vendredi, mars 26, 2021

L'Union européenne instaurera le passeport sanitaire dès le mois de juin


Jeudi 25 Mars, les députés européens ont approuvé, par 468 voix contre 203, le recours à la procédure d’urgence concernant le certificat vert numérique. Autrement dit, "le passeport sanitaire" sera rapidement instauré, probablement dès le mois de juin 2021.

Pour Valérie Bugault, auteure du livre Les raisons cachées du désordre mondial, le "passeport sanitaire (est) adopté par le parlement européen" (tweet du 25 mars).

Imposer un passeport sanitaire pour pouvoir se déplacer, c'est rendre la "vaccination" Covid obligatoire.


Vaccination Covid – L’illusion puis l’extorsion du consentement éclairé

par Alain Tortosa



Les Français seraient soudainement devenus majoritairement favorables à la vaccination Anti-Covid ?

Je ne disserterai pas sur la réalité de cette affirmation étant donné que nous ne pourrons pas savoir si elle est mensongère ou pas.

Je vous rappelle que tout acte médical, d’autant plus pour un vaccin, doit donner lieu à un consentement libre et éclairé :

- Libre de contraintes.
- Éclairé sur la maladie et sa dangerosité.
- Éclairé sur les traitements disponibles.
- Éclairé sur l’innocuité du « vaccin ».
- Éclairé sur l’objectif de cette thérapeutique.
- Éclairé sur l’efficacité de la mesure face aux alternatives.
- Éclairé sur le rapport bénéfice vs risque.

Examinons l’ensemble de ces points afin de déterminer si tout français dispose des informations nécessaires et suffisantes pour pouvoir donner un consentement libre et éclairé à sa vaccination.–

L’absence de contraintes.

Depuis plusieurs mois, médias, politiques, personnels médicaux médiatiques ne font que nous répéter que nous n’en sortirons que par le vaccin.

Nous entendons sans cesse que c’est le vaccin ou la prison.
Pour autant, il est dit aussi qu’une fois vaccinés, nous devrons continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières, alors qu’il nous est matraqué quasi 24h sur 24 que ces fameux « vaccins » sont « les instruments de la liberté ».

Ceci sans parler du fameux passeport vaccinal qu’il faudra sans doute appeler « passe sanitaire » afin de ne pas heurter les sensibilités.

Passeport vaccinal présenté aussi comme un « instrument de la liberté » !
La France s’apprête ainsi à mettre en place des dizaines de milliers de postes-frontière au sein du territoire et on ose parler de « liberté » ?!

Nous sommes donc ici dans une extorsion assumée du consentement.


«Tu es libre de ne pas te vacciner, mais tu seras plus ou moins assigné à résidence et interdit d’activités. »

Le terme « sanitaire » est employé pour nous tromper et nous laisser entendre que la vaccination ne sera pas rendue obligatoire.

Il sera théoriquement possible, dans un premier temps, d’autoriser les personnes dites « guéries » et les personnes avec un test PCR négatif récent à pouvoir aussi accéder à une vie sous surveillance. Ne nous leurrons pas, cela ne durera qu’un temps… Trop compliqué, trop sujet à faux documents…

Et d’autant plus que la doxa affirme que le vaccin ne peut être faillible.

Tout cluster dans une assemblée comportant des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées sera automatiquement « causé » par les non-vaccinés qui seront désignés comme les « coupables ».

Le « passe sanitaire » deviendra de fait obligatoirement un « passe vaccinal » qui sera par la suite logiquement étendu pour tous les vaccins existants, voire même au patrimoine génétique.

Une autre forme de suppression de la liberté de choix porte sur la surreprésentation de la dangerosité supposée du virus et de l’absence supposée de traitements efficaces ou d’alternatives. Donc dès lors que vous dites à une personne que sa vie est menacée par un virus, qu’il n’y a pas de traitements, que c’est le vaccin ou la roulette russe de la mort… je ne vois guère de liberté.

Ici encore tous les jours les médias nous disent « vous rigolerez moins quand vous serez en réanimation » à propos de personnes « coupables » de ne pas respecter gestes barrières et autres pattes de lapin liberticides.

Il n’y a aucune liberté de consentement.
Nous vivons une extorsion totale de consentement basée sur le chantage à la mort et le chantage aux libertés.

