mercredi, janvier 29, 2020

Satanisme et Shoah : faut-il croire à la version officielle ?

A l’occasion du soixante-quinzième anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz-Birkenau le 27 janvier 1945, le lama Kunzang, alias Pascal Treffainguy, dévoile sa version de l'histoire secrète du talmudo-protestantisme et de la Shoah.

(Durée 35:16)

Satanisme et Shoah : faut-il croire à la version officielle ?
Cela a-t-il cessé ou continue-t-il ?

par le Lama Kunzang
(Pascal Treffainguy) 

"La rédemption par le péché, vous connaissez ? Ou comment croire obtenir l’avènement d'une prophétie en perpétuant des massacres pour offenser Dieu. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en "ange de lumière". Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs oeuvres." (2 Corinthiens 11 : 14-15).

De par l'armée nationale (celle dite française mais qui sont des mercenaires de la finance anglo-saxonne) à l'agent de la DCRI (DGSI, la section milice de cette finance) Mohamed Mehra, c'est une doctrine satanique en marge du talmudiste qui, en s'intégrant au sionisme chrétien anglo-saxon, a frappé la communauté juive de son pire drame : le génocide de millions de talmudistes ashkénazes d'Europe (1922-1945) et le meurtre de milliers de juifs français... génocide associé à celui de millions de chrétiens (1914-1919) et bientôt de millions d'autres musulmans (guerre d'Algérie et 1947-2027).

Tiens ! Même le journal pas islamophile Le Point l'écrit à propos de Mohamed Mehra, qu'il décrit comme un agent des services secrets français et israélien : 

La Shoah ? En réalité un pur produit des bouffeurs de cochon : 100% noblesse noire européenne ! 100% anglo-saxon ! 100% protestant ! Et si peu allemand ... mais tant autrichien, plutôt viennois et en particulier de la famille de cet hôtel particulier voué au satanisme dans la rue Prinz Eugen 
(Il s'agissait de l'un des cinq palais Rothschild de la ville). Cette rue dont les nazis entrant dans Vienne ont fait nettoyer les trottoirs à la brosse à dent par les juifs de la ville pour les humilier, surtout lorsqu'ils refusaient de migrer en Palestine où les attendait la colonie mise en place conjointement par le IIIe Reich et l'Empire anglo-saxon.

Cela rappelle les jours maudits où les RG et les policiers de Vichy arrêtaient les résistants français, accusés de terrorisme pour s'opposer à l'Europe des nations de Hitler, et conduisaient les enfants juifs vers les trains funestes en les accusant de menacer de corrompre la nation française de leur sang sémite. Croyez-vous vraiment qu'avec un tel ADN quoique cela de bon soit à attendre des fonctionnaires de la police et de l'armée de la république, toujours bien nationalistes et antisémites ? 

Source : 
Les RG sous l'Occupation - Quand la police française traquait les résistants

C'est curieux comme le nationalisme français a toujours haï juifs et musulmans, pour mieux faire le lit des Anglais... et ce de Philippe-le-bel qui génèrera les causes de la guerre de cent ans à nos jours. Nationalisme, internationalisme et supranationalisme... toujours le même coronavirus. Bien attaqués du cerveau et du cœur les sans-couilles bleus et les verts : la vermine au service de la république de la City. Tout comme les églises et autres religions chant en chœur le NOM : "Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux. Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses oeuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. Autant elle s'est glorifiée et plongée dans le luxe, autant donnez-lui de tourment et de deuil. Parce qu'elle dit en son coeur : Je suis assise en reine, je ne suis point veuve, et je ne verrai point de deuil ! A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l'a jugée" (Apocalypse 18:4-8). 

Source : 

Livre :

Pascal Treffainguy

Qu'est-ce qui distingue la psychologie traditionnelle de sa version moderne ? Pour Pascal Treffainguy, l'influence du nomadisme dévié venu de Khazarie, qui aura mené une action de dissolution en profondeur de l'Occident et de là du monde pour les mener à un cataclysme final de nature satanique.


