mardi, juin 30, 2020

L'origine du véritable pouvoir

(Durée 1:28)

Chalençon est anéanti par une "fatwa" communautariste.

Sarah Cattan, de “Balance ton antisémite”, n'a pas aimé que Pierre-Jean Chalençon, animateur de France 2, participe à une fête où étaient invités Dieudonné et Stéphane Blet, notoirement plus antisionistes qu'antisémites.



Interrogeons-nous ?



- Pourquoi les personnalités accusées de ne pas se soumettre pas à la doxa sioniste sont-elles terrorisées ou persécutées par la "justice" ?

- Qui contrôle quoi en France ? 


- Le véritable pouvoir est-il talmudo-maçonnique ?

- La Révolution dite française fut-elle d'abord et avant tout, d'essence talmudo-kabbalistique ?


Auteur du livre La République Universelle Du Genre Humain, le révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) évoquait les "tribus judaïques qui regardent la France comme une seconde Palestine". Plus récemment, surtout depuis la loi Pompidou-Rothschild, la finance apatride contrôle la France. C'est le début de la mise en esclavage par la dette et la palestinisation des Français.



Pierre Hillard écrit :

"Expliquer l'essence de la Révolution de 1789 avec ses conséquences spirituelles et politiques exige de cerner la tournure d'esprit des acteurs de cette époque en fonction de leurs référents philosophiques. 

Dans Archives du mondialisme, nous avons traité dans le chapitre III des tentatives des Juifs à acquérir la nationalité française. Après quatorze échecs, la quinzième fut la bonne avec la naturalisation de cette communauté à la nation française le 27 septembre 1791. La chose se fit avec l'appui de nombreux révolutionnaires (Mirabeau, l'abbé Sieyès, l'évêque Talleyrand, Clermont-Tonnerre, l'avocat Godard, l'abbé Grégoire, ...) en liaison avec un petit groupe très actif de Juifs comme Cerf Beer. Cet événement, impossible dans le cadre d'une France née du baptême de Clovis sous l'égide de l'évêque Saint-Rémi, n'a pu se concrétiser qu'en raison d'une mutation des mentalités parmi les élites aristocratiques, bourgeoises et même royales car Louis XVI a posé les jalons rendant la chose faisable. La proclamation de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen accompagnée d'un préambule sous l'égide de l'Être suprême, signée le 26 août 1789, n'est que la conséquence d'une évolution des mentalités étalées sur des générations.

Un tel engagement de la synagogue talmudique, depuis 1808, envers les principes de la Révolution indique que celle-ci doit y trouver son compte. Ne pourrait-on pas affirmer que cette Révolution dite française fut, d'abord et avant tout, d'essence talmudo-kabbalistique ? En effet, les propos de l'évêque Saint Rémi instaurent un modèle politico-religieux faisant du premier roi de France, Clovis, le lieutenant du Christ; c'est-à-dire aux yeux de la synagogue rebelle un Messie qu'elle ne reconnaît pas, qu'elle rejette et qui doit être anéanti car, pour elle, « ce » Jésus de Nazareth n'est qu'un usurpateur. La France est donc dans le collimateur de la nouvelle synagogue plus que tout autre pays en raison de cet honneur octroyé à la maison royale de Clovis et à ses successeurs. Ce point décisif est à retenir absolument.

La France est à part et son sort est lié à l'Église. Indirectement, cela signifie que, dès le début, notre pays a subi des attaques brutales ou, plus subtilement aussi, des infiltrations pour affaiblir et, en bout de course, effacer cette marque ainsi que la mission d'apostolat résultant du baptême de Clovis."



A l'origine de la République française, 
Kabbale et frankisme satanique (la Rédemption par le
péché). 


"(...) la première idée centrale de cette secte (les frankistes) est de souligner que la rédemption par le bien se trouve dans la mise en application des péchés condamnés par la religion, soit une sainteté du Mal et de l’action qui l’accompagne. Nous sommes ici dans l’idée fondamentale de la Kabbale initiatique, dont l’un de ses principaux secrets serait l’égalité entre le Bien et le Mal et non la suprématie du Bien sur le Mal." 

Charles Novak

"Lors de ses études sur les sectes des adeptes de Sabbataï Tsevi et Jacob Frank, l'auteur du livre,
Du frankisme au jacobinisme, Gershom Sholem découvrit Moses Dobru ka, un personnage mystérieux et « polyvalent » qui naquit dans un ghetto de Moravie, participa à la Révolution française et mourut sur l'échafaud. 

