mardi, février 16, 2021

Mozart était-il franc-maçon ?

(12:27)



Auteur du livre Franc-maçonnerie, l'effroyable vérité, Stéphane Blet est un pianiste et compositeur français, né à Paris en 1969, auteur de trois cents œuvres éditées et d’une trentaine de CD. Il est également un spécialiste du symbolisme, des mouvements ésotériques et de la franc-maçonnerie, donc il fut l’un des « Maîtres ». Après des années d’engagement, c’est avec soulagement qu’il en a démissionné il y a six ans, après en avoir saisi les véritables objectifs. Aujourd’hui, il raconte ce qu’il a vu, ce qu’il a compris du sens profond de la maçonnerie. Qu’est-ce qu’une obédience, une loge, un atelier ? À quoi correspondent les trente-trois degrés – pourquoi ce nombre ? – et quelles sont leurs significations symboliques ?

La franc-maçonnerie originelle (maçons opératifs, constructeurs et bâtisseurs) fut progressivement remplacée par une maçonnerie “spéculative”, infiltrée par le communautarisme, le talmudisme, les protestants anglais, les banquiers et les marchands, et totalement détournée de sa finalité première. Pour accomplir son nouveau dessein, il lui fallait détruire l’Église et le christianisme, et prendre le contrôle des États, que ce soit directement par une présence nombreuse au sein du pouvoir, ou indirectement par l’usure et les groupes de pression. Puis, sous couvert de tolérance et d’égalitarisme – et à l’insu de ses membres des degrés inférieurs –, œuvrer à son but véritable : l’avènement du mondialisme et, dans un second temps, de la synarchie.

Afin d’éclairer les profanes que nous sommes, l’auteur décrypte pour nous, photos à l’appui, les codes secrets, les mots de passe et les rituels dont les significations changent en fonction de l’avancement de l’adepte dans les degrés de la maçonnerie : à l’Apprenti une explication, au Grand Maître, une autre ! La kabbale joue avec les mots et la franc-maçonnerie moderne fait de même. C’est ainsi que l’on pourra comprendre comment le mal peut devenir le bien et comment la guerre peut signifier la paix. Cette inversion des valeurs et du sens des mots a été lentement et insidieusement distillée dans toute la société, et jusque dans la devise française : « Liberté, égalité, fraternité ». Inversion invisible aux profanes, mais qui s’éclaire dès lors que l’on se souvient qu’elle est issue d’un ordre très cloisonné, très hiérarchisé, et dont les membres s’appellent frères. (Source Kontre Kulture)



"La Flûte enchantée retrace une initiation maçonnique. On peut évidemment apprécier la musique de cet opéra du frère Wolfgang Mozart, sans se préoccuper du récit maçonnique. Mais, on en perd l'essentiel." Jacques Chailley (professeur d'histoire de la musique à la Sorbonne), est l'auteur du livre La Flûte enchantée, opéra maçonnique, essai d'explication du livret et de la musique.


La franc-maçonnerie


Qu'est-ce que la F. M. ? C'est une secte maléfique aux pratiques secrètes et sataniques qui contrôle le monde. [...]

Les travaux de Nesta Webster, notamment son livre La révolution mondiale - Le complot contre la civilisation est une mine d'informations pour comprendre le déroulé des événements depuis la révolution française jusqu'à l'instauration du communisme. Ce pavé de 700 pages enchaîne les perles les plus précieuses et rares que nos contemporains se font une fierté d'ignorer ! Le livre à été publié en 1921 au prix d'un travail et d'une érudition qui forcent le respect. L'auteur donna des conférences aux services secrets britanniques. Dès le début du livre, on apprend que Churchill lui-même a fait un discours à la Chambre des Communes le 5 novembre 1919, paru dans le Illustrated Sunday Herald du 8 février 1920, dans lequel il affirme l'existence d'une conspiration mondiale commençant par l'illuminé A. Weishaupt et se terminant par K. Marx ! Était-il, lui aussi, un affreux tenant de la « théorie du complot » ? On y apprend également que le terme « Fraternité » qui orne les frontons de nos 36 000 mairies a été ajouté par le maçon juif portugais Martinez Pasqually. Le tryptique maçonnique liberté, égalité, fraternité que le frère Saint Martin appelait "ternaire sacré", donne à toute cette tartuferie une coloration religieuse certaine. N. Webster donne la date exacte de l'accord réalisé entre la maçonnerie et la secte illuminati de Weishaupt. Il s'agit de juillet 1780, lors d'une rencontre entre le frère baron von Knigge et l'illuminé Diomède le marquis de Constanza. L'accord final qui scellera cette alliance se fera au congrès de Wilhemsbad le 16 juillet 1782. Depuis, la secte mène le jeu dans les hautes sphères maçonniques. C'est ici même que se forgera le plan de destruction de l'Humanité, ou plus exactement le plan d'accélération, que l'on retrouve dans les Protocoles des sages de Sion. Les 27 chapitres de cet écrit sont une copie exacte, à la virgule près, du plan illuministe du XVIIIe siècle. Tout y est dans le moindre détail, en commençant par la subversion de l'unité fondamentale de toute société humaine, la famille. [...]

Il est évident et clair, pour celui qui a encore des yeux et un cerveau fonctionnel, que la symbolique maçonnique relève de l'ésotérisme. Il suffit de voir leurs symboles dans les livres ou sur vos documents officiels pour comprendre que ceci n'a rien de scientifique ni d'artistique. De plus, la lecture attentive de leurs ouvrages de référence démontre que la maçonnerie repose sur un ésotérisme dévoyé, satano-talmudique dont l'origine remonte à Babylone. C'est un pur occultisme qui est bien loin de la raison positiviste et progressiste des lumières que les maçons nous assènent à longueur de discours. Les degrés d'initiation sont typiquement talmudiques puisque, selon l'ouvrage du Dr M. Cailler, l'initiation au 18e grade de Rose-Croix se fait par la redécouverte du tétragramme sacré "YHVH" sous la triple acclamation de "Hoschée" qui veut dire "sauveur" en hébreu ! 

La maçonnerie n'est rien d'autre que la pratique de la sorcellerie, science occulte apprise aux hommes à Babel par les deux anges Harout et Marout. Cette science maléfique a sculpté le Talmud, qui n'est qu'un ramassis de monstruosités anti-naturelles, et qui a perduré jusqu'à nos jours. Il faut absolument faire la distinction entre les juifs sincères qui suivent la loi mosaïque et cette secte sataniste des sabbatao-frankistes.  [...]

(...) il faut savoir qu'il existe une maçonnerie raciste, qui est loin de toute idée universaliste puisqu'exclusivement dédiée aux juifs, le B'naï B'rith (ou fils de l'Alliance). Organe extrêmement puissant qui fait la pluie et le beau temps en Occident.

Lorsque l'on a lu René Guénon critiquant des Eliphas Lévi, Papus, A. Pike, Aleister Crowley se faisane dicter son livre par un démon... on commence à saisir que la secte est férue de sorcellerie et de rituels magiques.

Malgré la répulsion qu'éprouvent les masses modernes quant à ces questions spirituelles, il n'en demeure pas moins évident que ce monde de l'occulte existe. C'est un fait non négociable, juste constatable. La société moderne est certes athée dans ses professions de foi, mais ses élites pratiquent des cultes secrets et honteux qu'elles ne veulent pas dévoiler aux profanes. [...]

L'occident moderne campe sur ses positions, ni Dieu ni Satan ! C'est pourtant lui qui a créé Henry Lee Lucas, Ted Bundy et Ottis Toole. Ce trio diabolique existe bel et bien ; il a tué des centaines de personnes le long des routes américaines pour fournir en chair fraîche une secte sataniste selon les propres aveux de Toole. Ils pratiquaient la zoophilie, la nécrophilie, le cannibalisme, la pédophilie et toutes autres sortes de profanations et de blasphèmes indispensables à toute ascension dans la hiérarchie luciférienne. Le film de Stanley Kubrick, Eyes wide shut, est très explicite sur cette question. Il a d'ailleurs été tourné dans le château de Mentmore appartenant aux Rothschild, décrivant le déroulement de rites lucifériens de la haute aristocratie dépravée amerloque. La production hollywoodienne n'est pas avare de messages clairs sur ces pratiques démoniaques mais que peu de gens prennent au sérieux car ils ne croient plus en rien. Tel un troupeau d'agneaux qui ne croit pas en l'existence du loup qui est déjà dans la bergerie et s'apprête à croquer leurs tendres cous délicieux.

Extraits du livre de Salim Laïbi, La faillite du monde moderne.

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Vidéo : 

Jean-Marie Bigard : 
"Agnès Buzyn a du sang sur les mains" 


En 2015, lors d’un colloque sur la "fin de vie des enfants" au Grand Orient de France, une puissante obédience maçonnique, Agnès Buzyn s’était déclarée favorable à l’euthanasie.


lundi, février 15, 2021

Un homme construit la maison écologique de ses rêves pour 3 680 €

(4:39)

£3,000 Hobbit House by Simon Dale



Il s’appelle Simon Dale. Il est Gallois, père de famille et a construit en 2003 la maison de ses rêves pour quelques milliers d’euros et des mois de travail.

