mercredi, février 20, 2019

Le CRIF, un lobby au cœur de la République


Les politiciens français sont-ils les vassaux du CRIF, de la finance apatride et du mondialisme messianique ? 



20 Février 2019, le dîner annuel du CRIF. 

Au lendemain des rassemblements en France à l'appel de partis politiques contre l'antisémitisme, les représentants des institutions juives, qui sont très agacés par le mouvement des Gilets jaunes, attendent des "mesures concrètes" de la part d'Emmanuel Macron. 

"Toute la classe politique est présente en rangs serrés afin d'entendre les remontrances, récriminations et requêtes de cette officine représentant, de son propre aveu, quelque 100.000 personnes. 1/6e à peine de l'ensemble de la « communauté » et 0,2 % de la population totale du pays. 

Comment une telle influence, un tel pouvoir même, sont-ils possibles dans une démocratie laïque ne reconnaissant officiellement que des citoyens tous pareillement égaux ? 

Pourquoi la classe politique française fait-elle preuve d'une telle complaisance à l'égard du CRIF et de ses dirigeants ?  Qui se qualifient eux-mêmes de « porte-parole politiques de la communauté juive de France » mais songent d'abord à défendre les intérêts d'un pays étranger, Israël."

Les activités du CRIF s'ordonnent autour de trois axes "qui en réalité, écrit Anne Kling, ne forment qu'une seule et même colonne vertébrale visant la sauvegarde des intérêts du peuple juif, en Israël et dans la diaspora. Ces axes sont les suivants :

1. Le soutien inconditionnel à l'État d'Israël et à son gouvernement, quel qu'il soit. Toute critique à l'encontre de cet Etat se voit de plus en plus ouvertement assimilée à de l'antisémitisme.

2. L'entretien de la mémoire des événements survenus au peuple juif durant la Seconde Guerre mondiale et, en corollaire, le rappel incessant de la culpabilité de la France à cet égard.

3. La lutte contre toute forme d'antisémitisme et d'antisionisme.

Il faut ajouter à ces objectifs premiers une priorité non inscrite dans les statuts mais présente à travers toute son action : la promotion en France d'une société multiethnique et partant, le soutien à l'immigration massive et à l'islam dit «républicain». Ce qui ne va pas sans quelques difficultés.


 La shoah

Le soutien à l'État d'Israël passe aux yeux du CRIF par l'entretien quasi obsessionnel du souvenir de la shoah. Ce souvenir est en effet intimement lié à la création de l'État hébreu. Et son évocation continuelle a pour but de graver dans les esprits qu'Israël, peuplé en grande partie de rescapés, n'est pas un État comme un autre, qu'il se situe quelque part dans l'exception et que par conséquent il a droit à un comportement qui ne serait admis d'aucun autre. Du moins aux yeux des sionistes.

Il est exact qu'à la fin du conflit mondial s'était posé l'épineux problème des réfugiés juifs qui souhaitaient quitter l'Europe des mauvais souvenirs. Que faire d'eux ? Après deux ans de tergiversations et de séjour forcé dans des camps de personnes déplacées, les occidentaux avaient cru trouver une solution au problème par le partage de la Palestine. Une forme de compensation, dans leur esprit, dont on a vu ce qu'il est advenu.

Toujours est-il que la shoah, directement à l'origine de la création de l'État d'Israël, ne doit en aucun cas être oubliée ou rangée au magasin bien fourni des horreurs en tous genres produites par l'humanité. Car elle a un rôle bien précis à remplir : celui de culpabiliser à tout jamais le genre humain en général - et les occidentaux en particulier - et rappeler la dette inexpiable contractée à l'égard des juifs. La shoah est devenue au fil des ans la pièce maîtresse de la stratégie de soutien de la diaspora à l'Etat d'Israël. Aujourd'hui plus que jamais.



Le contribuable doit financer les visites d'Auschwitz

Le CRIF est pleinement conscient de ce rôle et de sa propre responsabilité à cet égard et il exerce une vigilance extrême. Sa commission du Souvenir, créée et présidée par Henry Bulawko, participe étroitement à toutes les commémorations liées à cette période de l'histoire, qui sont fort nombreuses et largement relayées par les médias. Le CRIF se préoccupe énormément depuis quelques décennies de la transmission de la "mémoire" aux nouvelles générations et a créé dès 1988, en partenariat avec la section française du Congrès Juif Mondial, le Comité d'information des Lycéens sur la Shoah. L'objectif est de faire visiter Auschwitz au plus grand nombre possible de jeunes Français. Depuis cette date, les voyages se sont multipliés, financés par les pouvoirs publics. Autrement dit, par le contribuable.


Une repentance fondatrice... et fructueuse

Avant la fameuse repentance de Jacques Chirac, en 1995, qui marque un tournant décisif dans la culpabilisation du pays entier - n'oublions pas que les chefs d'Etat précédents avaient tous refusé d'accéder à cette requête récurrente des organisations juives - la mémoire de la shoah avait été fortement et délibérément rappelée aux Français par le truchement des procès pour « crimes contre l'humanité » fortement médiatisés et dramatisés. Il s'agira principalement des procès de Klaus Barbie (1987), de Paul Touvier (1994) et de Maurice Papon (1997-1998). [...]

La culpabilité reconnue de l'État français est d'autant plus importante qu'elle ouvre un nouveau chapitre : le droit aux indemnisations financières. Ce nouveau chapitre va être rondement mené. Le 25 janvier 1997, au dîner du CRIF, le premier ministre Alain Juppé arrive porteur d'une bonne nouvelle : il annonce la création d'une Commission d'études sur les spoliations des juifs de France qui sera présidée par Jean Mattéoli, ancien président du Conseil économique et social. La Commission rend son rapport en avril 2000 au premier ministre qui est à présent Lionel Jospin. La spoliation est évaluée à 8,8 milliards de francs dont une partie avait déjà été restituée après la fin des hostilités. La partie restante va être versée par l'État français et les fonds non restitués aux ayants droit versés à une fondation pour la mémoire. Auparavant, dans un rapport intermédiaire, la commission Mattéoli avait recommandé la mise en place d'une Commission d'indemnisation des victimes de spoliations. Cette création est, elle, officiellement annoncée au dîner du CRIF de 1998 par le premier ministre Lionel Jospin. Elle sera présidée par Pierre Drai, premier président honoraire de la Cour de cassation, et chargée d'examiner les demandes individuelles de restitution. Serge Klarsfeld demandera l'instauration d'une indemnité viagère au bénéfice des enfants de déportés juifs de France. La Commission acceptera cette proposition et le 13 juillet 2000 paraîtra le décret fixant le montant de l'indemnisation des orphelins de la shoah et de ceux qui étaient mineurs au moment de la déportation d'un parent : un capital de 180 000 francs ou une rente mensuelle de 3 000 francs. [...]



La lutte contre l'antisémitisme


Il s'agit d'un cheval de bataille de la première heure du CRIF. Le terme d'antisémitisme est des plus vagues et englobe toute critique ou réprobation touchant au peuple juif et à l'État hébreu. Ainsi. les tribulations politiques que connaissent les juifs dans certains pays lors des conflits sont-ils immédiatement rangés dans la catégorie « antisémitisme ». [...]

De toute manière, le CRIF se plaint sans cesse d'actes « anti-juifs » qu'il recense avec minutie. La deuxième intifada, à partir d'octobre 2000, marquera une recrudescence du phénomène, de son point de vue. Sans cesse, il harcèlera les pouvoirs publics.