– Éclairage sur la maladie et sa dangerosité

Il va de soi que je dois être parfaitement informé de la dangerosité de la maladie afin de pouvoir jauger du rapport bénéfice versus risque et prendre la décision de me vacciner ou pas.

Il ne s’agit pas de connaître la gravité générale de la maladie, en l’occurrence du Covid, mais de la dangerosité du Covid ME concernant.

Ici encore médecins médiatiques et journalistes ne font que décrire un tableau d’une noirceur extrême.

Sans compter que les données de taux d’incidence, d’hospitalisations, de réanimations et de décès fournis par Santé Publique France ne sont pas seulement erronées, mais des FAUX comme j’ai pu longuement l’exposer et le prouver dans mes précédents textes !

À les écouter, quiconque peut se retrouver en réanimation et mourir de cette maladie, quel que soit son état de santé.

Les chiffres de mortalité officiels, environ 100 000 en France, sont totalement déconnectés de la réalité.

De très nombreuses personnes décédées positives ou avec soupçon de Covid ont été étiquetées Covid sous recommandations de l’OMS.

Le pourcentage de personnes décédées du Covid et non décédées AVEC le sars-cov2 est probablement de moins de 5 000 en France.

L’âge médian des décès ne fait que reculer depuis le début de la crise passant de 82 ans à 85 ans au fil des mois, prouvant par la même l’absence de rajeunissement significatif des décès malgré les variants.

Les décès chez les moins de 65 ans sans comorbidités sont inférieurs à 2 000 (98% des personnes décédées de moins de 65 ans ont des comorbidités lourdes), ce qui veut dire que d’un point de vue statistique le risque de mourir du Covid chez une personne en bonne santé est NUL et moindre que de mourir en tombant d’un escalier ou de s’étouffer en mangeant !

Ainsi 99,9% de la population française a survécu à ce « fléau » et selon l’INSEE la mortalité des moins de 70 ans a été moindre en 2020 qu’en 2019.

Cette maladie ne tue quasiment pas, elle se contente de diminuer l’espérance de vie de personnes très âgées et/ou avec des comorbidités très graves.

Afin de nous manipuler encore plus, le compteur de décès n’a pas été réinitialisé (généralement en novembre) comme cela se fait chaque année pour la grippe…

Enfin, si l’on se réfère au réseau Sentinelle, il est possible de constater que le nombre de décès en 2020 de maladies respiratoires aiguës (IRA) est quasi identique au nombre de décès d’IRA en 2 019. Mais en 2020 toutes les IRA (et même d’autres pathologies) ont été qualifiées de Covid quand bien même elles n’étaient pas causées par le Sars-cov2 !

D’autre part, comme je vais le développer dans la suite de mon texte, la gravité d’une maladie doit toujours être mise en balance avec les traitements disponibles, et dans ce domaine la tromperie a été et est encore grandiose.


L’éclairage sur la maladie et sa dangerosité est totalement noirci et mensonger !

– Éclairage sur les traitements disponibles

Scandale international à lui tout seul !

Rendez-vous compte que nous commençons seulement aujourd’hui à évoquer les traitements en France.

Au mois de mars 2020 et encore à ce jour, le traitement officiel du Covid était le paracétamol !

Il faut que le patient soit hospitalisé et à l’article de la mort pour commencer une prise en charge sérieuse.


Quand bien même les antibiotiques ne seraient pas la panacée face à un virus comme cela nous est répété depuis des années…

Il n’en demeure pas moins vrai que si vous êtes médecin, que vous êtes en mars 2020 face à un virus inconnu (entre parenthèses il n’est pas du tout inconnu au mois de mars, les études chinoises sont déjà publiées depuis le mois de février ainsi que l’efficacité de l’hydroxychloroquine), allez-vous, comme demandé par les autorités de santé, dire à votre patient de rester chez lui, de prendre du paracétamol, puis se rendre aux urgences si son état de santé se dégrade vrai ment ?!

Ou allez-vous faire simplement votre métier et lui proposer un traitement, probablement en premier lieu un antibiotique à large spectre ?!

Je ne reviendrai pas non plus sur l’absence totale de politique préventive pour les personnes à risque.

Sans compter sur le scandale de l’hydroxychloroquine, devenue mortelle du jour au lendemain après 70 ans d’existence alors même que plus de 20 000 Français en consomment tous les jours !

Et ne parlons pas du Remdesivir à la toxicité connue qui lui, a été adoubé par les agences européennes et la France puis commandé en masse.