Depuis plus de 10 ans, Simon Dale travaille dans des projets environnementaux et communautaires. Il s’est rendu compte qu’avec quelques milliers d’euros et plusieurs mois de travail, il est possible de créer des habitations simples, écologiques, en harmonie avec la nature où règne le plaisir de vivre.

Sur son site internet il explique : “il y a quelque chose d’extrêmement séduisant dans ce type de bâtiments naturels. Leur simplicité et leur coût les rendent accessibles. Leur beauté et l’utilisation de matériaux naturels nous rappellent notre droit ancestral de bien vivre en faisant partie du paysage. Nous sommes convaincus que ce rêve est possible pour n’importe quelle personne armée d’une forte volonté et du goût de l’effort.“

Cette demeure de 50m² qu’il appelle The Hobbit House (La Maison du Hobbit) a été construite pour lui et sa famille en quatre mois. Ce projet “fait-maison” réalisé avec l’aide de son beau-père, de passants et d’amis en visite a demandé entre 1000 et 1500 heures de travail pour un budget de £3000, consacré à l’achat des matériaux.

La maison a été construite le plus en adéquation possible avec l’environnement, sans raser de forêt. Ce choix de vie fait suite à une profonde réflexion sur l’autosuffisance et à une prise de conscience écologique. Simon et sa femme travaillent dans la forêt qui entoure la maison et ont pour rôle de l’entretenir par une gestion écologique. Ils se nourrissent en partie grâce à leur jardin forestier. Simon n’a jamais été constructeur ou charpentier. Pour construire sa maison, il n’a eu besoin que de marteaux, de burins et d’une tronçonneuse. Peu d’outils, peu d’énergie et beaucoup de bidouillage en réalité. Il insiste sur le fait que ce type de bâtiment est accessible à tous. En reconnaissant que deux qualités qu’il possède s’avèrent capitales pour réaliser ce genre de projet : la croyance en soi et la persévérance.

Plus d’info sur : simondale.net



SOURCE :



dimanche, février 14, 2021

Un auteur d'ouvrages antimaçonniques est en prison

(4:37)

Depuis le Canada, le youtubeur chrétien Pierre Blanchette dénonce une persécution d'intellectuels par la "synagogue de Satan". 

Pierre-Alain Depauw écrit : 

"(...) l’écrivain Johan Livernette a été condamné à deux ans de prison ferme dans une procédure de comparution immédiate faisant suite à une plainte pour violences conjugales déposée par son ex-compagne."

Johan Livernette a nié les faits, estimant que son ex-compagne se blessait volontairement.

Selon deux témoins, au cours de la comparution immédiate les juges auraient dit que de toute façon Johan Livernette est dangereux pour la république avec ses livres et ses vidéos. Ont-ils dévoilé là le vrai motif d’accusation ?"  (Médias-Presse-Info)

Le dernier message de Johan sur sa page Facebook :

"18 mois de prison ferme : telle est la très lourde sanction qui m'a été infligée le 5 février dernier au tribunal correctionnel de Toulon. Mes deux rosaires par jour en garde à vue ajoutés aux « Avé Maria » avant le jugement n'ont donc pas suffi. Cette nouvelle doit surprendre ceux qui n'étaient pas au courant que je suis dans le collimateur de la justice depuis plusieurs semaines. J'ai en effet vécu, en peu de temps, de dures épreuves lors de deux gardes à vue de 48 heures chacune (soit 96 heures). Dans l'immédiat, je me garderai de trop m'exprimer sur cette condamnation absolument scandaleuse au regard des faits reprochés (violences). Car il n'y a rien eu du tout concernant ces faits du 5 décembre et cela, toutes les personnes présentes le savent très bien. Que dalle. Du pipeau. Du cinéma. En une phrase : une simulation d’agression débouchant sur une grave condamnation. Ma personnalité et mes idées politico-religieuses ont visiblement fortement déplu au parquet. Mais cela ne constitue en aucun cas des faits méritant la prison. Etre incarcéré quand on a fauté est déjà difficile humainement. Etre incarcéré sur une injustice est terrible. La vérité fut la grande perdante de mon jugement du 5 février.

Cette affaire qui m'a marqué à vie fera l'objet d'un livre (un « roman ») où j'écrirai tout ce que j'ai vécu, dans les détails, ces dernières semaines : l'enchaînement des événements, les anecdotes (drôles et souvent dramatiques), les rencontres, les souffrances et surtout : les trahisons. Trahison immense de la mère de mes enfants. Trahison également de l'un de mes proches qui a signé son témoignage sans l'avoir lu ! 

Le vendredi 5 février, avec mon avocat, le valeureux et exemplaire Philip Fitzgerald, nous avons donc perdu une bataille. Mais nous avons combattu avec dignité, cœur et droiture, dans un esprit de vérité et d’honnêteté. Et c'est bien cela qui importe. Vaincus certes, mais droits et debout, malgré l'injustice. 

Les 4 et 5 février, en amont de cette honteuse condamnation, j'ai vécu des moments forts humainement et émotionnellement, auprès de mon avocat et d'un père de famille marseillais avec qui je me suis lié d'amitié dans les geôles. Ici les gens ne comprennent pas pourquoi je suis là. Ici on souffre en silence, et dans certains cas bruyamment. C'est dans ces moments difficiles où on voit qui est qui, où je vais voir qui m'aime vraiment sincèrement. 

Aujourd'hui, je suis un homme détruit. Je dois l'avouer. Mais demain sera un autre jour. Par mon exemplarité au quotidien, j’espère pouvoir fêter Noël 2021 avec mes enfants. C'est mon objectif premier. 

Je vous invite à m'écrire le plus souvent possible à cette adresse :

Centre pénitentiaire Toulon – la Farlède
CS 10543
Livernette Johan
Numéro d'écrou : 25532
83041 Toulon cedex 9 

Je vous répondrai volontiers. Nos échanges seront précieux et certainement fructueux. Pour ceux qui veulent me soutenir en achetant mes livres, merci de les commander aux éditions Saint-Rémi.

Que le Seigneur Jésus soit avec vous et avec votre esprit.

Johan Livernette 

Démasquer la secte maçonnique sous tous ses aspects est le cheval de bataille de Johan Livernette, auteur du livre La franc-maçonnerie, 300 ans d'imposture

L’action des sociétés secrètes étant décisive dans l’avancée du mondialisme, cette étude s’inscrit dans la continuité du précédent ouvrage de Johan Livernette : Le complot contre Dieu. Rigoureuse et structurée, elle se base sur une abondante documentation et des faits historiques irréfutables.


samedi, février 13, 2021

Jacques Attali alerte sur une dérive du pouvoir

Le pouvoir est en train de "bugger".


Selon la légende rabbinique, sur le front du GOLEM figure le mot "emet" (אמת, « vérité ») qui devient, lorsque sa première lettre est effacée, "met" (מת, « mort »), faisant retourner la créature devenue incontrôlable à la poussière.



Restaurants fermés : Jacques Attali alerte sur une dérive du pouvoir


Par un long billet publié sur son site internet, l’écrivain et économiste Jacques Attali s’alarme des conséquences délétères de la fermeture prolongée des restaurants. Et voit dans l’interdiction des réunions autour d’un repas convivial une façon, pour le pouvoir, d’empêcher les contestations.

Dans un texte brillant intitulé "Manger, c’est parler", Jacques Attali pointe les incohérences — particulièrement nombreuses — de la gestion de la crise sanitaire, notamment : « comment justifier que les théâtres et les cinémas soient fermés quand les métros et les trains roulent ? » ou encore « comment admettre qu’on ferme les magasins à l’heure où la plupart des gens sortent du travail et peuvent faire leurs courses ? ». Des incohérences évidemment difficiles à comprendre, et qui touchent, comme il relève, tout particulièrement les restaurants : « Comment expliquer qu’on ne les autorise pas à ouvrir quand il est autorisé de manger à sa place dans un train ? Comment admettre qu’on ne les autorise pas à recevoir leurs clients au moins sur les trottoirs ou sur leurs terrasses, avec tous les chauffages d’appoint nécessaires (…) ».

