Solidarité de la population espagnole face à l'oppression

(Durée 1:11)

TANRESI CensuréParDesFdp : 

"La police espagnole tente de verbaliser et d'embarquer une dame, mais le peuple ne laisse pas faire."

L'abus de pouvoir des policiers sera-t-il puni ?

Depuis que les médecins et les scientifiques, non-corrompus par l'industrie pharmaceutique, ont dénoncé l'escroquerie des tests de dépistage du covid-19 et l'inexistence de réelle pandémie, beaucoup de personnes considèrent que les policiers ne sont que des racailles en uniforme, des complices de la mafia politico-médicale.

Quand la véritable Justice sera rétablie, comme de nombreux politiciens et tous les corrompus des médias et de la médecine, des policiers encoureront des peines sévères allant de la révocation à la prison. En effet, il y a eu, notamment en France, un crime contre l'humanité : l'euthanasie active des personnes âgées. 

Covid-19 et euthanasie, le coup de gueule du docteur Charbonier :

(Durée 16:09)

Le docteur Charbonier, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital de Toulouse, s'exprime sur le décret du 29 mars 2020, qui autorise des médecins à prescrire du rivotril pour précipiter les fins de vie.

"Donc, dit Jean-Jacques Charbonier, ce rivotril, lui, n'est pas donné du tout pour ça normalement. (...) c'est de l'euthanasie active, il ne faut pas se leurrer... Des médecins vont pouvoir le prescrire sur ordonnance en mettant simplement "HORS AMM COVID-19" (...) ce traitement (...) est fait pour tuer (...) pour abréger les fins de vie...

On est dans une situation où il y a un gouvernement qui ne fait pas un décret pour un traitement qui est susceptible de guérir les gens, sous prétexte qu'il est peut-être dangereux. Par contre, il fait un décret pour qu'un produit soit utilisé pour tuer des gens. Je ne comprends pas. Je ne comprends vraiment pas l'attitude de ce gouvernement. Qu'est-ce qu'il veut, pourquoi il fait ça ? [...]

C'est de l’ingérence médicale. Comment un gouvernement peut indiquer aux médecins comment exercer leur art ? Il faut que les médecins retrouvent leur pouvoir, leurs droits et leurs devoirs face aux malades. Quand on priorise le malade, on ne fait pas du tout ça. Dans les EHPAD actuellement, c'est l'hécatombe..."