jeudi, août 26, 2021

Pourquoi il est urgent de stopper l'injection des "vaccins" à ARN messager

La protéine spike entre dans le cerveau.


Crime contre l’humanité
(Psychopathologie d’une monstruosité)


LES EFFETS DE LA PROTEINE SPIKE


Par Prajñâ


Les données scientifiques qui suivent confirment les justes propos du Dr Vladimir Zelenko. Quelque-soit l’injection utilisée, toutes ont pour objectif de faire produire à vos cellules de la protéine spike. Pour celles qui utilisent les technologies de l’ARN-messager, le fonctionnement est le suivant : on injecte dans votre corps des ARNm de la protéine spike encapsulée dans des nanoparticules de lipides dont les composants, proches de ceux des membranes cellulaires, permettent à ces nanoparticules de fusionner avec vos cellules pour délivrer l’ARNm de la protéine spike à l’intérieur de celles-ci. Les ARNm contiennent le code de fabrication des protéines. Votre corps en produit naturellement tout le temps mais cette foisci c’est un ARNm « extérieur et artificiel » qui va être traduit en utilisant le mécanisme de vos cellules. Cette machinerie spécialisée va lire ce nouveau message et le traduire en protéine spike. Pour Astrazeneca et Janssen, le processus a une étape de plus puisque c’est de l’ADN de spike que l’on va injecter. Cette fois-ci, l’ADN va venir dans le noyau de vos cellules puisque c’est là qu’il peut être lu et va générer des ARNm qui vont à leur tour être traduits en protéine spike. Dans tous les cas, vos cellules vont produire massivement des spikes dans le but de déclencher une réponse immunitaire mais nous n’en sommes pas encore là.

Rappelons ce qu’est la protéine spike : c’est une protéine de pointe située tout autour du coronavirus SARS-COV2. C’est une des protéines responsables de l’infection puisque c’est elle qui permet au virus de s’accrocher aux membranes de vos cellules et d’y pénétrer. Mais ce n’est pas tout. La protéine spike est programmée pour se lier à des récepteurs et altérer l’activité cellulaire.


Dommages vasculaires

La protéine spike est programmée pour s’attacher à plusieurs récepteurs de membranes cellulaires dont le récepteur ACE2 et la neuropiline1. La protéine spike est connue depuis l’épidémie de SARS-COV1 pour avoir une affinité particulière avec des récepteurs situés dans de nombreux vaisseaux sanguins, les récepteurs ACE2 situés dans les membranes de cellules à l’intérieur de vaisseaux sanguins dans les endroits et sur les tissus de revêtements de gros organes vitaux : poumons, cœur, cerveau, tube digestif, endomètre et testicules.

Voyons maintenant ce qui se passe quand la protéine spike s’accroche aux récepteurs ACE2, la protéine spike ayant une grande affinité à ce récepteur. Cette affinité a été augmentée par modification génétique dans le laboratoire de « Wuhan » par un code qui a été ajouté afin de permettre à la protéine spike de mieux se fixer au récepteur ACE2. ACE2 est une enzyme qui convertit des protéines, les angiotensines qui peuvent soit dilater, soit contracter les vaisseaux sanguins régulant ainsi la pression artérielle. Quand la protéine spike s’accroche à ACE2, la dilatation des vaisseaux ne peut plus se faire et toute l’activité vitale des cellules sera perturbée. Les tissus vont s’enflammer, les vaisseaux risquent de se contracter et la formation de caillots sanguins pourraient boucher ces vaisseaux. C’est ce mécanisme qui engendre chez les malades du Covid19 et les « injectés » des caillots dans les poumons : les vaisseaux se bouchent et s’enflamment, ce qui génère de l’HTA : hypertension artérielle pulmonaire, et, dans le pire des cas, des embolies pulmonaires. Le Covid19 n’est pas seulement une maladie respiratoire mais « aussi vasculaire ». Le virus endommage tous les tissus à l’intérieur des vaisseaux, partout dans le corps. Le sang circule moins bien et des caillots peuvent provoquer des thromboses, des myocardites dans le cœur, des embolies dans les poumons, des AVC, 2 accidents vasculaires cérébraux dans le cerveau. Quand les tissus de l’utérus sont touchés, cela peut entraîner des perturbations des cycles menstruels et des fausses couches. Ces mécanismes physiologiques sont amplement connus et validés par de très nombreuses études qui montrent que le virus n’a pas besoin d’être entier pour endommager les cellules vasculaires. La seule protéine spike est suffisante pour perturber l’activité du récepteur ACE2.


Questions

1 – Après l’injection, combien de protéines spike vont être produites et pendant combien de temps avant que l’ARN ou l’ADN soient démantelés ? Une fois les protéines spike produites il faut parfois 15 jours avant que le système immunitaire génère les anticorps.

