vendredi, juin 25, 2021

Echapper à la bêtise normative



Le Catholicisme de ces 17 ou 18 siècles derniers n'a été qu'une institution dogmatique qui devint formalisme doctrinaire. Elle a occulté toutes les règles fondamentales qui développent le mental et l'organique et peuvent unir au Transcendant. Il était donc fatal que cette religion tronquée de l'essentiel finit par livrer les peuples au matérialisme et au marxisme, sa phase suicidaire ultime.

L'Église pastorale a eu l'immense mérite de la charité et de la culture monastiques, de la splendeur de Vézelay et de Chartres, de la sainteté de M. Vincent et de François d'Assise. Mais l'Église dogmatique a fait de l'Histoire une sclérose doctrinaire où les notions redoutables d'hérésie et d'anathème que le Paganisme antique avait ignorés, ont fait couler des mers de sangs et de larmes.

Le dogme, le plus souvent un défi à l'intelligence élémentaire et au sens moral, confiture d'abscons et de contradictoire, hérita de la Synagogue au Dieu exclusif tyrannique, cruel et jaloux le Dieu justicier des théologiens qui relève d'une mentalité primitive où la justice encore tribale est fondée sur la loi du Talion et la pratique du bouc émissaire.

Il était fatal que cette religion de doctrinaires et de théophages, qui ignore depuis 20 siècles toutes les règles de la psycho-diététique, qui font l'homme et l'unissent au Transcendant, culminât dans le judéo-cartésianisme, c'est-à-dire le spéculationisme athée de Rothschild de la finance libérale, réduisant à toutes les formes de pollution, famines et guerres mondialistes, de Marx, bolchevisant exterminant les hommes par dizaines de millions, d'Einstein et des attaques génétiques du nucléaire, d'Oppenheimer et sa bombe atomique, de S. T. Cohen et sa bombe à neutrons, de Freud et son aboulisme pornographique, de Djérassi et sa pilule pathogène et tératogène, de Weisenbaum et ses ordinateurs qui mettent déjà les hommes en cartes, de Picasso et son art de charnier.

En 5000 ans de racisme inconnu jusqu'à eux, ceux qui pratiquent la circoncision au huitième jour (cause fondamentale d'une traumatisme hormono-psychique à la première puberté, qui rend compte de leur particularisme constant dans le temps et l'espace), ont fondé quatre religions révolutionnaires : Judaïsme, Christianisme, Islamisme et Marxisme. Cette dernière, mystique athée, est le point final suicidaire du Judéo-Cartésianisme, terminant lui-même dans les fracas le Judéo-Christianisme.

Ni le fanatisme dogmatique, ni l'hystérie mystique ne sont spiritualité. Malheureusement les humains naïfs ou incultes, au lieu de ne détruire que le formalisme et le dogmatisme sclérosés, les ont confondus avec la religion authentique qu'il eût fallu restaurer dans sa plénitude. Aussi, ce qui restait de valable, règles morales fondamentales, esprit de synthèse, s'est dilué dans l'amoralisme et le spécialisme. Ce qui restait d'essentiel fut détruit avec la foi qui seule fait jaillir cathédrales et temples et soulève les montagnes.

Cet abandon de la Grande Tradition qui subsistait peut-être dans le Christianisme primitif, ne pouvait pas éviter de glisser insensiblement vers la dégénérescence orchestrée par les logiciens démâtés ou les rêveurs à système (Freud, Marx), encadrés par les financiers et les scientistes analytico-quantitatifs (Rothschild, Soros, Einstein, etc.) qui découvrent par ailleurs que la matière n'est pas matérialiste (seul l'esprit peut le devenir), et que les ondes émises par les corps astraux influencent nos organismes de façon qualitative et quantitative, ce que l'astrologie nous clame depuis des millénaires.

Ce n'est ni par fantaisie, ni par hasard que les grandes religions de la Perse, de l'Inde, de l'Egypte, ce n'est pas non plus dans un esprit arbitraire que les Grands Initiés nous ont enseigné les règles fondamentales de l'être qui conféraient le sens du divin.

Ces règles étaient simples: elles consistaient à pratiquer le non carnivorisme, le respir (respiration contrôlée), la nutrition intelligemment dissociée. Hippocrate lui-même disaient que les mélanges d'aliments ingérés "se faisaient la guerre et induisaient la toxémie", désignation fondamentale des formes les plus diverses de la maladie selon nos natures respectives, qui finissaient par se génétiser si les trois règles d'or n'étaient pas restaurées (non carnivorisme, non mélanges aberrants, et respiration contrôlée).

