mercredi, novembre 03, 2021

METAPHYSIQUE ATEMPORELLE



« Nous sommes en guerre » dira six fois un président devant un peuple apeuré, anesthésié, hypnotisé, envouté. Prestidigitateur-propagandiste-illusionniste, formaté par ceux qui le manipulent, il apprendra aussi à manipuler son peuple tel un robot sans âme. Leurs manipulations rétroactives et entropiques tournent en boucles infernales. Ils « ne savent pas qu’ils ne savent pas ». Le spectacle devenu si étrange dépasse toute fiction et révèle(ra) chacun tel qu’il est. Le spectateur éveillé surtout non injecté assiste au spectacle gratuit, connaissant que les injectés vont tristement mourir de leur abonnement injectable. Nul ne sait quand …


Article 19 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948

« Tout individu a Droit à la Liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le Droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de Chercher, de Recevoir et de Répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».


Quelques Rappels

Les monstruosités des pouvoirs par leur terrorisme intellectuel, leur ingénierie sociale, leurs ignominies manifestées sont démasquées. Ils n’ont plus à présent d’autre solution que de chercher à « sauver leur peau » en essayant encore de cacher leurs folies meurtrières.

Il n’y a jamais eu de pandémie. Les tests PCR sont fallacieux et le Prix Nobel de Chimie qui inventa le test PCR dira : le test PCR n’est pas fait pour dépister une maladie. Il est mort en août 2019 … brutalement ! De quoi est-il mort ? Le masque, le pass-sanitaire, les injections ne sont que des outils totalitaires. Nous insistons à dire que ces injections ne sont ni des vaccins ni une thérapie génique, ni une expérience bienveillante. Pourquoi une expérience, si elle était intelligente et bienveillante, ferait-elle autant de morts et tant d’effets secondaires graves ?

Tandis que des médecins, politiques et journalistes furent condamnés à être pendus à la fin de la guerre 39-45, Joseph Mengele, chef des médecins nazis, réussira à fuir l’Allemagne et mourut en 1972 en Amérique du sud. Qui le protègera dans sa fuite ? Ce jour, il a encore de nombreux adeptes partout et au gouvernement Français. Mes amis : « Soyez forts, soyez tendres, soyez sages, et n’oubliez pas d’être heureux » … au-delà de ce qui arrive et … arrivera.

Le Vatican

Dostoïevski [1821-1881] était un homme très intelligent et sage. Il sera probablement instruit de la métaphysique atemporelle par un moine de l’orthodoxie Russe. En 1880 il termine son livre « les Frères Karamazov ».

Voici un passage essentiel du livre qui raconte le retour du Christ à Rome. « A l’arrivée si inattendue au 19ième siècle du Christ sur la place St Pierre de Rome, beaucoup de gens le reconnaissent et se précipitent pour le remercier. Mais cela ne sera pas du tout du goût du Pape qui ordonnera à la police politique de procéder à son arrestation immédiate et de le mettre en prison. Le lendemain, un juge au service du Pape vient rendre visite à Josua dans sa cellule. Josua (apprenez que des Sages hindous considère Josua comme un Grand Yogin) s’approche du juge avec un calme serein et l’embrasse avec bienveillance. Le juge est si choqué et si troublé qu’il lui dit ceci : « Vas t’en d’ici tout de suite et ne revient plus jamais ! ».

Le Pape actuel représente-t-il aussi ce juge ? Il dira en avril 2020 : « Je ne suis plus le vicaire du Christ ni le successeur de St Pierre ! ». Ce qui se passe au Vatican se passe ailleurs.


La plupart des gens ne se battent pas pour leur liberté Mais pour avoir une prison plus confortable !


L’existence humaine ignore le plus souvent sa condition Voilà l’origine de sa souffrance, de son insatisfaction.


L’existence humaine ignorante de ses conditionnements est ici représentée par le MOYEU de la « Roue du devenir de l’existence dans l’errance », en sanskrit : “Bhavacakra” : bhava = devenir et cakra = roue. Cette « roue » enseigne le déterminisme du devenir et aussi comment en sortir vers le SANS-CONDITION ou Nirvâna, synonyme de « absence de quoi que ce soit ». Ce ne sont pas les Tibétains qui sont à l’origine de cette roue. C’est le Bouddha lui-même qui demanda, dit un texte canonique, que cette roue de l’errance soit peinte sur la porte d’entrée du monastère Veluvana à Râjagrha, une ville du Népal, il y a 2500 ans. La plus ancienne peinture d’un bhavacakra découverte à ce jour est celle datée du 6ème siècle post. J.– C., que L.A. Waddell trouva dans une des grottes d’Ajantâ au centre de l’Inde. Nous ne présentons ici seulement 4 illustrations différentes du « Moyeu central » de cette roue qui comporte donc en plus une « jante », et « une partie médiane » divisée en 6 mondes entre la jante et le moyeu. C’est le moine bouddhiste Indien nommé Bande Yeshe qui, au 8ième siècle de notre ère, rapportera d’Inde une représentation figurative de cette roue qui sera récupérée par les Tibétains. Ce qui nous importe ici est la signification de ce « moyeu ».



Trois animaux dans ce « Moyeu » symbolisent les 3 racines, les 3 états invariants défavorables [try-akushalamûla] qui déterminent tous les comportements humains dans l’errance et qui sont à l’origine de la souffrance, de l’insatisfaction.

