentale actuelle. Cette zone compte également un nombre considérable de sectes sataniques ou apparentées comme l'institut "Esalen" ainsi qu'un nombre sidérant de cultes New Age plus débiles les uns que les autres... Les premiers missionnaires catholiques avaient placé Palo Alto sur le "Camino Réal" ça ne s'invente pas...

Dans les anciennes mythologies et avec une perception accrue, comme celle de certains chercheurs, il semblerait que cette terre de la Californie (le Chaud Fourneau) soit un vestige du continent perdu de MU (voir la petite histoire de Californie dans la suite des extraits de Palo Alto l'antre de la bête) beaucoup d'indices vont dans ce sens. Il est également question de l'or de la Californie, d'où la fameuse fièvre de l'or qui a rendu célèbre dans le monde moderne cette région. Une ancienne légende amérindienne raconte que cette terre était gardée par des amazones noires à la tête d'une armée de griffons et dont les armes étaient faites d'or pur... Le lien avec la City et les princes noirs actuels est alors possible... L'or de la City de Londres est également gardé par des griffons, comme la plupart des lieux où se terrent les grands prédateurs de ce monde... Les chiens ne font pas des chats, enfin pas encore...

La raison doit faire admettre que certains vestiges cyclopéens que l'on retrouve de par le monde sont bien antérieurs au déluge et confirment l'existence des fameux peuples de l'Atlantide, des géants, des cyclopes et autres chimères qui peuplent encore les livres saints et les symboliques des loges maçonniques, des édifices religieux et des grimoires de toutes les magies.

Notons que la partie nord de l'Amérique est redevenue depuis peu de temps la puissance qui veut en imposer au monde entier. Cela montre que l'histoire est un éternel recommencement et que les trames karmiques sont opiniâtres quant à vouloir retrouver inlassablement l'origine de leur origine. Mais la question qui se pose est la suivante : comment se fait-il que ce vaste territoire soit resté aussi longtemps sans aucune reconstruction digne des civilisations de l'Amérique du sud ? Cette vaste terre resta des milliers d'années seulement peuplée de quelques tribus dont le point commun a été de ne pas déranger la terre mère par leur présence, se déplaçant à pied au gré du mouvement des troupeaux et de la clémence du climat... On comprend alors pourquoi les civilisations de l'Amérique du sud considéraient ce vaste territoire comme une terre maudite où vivaient les esprits démoniaques en quête d'une nouvelle existence...

Il y a là un lien qui explique comment aujourd'hui des êtres d'apparence humaine sont devenus en peu de temps des prédateurs voraces et insatiables persuadés que la destinée du monde est entre leurs mains. Nul doute que les parasites dimensionnels de la terre maudite attendaient impatiemment l'arrivée de véhicules de chair pour préparer leur entrée dans la sphère électromagnétique en élaboration à Palo Alto.

Si l'on considère que le nouveau monde est la terre maudite racontée dans les légendes des Amérindiens, alors on comprend pourquoi les vieilles émanations diaboliques des lignées encore actives de par le monde ont voulu à tout prix revenir sur les terres de leurs anciennes résidences pour reprendre leurs projets hégémonique et eugéniste là où ils étaient restés il y a des milliers d'années, avant la grande guerre inter-dimensionnelle à l'origine du méga cataclysme qui "précipita les étoiles sur le sol". [...]

Les points communs que l'on rencontre de par le monde, à travers les légendes et les vestiges des antiques civilisations, sont autant de preuves qui indiquent clairement qu'un tronc commun est a l'origine de toutes ces civilisations post-atlantéennes. 

Aujourd'hui, les habitants de la terre ne sont pas évolués mais amnésiques, alors qu'un petit groupe d'initiés connaît parfaitement la véridique histoire de l'humanité afin de garder une longueur d'avance sur la masse humaine. Il ne fait aucun doute que tous les trésors et toutes les preuves de la véridique histoire de l'humanité ont été conservés par certains cercles initiatiques dans l'attente d'un possible retour de leurs dieux qui viendraient encore et toujours du ciel à moins qu'ils ne décident de les rejoindre définitivement en enfer...