Le meurtre d'Ilan Halimi par le « gang des barbares » en février 2006 va fortement relancer les accusations d'antisémitisme et les demandes de répression.

(...) l'opération Plomb durci, en janvier 2009, et l'affaire de la flottille de Gaza, fin mai 2010, seront l'occasion de flambées de protestations, en France et dans le monde, qui seront immédiatement cataloguées « violences antisémites » par le CRIF.


 Traque d'internet

Mais le dernier ennemi en date à abattre, celui qui serait LE vecteur d'un antisémitisme de plus en plus décomplexé, tout au moins aux yeux du CRIF, c'est internet. Comme toujours en pareil cas, dès qu'un « ennemi » est identifié, la méthode est la même : on ne le lâche plus, on en parle à tout propos et inlassablement sur le métier on remet l'ouvrage. Une méthode qui a fait ses preuves."

Extrait du livre Le CRIF, un lobby au cœur de la République, d'Anne Kling.


mardi, février 19, 2019

L’affaire Finkielkraut ou comment les médias dominants manipulent l’opinion


Un coup de génie, selon ceux qui connaissent le manège habituel. D’un acte isolé, une rencontre plus ou moins agitée entre lui et une poignée de Gilets jaunes en marge du quatorzième épisode de la révolution citoyenne en France, Alain Finkielkraut en a fait une affaire d’Etat. Mais la ficelle est trop grosse pour échapper et ne pas être décelée.

Supposée relevant du délit d’antisémitisme, un sujet à traiter toutefois avec la plus grande prudence pour ne pas tomber sous le coup de la loi, l’arsenal juridique y afférent étant des plus dissuasifs, cette dernière affaire, la énième concernant Alain Finkielkraut, a fait réagir, fait inhabituel, l’ensemble de la classe politique française, de l’extrême droite à la gauche, et même à la gauche extrême, une classe politique dans son ensemble condamnée, malgré elle, à une repentance perpétuelle, un lourd legs hérité d’une histoire sombre, bien que les dettes morales – et surtout financières – aient été payées au comptant, faisant de la France – bien plus que l’Allemagne – le pays d’Europe qui n’en finit pas de s’autoflageller au grand bonheur des néo gardiens du temple de Salomon.

Qualifiée d’une grossière manipulation, car peu croient vraiment au hasard de ce face à face entre non pas l’académicien mais la «Star Academy du sionisme français», dixit Eric Hazan, coauteur de l’ouvrage collectif  Antisémitisme, l’intolérable chantage, et un petit groupe de Gilets jaunes, cette affaire, accusent d’aucuns, permet, à la fois, à Alain Finkielkraut de revenir au-devant de la scène, lui qui déteste l’ombre – dimanche, il a fait tous les plateaux des chaînes d’information qui sont revenues en boucle sur ce non-événement –, relance le discours alarmiste sur la recrudescence des agressions antisémites en France mais, surtout, dénonce-t-on, elle vise à faire des milliers de Gilets jaunes des antisémites invétérés, une tentative de diabolisation qui remonte au tout début de la protestation.

Invité sur une chaîne d’information, Alain Finkielkraut, qui voit dans le Grand débat national «une source d’optimisme», a reconnu et a dit que «la majorité me vouait une haine majeure.» Un moment de lucidité inédit, a-t-il enfin compris que sa «philosophie» a peu d’adeptes ?



Mrizek Sahraoui, 
de Paris pour Algérie patriotique.



Les Algériens pensent que leur pays sera la prochaine cible du projet sioniste en Afrique. "Le scénario de l’entité sioniste se poursuit sans cacher, le moins du monde, son intention interventionniste vers le nord de l’Afrique."


Voir aussi : https://youtu.be/j0SC8NEz12Y

Cette vidéo du Libre Penseur (Salim Laïbi, docteur en chirurgie dentaire) "a pour objectif de revenir sur l'agression d'Alain Finkielkraut commise lors de l'Acte 14 des GiletsJaunes à Paris. La vidéo fait un peu plus de 40 minutes car elle se veut exhaustive et veut revenir sur l'emballement médiatique qui s'en est suivi au mépris de la procédure judiciaire et de tous les précédents historiques qui ont démontré à de nombreuses reprises que certaines attaques antisémites très médiatiques étaient des coups montés. D'ailleurs, nous allons très vite savoir, contrairement à ce qu'affirme Benjamin Grivaux le porte-parole du gouvernement, qu'il n'a jamais été question de l'insulte « Sale juif » ! Ce faisant, il s'est rendu coupable de diffusion de fausses nouvelles."

dimanche, février 17, 2019

Union européenne

Gloire à l'Union Européenne et vive Juncker !


La France en marche
Le rêve Européen pour les nuls


Européens, attention, ceci vous concerne :

La commission européenne a finalement tranché ; après la monnaie unique, l'Union européenne va se doter d'une langue unique, à savoir... le français. Trois langues étaient en compétition : Le français (parlé par le plus grand nombre de pays de l'Union). L'allemand (parlé par le plus grand nombre d'habitants de l'Union). L'anglais (langue internationale par excellence).

L'anglais a vite été éliminé, pour deux raisons : l'anglais aurait été le cheval de Troie économique des États-Unis, et les Britanniques ont vu leur influence limitée au profit du couple franco-allemand en raison de leur légendaire réticence à s'impliquer dans la construction européenne.

Le choix a fait l'objet d'un compromis, les Allemands ayant obtenu que l'orthographe du français, particulièrement délicate à maîtriser, soit réformée, dans le cadre d'un plan de cinq ans, afin d'aboutir à l'eurofrançais.

La première année, tous les accents seront supprimes et les sons actuellement distribues entre « s », « z », « c », « k » et « q » seront repartis entre « z » et « k », ze ki permettra de zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.

La deuzierne annee, on remplazera le « ph » par « f », ze ki aura pour effet de rakourzir un mot komme « fotograf» de kelke vingt pour zent.

La troizieme annee, des modifikations plus draztikes zeront pozzibles, notamment ne plus redoubler les lettres ki l'etaient : touz ont auzi admis le prinzip de la zuprezion des «e » muets, zourz eternel de konfuzion, en efet, tou kom l'autr letr muet.

La katriem ane, les gens zeront devenu rezeptif a de changements majeurs, tel ke remplazer « g » zoi par « ch », zoi par «j », zoi par « k », zelon les ka, ze ki zimplifira davantach l'ekritur de touz.

Duran la zinkiem ane, le «b » zera remplaze par le « p » et le « v » zera lui auzi apandone, au profi du « f ».

Efidamen, on kagnera ainzi pluzieur touch zu le klafie. Un foi ze plan de zink an achefe, l'ortokraf zera defenu lochik, et le chen pouron ze komprendr et komunike.

Le ref de l'Unite kulturel de l'Europ zera defenu realite !

Kro Pizou a fou touz !

Anonyme

Dictionnaire espiègle et loufoque

de Jean-Loup CHIFLET




Islamistes, fascistes, antifas, tous mondialistes !

Conférence de Lucien Cerise
(Durée,1:04:06)


Du groupe de Bilderberg au Bohemian Club, entre les lobbies de Washington et de Paris, des spin-doctors de la Maison-Blanche, travaillent à l'élaboration du Nouvel ordre mondial, parachèvement de la lutte des classes au bénéfice du Capital. Ingénierie sociale, reality-building, crises provoquées dans tous les domaines, gouvernance par le chaos et l'anarchie, telles sont leurs armes.

