lundi, avril 20, 2020

Derrière le coronavirus, une volonté délibérée de créer le chaos ?


Où sont passés les 193 milliards d'euros de la Sécurité Sociale ?

(Durée 0:49)


Docteur Salim Laïbi : 


"Vu le nombre incalculables de pénuries : masques, gels HA, tests de dépistages (sérum et PCR), lits, respirateurs... on est en droit de se poser la seule question importante du moment : Où sont passés les 193 milliards d'euros de la Sécurité Sociale ?"

Le mystère des tests introuvables

Aguelid écrit : "Il va falloir un jour ou l’autre - tôt ou tard - percer ce mystère et découvrir les raisons de tous ces ratés assez impressionnants. Est-ce dû à un problème d’incompétence notoire résultant de la nomination à des postes-clés de copains et non plus de personnes méritantes ? Ce fiasco serait-il dû à l’extrême complexité des rouages administratifs mise en place au fil du temps et qui exige pour la moindre décision 50 signatures différentes ? Plus grave encore, serait-ce dû à une volonté délibérée de créer le chaos afin de déstabiliser l’économie et sauver ainsi les banksters ?! On finira par le savoir, ce n’est qu’une question de temps.

Alors que le gouvernement a reconnu la pertinence d’un dépistage massif, sa stratégie et son dispositif en la matière demeurent mystérieux.

Où sont les tests ? C’est, avec la disponibilité des masques, l’une des deux grandes inconnues de la crise actuelle, pour nombre de Français. C’est même la question clé du mois d’avril, selon les experts. Car si la France n’est pas capable, à partir du 11 mai, de mettre en œuvre le dépistage massif qui a fait ses preuves dès le début de l’épidémie en Allemagne et en Corée du Sud, le déconfinement pourrait tourner à la catastrophe." 


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https://www.lelibrepenseur.org/coronavirus-le-mystere-des-tests-introuvables/



Le chaos pour instaurer la dictature bancaire universelle

"En vérité, écrit 
Jean Terrien, les pays pratiquant le confinement total sont ceux qui sont soumis aux politiques préconisées par les institutions internationales aux ordres de l’oligarchie bancaire. [...]

Les dirigeants français, quant à eux, ont mis à l’arrêt le pays entier, confiné 67 millions de personnes, sans dépistage systématique, enjoignant aux malades de rester chez eux jusqu’à ce que la maladie s’aggrave.

Le résultat : l’économie du pays est en cours de destruction, et pour compenser, l’État français va encore emprunter aux banques privées, endettant la population française jusqu’à sa mise en péonage au service des créanciers. Raison pour laquelle le gouvernement français a profité de l’état d’urgence sanitaire pour “assouplir”, ou plutôt accélérer, la destruction du code du travail.

Durant cette crise sanitaire, le CAC 40 a perdu en un mois plus de 37 % par rapport à son plus haut niveau, atteint le 19 février.

Le PDG de la société de gestion Cholet Dupont a déclaré : « C’est la première fois qu’une crise sanitaire est à l’origine d’une crise financière. On va dans l’inconnu. »

Les portefeuilles d’actions où les fonds détenus par les particuliers enregistrent des pertes de 20 à 40 % depuis le début de l’année se sont amincis.

La chute des marchés va affecter une partie de l’épargne des Français via l’assurance-vie qui est leur placement le plus important : 1789 milliards d’euros d’encours.

Les quatre derniers mois de 2019, précédant le coronavirus, les banquiers et assureurs ont incité les Français à privilégier les supports investis en Bourse, dans le cadre de l’assurance-vie. Ces supports boursiers ont représenté près de 35 % de la collecte, d’après les chiffres de la Fédération française de l’assurance. Un niveau d’investissement boursier des particuliers français qui a nettement progressé, alors que le krach boursier approchait.

Dans un communiqué publié le 10 mars 2020, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution observait : « Les clients sont de plus en plus souvent incités à orienter tout ou partie de leur épargne en assurance-vie vers des supports en unités de compte plutôt que vers des supports en euros. »

La chute des marchés pourrait pousser les épargnants à investir sur des produits dont le capital est “garanti”, comme les fonds en euros. Mais ce fonds, constitué à 80 % d’obligations d’Etat ou d’entreprises, pourrait être également touché par la crise actuelle. Si les taux restent bas, ses rendements diminueraient également. S’il y a une crise des dettes dans la zone euro, les particuliers pourraient retirer tout ou partie de leur épargne.

Le journal Le Monde affirme que « la crise des marchés va avoir des conséquences durables sur les économies des Français. Ils pourraient continuer à faire les sommes placées sur les comptes courants ou conservées en liquide atteignaient 603,8 milliards d’euros, fin septembre 2019, quasi deux fois plus qu’il y a dix ans, selon les derniers chiffres de la Banque de France. »

Et cette épargne est convoitée par les banquiers. En 2013, le FMI a établi un rapport sur les finances publiques et qui posait, encore une fois, le problème de la soutenabilité des dettes des États “avancés” : l’Europe, les Etats-Unis, le Japon. Et pour régler ce “problème”, le FMI a proposé un prélèvement « une fois pour toutes » sur l’épargne privée pour réduire la dette publique.

Les économistes du FMI ont fait un calcul pour 15 pays de la zone euro dans leur rapport : « Les taux de taxation nécessaires pour ramener les ratios de dettes (par rapport au PIB) à leur niveau de la fin 2007 nécessiteraient une imposition d’environ 10 % sur tous les ménages disposant d’une épargne nette positive. » 

Et il y a eu des précédents. Confrontée à une grave crise financière en 1992, l’Italie voyait sa dette publique frôler les 120 %. Le gouvernement a choisi une solution de choc, en faisant du désendettement sa priorité afin de rentrer in extremis dans les critères de Maastricht.

Le socialiste Giuliana Amato a fixé le taux de 0,6 % sur l’ensemble des dépôts italiens positifs. À l’arrivée quelque 15 milliards d’euros ont été prélevés. « Il y a eu un travail d’explication en amont. La mesure n’était pas considérée comme confiscatoire, mais comme un effort collectif nécessaire pour assainir les finances du pays » analysait le cabinet Weave dans Le Monde en mars 2013. Pourtant, « le traumatisme a été tel qu’aucun politicien ne s’y est risqué une seconde fois », expliquait Galileo Global Advisors à la même époque dans Challenges.

Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, interrogé à l’époque sur l’éventuelle taxation de l’épargne des Français, avait répondu : « en théorie c’est possible, mais notre rôle est de faire en sorte que cela n’arrive jamais ». (Extrait de l'article "Coronavirus et crise économique mondiale", de Jean Terrien dans Rivarol.


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