Il faut pourtant admettre que ces dieux venus du ciel sont ces êtres décrits dans les tablettes sumériennes. Avec le temps, et divers accouplements avec les filles de la terre, ils sont devenus les démiurges des écritures hermétiques que les initiés des cercles occultes se sont transmis de génération en génération. Les fables post-diluviennes, relatées dans toutes les légendes du monde, sont à l'origine des religions de la discorde mondiale actuelle alors que les secrets technologiques des anciens dieux sont entre les mains des prétendus scientifiques des laboratoires de recherche à la solde d'une espèce qui n'a plus grand-chose d'humain... Il ne fait aucun doute que les dieux venus du ciel des fables hermétiques connaissaient bien les trésors technologiques que le monde actuel et en train de redécouvrir à ses dépens, car de ces merveilles viendront l'esclavage numérique des peuples et leurs extinctions par le chaos. Les dieux connaissaient d'autant mieux ces technologies d'un autre monde car elles ont été à l'origine de la création de l'ADAM à partir de manipulations génétiques sans lesquelles les dieux venus du ciel ne pouvaient pas rester sur terre pour se baffrer dans le jardin d'éden sur dos de l'ADAM. Dieu a fait l'homme à son image et l'homme n'a pas eu d'autres choix... 

C'est en cela que résident le chaînon manquant et la disparition de l'humain primordial vivant encore en nous dans ce que les savants du moment appellent l'ADN poubelle. C'est par ce parasitage que l'homme actuel est confronté à la dualité infernale qui le conduit à toujours choisir les pires solutions pour sa destinée, dissonance plutôt que consonance, toujours le même choix... La construction d'un monde entièrement virtuel en est encore l'illustration, car l'homme bâti avec son sang et sa sueur les murs d'une citadelle qui lui sera interdite, mais son ego sur-dimensionné lui fait croire que son nombril est le centre de l'univers, et la vie éternelle est un dû et non une quête. 

L'enfer Cybernétique sera à la mesure des paradis artificiels que l'homme appelle de ses vœux car la souffrance de la chair lui est insupportable, et cette souffrance est proportionnelle à la démesure de la Babylone cybernétique en construction.

La Grande Babylone cybernétique

Voici le temps de l'emprise "Cybertechnologique" sur le genre humain dans la perspective du transhumanisme et de l'ère post-sapiens qui s'annonce. Le transhumanisme est présenté comme l'avenir de l'espèce par les papes de cette posture prétendument avant-gardiste, mais réellement mortifère. Avant cela, il faut que l'humanité turbulente se soumette aux maîtres architectes d'une nouvelle configuration planétaire que certains nomment aujourd'hui le nouvel ordre mondial. En fait de nouvel ordre, il s'agit plutôt d'un nouveau monde entièrement virtuel similaire à ce que nous montrent les prétendues fictions hollywoodiennes à la mode augmentées d'effets spéciaux 3 D et aux implants viraux à effet retard qui vont avec... En plus du pouvoir de séduction de la lanterne magique, il s'agit de préparer les consciences à cette nouvelle version de la manifestation, non plus divine mais cybernétique. Dans ce nouveau "JEU" l'humanité, dans sa forme actuelle, n'aura que peu d'utilité, mais l'homme est le seul à ne pas s'en rendre compte, persuadé que sa présence sur terre est indispensable, ce qui est bien naturel. Ce qu'il ignore, c'est qu'il n'est pas au programme du plan global des marionnettistes qui opèrent derrière les écrans de fumée haute résolution de l'illusion aujourd'hui quotidienne de l'existence moderne. Les vrais maîtres ne sont pas les pantins qui s'agitent devant les foules, ils sont les rémanences des plus anciennes lignées déjà issues de l'hybridation contre nature abondamment décrite dans les textes des plus vieilles épopées mythologiques à l'origine des croyances de l'homme actuel.

L'idée d'un gouvernement mondial n'est qu'une étape pour la mise en place de cette matrice cybernétique où l'intelligence artificielle sera génératrice de toutes les fantasmagories, dès lors que des consciences, autrefois incarnées dans les êtres de chair, pourront exister dans les nano-gels des programmes quantiques de la sphère micro-informatique. La non-vie éternelle en somme.