Depuis des siècles, les guerres entre peuples et nations servaient de paravent à une guerre beaucoup plus discrète, une guerre cognitive que les élites dirigeantes de toutes les époques et de tous les pays avaient déclarée aux populations qu'elles administraient. C'était une guerre parfaitement légitime, une guerre de survie. Les élites dominantes étant minoritaires par rapport à la majorité dominée, elles avaient toujours été menacées de disparaître sous la pression du nombre et des soulèvements populaires. Elles avaient donc le droit de se défendre, comme elles avaient le droit à la vie, ainsi que le stipulait l'article 3 de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme de 1948. 

La meilleure défense étant l'attaque, elles étaient donc moralement fondées à mettre en pratique des frappes préventives sous la forme d'opérations psychologiques de manipulation visant à désarmer mentalement le peuple et à rendre ainsi impossible toute révolte ou révolution de sa part.

LECTURE :

La guerre hybride de l'OTAN 
Lucien Cerise

Les événements qui se sont déroulés à Kiev, capitale de l'Ukraine, pendant l'hiver 2013-2014 ont une portée mondiale. La révolution de Maïdan, présentée tout d'abord comme une insurrection spontanée possédant la légitimité des luttes d'émancipation nationale par-delà Washington et Moscou s'est avérée finalement n'être qu'une nouvelle opération coloniale de Washington et de l'OTAN. Or, si l'ingérence étrangère en Ukraine ne fait plus débat pour la révolution orange de 2004, elle relève encore du tabou pour l'EuroMaïdan de 2014. 

En l'espace de dix ans, les méthodes putschistes anglo-saxonnes se sont affinées, et surtout radicalisées dans leurs objectifs, de la « révolution colorée », soit le coup d'État ponctuel, à la « guerre hybride » conçue pour durer et se répandre partout. Ce processus de chaos contrôlé lancé par l'OTAN en Ukraine vient s'ajouter à toutes les menaces qui planent sur la civilisation européenne et au-delà. 

Cultivant le pluralisme de l'information et puisant à des sources occidentales mais aussi ukrainiennes et russes, cet ouvrage fait partie de l'arsenal défensif. 

Extrait : L'insurrection qui vient risque fort d être complètement noyautée. Que faire pour anticiper sur les risques de révolution colorée en France ? Maintenir le contact avec les milieux noyautés, extrême-gauche, extrême-droite et islam, pour ne pas les laisser se faire retourner complètement, puisque c'est ce qui est en train de se passer. 

Dans l'idéal, il faudrait parvenir à tout dédoubler. À l'alliance droite/gauche/islam sous contrôle étranger, nous devons opposer symétriquement un autre front mais autogéré et souverain. Notre survie dans un monde où la décence commune n'aurait pas entièrement disparu en dépend, que nous soyons de droite, de gauche ou musulman. Une nouvelle cartographie du paysage politique s'impose donc. Un nouveau paradigme doit émerger pour remplacer certains clivages conventionnels devenus obsolètes.

Les pages qui suivent ont pour objectif de débroussailler le terrain en décryptant les facettes de cette guerre hybride menée par le capitalisme mondialisé sous la forme d'une révolution permanente  recoupant les troubles qui agitent l'Ukraine depuis son indépendance et dont l'exemple nous servira de fil conducteur.

vendredi, février 15, 2019

Stéphane Blet soutient Philippe Ploncard d'Assac menacé de mort par la LDJ



Compositeur, pianiste et maître franc-maçon repenti, Stéphane Blet dénonce la LDJ qui menace en toute impunité Philippe Ploncard d'Assac. 


La Ligue de Défense Juive

La LDJ, Ligue de Défense Juive, considérée comme une organisation terroriste, est interdite en Israël et aux USA. Mais en France, elle est toute puissante.

La conférence "Mondialisme, couverture de la dictature messianique" de Philippe Ploncard d'Assac, qui déplore, entre autres, les conséquences funestes du mondialisme messianique, a certainement irrité la LDJ.

Dans cette conférence, Philippe Ploncard d'Assac dit avoir fait des recherches généalogiques sur Emmanuel Macron. Le conférencier affirme que l'impitoyable président, spoliateur et tortionnaire du peuple français, est lié au judaïsme par sa grand-mère maternelle (Vidéo ci-dessous à partir 57:30).

D'un point de vue spirituel, Macron, relié à l'occultisme judaïque par son hérédité, la franc-maçonnerie et ses accointances avec Rothschild (le médium de Satan), fait figure d'agent de la contre-initiation kabbalistique qui œuvre à l'instauration de la dictature mondiale, nommée "le règne du Chakravartin à rebours" par René Guénon.


L'insolite signe de la désastreuse et diabolique (diable - diabolus - celui qui divise et qui détruit) gouvernance de Macron : Il fut élu avec 66,06% des voix (BFM-TV). Est-ce la signature des satanistes qui ont imposé Macron par un coup d'État qui ne dit pas son nom ? 


Mondialisme, couverture de la dictature messianique
Conférence de Philippe Ploncard d'Assac



"Le fait qu'une élite ayant à sa disposition des moyens illimités, puissent les utiliser afin d'accroitre son pouvoir et sa domination sur le monde par la destruction de toutes les structures protectrices ancestrales, n'est même plus à démontrer. L'histoire et les faits sont là pour le prouver. Cependant la masse des moutons ne s'en apercevra que lorsque la barrière de l'enclos se refermera sur eux, juste avant d'être conduits à l'abattoir. 


Monsieur Ploncard d'Assac ne fait aucune concession. Ses ouvrages sont une découpe au scalpel (il est chirurgien de profession) de la réalité. Son propos dépasse largement le cadre politique. 

Dans une dédicace de son ouvrage sur la Franc-maçonnerie (disponible sur Amazon : Le secret des francs-maçons), il a énoncé un principe simple qui sous-tend tous ses travaux : afin que nul ne puisse dire qu'il ne savait pas... Les Français sont-ils prêts à entendre et surtout à comprendre la vérité ?"



La Kabbale de mort


Jean-Gaston Bardet


Le peuple juif a été réduit en esclavage
mental et matériel par ses "princes" et la loi talmudique.


Tout ce qui touche au judaïsme est confusion totale. Il y a un plan kabbalistique de domination mondiale, qui interfère avec la tranquille conquête par la Haute Finance Juive et la misère des juifs pauvres.

Le Sionisme, par exemple, fait partie du Plan Kabbalistique. Ce n'est point du tout - comme on l'écrit - un mouvement populaire né d'une aspiration naturelle des juifs en ghettos, de l'Europe centrale.

Isaac Ben Zevi, révèle, qu'au contraire, la nouvelle du Sionisme, de la résurgence géographique d'Israël, éclata soudain dans des communautés juives orientales qui n'en avaient point eu l'idée. Elles furent, il n'est point exagéré de le dire, stupéfaites, par la grandeur de l'événement. C'était comme si le Ciel s'était ouvert devant elles pour leur permettre de contempler l'incroyable vision de la rédemption, l'approche du millénarisme national, que génération depuis génération, les juifs avaient impatiemment attendus.

L'hérésie du Mosaïsme qu'est le judaïsme, n'est point une religion. C'est un matérialisme monothéiste, doublement hérétique puisqu'il n'y a jamais eu de monothéisme en Y H W H, et encore moins de promesses de société terrestre, terrienne et terreuse.

