lundi, juin 22, 2020

L'insurrection raciale de Stuttgart, Merkel est-elle responsable ?

(Durée 4:11)
Stuttgart, le 20 juin 2020


L’insurrection raciale a atteint la ville de Stuttgart en Allemagne. Des bandes d’allogènes ont pillé des magasins et attaqué les forces de police.

Deutsche Welle :

La ville du sud-ouest de l’Allemagne a connu une nuit d’émeutes et de pillages, plusieurs policiers ont été blessés alors que des centaines de personnes se dirigeaient vers le centre ville. La situation était « complètement hors de contrôle », a déclaré la police.

Plusieurs policiers ont été blessés lors d’émeutes et de pillages dans la ville allemande de Stuttgart, tôt dimanche matin. Des dizaines de petits groupes de personnes dans le centre de la ville ont lancé des pierres sur les autorités, ont cassé des voitures et brisé des vitrines de magasins.

« La situation est complètement hors de contrôle », a déclaré un porte-parole de la police. « Elle se transforme en véritables émeutes », ont-ils ajouté. Vingt personnes ont été arrêtées.

La police a déclaré que les émeutes ont eu lieu après que la police ait effectué des contrôles dans le centre ville en rapport avec des soupçons de trafic de drogue. Plusieurs groupes se sont alors regroupés contre la police et ont commencé à la menacer. La police a été « confrontée de manière extrêmement agressive, attaquée et blessée », selon le rapport de police.

Peu après 3 heures du matin, la situation semblait s’être calmée.

Les autorités ont déclaré que plusieurs centaines de personnes étaient impliquées dans les émeutes, qui ont eu lieu dans le quartier commercial central de Stuttgart et ont duré plusieurs heures.

Plusieurs entreprises et véhicules ont été endommagés dans la ville, qui est la capitale du Land allemand de Bade-Wurtemberg et l’une des plus grandes villes d’Allemagne.

Dimanche, le maire de Stuttgart, Fritz Kuhn, a écrit sur Twitter qu’il était « choqué par l’explosion de violence… ». Il a déclaré que c’était « un triste dimanche pour Stuttgart » et que les autorités allaient analyser la situation « en profondeur ». Il a retweeté une vidéo de la télévision publique régionale SWR qui montre une partie de la violence.

"Il n’est pas nécessaire d’analyser très longtemps la situation « en profondeur » pour comprendre que c’est le résultat de l’invasion migratoire orchestrée par Merkel et sa clique depuis 2015. Tôt ou tard, ces poches de pus raciales devaient finir par exploser. Le climat d’insurrection raciale actuel a été le déclencheur", commente le Capitaine H. 





"Une lecture attentive du « Racisme expliqué à ma fille » (de Tahar Ben Jelloun) permet d’apporter un éclairage sur la façon dont se forment, se transmettent et se renforcent les stéréotypes qui font la spécificité du racisme Antiblanc. [...] 

C’est un faisceau de petits et de grands mensonges, de déformations et d’accumulations partisanes. Ainsi on peut évoquer des faits historiques en mentant sur leurs causes ; on peut présenter de façon systématique les Blancs sous un jour négatif, on peut minimiser systématiquement les expressions du racisme Antiblanc. Il résulte d’une telle éducation la transmission de trois grands mythes racistes et d’un préjugé fondateur au racisme Antiblanc.



3 mythes racistes


1) Tous les Blancs sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche ;

2) Les Blancs sont plus racistes que les autres peuples ;

3) Les Blancs sont responsables de tous les malheurs des autres peuples.



1 préjugé 

A) Ce sont toujours les Blancs qui sont les racistes, tandis que les personnes appartenant à d’autres groupes ethniques sont toujours des victimes du racisme.

A ces trois croyances, qui font la spécificité du racisme Antiblanc, vient s’ajouter un autre trait qui distingue le racisme dont peuvent être victimes les Blancs du racisme dont peuvent être victimes les individus appartenant à d’autres groupes ethniques. Le racisme Antiblanc tire sa force de sa capacité à paralyser ses victimes et à les réduire au silence. Il se distingue par des processus de manipulation qui empêchent ses victimes de l’identifier et de le dénoncer. Ces méthodes sont :

- Le silence sélectif, le chantage moral et racial ;

- Les inversions culpabilisantes (délit de généralisation, déplacement du soupçon et isolement accusateur) ;

- Le refus de parole et le refus d’écoute.

Il arrive également un moment où, parce que le monde change et la roue tourne, il faut remettre en question la façon dont notre société combat le racisme. Une éducation qui dénonçait le seul racisme des Blancs avait un sens lorsque la France était une nation ethniquement homogène ; elle devient un vrai problème et un facteur de diabolisation des Blancs dès lors qu’elle est dispensée dans une société de plus en plus multi-ethnique.

Contrairement aux apparences, l’immigration extra-européenne ne nous a pas fait découvrir que les Blancs peuvent être racistes ; on le savait déjà depuis longtemps. Ce que nous découvrons vraiment, c’est qu’ils peuvent être victimes d’un racisme particulier, le racisme Antiblanc. Ce racisme, de plus en plus répandu, de plus en plus virulent, n’est ni dénoncé, ni combattu, quand il n’est pas encouragé, parce que certains ont intérêt à l’instrumentaliser, soit pour en tirer un bénéfice politique, soit pour en tirer un bénéfice économique, soit pour en tirer quelques privilèges raciaux.

C’est aussi parce que le monde change qu’à ceux qui ne cessent de nous culpabiliser, nous devons opposer au devoir ou plutôt, à l’obligation de mémoire, le droit de tourner la page. Nous ne vivons ni sous Louis XIV, ni sous le régime de Vichy; que les membres de minorités ethniques qui trouvent dans ces deux épisodes de notre histoire un alibi à leur haine envers les Blancs se le tiennent pour dit.

Pour lutter contre le racisme Antiblanc, on aurait tort de croire qu’il est utile de se montrer conciliant. Ainsi toutes les repentances, toutes les réparations ne servent à rien, lorsque le désir de réconciliation n’est pas partagé. Si, dans le combat contre le racisme Antiblanc, il faut garder en tête qu’on ne se grandit pas en écrasant les autres, il devient urgent d’avoir à l’esprit que se mettre à genoux ne grandit pas les autres. La motivation principale du raciste Antiblanc est la haine. On ne peut pas discuter avec ce genre de personne et on ne peut l’amener à changer ses positions en se montrant accommodant. Il faut, en toutes circonstances, s’opposer aux discours et aux comportements du raciste Antiblanc."

(PDF gratuit)

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