Élevé comme juif orthodoxe, il se convertit au catholicisme (tout en jouant un rôle très actif au sein d'une secte kabbaliste), fut anobli par l'empereur d'Autriche et prit le nom de Franz Thomas von Schönfeld. Par la suite il s'établit à Paris sous le nom de Junius Frey et devient un membre du Club des Jacobins. Il fut guillotiné, à l'âge de 40 ans, le 4 avril 1794, en compagnie des chefs de la faction dantoniste. 

Les résultats des investigations de Gershom Sholem avaient déjà été publiés antérieurement de façon plus embryonnaire et circonstancié, mais ce n'est que dans ce présent texte qu'il s'est senti à même d'en donner une description plus définitive. 

Divers auteurs se sont penchés sur la vie de Dobru ka mais sans avoir connaissance des informations réellement essentielles et utiles à la compréhension de la vie et la psychologie du personnage, et qui plus est, sans être informés de ses liens avec la secte « frankiste » de Jacob Frank. L'analyse de sources encore inexploitées ou mal interprétées ont permis à l'auteur d'entrevoir l'homme dans son véritable contexte. 

Beaucoup d'informations nous viennent de Dobru ka lui-même ; en effet, à divers moments de sa vie, celui-ci a confié aux uns ou aux autres un certain nombre de détails sur lui-même, dans la mesure où de telles révélations lui paraissaient pouvoir le servir dans le sens de ses intérêts du moment. Bien que de nombreux points restent encore obscurs à son sujet, nous savons aujourd'hui qu'il fut une figure caractéristique de la seconde génération du mouvement « frankiste »."

Extrait :

Nous ignorons quelles furent au juste les entreprises financières de Schönfeld (Moses Dobruska — alias Franz Thomas von Schönfeld — alias Junius Frey) au cours des dix années qui suivirent sa conversion. Lui-même se plaint de ses nombreuses affaires qui ne lui laissent pas le temps de s’adonner à la littérature comme il le désirerait, mais sans préciser lesquelles Par ailleurs, nous savons que, durant ces années, il poursuivit également des activités plus secrètes ; sans doute consacra-t-il une part importante de son temps, quelques années durant, à des activités dans des organismes affiliés au mouvement des francs-maçons. Outre les sociétés maçonniques ordinaires d’inspiration anglaise, qui existaient également dans le cadre de l’empire allemand et bénéficiaient d’un large appui de la part de nombreux milieux princiers et aristocratiques, y compris l’empereur Joseph II, cette époque vit la floraison des ordres maçonniques à tendances ésotériques, dotés d’une structure particulière.

La principale différence entre la franc-maçonnerie ordinaire et ces nouvelles ramifications était d’ordre idéologique : cependant que la doctrine des premières était plutôt d’inspiration à la fois chrétienne et rationaliste ou même déiste, ces dernières avaient des tendances mystiques et initiatiques. Elles accordaient une place prépondérante à la théosophie chrétienne professée par Jacob Böhme et Louis-Claude de Saint-Martin, à l’alchimie et, dans une certaine mesure, à des pratiques magiques. Ces divers éléments s’étaient cristallisés dans des sociétés qui se considéraient comme les continuateurs de l’ordre fictif appelé « La fraternité de la Rose-Croix » (fondé soi-disant au XVIIe siècle) et qui reprirent ce nom. Ces sociétés attiraient un nombre non négligeable de nobles et de hauts fonctionnaires, qui oscillaient entre le rationalisme et la mystique et tentaient parfois de réaliser la synthèse de ces deux tendances.

C’est dans le no man ’s land entre ces deux tendances que se situait l’ordre des « Frères asiatiques », issu d’une réorganisation des « Chevaliers de la Vraie Lumière » (Ritter vom wahren Licht). Dès avant 1780, Schönfeld avait rejoint les francs-maçons ordinaires, comme certains de ses parents et certains membres du milieu juif et frankiste, dans les familles fortunées d’Autriche. Mais quand il adhéra aux deux sociétés mentionnées plus haut (1781-1783), il s’identifia à leurs tendances mystiques. La littérature de base de ces sociétés se distinguait par des emprunts très généraux au judaïsme (extraits du Rituel de prières); chez les Chevaliers, puis plus encore chez les Frères asiatiques, on trouve des éléments kabbalistiques, non pas pseudo-kabbalistiques comme dans d’autres confréries de ce genre, mais authentiques, des formules tirées du livre du Zohar, des considérations sur les lettres du Tétragramme extraites du livre "Pardès-Rimmonim", du kabbaliste Moses Cordovero, et même de longues spéculations sur la Création, citées parallèlement aux enseignements des théosophes chrétiens.

