vendredi, février 12, 2021

L'étrange revirement de Jacques Attali


(21:57)

L'étrange revirement de Jacques Attali :

"Je ne prône pas un gouvernement mondial, ça n'a aucun sens."



Le plan mondialiste est-il en train d'échouer ?


(...) ne faire de toutes les nations qu’un seul peuple, (...) détruire les nationalités pour constituer sur leurs ruines une république universelle ; et d’autre part, anéantir le christianisme et fonder une religion nouvelle, religion humanitaire, selon le vœu des uns, religion satanique, selon le vœu des autres ; mais, pour ceux-ci comme pour ceux-là, religion universelle, saisissant tous les hommes pour les renfermer dans le même temple comme dans la même cité.

Une telle conception, un tel projet devait alors paraître pure folie. Il faut bien reconnaître cependant qu’il se montre aujourd’hui plus réalisable qu’il ne pouvait l’être aux yeux de ceux qui l’exposèrent les premiers, aux hommes de la Convention ; et que tout, dans le mouvement des idées, aussi bien que dans les révolutions politiques et dans les découvertes et les applications de la science, semble se prêter à sa réalisation.

Comment, il y a un siècle, alors qu’ils ne pouvaient avoir aucune idée de ce que nous voyons, les hommes de la Révolution purent-ils concevoir la pensée d’une Révolution embrassant ainsi l’humanité tout entière pour la transformer aussi radicalement ?

On ne peut l’expliquer que par l’inspiration de Satan. L’ange déchu voyait, dès lors, dans leurs causes, les événements auxquels nous assistons aujourd’hui et qui brisent l’une après l’autre les barrières qui séparaient les peuples et les races ; il voyait également les progrès que devaient faire les sciences physiques qui venaient de naître et les bouleversements sociaux qu’elles produiraient, Il voyait enfin les radicales négations auxquelles les disciples de Voltaire et de Rousseau entraîneraient la raison séparée de la foi. Il se promit de s’emparer, par ceux qui consentiraient à se faire ses esclaves dans les sociétés secrètes, de ces mouvements d’ordre matériel et d’ordre intellectuel, d’ordre politique et d’ordre moral et de les faire servir à rétablir, sur tout le genre humain, le règne que la régénération chrétienne lui avait fait perdre.

On sait comment et avec quel succès, peut-on dire, il y a travaillé durant tout le cours du XIXe siècle. Nous avons entendu ses suppôts dans le gouvernement et dans la presse, dans les loges et dans les clubs crier tout d’une voix : Nous tenons la victoire !

Dans son numéro du 7 janvier 1899, la Croix rapportait ce mot d’un Juif : "C’est notre empire qui se prépare ; c’est celui que vous appelez l’Antéchrist, le juif redouté par vous, qui profitera de tous les nouveaux chemins pour faire rapidement la conquête de la terre."

Ils ne savent point, ou ils veulent ignorer, qu’au-dessus de leur maître Satan, infiniment au-dessus, il y a Dieu, Dieu tout-puissant. Il a créé le monde pour sa gloire, la gloire inexprimable qui lui sera éternellement rendue par toutes ses créatures, sans exception, quoique diversement, les unes en manifestant sa bonté, les autres en manifestant sa justice. Jusqu’au jour des suprêmes rétributions, il les laisse à leur libre arbitre, de telle sorte cependant que les méchants comme les bons, le mal comme le bien, servent à l’accomplissement des desseins de sa Sagesse infinie.

Comme le dit Donoso Coctès : "Lucifer n’est pas le rival, il est l’esclave du Très-Haut. Le mal qu’il inspire ou qu’il introduit dans l’âme et dans le monde, il ne l’introduit pas, il ne l’inspire pas sans la permission du Seigneur ; et le Seigneur ne le lui permet que pour châtier les impies ou pour purifier les justes par le fer brûlant de la tribulation. De cette sorte, le mal même arrive à se transformer en bien sous la conjuration toute-puissante de Celui qui n’a d’égal ni pour la puissance, ni pour la grandeur, ni pour le prodige ; qui est Celui qui est, et qui a tiré tout ce qui est, en dehors de Lui, des abîmes du néant".

Dieu permet, nous en sommes, hélas, témoins, les égarements de l’homme et même la révolte contre lui, mais dans une mesure qui ne sera pas dépassée ; il attend. Tout servira à ses desseins, et lorsque l’épreuve aura cessé, tout sera à sa place; il n’y aura alors de mal que pour les coupables obstinés. Mais, disons-le, les coupables eux-mêmes rappelleront encore les desseins pleins d’amour de Dieu pour ses créatures ce qui aura causé leur perte, ce sera en effet l’abus d’un bienfait qui était destiné à leur procurer un poids immense de gloire, l’abus de la liberté que Dieu donne à ses créatures dans le but de se former des élus qui puissent dire avec saint Paul : "C’est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis, et sa grâce envers moi n’a pas été vaine, J’ai travaillé non pas moi pourtant, mais la grâce de Dieu qui est avec moi."

Le fondateur de l’Illuminisme français, Saint-Martin, avait l’intuition de ces vérités et il se disait que Satan pourrait bien n’avoir pas le dernier mot de la Révolution. Le 6 janvier 1794, il écrivait au baron de Kirchberger : "Pour moi, je n’ai jamais douté que la Providence ne se mêlât de notre Révolution et qu’il n’était pas possible qu’elle reculât. Je crois plus que jamais que les choses iront à leur terme et auront une finale bien importante et bien instructive pour le genre humain."

De Maistre ne pensait pas autrement. "Pour tout homme qui a l’œil sain, dit-il, et qui veut regarder, il n’y a rien de si visible que le lien des deux mondes. Tout ce qui se passe sur la terre a sa raison d’être dans le Ciel. C’est à l’accomplissement des décrets divins que sont ordonnés tous les faits, toutes les révolutions que l’histoire a enregistrés, tous ceux qu’elle enregistrera jusqu’à la fin des temps : tous concourent, selon leur nature et leur importance, à l’œuvre secrète que Dieu opère presqu’à notre insu, et qui ne sera pleinement révélée qu’au grand jour de l’éternité. Si les révolutions sont amenées par les erreurs des hommes, si elles sont faites de leurs crimes, Dieu les domine au point de les faire concourir à l’accomplissement de ses desseins qui datent de l’éternité."

Extrait du livre La conjuration antichrétienne de Henri Delassus.

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Monseigneur Henri Delassus, né le 12 avril 1836 à Estaires et mort en 1921, prêtre catholique, docteur en théologie, protonotaire apostolique, chanoine honoraire du diocèse de Cambrai et essayiste antimaçonnique et antimondialiste.


mercredi, février 10, 2021

L'affaire Duhamel : TOUS COUPABLES

(10:01)


La chaîne de spiritualité de Céline Geneviève

 

En janvier 2021, à la suite d'accusation de viol et d'inceste, Olivier Duhamel démissionne de la présidence du club LE SIECLE, le temple de l'élite. Une élite qui a dit OUI à la Constitution européenne et NON à une Europe chrétienne.


Emmanuel  Ratier écrit : "Olivier Duhamel, s'est toujours montré favorable à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, refusant "une Europe blanche et chrétienne". En 2005, il a fait campagne en faveur du "oui" à la Constitution européenne.  

(...) né le 2 mai 1950 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Agrégé de droit et docteur en droit, ce fils de l'ancien ministre centriste Jacques Duhamel (dont il faillit reprendre la circonscription jurassienne) enseigne à l'IEP Paris et le droit public à Paris I Panthéon-Sorbonne. Il a signé divers ouvrages de droit constitutionnel ou de science politique. Conseiller à la Sofres (où il est codirecteur de la série annuelle L'État de l'opinion), directeur de l'influente revue Pouvoirs (études constitutionnelles et politiques) ainsi que de collections au Seuil, chroniqueur à l'Express, cet ami de Robert Badinter a notamment coopté au Siècle Yann de l'Ecotais (L'Express) et Jérôme Joffre (Sofres). 

Ces dernières années, cet influent intellocrate dans le petit milieu universitaire parisien s'est fait remarquer par sa hargne anti-FN, demandant par exemple en 1992 à François Mitterrand de renoncer à la proportionnelle, assurant à la droite officielle la victoire la plus large (en sièges) de son histoire. En 1993, lors de l'affaire des "rouges-bruns" (convergences entre communistes et nationalistes), il signe l'Appel dit "des Vigilants". Membre de la Fondation Saint-Simon, il a cosigné avec Martine Aubry en 1995 le Petit dictionnaire pour lutter contre l'extrême droite, où la naïveté voisine avec les approximations élémentaires. Député européen socialiste depuis 1994, il fut écarté en 2004. 