Tandis que Didier Raoult était menacé par le conseil de l’ordre, Karine Lacombe, financée en partie par Gilead, recevait quant à elle la Légion d’honneur !

Vitamine D, zinc, Azytromicine, Ivermectine… sont ignorés ou mis au placard tandis que les anticorps monoclonaux qui eux aussi sont expérimentaux, dangereux, et hors de prix, sont officiellement présentés comme une lueur d’espoir.

Alors même que la maladie ou le décès sont intimement liés aux défenses immunitaires, non seulement nous vivons l’absence totale de campagne visant à booster celles-ci, non seulement rien n’est prévu pour les personnes à risque, mais qui plus est, la solution la plus préconisée a été l’enfermement des personnes les plus faibles, l’interdiction de respirer (hormis derrière un masque en plastique) et l’interdiction de faire du sport !

Mais quel imbécile lobotomisé par la peur ou corrompu pourrait penser que l’objectif du gouvernement est ou était notre santé ?!


L’éclairage sur la prévention et les traitements disponibles est totalement prohibé, voire pénalisé, par les autorités de santé.

– Éclairage sur l’innocuité du vaccin

Ici encore l’information est indispensable pour déterminer le rapport bénéfice versus risque et donc de la nécessité de se faire vacciner.

Le matraquage médiatique est totalement criminel !

Dans la réalité, une phase III de mise au point d’un vaccin a pour objectif d’augmenter petit à petit, de monter en puissance, pour mesurer les effets secondaires. Pour un vaccin classique, celle-ci dure entre 5 et 10 ans avant de passer à la phase IV de commercialisation. Les autorités de santé se sont assises sur cette donnée sous prétexte que nous étions dans une « urgence mortelle ».

Rappelez-les vous que ce Sars-cov2 est censé terrasser n’importe qui et qu’il est censé n’y avoir aucun traitement selon les autorités.

L’AMM [Autorisation de Mise sur le Marché] conditionnelle des vaccins Anti-Covid était précisément conditionnée à l’absence de traitements disponibles.

Ne vous étonnez donc pas qu’il n’y ait pas eu et qu’il n’y ait jamais le moindre traitement officiel, car cela tuerait la poule aux œufs d’or et empêcherait la création du passeport vaccinal puis du crédit social.

Alors pour nous « rassurer », il nous a été asséné jour après jour que les milliards injectés (goutte d’eau dans l’océan des bénéfices de l’industrie pharmaceutique) permettaient de faire plus de tests et donc d’accroître rapidement le degré de sécurité.

Je suis probablement très bête, mais je ne vois pas comment l’argent peut permettre de s’acheter du temps et d’autant plus pour déterminer l’innocuité d’un médicament à long terme, à 5 ou 10 ans et même plus.

Qui peut me garantir l’absence de maladie auto-immune ou de cancer et autres modifications de mon patrimoine génétique dans 10 ou 20 ans aussi bien pour moi-même que pour ma descendance ?

Le plus extraordinaire est que l’on demande ce temps pour des vaccins classiques, mais que celui-ci ne serait pas important pour des thérapies géniques expérimentales à ARN messager comme le Pfizer BioNTech ou l’AstraZeneca qui est un vaccin expérimental OGM.

Certains se réjouissent de la mise au point de la vaccigénie BioNTech en moins d’un an, mais dans les faits, les premiers essais sur l’homme ont eu lieu fin avril 2020, soit un mois après le début de la collaboration entre Pfizer et BioNTech !

Rions un peu…

Je suis néanmoins « heureux » de constater que les vaccins auront permis le retour des décès en France et dans le monde d’autres pathologies que le Covid. Alors même qu’une personne décédée, écrasée par un camion, pouvait être étiquetée Covid et qu’il n’y avait que des décès du Covid depuis des mois, voici que la vaccination provoque par miracle l’effet inverse !

Désormais, toute personne vaccinée qui décède ne peut que mourir de vieillesse ou de comorbidités parce que les « vaccins sont sûrs ». Le décès d’un jeune homme de 24 ans en pleine santé récemment ne peut PAS être causé par le vaccin AstraZeneca !


« Ne doutons pas de la sécurité de ces produits mis au point et commercialisés dans des délais records, pour lesquels la plupart des verrous de sécurité façonnés au fil des années ont sauté » !

L’autorisation de mise sur le marché des vaccins Covid en France est issue directement de l’autorisation de mise sur le marché en Europe ce qui pourrait faire rire ou pleurer.