Mais en plus de simplement mettre le doigt sur ces absurdités évidentes, c’est surtout à une analyse sans concessions que se livre Jacques Attali, dans un texte qui pourrait en surprendre plus d’un. Car pour lui, cette situation ferait en réalité le jeu du pouvoir, en empêchant les réunions et donc en limitant les velléités contestataires : « (…) les restaurants ne sont pas uniquement un lieu de consommation alimentaire. Ils sont, avec le repas familial, les lieux principaux de la conversation, et de la transmission. Or, les pouvoirs, dans toutes les sociétés, n’aiment pas que les gens bavardent en mangeant : ils y échangent des informations ; ils y discutent de sujets politiques ; ils y organisent des coalitions ; tout cela hors du contrôle du pouvoir, qui ne sait rien de ce qui s’y dit ; très dangereux pour lui ». S’il n’est peut-être pas le seul à le penser, cette prise de position est en tout cas salutaire, et devrait inviter à réfléchir sérieusement sur le maintien de cette mesure, alors même qu’il est possible de s’attabler dans des pays voisins comme l’Espagne ou l’Italie, qui a récemment allégé fortement ses restrictions.

Et au-delà de voir dans les fermetures de restaurants une dérive anti-démocratique, il se livre par ailleurs à une étonnante remise en cause de la société de consommation : « De plus, le repas pris en commun prend du temps ; du temps sur le travail, du temps sur la consommation d’autre chose que de la nourriture ; le repas est donc un ennemi de l’économie ; le repas est anticapitaliste ». Il dénonce également l’uniformisation de la nourriture et le recours à des produits industriels qui enlèvent toute saveur aux produits. Ce qui dissuade d’autant plus, selon lui, de passer du temps à table, la faute à une tendance sociétale qui pousse les individus à consacrer de moins en moins de temps au repas — en les passant ailleurs qu’à table — et qui serait accélérée par la crise sanitaire : « la pandémie pourrait accélérer cette évolution, à laquelle la France, l’Italie et quelques autres pays sont les plus réfractaires ; elle pourrait justifier le couvre-feu par la possibilité de faire ses courses à l’heure du repas disparu ; et par la croissance de la productivité rendue possible par le repas pris en télétravail devant son ordinateur à la maison dans son bureau/salon/salle à manger ; et parfois aussi chambre à coucher ». Une vie métro-boulot-dodo privée de ses plaisirs élémentaires, au premier rang desquels celui de partager un moment convivial autour d’un repas et faire ainsi vivre tout l’écosystème de la restauration.

Alors chez Bas les masques, nous ne pouvons qu’être d’accord avec cette analyse : manger, c’est parler. Et parler, c’est contester la disproportion des mesures en place face à la réalité de la situation. Plus que jamais, il est grand temps de rouvrir les restaurants et tous les lieux de vie afin de sortir une bonne fois pour toutes de cette parenthèse qui dure depuis trop longtemps. Et, comme le dit parfaitement Jacques Attali, « rendre aux repas leur fonction festive et subversive »
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SOURCE :
https://baslesmasques.com/o/Content/co395538/restaurants-fermes-jacques-attali-alerte-sur-une-derive-du-pouvoir


vendredi, février 12, 2021

L'étrange revirement de Jacques Attali


(21:57)

L'étrange revirement de Jacques Attali :

"Je ne prône pas un gouvernement mondial, ça n'a aucun sens."



Le plan mondialiste est-il en train d'échouer ?


(...) ne faire de toutes les nations qu’un seul peuple, (...) détruire les nationalités pour constituer sur leurs ruines une république universelle ; et d’autre part, anéantir le christianisme et fonder une religion nouvelle, religion humanitaire, selon le vœu des uns, religion satanique, selon le vœu des autres ; mais, pour ceux-ci comme pour ceux-là, religion universelle, saisissant tous les hommes pour les renfermer dans le même temple comme dans la même cité.

Une telle conception, un tel projet devait alors paraître pure folie. Il faut bien reconnaître cependant qu’il se montre aujourd’hui plus réalisable qu’il ne pouvait l’être aux yeux de ceux qui l’exposèrent les premiers, aux hommes de la Convention ; et que tout, dans le mouvement des idées, aussi bien que dans les révolutions politiques et dans les découvertes et les applications de la science, semble se prêter à sa réalisation.

Comment, il y a un siècle, alors qu’ils ne pouvaient avoir aucune idée de ce que nous voyons, les hommes de la Révolution purent-ils concevoir la pensée d’une Révolution embrassant ainsi l’humanité tout entière pour la transformer aussi radicalement ?

On ne peut l’expliquer que par l’inspiration de Satan. L’ange déchu voyait, dès lors, dans leurs causes, les événements auxquels nous assistons aujourd’hui et qui brisent l’une après l’autre les barrières qui séparaient les peuples et les races ; il voyait également les progrès que devaient faire les sciences physiques qui venaient de naître et les bouleversements sociaux qu’elles produiraient, Il voyait enfin les radicales négations auxquelles les disciples de Voltaire et de Rousseau entraîneraient la raison séparée de la foi. Il se promit de s’emparer, par ceux qui consentiraient à se faire ses esclaves dans les sociétés secrètes, de ces mouvements d’ordre matériel et d’ordre intellectuel, d’ordre politique et d’ordre moral et de les faire servir à rétablir, sur tout le genre humain, le règne que la régénération chrétienne lui avait fait perdre.

On sait comment et avec quel succès, peut-on dire, il y a travaillé durant tout le cours du XIXe siècle. Nous avons entendu ses suppôts dans le gouvernement et dans la presse, dans les loges et dans les clubs crier tout d’une voix : Nous tenons la victoire !

Dans son numéro du 7 janvier 1899, la Croix rapportait ce mot d’un Juif : "C’est notre empire qui se prépare ; c’est celui que vous appelez l’Antéchrist, le juif redouté par vous, qui profitera de tous les nouveaux chemins pour faire rapidement la conquête de la terre."

Ils ne savent point, ou ils veulent ignorer, qu’au-dessus de leur maître Satan, infiniment au-dessus, il y a Dieu, Dieu tout-puissant. Il a créé le monde pour sa gloire, la gloire inexprimable qui lui sera éternellement rendue par toutes ses créatures, sans exception, quoique diversement, les unes en manifestant sa bonté, les autres en manifestant sa justice. Jusqu’au jour des suprêmes rétributions, il les laisse à leur libre arbitre, de telle sorte cependant que les méchants comme les bons, le mal comme le bien, servent à l’accomplissement des desseins de sa Sagesse infinie.

Comme le dit Donoso Coctès : "Lucifer n’est pas le rival, il est l’esclave du Très-Haut. Le mal qu’il inspire ou qu’il introduit dans l’âme et dans le monde, il ne l’introduit pas, il ne l’inspire pas sans la permission du Seigneur ; et le Seigneur ne le lui permet que pour châtier les impies ou pour purifier les justes par le fer brûlant de la tribulation. De cette sorte, le mal même arrive à se transformer en bien sous la conjuration toute-puissante de Celui qui n’a d’égal ni pour la puissance, ni pour la grandeur, ni pour le prodige ; qui est Celui qui est, et qui a tiré tout ce qui est, en dehors de Lui, des abîmes du néant".

Dieu permet, nous en sommes, hélas, témoins, les égarements de l’homme et même la révolte contre lui, mais dans une mesure qui ne sera pas dépassée ; il attend. Tout servira à ses desseins, et lorsque l’épreuve aura cessé, tout sera à sa place; il n’y aura alors de mal que pour les coupables obstinés. Mais, disons-le, les coupables eux-mêmes rappelleront encore les desseins pleins d’amour de Dieu pour ses créatures ce qui aura causé leur perte, ce sera en effet l’abus d’un bienfait qui était destiné à leur procurer un poids immense de gloire, l’abus de la liberté que Dieu donne à ses créatures dans le but de se former des élus qui puissent dire avec saint Paul : "C’est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis, et sa grâce envers moi n’a pas été vaine, J’ai travaillé non pas moi pourtant, mais la grâce de Dieu qui est avec moi."

Le fondateur de l’Illuminisme français, Saint-Martin, avait l’intuition de ces vérités et il se disait que Satan pourrait bien n’avoir pas le dernier mot de la Révolution. Le 6 janvier 1794, il écrivait au baron de Kirchberger : "Pour moi, je n’ai jamais douté que la Providence ne se mêlât de notre Révolution et qu’il n’était pas possible qu’elle reculât. Je crois plus que jamais que les choses iront à leur terme et auront une finale bien importante et bien instructive pour le genre humain."

De Maistre ne pensait pas autrement. "Pour tout homme qui a l’œil sain, dit-il, et qui veut regarder, il n’y a rien de si visible que le lien des deux mondes. Tout ce qui se passe sur la terre a sa raison d’être dans le Ciel. C’est à l’accomplissement des décrets divins que sont ordonnés tous les faits, toutes les révolutions que l’histoire a enregistrés, tous ceux qu’elle enregistrera jusqu’à la fin des temps : tous concourent, selon leur nature et leur importance, à l’œuvre secrète que Dieu opère presqu’à notre insu, et qui ne sera pleinement révélée qu’au grand jour de l’éternité. Si les révolutions sont amenées par les erreurs des hommes, si elles sont faites de leurs crimes, Dieu les domine au point de les faire concourir à l’accomplissement de ses desseins qui datent de l’éternité."