(Emmanuel Ratier "Au cœur du pouvoir - Enquête sur le club le plus puissant de France", 2015)


"Selon le livre que sa fille Camille Kouchner publie début janvier 2021 sous le titre La Familia grande, c'est pendant l'année 1988 que les agressions sexuelles d'Olivier Duhamel sur "Victor" auraient débuté.

Quand, vingt ans après, "Victor" parle à sa mère de viols, Évelyne Pisier, d’abord sidérée, choisit de protéger son mari. Elle informe sa sœur, Marie-France Pisier, qui veut l'inciter à dénoncer son mari et à partir, en lui proposant de l'héberger, et qui parle de l’affaire à son entourage. Très liées depuis l'enfance, les deux sœurs se brouillent. Lors de la mort suspecte de Marie-France Pisier en 2011, l'enquête s'intéresse à la famille Duhamel-Pisier. "Victor" coopère ensuite avec la brigade de protection des mineurs mais refuse de porter plainte, notamment pour protéger sa vie professionnelle et son foyer."

(Source : Wikipédia)


La mort suspecte de Marie-France Pisier

"Le 24 avril 2011 vers 3 h 30 du matin, Marie-France Pisier est retrouvée par son mari Thierry Funck-Brentano, inanimée au fond de la piscine de leur villa de Saint-Cyr-sur-Mer. Sa tête et ses épaules sont coincées dans le croisillon métallique d'une "lourde chaise en fer forgé" et elle porte des bottes en caoutchouc. Sa mort est constatée à Toulon, à 7 h du matin.

Le rapport d'autopsie ne permet pas de déterminer les circonstances de la mort. Des analyses médico-légales toxicologiques (« un taux d'alcool important a été détecté par les analyses, qui ont mis en évidence la présence d'antidépresseurs et d'antalgiques à doses thérapeutiques ») puis l'autopsie finale conduisent à évoquer l'hypothèse d'un suicide de l'actrice, qui souffrait d'une récidive de son cancer du sein, diagnostiqué pour la première fois en 2003, rendant une seconde opération avec l'ablation mammaire inéluctable, comme pour sa mère. Près de dix années après sa mort, un conflit avec sa sœur Évelyne à propos des accusations d'inceste commis par Olivier Duhamel, mentionné lors de l'enquête, est rappelé par sa nièce Camille Kouchner. Dans son livre "La Familia grande", celle-ci révèle que sa mère, informée en 2008-2009 des agissements de Duhamel, a choisi de ne rien divulguer et de protéger son mari, comportement qui a choqué Marie-France Pisier. « On a compris qu’Évelyne pensait que Marie-France s’était plutôt suicidée » explique Camille Kouchner. L'autopsie révélant le peu d'eau dans ses poumons suggère que Marie-France Pisier n'est pas morte par noyade, ce qui conduit à évoquer la possibilité d'une mort par crise cardiaque avant de tomber dans la piscine ou par hydrocution après cette chute. L'hypothèse d'un meurtre n'était pas écartée."

À la suite de la publication du livre de sa sœur Camille, Julien Kouchner, fils aîné d'Évelyne Pisier, interrogé par Le Parisien le 24 janvier 2021, revient sur la mort de Marie-France Pisier : "Je n'ai jamais cru que ma tante se soit suicidée, mais je ne sais pas comment elle est morte. Ma seule certitude, c'est que toute cette histoire (concernant l'inceste sur son neveu) l'a tuée."

(Source : Wikipédia)


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Vidéo : Une élite satanique


Lors des funérailles de l'ancienne 1ère dame des États-Unis, Lady Bird Johnson en juillet 2007 à Austin (Texas), l'élite n'est pas franchement chrétienne. Elle s'affiche carrément dans le camp adverse d'après leur signe de la main, le satanique "cornuto".


mardi, février 09, 2021

Meurtre par injection, la conspiration médicale





(...) le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : "La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l’Etat, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante mais aussi l’outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu’elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombre du siècle dernier. Le Dr Peebles fait référence au fait que le vaccin contre la variole de la vache était l’une des "inventions ou découvertes les plus particulières du siècle des lumières".

Cependant, comme je l’ai souligné dans “La malédiction de Canaan”, le siècle des lumières n’était que le dernier programme du Culte de Baal et de ses rituels de sacrifices d’enfants, qui, sous une forme ou une autre, nous accompagne depuis quelque cinq mille ans. En raison de cet objectif, le Monopole médical est également connu sous le nom de “The society for Crippling Children”. (La société destructrice d’enfants). [...]

Dans mon livre “La malédiction du Canaan”, j’ai écrit sur le rite du sacrifice d’enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l’établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la "Fraternité de la mort". Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s’empresse d’accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d’un “style de vie alternatif” dans leurs préférences sexuelles. [...]

L’urgence était qu’aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n’échappe pas au sacrifice sur l’autel des pédophiles. 

Le Monopole Médical ne peut permettre qu’un seul écolier échappe à l’offre monétaire du coût pour la vaccination obligatoire, comme un hommage des esclaves à leurs maîtres. Un praticien de grande expérience et d’excellente réputation a tiré le signal d’alarme ; le Dr Herbert Snow, chirurgien en chef au Cancer Hospital de Londres, exprimait toute son inquiétude : "Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu’environ 80% de ces décès sont dus à l’inoculation ou à la vaccination qu’ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de “mort naturelle". Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. [...]

Lorsque en 1910, le Syndicat du Crime de Rockefeller a pris le contrôle de la médecine, la santé a commencé à décliner en flèche. 

Aujourd'hui, nous souffrons de toute une série de maladies débilitantes, tant mentales que physiques, et dont la quasi-totalité peut être directement liée aux activités du monopole des produits chimiques et des médicaments, représentant la plus grande menace pour notre existence et notre futur en tant que nation. Unissons-nous maintenant pour restaurer notre santé nationale ; le résultat sera la restauration de notre fierté, la reprise de notre rôle d'inventeurs et de
locomotive du monde moderne, ainsi que le gardien des espoirs du monde, et des rêves de liberté et d’indépendance.

L'Ordre Mondial

De nombreux conservateurs américains croient, comme à un article de foi, que Rockefeller et le Conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations) exercent un contrôle absolu sur le gouvernement et le peuple américain. Cette thèse peut être acceptée comme formule empirique si l'on se concentre sur les grands problèmes. Deux écrivains pour lesquels le présent auteur a beaucoup de respect, sont le Dr Emanuel Josephson et Morris Bealle, qui ont insisté pour se concentrer sur les Rockefeller en excluant tous les autres aspects de l'Ordre Mondial. Ce qui a sérieusement limité l'impact de leur travail bien qu'innovateur et original sur le Monopole médical.

L’auteur de ces lignes, a avancé un point de vue un peu contraire car relatif à "L'ordre mondial", et se fixant sur la puissance monétaire de Rothschild, qui a atteint un niveau de contrôle mondial en 1885, avec son groupe politique londonien, The Royal Institute of International Affairs (RIIA) ; le véritable moteur politique du véhicule qui depuis 1900 rétablit un gouvernement colonial aux États-Unis. Gouvernement colonial, ou d'occupation, fonctionnant principalement par le biais du Conseil des relations étrangères, mais uniquement en tant que filiale de RIIA et par l'intermédiaire de la Rockefeller Foundation, qui contrôle les fonctions gouvernementales, l’establishement, les médias, les religions et la législation des États. Il est vrai que les colonies américaines ont des "élections libres", et qu'elles ont le droit absolu de voter pour l'un des deux candidats, qui ont tous deux été sélectionnés et financés par le syndicat Rockefeller. Cette preuve touchante de "démocratie” sert à convaincre la plupart des Américains qu’ils sont effectivement un peuple libre.

Depuis 1900, les Américains sont libres d’aller mourir dans les guerres hégéliennes où les belligérants ont reçu leur instructions directement de l'Ordre Mondial. Nous sommes libres d'investir des parts d’actions dans la bourse représentant les marché de quantité, de prix et de valeurs quotidiennes directement manipulées et contrôlées par un Système de Réserve Fédérale qui ne rend de compte qu’à la Banque d'Angleterre. Un système qui a maintenu hors de tout contrôle gouvernemental, une "indépendance" tellement vantée et apparemment la seule qu'il n’ait jamais eue.

