jeudi, mars 01, 2018

La mission de Matthieu Ricard




Homme meilleur et Meilleur des mondes

Le 7 novembre 2011, invité à l'émission Service Public de France Inter, Matthieu Ricard, VRP du lamaïsme et apôtre de la méditation, déclara dès le début de son intervention : « On doit en arriver à une gouvernance mondiale ».

Matthieu Ricard est un habile démagogue (altruisme, cause animale, etc.) et un artisan efficace de la diffusion d'un nouvel outil de soumission : le bouddhisme contemporain fondé sur des techniques méditatives et le « bien-être ». Ce néo-bouddhisme conduira à l'instauration de nouveaux paradigmes imposés par la gouvernance mondiale. Gouvernance qui, selon Alain Minc existe déjà. « Elle est, dit-il, empirique, elle est implicite, mais elle est décisive ! ».


 La servitude de l'homme "amélioré"
est planifiée

L'inquiétant aveu de Matthieu Ricard :

« Le bouddhisme est plus une technique de transformation de soi pour mieux transformer le monde... »

Il faut, dit le moine hyper-médiatisé : « devenir un meilleur être humain et se préparer à servir... »



Le Mind and Life Institute


Un entraînement cérébral rendrait l'homme "meilleur". Marion Dapsance écrit : « l'objectif de cet entraînement est de créer un homme nouveau sur le modèle de la « culture tibétaine », c'est-à-dire un individu capable de vivre sans « pensées et émotions négatives », de manière à atteindre le « bonheur durable ». [...]

« Le Mind and Life Institute (Institut Esprit et Vie) est sans doute l'organisme qui se situe aujourd'hui à la pointe de la recherche sur la méditation. Fondé en 1991 par l'entrepreneur américain R. Adam Engle, qui avait appris l'intérêt du dalaï-lama pour la science moderne, le Mind and Life Institute a pour but de « faire dialoguer le bouddhisme et la science ». Le dalaï-lama en est le président d'honneur, et Matthieu Ricard, en tant que « scientifique et moine bouddhiste », participe activement aux recherches. Depuis quelque temps, ces dernières se consacrent essentiellement à l'étude des « effets de la méditation sur le cerveau humain » et sur la manière dont sa pratique peut améliorer les performances des individus. Les résultats de ces études ont fait l'objet de plusieurs publications, aussi bien scientifiques que grand public. Un ouvrage visant à communiquer les résultats d'un colloque « Mind and Life », intitulé « Surmonter les émotions destructrices », nous permet d'en savoir un peu plus sur les tenants et aboutissants de telles recherches « neuroscientifiques ». En effet, les divers scientifiques qui se sont exprimés au colloque ne font pas que traiter des données brutes : ils élaborent également une vision du monde très particulière, que les ouvrages du Mind and Life Institute tendent à diffuser auprès du public. » (Marion Dapsance, « Qu'ont-ils fait du bouddhisme ? »




Matthieu Ricard dans son monastère de Shéchèn au Népal




Cette photo rappelle le Tibet de la première moitié du 20e siècle. Il y a seulement quelques décennies, des garçons tibétains étaient régulièrement enlevés et conduits dans les monastères pour être formés comme moines.

Dans son autobiographie, Tashi Tsering (1929-2014) rapporte qu’il était courant que ces enfants soient sexuellement maltraités dans les monastères.

A l'âge de 10 ans, 
Tashi Tsering "est désigné pour devenir jeune danseur de la troupe de danse traditionnelle du dalaï-lama, aussi appelée société de danse du gouvernement tibétain. Il s'agit d'une servitude due traditionnellement par son village et abhorrée de tous car elle revient quasiment, pour les parents, à perdre un fils. Le jeune Tashi, toutefois, n'est pas mécontent de cette situation, même si sa mère est désespérée : c'est en effet pour lui l'occasion d'apprendre à lire et à écrire, son vœu le plus cher. 

À l'école de danse, la méthode employée par les maîtres pour stimuler les élèves est de les frapper à chaque faute commise, comme cela se fait depuis des siècles. Tashi porte encore les marques des corrections quasi-quotidiennes. À l'âge de 13 ans, il est fouetté devant toute la troupe pour avoir été absent à une représentation : sa peau se déchire, la douleur devient insupportable.

Le jeune danseur se fraye un chemin en devenant le drombo, littéralement l'« invité », c'est-à-dire, par euphémisme, le « compagnon homosexuel passif » et selon Goldstein « jouet sexuel » de Wangdu, un moine qui le traite avec douceur et favorise sa formation intellectuelle.

Il est cependant enlevé et séquestré quelques jours par un dob-dob et parvint à s'échapper, personne n'ayant rien put faire pour l'aider, ce dob-dob étant connu pour sa férocité avait toujours un poignard sur lui (selon Jean-Pierre Barou et Sylvie Crossman, ces moines-guerriers pouvaient aller jusqu'à se battre entre eux pour posséder les faveurs d'un mignon).

Tashi s'étonne que de tels comportements puissent être tolérés dans les monastères : « Quand je parlais des dob-dob aux autres moines et responsables monastiques, on haussait les épaules en disant simplement que c'était le cours des choses ».[...]

Les mémoires de Tashi Tsering sont édités en 1997 sous le titre The Struggle for Modern Tibet. The Autobiography of Tashi Tsering, et sous la cosignature de Melvyn Goldstein, William Siebenschuh et Tashi Tsering.

À sa sortie, le livre est le seul texte de langue anglaise dont on puisse dire qu'il provient d'un Tibétain vivant au Tibet (et non en exil)."

Source

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