En fait, il s'agit d'utiliser le support cérébral humain comme modèle à l'élaboration d'un double artificiel qui à terme sera en mesure de récupérer l'ensemble des données contenues dans un cortex cérébral modèle. Le plug in de la conscience du modèle dans sa totalité sera alors possible. L'hybridation HOMME/MACHINE sera de cette nature, l'interaction sera possible avec les multitudes de programmes mis en réseaux à travers les super ordinateurs aux puissances de calcul hors de l'imagination. Là seront les nouveaux territoires d'une nouvelle créature existant sur un autre plan de conscience virtuelle, celui des mondes infra-matériels. Le film Avatar a donné un aperçu idéal de ce genre de transfert opérationnel dès aujourd'hui, le film Total Recall a donné un aperçu des moyens mis en œuvre pour préparer l'humanité à la reprogrammation totale de sa trajectoire régulière. Il est important de préciser que l'homme de chair, augmenté en implants robotiques, plus connu sous le nom de cyborg n'a pas pour vocation, comme on veut nous le faire croire, de répondre aux défaillances du corps humain. Dans un avenir proche, ces créatures "cybertronique" seront conformes à la fiction présentée dans la série des films TERMINATOR. Leur usage sera la maintenance des installations terrestres des princes de la nouvelle Babylone électromagnétique. La nature, elle aussi, n'a que peu de place dans ce projet. Les cyborgs seront conformes avec la vision d'Einstein qui disait que la plupart des êtres humain pourraient se passer de cerveaux, la moelle épinière suffisait largement pour remplir les fonctions qui sont les leurs. On comprend mieux le rôle d'Einstein dans la trajectoire de l'humanité.

Le poète, l'artiste, l'homme dans sa merveilleuse nature n'ont aucune place dans ce programme en tant qu'être vivant... La bibliothèque numérique de la sphère électromagnétique micro-informatique sera en mesure de générer à peu près n'importe quelle production visuelle plus vraie que nature à travers les bases de données actuellement mises en Qbit et capable de répondre a n'importe quelle question par l'intermédiaire de l'interface WATSON (quel fils), actuellement incarnée sur le plan virtuel dans le CLOUD.

Peu de gens sont au courant (c'est le cas de le dire) mais les plus célèbres vedettes et le STARS du moment n'ont aucune responsabilité créatrice dans les tubes qu'elles produisent... Des machines sont à l'œuvre pour eux à partir de programmes spécialement conçus pour mettre en séquences leurs natures spécifiques augmentées par des virus sonores destinés à frapper l'inconscient des FANS dans la perspective d'inhiber ou d'exacerber certains comportements, certaines postures sociales, en plus de rapporter des milliards aux opérateurs de l'industrie "CYBERTSHOW". [...]

"La Conspiration Cybernétique" apporte un éclairage original permettant de réunir les morceaux d'un puzzle extraordinaire. Dans ce livre j'ai mis en lumière les liens entre, la Beat génération, la contre culture des années 60 , le LSD et les drogues pharmaceutiques, les agences de renseignements, les cercles occultes, les laboratoires pétrochimiques et les centre de recherche cybernétique, l'ensemble remis en perspective et en lien avec une trajectoire qui prend sa source dans les plus anciennes fables hermétiques relatant l'épopée humaine depuis les mondes antédiluviens.

Il est certain qu'un vaste plan de reformatage de l'espèce humaine est en cours de réalisation dans la perspective des événements décrits plus haut. La Beat Génération a été l'embryon d'un processus diabolique d'expérimentation à l'échelle d'une génération à partir des principes cybernétiques mis en applications pour la modélisation et la transformation en profondeur des consciences occidentales notamment. Dès les années 50, le baby boom s'est transmuté dans une opération de contrôle mental sous la bannière Peace and Love, en vue de préparer les hommes à l'avènement de l'ère informatique et à la suprématie de l'intelligence artificielle au détriment de la réflexion humaine et de son cheminement plus lent mais régulier au regard des règles fondamentales de l'univers... Par le biais du flower power, il a été possible de construire et d'expérimenter un modèle qui est aujourd'hui utilisé chaque fois que les "princes" de ce monde souhaitent mettre la main sur un pays ; depuis les révolutions des fleurs, des couleurs et enfin des printemps arabes. 

Sur d'autres plans, le sabotage spirituel est toujours un ingrédient incontournable et la recette de l'obscurantisme religieux est souvent de la partie. Pour ceux qui étaient déjà là, on se souvient, dans les années 50 et 60, de l'invasion en Occident des gourous et autres maîtres spirituels (aujourd'hui ascensionnés) qui, en plus de détruire les bases de la conscience propre à un individu dans le sens spirituel, est à l'origine de l'engouement actuel des postures inspirées de l'advaita védânta qui prône la non-dualité mise à toutes les sauces New Age avec en prime l'amour universel qui consiste à aimer tout le monde, cela revient à n'aimer personne finalement. La mission est donc accomplie. Il est urgent de dire que cette posture est une bénédiction pour ceux qui souhaitent prendre le contrôle pendant qu'une partie de l'humanité attend l'illumination dans la position du lotus. Il est aussi important de dire (comme un malheur n'arrive jamais seul), que tout cela a été savamment orchestré par des créatures comme Aldous Huxley lui-même converti au védânta dans l'attente de l'avènement de son meilleur des mondes. Nous y sommes presque...