Réaliser que nous vivons aujourd’hui sous les diktats du "Rockefeller Syndicate" pourrait bien être le point de départ du long chemin du retour d'une véritable lutte pour l'indépendance américaine. En essayant d’exposer les "Rockefeller" comme agents d'une puissance étrangère qui n’est pas seulement une puissance étrangère, mais un véritable gouvernement mondial, on doit comprendre qu'il ne s'agit pas seulement d'une organisation qui se consacre uniquement à l'argent, mais un groupe organisé qui s'engage à maintenir le pouvoir sous forme d’un gouvernement colonial sur le peuple américain. Ainsi, la vieille baliverne décrivant John D. Rockefeller comme obsédé par l’argent et seulement doué de cupidité (une catégorie dans laquelle il a beaucoup de comparses), cache le fait que dès le premier jour où les Rothschild ont commencé à financer son projet de monopole pétrolier américain sans partage, avec leurs fonds de la National City Bank de Cleveland, Rockefeller n'a jamais possédé de pouvoir indépendant, comme d’ailleurs aucune branche soi disant indépendante du Syndicat de Rockefeller. Nous savons que la Cosa Nostra, ou Mafia, avec laquelle le Syndicat est étroitement allié, à un pouvoir quelque peu autonome dans les régions allouées par les directeurs nationaux à chaque "famille" particulière, mais ça implique toujours que cette famille reste sous contrôle total tout en étant responsable de tout ce qui se passe sur son territoire.

De même, le Syndicat de Rockefeller opère clairement dans des conditions de sphères d'influences bien définies. Les organisations "caritatives", les entreprises et les groupes politiques, se fondent toujours en une opération de travail, et aucun groupe du Syndicat ne peut faire cavalier seul ou même formuler une politique indépendante, quelle qu'en soit la cause.

Le Syndicat Rockefeller opère sous contrôle de la structure financière mondiale, ce qui signifie simplement qu'à n’importe quel moment, tous ses actifs et fonds pourraient être rendus caduques et presque sans valeur par une manipulation adroite. C'est le contrôle final, qui garantit que personne ne peut quitter l'organisation. Non seulement l’individu serait dépouillé de tout ses avoirs mais il serait aussi immédiatement sous contrat pour un assassinat. Notre ministère de la justice est bien conscient que les seuls "terroristes" opérant aux États-Unis sont les agents de l'ordre mondial, mais ils évitent prudemment toute mention de ce fait.

La structure financière mondiale, loin d'être une organisation cachée ou inconnue, est en fait bien connue et bien définie. Elle se compose des grandes banques suisses; les survivants de l'ancien axe bancaire vénitien-génois ; les Cinq Grands du commerce mondial du grain.

Centrée autour de la Banque d'Angleterre (BoE) pour une combinaison britannique de tous leurs satellites de banques commerciales, et enfin chapeautée par l'intermédiaire des Rothschild et Oppenheimers. Le tout bien sûr avec contrôle absolu sur leur colonie canadienne par l'intermédiaire de la Banque Royale du Canada et de la Banque de Montréal, ayant comme lieutenants canadiens nul autre que les Bronfman, Belzbergs, Reichmanns et autres opérateurs financiers. Sans oublier la structure bancaire coloniale américaine, contrôlée par la BoE à l’aide du système de la Réserve Fédérale ; et ses castes brahmanes de Boston qui ont fait fortune dans le commerce de l'opium, y compris les Delanos et autres ainsi que le Syndicat de Rockefeller, composé du réseau Kissinger, qui dirige la Rockefeller Bank, Chase Manhattan Bank, American Express ; et qui n’est rien de plus qu’une image actuelle des anciens représentants de Rothschild aux États-Unis comprenant Kuhn, Loeb Company et Lehman Brothers.

Il est à noter que le Syndicat de Rockefeller se trouve tout en bas de la liste dans la structure financière du monde.

Pourquoi alors est-elle si important ?

Bien qu'il ne soit pas le facteur crucial de la décision financière en Occident, il s'agit toutefois du véritable mécanisme de contrôle du fonctionnement de la colonie américaine. La famille Rockefeller elle-même, comme les Morgans, les Schiffs et les Warburgs a perdu de son importance, mais le système créé en leur nom tourne à plein régime, en conservant toutes les fonctions pour lesquelles il a été organisé. Celui qui a mis en place la Commission Trilatérale, David Rockefeller, a opéré comme un facteur international pour l'Ordre Mondial, principalement en s'attelant à faire passer des instructions au bloc communiste, soit directement à New York, soit en se rendant sur place.

Extraits du livre d'Eustace Mullins, Meurtre par injection - Histoire de la conspiration médicale contre l'Amérique.

Ce livre, écrit Eustace Mullins, "résultat de quelque quarante années de recherche, constitue le prolongement logique de mes précédents travaux: la mise au jour du contrôle international de l'émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d'organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique - les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en œuvre ; et maintenant, la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains. Malgré le grand pouvoir exercé par ses dirigeants cachés, j'ai découvert qu'un seul groupe a le droit de vie et de mort sur les médecins américains de notre nation."

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lundi, février 08, 2021

Je n'aime pas la police de mon pays

« Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter des armes ne doit pas être transgressé. »
Deuxième amendement de la Constitution des États-Unis.

(1:49)

"(...) il est impossible de ne pas réagir face aux insupportables bavures policières, restées impunies sous la droite comme sous la gauche. Cela ne peut que révolter, car ce qui ne provoquait pas trop de réaction sous la dictature de Vichy, à l’ombre de l’occupant nazi, ne peut rester sans la moindre riposte alors que nous sommes censés être en régime démocratique." (Maurice Rajsfus)


Il convient de poser la question essentielle. L’homme a-t-il besoin de disposer d’une police répressive ?

A-t-il besoin de se rassurer ou l’a-t-on convaincu de la nécessité de songer à sa sécurité ?

Il ne peut y avoir de réponse précise à ces interrogations. Plus certainement, cette force de l’ordre a été imposée, dans le même temps qu’était expliquée l’urgence de protéger un bien susceptible d’exciter la convoitise. On a persuadé le citoyen qu’il lui fallait se défendre et, à cette fin, quoi de plus utile que ces hommes armés en capacité de protéger ceux qui vivent au pays de la liberté ? Accepter cette explication, c’est estimer cohérente l’origine de la féodalité née dans le haut Moyen Âge du fait de ces hommes d’armes qui s’installaient brutalement dans un lieu, imposant leur présence par la force, expliquant aux paysans et aux villageois qu’ils étaient là pour les défendre. En échange, bien entendu, du versement de la dîme dans le meilleur des cas, du pillage systématique plus généralement.

Comme nous n’en sommes plus aux temps barbares, il paraîtrait naturel de gérer paisiblement nos problèmes existentiels, sans être constamment épiés, en échange d’une protection approximative. Il faut bien nous convaincre que le policier est loin d’être ce médiateur en capacité de calmer les conflits pouvant intervenir dans une société où les différends seraient d’ordre mineur. Ce qui n’est pas toujours le cas, mais la présence insistante de ces civils en uniforme et lourdement armés ne peut qu’exacerber les simples disputes. C’est ensuite la démonstration de l’absurde nécessité d’une permanence de
l’autorité qui protégerait l’État et les citoyens.

Depuis la nuit des temps, on a expliqué au bon peuple qu’il n’est pas suffisamment adulte pour assurer sa propre sécurité. Tout en paraissant négliger le fait que l’insécurité naît, le plus souvent, de conflits sociaux dont la responsabilité incombe à ceux qui, par la suite, ne tarderont jamais à faire appel aux forces de l’ordre. D’où cette complicité de fait entre oppresseurs légaux et mercenaires, toujours disponibles pour soutenir les mauvaises causes.

De toute éternité, ceux qui ont été chargés de rassurer l’ensemble de la société se sont sentis indispensables pour conforter l’ordre établi. Les mêmes devaient intégrer la certitude qu’ils protégeaient surtout les intérêts particuliers de ceux qui les missionnaient pour maintenir l’ordre. Quel regard le policier peut-il jeter sur une population qu’il peut réprimer à chaque réquisition ? À l’école de police, on lui a appris à évacuer tout sentiment humanitaire. Il se doit d’être neutre dans son comportement, paraît-il, mais ce n’est que rarement le cas. Ce qui signifie très clairement qu’il doit s’abstenir de tout commentaire sur la politique répressive dont il est le fidèle exécutant. Nul ne l’a obligé à endosser la livrée de serviteur de l’État. S’il n’est pas satisfait de la tâche obligée, nul ne le retiendra, mais il faut bien constater que peu de ses collègues choisissent de retourner au chômage ou à une activité rémunérée au Smic. En fait, non seulement les départs sont rares, mais, en période de crise, on se bouscule aux concours d’entrée dans les écoles de police. C’était le cas au temps de l’État français de Pétain. Cela n’a pas varié : sous la République française de Nicolas Sarkozy et de François Hollande
(et de Macron), la mentalité des candidats est pratiquement identique. En 1940, comme en 2012, (comme en 2021) c’est le même regard mauvais porté sur leurs contemporains par les serviteurs de l’ordre, le même zèle apporté à l’exécution des tâches les plus nauséabondes. C’est soi-disant en toute neutralité que le policier interpelle, place en garde à vue, fait emprisonner, expulser, et, le cas échéant, déporter comme jadis. Ce n’est pas son affaire, car il s’efforce de croire qu’il ne fait qu’obéir aux ordres reçus. Comment pourrait-il en aller différemment ? S’il a fait le choix d’entrer dans la police, ce n’est pas pour jouer les enfants de chœur, n’est-ce pas ? Peut-être même s’acharne-t-il sans joie sur sa victime du moment… mais il s’est accoutumé au travail bien fait.

