dimanche, octobre 27, 2019

Nos politiques sont élus par 10% de la population

Durée 9:46

La faillite des élites

"(...) révoltes, refus, insurrections expriment tout simplement une sorte de bon sens prenant acte, d’une manière plus ou moins violente, de la fin d’un monde. Ce qui est la condition nécessaire à la Renaissance de l’être-ensemble. Ce qu’on appelle la société !

On peut caractériser cela par la belle expression de "sens commun". Il faut comprendre celle-ci d’une manière plénière : tous les sens, le sens de tous. L’entièreté de l’être individuel se fondant dans la globalité de l’être collectif.



Le matériel et le spirituel

Voilà ce qui, paradoxalement, permet de rappeler la dimension spirituelle qui est la cause et l’effet de tout soulèvement populaire contre le conformisme logique propre à ces élites ayant, on l’a souvent rappelé, le pouvoir de dire ce que devrait être le monde, et le pouvoir de faire ce que ce dernier pourrait être.

Nombreuses sont, contemporainement, les manifestations de ces explosions. Certes, celles-ci ne sont jamais pures. Voire bien équivoques parfois. Et, comme tout retour du refoulé, cela se fait, on ne le dira jamais assez, pour le meilleur et pour le pire ! Il n’en reste pas moins qu’il s’agit de désobstruer les chemins de pensée de leurs rigidités idéologiques. [...]



Le mépris du peuple


Il n’est pas nécessaire d’être grand clerc, il suffit même du simple bon sens pour ne plus supporter le ressassement des théories abstraites, les litanies de bons sentiments, la sempiternelle déclinaison des lieux communs déversée ad nauseam par l’establishment journalistique. Oui, tout cela donne la nausée, ou alors, pour reprendre une formule d’Homère, ces inepties suscitent un "rire inextinguible" n’hésitant plus à s’exprimer.

Le point commun de ces discours désincarnés est le mépris vis-à-vis du peuple. Toujours suspecté des pires choses. Et la stigmatisation n’étant jamais bien loin, la couleur jaune des « gilets » en révolte est, très souvent, perçue comme virant au « brun ». D’où le terme "fascisme", déconnecté de toutes références historiques, utilisé jusqu’à plus soif par de nombreux commentateurs sociaux."


Lire d'autres extraits du livre La faillite des élites de Michel Maffesoli (co-écrit avec Hélène Strohl) :


Macron est, dit Michel Maffesoli, "un président très instruit mais pas du tout intelligent."

Autrement dit, selon le célèbre refrain anti-Macron : "Emmanuel Macron, oh tête de con..." ici chanté par l’abbé Francis Michel dans son église du Planquay, située dans l’Eure.



Minc le traite de pute, Attali le méprise, et, au DÎNER DU CRIF, on l'a exhibé comme un trophée devant la télévision israélienne. Depuis, MACRON ose parler de l'Etat profond (talmudo-maçonnique... Chut !) et de l'immigration (mais sans contrecarrer le plan Soros d'invasion de l'Occident... Chut !). De plus, lui qui contrôle la justice (bafouant ainsi la Constitution), il n'a pas épargné la prison à Balkany, ce politicien adepte des préceptes talmudiques concernant l'art d'aider les goyim à vivre plus humblement avec moins d'argent...

A trois reprises en moins d'une semaine, le président Macron a dénoncé "l'État profond", coupable selon lui de résistances vis-à-vis de certains de ses choix stratégiques. Théorisée dans les années 1990, cette notion est très peu connue en France et semble plutôt connotée très à droite. En effet, Donald Trump et l’"alt-right" se sont appropriés ce concept, souvent sur fond de conspirationnisme." Marianne

 Le narcissique Macron peut-il comprendre qu'il n'est que le golem du pouvoir talmudo-maçonnique ?

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