samedi, novembre 10, 2018

Pourquoi Macron a déclaré la guerre au populisme

Le populisme représente une menace pour le grand capital apatride.


Les populistes du réseau Europäische Aktion envisagent le t
ransfert de la monnaie et des médias dans la propriété du peuple.

"Tout d’abord, écrit Bernhard Schaub, il convient de rompre avec la superstition selon laquelle l’or a, à notre époque, encore quelque chose à voir avec la monnaie. 


La monnaie et sa stabilité est le miroir de l’efficience et de la solidité du crédit d’une économie nationale et ne nécessite en aucun cas la mise en rapport avec le stock des réserves d’or. Pour nous, l’argent doit être un réservoir de valeurs pour l’échange de marchandises et de prestations de services, non pas un objet de thésaurisation destiné exercer le pouvoir par des privés. Dans les cultures traditionnelles, l’or était l’expression de la sagesse et de la beauté des forces solaires cosmiques. Les vieux Germains le considérait comme propriété des dieux et méprisait sa possession par les hommes. Ainsi Fort Knox n’est qu’une caverne de brigands pour ce trésor des Nibelungen. Le dragon qui y repose, qu’il prenne garde ! Nous l’avons percé à jour : c’est la première étape de la dépossession du pouvoir du grand capital apatride.

La mesure suivante dans l’ordre des urgences est en même temps une évidence : le contrôle sur les banques d’émission, sur la circulation monétaire, la monnaie, la stabilité de celle‑ci, etc., passera de mains privées ou semi-privées de nouveau totalement à l’Etat. L’ère des manipulations monétaires opaques, des transactions financières et des sournoises manigances des fauteurs de guerres, par soif de pouvoir et d’argent, sera ainsi terminée : ce sera la deuxième étape de la dépossession du pouvoir du grand capital apatride.

Afin de rendre à l’argent le rôle ancillaire qui lui revient, l’économie privée, basée sur l’intérêt, devra avant tout être abolie. D’abord l’intérêt rend possible les revenus absurdes non issus d’un travail : il est ce qui permet que les riches de viennent toujours plus riches et les pauvres plus pauvres. Les mesures nécessaires sont aisées à exécuter quand les rapports de pouvoir auront changé : il suffira de retirer la protection juridique à la perception d’intérêts sur les affaires privées.

L’argent ne sera prêté qu’à des taux d’intérêt bas par des banques d’Etat et des banques coopératives. La taxe prélevée ira de la sorte à l’Etat, respectivement aux corporations du peuple, plutôt que dans la bourse de privés : ce sera la troisième étape de la dépossession du pouvoir du grand capital apatride.

Parallèlement à la réforme monétaire, il conviendra de procéder à une réforme foncière. Le sol, en tant que base naturelle précieuse et non multipliable, ne peut rester dans les mains de la meute des spéculateurs et abandonné à l’égoïsme des rapaces de la terre. La communauté a ici son mot à dire.

Les propriétaires du sol doivent à l’avenir s’appeler communes ou coopératives, qui remettront le pays à des personnes physiques et morales nanties des droits emphytéotiques de construction, d’usufruit et d’héritage. Tel était l’usage dans la vieille Germanie et tel est encore partiellement l’usage dans les corporations veillant sur les biens communaux en Suisse centrale. Ce n’est pas du bolchevisme : personne ne sera dépossédé de ses biens ni chassé de sa maison ou de sa ferme. Le paysan, l’entrepreneur ou le simple propriétaire d’une maison, restera propriétaire. Mais à l’avenir, il payera le loyer foncier à sa propre coopérative ou à sa commune de résidence plutôt qu’à la banque.

Ce ne seront donc pas seulement les intérêts du capital, mais aussi les loyers fonciers qui, par ces mesures, reviendront au peuple et ne finiront pas dans la poche des barons de la finance. Il est donc facile de calculer la quantité d’impôts qui sera épargnée : ce sera la quatrième étape de la dépossession du pouvoir du grand capital apatride.

À l’avenir, ne disposeront des médias que les corps constitués : corporations, chambres et institutions d’Etat, qui offriront évidemment aussi la possibilité de s’informer au travers des médias étrangers. C’est donc ainsi, tel qu’ils l’auront souhaité, que seront garantis aux citoyens informations et culture ; car la prétendue liberté de la presse s’est révélée, durant les deux siècles de son existence, comme la plus amère des illusions. Elle a permis aux plus riches du monde de s’approprier le monopole des médias et de réprimer depuis lors la variété des opinions pour les orienter à leur avantage. La manipulation du peuple par des agences douteuses, par des journalistes et des rédacteurs que personne ne connaît et que personne n’a choisi, s’est manifestée de manière croissante, dans les deux derniers siècles, par un puissant lavage des cerveaux. Il incombera donc à l’Etat et à ses institutions d’assumer à l’aide des médias une de leurs tâches les plus élevées.

Ce n’est que par ces mesures que la pluralité des opinions sera rendue possible, parce que la dictature sournoise du "politiquement correct" aura vécu : ce sera la cinquième et dernière étape de la dépossession du pouvoir du grand capital apatride."

Au transfert de la monnaie et des médias dans la propriété du peuple s'ajoutent 6 autres objectifs :
Rétablissement de la liberté d’expression 

Départ de toutes les troupes étrangères 

Rapatriement des immigrés d’origine extra-européenne 

Autodétermination pour les Allemands et les Autrichiens 

Création d’une confédération européenne 

Lutte contre la décadence et contre la destruction de la nature

Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...