Le pacte secret entre les sionistes et Hitler

par Robin De Ruiter


La politique allemande après la prise de pouvoir d'Hitler en 1933 consistait à accélérer l'émigration des Juifs, selon les livres d'histoire, afin d'éviter toute influence juive sur la politique, l'économie et la culture allemande.

On ignore le fait que la situation politique a été une occasion unique de gagner les Juifs allemands aux idées du sionisme. La persécution des Juifs en Allemagne a été pour les sionistes une opportunité unique d'accélérer l'immigration vers la Palestine. Le secrétaire général du comité exécutif de la Jewish Agency, David Ben Gourion, futur Premier ministre, espérait que la victoire des nazis ferait le lit du sionisme. La persécution des Juifs allemands ne déplaisaient pas aux dirigeants sionistes, dans la mesure où elle pouvait poussait à l'immigration vers la Palestine.

Selon le journaliste et historien israélien Tom Segev, un haut fonctionnaire sioniste s'est rendu à Berlin quelques mois après la prise de pouvoir d'Hitler, pour discuter et négocier avec les nationaux-socialistes l'émigration des Juifs allemands et le transfert de leurs biens vers la Palestine. Le pacte de Haawara a été signé à la fin des négociations, il rait les intérêts du gouvernement allemand et du mouvement sioniste.

Le pacte de Haawara , terme hébreu qui signifie transplantation, a été mise en oeuvre par une société fiduciaire qui avait été créée conjointement en Allemagne et en Palestine. Avant de partir, les Juifs allemands déposaient leur capital auprès de la partie allemande de la société fiduciaire. Celle-ci achetait des biens de consommation en Allemagne, pour les exporter vers la Palestine. Quand un client commandait des produits allemands en Palestine, la transaction s'effectuait par l'intermédiaire de la société fiduciaire de Palestine, qui reversait aux Juifs venant de s'installer l'argent qu'ils avaient déposé en Allemagne.

Le pacte de Haawara a été conclu à la seule condition que les Juifs émigrent réellement vers la Palestine. On faisait croire aux Juifs que l'émigration vers la Palestine était leur unique chance de survie. Les biens de ceux qui préféraient émigrer dans les pays voisins de l'Allemagne ont par contre été saisis !

Pour les autorités allemandes l'émigration vers la Palestine était synonyme de vente de produits allemands à l'étranger. L'Allemagne a profité de ce traité commercial, qui lui a rapporté entre 1933 et 1939 la somme de 105.670.241 Reichsmark. Le pacte a duré jusqu'au milieu de la deuxième guerre mondiale.

Au fil des années, il y a eu d'autres contacts avec les nationaux-socialistes. Comme les sionistes pensaient que les programmes d'adaptation scolaire faciliteraient l'assimilation des Juifs allemands à la vie en Palestine, il y avait en Allemagne un système bien organisé de camps juifs d'adaptation. Les programmes étaient conçus en premier lieu pour les jeunes qui n'étaient pas encore dans la vie active. Ils avaient la possibilité d'acquérir des connaissances et des capacités dont on avait besoin en Palestine.

Le gouvernement allemand, surtout les SS, favorisait non seulement l'émigration, mais pratiquait aussi l'aide au développement. Les SS entraînaient de jeunes Juifs en âge de faire l'armée aux techniques militaires dans des camps spéciaux. En Palestine, il y avait même des cellules locales du NSDAP (parti national-socialiste des travailleurs allemands). Les réseaux secrets entre Allemands et Juifs ont permis à Adolf Eichmann de voyager en Palestine.

Après l'annexion de l'Autriche en 1938, Eichmann dirigeait en Palestine le bureau viennois de l'émigration juive, il entretenait des relations avec des fonctionnaires sionistes. Ajoutons qu'Eichmann logeait dans une aile de la résidence privée des Rothschild.