La police ne supporte pas les critiques. Les auteurs de bavures s’appliquent d’ailleurs à faire durer la procédure, espérant bénéficier de la clémence de la Justice. Plus le temps passe, moins ils s’estiment coupables. Au-delà, il n’est pas convenable de rappeler les brutalités policières et moins encore le nombre de victimes dues à leur activité. Ne pas tenir compte de cette volonté de censure relèverait de l’insulte faite à la police. [...]

Le policier aimerait bien être convaincu de l’importance de son rôle social, mais il n’y croit guère. Pourquoi lui aurait-on enseigné les gestes brutaux si c’était pour garder ses mains dans les poches ? On l’a persuadé qu’il ne pouvait être qu’un médiateur violent, disposant d’un pouvoir discrétionnaire sur une population qui ne peut que le subir. Comment le policier pourrait-il ignorer qu’il n’a pas revêtu l’uniforme bleu pour créer du lien social ? Combien de fois, du ministre de l’Intérieur à ses instructeurs, ne lui a-t-on pas répété qu’il n’avait pas vocation à suppléer les assistantes sociales ? Son rôle est de constater des délits et de les réprimer. Il sait qu’il n’est pas là pour plaire, mais ne comprend pas qu’il puisse être détesté…


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dimanche, février 07, 2021

Sachants et Connaissants


(10:17)

L'EDITO de Prune : O savoir


La science "n’est pas une interrogation idéalisée de la nature par des serviteurs dévoués de la vérité, mais une activité humaine gouvernée par les passions humaines ordinaires comme l’ambition, la fierté et la cupidité, tout autant que par toutes les vertus dont on glorifie les hommes de sciences".



Les sociologues se sont penchés sur la communauté scientifique, la décrivant comme une association de confrères voués à un objectif commun, la quête de la vérité. Mais ce n’est là qu’un de ses aspects. La recherche scientifique est aussi une course, une compétition acharnée dans laquelle des individus luttent pour la première place – car si on n’en a pas la priorité, la découverte est un fruit amer.

Soumis à la pression de la concurrence, certains chercheurs cèdent à la tentation de prendre des raccourcis, d’améliorer leurs données, de trafiquer leurs résultats, et même de frauder ouvertement.

Si dans un certain sens, la science peut être considérée comme une communauté, sous un autre angle tout aussi important, elle constitue un système de célébrité. L’organisation sociale de la recherche est conçue pour encourager l’apparition d’une élite au sein de laquelle le prestige ne résulte pas uniquement de la qualité des travaux, mais également du rang occupé dans la hiérarchie scientifique.

Les membres de cette élite contrôlent l’attribution des récompenses scientifiques et, par l’intermédiaire du contrôle des pairs, ont une voix prépondérante dans la répartition des ressources scientifiques.

Comme les usines à articles des chefs de labo, ce système de célébrité favorise la recherche de la gloire personnelle au détriment de la recherche de la vérité. Et dans la mesure où il accorde aux travaux de l’élite une importance injustifiée et une immunité à l’égard des critiques approfondies, ce système interfère également avec les mécanismes normaux d’appréciation collective des résultats. Certes les membres de l’élite scientifique ne peuvent être tenus directement responsables des cas de fraude qui apparaissent très régulièrement dans les institutions d’élite de la science, mais ils sont à la fois le produit et les bénéficiaires d’une organisation qui favorise le carriérisme et suscite les tentations et les occasions de frauder. [...]

La science n’est pas un corpus abstrait de connaissances, mais l’acte de compréhension de la nature par l’homme. Elle n’est pas une interrogation idéalisée de la nature par des serviteurs dévoués de la vérité, mais une activité humaine gouvernée par les passions humaines ordinaires comme l’ambition, la fierté et la cupidité, tout autant que par toutes les vertus dont on glorifie les hommes de sciences. Mais en science comme ailleurs, il y a une marge étroite entre la cupidité et la fraude. Habituellement, les déformations se limitent à édulcorer ou enjoliver des données ; moins souvent à frauder ouvertement.

« La vérité est fille non de l’autorité, mais du temps », disait Bacon. À maintes reprises, la vérité a été trahie par les scientifiques soit involontairement, soit par intérêt personnel, soit encore parce qu’ils pensaient mentir au nom de la vérité.

Les autorités scientifiques affirment que la fraude n’est rien de plus qu’un opprobre éphémère jeté à la face de la science. Mais ce n’est qu’en reconnaissant que la fraude est un phénomène endémique que l’on pourra comprendre la véritable nature de la science et de ses serviteurs.

Extraits du livre de William Broad et Nicholas Wade, "La souris truquée - Enquête sur la fraude scientifique".


La Souris truquée
Enquête sur la fraude scientifique
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samedi, février 06, 2021

Marcel sur Obama, Loukachenko, Karine Lacombe, Fourtillan, les étudiants...

 

La vidéo de Marcel censurée par YouTube
(Le mondialisme est clairement une dictature).

En ce qui concerne vos témoignages, vous pouvez nous contacter via cette adresse mail pour en savoir plus : 

contact.lemediaen442@protonmail.com 

Mes amis, 2021 va être une année formidable pour combattre, une année où les vérités vont éclore et où nos rangs vont grandir. Chaque jour apporte son lot de comploteurs, car il ne s'agit plus de discutailler sur les complotistes mais bien des comploteurs, car ce sont bien eux à la manœuvre pour soumettre les peuples du monde.

Mon équipe et moi-même, travaillons tous les jours à l'amélioration du site afin que vous puissiez avoir des informations de haut niveau. Tous les pôles (dessin, rédaction, réseaux sociaux, musique...) sont structurés, fonctionnels et se professionnalisent. Nous sommes maintenant plus de 60 à travailler en équipe et si tu veux nous rejoindre selon tes compétences, voici l'adresse mail pour nous contacter via mon bras droit, Jordan :

 lemediaen442@protonmail.com

L'équipe d'en face est très bien équipée, nous devons nous organiser, nous avons besoin de vous afin que "Le Média en 4-4-2" détrône les Médias du pouvoir.

Nous vous préparons de belles surprises et je ne vous vends pas du rêve, je tiens TOUJOURS mes promesses, TOUJOURS !

Merci à vous tous et soyez des combattants, pas des chochottes !

Marcel

vendredi, février 05, 2021

De l'ordo ab chaos au nouvel ordre mondial



(18:47)


Vient de paraître, de Philippe Ploncard d'Assac :
DE L'ORDO AB CHAOS AU NOUVEL ORDRE MONDIAL


Le complot mondialiste messianique


L'origine du complot mondialiste ne peut se comprendre si l'on ne remonte pas à l'évènement majeur de l'histoire du peuple juif :

Le venue du Christ et le refus des grands prêtres de le reconnaître comme Messie, car il ne leur apportait pas le pouvoir sur le monde qu'ils en attendaient.

De ce rejet a émergé progressivement dans les hautes sphères du judaïsme une nouvelle notion selon laquelle c'est le peuple juif lui-même qui est son propre Messie et celui de l'univers, d'où la mission de celui-ci de dominer le monde.

C'est cette paranoïa de domination mondiale qui explique bien des évènements tragiques de l'histoire de l'humanité :

- La Crucifixion,

- L'émergence de l'Islam, enfanté par l'influence judaïque sur Mahomet alors au service du grand rabbin de La Mecque et de Médine, utilisé pour contrer l'essor du christianisme,

- La montée en puissance pendant des siècles de la puissance économique juive,

- Les grandes hérésies suscitées, telles le protestantisme,

- La Révolution dite française, et l'essor de la maçonnerie,

- La 1ère et la 2ème guerre mondiale, accompagnées de toutes les provocations nécessaires à l'éclosion de ces conflits,

- Le modernisme maçonnique, infiltrant l'Église,

- Les influences gnostiques issues de la kabbale talmudique, de la Nouvelle-Droite jusque chez certains "traditionalistes",

- Les provocations actuelles, telles le 11 septembre 2001, tendant à imposer le mondialisme cosmopolite, sur le monde,

- Le krach financier de l'automne 2008 au but identique.

