dimanche, juillet 15, 2018

La super-classe mondiale contre les peuples

M. Geoffroy : "pour s’affranchir de la super-classe mondiale, il faut être une puissance".


Michel Geoffroy, essayiste, contribue au travail de la Fondation Polémia. Avec ce livre, il s’attaque à un sujet fondamental, cette super-classe mondiale agissant systématiquement contre les peuples, même lorsqu’elle prétend faire de l’action humanitaire.

L’auteur commence par définir cette super-classe mondiale et expliquer ce qui la caractérise. Il s’agit bien d’une classe, au sens sociologique du terme, celle d’un groupe de super-riches présentant des traits particuliers et durables qui le distinguent des autres. Elle se situe au-dessus des anciennes élites nationales et hors de portée, voire de la vue, des peuples. Elle est transnationale et son mode d’action, comme son projet, est mondial. Michel Geoffroy livre ensuite quelques exemples de personnalités qui composent ce cercle de l’élite économique et financière mondiale et examine leurs liens avec un second cercle, celui des médias et de la culture. Cette super-classe mondiale étant propriétaire de tous les médias dominants et finançant l’essentiel de ce qui se fait dans le domaine culturel relayé par les médias, elle contrôle les leviers d’influence majeurs. Pour compléter le tableau, ces oligarques mondialistes sont également aux commandes de myriades d’organisations non gouvernementales et de fondations diverses participant à l’entreprise de subversion générale à laquelle nous assistons en tous domaines.

Ce livre aborde aussi le projet eschatologique de la super-classe mondiale. L’une des biographies les plus connues du milliardaire mondialiste George Soros est d’ailleurs intitulée "Soros : The Life and Times of a Messianic Billionaire".

L’aspect totalitaire du plan de cette super-classe ne fait aucun doute. Du cosmopolitisme au transhumanisme, elle impose toutes ses volontés à la façon d’un rouleau compresseur prêt à écraser toute opposition.

Pourtant, ce livre tient à se conclure sur une touche positive en soulignant le réveil de certains peuples à travers ce que la presse appelle les « populismes ». Mais l’auteur note aussi que les oligarques mondialistes accélèrent la mise en place de leur gouvernance mondiale. Le temps est compté.

Source :


La Super Classe Mondiale (SCM) n’est pas un fantasme : elle existe bien et elle a pris le pouvoir en Occident et notamment en Europe Occidentale.

Elle est propriétaire des médias, elle finance le microcosme culturel, les ONG et les groupes de pression et elle impose partout une politique qui va à l’encontre de la volonté du corps électoral. En France elle a réussi à faire élire son candidat lors de la présidentielle de 2017 : Emmanuel Macron [...]

La SCM incarne aussi le retour d’une vieille eschatologie: la prétention hérétique de bâtir le paradis sur terre et d’unifier le genre humain, sans attendre la venue ou le retour du Messie, prétention qui a été reprise par le messianisme protestant et sa croyance en la destinée manifeste des anglo-saxons. Cette eschatologie fonde le projet cosmopolite ou mondialiste de la SCM, qui se prétend élue pour ce faire.


Ce projet est bien un complot contre la liberté, la souveraineté et l’humanité de l’homme. Car le gouvernement mondial n’ouvrirait pas la voie à une « démocratie planétaire » mais au contraire à la dictature mondiale de l’oligarchie. En accusant les autres de complotisme la SCM pratique en réalité l’inversion accusatoire.

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https://www.polemia.com/super-classe-mondiale-contre-peuples-dirige-reponse/



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Michel Geoffroy

En Occident on ne vit plus en démocratie mais en post-démocratie : les gouvernements ne gouvernent plus mais obéissent aux marchés et aux banques, les puissances d'argent dirigent les médias et les peuples perdent leur souveraineté et leurs libertés. Pourquoi ? Parce que depuis la chute de l'URSS le pouvoir économique et financier s'affranchit du cadre national et veut gouverner à la place des Etats. Parce que la fin du communisme nous a libérés de la Guerre froide, et lui a succédé la prétention obstinée du messianisme anglo-saxon à imposer partout sa conception du monde, y compris par la force. Ce double mouvement s'incarne dans une nouvelle classe qui règne partout en Occident à la place des gouvernements : la superclasse mondiale. Une classe dont l'épicentre se trouve aux Etats-Unis mais qui se ramifie dans tous les pays occidentaux et notamment en Europe. Une classe qui défend les intérêts des super riches et des grandes firmes mondialisées, sous couvert de son idéologie : le libéralisme libertaire et cosmopolite. Une classe qui veut aussi imposer son projet : la mise en place d'un utopique gouvernement mondial, c'est-à-dire la mise en servitude de toute l'humanité et la marchandisation du monde. Une classe qui manipule les autres pour parvenir à ses fins, sans s'exposer elle-même directement. Avec La Superclasse mondiale contre les peuples, Michel Geoffroy dresse un portrait détaillé, argumenté et sans concession de la superclasse mondiale autour de cinq questions : que recouvre l'expression superclasse mondiale ? Que veut-elle ? Comment agit-elle ? Va-t-elle échouer dans son projet de domination ? Quelle alternative lui opposer ? Un ouvrage de référence pour comprendre les enjeux de notre temps.

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