La clef de toute cette formidable organisation inhumaine est sans aucun doute la cybernétique qui a justement vu le jour à la fin de la dernière guerre mondiale, mais qui a été conceptualisée par les promoteurs de l'eugénisme aux 19e siècle.

Il semble clair que les scientifiques nazis de l'opération, "paperclip" ont été particulièrement actifs dans la mise en place de cette nouvelle science inhumaine qui est directement associée à la robotique et à la micro-informatique. Aujourd'hui, il faut y ajouter le transhumanisme qui est le monstre né de cette prétendue évolution. Autrement dit, la cybernétique est venue pour que les prédateurs de l'espèce deviennent les dieux que le pouvoir de l'argent leur fait croire qu'ils sont. Mais pour cela nous devons disparaître.

Il me semble évident que l'emprise sur le monde et sur la conscience humaine est d'ordre cybernétique et que cette approche permet de mieux comprendre les véritables objectifs des "marionnettistes" au pouvoir actuellement. On comprend alors leurs intérêts pour les terres rares sans lesquelles l'intelligence artificielle ne fonctionne par, enfin ! pas encore...

Il est question dans mon ouvrage d'une nouvelle chute du genre humain au moins aussi grave que celle qui a précipité l'humanité dans les affres de la dualité et du matérialisme égotique sous l'impulsion des fameux archontes, créateurs de l'ADAM selon la gnose mais aussi responsables de la chute dans la dualité et les affres du jugement dernier.

À Sumer, ils étaient appelés les Anunnakis ; chez les hébreux : les Elohim ; chez les Grecs : les Titans, etc...

L'outil pour parvenir à cette chute new look est la cybernétique qui consiste à contrôler les entrées et les sorties d'une boîte noire, qui est la version métaphorique cybernétique d'un groupe humain ou plus largement d'un peuple entier... De là découle la modélisation des comportements des sujets d'études et, ensuite, il est possible de créer des algorithmes informatiques capables de donner des réponses et des stratégies afin de parvenir à la modélisation des peuples ; ceci dans le but de les contrôler, puis finalement de les soumettre à des situations le plus souvent délétères pour leur intégrité. Derrière l'aspect idéal de toutes les innovations qui découlent de la stratégie cybernétique, il faut voir les officines des cercles noirs pour qui l'humanité n'a jamais été autre chose qu'une masse laborieuse destinée à servir leurs objectifs de domination et de prédation.

La génération hippie a été, sans aucun doute, le prototype de la "schizophrénisation" des générations actuelles afin de conduire l'humanité à son obsolescence annoncée, et aussi pour qu'elle accepte son sort avec la passivité d'un lobotomisé à la mode New Age. 

La seule alternative au chaos est de connaître la véritable trajectoire et le vrai projet des illusionnistes au pouvoir sur la planète.

Le nouvel ordre noir planétaire refermera définitivement les portes des enclos pour conduire l'humanité dans un univers sans issue et sans possibilité d'échapper au funeste destin d'espèce déchue. Préparons nous c'est pour bientôt. [...]

Tous les programmes informatiques sont construits comme des incantations magiques, mais seuls les commanditaires détiennent le sens kabbalistique de l'affaire et, c'est le moins que l'on puisse dire, dans ces opérations ils excellent. L'homme, lui, utilise les merveilleux avantages de la machine ordinateur comme une bénédiction apportant selon lui la preuve manifeste de sa supériorité sur tout le reste de la création. L'orgueil et l'hyper-ego se portent aujourd'hui aux cous comme un bijou précieux. Or l'humanité ne cesse de se déchirer avec en toile de fond les vieilles religions d'un autre temps. Temps déjà révolu par la cybernétique. (L'homme ignore qu'il n'est pour rien dans la redécouverte de ces merveilleuses inventions, tout comme l'homme ignore la vérité sur l'origine des dieux qu'il adore.)