2 – Pendant ce temps, peut-elle se disséminer partout dans le corps ou va-t-elle être démantelée par nos cellules ? A la page 54 du rapport de l’Agence Européenne du Médicament, AEM, qui s’appuie sur les études de Pfizer, il est dit que l’ARNm de spike est distribuée aux cellules des reins, des poumons, du cœur, des testicules et des ovaires.

3 – La protéine spike par l’injection peut-elle endommager les cellules vasculaires et causer des thromboses, AVC, myocardites, embolies pulmonaires, infarctus ? : Oui.

4 – Combien de morts en tout ? Aux USA l’organisme chargé de recenser les effets néfastes des injections, le VAERS, attribuera récemment … 3555 morts pour 1 million d’effets secondaires, MAIS selon une étude de l’Université de Harvard, à peine 1% des effets secondaires sont recensés par le VAERS. (Il faudrait donc multiplier par 100 ?!). Pour l’Europe, Euro-vigilance recense au 22 mai 21, 12.184 morts et 1.196.190 effets secondaires … donc … x 100 = … ? Au 25 août ce serait 23.000 morts …

5 – Infertilité : au 26 février 21 aux USA, 43 fausses couches subites furent déclarées après injection … De nombreux symptômes ont été rapportés concernant les appareils reproducteurs après l’injection : menstruations douloureuses et abondantes, fausses couches, saignements chez des femmes ménopausées, douleurs testiculaires. Là encore, les effets néfastes de la spike sur les tissus des organes reproducteurs semblent expliquer ces symptômes. D’après cette étude les récepteurs ACE2 situés sur les cellules de l’utérus se multiplient pendant la grossesse et, à cause de la protéine spike, l’activité cellulaire responsable de l’installation du placenta et du développement fœtal, fortement perturbée, cause une augmentation des fausses couches, (80% d’augmentation depuis le début des injections chez des femmes enceintes). De même, l’appareil reproducteur masculin très vascularisé et contenant de nombreux récepteurs ACE2 est lui aussi très sensible à l’action des spikes. Nous avons constaté chez les hommes ayant contracté le Covid-19 de fortes diminutions des spermatozoïdes. Il est à craindre qu’après ces injections de masse, les problèmes de fertilité soient parmi les plus graves à long terme.


Dommages neurologiques

Un second récepteur joue un rôle important dans l’infection du coronavirus : la Neuropiline1 (NRP1). La protéine spike s’y accroche et, là-encore, des manipulations génétiques ont été réalisées dans la séquence de spikes pour créer cette affinité à la NRP1. Ce récepteur est présent sur les neurones, en grande concentration dans le placenta ou les poumons mais aussi dans le cerveau. Quand la protéine spike s’accroche à la NRP1, les dégâts évoqués précédemment seront amplifiés mais des dégradations neurologiques également à craindre sont déjà connues. Si la protéine spike atteint la barrière hémato-encéphalique où les récepteurs NRP1 sont nombreux, des effets neurologiques à long terme sont possibles dont les plus connus sont la perte de goût et de l’odorat chez les patients qui ont contractés le Covid-19, et plus grave : des altérations du système nerveux, dont le syndrôme de Guillain-Barre, ont été rapportées après injection.


Une vague de vaccination pour une vague de morts et d’infertilité.
Surchauffe immunitaire

Le point d’injection est magnétisé : ce phénomène s’explique entre autres (nous parlerons plus tard de l’oxyde de graphène) par la composition de nanoparticules lipidiques. Parmi les composants, 2 molécules sont chargées positivement : ALC 0315 de Pfizer et SM 102 de Moderna sont chargées avec des ions positifs pour stabiliser les ARNm à l’intérieur des nanoparticules. Une étude de 2010 montre que ces nanoparticules chargées positivement engendrent des inflammations immunitaires sévères appelées “Tempête cytokinique” ; cela génère des graves symptômes : chocs anaphylactiques, tremblements incontrôlables du corps, fortes fièvres et autres phénomènes inflammatoires liés à une surchauffe du système immunitaire qui est une machinerie complexe. Nous avons une immunité innée capable de faire face à toutes sortes de pathogènes et une immunité adaptative et acquise qui a été éduquée à reconnaître les agresseurs spécifiques. Ainsi, après injection, les protéines spikes produites vont activer l’immunité adaptative pour générer des anticorps très spécifiques « censés combattre » plus facilement le SARS-COV2, mais ces anticorps spécifiques inhiberont l’immunité naturelle. Les études suggèrent qu’une réponse immunitaire procure (insidieusement) dans la majorité des cas une (fausse) immunité de quelques mois … mais, comme déjà dit, concernant l’évasion immunitaire : plus on vaccine plus le virus va muter. Un chercheur au CRIGEN explique le phénomène de recombinaison virale : le virus face aux Anticorps spécifiques à spike va s’adapter et concentrer ses mutations sur cette protéine pour contourner les anticorps engendrés par l’injection. C’est ainsi que l’on observe l’accélération des variants. Aussi, des envolées virales se sont produites dans de nombreux pays car, après la vaccination, « l’immunité innée se trouve supplantée » par la fabrication massive d’anticorps spécifiques, ce qui nous rend plus vulnérables aux infections. En France, de nombreuses personnes vaccinées ont quand même contracté la maladie. La vaccination de masse nous fait prendre le risque d’une envolée virale à l’automne avec des variants plus infectieux.