(On peut ajouter à la liste de Philippe Ploncard d'Assac, écrite en 2011, le Coronavirus, la "pandémie", évoquée des années auparavant par le talmudiste Jacques Attali, prétexte à la "mise en place d'un gouvernement mondial"...)

Tout ce processus politique, économique et religieux tend à imposer le vieux rêve messianique de la République universelle des hauts conjurés de la Révolution dite française, les Weishaupt, Kloots et autre Ramsay.

La montée en puissance cosmopolite a suivit la puissance politique du moment à laquelle elle s'est liée avant de la dominer.

À la fin du 19ème siècle, ce que l'on appelait "le dessein anglais" allait poursuivre cette vision mondialiste de la Révolution dite française, téléguidée, comme on l'a vu, par la maçonnerie anglaise et l'argent, anglais, protestant et juif.

C'est ce travail subversif qui allait, à l'avènement de la Révolution, ouvrir les portes à l'émancipation du monde juif.

De Frankfort, Trèves et autres places fortes de la finance d'alors, la finance juive allait migrer vers la City de Londres, d'où la famille Rothschild allait renforcer sa fortune à l'occasion de la défaite de Waterloo dont elle avait sut tirer parti par ses espions.

Dès lors la finance cosmopolite allait appuyer et s'appuyer, dès la fin du 19ème siècle sur la puissance de l'empire colonial mercantile britannique naissant.


Extrait du livre de Philippe Ploncard d'Assac, 
Le complot mondialiste

PDF gratuit ICI.


Amazon aurait déjà "effacé" le livre DE L'ORDO AB CHAOS AU NOUVEL ORDRE MONDIAL, une censure qui accrédite les analyses de Philippe Ploncard d'Assac sur la dictature mondialiste.

Pour se procurer le livre :


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Pour le rabbin Dynovisz, qui enseigne le judaïsme, la Hassidout, le Zohar et la Kabbale, les démocraties occidentales sont à l'origine du complot mondialiste.

Vidéo : 

La conspiration, c'est pas nous...


jeudi, février 04, 2021

Lorsqu'une loge maçonnique sert de QG pour un projet d'assassinat

(5:00)

Affaire Marie-Hélène Dini

L’affaire sent le soufre, puisqu’elle mêle d’anciens des services secrets français, la DGSE, la DGSI, et se serait nouée au sein d’une loge maçonnique de Puteaux (Hauts-de-Seine). C’est au sein de cette loge, comme l’aurait reconnu un des participants, que le « commanditaire » aurait orchestré l’opération. Selon nos informations, deux autres « maçons » de la loge en question ont été placés en garde à vue la semaine dernière.



Nous constatons que la Franc-maçonnerie possède une face pouvant être qualifiée de "lumineuse", celle qu'elle aime mettre en avant dans le domaine public et profane : son grand "humanisme" et sa très généreuse "fraternité". En effet, la philanthropie (culturelle, scientifique et humanitaire) est un des grands piliers de la secte maçonnique ; c'est la Franc-maçonnerie sous ses plus beaux apparats ; tandis que paradoxalement les affaires crapuleuses, voir criminelles, sont pléthores chez les francs-maçons.

Voir par exemple des membres du Rotary Club (groupe crypto-maçonnique, fondé et composé principalement de francs-maçons) vendre des boules de sapin de Noël dans une galerie de supermarché au profit d'enfants nécessiteux est "le côté lumineux des frères"… tandis que certains témoignages viennent troubler ce paisible décors en rapportant des viols en réunion sur des enfants lors de rituels, allant jusqu'au sacrifice de sang, impliquant des membres de ce même Rotary Club.

Selon les nombreux témoignages, tout porte à croire que ce "côté obscur" de la Franc-maçonnerie impliquerait du "pédo-satanisme" consistant à pratiquer les pires abominations sur de jeunes enfants
(abus rituels). Les rituels servant de magie sexuelle pour les bourreaux qui font passer l'enfant par des traumatismes extrêmes servant "d'initiation" : c'est à dire provoquer de profonds états dissociatifs et ainsi "déchirer son âme", fractionner sa personnalité pour le contrôler totalement.

Extrait du PDF gratuit (18 pages) d'Alexandre Lebreton :

Franc-Maçonnerie et Schizophrénie, Dr Jekyll & Mr Hyde



Livre d'Alexandre Lebreton :

Comprendre les arcanes du pouvoir

Le mot Schizophrénie provient du grec schizein (fendre) et phrên (esprit), il se traduit littéralement par esprit fendu, la fragmentation de l'esprit, la dualité. Plusieurs choses permettent de relier la Franc-maçonnerie à la schizophrénie et à la notion de dualité, à commencer par le symbole fort des loges le pavé mosaïque en carreaux noirs et blancs, sur lequel les initiés prêtent serment le choc des contraires, le multiple et l'Un, le bien et le mal interpénétrés et inséparables...

La Franc-maçonnerie est double, elle possède deux natures en une seule. Les francs-maçons le disent eux-mêmes, tout ce qu'ils accomplissent en loge possède un double sens. Les rituels ont une signification autre que celle qu'ils auraient dans le monde profane (le monde des non-initiés). Le Vénérable Maître frappe un coup de maillet en début de tenue de loge et déclare Nous ne sommes plus dans le monde profane , sous-entendu nous sommes maintenant dans un monde sacré. Le Vénérable Maître pense ainsi sanctifier l'espace et le temps. En loge, le sens profond des actes et des paroles est caché, tout est différent, tout est fractionné et les mots n'ont plus le même sens, même les âges, les heures et les dates diffèrent. Les individus fraîchement initiés ne peuvent percevoir et comprendre la nature profonde du culte auquel ils ont déjà pourtant prêté serment et allégeance...


mercredi, février 03, 2021

GAFAM, taisez-vous !





Dans "Rocky VI", le boxeur désormais sexagénaire donne ce conseil précieux à son fils, Robert Balboa Jr : 

« Ce qui compte, ce n’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu peux encaisser, tout en continuant à avancer. » 

Alors que l’offensive générale du Deep State vient d’être lancée au niveau mondial, l’essentiel est de lui nuire le plus possible, en multipliant les petites coupures pour le saigner à blanc. Comme disait l’un des personnages de "La Brigade", le roman d’Harold Armstead Covington : 

« Nos attaques, camarade Jodie, ce sont des piqûres de moustique. Mais des milliers de petites piqûres peuvent lentement saigner la Bête à mort ». 

De même dans le roman "Un Lointain Orage" : 

« Mais le fait était qu’ils étaient tout simplement trop nombreux, et nous pas assez, pour que nous les poussions entièrement dehors. Comme les Arabes du Proche-Orient, nous ne pouvions pas remporter une bataille frontale et rangée, et nous savions que nous y essayer serait du suicide. Alors, nous nous accrochions à leurs flancs, et entaillions leurs jarrets, comme des loups entaillent des élans, des bisons, ou du bétail en troupeau, attendant que la Bête perdît assez de sang par toutes ces entailles pour s’affaiblir, puis s’effondrer. »

Il est évident que le point faible principal des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) est l’argent, et tout ce qui peut leur en faire perdre est bon à prendre. S’il est impossible de se livrer au boycott de ceux qui les sponsorisent, on peut déjà leur faire perdre de l’argent en manifestant ouvertement notre désir de se passer d’eux, sapant la confiance des investisseurs.

Voici de nouvelles alternatives pour remplacer ces suppôts de la tyrannie :

Facebook : il peut être remplacé par MeWe, un réseau social californien.

Twiter : il peut être remplacé par Parler, une application américaine que les milices du régime ont essayé de supprimer, menaçant même de mort son patron.

YouTube : il peut être remplacé par Rumble ou Odysee (Mise à jour : 
Odysee est maintenant la propriété de Google.).

Chrome : il peut être remplacé par Brave.

Google : il peut être remplacé par Duck-DuckGo, un moteur de recherche pennsylvanien.

Gmail : il peut être remplacé par Protonmail, un prestataire suisse.

Whatsapp : il peut être remplacé par Signal, ce qui est en cours pour des milliers de personnes, à tel point que Whatsapp a décidé de repousser sa nouvelle charte.

Suite à ses purges politiques, Twitter a perdu 12 % de sa valeur. La somme combinée des pertes de Mark Elliott Zuckenberg et de Jack Patrick Dorsey a dépassé les 50 milliards de dollars. On ne lâche rien !