Extrait du livre La conjuration antichrétienne de Henri Delassus.

PDF gratuit

 

Monseigneur Henri Delassus, né le 12 avril 1836 à Estaires et mort en 1921, prêtre catholique, docteur en théologie, protonotaire apostolique, chanoine honoraire du diocèse de Cambrai et essayiste antimaçonnique et antimondialiste.


mercredi, février 10, 2021

L'affaire Duhamel : TOUS COUPABLES

(10:01)


La chaîne de spiritualité de Céline Geneviève

 

En janvier 2021, à la suite d'accusation de viol et d'inceste, Olivier Duhamel démissionne de la présidence du club LE SIECLE, le temple de l'élite. Une élite qui a dit OUI à la Constitution européenne et NON à une Europe chrétienne.


Emmanuel  Ratier écrit : "Olivier Duhamel, s'est toujours montré favorable à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, refusant "une Europe blanche et chrétienne". En 2005, il a fait campagne en faveur du "oui" à la Constitution européenne.  

(...) né le 2 mai 1950 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Agrégé de droit et docteur en droit, ce fils de l'ancien ministre centriste Jacques Duhamel (dont il faillit reprendre la circonscription jurassienne) enseigne à l'IEP Paris et le droit public à Paris I Panthéon-Sorbonne. Il a signé divers ouvrages de droit constitutionnel ou de science politique. Conseiller à la Sofres (où il est codirecteur de la série annuelle L'État de l'opinion), directeur de l'influente revue Pouvoirs (études constitutionnelles et politiques) ainsi que de collections au Seuil, chroniqueur à l'Express, cet ami de Robert Badinter a notamment coopté au Siècle Yann de l'Ecotais (L'Express) et Jérôme Joffre (Sofres). 

Ces dernières années, cet influent intellocrate dans le petit milieu universitaire parisien s'est fait remarquer par sa hargne anti-FN, demandant par exemple en 1992 à François Mitterrand de renoncer à la proportionnelle, assurant à la droite officielle la victoire la plus large (en sièges) de son histoire. En 1993, lors de l'affaire des "rouges-bruns" (convergences entre communistes et nationalistes), il signe l'Appel dit "des Vigilants". Membre de la Fondation Saint-Simon, il a cosigné avec Martine Aubry en 1995 le Petit dictionnaire pour lutter contre l'extrême droite, où la naïveté voisine avec les approximations élémentaires. Député européen socialiste depuis 1994, il fut écarté en 2004. 

(Emmanuel Ratier "Au cœur du pouvoir - Enquête sur le club le plus puissant de France", 2015)


"Selon le livre que sa fille Camille Kouchner publie début janvier 2021 sous le titre La Familia grande, c'est pendant l'année 1988 que les agressions sexuelles d'Olivier Duhamel sur "Victor" auraient débuté.

Quand, vingt ans après, "Victor" parle à sa mère de viols, Évelyne Pisier, d’abord sidérée, choisit de protéger son mari. Elle informe sa sœur, Marie-France Pisier, qui veut l'inciter à dénoncer son mari et à partir, en lui proposant de l'héberger, et qui parle de l’affaire à son entourage. Très liées depuis l'enfance, les deux sœurs se brouillent. Lors de la mort suspecte de Marie-France Pisier en 2011, l'enquête s'intéresse à la famille Duhamel-Pisier. "Victor" coopère ensuite avec la brigade de protection des mineurs mais refuse de porter plainte, notamment pour protéger sa vie professionnelle et son foyer."

(Source : Wikipédia)


La mort suspecte de Marie-France Pisier

"Le 24 avril 2011 vers 3 h 30 du matin, Marie-France Pisier est retrouvée par son mari Thierry Funck-Brentano, inanimée au fond de la piscine de leur villa de Saint-Cyr-sur-Mer. Sa tête et ses épaules sont coincées dans le croisillon métallique d'une "lourde chaise en fer forgé" et elle porte des bottes en caoutchouc. Sa mort est constatée à Toulon, à 7 h du matin.

Le rapport d'autopsie ne permet pas de déterminer les circonstances de la mort. Des analyses médico-légales toxicologiques (« un taux d'alcool important a été détecté par les analyses, qui ont mis en évidence la présence d'antidépresseurs et d'antalgiques à doses thérapeutiques ») puis l'autopsie finale conduisent à évoquer l'hypothèse d'un suicide de l'actrice, qui souffrait d'une récidive de son cancer du sein, diagnostiqué pour la première fois en 2003, rendant une seconde opération avec l'ablation mammaire inéluctable, comme pour sa mère. Près de dix années après sa mort, un conflit avec sa sœur Évelyne à propos des accusations d'inceste commis par Olivier Duhamel, mentionné lors de l'enquête, est rappelé par sa nièce Camille Kouchner. Dans son livre "La Familia grande", celle-ci révèle que sa mère, informée en 2008-2009 des agissements de Duhamel, a choisi de ne rien divulguer et de protéger son mari, comportement qui a choqué Marie-France Pisier. « On a compris qu’Évelyne pensait que Marie-France s’était plutôt suicidée » explique Camille Kouchner. L'autopsie révélant le peu d'eau dans ses poumons suggère que Marie-France Pisier n'est pas morte par noyade, ce qui conduit à évoquer la possibilité d'une mort par crise cardiaque avant de tomber dans la piscine ou par hydrocution après cette chute. L'hypothèse d'un meurtre n'était pas écartée."

À la suite de la publication du livre de sa sœur Camille, Julien Kouchner, fils aîné d'Évelyne Pisier, interrogé par Le Parisien le 24 janvier 2021, revient sur la mort de Marie-France Pisier : "Je n'ai jamais cru que ma tante se soit suicidée, mais je ne sais pas comment elle est morte. Ma seule certitude, c'est que toute cette histoire (concernant l'inceste sur son neveu) l'a tuée."

(Source : Wikipédia)


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Vidéo : Une élite satanique


Lors des funérailles de l'ancienne 1ère dame des États-Unis, Lady Bird Johnson en juillet 2007 à Austin (Texas), l'élite n'est pas franchement chrétienne. Elle s'affiche carrément dans le camp adverse d'après leur signe de la main, le satanique "cornuto".


mardi, février 09, 2021

Meurtre par injection, la conspiration médicale





(...) le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : "La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l’Etat, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante mais aussi l’outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu’elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombre du siècle dernier. Le Dr Peebles fait référence au fait que le vaccin contre la variole de la vache était l’une des "inventions ou découvertes les plus particulières du siècle des lumières".

Cependant, comme je l’ai souligné dans “La malédiction de Canaan”, le siècle des lumières n’était que le dernier programme du Culte de Baal et de ses rituels de sacrifices d’enfants, qui, sous une forme ou une autre, nous accompagne depuis quelque cinq mille ans. En raison de cet objectif, le Monopole médical est également connu sous le nom de “The society for Crippling Children”. (La société destructrice d’enfants). [...]

Dans mon livre “La malédiction du Canaan”, j’ai écrit sur le rite du sacrifice d’enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l’établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la "Fraternité de la mort". Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s’empresse d’accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d’un “style de vie alternatif” dans leurs préférences sexuelles. [...]

L’urgence était qu’aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n’échappe pas au sacrifice sur l’autel des pédophiles. 

Le Monopole Médical ne peut permettre qu’un seul écolier échappe à l’offre monétaire du coût pour la vaccination obligatoire, comme un hommage des esclaves à leurs maîtres. Un praticien de grande expérience et d’excellente réputation a tiré le signal d’alarme ; le Dr Herbert Snow, chirurgien en chef au Cancer Hospital de Londres, exprimait toute son inquiétude : "Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu’environ 80% de ces décès sont dus à l’inoculation ou à la vaccination qu’ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de “mort naturelle". Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. [...]

Lorsque en 1910, le Syndicat du Crime de Rockefeller a pris le contrôle de la médecine, la santé a commencé à décliner en flèche. 

Aujourd'hui, nous souffrons de toute une série de maladies débilitantes, tant mentales que physiques, et dont la quasi-totalité peut être directement liée aux activités du monopole des produits chimiques et des médicaments, représentant la plus grande menace pour notre existence et notre futur en tant que nation. Unissons-nous maintenant pour restaurer notre santé nationale ; le résultat sera la restauration de notre fierté, la reprise de notre rôle d'inventeurs et de
locomotive du monde moderne, ainsi que le gardien des espoirs du monde, et des rêves de liberté et d’indépendance.

L'Ordre Mondial

De nombreux conservateurs américains croient, comme à un article de foi, que Rockefeller et le Conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations) exercent un contrôle absolu sur le gouvernement et le peuple américain. Cette thèse peut être acceptée comme formule empirique si l'on se concentre sur les grands problèmes. Deux écrivains pour lesquels le présent auteur a beaucoup de respect, sont le Dr Emanuel Josephson et Morris Bealle, qui ont insisté pour se concentrer sur les Rockefeller en excluant tous les autres aspects de l'Ordre Mondial. Ce qui a sérieusement limité l'impact de leur travail bien qu'innovateur et original sur le Monopole médical.