1. Avidité, passion, convoitise : lobha + râga, figurée par un COQ
2. Haine et tous ses aspects : dvesa, figurée par un SERPENT
3. Stupidité par ignorance : moha, figurée par un PORC

Cette « formulation picturale » servira et sert toujours de moyen pédagogique subtil pour enseigner (sur la jante) la chaîne des origines interdépendantes ou co-production conditionnée, la Loi de causalité, en Inde, au Tibet, au Népal et ailleurs, éclairée par une transmission orale par un Instructeur éveillé.


LA VACHE


Peut-être avez-vous déjà vu une vache, paissant dans un beau pré entouré de barbelés, de l’herbe savoureuse, haute, abondante ? Peut-être avez-vous pu observer avec surprise que la vache passait la tête entre les fils barbelés pour brouter l’herbe du pré voisin !

Les humains font de même. Par exemple, ce catholique qui a la foi en des dogmes, des cérémonies, des sacrements, et qui veut brouter le Dharma sous la forme du Zen, ce Zen sans croyance, sans dieu et au plus haut, sans cérémonies, ni parfois même « d’écritures » …


Voyez encore ce « bouddhiste », ce suivant de la voie négative par excellence : il est entré dans la franc-maçonnerie ! Voyez-le avec son tablier, ses manchettes, ses bijoux maçonniques, faisant la gilbrette et, s’il devient « vénérable » battant maillet, il sera assis sur son trône, sous le triangle flamboyant avec, au centre, la lettre G [et G stands for God !]. Ce fut pourtant long et difficile cette entrée dans la maçonnerie, le « testament spirituel », les épreuves initiatiques (sans danger les épreuves !).

On pourrait multiplier les exemples, en particulier dans cet Occident profondément imprégné par le mythe hébraïque devenu mythe chrétien, mythe catholique. Mais de plus en plus, l’aspect mythique de ces systèmes déçoit ; alors, on va brouter le Dharma, le Tao, ces voies négatives … syncrétisme, hélas !


Poème de l’Ermite Hélène Tarlington Upâsikâ.


Ce qu’elle dit se rapporte avec grande précision à la situation politique et religieuse du monde actuel avec ses mensonges et ses corruptions, comme jamais. Son poème est ainsi particulièrement démystifiant et révélateur d’une réalité dont chacun doit pouvoir être le témoin s’il demeure attentif et vigilant aux événements.


Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné


1. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Le Dharma – éclaté en écoles majeures et mineures Ces écoles divisées en sectes et sous-sectes Architectures dévotionnelles – temples, églises pour adoration Avec des laïcs, des clercs ordonnés – des prêtres – des évêques.


2. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Révélation par un créateur, religion organisée par des hommes Doctrines « secrètes », silence ; survie de l’âme incontestée Réincarnation ou transmigration d’âme permanente Créée par un créateur ; création d’une tragédie divine.


3. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Permanence perpétuelle – état des choses, non brisé par le changement Immortalité, avec des bénéfices assurés dans l’au-delà Récompense – Résurrection avec une auréole dans un Paradis Punitions en enfer, où les Dieux, en safari, chassent les hommes.


4. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Chercher un salut par un sauveur – salut par la « grâce » Pêcheurs suppliants – pêchés à faire supporter par des porteurs de pêchés Mendier le pardon des saints et des dieux en leur adressant des prières Images sans vie, décevantes – idoles magiques à qui faire des dons.


5. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Déifier et adorer un mortel quelconque parmi les mortels Spécialement déifier et adorer un instructeur nommé Gautama Hypnotistes « spirituels », faiseurs de miracles, masses aveugles.


6. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Théocraties, gouvernement par des prêtres aux rituels complexes Cérémonies et pompes par la hiérarchie avec mitres et robes Rites mercenaires par des prêtres, drapeaux de prières, roues de prières Exercices vulgaires, formes grotesques, animisme primitif.


7. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Tuer – faire la guerre pour propager ou préserver le Dharma Tuer – faire la guerre pour le profit, la puissance, la puissance du profit Tuer – organiser l’industrie et le commerce des armes Tuer – par l’avortement, le suicide, le meurtre, tuer par compassion.


8. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Emprunts, compromissions, corruption de la pureté du Dharma Acquisition de mérites par le marmottement répétitif des formules Culte des ancêtres, sectes possédées de dieu, diseurs de bonne aventure Intolérance religieuse, politique ou nationale – malveillance


9. Cela, le Bouddha Gautama ne l’a jamais enseigné : Mépris des nobles préceptes – tromperies – immortalité Menteurs, mensonges, voleurs, vols, adultère, fourberie Alcooliques, buveurs, drogués, opiomanes Esclavage – homme rétrogradant sans honte par la délinquance.


Avant de mourir, Le Bouddha dira ceci à son cousin Ânanda et fidèle serviteur


« Ânanda, soyez comme la lampe allumée à l’intérieur de vous-même. Ne cherchez aucun refuge extérieur. Tenez-vous ferme à la vérité qui est comme une lampe allumée. Ne cherchez refuge en personne en dehors de vous-même, ne vous appuyez sur aucune béquille, et quand je serai mort, tous ceux qui seront des lampes allumées qui s’accrocheront à la vérité, ce seront ceux qui atteindront le nirvâna ». « Vous aurez la loi du Dharma comme guide ».

Prajñâ


Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...