H. de F., Rivarol du 27 janvier 2021.

mardi, février 02, 2021

VADE-MECUM DE SURVIE URBAINE

Certaines personnes seront choquées d'apprendre qu'il existe une littérature abondante sur les tactiques de guérilla spécialement écrite dans l'éventualité où nos propres forces de l'ordre tyranniseraient la population et la soumettraient à des lois injustes.

(3:56)

L'arrestation brutale d'une fillette de neuf ans aspergée de gaz poivré aux Etats-Unis.


"(...) il est temps de s’entraîner au combat urbain ainsi qu’à la survie dans nos villes et nos maisons, écrit Eric Haffray dans son VADE-MECUM DE SURVIE URBAINE EN ZONE OCCUPÉE."


Extrait :

L’ACTION PSYCHOLOGIQUE


DÉFINITION : propagande insidieuse tentant à accréditer dans la population certaines idées. L’agresseur en fera grand usage, c’est devenu une arme incontournable tout aussi efficace que les fusils.
[...]

Il faudra donc prévoir une cellule informatique de propagande dans la résistance pour contrer les infamies que fera circuler l’ennemi.

Là vous pouvez utiliser des adolescents (filles ou garçons), comme les courriers de la résistance en 39/45. Mais il devra toujours y avoir un contrôleur, et utiliser un code. (...)

L’INTOX : une presse écrite et audio seront nécessaires sur le terrain : la bataille peu durer ! Une radio clandestine qui diffuse des informations sur les combats et sur la population civile et de la musique nationale pour raviver l’élan patriotique. Elle peut aussi diffuser des messages tactiques codés, comme le faisait Radio Londres. Des affiches collées sur les murs des villes, donnant des nouvelles de la situation et des combats, annonçant les morts ennemies.

Utiliser les talents des jeunes « tagueurs », ils nous ont pourris nos villes, avec leurs dessins, et bien qu’ils taguent des slogans patriotiques, qui feront merveille pour exacerber l’occupant (Belfast en est couvert). La moindre surface libre face à l’ennemi devra être peinte.

LA PROPAGANDE : l’ennemi appliquera des combines démagogiques en distribuant des vivres par exemple ! Il faudra les contrer à chaque reprise, attaquer les points de distribution, récupérez la marchandise, la contrôler (poison, virus et fraîcheur), puis la dispatcher à la population, le bénéfice ira au profit de la résistance.

Il faudra avoir une équipe de snipers avec pour mission la destruction des haut-parleurs de propagande ennemie. Il faut freiner le déversement de mensonges, à force ils peuvent devenir un fait réel dans l’esprit des gens.

Il faudra malheureusement châtier les traîtres. [...]

Les moyens sont multiples, pendant la première guerre du golf, des haut-parleurs diffusaient des discours de paix en arabe, largués par avion sur la ligne de front, des petits papiers écris en arabe avec des dessins amicaux irako-américain.

En ex Yougoslavie la coalition avait mis en place une station radio avec un programme très ciblé, d’une puissance qui couvrait les éventuelles autres stations. Pour le Kosovo, ils brouillaient toutes les chaînes de TV et diffusaient leurs propres programmes.

Pour la seconde guerre du golf, se fut le grand show, une partie de la presse écrite américaine et des chaînes de télévision furent utilisées pour intoxiquer avec des propos sophistes le reste du monde, bien qu’une grande partie des individus l’on remarqué, la manipulation fut rentable.

Attention aux messages subliminaux dans les informations !


Vade-mecum de survie urbaine en zone occupée

PDF GRATUIT 

En anglais, le livre de Ragnar Benson :

A Citizen's Guide to taking Out Big Brother's heavy 
(version papier)

PDF gratuit 

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Vidéo : Terrorisme ou résistance ?


lundi, février 01, 2021

Le pouvoir rend fou, cerveaux malades et obsessions anales


La Chine recourt de façon croissante aux dépistages Covid-19 rectaux pour tester les sujets à risque et les voyageurs arrivant de l'étranger, une prétendue méthode plus fiable mais vivement critiquée par les internautes en Occident.

"Selon la télévision publique chinoise CCTV, dans plusieurs quartiers de Pékin où des malades ont été récemment découverts, les résidents ont été soumis à un écouvillonnage rectal.

La mesure est également imposée aux personnes en quarantaine obligatoire dans les hôtels, notamment les voyageurs en provenance de l'étranger.

Le dépistage rectal "permet d'augmenter le taux de détection des personnes infectées" car le coronavirus reste présent plus longtemps dans l'anus que dans les voies respiratoires, a expliqué à CCTV le médecin Li Tongzeng, de l'hôpital You'an de Pékin. Sur internet, les réactions oscillent entre l'effroi et la dérision." (Source)

Une youtubeuse a réalisé une vidéo sur le dépistage rectal qui serait une des 3 phases de l'initiation satanique : SOUMISSION - PORT DU MASQUE (contrôle du verbe et du prâna) - PENETRATION ANALE.

La youtubeuse prévient : "Attention, cette vidéo contient des propos ouvertement vulgaires et grossiers et ne convient pas aux jeunes publics et aux personnes délicates. Avec nos excuses. C'est la réalité, qui est brutale. Ce sont nos maîtres, qui sont vulgaires et indignes. J'y peux rien, moi ! Désolées pour les âmes sensibles. Si ça ne tenait qu'à moi..."

(2:30)


Les cérémonies sexuelles des satanistes sont principalement anales et elles ne se limitent pas à la sodomie. Elles incluent des pratiques humiliantes comme l'anulingus ou la coprophagie. Le fisting, insérer un poing et un avant-bras lubrifiés dans l'anus ou en utilisant des godes ou des perles anales, est connu du public français depuis la diffusion d'un reportage sur La Fistinière, une maison d'hôtes gay destinée à la pratique du fist-fucking.

Vernon H. Geberth, officier supérieur à la retraite du New York City Police Department ou NYPD (le service de police de la ville de New York) révéla qu'une organisation, F.F.A., Fist Funckers of America, s'est faite connaître à l'occasion d'un congrès à San Francisco où elle a montré un film de formation sur les techniques de fisting. Parfois, de petits animaux vivants comme les gerbilles sont insérés dans le canal anal et on laisse le rongeur s'extirper de l'orifice. Jusqu'ici, il n'y a eu aucune plainte officielle de militants des droits des animaux. (Source : le livre de Randy Engel, The Rite of Sodomy.)

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A cause de leurs crimes, les psychopathes au pouvoir ne peuvent plus reculer. Ils sont obligés de finaliser la dictature satano-mondialiste...

Témoignage : 

Français, le gouvernement fait euthanasier vos parents âgés
https://bouddhanar-12.blogspot.com/2021/01/francais-le-gouvernement-fait.html

Il faut se réveiller :
 
Pour maintenir les populations dans la passivité, on répand la rumeur des sauveurs de l'humanité. Des généraux américains seraient  à la tête d'une ALLIANCE militaire constituée des armées de 7 ou 8 nations afin de mettre un terme aux crimes des satano-mondialistes. 

En réalité, les généraux américains sont aux ordres de la finance apatride et de ces satano-mondialistes, comme le général Colin Powell qui avait menti à l’ONU sur les armes de destruction massive des Irakiens, provoquant ainsi une guerre inique. Powell n'a jamais été inquiété par la justice américaine. Depuis le 11 septembre 2001, l
es généraux américains ont dirigé des coalitions militaires d'invasion et d'occupation de plusieurs pays.


dimanche, janvier 31, 2021

Le Christianisme va-t-il être interdit pour complotisme ?

 

(9:04)

"Bientôt, les autorités chrétiennes devront se débarrasser du Christ..."

La censure des Évangiles

Pour se fondre dans la religion planétaire qui consacre le Nouvel Ordre Mondial, l'Église de Rome, autrefois si arrogante, doit effacer les traces de son identité originelle. Et l'un des traits gênants à gommer d'urgence, et qu'on s'efforce de faire disparaître depuis la Révolution Française, c'est la sévérité de Jésus à l'encontre du Judaïsme et de ses chefs qu'il nomme « synagogue de Satan » et« race de vipères». Ces paroles n'engagent que Jésus, dirait-on de nos jours par prudence. La radicalité de la doctrine de Jésus dérange à l'heure de l'œcuménisme du Nouvel Âge.

