vendredi, juin 10, 2022

Des êtres sans âme parasitent l'humanité




Dans une vidéo rapidement censurée par YouTube, le journaliste retraité VERDI communiqua des enseignements métaphysiques sur la véritable personnalité des dirigeants actuels.

Verdi s’inspirait probablement du livre de Mouravieff, "Gnosis - Étude et commentaires sur l'orthodoxie orientale", qui révèle l'existence d'une "race" dépourvue d'âme.

"Nous avons déjà, écrit Mouravieff, dans le premier volume de « Gnôsis », fait allusion à plusieurs reprises à cette coexistence de deux races essentiellement différentes : celle des "Hommes" et celle des "Anthropoïdes", ce dernier terme n'emportant au sens ésotérique, insistons-y, aucune idée péjorative.

Constaté depuis des temps très reculés, ce fait, encore que déformé parce que généralement perçu sous un jour faux, a trouvé accès à la conscience nationale, sociale et juridique de plusieurs peuples, anciens et nouveaux : c'est ainsi que l'on retrouve son influence dans la notion "d'Intouchable" des Indiens, "d'Ilote" des Grecs, de "Gohi" des Juifs, "d'Os blancs" et "d'Os noirs" de l'Europe médiévale, "d'Untermensch" des Allemands nazis, etc.

Remarquons, incidemment, que la légende du sang bleu ne relève pas uniquement de la fantaisie : ce n'est pas, en effet, dans la conception du sang bleu comme phénomène psychosomatique qu'est l'erreur, mais dans la croyance simpliste, moyenâgeuse, que ce sang, dit aristocratique, passe automatiquement de père en fils à chaque génération, alors, qu'il ne peut être, pour des raisons que les lecteurs de « Gnôsis » n'auront nulle peine à comprendre, que l'attribut des êtres deux fois nés.

Observons également qu'à l'autre extrême, la conception égalitaire de la nature humaine, si chère aux théoriciens des révolutions démocratiques et sociales, est aussi erronée que la première : la seule égalité réelle des sujets de droit interne et international est l'égalité des possibilités car les hommes naissent inégaux.

Les Écritures contiennent plus d'une indication de la coexistence sur notre planète de ces deux humanités, actuellement semblables de forme mais dissemblables dans leur essence. On peut même dire que toute l'histoire dramatique de l'humanité, depuis la chute d'Adam jusqu'à nos jours et sans excepter la perspective de l’Ère Nouvelle, est placée sous le signe de la coexistence de ces deux races humaines dont la séparation ne doit intervenir qu'au Jugement Dernier.

C'est ce qu'a indiqué Jésus, en paraboles naturellement lorsqu'il s'adressait à la foule, mais en termes clairs à l'intention de ses disciples ; il y a notamment la parabole de "l'ivraie et de la bonne semence" que, sur la demande de ces derniers, il a ainsi commentée :

"Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme; le champ, c'est le monde; la bonne semence, ce sont les fils du royaume; l'ivraie, ce sont les fils du malin; l'ennemi qui l'a semée, c'est le diable; la moisson, c'est la fin du monde."

Et Jésus a ajouté :

"Tout homme lettré instruit de ce qui regarde le royaume des deux est semblable à un maître de maison qui tire de son trésor des choses nouvelles et des choses anciennes."

La coexistence, ainsi confirmée, d'une race d'Anthropoïdes et d'une race d'Hommes, est nécessaire, du point de vue de la Loi Générale, pour que se maintienne sans interruption la stabilité dans le mouvement de la Vie organique sur la Terre ; elle l'est également en vertu du Principe d’Équilibre, la première race étant un contrepoids qui permet à celle des Hommes de poursuivre son évolution ésotérique. Cela aussi a été confirmé par Jésus, à propos de la Fin, dans les termes suivants :

"Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l'un sera pris et l'autre laissé; de deux femmes qui moudront à la meule, l'une sera prise et l'autre laissée."

Ces paroles appellent une observation :

L'ivraie pousse sans qu'on ait besoin de la cultiver. En revanche, la bonne semence exige, pour fructifier, un travail considérable : il faut labourer la terre, la nourrir d'engrais, l'ensemencer soigneusement, la herser, etc.; et si la récolte n'est pas moissonnée, mais laissée là où elle a poussé, on ne trouve plus au bout de quelques années aucun épi de froment, car l'ivraie, plante naturelle de la Terre, étouffe le froment et le seigle, fruits de la culture céleste.

L'ivraie humaine, c'est la race anthropoïde issue de l'humanité pré-adamique. La différence capitale — bien que non perçue par les sens — entre l'homme pré-adamique et l'homme adamique contemporains, c'est que, comme nous l'avons vu, le premier ne possède pas les centres supérieurs développés qui existent chez le second et qui, bien que coupés chez lui de la conscience de veille depuis la chute, lui offrent une possibilité réelle d'évolution ésotérique. A cela près, les deux races sont semblables : mêmes centres inférieurs et même structure de la Personnalité ; même corps physique, bien que souvent plus fort chez l'homme pré-adamique que chez l'homme adamique; et quant à la beauté, n'oublions pas que l'homme et la femme préadamiques avaient été créés par Dieu le sixième jour, à son image et à sa ressemblance et que les filles de cette race étaient particulièrement belles. [...]

(...) les deux humanités, issues de deux procédés de création différents, se mélangèrent ensuite sur le plan de la vie organique sur la Terre, placée sous l'autorité de l'Absolu. Dès lors, la coexistence de ces deux types humains et la compétition dont elle s'accompagna devinrent un fait pour ainsi dire normal. Or, comme les enfants de ce siècle sont plus habiles que ne le sont les enfants de lumière dans leur état postérieur à la chute, nous voyons tout au long de l'histoire, et encore de nos jours, les adamiques se trouver généralement en position d'infériorité par rapport aux pré-adamiques.

Cette situation, ses conséquences pratiques et les problèmes qui en découlent feront plus loin l'objet d'un examen plus approfondi, examen commandé par l'approche de l’Ère du Saint-Esprit au terme de laquelle se posera la question de la séparation de l'ivraie et de la bonne semence. 

Pour l'instant, bornons-nous à répéter que l'homme adamique contemporain, ayant perdu le contact avec ses centres supérieurs, et par suite avec son Moi réel, apparaît pratiquement semblable à son homologue pré-adamique. Toutefois, à la différence de ce dernier, il a encore ses centres supérieurs, ce qui lui assure la possibilité de s'engager sur la voie de l'évolution ésotérique. De cette possibilité, le pré-adamique est actuellement privé, mais elle lui sera donnée dans l'éventualité d'une évolution heureuse de l'humanité adamique au cours de l’Ère du Saint-Esprit."


Télécharger gratuitement les 3 tomes de « Gnôsis » ICI.


Laura Knight-Jadczyk nomme les individus sans âme les "Portails organiques".



"Les portails organiques, écrit Laura Knight-Jadczyk, sont des véhicules ou portails génériques ayant forme humaine, prêt à se laisser utiliser par diverses forces. Voilà pourquoi ce sont de parfaites et dociles marionnettes au service de la Matrice. […]

Les portails organiques captent l’énergie de l’âme des individus qui en sont pourvus. […]

Pour en savoir plus sur les portails organiques :
http://quantumfuture.net/fr/organicportals1_fr.htm


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BONUS

Une illustration de ce que sont nos dirigeants : des marionnettes au service de la Matrice à qui des directives mondialistes sont dictées sur une sorte de monolithe numérique. Une véritable secte.

Sommet de l'OTAN, Bruxelles 2021, vidéo 2 mn :




Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...