Le pontife de 85 ans est apparu dans un fauteuil roulant.
Le pape condamne les livraisons d’armes en Ukraine et est tout disposé à rencontrer le président de la Russie :
« J’ai demandé au cardinal Parolin, après vingt jours de guerre, d’envoyer le message à Vladimir Poutine disant que j’étais prêt à aller à Moscou. Bien sûr, il était nécessaire que le chef du Kremlin accorde un créneau. » Au grand désarroi du président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, qui souhait être le premier à rencontrer le Souverain Pontife, ce dernier veut absolument — dans un premier temps — s’entretenir avec Poutine : « Je ne vais pas à Kiev pour l’instant […] Je sens que je ne dois pas y aller. D’abord je dois aller à Moscou pour rencontrer Poutine. Mais je suis aussi un prêtre, que puis-je faire ? Je fais ce que je peux. Si Poutine ouvrait la porte… »
Conscient des tenants et aboutissants, le pape pointe du doigt la colère russe à cause des « aboiements de l’Otan à la porte de la Russie » qui ont poussé le Kremlin à entrer en guerre : « une colère dont je ne sais dire si elle a été provoquée, mais peut-être facilitée ».
Conscient des tenants et aboutissants, le pape pointe du doigt la colère russe à cause des « aboiements de l’Otan à la porte de la Russie » qui ont poussé le Kremlin à entrer en guerre : « une colère dont je ne sais dire si elle a été provoquée, mais peut-être facilitée ».
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