Race de vipères ! Synagogue de Satan ! Ces mots sont durs à entendre de la part d'un envoyé divin qui doit tout de même savoir de quoi il parle. Il y avait un lourd contentieux avec Israël. Mais les papes ont décidé que le conflit entre Jésus et la Synagogue n'était plus leur affaire. Ils avaient déjà enduré trop de soucis en essayant de tenir le Judaïsme à distance, jusqu'au moment où la Révolution pulvérisa les digues. Le Vatican doit désormais adopter lui aussi la libre pensée jusqu'à remettre en question le fondement de son dogme - la nouvelle alliance qui était censée annuler l'ancienne. Mais non seulement le nouvel Israël du Christ n'a pas survécu, mais c'est l'ancien qui est réapparu, faisant preuve d'une vivacité surprenante. Alors, le nom du Christ finira par être effacé par une interdiction tacite pour faire place au sauveur qui sera mis à la tête de l'Ordre Mondial. En dépit des efforts effectués depuis Vatican II pour rayer de l'Évangile les mots qui fâchent, il semble qu'une puissance supérieure veille les maintenir encore, malgré les sollicitations pressantes des Juifs et des Chrétiens décadents qui voudraient effacer du canon des Écritures les formules politiquement incorrectes. Sans doute, cette toilette théologique aura-t-elle lieu prochainement, car on ne voit pas comment la religion mondiale synthétique pourra voir le jour si les partenaires qui y collaborent ne se mettent pas d'accord sur une doctrine commune parfaitement lisse.

Un Chrétien moderne, qui ignore généralement tout du Christianisme métaphysique, est perplexe lorsqu'on lui montre, preuves évangéliques à l'appui, que la révélation chrétienne n'a jamais été une morale humanitariste à l'eau de rose, mais qu'elle entre en confrontation directe avec la doctrine judaïque matérialisante qui nie la réalité d'un Royaume éternel hors de l'espace-temps. C'est parce que la négation de la vie divine transcendante au profit d'un royaume terrestre risquait de devenir la croyance du monde entier - ce qui devait advenir de toute façon - que l'agent divin appelé Christ est venu ici-bas pour répandre l'antidote. Pour preuve que Jésus avait identifié le problème, voici ce passage de l'Evangile de Jean :

"Jésus dit aux Juifs: si Dieu était votre père, vous m'aimeriez (...) Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge." Évangile selon jean, chapitre 8.

Extrait du livre Kali-Yuga (1ou 2 exemplaires d'occasion ICI)

TABLE DES MATIERES

PRÉFACE 

LA TECHNOLOGIE NOIRE
La télévision 
Le contrôle des consciences par l'alimentation

LE NOUVEL ÂGE SOMBRE 
Les contes de fée du Tibet 

LA DÉMATÉRIALISATION DE l'HUMANITÉ .
L'effet des rayonnements du Verseau
Nouvelle civilisation
Table des matières 
Voyage à Shamballa
Channels 
Les fumées du Nouvel Âge 

ROME, CITÉ DU MENSONGE 
Et l'homme créa le Dieu unique
Le reniement de Pierre 
La piste jésuite
Iftigo et Ahasverus
Roma amor 

OPÉRATION ROCK'N ROLL
Vaudou, services secrets et rock' n roll 
Woodstock

ÉSOTÉRISME ET SPIRITUALITÉ 
Six cent soixante-six .
La création et l'accident
Caïn et Abel 
L'Univers veut ce qu'il y a de mieux 
La Merkavah


RÉVOLTE
Sortir de la soupe globale
Conspiration cosmique
Comment échapper à la puce ? 
Sortir du vortex 

DÉPROGRAMMATION DES IMPLANTS MAJEURS 

Le déconditionnement de la condition humaine 
La foi perdue 
Dies Irae 
Un humain nommé Adam 
Christianisme 
Eden 
Démocratie 
Nationalisme

Comment se procurer un exemplaire neuf du livre (la réédition révisée de Kali Yuga) ? : 




samedi, janvier 30, 2021

Le transhumanisme : une coquille vide !

(3:47)

Mathieu Terence : Le transhumanisme est un intégrisme


 Le transhumanisme :  une coquille vide !


Les apôtres du transhumanisme considèrent que le prochain stade de l'évolution humaine verra l'abolition des quatre fléaux qui existent depuis l'aube des temps : le handicap, la maladie, la vieillesse et la mort. Leur but est de créer une nouvelle humanité où l'Homme sera débarrassé de son corps et des maladies qui vont avec. Il aura échappé à la grande faucheuse et sera immortel. Il sera «Dieu» ou gouverné par de nouveaux Dieux, sans doute semblables aux mégalomaniaques de la Silicon Valley qui encensent le transhumanisme.

D'ailleurs, pour certains, comme Yuval Noah Harari dans son dernier livre Homo Deus, « l'être humain n'est qu'une immense collection d'algorithmes biochimiques». Peut-être ! Mais une fois que l'on a dit ça, pour aller plus loin, il faut être en mesure d'écrire ces algorithmes. Cela suppose non seulement de disposer de l'intégralité des données pouvant rendre compte des mécanismes qui sous-tendent les fonctions supérieures du cerveau (mémoire, conscience, empathie, pensée ... ) et font que chaque cerveau est unique, mais aussi des outils informatiques adéquats. Pour l'instant, ni les unes ni les autres n'existent. Le transhumanisme est bel et bien une coquille vide.

Ses zélotes font fi des critiques en s'appuyant sur les immenses avancées de l'informatique en général, du Big Data et de l'intelligence artificielle en particulier. Certes, la révolution numérique et les progrès de l'IA, en croissance exponentielle, influencent déjà et influenceront encore plus dans les années à venir (quelques dizaines pour les plus pessimistes) toute l'organisation de la société et donc la vie de chaque individu. Les machines font déjà et feront encore beaucoup plus de tâches, plus vite et mieux que nous. Mais l'essence même de l'Homme est-elle reproductible, voire modifiable et même améliorable, comme ils le prétendent? Ce n'est pourtant pas «l'apprentissage supervisé» et le « deep learning» qui permettront de transférer notre esprit, nos pensées et notre capacité d'agir dans une machine. Il faudrait développer dans ce domaine de nouvelles approches, et ce avant 2045, pour respecter les délais annoncés par les transhumanistes !

En outre, aucun des avocats zélés du transhumanisme ne prend en compte ni les limites des connaissances actuelles de la biologie et des neurosciences ni la lenteur potentielle des avancées à venir dans ces domaines. Aucun scientifique digne de ce nom, connaissant un tant soit peu le cerveau, ne peut croire à leurs balivernes. Nous avons vu que le cerveau humain est d'une complexité rare. Ce n'est pas tant par sa connectivité proprement dite qu'il est performant, mais grâce aux réarrangements constants de ses connexions. Contrairement à la machine qui fait ce qu'on lui demande, ou qu'on lui a appris à faire, le cerveau décide de ce qu'il veut faire, plus ou moins bien il faut le reconnaître, mais avec parfois beaucoup de talent et de créativité. De plus, il est abreuvé d'informations aléatoires en provenance de l'environnement auxquelles il s'adapte en permanence grâce à sa formidable plasticité, ce qu'une machine est bien incapable d'imiter. Et si, pour des tâches compliquées, comme jouer une partie de go, l'être humain peut être battu par un robot, ce n'est pas demain la veille qu'il se laissera anéantir par une machine aussi performante soit-elle. De plus, les recherches actuelles sur le cerveau, à l'aide de techniques de plus en plus sophistiquées, permettent certes de mieux comprendre son fonctionnement, mais révèlent en outre des niveaux de complexité insoupçonnés jusqu'à présent, par exemple que chaque neurone pris individuellement est différent de son voisin. Indubitablement, le cerveau d' Homo sapiens ne peut tenir dans une puce.

Les avancées de la recherche en biologie et en médecine, en particulier dans le domaine du vieillissement, sont réelles mais actuellement insuffisantes pour nous faire vivre 300 ou 1 000 ans, surtout en parfaite santé. Pour l'instant, le vieillissement nest inéluctable même s'il y a des espoirs sérieux de vieillir un jour en meilleure santé, y compris en préservant son cerveau, ce qui contribuera à améliorer la longévité globale des populations. Quant aux maladies neurodégénératives, il n'est aujourd'hui pas possible de les traiter efficacement.

Il y a actuellement un véritable verrou dans la recherche dite «translationnelle», sur le cerveau, celle qui conduit à des applications médicales: les progrès des cinquante dernières années permettent une bien meilleure compréhension de cet organe, mais malheureusement ils n'ont entraîné à ce jour que peu de retombées thérapeutiques.