Le matérialisme dialectique et athée est une autre déformation de la Thorah, due aux déviations conjuguées du protestant Hegel et du juif (de famille passée au protestantisme) : Marx. Le Protestantisme que Jésus déclare (une parodie de religion) est en effet, une hérésie de même sens que le Judaïsme. Il prend les Écritures dans le sens littéral, le plus bas. Alexandre Weil a pu écrire : "Un catholique qui se convertit au protestantisme fait un pas vers le judaïsme". La Justice immanente qui a aveuglé les Juifs, a rendu borgne les protestants. Ni les premiers, ni les seconds ne savent lire "dans l'Esprit" les Écritures... Nous devons leur en fournir les clefs.

Le juif judaïsant (n'oublions pas l'adjectif) est donc un matérialiste monothéiste qui se distingue du matérialiste dialectique, qu'est le marxiste, par l'idéologie théiste. Mais il s'en rapproche fortement car il adore la même idole. Sous le nom d'État-Dieu, pour le marxiste ; sous le nom de Peuple de Dieu pour le judaïsant.


Jean-Gaston Bardet, "QaBaLaH de joie et Kabbale de mort",  Maloine S.A., Éditeur, Paris, 1979.

jeudi, février 14, 2019

"Sodoma", le livre-choc sur l'homosexualité au Vatican

Une enquête explosive de Frédéric Martel

"Sodoma" en espagnol

Le livre paraît simultanément dans vingt pays.

Des révélations qui pourraient favoriser l'arrivée du noachisme, la religion universelle directement issue du judaïsme talmudique, que veulent imposer les mondialistes messianiques aux Gentils.


"Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd'hui plus mixte, il y ait autant d'homos !" 

Thomas Mahler écrit dans Le Point : 


"Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma affiche en couverture un cierge, mais a tout d'une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L'auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.

Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu'il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l'omniprésence des homosexuels au sommet de l'Église. On connaissait les scandales récents, comme l'arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d'orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d'avoir couvert les abus sexuels de l'ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ». Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l'entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l'homosexualité s'étend à mesure que l'on s'approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d'homosexuels lorsqu'on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l'homosexualité devient la règle, l'hétérosexualité l'exception. » Il affirme qu'une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s'avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François." LIRE la suite dans Le Point.






Le célibat des prêtres ; l'interdiction du préservatif par l'Église ; la culture du secret sur les affaires d'abus sexuels ; la démission du pape Benoît XVI ; la misogynie du clergé ; la fin des vocations sacerdotales ; la fronde contre le pape François : un même secret relie toutes ces questions. Ce secret a longtemps été indicible. Il porte un nom : Sodoma. La ville biblique de Sodome aurait été détruite par Dieu en raison de l'homosexualité de ses habitants. Or, aujourd'hui, c'est au Vatican que l'on trouve l'une des plus grandes communautés homosexuelles au monde.
Pendant quatre années, Frédéric Martel a vécu en immersion à l'intérieur du Vatican et mené l'enquête sur le terrain dans une trentaine de pays. Il a interrogé des dizaines de cardinaux et rencontré des centaines d'évêques et de prêtres.

Ce livre révèle la face cachée de l'Église : un système construit depuis les plus petits séminaires jusqu'au Vatican à la fois sur la double vie homosexuelle et sur l'homophobie la plus radicale. La schizophrénie de l'Église est insondable : plus un prélat est homophobe en public, plus il est probable qu'il soit homosexuel en privé.

" Derrière la rigidité, il y a toujours quelque chose de caché ; dans de nombreux cas, une double vie. " En prononçant ces mots, le pape François nous a confié un secret que cette enquête vertigineuse révèle pour la première fois.

mercredi, février 13, 2019

Une des vérités les plus occultées



LA DIFFÉRENCE ENTRE L'ASTRAL ET L'ÉTHER

par Thierry Philippe

La vérité sur le plan éthérique est l'une des vérités les plus occultées par ceux qui se font connaitre sous le nom de « Grande Loge Blanche » et qui ont savamment entretenu la confusion entre plan astral et plan éthérique.

Helena Blavatsky

Tout commença avec Helena Blavatsky, fondatrice de la Société Théosophique. Son but initial était de mettre au clair les fondements occultes de notre monde, trop longtemps occultés par les religions. Mais sa médiumnité atavique la rendait très vulnérable aux influences de la puissante confrérie orientale qui se fait passer pour la Grande Loge Blanche. De ce fait, dans ses écrits - dont l'impact sur les milieux spirituels de l'époque fut décisif, la différence entre le plan astral et le plan éthérique n'est pas claire. Bien souvent, elle attribue même au plan astral des qualités propres au plan éthérique.

Alice Bailey

Alice Bailey, médium canalisant Djawl Khul (dit « le Tibétain », un des usurpateurs de la Grande Loge Blanche), ajoutera par la suite à la confusion, notamment par sa conception peu traditionnelle des sept chakras, car elle confond dans ses écrits tous les plans qui constituent notre monde. Il en résulte qu'aujourd'hui, dans les milieux du nouvel âge, si chacun se doit de connaître les couleurs des chakras, on a en revanche bien plus de mal à appréhender clairement les quatre plans d'existence terrestre (physique, éthérique, astral et mental) - des plans pourtant fondamentaux dans la compréhension des vérités ésotériques.

Le corps éthérique

Alors, quelle est la différence entre plan éthérique et plan astral ? Grâce aux écrits de Max Heindel (1865-1919), en particulier sa Cosmogonie des Rose-Croix, nous savons que le plan éthérique est la dimension énergétique fondamentale. C'est notre corps éthérique qui donne vie à notre corps physique et l'anime. Lorsque le corps éthérique se retire, le corps physique devient dur et inerte : c'est la mort. L'éther est donc associé à la vie sous son aspect le plus fondamental.

Le corps astral

Le corps astral, quant à lui, est d'une toute autre nature. C'est en lui que s' impriment tous nos désirs et sentiments (peurs, joies, attirance, etc.). C'est notre corps émotionnel, et il est en relation avec un monde qui est de même nature : le monde astral. Ce monde renferme toutes les émotions produites par l'humanité. On y trouve le « bas astral » où s'accumulent les peurs, la haine, la jalousie, etc., et le « haut astral » qui, lui, contient les émotions liées à l'espoir, à l'idéalisme, à la dévotion, à l'amour, etc.

Cependant, ce monde n'est rien de plus que le monde du désir. Or, le désir ne crée pas la réalité. Être plein d'espoirs qu'un projet réussisse ne garantit pas son succès, celui-ci dépendant parfois de paramètres qui nous échappent totalement (par exemple, le karma). En revanche, l'énergie que génèrent les espoirs ainsi nourris n'est pas perdue, car elle alimente les sphères du haut astral où résident les « traîtres » de la Grande Loge Blanche.


Le Nouvel Ordre Mondial

Celui qui comprend la structure invisible de notre monde réalise que le but de la Grande Loge Blanche est essentiellement de stimuler l'humanité de sorte qu'elle produise les énergies liées à l'idéalisme, à l' espoir, etc., car il s'agit des énergies dont cette loge se nourrit. À cette fin, Alice Bailey et Djwal Khul ont mis en place le programme nouvel âge, dont l'objectif est d'éduquer des hommes et des femmes pour en faire des personnes « de bonne volonté » (selon leurs propres termes), c'est-à-dire des individus produisant des énergies liées au haut astral. Ce sont ces personnes mêmes qui œuvrent actuellement à construire le Nouvel Ordre Mondial, qu'Alice Bailey présente dans ses écrits comme une merveilleuse unification de l'humanité.

On objectera que l'espoir fait vivre. D'une certaine manière oui, mais il épuise également. À force d'espérer des événements qui ne se réaliseront jamais - car le karma ne le permet pas - l'être humain perd une énergie considérable. S'il revenait à l'essentiel sans plus se préoccuper de sauver un monde qui s'effondre, il retrouverait une grande énergie de conscience.