La seule chose qui a été utilisée par les psychopathes aux commandes pour s'assurer les services de l'ADAM, c'est justement l'énergie vitale de ce dernier. Voilà encore une autre raison pour laquelle il est demandé à l'homme de donner son sang. Qui donne son sang donne son énergie vitale, la bonne cause n'est pas suffisante. Celui qui travaille pour une cause mortifère donne son énergie vitale à cette entreprise et accepte par la même occasion son emprise. Chaque homme qui participe à des horreurs pour un salaire en payera le prix dans sa conscience, car il participe à nourrir les trames rétrogrades en action, sous prétexte qu'il a lui aussi besoin de se nourrir : le loup dévore l'agneau, mais les prédateurs de l'espèce se nourrissent des deux. Il n'y a donc pas d'échappatoire à moins de recouvrir la mémoire et la vision.

L'homme ignore que des créatures sont à l'œuvre pour recouvrir leur statut de démiurges et reconstruire leur éden sur une haute montagne, conformément aux temps des origines où l'on vendait de l'homme à la criée, et où le sang humain était l'ambroisie utile au maintien des démiurges visiteurs du temps en transit sur le plan de la manifestation terrestre. 

Les nouveaux dogmes pour le transfert de la conscience humaine dans une matrice cybernétique sont en cours de téléchargement, l'avènement du messie cybernétique est l'Antéchrist annoncé par les clairvoyants de toutes les époque de notre manifestation...

La bête cybernétique c'est notre affaire à tous.

La Conspiration Cybernétique” s'inscrit dans un travail général sous le nom générique de "l'humanité rétrograde" pour faire écho à la malédiction qui s'installe comme l'inévitable destinée de l'Humanité. Humanité devenue une "sous-humanité" réduite à des codes numériques issus de la cybernétique, nouvelle bible d’un autre genre post-humain. Cet arsenal prend sa source dans les méandres d’une lointaine histoire inhumaine incarnée dans une clique de prédateurs toujours en quête d’un retour à la vie éternelle. Cela se manifeste aujourd’hui par la mise en œuvre d’un formidable plan régit par le mensonge, la cupidité, le crime et l’usage intempestif de tout ce que la science peut engendrer de pire. La victime est sans aucun doute la planète et tout ce qui vit dessus y compris le genre humain. Le polymorphisme satanique est l’apanage entre tous de cette engeance violente, criminelle et psychopathe à l’œuvre depuis les temps immémoriaux dans les basses fréquences des zones rétrogrades. Aujourd’hui, l’épicentre moderne de la pègre mentale s’est transmuté en "cyberterroriste" installé dans la tiédeur des laboratoires de recherches tous azimuts de Palo Alto, cette ville californienne proche de San Francisco.

A la violence prédatrice “Cybertronique”, il est vital d’opposer la contre violence comme un pied de nez à la contre culture et aux lobotomisés du lâcher-prise New Age. La contre violence implique une véritable action pour survivre à cette fin annoncée fort, bien trop fort, par les principaux bénéficiaires du crime, cela démontre si l’on veut bien entendre et voir que l’effondrement de leur Babylone est en cours.

La meilleure posture est de faire table rase de l’illusion qui enfume le chercheur de vérité. Pour ce faire, il est capital de voir derrière les écrans de fumée et de mettre en lumière les ventres mous qui prospèrent par la supercherie et l’illusionnisme, bien plus que par la science dont ils se targuent d’être les représentants infaillibles à l’image des anomalies prédatrices en question. Leur présence dans toutes les instances des structures occultes et de l’organisation humaine nous invite à les reconnaître pour ce qu’ils sont et non plus pour ce qu’ils voudraient nous faire croire qu’ils sont. L’objectif et de les montrer au grand jour afin que le monde puisse bien voir leur vraie nature. Aujourd’hui, les masques tombent les uns après les autres car l’âme humaine a devant elle la plus formidable des victoires à prendre pour son retour à la vraie vie.

Il est temps de passer en revue les personnages impliqués dans la promotion et la réalisation d’un plan qui aujourd’hui n'est plus ignoré. Il ne s’agit pas d’une réalisation à valeur scientifique, cela va de soi si l’on considère que la science moderne sert le plan délétère à l’oligarchie rétrograde. Il s’agit d’un travail qui s’inspire de perceptions personnelles recoupées avec des faits réels et historiques puisés dans les livres anciens, chez les occultistes éclairés de tout temps, mais aussi en provenance des informations transitant par l’internet et l’information journalistique alternative et classique. La mise en perspective et en évidence d’une multitude de connexions et d’inter actions entre les tenants et les aboutissants de l’aventure humaine de ces 200 dernière années démontre que la mémoire nous fait défaut.