Pour les transhumanistes, peu importe! Ils balayent toutes ces remarques du revers de la main car ils sont fondamentalement dualistes. Le dualisme a été formalisé en 1641 par René Descartes qui a été le premier à distinguer l'esprit (l'âme) du corps. Aujourd'hui, le dualisme s'oppose aux différentes formes de monismes qui affirment l'unité indivisible de l'être et auxquelles adhèrent la plupart des biologistes, et pas seulement eux d'ailleurs. La discussion de ce point sort du cadre de ce livre. Cependant, même si le téléchargement du cerveau dans une puce ou dans le cloud était possible, pourrait-on nl'appliquer à chacun des quelque 10 milliards d'individus sur Terre en 2045? Certainement pas ! Or, c'est bien notre individualité qui intéresse chacun d'entre nous, et en premier lieu, sans doute, les quelques milliardaires qui financent le transhumanisme !

Inéluctablement existeraient alors deux catégories d'humains: ceux qui seraient «augmentés» et ceux qui ne le seraient pas; ceux qui auraient un QI de 150 et ceux qui ne l'auraient pas ; ceux qui seraient malades et ceux qui seraient en forme ; ceux qui seraient immortels et la majorité des pauvres mortels ! Inévitablement, de cette idéologie résulteraient une société totalitaire et une humanité divisée en sous-catégories, au mépris de l'égale valeur de tous les humains. Il y a là un fantasme prométhéen qui pose des questions éthiques considérables : même si le projet transhumaniste était crédible, il resterait profondément injustifiable en regard de la morale collective et individuelle. Bien sûr, les transhumanistes se défendent d'avoir de tels objectifs. Ils disent être sensibles aux risques liés à l'utilisation des nouvelles technologies et attentifs à ne pas favoriser les inégalités sociales, à préserver, la qualité des relations humaines et de l'équilibre écologique.

Récemment, les géants du web - Google, Facebook, Microsoft et Amazon - ont conclu un partenariat visant à définir «les bonnes pratiques», notamment sur ces questions éthiques. Mais peut-on les croire, alors qu'ils distillent en même temps les espoirs les plus fous ? Ne cherchent-ils pas simplement à se donner bonne conscience ? En raison de ce risque, de nombreuses instances, en France ou ailleurs, réfléchissent depuis une quinzaine d'années sur ces thèmes, comme le Département de recherche éthique biomédicale du Collège des Bernardins à Paris. En 2017, un procès fictif du transhumanisme
a même été organisé par des juristes, où ont étén abordées les questions morales et éthiques sous-jacentes, ainsi que d'autres telles que la protection de la vie privée, la conservation des données, etc.

Sur le plan sociologique, un autre point doit nous interpeller. Comment se fait-il que les idées des transhumanistes connaissent un tel succès auprès de certains médias de masse, d'intellectuels et de politiques. Comment des individus, à priori loin d'être stupides, peuvent-ils exprimer une telle naïveté ? Tous prônent le développement technologique. Mais parmi les intellectuels, ceux qui font l'opinion et ont accès aux médias, particulièrement en France, n'ont pas la culture et les connaissances scientifiques nécessaires pour percevoir le caractère erroné des fantasmes transhumanistes. Notre pays fonctionne encore sur un modèle inspiré du philosophe JeanPaul Sartre, où un intellectuel médiatiquement reconnu est souvent un intellectuel «généraliste» et où les scientifiques sont plutôt considérés comme des experts techniques. Pour le philosophe Jean-Marie Besnier: «Les transhumanistes ont la tentation d'opposer deux camps: celui des biotransgressifs, parmi lesquels ils se comptent, et celui des bioconservateurs, avec lesquels ils ferraillent. Il convient de revoir - et même de retourner - les termes du débat. » (Jean-Michel Besnier, «Transhumanistes contre bioconservareurs », article disponible sur le site www.sciences-critiques.fr ). Il ne faut en effet pas confondre les «biocompétents» qui connaissent la complexité des problèmes et sont prêts à les affronter avec un subtil mélange d'ambition scientifique, de persévérance et d'esprit critique, et les «bioignorants» pour qui les affirmations péremptoires et non prouvées tiennent lieu de résultats scientifiques et médicaux. Les premiers, auxquels nous avons la prétention d'appartenir, mettent leur passion au service de la raison et de la connaissance et les seconds, que nous critiquons, mettent leur peu de raison au service de l'irrationnel.

Soulignons aussi que derrière le mythe transhumaniste s'avance masqué un gigantesque business. Les transhumanistes sont le pur produit d'une société où les pouvoirs de l'argent, banques, multinationales industrielles, et les politiques règnent en maître. Les puissances économiques et financières que représentent les GAFA, investissent des sommes considérables dans le développement technologique, et en particulier dans l'intelligence artificielle, au point que la mobilisation des crédits privés tend à détourner la recherche publique d' objectifs plus nobles. Dès lors, le conte de fées des transhumanistes permet de donner du sens au travail des entreprises impliquées, promet un bonheur quasi-éternel aux consommateurs et flatte le narcissisme effréné de dirigeants milliardaires. Or, une recherche fondamentale forte et bien financée est une condition nécessaire (mais malheureusement pas suffisante) pour que les verrous scientifiques actuels soient levés et que de nouvelles pistes de traitement soient développées par la recherche translationnelle fondée sur l'évidence par la preuve.

Inéluctablement, elle aboutira à une meilleure compréhension du fonctionnement du cerveau et donc à un meilleur bien-être et jusqu'à un âge avancé. Ces avancées seront le fruit de recherches pluridisciplinaires où les biologistes, physiciens, chimistes et informaticiens mettront leur savoir en commun. L'intelligence artificielle a toute sa place dans ce défi enthousiasmant pour nos contemporains et nos successeurs.

La folie des humains est ailleurs que dans les croyances des transhumanistes. Les risques dus au réchauffement climatique, aux pollutions diverses, à la destruction des écosystèmes, au retour des pandémies, à la résistance aux antibiotiques, à la surpopulation associée à la pauvreté, aux inégalités et aux migrations ... sont bien plus inquiétants pour notre avenir.

C'est l'ensemble de ces défis et dangers que l'humanité doit affronter en s'appuyant à la fois sur la science, y compris les sciences humaines et sociales, sur la révolution numérique en marche, et, dans le domaine de la santé, sur les progrès de la biomédecine. Les décisions doivent in fine appartenir aux politiques démocratiquement élus par des électeurs avertis, mais la prise de décisions doit être éclairée par des collectifs d'experts auxquels le politique doit faire confiance, à condition que ces experts soient eux-mêmes accessibles au doute qui est le propre de la science !
 
La question est de savoir dans quel monde et dans quelle société nous voulons vivre. Dans un monde en crise, il faut bien sûr de l'espoir. Ce n'est pas évident, mais ce n'est pas une raison pour se laisser séduire par des illuminés.

Allons, le transhumanisme est une imposture. L'Homme tel que nous le connaissons, avec ses forces et ses faiblesses, a encore de beaux jours devant lui.

Danièle Tritsch et Jean Mariani, extrait de leur ouvrage : Ça va pas la tête - Cerveau, immortalité et intelligence artificielle, l'imposture du transhumanisme.

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Depuis quelques années un mouvement d'idées, venu des États-Unis, a pris un essor considérable dans le monde au point qu'il a été qualifié de Révolution, la Révolution transhumaniste. 

Demain, on vivra 200 ou 300 ans... et bien sûr en parfaite santé : l'immortalité n'est pas loin. Ces prophéties s'appuient sur les avancées réelles apportées par l'intelligence artificielle et la recherche en biologie, en particulier dans le domaine du vieillissement, passant ainsi allègrement de l'homme préservé et/ou augmenté au post-humain. 

Mais dès que l'on s'intéresse au cerveau, les données sont particulièrement complexes et ne vont pas dans le sens de ces prophéties. Il existe une contradiction criante entre la jeunesse éternelle promise et la réalité actuelle qui reste terrifiante. 

Fort de l'expérience médicale, scientifique et pédagogique des auteurs, ce livre montre que les efforts lents et soutenus de la recherche biologique et médicale, auxquels l'intelligence artificielle apportera sa contribution, restent la seule voie pour non seulement comprendre le fonctionnement du cerveau, mais aussi le maintenir en bonne santé (cerveau préservé), le doter de capacités nouvelles (cerveau augmenté) et, dans un délai non prévisible à ce jour, guérir ou stabiliser les maladies neuro-dégénératives (cerveau réparé). Quant au post-humain, il ne s'appuie à fortiori sur rien de tangible. 

Écrit dans un style accessible et vivant, ce livre est illustré d'exemples puisés dans la vie quotidienne. Il s'appuie sur des données scientifiques biologiques et médicales incontestables pour dénoncer l'imposture que représente le transhumanisme et ses excès ou délires.


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