Et l’Europe s’est basée UNIQUEMENT sur les données fournies par les industriels alors même qu’elle aurait très bien pu étudier les effets et l’efficacité des vaccins parallèle ment aux fabricants !

Je ne résiste pas au « plaisir » de rappeler que Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.
Pour AstraZeneca, c’est 500 millions de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour avoir volontairement caché les effets secondaires d’un médicament qui augmentait les risques de diabète !
Et pour Johnson & Johnson c’est 8 milliards d’amende en 2019 pour avoir caché qu’un de ses médicaments pouvait faire pousser la poitrine chez les hommes !
Sanofi, 25 millions de dollars pour corruption en 2018 ! Je pourrais ainsi continuer pendant des pages !

Et il faudrait les croire lorsqu’ils affirment que les vaccins ne présentent pas de danger ??!!

Le dernier exemple d’effets secondaires avec le vaccin AstraZeneca pourrait faire sourire sinon grincer des dents. Le « vaccin » pourrait engendrer des thromboses et des caillots de sang qui, mal situés, pourraient être mortels. Plusieurs pays européens stoppent les vaccinations. Après l’arrêt par l’Allemagne, la France a bien été obligée de suspendre aussi. Les médecins médiatiques crient alors à l’excès de prudence !!! Si, si !!! Des enquêtes commencent à être menées sur les décès suspects et … deux jours après, alors même que les enquêtes sont encore en cours, l’agence européenne annonce que le vaccin ne présente aucun danger et que les vaccinations peuvent reprendre ! De qui se moque-t-on ? C’est tout aussi ridicule que les annonces de Pfizer qui affirment l’efficacité de leur vaccigénie contre les variants avec quelques heures de recul.

En résumé toute personne qui se vaccine participe à un essai de phase III de produits commercialisés par des industries largement condamnées par le passé.

Il n’y a strictement aucun éclairage concernant l’innocuité des vaccins aussi bien de la part des autorités sanitaires que des médecins médiatiques.

– Éclairage sur l’objectif de la thérapeutique vaccinale

Il est indispensable de savoir pourquoi se vacciner et les bénéfices attendus. Les produits actuellement appelés « vaccins » contre le Covid, ne sont pas des vaccins, soit du fait de la technologie utilisée, soit parce qu’ils ne sont pas des vaccins au sens de « empêcher d’être malade » ou « bloquer la propagation d’un virus ». Au point que pour Pfizer (et les autres aussi, il me semble), le blocage de la transmission du virus n’a même pas été évalué pour la mise sur le marché.

À la question « ces médicaments empêchent-ils de tomber malade ? » La réponse est non.

Au mieux, ils empêchent d’avoir une forme grave de Covid.
Cela peut éventuellement présenter un intérêt pour les profils qui font des formes graves, mais certainement pas pour les personnes en bonne santé dont le risque de faire une forme grave est quasi nul !
Plus grave encore, les vaccins contre le Covid mis au point pour les souches de l’année dernière engendreraient un risque d’anticorps facilitant. De fait, les personnes vaccinées pourraient faire des formes plus graves que si elles ne l’étaient pas.

À la question « Ces médicaments bloquent-ils la propagation du virus ? »

La réponse est : Nous ne le savons pas et cela n’a pas été testé dans les études. Un point qui tendrait à prouver l’inefficacité serait le nombre de personnes devenues positives au Covid alors qu’elles étaient vaccinées. De plus, alors même que les essais sur l’homme ont débuté il y a plus de 10 mois, la réponse à cette question n’existe toujours pas !

Enfin, les vaccins favoriseraient les variants.

Les pays qui ont vu émerger le plus de variants semblent être les pays dans lesquels la vaccination a été la plus importante. Ceci est totalement logique… les vaccins étant plus efficaces contre les premières souches, ils auront plus tendance à les bloquer que les mutations. De fait, les personnes vaccinées auraient tendance à laisser plus passer les mutations, et ceci d’autant plus que ces produits ne bloqueraient pas les transmissions. Phénomène qui a peu de chance de se produire avec les personnes immunisées naturellement pour lesquelles le système immunitaire a une bien plus grande flexibilité que le vaccin pour lutter contre les variants.