L’auteur de ces lignes, a avancé un point de vue un peu contraire car relatif à "L'ordre mondial", et se fixant sur la puissance monétaire de Rothschild, qui a atteint un niveau de contrôle mondial en 1885, avec son groupe politique londonien, The Royal Institute of International Affairs (RIIA) ; le véritable moteur politique du véhicule qui depuis 1900 rétablit un gouvernement colonial aux États-Unis. Gouvernement colonial, ou d'occupation, fonctionnant principalement par le biais du Conseil des relations étrangères, mais uniquement en tant que filiale de RIIA et par l'intermédiaire de la Rockefeller Foundation, qui contrôle les fonctions gouvernementales, l’establishement, les médias, les religions et la législation des États. Il est vrai que les colonies américaines ont des "élections libres", et qu'elles ont le droit absolu de voter pour l'un des deux candidats, qui ont tous deux été sélectionnés et financés par le syndicat Rockefeller. Cette preuve touchante de "démocratie” sert à convaincre la plupart des Américains qu’ils sont effectivement un peuple libre.

Depuis 1900, les Américains sont libres d’aller mourir dans les guerres hégéliennes où les belligérants ont reçu leur instructions directement de l'Ordre Mondial. Nous sommes libres d'investir des parts d’actions dans la bourse représentant les marché de quantité, de prix et de valeurs quotidiennes directement manipulées et contrôlées par un Système de Réserve Fédérale qui ne rend de compte qu’à la Banque d'Angleterre. Un système qui a maintenu hors de tout contrôle gouvernemental, une "indépendance" tellement vantée et apparemment la seule qu'il n’ait jamais eue.

Réaliser que nous vivons aujourd’hui sous les diktats du "Rockefeller Syndicate" pourrait bien être le point de départ du long chemin du retour d'une véritable lutte pour l'indépendance américaine. En essayant d’exposer les "Rockefeller" comme agents d'une puissance étrangère qui n’est pas seulement une puissance étrangère, mais un véritable gouvernement mondial, on doit comprendre qu'il ne s'agit pas seulement d'une organisation qui se consacre uniquement à l'argent, mais un groupe organisé qui s'engage à maintenir le pouvoir sous forme d’un gouvernement colonial sur le peuple américain. Ainsi, la vieille baliverne décrivant John D. Rockefeller comme obsédé par l’argent et seulement doué de cupidité (une catégorie dans laquelle il a beaucoup de comparses), cache le fait que dès le premier jour où les Rothschild ont commencé à financer son projet de monopole pétrolier américain sans partage, avec leurs fonds de la National City Bank de Cleveland, Rockefeller n'a jamais possédé de pouvoir indépendant, comme d’ailleurs aucune branche soi disant indépendante du Syndicat de Rockefeller. Nous savons que la Cosa Nostra, ou Mafia, avec laquelle le Syndicat est étroitement allié, à un pouvoir quelque peu autonome dans les régions allouées par les directeurs nationaux à chaque "famille" particulière, mais ça implique toujours que cette famille reste sous contrôle total tout en étant responsable de tout ce qui se passe sur son territoire.

De même, le Syndicat de Rockefeller opère clairement dans des conditions de sphères d'influences bien définies. Les organisations "caritatives", les entreprises et les groupes politiques, se fondent toujours en une opération de travail, et aucun groupe du Syndicat ne peut faire cavalier seul ou même formuler une politique indépendante, quelle qu'en soit la cause.

Le Syndicat Rockefeller opère sous contrôle de la structure financière mondiale, ce qui signifie simplement qu'à n’importe quel moment, tous ses actifs et fonds pourraient être rendus caduques et presque sans valeur par une manipulation adroite. C'est le contrôle final, qui garantit que personne ne peut quitter l'organisation. Non seulement l’individu serait dépouillé de tout ses avoirs mais il serait aussi immédiatement sous contrat pour un assassinat. Notre ministère de la justice est bien conscient que les seuls "terroristes" opérant aux États-Unis sont les agents de l'ordre mondial, mais ils évitent prudemment toute mention de ce fait.

La structure financière mondiale, loin d'être une organisation cachée ou inconnue, est en fait bien connue et bien définie. Elle se compose des grandes banques suisses; les survivants de l'ancien axe bancaire vénitien-génois ; les Cinq Grands du commerce mondial du grain.

Centrée autour de la Banque d'Angleterre (BoE) pour une combinaison britannique de tous leurs satellites de banques commerciales, et enfin chapeautée par l'intermédiaire des Rothschild et Oppenheimers. Le tout bien sûr avec contrôle absolu sur leur colonie canadienne par l'intermédiaire de la Banque Royale du Canada et de la Banque de Montréal, ayant comme lieutenants canadiens nul autre que les Bronfman, Belzbergs, Reichmanns et autres opérateurs financiers. Sans oublier la structure bancaire coloniale américaine, contrôlée par la BoE à l’aide du système de la Réserve Fédérale ; et ses castes brahmanes de Boston qui ont fait fortune dans le commerce de l'opium, y compris les Delanos et autres ainsi que le Syndicat de Rockefeller, composé du réseau Kissinger, qui dirige la Rockefeller Bank, Chase Manhattan Bank, American Express ; et qui n’est rien de plus qu’une image actuelle des anciens représentants de Rothschild aux États-Unis comprenant Kuhn, Loeb Company et Lehman Brothers.

Il est à noter que le Syndicat de Rockefeller se trouve tout en bas de la liste dans la structure financière du monde.

Pourquoi alors est-elle si important ?

Bien qu'il ne soit pas le facteur crucial de la décision financière en Occident, il s'agit toutefois du véritable mécanisme de contrôle du fonctionnement de la colonie américaine. La famille Rockefeller elle-même, comme les Morgans, les Schiffs et les Warburgs a perdu de son importance, mais le système créé en leur nom tourne à plein régime, en conservant toutes les fonctions pour lesquelles il a été organisé. Celui qui a mis en place la Commission Trilatérale, David Rockefeller, a opéré comme un facteur international pour l'Ordre Mondial, principalement en s'attelant à faire passer des instructions au bloc communiste, soit directement à New York, soit en se rendant sur place.

Extraits du livre d'Eustace Mullins, Meurtre par injection - Histoire de la conspiration médicale contre l'Amérique.

Ce livre, écrit Eustace Mullins, "résultat de quelque quarante années de recherche, constitue le prolongement logique de mes précédents travaux: la mise au jour du contrôle international de l'émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d'organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique - les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en œuvre ; et maintenant, la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains. Malgré le grand pouvoir exercé par ses dirigeants cachés, j'ai découvert qu'un seul groupe a le droit de vie et de mort sur les médecins américains de notre nation."

PDF gratuit

lundi, février 08, 2021

Je n'aime pas la police de mon pays

« Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter des armes ne doit pas être transgressé. »
Deuxième amendement de la Constitution des États-Unis.

(1:49)

"(...) il est impossible de ne pas réagir face aux insupportables bavures policières, restées impunies sous la droite comme sous la gauche. Cela ne peut que révolter, car ce qui ne provoquait pas trop de réaction sous la dictature de Vichy, à l’ombre de l’occupant nazi, ne peut rester sans la moindre riposte alors que nous sommes censés être en régime démocratique." (Maurice Rajsfus)


Il convient de poser la question essentielle. L’homme a-t-il besoin de disposer d’une police répressive ?

A-t-il besoin de se rassurer ou l’a-t-on convaincu de la nécessité de songer à sa sécurité ?

Il ne peut y avoir de réponse précise à ces interrogations. Plus certainement, cette force de l’ordre a été imposée, dans le même temps qu’était expliquée l’urgence de protéger un bien susceptible d’exciter la convoitise. On a persuadé le citoyen qu’il lui fallait se défendre et, à cette fin, quoi de plus utile que ces hommes armés en capacité de protéger ceux qui vivent au pays de la liberté ? Accepter cette explication, c’est estimer cohérente l’origine de la féodalité née dans le haut Moyen Âge du fait de ces hommes d’armes qui s’installaient brutalement dans un lieu, imposant leur présence par la force, expliquant aux paysans et aux villageois qu’ils étaient là pour les défendre. En échange, bien entendu, du versement de la dîme dans le meilleur des cas, du pillage systématique plus généralement.

Comme nous n’en sommes plus aux temps barbares, il paraîtrait naturel de gérer paisiblement nos problèmes existentiels, sans être constamment épiés, en échange d’une protection approximative. Il faut bien nous convaincre que le policier est loin d’être ce médiateur en capacité de calmer les conflits pouvant intervenir dans une société où les différends seraient d’ordre mineur. Ce qui n’est pas toujours le cas, mais la présence insistante de ces civils en uniforme et lourdement armés ne peut qu’exacerber les simples disputes. C’est ensuite la démonstration de l’absurde nécessité d’une permanence de
l’autorité qui protégerait l’État et les citoyens.

