vendredi, août 13, 2021

La "Reconquista" afghane


(2:40)

L’empire américano-sioniste perd la face en Afghanistan, les talibans s’emparent à la vitesse de l’éclair de provinces entières.


France Info :

Les talibans se sont emparés mardi 10 août de deux nouvelles capitales provinciales en Afghanistan, poursuivant leur avancée fulgurante. Dans le même temps, le président des Etats-Unis Joe Biden a assumé sa décision de retirer les troupes américaines et a appelé les forces gouvernementales à « se battre ».

Avec Farah, dans l’ouest, et Pul-e Khumri, dans le nord, les insurgés contrôlent désormais huit des 34 capitales provinciales afghanes, dont six des neuf du nord du pays. Les civils fuient en masse devant leur avancée apparemment inéluctable. Les insurgés ont aussi pris mardi Farah, capitale de la province du même nom, après de brefs combats.

Les talibans ont lancé cette offensive en mai, au début du retrait final des forces américaines et étrangères, mais leur avancée s’est accélérée ces derniers jours avec la prise de plusieurs centres urbains. Le départ des forces internationales doit être achevé d’ici le 31 août, vingt ans après leur intervention dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.

« Je ne regrette pas ma décision » de quitter l’Afghanistan, a assuré mardi le président américain Joe Biden. Les Afghans « doivent avoir la volonté de se battre » et « doivent se battre pour eux-mêmes, pour leur nation », a-t-il martelé. Washington cache de moins en moins son agacement face à la faiblesse de l’armée de Kaboul, que les Américains forment, financent et équipent depuis des années.

Le porte-parole de la diplomatie américaine, Ned Price, a ainsi souligné que les forces gouvernementales étaient « très supérieures en nombre » aux talibans, et qu’elles avaient « le potentiel d’infliger des pertes plus importantes ». « Cette idée que l’avancée des talibans ne peut pas être arrêtée », « ce n’est pas la réalité du terrain », a-t-il estimé.


"La réalité du terrain dit autre chose, écrit C. Harlock. 

A bord de leur matériel américain tout juste sorti d’usine, les moudjahidines déferlent dans les rues à la recherche des traîtres qui ont vendu leur pays [...].

Les talibans sont musulmans, ce qui n’a rien d’étonnant dans un pays musulman.

Ils ne sont pas plus musulmans, ni moins musulmans que les autres musulmans de cette région. Ils ne sont certainement pas plus musulmans que les wahhabites saoudiens que les démocraties courtisent parce qu’ils ont du pétrole.

Même quand ils coupent des journalistes en dés, à l’instar de Jamal Khashoggi.

Les talibans ont été longtemps assimilés par les médias [...] occidentaux à Al Qaeda pour justifier la guerre d’agression que menait ZOG 
(Zionist Occupation Government, en français : "Gouvernement d'occupation sioniste") en Afghanistan. En réalité, ce sont uniquement des nationalistes afghans qui veulent vivre dans leur pays comme ils l’entendent. Ce qui implique, pour des musulmans, de vivre selon les règles de l’islam.

Ce n’est qu’assez récemment, sous l’influence des bellicistes juifs comme Bernard-Henri Lévy et de ses coreligionnaires d’Youtre-Atlantique, que nous avons reçu pour mission d’aller faire la guerre aux pays musulmans pour leur imposer la "démocratie"..."


"L'Occident moderne est la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde"

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