Nous le voyons, les plans astral et éthérique s'opposent totalement : le premier nous vide de notre énergie tandis que le second nous régénère. En effet, la science ésotérique nous apprend que, la nuit, le corps astral se détache et se rend dans le monde des rêves. Alors, enfin libéré des affres du désir, le corps éthérique s'occupe à régénérer le corps physique. Par ailleurs, chacun peut observer, dans sa vie quotidienne, que s'il a passé toute la journée dans l'inquiétude, il dormira beaucoup plus longtemps, les forces de 1'astral l'ayant littéralement vidé de son énergie.


Le plan éthérique

Pourquoi, alors, la Grande Loge Blanche a-t-elle entretenu une confusion entre plan astral et plan éthérique ? La raison à cela est simple : si le chercheur spirituel pouvait comprendre cette différence fondamentale, il se tiendrait à distance du plan astral et se rapprocherait du plan éthérique, là où résident les véritables forces divines - celles qui donnent la vie et ne vampirisent pas l'être.

Il est vrai toutefois que, si l'éther occupe tout l'espace, il n'est pas aisé d'accéder en conscience à ce plan. Ce ne sont pas des pratiques occultistes, ni des voyages hors du corps, qui nous y mèneront, et ceux qui parlent de « voyages éthériques » se trompent gravement, car ils sont et demeurent sur le plan astral.

Le plan éthérique est extrêmement structuré. La nature nous le montre très bien, elle qui constitue en quelque sorte l'une des manifestations physiques de ce plan : tout y a un rôle et rien n'est laissé au hasard. Sans une juste alchimie d'éléments ordonnés ensemble dans un même but, jamais les arbres ne pourraient croître hors de la terre.

Il en est de même pour nous : si nous voulons rejoindre le plan éthérique, là où jaillit la source de la vie, il nous faut reprendre notre place dans l'harmonie universelle et abandonner nos désirs égocentriques, car ceux-ci nous vampirisent et nous écartent du but. Alors, le plan éthérique pourra s'ouvrir à notre conscience.



Empêcher l'élévation spirituelle

À l'aube de l'ère du Verseau, nous sommes appelés à nous élever vers le plan éthérique, nous affranchissant ainsi des contingences terrestres. La Grande Loge Blanche, en s'efforçant par tous les moyens de présenter le monde astral comme étant le monde divin, tente en fait d'empêcher cette élévation par une imitation du divin.

Une guerre fait rage dans nos consciences et chacun est amené à se positionner : persister dans l'égocentrisme humain et vivre chaque jour davantage dans les fantasmes et les illusions (les mondes virtuels ne font que préfigurer cette voie), ou inverser ce processus en réapprenant à offrir son énergie pour une cause noble, en harmonie avec les ondes du Verseau.



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La Grande Loge Blanche 


Les « Maîtres de sagesse de la Grande Loge Blanche », dont les canalisations pullulent dans les milieux nouvel âge. Maitreya, Khoot-Humi, Djwal Khul et consorts existent bel et bien. Ils appartiennent à une confrérie orientale qui tente d'influencer la marche du monde. Il s'agit d'entités très puissantes qui se sont compromises irrémédiablement sur cette voie occulte contre-initiatique. [...]. En se présentant comme des êtres lumineux, ils sont responsables de mener les êtres qui s'éveillent sur la voie funeste de la réalisation personnelle.

Tibet occulte 

C'est à partir de centres secrets du Tibet que cette confrérie occulte a œuvré au cours des siècles, utilisant le Lamaïsme tibétain comme couverture. Le Dalaï Lama est placé à l'avant-scène pour dissimuler le véritable pouvoir du Tashi Lama - le pape noir de l'Ordre tibétain. Ces occultistes disposent de pouvoirs télépathiques permettant d'influencer le monde par la technique de « focalisation sur un point ». C'est ainsi qu'ils ont répandu nombre d' idées que nous croyons modernes par l'emploi des rites répétitifs du lamaïsme qui servent d'amplificateur et de caisse de résonance. Ils projettent leurs pensées dans l'atmosphère à partir des hauteurs du Tibet et les martèlent par des rythmes magiques jusqu'à ce qu'elles se fixent dans nos consciences. En se manifestant sous le nom flatteur de Grande Loge Blanche, ces initiés ont influencé des médiums pour répandre la propagande du nouvel âge. Cette opération de subversion spirituelle veut fondre toutes les religions dans la « nouvelle religion mondiale » annoncée par la médium Alice Bailey, disciple du Maître Tibétain appelé Djwal Khul. Le nouvel âge est une entreprise d'essence totalitaire qui prépare la religion unique du Nouvel Ordre Mondial par la confusion des principes et l'inversion de la révélation originelle en un culte rendu au monde et à l'homme. C'est le satanisme spirituellement correct.

mardi, février 12, 2019

Bernard de Montréal, agent de la dictature mondiale


Bernard de Montréal, le New Age, l'occultisme, la kundalini... 

(Des sources de Bernard de Montréal : Helena Blavatsky, le Dr Andrija Puharich, parapsychologue et enquêteur indépendant de la CIA, qui rencontra le jeune médium israélien Uri Geller en 1971)...


"Aidez-moi à construire cette France qui entrainera le monde 
sur la voie d'un Nouvel Ordre Mondial"

(Nicolas Sarkozy, Strasbourg, 22 mars 2012.)



Le gouvernement mondial 

par Bernard de Montréal 


Les forces politiques du monde feront face à une puissante manifestation de ces nouvelles forces occultes sur terre, et celles-ci affronteront autant le pouvoir temporel que le pouvoir spirituel des nations. Rien ne pourra résister à la nouvelle vague de vie qui viendra sur la terre pour la relever de son ignorance. Au cours de l’évolution, la politique mondiale sera soutenue dans ses décisions par la puissante Régence planétaire, dont la réalité confondra les hommes assoiffés de pouvoir et inconscients de l’esprit des nations et des hommes. La terre n’appartient pas à l’homme ; elle fait partie d’une vaste configuration d’énergie en évolution, dont le but éventuel est d’affranchir totalement l’humanité de son passé expérimental, afin que l’esprit dans l’homme soit libéré des forces astrales de la mort, qui ont dominé l’intelligence humaine durant l’involution.


Politique mondiale et politique cosmique des sphères 

La fin du cycle sera témoin de la manifestation de forces que l’homme n’a connues que dans le lointain passé de ses âges. Ces forces se sont retirées afin que l’homme évolue selon un plan universel voilé à sa conscience. Cette période tire à sa fin, et l’homme futur se trouvera encore une fois en présence de ces êtres qui avaient marqués profondément sa conscience raciale. Les temps ont effacé cette mémoire, mais l’avenir de la race sera encore une fois marquée par le contact entre l’homme et une forme supérieure d’intelligence dont il comprendra le rôle dans ce nouveau cycle. Comme l’humanité aura beaucoup évolué en conscience, elle se rendra compte que la vie terrestre ne peut être assujettie plus longuement à des divisions séculaires. C’est dans ce cadre nouveau de la conscience future que la politique mondiale et la politique cosmique des sphères seront unifiées par une nouvelle forme d’intelligence créative, qui éliminera à jamais de la surface du globe les formes abusives et permissives de gestion du patrimoine planétaire.


La naissance d’une politique mondiale axée sur le bien-être de l’humanité créera de tels remous dans les systèmes politiques des nations que les hommes prendront conscience de la transformation de la vie sur terre. Ils verront d’un bon œil la nouvelle évolution selon l’esprit.