Depuis la nuit des temps, on a expliqué au bon peuple qu’il n’est pas suffisamment adulte pour assurer sa propre sécurité. Tout en paraissant négliger le fait que l’insécurité naît, le plus souvent, de conflits sociaux dont la responsabilité incombe à ceux qui, par la suite, ne tarderont jamais à faire appel aux forces de l’ordre. D’où cette complicité de fait entre oppresseurs légaux et mercenaires, toujours disponibles pour soutenir les mauvaises causes.

De toute éternité, ceux qui ont été chargés de rassurer l’ensemble de la société se sont sentis indispensables pour conforter l’ordre établi. Les mêmes devaient intégrer la certitude qu’ils protégeaient surtout les intérêts particuliers de ceux qui les missionnaient pour maintenir l’ordre. Quel regard le policier peut-il jeter sur une population qu’il peut réprimer à chaque réquisition ? À l’école de police, on lui a appris à évacuer tout sentiment humanitaire. Il se doit d’être neutre dans son comportement, paraît-il, mais ce n’est que rarement le cas. Ce qui signifie très clairement qu’il doit s’abstenir de tout commentaire sur la politique répressive dont il est le fidèle exécutant. Nul ne l’a obligé à endosser la livrée de serviteur de l’État. S’il n’est pas satisfait de la tâche obligée, nul ne le retiendra, mais il faut bien constater que peu de ses collègues choisissent de retourner au chômage ou à une activité rémunérée au Smic. En fait, non seulement les départs sont rares, mais, en période de crise, on se bouscule aux concours d’entrée dans les écoles de police. C’était le cas au temps de l’État français de Pétain. Cela n’a pas varié : sous la République française de Nicolas Sarkozy et de François Hollande
(et de Macron), la mentalité des candidats est pratiquement identique. En 1940, comme en 2012, (comme en 2021) c’est le même regard mauvais porté sur leurs contemporains par les serviteurs de l’ordre, le même zèle apporté à l’exécution des tâches les plus nauséabondes. C’est soi-disant en toute neutralité que le policier interpelle, place en garde à vue, fait emprisonner, expulser, et, le cas échéant, déporter comme jadis. Ce n’est pas son affaire, car il s’efforce de croire qu’il ne fait qu’obéir aux ordres reçus. Comment pourrait-il en aller différemment ? S’il a fait le choix d’entrer dans la police, ce n’est pas pour jouer les enfants de chœur, n’est-ce pas ? Peut-être même s’acharne-t-il sans joie sur sa victime du moment… mais il s’est accoutumé au travail bien fait.

La police ne supporte pas les critiques. Les auteurs de bavures s’appliquent d’ailleurs à faire durer la procédure, espérant bénéficier de la clémence de la Justice. Plus le temps passe, moins ils s’estiment coupables. Au-delà, il n’est pas convenable de rappeler les brutalités policières et moins encore le nombre de victimes dues à leur activité. Ne pas tenir compte de cette volonté de censure relèverait de l’insulte faite à la police. [...]

Le policier aimerait bien être convaincu de l’importance de son rôle social, mais il n’y croit guère. Pourquoi lui aurait-on enseigné les gestes brutaux si c’était pour garder ses mains dans les poches ? On l’a persuadé qu’il ne pouvait être qu’un médiateur violent, disposant d’un pouvoir discrétionnaire sur une population qui ne peut que le subir. Comment le policier pourrait-il ignorer qu’il n’a pas revêtu l’uniforme bleu pour créer du lien social ? Combien de fois, du ministre de l’Intérieur à ses instructeurs, ne lui a-t-on pas répété qu’il n’avait pas vocation à suppléer les assistantes sociales ? Son rôle est de constater des délits et de les réprimer. Il sait qu’il n’est pas là pour plaire, mais ne comprend pas qu’il puisse être détesté…


PDF gratuit


dimanche, février 07, 2021

Sachants et Connaissants


(10:17)

L'EDITO de Prune : O savoir


La science "n’est pas une interrogation idéalisée de la nature par des serviteurs dévoués de la vérité, mais une activité humaine gouvernée par les passions humaines ordinaires comme l’ambition, la fierté et la cupidité, tout autant que par toutes les vertus dont on glorifie les hommes de sciences".



Les sociologues se sont penchés sur la communauté scientifique, la décrivant comme une association de confrères voués à un objectif commun, la quête de la vérité. Mais ce n’est là qu’un de ses aspects. La recherche scientifique est aussi une course, une compétition acharnée dans laquelle des individus luttent pour la première place – car si on n’en a pas la priorité, la découverte est un fruit amer.

Soumis à la pression de la concurrence, certains chercheurs cèdent à la tentation de prendre des raccourcis, d’améliorer leurs données, de trafiquer leurs résultats, et même de frauder ouvertement.

Si dans un certain sens, la science peut être considérée comme une communauté, sous un autre angle tout aussi important, elle constitue un système de célébrité. L’organisation sociale de la recherche est conçue pour encourager l’apparition d’une élite au sein de laquelle le prestige ne résulte pas uniquement de la qualité des travaux, mais également du rang occupé dans la hiérarchie scientifique.

Les membres de cette élite contrôlent l’attribution des récompenses scientifiques et, par l’intermédiaire du contrôle des pairs, ont une voix prépondérante dans la répartition des ressources scientifiques.

Comme les usines à articles des chefs de labo, ce système de célébrité favorise la recherche de la gloire personnelle au détriment de la recherche de la vérité. Et dans la mesure où il accorde aux travaux de l’élite une importance injustifiée et une immunité à l’égard des critiques approfondies, ce système interfère également avec les mécanismes normaux d’appréciation collective des résultats. Certes les membres de l’élite scientifique ne peuvent être tenus directement responsables des cas de fraude qui apparaissent très régulièrement dans les institutions d’élite de la science, mais ils sont à la fois le produit et les bénéficiaires d’une organisation qui favorise le carriérisme et suscite les tentations et les occasions de frauder. [...]

La science n’est pas un corpus abstrait de connaissances, mais l’acte de compréhension de la nature par l’homme. Elle n’est pas une interrogation idéalisée de la nature par des serviteurs dévoués de la vérité, mais une activité humaine gouvernée par les passions humaines ordinaires comme l’ambition, la fierté et la cupidité, tout autant que par toutes les vertus dont on glorifie les hommes de sciences. Mais en science comme ailleurs, il y a une marge étroite entre la cupidité et la fraude. Habituellement, les déformations se limitent à édulcorer ou enjoliver des données ; moins souvent à frauder ouvertement.

« La vérité est fille non de l’autorité, mais du temps », disait Bacon. À maintes reprises, la vérité a été trahie par les scientifiques soit involontairement, soit par intérêt personnel, soit encore parce qu’ils pensaient mentir au nom de la vérité.

Les autorités scientifiques affirment que la fraude n’est rien de plus qu’un opprobre éphémère jeté à la face de la science. Mais ce n’est qu’en reconnaissant que la fraude est un phénomène endémique que l’on pourra comprendre la véritable nature de la science et de ses serviteurs.

Extraits du livre de William Broad et Nicholas Wade, "La souris truquée - Enquête sur la fraude scientifique".


La Souris truquée
Enquête sur la fraude scientifique
PDF gratuit


samedi, février 06, 2021

Marcel sur Obama, Loukachenko, Karine Lacombe, Fourtillan, les étudiants...

 

La vidéo de Marcel censurée par YouTube
(Le mondialisme est clairement une dictature).

En ce qui concerne vos témoignages, vous pouvez nous contacter via cette adresse mail pour en savoir plus : 

contact.lemediaen442@protonmail.com 

Mes amis, 2021 va être une année formidable pour combattre, une année où les vérités vont éclore et où nos rangs vont grandir. Chaque jour apporte son lot de comploteurs, car il ne s'agit plus de discutailler sur les complotistes mais bien des comploteurs, car ce sont bien eux à la manœuvre pour soumettre les peuples du monde.

Mon équipe et moi-même, travaillons tous les jours à l'amélioration du site afin que vous puissiez avoir des informations de haut niveau. Tous les pôles (dessin, rédaction, réseaux sociaux, musique...) sont structurés, fonctionnels et se professionnalisent. Nous sommes maintenant plus de 60 à travailler en équipe et si tu veux nous rejoindre selon tes compétences, voici l'adresse mail pour nous contacter via mon bras droit, Jordan :

 lemediaen442@protonmail.com

L'équipe d'en face est très bien équipée, nous devons nous organiser, nous avons besoin de vous afin que "Le Média en 4-4-2" détrône les Médias du pouvoir.

Nous vous préparons de belles surprises et je ne vous vends pas du rêve, je tiens TOUJOURS mes promesses, TOUJOURS !

Merci à vous tous et soyez des combattants, pas des chochottes !