De nombreux médecins et psychologues affirment sans ambiguïté que la viande accélère le processus de vieillissement de l'organisme, qu'elle rend agressif et nerveux du fait des toxines, les ptomaïnes, qu'elle libère dans les tissus. Nous connaissons désormais son rôle dans le cancer du sein chez la femme et du colon chez l'homme. Nous savons qu'elle diminue dans le cerveau le taux de sérotonine, hormone élémentaire de nos opérations mentales. Lorsque l'on est témoin des résultats thérapeutiques obtenus par l'application de ces trois règles d'or, auxquelles il faut adjoindre le jeûne, on imagine sans peine combien elles pourraient vivifier le physique et le mental de l'homme si elles étaient pour son bonheur, ré-enseignées comme bases vitales. On peut aussi comprendre aisément que ces sages prescriptions aient pu assurer pendant des millénaires la pérennité de civilisations prodigieuses alors que le matérialisme à prétention scientifique subit une honteuse et anarchique agonie en deux siècles à peine, en privant l'homme de tout ce qui faisait sa beauté, sa noblesse et sa grandeur.

Aussi longtemps que des dirigeants, entièrement privés d'esprit de synthèse, manipulés par la finance et le marxisme, n'auront à offrir aux peuples que le mythe de la production indéfinie qui porte en lui la guerre, les famines et toutes les pollutions, comme la nuée l'orage, qui mènera demain des cohortes asservies vêtues de leur uniforme-blue-jeans, symbole de leur dépersonnalisation égalitaire, vers le Marxisme, il n'y aura aucun remède dans la conjoncture matérialiste, où les trois quarts du monde meurt de faim, tandis que le dernier quart s'intoxique et se dégénère pléthoriquement. Seules les populations de couleurs vont croître exclusivement quantitativement et jamais qualitativement.

Cette situation pathologique suicidaire cessera lorsque le Spirituel et le Temporel fonctionneront en une harmonieuse symbiose. Le premier guérira le second et le préservera de toute forme de pathologie. Il est certain comme on prétend que Malraux l'a dit, que "le XXIème siècle sera religieux ou ne sera pas".

En attendant, nous pouvons nous protéger individuellement et dans nos familles ou encore dans de petites communautés, en respectant les trois règles d'or de la grande tradition. Ainsi nous mourrons l'âme vivante et libre et non soumis à la déchéance organique et mentale que nous offrent tous les aspects de l'officialité. Nous pourrons échapper à la bêtise normative, imposée depuis le plus jeune âge par l'enseignement et les médiats, aux idées aberrantes de pseudo-liberté, qui n'est qu'un débridement hystérique et anarchique, qui détruisent l'homme, la femme et l'enfant à leur épicentre et qui règnent dans un monde infantile et subliminalisé qui a perdu son centre de gravité.

Plus grave que la délinquance juvénile est la délinquance adulte qui l'engendre. La chimification alimentaire, la chimiothérapie, les vaccinations généralisée, la mise en œuvre de l'énergie atomique, les bombes atomiques, à hydrogène et à neutrons, l'effrayante production massive d'armements, l'absence totale d'enseignement moral, la tolérance-imposture, destructrice de toutes les valeurs (ce dernier mot n'ayant au reste pas de "valeur" selon Saint Marx), sont des crimes majeurs de lèse-humanité au regard desquels un crime de droit commun est rafraîchissant.

Il est tout à fait clair que le vrai criminel, celui qui déterminera tous les crimes par le fait du cercle vicieux que la conjoncture détermine, est celui qui vend seulement pour le profit sans se préoccuper, par ignorance ou absence de sens moral, du fait qu'il détruit les corps et les âmes... et aussi la planète.

Si l'argent n'est pas au service du plus grand développement spirituel de l'homme, il débouche nécessairement sur la destruction universelle. Si le seul véritable capital d'une société n'est pas avant tout le travail et non la finance, elle périra par la finance et toutes les désintégrations qu'implique son hégémonie.


Extrait de "L'hystérie mondialiste" 
de Roger Dommergue Polacco de Ménasce. 
PDF gratuit ICI



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