Mondialisme messianique 

La politique des nations sera totalement unifiée à l’échelle mondiale, et les formes majeures de divisions seront toutes abolies par le pouvoir de la Régence planétaire. Le cycle messianique prendra place selon un plan voilé, connu des initiés et au service de la totalité des hommes. Comme l’astral n’aura plus de pouvoir sur l’évolution de la planète, la politique des sphères et la politique des nations se confondront. Elles seront invitées à participer créativement à ce plan mondial, à partir d’un pouvoir politique universel indépendant du pouvoir temporel involutif.

Extraterrestres

La politique mondiale sera unifiée et conviendra à tous les peuples de la terre, après l’apparition massive de vaisseaux venant de différentes régions de la galaxie. La visite impromptue de ces forces contraindra l’homme et ses gouvernements à reconnaître que la réalité est plus grande que la fiction, et que l’avenir de la race ne peut plus être dominé par un pouvoir divisionnaire, jeu d’une politique sans volonté et sans lumière. Ceci marquera la fin de la politique polarisée, telle que conçue selon le degré de conscience des peuples et de leurs chefs, et les circonstances historiques qui lui donnèrent naissance. La transformation profonde des systèmes actuels de gouvernement transférera sur d’autres niveaux de vie la responsabilité de voir à ce que l’homme dispose de tout ce dont il a besoin pour évoluer en paix et en intelligence. À partir de ces grands mouvements de vie, beaucoup d’humains seront amenés sur d’autres planètes pour étudier et se familiariser avec de nouvelles formes de gouvernement, plus aptes à remplir le rôle essentiel à ses fonctions vitales et impératives face aux exigences des races en évolution.

Gouvernance mondiale

Aucune aide ne sera apportée aux gouvernements de la terre avant la fin du cycle. L’humanité doit prendre conscience de ses erreurs avant de bénéficier de la lumière, qui s’étendra sur la surface entière du globe lors de l’apparition du gouvernement mondial. Le caractère universel de ce gouvernement ne pourra naître de la volonté des nations, mais d’une volonté supérieure à celle des gouvernements de la terre. L’abolition des privilèges politiques des nations sera à l’échelle du globe, et les hommes qui aujourd’hui dirigent la politique des nations deviendront sans pouvoir personnel. Le pouvoir dont ils jouiront fera partie d’une sélection admirablement établie, selon les études avancées extraites de leur personnalité politique, sur les vaisseaux qui afficheront leur présence dans le monde pendant une période suffisamment observée pour ne plus jamais laisser de doute, dans la conscience de l’homme, de l’énormité de l’univers et de la complexité de son organisation.

Extrait du livre de Bernard de Montréal "La genèse du réel".

dimanche, février 10, 2019

Dieu et Satan


Ancien prêtre catholique devenu orthodoxe à la fin de sa vie, François Brune (décédé le 16 janvier 2019) est interviewé par Yann-Erick en juillet 2008 http://elevation.over-blog.net/ (durée 1:11:05)


Quelques thèmes de l’interview : le chronoviseur du père exorciste Ernetti (confisqué par le Vatican) ; la médium stigmatisée Natuzza Evolo (1924-2009) ; le combat entre les fils de la lumière et les fils des ténèbres ; la possession par des entités ; les prodiges naturels, divins et sataniques ; le prince de ce monde et le déchaînement de la haine ; un cas de possession effrayant ; des cercles sataniques secrets et sacrifices humains ; la véritable raison de la mort de la possédée Anneliese Michel (1952-1976) ; Karl Marx, serviteur de Satan ; Hitler était protégé par des forces occultes ; la voie salvatrice chrétienne, la trahison de l'Eglise ; discernement et phénomènes médiumniques ; les apparitions mariales, les extraterrestres...

LECTURE :

Dieu et Satan 

Le combat continue



Le prince de ce monde est bien Satan, comme le dit l'apôtre Jean. Et dans ce monde se livre le combat perpétuel entre les fils de la lumière et les fils des ténèbres. 

Le pire étant que les fils des ténèbres peuvent se déguiser en fils de lumière : qui prétend lutter pour le Bien, peut faire le jeu du Mal. C'est ce qui est arrivé aux Inquisiteurs, pour lesquels l'Eglise vient de demander pardon. Mais l'Histoire pourrait en fournir d'autres exemples... Nous ne voyons que l'endroit de la tapisserie du monde. Ce qui produit le dessin se trouve pour l'essentiel de l'autre côté, dans l'invisible. Nous ne percevons pas les puissantes forces en jeu, parce qu'elles agissent en nous. Nous ne pouvons que, ça et là, en saisir, fugitivement ou ponctuellement, les effets, à travers quelques prodiges, faux mystiques, faux miracles, fausses apparitions, mais aussi vraies possessions, vraies sectes sataniques d'un côté, et véritable action de Dieu de l'autre, à travers la foi, la prière, le sacrifice de ceux qui ont choisi de participer au mystère de l'amour de Dieu, tel qu'il se révèle à nous dans la Passion du Fils.

samedi, février 09, 2019

C'est merveilleux de mourir !


Hommage au Père François Brune (1931-2019)






"La mort doit être une belle aventure."
Peter Pan



 C'est merveilleux de mourir !

Père François Brune


(...) c'est merveilleux de mourir ! Reconnaissons honnêtement qu'avant, on peut souffrir et même terriblement. Mais c'est du passage lui-même que je veux parler. Pendant la dernière guerre déjà, bien avant les révélations du docteur Moody sur les expériences aux frontières de la mort, le professeur Eckart Wiesenhütter avait été très intrigué par les réactions d'un jeune soldat de vingt-huit ans, aux intestins réduits en charpie par un éclat d'obus, et qui n'avait été sauvé que de justesse. Revenu à lui, pendant des jours entiers il refusa de parler. Enfin, il laissa échapper : « Pourquoi avez-vous fait ça ? » Ce n'est que bien plus tard qu'il osa raconter le sentiment de libération extraordinaire, de joie paradisiaque qu'il avait éprouvé et qu'on lui avait volé. 


Quelques semaines plus tard, le professeur Wiesenhütter recueillait d'autres témoignages, mais plus précis, de deux garçons qui avaient failli se noyer et que l'on n'avait ramenés à la vie que difficilement. Ils gardaient un souvenir si merveilleux de leur expérience que c'est de la même mort qu'ils souhaitaient pouvoir partir définitivement quand l'heure serait venue. Ils n'ignoraient pas qu'ils connaîtraient d'abord la même angoisse. Mais ils savaient qu'elle ne durerait pas et que la joie ensuite était telle... 

Le professeur recueillit le même témoignage d'un étudiant presque mort de froid au cours d'une randonnée à skis où il s'était égaré en plein brouillard. On dut l'amputer de doigts de la main et des orteils. Et pourtant, c'est bien ainsi qu'il déclarait souhaiter mourir si on lui en laissait le choix. Wiesenhütter apprit auprès de montagnards expérimentés que c'est bien ce que les sauveteurs redoutent. Les victimes, passé un moment de panique, éprouvent un tel bonheur que la volonté de lutter les abandonne. 

La même remarque avait été faite depuis longtemps à propos des chutes en montagne. À tel point que l'on avait déjà pu écrire : « Mourir en tombant d'une grande hauteur est très agréable. » Cette impression est confirmée par bien des témoignages. M. Sigrist raconte ainsi que, dès le début de sa chute en montagne, « il s'est senti pénétré d'une béatitude surnaturelle et, tout le temps de sa chute, il lui a semblé nager dans une mer de délices »... (Eckart Wiesenhütter, "Blick nach drüben Selbsterfahrungen im Sterben" ; Gütersloher Verlagshaus, 1974.)