Il faut donc reconnaître qu’il s’agit là d’une institution unique en son genre dans l’histoire de la maçonnerie mystique, puisqu’elle marie les éléments chrétiens et juifs (avant même que l’affiliation de membres juifs en tant que tels ne soit admise), ces éléments juifs étant d’ailleurs particulièrement marqués. Dans ses Mémoires, Franz J . Molitor (1779-1860), qui disposait de sources sûres concernant le caractère de cette institution, écrit que du temps où les Frères asiatiques exerçaient leurs activités à Vienne, l’aspect juif de la Société devint de plus en plus visible. C’est seulement lors du transfert de leur centre en Allemagne du Nord (1786) que la tendance chrétienne prit le dessus. Or, on constate que dans le groupe des principaux fondateurs de l’ordre des Frères asiatiques, la première place revient à Franz Thomas von Schônfeld, en même temps qu’à un noble bavarois du nom de Hans Heinrich von Ecker und Eckhofen (1750-1790), au frère capucin Bischoff (mort en janvier 1786), et à un certain nombre de fidèles de Saint-Martin appartenant à la noblesse et à la fonction publique autrichienne. Le frankiste, le moine catholique extravagant (il fit de longs séjours en Orient et avait, semble-t-il, beaucoup de sympathie pour les sabbatiens qu’il rencontra) et l’aventurier issu du cercle des Gold-und-Rosenkreuzer s’entendaient fort bien en raison de leurs tendances syncrétistes. La participation de Schônfeld à ces activités ne fait plus de doute, d’après le résultat de nos recherches dans les archives des francs-maçons à Copenhague et dans les archives correspondantes de La Haye. Nous pensions autrefois que les éléments juifs et kabbalistiques de ces confréries devaient plutôt être attribués à Ephraïm Joseph Hirschfeld; entre-temps, nos recherches à Hambourg, et la découverte faite par Jacob Katz à La Haye de nouvelles sources publiées ou utilisées en partie dans son livre "Jews and Freemasons in Europe", paru en 1970, ont prouvé le rôle prépondérant de Schönfeld par rapport à celui de Hirschfeld au cours des années 1781-17841.

Le rôle de premier plan joué par Schönfeld est confirmé par le témoignage des personnages les plus concernés dans cette affaire. Le prince Charles de Hesse, le chef suprême des organisations de la maçonnerie ésotérique en Allemagne, qui, en outre, dirigea l’ordre à partir du mois d’août 1786, déclara à la fin de ses jours : « Schönfeld fut, avec Eckhofen, l’un des premiers militants de l’ordre des Asiatiques. » Les premières Instructions (dans la doctrine des Asiatiques) furent probablement élaborées par trois personnes : Bischoff, Ecker von Eckhofen et Schönfeld, et c’est de ce dernier (et non pas de Hirschfeld, comme nous le supposions autrefois et comme le laissaient entendre certaines sources secondaires pour l’histoire de l’Ordre) que proviennent les éléments kabbalistiques que l’on y trouve. Nous n’insisterons pas sur le problème des juifs au sein de
l’ordre des Asiatiques, qui fut la première communauté ésotérique à ouvrir ses rangs aux juifs : quelques-uns parmi les plus importants des «juifs de cour» de l’époque s’y affilièrent, ainsi que certains des premiers "maskilim" (ce fait a été prouvé par les recherches de Jacob Katz et les nôtres). Quand, en 1784 (la date précise n’est pas absolument certaine), Hirschfeld se rallia à l’Ordre, les textes fondamentaux de la doctrine des Asiates existaient déjà, avec tous leurs éléments kabbalistiques. Ce n’est pas Hirschfeld mais d’autres qui déterminèrent l’orientation de base de la confrérie, même si, au cours des années à venir, il composa à ce propos de longs commentaires, dont une partie considérable nous est parvenue.