Il n’y a pas d’éclairage du public sur le fait que les vaccins n’empêchent pas de tomber malade, qu’ils empêchent peut-être de ne pas faire de formes graves pour les personnes qui n’en font pas, que les personnes à risque peuvent faire des formes plus graves qu’elles auraient eu et que les vaccins pourraient favoriser les mutations, raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pendant une épidémie, mais avant, et enfin que rien ne prouve qu’ils bloquent la transmission du virus.

– Éclairage sur l’efficacité supérieure des vaccins face aux alternatives

Il ne s’agit pas uniquement de connaître le rapport bénéfice versus risque de la vaccination, mais d’évaluer non seulement l’efficacité de la vaccination, mais aussi d’évaluer l’efficacité par rapport aux alternatives. Je n’ai pas connaissance de la moindre étude sur l’évaluation de la vaccination et de son efficacité dans la lutte contre l’épidémie et la mortalité. Et ce d’autant plus que la plupart des personnes décédées du Covid le seraient même sans le Covid.

D’autre part, les « spécialistes » nous disent qu’il faudrait atteindre 70% d’immunité vaccinale pour bloquer l’épidémie. Mais c’est tout simplement mathématiquement IMPOSSIBLE ! En imaginant une efficacité du vaccin à 90% ce qui est totalement ridicule, et en vaccinant 80% de tous les Français dès la naissance, nous arriverions péniblement à 72% d’immunité vaccinale.

80% de personnes vaccinées est d’autant plus utopique du fait des irréductibles et des personnes qui ne peuvent pas être vaccinées pour raisons médicales. Donc, laisser croire que l’on pourra parvenir à une immunité vaccinale de masse, et d’autant plus que les variants se succèdent et vont se succéder, relève d’une manipulation de la population et d’un mensonge d’État.

Ajoutons que le discours officiel en vient toujours à affirmer l’efficacité vaccinale versus… rien du tout.
À la base, nous voyons bien que des pays comme la Suède qui n’ont pas tué les droits de l’homme et l’économie n’ont pas eu plus de morts par habitant que les pays qui ont le plus confiné et mis en place une dictature, comme la France. Preuve en est de l’efficacité de l’immunité naturelle de masse que l’OMS a bizarrement supprimé de ses sites depuis le mois de novembre. Donc « rien » est déjà peut-être plus efficace que la vaccination.

Enfin, il faudrait pouvoir évaluer l’efficacité de la mesure vaccinale de masse, aussi bien en termes d’hospitalisation que de mortalité, versus une politique de prévention et de traitement des personnes à risque, aussi bien d’un point de vue préventif que curatif.

Les études (honnêtes) sur l’efficacité vaccinale contre le Covid ne verront probablement jamais le jour parce que cela irait totalement à l’encontre des intérêts de l’industrie pharmaceutique et aussi de tous celles et ceux qui visent à limiter de plus en plus les droits de l’homme.

Il n’y a aucun éclairage sur le fait que la stratégie vaccinale est peut-être, voire probablement, totalement inefficace pour lutter contre le Covid, et que cela n’a jamais été étudié, ni comparé à d’autres stratégies

– Éclairage sur le rapport bénéfice vs risque


Celui-ci est la synthèse des questions posées précédemment.

Mes droits seront-ils les mêmes que les personnes non vaccinées ?

- Quelle est ma probabilité d’attraper le Covid ?
- Quel est mon risque de faire un Covid grave ?
- Quels sont les traitements possibles préventifs ?
- Quels sont les traitements possibles curatifs et leur efficacité ?
- Quels sont les dangers à court terme du vaccin ?
- Quels sont les risques à long terme du vaccin ?
- Mon vaccin sera-t-il solidaire pour prévenir la transmission ?
- Mon vaccin sera-t-il à risque de faciliter les variants ?

À la lumière de toutes ces données, du chantage au vaccin qui est constant.
À la lumière de l’absence totale d’informations objectives sur la maladie, ses dangers, ses traitements.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur l’efficacité vaccinale.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur les dangers des vaccins.


Je peux affirmer, sans risque d’erreurs, que personne sur la planète qui s’est fait vacciner n’a bénéficié des informations légitimes et d’un consentement libre et éclairé…

Merci

Alain Tortosa, auteur du livre 7 milliards d’esclaves et demain ?

Le 25 mars 2021.


Libertaires de l’Antiquité

Dans la Cité grecque, les philosophes cyniques ont pensé et vécu en farouches "libertaires". Le nom de cyniques leur viendrait de ...