Le génome de spike peut-il s’intégrer dans l’ADN humain ?

Dans certains cas OUI en ayant recours à une enzyme : la « Transcriptase inverse » qui permet de modifier un ARN en ADN. C’est comme cela que le noyau du VIH entre dans le noyau des cellules pour s’incorporer dans les chromosomes. Le VIH n’est pas le seul virus à avoir cette faculté. 8% de notre génome est d’origine virale ! et se constituera pendant 3 millions d’années … Ici, nous avons des séquences d’ARN synthétiques et tant que les brevets des labos ne sont pas levés on ne peut pas savoir comment les ARNm ou les ADN de spikes ont été programmés ; le risque d’intégration de ce génome synthétique à notre ADN est donc loin d’être de la science-fiction.

Une fois dit tout cela, nous en appelons à la responsabilité de chacun. « Sachez qu’il n’y a pas de liberté sans Consentement éclairé » et que celui-ci repose sur la nécessité de disposer de toutes les informations. Les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus et on vous demandera un test PCR négatif avant de prendre l’avion … etc … Cette injection est très dangereuse pour les jeunes et encore plus pour les enfants : c’est un scandale. De nombreux traitement existent et sont très efficaces quand pris à temps et non dangereux. L’immunité innée et l’immunité acquise sont beaucoup plus efficaces que ce (faux) vaccin. En Phase 3 pour 2023, aucun test de toxicité n’a été réalisé.

Ce sont les labos qui ont dicté leur conduite aux politiques qui leur obéissent… volontairement. Beaucoup de gens qui ont participé à la phase 2 de Pfizer sont morts. Aucune étude indépendante n’a été conduite. 4 Il faut l’arrêt immédiat de tout cela.



Note :

La tradition Asiatique par l’Inde antique transmet « encore » la triade : Rûpa – nâma – Prajñâ.
La tradition Grecque antique transmettait la triade : Soma – psukhê – Noüs.
La tradition Latine antique transmettait la triade : Corpus–anima–Spiritus.

Noüs et Spiritus ont quasi disparu. Ces trois triades ont toujours été pour guider l’existence des manusyâs, les humains, afin de leur permettre une posture existentielle fermement établie, stable, équilibrée sur les trois plans : intellectuel, émotionnel, instinctif : la tête, le cœur, le ventre. Mais, par la perte de la dimension métaphysique, l’humain se trouvera et se retrouve ce jour en déséquilibre totalement désorienté, égaré et voué dans les marasmes d’un culte matérialiste à Mammon, l’argent. Le paroxysme de ce déséquilibre si actuel sera bien décrit par René Guénon et d’autres éveillés à l’Intuition Métaphysique et développée.

Ni les gouvernants actuels ni le locataire du Vatican, ni d’autres dits chefs-religieux, ne connaissent l’essentialité de ces triades, leur ignorance est manifeste. Ces « asura », démons demi-dieux jaloux, bien nommés et décrits dans la cosmogonie orientale, avides, haineux et stupides, exercent leurs pouvoirs usurpés pour tuer tout ce qu’ils ne comprennent pas et ne veulent ou ne peuvent entendre. La seule chose pour ces psychopathes est d’assouvir leurs soifs de leurs plus bas instincts. Ce faisant, ils se dirigent vers leur propre mort d’autant que leur Intelligence « artificielle » se retournera contre eux …

Rappelons encore une fois que :

1. Ces faux-vaccins ne sont donc ni des vaccins ni des thérapies géniques ni des expériences sauf déguisées, mais un plan diabolique pour un génocide planifié.

2. Une maladie sans symptômes n’existe pas, donc le bien-portant asymptomatique n’est pas malade. Pourquoi lui injecter un poison mortel sinon pour le tuer ?

3. Pourquoi injecter un malade dont la maladie n’a rien à voir avec un virus ? 4. Rappeler-vous le scandale du rivotril qui a tué des milliers de personnes âgées.

5. Refusez ces injections et que vos enfants ne soient surtout pas injectés. Retirez-les de l’école si nécessaire.

Réveillez-vous !


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