Uri Avernary, un homme politique israélien, membre de la Knesset et antisioniste convaincu, constate dans son livre Israël sans le sionisme, que les dirigeants sionistes n'ont presque rien entrepris pendant la guerre, pour aider les Juifs européens. Du point de vue sioniste, les actions purement philanthropiques comme sauver les Juifs allemands étaient mal considérées. Ces gens arrivaient sans biens et n'offraient pas les avantages que procuraient les Juifs de la Haawara. Les Juifs allemands qui obtenaient des autorisations de séjour en tant que réfugiés n'étaient pas bien vus. Les dirigeants allemands du mouvement d'émigration pensaient la même chose : « 90 % de ces gens ne sont d'aucune utilité pour la Palestine. » 


Dans les archives sionistes de Jérusalem se trouve un document du Comité de secours, qui traite d'une question étonnante: « Qui devons-nous secourir ? » ... « Devons-nous aider ceux qui sont dans le besoin, indépendamment de leurs qualités ? Ne devrions-nous pas en faire une action nationale et essayer de sauver en première ligne ceux qui seront utiles à l'État d'Israël et au judaïsme ?

Si nous sommes en mesure de sauver 10. 000 sur les 50. 000 personnes, et que ces 10. 000 contribuent à la construction du pays et au rétablissement de la nation, nous devons le faire, malgré les reproches et les demandes de la part des autres. A quoi sert de faire venir un million de personnes qui ne seraient qu'un fardeau supplémentaire ? Il faut sauver les jeunes pionniers, surtout ceux qui sont formés et qui ont les capacités intellectuelles pour travailler dans l'esprit du sionisme. » C'est la meilleure « matière première », dit le document » .

Les dirigeants sionistes ont pratiqué une politique palestinienne, non pas une politique juive. Même Chaim Weizmann ne pensait qu'à l'émigration vers la Palestine. Ce dirigeant sioniste de premier plan dit à cette époque: « Je préfère voir la chute des Juifs allemands que la chute du pays d'Israël pour les Juifs. »

Trois semaines après la nuit de cristal, en 1938, David Ben Gourion déclarait: « Si je savais qu'en acheminant tous les enfants juifs vers l'Angleterre je les sauverais et qu'en les envoyant en Palestine je n'en sauverais que la moitié, je préférerais la seconde solution. » En pensant à la nuit de cristal, Ben Gourion pensait que, par acquis de conscience, différents pays ouvriraient leurs frontières aux fugitifs juifs, ce qu'il considérait comme une menace : « Le sionisme est en danger ! » Les dirigeants du futur État ne considéraient pas qu'il était de leur devoir de sauver les Juifs d'Europe. Le devoir de la Jewish Agency, selon Ben Gourion, était de construire le pays Israël.

Comme la situation des Juifs en Allemagne empirait de jour en jour, les demandes d'émigration vers la Palestine affluaient. L'émigration a été brutalement ralentie en 1939, quand les Anglais ont limité par décret le nombre de nouveaux arrivants. C'est une honte que les Anglais aient bloqué plusieurs navires d'émigrés près de la côte israélienne et les aient renvoyés. Plus de 600 personnes ont été retrouvées noyées lors de ces opérations.

Il est de même très regrettable que les États-Unis et leurs Juifs très influents aient créé autant d'obstacles à l'émigration et à l'entrée sur le territoire américain de Juifs allemands. On peut constater que l'influence juive aux Etats-Unis était assez forte pour faire élire Roosevelt comme président, mais pas assez pour aider les Juifs orthodoxes allemands. Les Juifs réformés les plus influents dans des pays comme les Etats-Unis ont même soutenu les persécutions de Juifs orthodoxes, avant que ceux-ci ne se mettent à l'abri. La question de savoir pourquoi les Anglais, les Américains et les sionistes n'ont pas fait grand chose reste en suspens.

Nous rappellerons à cet endroit la remarque de l'écrivain juif J.G. Burg dans son livre "La faute et le destin" (Oldenburg 1972) : « Plus les Juifs font l'expérience de l'injustice dans ce monde, plus on les persécute, plus les chances des sionistes (Illuminati) de s'affirmer sont grandes. »



La guerre contre l’Islam est-elle une phase de la guerre ultime : la Guerre contre le Christ ?

La doctrine de la « démocratie libérale et des droits de l’homme » est une crypto-religion, une forme extrême, hérétique de judaïsme christ...