Marcel

vendredi, février 05, 2021

De l'ordo ab chaos au nouvel ordre mondial



(18:47)


Vient de paraître, de Philippe Ploncard d'Assac :
DE L'ORDO AB CHAOS AU NOUVEL ORDRE MONDIAL


Le complot mondialiste messianique


L'origine du complot mondialiste ne peut se comprendre si l'on ne remonte pas à l'évènement majeur de l'histoire du peuple juif :

Le venue du Christ et le refus des grands prêtres de le reconnaître comme Messie, car il ne leur apportait pas le pouvoir sur le monde qu'ils en attendaient.

De ce rejet a émergé progressivement dans les hautes sphères du judaïsme une nouvelle notion selon laquelle c'est le peuple juif lui-même qui est son propre Messie et celui de l'univers, d'où la mission de celui-ci de dominer le monde.

C'est cette paranoïa de domination mondiale qui explique bien des évènements tragiques de l'histoire de l'humanité :

- La Crucifixion,

- L'émergence de l'Islam, enfanté par l'influence judaïque sur Mahomet alors au service du grand rabbin de La Mecque et de Médine, utilisé pour contrer l'essor du christianisme,

- La montée en puissance pendant des siècles de la puissance économique juive,

- Les grandes hérésies suscitées, telles le protestantisme,

- La Révolution dite française, et l'essor de la maçonnerie,

- La 1ère et la 2ème guerre mondiale, accompagnées de toutes les provocations nécessaires à l'éclosion de ces conflits,

- Le modernisme maçonnique, infiltrant l'Église,

- Les influences gnostiques issues de la kabbale talmudique, de la Nouvelle-Droite jusque chez certains "traditionalistes",

- Les provocations actuelles, telles le 11 septembre 2001, tendant à imposer le mondialisme cosmopolite, sur le monde,

- Le krach financier de l'automne 2008 au but identique.

(On peut ajouter à la liste de Philippe Ploncard d'Assac, écrite en 2011, le Coronavirus, la "pandémie", évoquée des années auparavant par le talmudiste Jacques Attali, prétexte à la "mise en place d'un gouvernement mondial"...)

Tout ce processus politique, économique et religieux tend à imposer le vieux rêve messianique de la République universelle des hauts conjurés de la Révolution dite française, les Weishaupt, Kloots et autre Ramsay.

La montée en puissance cosmopolite a suivit la puissance politique du moment à laquelle elle s'est liée avant de la dominer.

À la fin du 19ème siècle, ce que l'on appelait "le dessein anglais" allait poursuivre cette vision mondialiste de la Révolution dite française, téléguidée, comme on l'a vu, par la maçonnerie anglaise et l'argent, anglais, protestant et juif.

C'est ce travail subversif qui allait, à l'avènement de la Révolution, ouvrir les portes à l'émancipation du monde juif.

De Frankfort, Trèves et autres places fortes de la finance d'alors, la finance juive allait migrer vers la City de Londres, d'où la famille Rothschild allait renforcer sa fortune à l'occasion de la défaite de Waterloo dont elle avait sut tirer parti par ses espions.

Dès lors la finance cosmopolite allait appuyer et s'appuyer, dès la fin du 19ème siècle sur la puissance de l'empire colonial mercantile britannique naissant.


Extrait du livre de Philippe Ploncard d'Assac, 
Le complot mondialiste

PDF gratuit ICI.


Amazon aurait déjà "effacé" le livre DE L'ORDO AB CHAOS AU NOUVEL ORDRE MONDIAL, une censure qui accrédite les analyses de Philippe Ploncard d'Assac sur la dictature mondialiste.

Pour se procurer le livre :


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Pour le rabbin Dynovisz, qui enseigne le judaïsme, la Hassidout, le Zohar et la Kabbale, les démocraties occidentales sont à l'origine du complot mondialiste.

Vidéo : 

La conspiration, c'est pas nous...


jeudi, février 04, 2021

Lorsqu'une loge maçonnique sert de QG pour un projet d'assassinat

(5:00)

Affaire Marie-Hélène Dini

L’affaire sent le soufre, puisqu’elle mêle d’anciens des services secrets français, la DGSE, la DGSI, et se serait nouée au sein d’une loge maçonnique de Puteaux (Hauts-de-Seine). C’est au sein de cette loge, comme l’aurait reconnu un des participants, que le « commanditaire » aurait orchestré l’opération. Selon nos informations, deux autres « maçons » de la loge en question ont été placés en garde à vue la semaine dernière.



Nous constatons que la Franc-maçonnerie possède une face pouvant être qualifiée de "lumineuse", celle qu'elle aime mettre en avant dans le domaine public et profane : son grand "humanisme" et sa très généreuse "fraternité". En effet, la philanthropie (culturelle, scientifique et humanitaire) est un des grands piliers de la secte maçonnique ; c'est la Franc-maçonnerie sous ses plus beaux apparats ; tandis que paradoxalement les affaires crapuleuses, voir criminelles, sont pléthores chez les francs-maçons.

Voir par exemple des membres du Rotary Club (groupe crypto-maçonnique, fondé et composé principalement de francs-maçons) vendre des boules de sapin de Noël dans une galerie de supermarché au profit d'enfants nécessiteux est "le côté lumineux des frères"… tandis que certains témoignages viennent troubler ce paisible décors en rapportant des viols en réunion sur des enfants lors de rituels, allant jusqu'au sacrifice de sang, impliquant des membres de ce même Rotary Club.

Selon les nombreux témoignages, tout porte à croire que ce "côté obscur" de la Franc-maçonnerie impliquerait du "pédo-satanisme" consistant à pratiquer les pires abominations sur de jeunes enfants
(abus rituels). Les rituels servant de magie sexuelle pour les bourreaux qui font passer l'enfant par des traumatismes extrêmes servant "d'initiation" : c'est à dire provoquer de profonds états dissociatifs et ainsi "déchirer son âme", fractionner sa personnalité pour le contrôler totalement.

Extrait du PDF gratuit (18 pages) d'Alexandre Lebreton :

Franc-Maçonnerie et Schizophrénie, Dr Jekyll & Mr Hyde



Livre d'Alexandre Lebreton :

Comprendre les arcanes du pouvoir

Le mot Schizophrénie provient du grec schizein (fendre) et phrên (esprit), il se traduit littéralement par esprit fendu, la fragmentation de l'esprit, la dualité. Plusieurs choses permettent de relier la Franc-maçonnerie à la schizophrénie et à la notion de dualité, à commencer par le symbole fort des loges le pavé mosaïque en carreaux noirs et blancs, sur lequel les initiés prêtent serment le choc des contraires, le multiple et l'Un, le bien et le mal interpénétrés et inséparables...

La Franc-maçonnerie est double, elle possède deux natures en une seule. Les francs-maçons le disent eux-mêmes, tout ce qu'ils accomplissent en loge possède un double sens. Les rituels ont une signification autre que celle qu'ils auraient dans le monde profane (le monde des non-initiés). Le Vénérable Maître frappe un coup de maillet en début de tenue de loge et déclare Nous ne sommes plus dans le monde profane , sous-entendu nous sommes maintenant dans un monde sacré. Le Vénérable Maître pense ainsi sanctifier l'espace et le temps. En loge, le sens profond des actes et des paroles est caché, tout est différent, tout est fractionné et les mots n'ont plus le même sens, même les âges, les heures et les dates diffèrent. Les individus fraîchement initiés ne peuvent percevoir et comprendre la nature profonde du culte auquel ils ont déjà pourtant prêté serment et allégeance...


mercredi, février 03, 2021

GAFAM, taisez-vous !





Dans "Rocky VI", le boxeur désormais sexagénaire donne ce conseil précieux à son fils, Robert Balboa Jr : 

« Ce qui compte, ce n’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu peux encaisser, tout en continuant à avancer. » 

Alors que l’offensive générale du Deep State vient d’être lancée au niveau mondial, l’essentiel est de lui nuire le plus possible, en multipliant les petites coupures pour le saigner à blanc. Comme disait l’un des personnages de "La Brigade", le roman d’Harold Armstead Covington : 

« Nos attaques, camarade Jodie, ce sont des piqûres de moustique. Mais des milliers de petites piqûres peuvent lentement saigner la Bête à mort ». 

De même dans le roman "Un Lointain Orage" : 

« Mais le fait était qu’ils étaient tout simplement trop nombreux, et nous pas assez, pour que nous les poussions entièrement dehors. Comme les Arabes du Proche-Orient, nous ne pouvions pas remporter une bataille frontale et rangée, et nous savions que nous y essayer serait du suicide. Alors, nous nous accrochions à leurs flancs, et entaillions leurs jarrets, comme des loups entaillent des élans, des bisons, ou du bétail en troupeau, attendant que la Bête perdît assez de sang par toutes ces entailles pour s’affaiblir, puis s’effondrer. »

Il est évident que le point faible principal des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) est l’argent, et tout ce qui peut leur en faire perdre est bon à prendre. S’il est impossible de se livrer au boycott de ceux qui les sponsorisent, on peut déjà leur faire perdre de l’argent en manifestant ouvertement notre désir de se passer d’eux, sapant la confiance des investisseurs.

