Jesse Jill :
« Ceci est une véritable boîte de Pandore, une boîte diabolique dans laquelle nous allons découvrir la plus terrible ignominie fomentée par les gouvernants de nos supposées démocraties depuis 30 ans »
« Ceci est une véritable boîte de Pandore, une boîte diabolique dans laquelle nous allons découvrir la plus terrible ignominie fomentée par les gouvernants de nos supposées démocraties depuis 30 ans »
(24:18)
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BONUS
Le complexe mondial d'armes biologiques du Pentagone est un fait
Alors que la Chine est l'heureuse propriétaire d'un total de DEUX laboratoires BSL-4 (tous deux à l'intérieur de ses propres frontières), une vaste gamme de dizaines de laboratoires d'armes biologiques gérés par le Pentagone jonchent le paysage international. Il est difficile d'estimer combien exactement, comme l'a déclaré Alexei Mukhin (directeur général du Centre russe d'information politique) dans une interview en mai 2020 :
« Selon le ministère russe de la Défense, dans l'espace post-soviétique, 65 bio-laboratoires secrets américains fonctionnent : 15 – en Ukraine, 12 – en Arménie, 15 – en Géorgie, 4 – au Kazakhstan. Aux États-Unis, une telle activité est interdite. En conséquence, le Pentagone, dans ses propres lois, se livre à des activités illégales (dans l'esprit, pas dans la lettre). L'objectif est la création d'armes biologiques dirigées contre les peuples qui habitaient le territoire de l'URSS.
En 2018, la journaliste d'investigation Dilya Gaytandzhieva a documenté le budget de plusieurs milliards de dollars du Pentagone qui soutient les laboratoires d'armes biologiques dans 25 pays (et 11 aux États-Unis eux-mêmes), qui a augmenté de façon exponentielle depuis l'attaque à l'anthrax de décembre 2001, qui a tué cinq Américains et justifié une augmentation hyperbolique de la guerre des armes biologiques. passer de 5 milliards de dollars lorsque la Cheney's Bioshield Act a été adoptée en 2004 à plus de 50 milliards de dollars aujourd'hui.
De plus, un document politique d'octobre 2000 co-écrit par William Kristol, John Bolton, Richard Perle, Dick Cheney, Paul Wolfowitz, Elliot Abrams et Donald Rumsfeld intitulé Rebuilding America's Defenses (RAD) a explicitement déclaré que dans le nouveau siècle américain, "le combat aura probablement lieu dans de nouvelles dimensions : dans l'espace, le cyberespace et peut-être le monde des microbes… des formes avancées de guerre biologique qui peuvent « cibler » des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique du domaine de la terreur en un outil politiquement utile ».