Descendants frankistes en France 

par Charles Novak

Outre la descendance de Dobruchka-Frey-Schönfeld entre Paris et Vienne, l’émigration frankiste en France ne serait pas négligeable : Adam Mickiewicz et la fondation de l’Institut slave, dans lequel on trouve d’autres frankistes polonais qui militent pour un réveil national de la Pologne comme Bogdan Zaleski par exemple, la famille Krysinski, dont une descendante, Mme Maria Krysinska, inspira Charles Maurras, mais aussi, Czisnki, qui écrivit pour l’Institut slave un statut pour les Juifs polonais désirant se battre pour la Pologne indépendante. En dehors de l’institut, nous rencontrons à Paris Heone Wronski célèbre mystique dont l’appartenance frankiste est plausible, mais peu sûre, l’ex-rabbin converti au catholicisme puis au satanisme, Paul Rosen, sur lequel aucune étude sérieuse n’a été faite jusqu’à aujourd’hui. Celui-ci entretint de longues diatribes antimaçonniques qu’il associait à Satan, frankiste et maçon, qui paradoxalement dénonçait ses propres « frères » appartenant à des loges, le poète Niemcewicz ami d’André Chénier originaire de Constantinople, le poète Jacob Jasinski, la princesse Rosalie Lubormirska sous la Révolution française, qui ne fut en fait que la gouvernante de la famille de Frank lors de leur séjour à Offenbach, et sœur de Schönfeld et qui mourut sur l’échafaud. Sans oublier Towianski, le fameux gourou qui sauva la femme frankiste de Mickiewicz. La question mérite d’être soulevée au sujet de Mme Hanska, compagne de Balzac, une Madame Hanska née Evelina Rzewuska, épousa l’occultiste marquis Alexandre de Saint-Yves d’Alveydre, auteur du fameux livre occultiste « Mission des juifs ». Sa sœur, Caroline Rzewuska fut l’une des meilleures amies de Mickiewicz et de sa femme, née Wolowski à Odessa. Elle fit un quatrième mariage avec Jules Lacroix. Détail curieux pour la famille Rzewuski, sur le papier de baptême de Marie Rzewuska, mariée Kleinmichel et sœur de Evelina, figure, comme témoin, le général Bibikov, exactement le même nom et grade du général russe qui libéra Frank à Czetochowa soixante avant. S’agirait-il d’un faux acte de baptême ou modifié ? Ou une longue relation entre la famille Bibikov et des familles frankistes ? Notons également dans cette famille, l’aventurière et princesse Radziwill, née Catherine Rzewuska et nièce de Madame Hanska, qui dénonça les Protocoles comme des faux, puis écrivit d’autres faux documents et les rédénonce. Elle affirma que les Protocoles avaient été inventés en 1905 par la police tsariste, l’Okhrana, et dirigée par le célèbre Ratchhovski. On ne peut que s’étonner des divergences au sein de la famille Rzewuski : un Saint- Yves d’Alveydre, adepte de la synarchie, glorifie le peuple juif en écrivant son fameux livre, "La Mission des Juifs", tandis que sa nièce, Catherine, gravite autour de la nébuleuse des créateurs des Protocoles antisémites. Les présomptions sont fortes concernant cette famille Rzewuski, comme famille frankiste, d’autant plus, comme le souligne Kraushar, que Franciszek Rzewuski fut témoin des conversions. Le converti qui recevait le baptême prenait le nom du témoin. Parfois même, le converti prend le nom du témoin qui n’a pas de descendance, soit parce qu’il n’a pas d’enfant, soit parce qu’il est ecclésiastique, comme ce fut le cas par exemple, pour la famille von Schönfeld, anciennement Dobruchka. Aussi, les familles Rzewuski, ou Schönfeld, peuvent se vanter d’être des familles aristocratiques très anciennes, tout en omettant de préciser, que leur ancêtre fut un Juif converti, adepte de Frank, adopté par un noble ou un évêque ; adoption qui ne figure point dans l’arbre généalogique de la famille. Cette méthode de prendre le nom d’un des deux témoins lors de la conversion est, cependant, un formidable moyen de recherche pour retrouver des familles d’aristocrates d’origine frankiste, à moins qu’ils n’aient pris que le prénom. Car un Juif qui se convertit au christianisme en Pologne (et dans d’autres États comme l’Autriche) se trouve, grâce à des chartes anciennes, automatiquement anobli s’il en fait la demande.



Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...