« Nulle trace de cette épouvante ni de cette perte de souffle qu'on imagine d'ordinaire ; et je n'ai perdu conscience qu'en cessant de tomber. Mais je n'ai rien senti des nombreuses contusions reçues durant la chute... 

« Je n'ai perdu conscience qu'en touchant violemment le sol couvert de neige et sans éprouver la moindre douleur. Je n'avais pas senti davantage les écorchures que je m'étais faites. Je ne puis imaginer de mort plus facile et plus belle. Naturellement, le retour à la vie apporte des sensations toutes différentes. » 

J'ai emprunté cette citation à un très bel ouvrage, relativement ancien, mais que l'on a eu la très bonne idée de rééditer 
(Georges Barbarin, "Le Livre de la mort douce"). Georges Barbarin a donné à son enquête un sous-titre qui en traduit fort bien l'exceptionnel intérêt : « Comment ne plus redouter l'instant de la mort. » On y trouvera une véritable anthologie de témoignages de rescapés sur les mille et une façons de passer dans l'au-delà. Qu'on en juge plutôt par le programme : les noyés. les électrocutés, les asphyxiés par gaz, les ensevelis, les accidentés par collision, les victimes d'armes à feu, etc. 

J'ai particulièrement apprécié le chapitre consacré à ceux qui se sont fait attaquer par des bêtes fauves. Voici comment Livingstone, le grand explorateur anglais. rapporte ses impressions d'une mauvaise rencontre avec un lion : 

« Il bondit sur mon épaule et nous tombâmes à terre ensemble... Le choc produisit une stupeur analogue à celle que doit éprouver la souris après la première secousse du chat. C'était une sorte d'état de rêve, où il n'y avait ni sensation de douleur, ni impression de peur, bien que je fusse absolument conscient de tout ce qui se passait. La peur n'existait pas et je pouvais regarder l'animal sans horreur. Cet état particulier est probablement produit chez tous les animaux tués par les carnassiers, et, s'il en est ainsi, il y a là un bienfaisant mécanisme par lequel le Créateur diminue la douleur de la mort, »

De même, Sir Edward Bradford, qui se fit dévorer un bras par un tigre, note qu'il « n'éprouva aucun sentiment de peur. La douleur se borna à la traversée de la main par les crocs. Le bras fut mastiqué comme chose inerte. » 

De telle sorte que, si j'ai bien compris, et si affreuse que soit la chose, si l'on avait laissé cette pauvre bête finir son repas tranquillement, Sir Edward Bradford n'aurait pratiquement pas souffert. Il serait simplement passé dans l'au-delà. 

J'exagère à peine, car Georges Barbarin note lui-même que. si l'on doit mourir noyé, il vaut mieux ne pas savoir nager. « Moins on est habile. plus on meurt avec simplicité. » Mais la réflexion est plus profonde qu'il n'y parait. Il s'agit de l'importance d'un certain consentement final, et l'auteur consacre tout un paragraphe, avant de conclure ainsi son étude : 

« On a dit de la mort qu'elle était comme un sommeil. C'est trop et ce n'est pas assez. Bien-être, engourdissement, euphorie, elle ressemble à cette partie du sommeil qui confine à la volupté. Elle a un insensible mouvement de va-et-vient, le rythme vertigineux d'une idéale balançoire, et va si haut, si haut, qu'à la fin elle ne redescend plus. » 

Bibliographie sélective du Père François Brune :



Quand la première édition de ce livre est parue, il pouvait paraître dépassé car trop attaché à des croyances abandonnées par l'Eglise. Aujourd'hui, il fait figure d'avant-garde. C'est à un retour à la Tradition, mais à la lumière des sciences d'aujourd'hui et des expériences spirituelles des mystiques et de ceux que l'on a crus morts, que ce livre veut contribuer.






Ce livre, déjà traduit en sept langues, est considéré aujourd'hui comme un ouvrage de référence essentiel dans le domaine de l'après-vie et de la communication avec les morts. 

Des morts, cliniquement morts, racontent comment se fait le grand passage et confirment ainsi que les expériences aux frontières de la mort sont bien des morts provisoires. Des scientifiques ont pu observer, étudier ces phénomènes, mais, s'ils émettent des hypothèses, ils avouent aussi leurs limites. D'autres chercheurs continuent pourtant à développer une conception mécaniciste du monde et de la pensée. Dans cette nouvelle édition enrichie en deux volumes, le Père François Brune tente d'aider ses contemporains à s'arracher au désespoir d'une vie bien éphémère et sans grand sens si elle n'est pas éternelle...



Le premier livre en France traitant intégralement l'apparition de la Vierge à Mexico à Juan Diego au XVIe siècle. Grâce aux toutes dernières recherches menées au microscope, les scientifiques ont découvert tout à fait par hasard que la scène de Juan Diego et de l'Evêque observant « l'apparition » est fixée dans les yeux de Marie. Ensuite, que les étoiles imprimées sur le manteau de Juan sont la représentation exacte du ciel en ce jour de 1521. Enfin, dernière découverte qui laisse tous les scientifiques totalement fascinés : la pigmentation des couleurs de ce manteau sur lequel Marie a « imprimé » son portrait est de nature totalement inconnue (autrement dit « non-terrestre ») ce qui est proprement impensable aujourd'hui, sachant que la télémétrie et la spectrographie sont capables d'analyser à distance la nature de Mars ou de Jupiter !


Depuis 1968, la Vierge apparaî
t régulièrement en Egypte et les millions de musulmans, comme de chrétiens, se sont véritablement frotté les yeux en découvrant la Mère du Christ flottant au-dessus de l'église de Zeitoun, de Choubra ou encore d'Assiout. Ainsi, la Vierge est apparue pendant presque trois ans à Zeitoun et a été vue chaque soir par plus de 100.000 croyants et athées, y compris le président égyptien de l'époque Nasser. Encore plus incroyable, elle a repris ses apparitions spectaculaires en 2000 à Assiout. Mais en Europe, ces apparitions ont été passées sous silence. Pourtant, et pour la première fois dans l'histoire, ces apparitions mariales ont été photographiées et, certaines même filmées. Le Père François Brune a enquêté en Egypte auprès d'innombrables témoins et nous livre dans cet ouvrage quasi-surnaturel le résultat de son enquête.


Le fondement du christianisme repose sur quelque chose de complètement insensé, absurde, qui semble bien être le contraire de ce qu’il fallait faire : pour nous sauver, le Fils de Dieu a choisi de se faire condamner comme un criminel et de mourir dans un supplice affreux. Pour quelle raison mystérieuse a-t-il choisi une aussi étrange méthode ? Le comprendre nous donnerait certainement la clef du sens de notre existence sur cette terre. Depuis quelque temps l’Eglise ne sait plus quel sens donner à la Passion du Christ, c’est l’une des raisons pour lesquelles elle est en pleine crise. François Brune veut montrer dans ce livre que l’Église d’Occident s’est trompée de clef, qu’elle n’a pas découvert la vraie raison de cette mort étrange, mais qu’il n’y a pas lieu pour autant de remettre en question le témoignage des apôtres. Il propose une autre clef, une autre tradition, issue de l’Église elle-même, qui permet de comprendre le sens profond de la Passion du Christ. Mais, il est vrai, cette clef est bien cachée, il faut la chercher très profondément dans le cœur des hommes, dans le mystère de leur vie, car déjà la vie de chacun d’entre nous est un vrai mystère.
  