Voici de nouvelles alternatives pour remplacer ces suppôts de la tyrannie :

Facebook : il peut être remplacé par MeWe, un réseau social californien.

Twiter : il peut être remplacé par Parler, une application américaine que les milices du régime ont essayé de supprimer, menaçant même de mort son patron.

YouTube : il peut être remplacé par Rumble ou Odysee (Mise à jour : 
Odysee est maintenant la propriété de Google.).

Chrome : il peut être remplacé par Brave.

Google : il peut être remplacé par Duck-DuckGo, un moteur de recherche pennsylvanien.

Gmail : il peut être remplacé par Protonmail, un prestataire suisse.

Whatsapp : il peut être remplacé par Signal, ce qui est en cours pour des milliers de personnes, à tel point que Whatsapp a décidé de repousser sa nouvelle charte.

Suite à ses purges politiques, Twitter a perdu 12 % de sa valeur. La somme combinée des pertes de Mark Elliott Zuckenberg et de Jack Patrick Dorsey a dépassé les 50 milliards de dollars. On ne lâche rien !

H. de F., Rivarol du 27 janvier 2021.

mardi, février 02, 2021

VADE-MECUM DE SURVIE URBAINE

Certaines personnes seront choquées d'apprendre qu'il existe une littérature abondante sur les tactiques de guérilla spécialement écrite dans l'éventualité où nos propres forces de l'ordre tyranniseraient la population et la soumettraient à des lois injustes.

(3:56)

L'arrestation brutale d'une fillette de neuf ans aspergée de gaz poivré aux Etats-Unis.


"(...) il est temps de s’entraîner au combat urbain ainsi qu’à la survie dans nos villes et nos maisons, écrit Eric Haffray dans son VADE-MECUM DE SURVIE URBAINE EN ZONE OCCUPÉE."


Extrait :

L’ACTION PSYCHOLOGIQUE


DÉFINITION : propagande insidieuse tentant à accréditer dans la population certaines idées. L’agresseur en fera grand usage, c’est devenu une arme incontournable tout aussi efficace que les fusils.
[...]

Il faudra donc prévoir une cellule informatique de propagande dans la résistance pour contrer les infamies que fera circuler l’ennemi.

Là vous pouvez utiliser des adolescents (filles ou garçons), comme les courriers de la résistance en 39/45. Mais il devra toujours y avoir un contrôleur, et utiliser un code. (...)

L’INTOX : une presse écrite et audio seront nécessaires sur le terrain : la bataille peu durer ! Une radio clandestine qui diffuse des informations sur les combats et sur la population civile et de la musique nationale pour raviver l’élan patriotique. Elle peut aussi diffuser des messages tactiques codés, comme le faisait Radio Londres. Des affiches collées sur les murs des villes, donnant des nouvelles de la situation et des combats, annonçant les morts ennemies.

Utiliser les talents des jeunes « tagueurs », ils nous ont pourris nos villes, avec leurs dessins, et bien qu’ils taguent des slogans patriotiques, qui feront merveille pour exacerber l’occupant (Belfast en est couvert). La moindre surface libre face à l’ennemi devra être peinte.

LA PROPAGANDE : l’ennemi appliquera des combines démagogiques en distribuant des vivres par exemple ! Il faudra les contrer à chaque reprise, attaquer les points de distribution, récupérez la marchandise, la contrôler (poison, virus et fraîcheur), puis la dispatcher à la population, le bénéfice ira au profit de la résistance.

Il faudra avoir une équipe de snipers avec pour mission la destruction des haut-parleurs de propagande ennemie. Il faut freiner le déversement de mensonges, à force ils peuvent devenir un fait réel dans l’esprit des gens.

Il faudra malheureusement châtier les traîtres. [...]

Les moyens sont multiples, pendant la première guerre du golf, des haut-parleurs diffusaient des discours de paix en arabe, largués par avion sur la ligne de front, des petits papiers écris en arabe avec des dessins amicaux irako-américain.

En ex Yougoslavie la coalition avait mis en place une station radio avec un programme très ciblé, d’une puissance qui couvrait les éventuelles autres stations. Pour le Kosovo, ils brouillaient toutes les chaînes de TV et diffusaient leurs propres programmes.

Pour la seconde guerre du golf, se fut le grand show, une partie de la presse écrite américaine et des chaînes de télévision furent utilisées pour intoxiquer avec des propos sophistes le reste du monde, bien qu’une grande partie des individus l’on remarqué, la manipulation fut rentable.

Attention aux messages subliminaux dans les informations !


Vade-mecum de survie urbaine en zone occupée

PDF GRATUIT 

En anglais, le livre de Ragnar Benson :

A Citizen's Guide to taking Out Big Brother's heavy 
(version papier)

PDF gratuit 

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Vidéo : Terrorisme ou résistance ?


lundi, février 01, 2021

Le pouvoir rend fou, cerveaux malades et obsessions anales


La Chine recourt de façon croissante aux dépistages Covid-19 rectaux pour tester les sujets à risque et les voyageurs arrivant de l'étranger, une prétendue méthode plus fiable mais vivement critiquée par les internautes en Occident.

"Selon la télévision publique chinoise CCTV, dans plusieurs quartiers de Pékin où des malades ont été récemment découverts, les résidents ont été soumis à un écouvillonnage rectal.

La mesure est également imposée aux personnes en quarantaine obligatoire dans les hôtels, notamment les voyageurs en provenance de l'étranger.

Le dépistage rectal "permet d'augmenter le taux de détection des personnes infectées" car le coronavirus reste présent plus longtemps dans l'anus que dans les voies respiratoires, a expliqué à CCTV le médecin Li Tongzeng, de l'hôpital You'an de Pékin. Sur internet, les réactions oscillent entre l'effroi et la dérision." (Source)

Une youtubeuse a réalisé une vidéo sur le dépistage rectal qui serait une des 3 phases de l'initiation satanique : SOUMISSION - PORT DU MASQUE (contrôle du verbe et du prâna) - PENETRATION ANALE.

La youtubeuse prévient : "Attention, cette vidéo contient des propos ouvertement vulgaires et grossiers et ne convient pas aux jeunes publics et aux personnes délicates. Avec nos excuses. C'est la réalité, qui est brutale. Ce sont nos maîtres, qui sont vulgaires et indignes. J'y peux rien, moi ! Désolées pour les âmes sensibles. Si ça ne tenait qu'à moi..."

(2:30)


Les cérémonies sexuelles des satanistes sont principalement anales et elles ne se limitent pas à la sodomie. Elles incluent des pratiques humiliantes comme l'anulingus ou la coprophagie. Le fisting, insérer un poing et un avant-bras lubrifiés dans l'anus ou en utilisant des godes ou des perles anales, est connu du public français depuis la diffusion d'un reportage sur La Fistinière, une maison d'hôtes gay destinée à la pratique du fist-fucking.

Vernon H. Geberth, officier supérieur à la retraite du New York City Police Department ou NYPD (le service de police de la ville de New York) révéla qu'une organisation, F.F.A., Fist Funckers of America, s'est faite connaître à l'occasion d'un congrès à San Francisco où elle a montré un film de formation sur les techniques de fisting. Parfois, de petits animaux vivants comme les gerbilles sont insérés dans le canal anal et on laisse le rongeur s'extirper de l'orifice. Jusqu'ici, il n'y a eu aucune plainte officielle de militants des droits des animaux. (Source : le livre de Randy Engel, The Rite of Sodomy.)

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A cause de leurs crimes, les psychopathes au pouvoir ne peuvent plus reculer. Ils sont obligés de finaliser la dictature satano-mondialiste...

Témoignage : 

Français, le gouvernement fait euthanasier vos parents âgés
https://bouddhanar-12.blogspot.com/2021/01/francais-le-gouvernement-fait.html

Il faut se réveiller :
 
Pour maintenir les populations dans la passivité, on répand la rumeur des sauveurs de l'humanité. Des généraux américains seraient  à la tête d'une ALLIANCE militaire constituée des armées de 7 ou 8 nations afin de mettre un terme aux crimes des satano-mondialistes. 

En réalité, les généraux américains sont aux ordres de la finance apatride et de ces satano-mondialistes, comme le général Colin Powell qui avait menti à l’ONU sur les armes de destruction massive des Irakiens, provoquant ainsi une guerre inique. Powell n'a jamais été inquiété par la justice américaine. Depuis le 11 septembre 2001, l
es généraux américains ont dirigé des coalitions militaires d'invasion et d'occupation de plusieurs pays.


"L'Occident moderne est la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde"

Une performance d'art occidental : Être traîné avec une bougie dans l'anus sur un sol inondé et sale. La Russie est en train de crée...