Plus rien ne doit nous faire ignorer que des prédateurs nous sirotent la cervelle comme des cocktails pris au bord d’une piscine remplie du sang de l’humanité. Les prédateurs ont besoin de sang et d’énergie humaine il faut le savoir pour leur couper les vivres et sortir de l'enclos. »

Sinouhé l'ARTISTE






mardi, novembre 06, 2012

Le réchauffement climatique et la Rose-Croix




« Le réchauffement climatique aux USA. Il donne lieu à un rapport catastrophique ; au même moment EXXON mobil (25 milliards de CA) veut minorer l’importance de ce réchauffement. Pour cela elle trouve un scientifique, Patrick Michaels, qu’elle paye pour exprimer partout, partout le fait que seul l’antarctique se réchauffe et que la terre refroidit (livres, interventions télévisuelles, conférences à la demande). Elle rétribue des groupes de lobbying (40), de chercheurs, de médias pour faire pression sur l’opinion. » Chomsky et Compagnie.

Patrick Michaels, climatologue corrompu, ment comme un arracheur de dents. La terre se réchauffe. Mais, contrairement à ce que l'on nous dit, les activités humaines ne seraient pas totalement en cause.

Dans les années 1950, les initiés d'un ordre Rose-Croix répandaient d'étranges rumeurs. Avant la première conférence des Nations Unies sur l'environnement humain (Stockholm, 1972), qui a soulevé pour la première fois la question du changement climatique, ils affirmaient que la terre se réchauffe et l'amplification du phénomène provoquera de plus en plus de cataclysmes. Les rosicruciens précisaient que l'origine du réchauffement ne se situe pas sur terre mais dans l'espace.

Van Rijckenborgh, grand maître de la Rose-Croix d'Or, alerta ses disciples en ces termes :

« Ce qui se déclenchera d'abord, c'est une série de cataclysmes. Comme vous le savez peut-être par notre littérature, il existe ce qu'on appelle la plus haute sphère de chaleur. Elle se trouve au-dessus de l'ionosphère et entoure spécialement le champ de vie terrestre. Cette sphère de la plus intense chaleur correspond au stratum de feu situé sous la croûte terrestre. La conséquence logique des tensions accumulées dans cette sphère d'intense chaleur, c'est que toutes sortes d'explosions se préparent, tremblements de terre et autres calamités du même genre, qui se produiront par la suite. Elles concerneront le monde entier : nulle contrée ne sera préservée et l'aspect du monde s'en trouvera modifié. […]

Tous les peuples de la terre vont vers l'hystérie. Sur le plan psychologique, une intense chaleur s'est développée, toujours plus intense, une chaleur de crise, la chaleur de la fin. […]

L'humanité, surtout durant ces dernières décades, s'est battue à satiété. Elle a ensuite inventé des moyens de destruction si terribles qu'elle-même en est effrayée. Le monde entier frémit à la pensée d'une guerre atomique, car, chacun le sait, le recours à l'énorme puissance des armes nucléaires entraînera son anéantissement.

Mais pensez à ceci : entre-temps l'humanité a tellement délabré l'économie de la nature, et la crise se traduit actuellement par un tel état de tension, que la nature elle-même commence à réagir, tout comme le corps humain se rebelle lui aussi, lorsqu'il subit pendant longtemps un traitement à contre-sens. Le moment de la crise coïncide en ces jours avec la fin de cette période, ce qui est parfaitement compréhensible, vu le rapport indéfectible qui existe entre toutes les lois naturelles. »

Par ailleurs, Van Rijckenborgh révéla l'existence d'un plan visant à établir la dictature mondiale des loges occultistes. Il disait à qui voulait l'entendre :

« On mettra en scène ni plus ni moins que le Grand Retour du Seigneur, tel qu'il est dépeint dans les diverses prophéties apocalyptiques. Cette représentation minutieusement préparée sera accompagnée de phénomènes prodigieux de nature scientifique naturelle. Elle englobera le monde entier, troublant jusqu'à la moindre place. Chacun pourra être témoin et pensera : « Le Seigneur vient dans les nuées du ciel, avec tous ses saints anges ! »

Ensuite une intervention aura lieu dans le système gouvernemental de tous les pays et un gouvernement mondial sera instauré. »

(Jan Van Rijckenborgh, Démasqué.)


Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...