L'Église catholique est en voie de disparition rapide, en France et dans les pays développés. Ce n'est pas, comme on le dit souvent, une question d'adaptation à un monde qui change trop vite. Le problème est beaucoup plus profond et plus grave. C'est que l'Église est incapable de transmettre le message d'Amour du Christ. À travers différents articles et interviews rassemblés ici, c'est cette démonstration que poursuit l'auteur.


Pour une théologie enfin chrétienne ! 

La vie d'un prêtre de prime abord, cela peut paraître barbant à lire. Mais pour ceux qui ont la chance de côtoyer le Père François Brune, c'est l'assurance de découvertes passionnantes, non pas sur les dessous croustillants d'un certain clergé, mais sur ce qui nous concerne tous : la fabuleuse aventure de l'esprit ! Car François Brune n'est pas un prêtre comme les autres. C'est aussi un théologien d'une prodigieuse érudition et un esprit libre qui n'hésite à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Et il en a des choses à dire sur la théologie et l'aventure de l'esprit ! N'hésitant pas à pointer du doigt les sottises de saint Augustin et de Thomas d'Aquin, qui sont les deux piliers de l'Eglise de Rome, il s'attaque à leur théologie dominante dont il pense, non sans raison ni arguments de poids, qu'elle est tout sauf chrétienne ! Voilà un pavé dans le bénitier dont se passeraient bien tous ceux qui, dans l'Eglise, ont fait acte de soumission à un matérialisme aussi perfide que nuisible. Non content de s'en prendre aux fondements du système latin dont la contre-productivité est chaque jour plus éclatante, il nous entraine, au fil du récit de sa vie passionnante, sur les traces d'autres aventuriers de l'esprit qui n'hésitent pas à affirmer, par des voies qui feraient frémir les inquisiteurs des temps anciens, leur attachement à la survie de l'esprit et à l'universalité de la vie ! Alors un livre barbant ? Certainement pas, comme vous allez le découvrir !

Le désastre théologique 

Dieu est-il bête et méchant ? On pourrait le croire si l'on se réfère à certains dogmes de l'Église catholique. Mais il n'en est rien si l'on en croit le théologien François Brune qui remet dans cet ouvrage le christianisme dans sa perspective originelle. Dieu le Père n'a jamais exigé la mort atroce de son Fils pour pouvoir nous pardonner ! C'est une invention de nos théologiens en Occident. Les chrétiens d'Orient - donc les Églises orthodoxes - n'ont jamais connu cette théologie épouvantable. Dès les premiers siècles, ils ont élaboré une autre explication du mystère de notre salut. C'est ainsi que se sont développées en Orient et en Occident deux traditions théologiques parallèles, sans aucun rapport entre elles. Ces deux conceptions différentes de notre Rédemption ont entraîné deux formes différentes de christianisme, très juridique dans tous les domaines en Occident, beaucoup plus mystique en Orient. Ce n'est pas par hasard que nos mystiques, en Occident, ont retrouvé, à travers leurs expériences, la tradition mystique de l'Orient. L'Occident chrétien, tant catholique que protestant, devra remettre à plat toute sa théologie, depuis les origines, sinon, malgré tout l'amour du Pape François, elles continueront de se vider jusqu'à disparaître complètement. Tel est message diffusé dans ce livre par le père François Brune.



jeudi, février 07, 2019

Un serpent antisémite

Et autres signes d'Apocalypse (Révélation)





Un serpent antisémite 

par Lotfi Hadjiat


Des crocodiles dans les rues en Australie, un serpent sur le Mur des Lamentations et des cafards volants par millions à la Mecque.

Ces derniers mois, les signes se multiplient pour les sceptiques. Essayons de les analyser modestement et raisonnablement. 

Satan, destructeur acharné de la paix

Le serpent d’abord, éminent symbole des puissances démoniaques. Que par ce serpent, le Diable se manifeste sur le Mur des Lamentations est tout à fait cohérent. Surtout quand ce serpent s’attaque à un pigeon. Le pigeon faisant partie de la famille des colombidés, et la colombe étant un symbole de la paix, ce signe signifie selon toute vraisemblance que Israël est dirigé par l’ennemi de l’humanité, Satan, destructeur acharné de la paix. Mais contre toute attente, les rabbins interrogés sont catégoriques, ce serpent n’est pas un signe ! Que ces rabbins nient ce signe est encore un signe. Mais il faut aller encore plus loin. Ce serpent se trouvait entre les pierres du Mur des Lamentations. Ce Mur étant le centre, le cœur religieux du judaïsme aujourd’hui, on peut tout logiquement en déduire que Satan a prix possession du cœur de cette religion. Les rabbins multimillionnaires, violeurs d’enfants et trafiquants d’organes le démontrent amplement

La Mecque envahie de cafards

Passons à la Mecque envahie de cafards volants. Les cafards, surtout lorsqu’ils pullulent comme à la Mecque ces derniers semaines, symbolisent éminemment la souillure profonde, enracinée, cachée, en l’occurrence celle des Saoud, maîtres de la Mecque. Les cafards vivent dans l’obscurité, dans les ténèbres, dans les entrailles de la terre et fuient la lumière ; dans les pays du Sud, lorsqu’on allume la lampe de la cuisine au milieu de la nuit, les cafards surpris par la lumière courent se cacher. Mais les autorités saoudiennes affirment pourtant que ces nuées intempestives de cafards ont été attirées par la lumière ! Ils ne croient pas si bien dire, lorsque les cafards sortent des entrailles du temps par millions c’est le signe avant-coureur d’un changement radical… le signe d’une purge, d’un nettoyage de l’ancien pour instaurer le nouveau. Ajoutons encore que les musulmans qui continuent naïvement d’aller à la Mecque soutiennent donc cette infernale souillure des Saoud, qui eux-mêmes soutiennent Israël ! Tout est cohérent. 


Crocodiles dans les rues

Pour finir, les crocodiles dans les rues en Australie suite à des inondations exceptionnelles. Le crocodile est un dévoreur d’homme, à l’image des Occidentaux au cours des récents siècles : génocide intégral des Tasmaniens, éradication des Indiens d’Amériques, des civilisations pré-colombiennes et j’en passe… 


Livre des révélations

La nature est un livre ouvert disait Galilée, c’est vrai, à nous d’en comprendre le langage, les signes. Pour Galilée, la nature est un livre où sont écrites des lois en langage mathématique. Très humblement, je dirais pour ma part, que la nature raconte aussi une histoire, en particulier l’histoire de l’humanité, la tragédie de l’humanité, qu’aucune loi humaine ne peut occulter, pas même la loi Fabius-Gayssot. 

Au regard des signes troublants de ces derniers mois, il semble que la nature veuille nous révéler des vérités. Les plus fanatiques diront que la nature est antisémite, et pensent sans doute déjà que le serpent qui se baladait entre les pierres du Mur des Lamentations est un serpent antisémite ! Même si une nuée de serpents sortait d’entre les pierres de ce Mur, les rabbins persisteraient à n’y voir aucun signe… même si ces nombreux serpents se disposaient sur le Mur en formant les mots suivants :

CESSEZ DE MARTYRISER, DE MENTIR ET D’ADORER LE VEAU D’OR.


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AU SECOURS !


Des Israéliens appellent le monde à intervenir au nom des Palestiniens. 

Trop, c'est trop ! "Les processus d’oppression, d’expulsion et de nettoyage ethnique des Palestiniens vivant en Cisjordanie s’étendent et s’approfondissent..." LIRE


Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...