samedi, septembre 25, 2021

CROYANCE ET CONNAISSANCE






Le système limbique


Par Prajñâ

La “croyance” que les injections vous immunisent est une illusion qui n’est pas la “connaissance” qu’elles font tout le contraire et bien pire. Cette “croyance” bloque votre capacité à vérifier ce que contiennent ces injections. Les nombreux morts post-injections et la multitude des effets secondaires graves augmentent chaque jour dans tous les pays et sont cachés aux yeux du public par les gouvernements. Pour combien de temps encore ?! Il est interdit aux médecins et à l’ensemble des soignants de témoigner de ce qu’ils vérifient chaque jour de plus en plus, sous peine de poursuites, voire d’être licenciés s’ils insistent à témoigner. Une omerta inconnue jusqu’à ce jour règne sur le monde médical. 350.000 professionnels français de santé dans le secteur privé et libéral ont refusé de se faire injecter et sont maintenant, par ce refus, interdits d’exercer leurs métiers. Dans le secteur hospitalier c’est similaire.

Cette fausse pandémie n’a jamais existé. Elle aura servi de prétexte aux injections. C’est un tour de magie, un artifice fabriqué en falsifiant tous les chiffres à des fins politiques. Elle illustre parfaitement ce qui se passe dans les sectes qui inculquent de force à leurs adeptes, des croyances, une “foi” assez forte pouvant aller jusqu’à même contrecarrer l’instinct le plus puissant de la conservation de soi (accepter inconsciemment de se rendre à l’abattoir) et aussi celui de protéger ses enfants. C’est ce que nous voyons arriver en espérant que cette monstrueuse supercherie va se dévoiler aux yeux des peuples …

L’exemple des soldats américains ayant subi un “lavage de cerveau” pendant la guerre de Corée, une fois libérés des camps de prisonniers chinois communistes, tenaient des propos ahurissants à la gloire du système politique d’un pays où ils avaient, pendant des mois, été torturés. Manson, sorte de prophète d’une secte, assassina Sharon Tate, puis avoua avec cynisme : “Je peux convaincre n’importe qui de n’importe quoi si je le répète assez souvent et que le sujet n’ait aucune autre source d’information ! ”. C’est ce qui se passera et se passe encore par la propagande politico-médicale depuis début 2020. L’objet de nos propos est ici de présenter des informations autres que celles de notre gouvernement pour éclairer davantage.

Une double question se pose :

1 – Qu’est-ce que la croyance (ou la foi) ?

2 – Comment peut-on imposer une croyance ou une foi à quelqu’un ?

Si de nombreux penseurs ont disserté sur ce qui différencie l’expérience de la croyance de celle de la connaissance, les connaissances neurologiques qui viennent corroborer leurs déductions offrent en plus une signification biologique à la croyance fanatique. La différence entre une connaissance rationnelle et la conviction qui est la “nôtre” est une différence biologique. Ceci devrait nous conduire à réfléchir sur des comportements aberrants au sein même des religions mais aussi sur des comportements également aberrants chez ceux qui cherchent à détruire les religions, comme cela est en cours. Les deux comportements sont déterminés par des croyances, une foi aveugle par des “isme”, des “systèmes” sous influence du système limbique. Ce n’est pas un procès contre les religions car nous respectons les religieux non fanatiques mais une mise en garde sur ce que l’on peut y rencontrer de désinformation-information-distorsion-confusion, comme partout …

“Anatomie” de la croyance et de la connaissance.

La connaissance du monde qui nous entoure et la relation que nous avons avec lui, procède par étapes de l’activité du cerveau. La plus simple est recevoir des signaux apportés par les systèmes sensitifs et envoyer des ordres moteurs aux différents muscles. Le cortex cérébral de tous les animaux comme le reptile ou l’oiseau en est capable. Et, bien sûr, le cortex humain possède aussi ces zones primaires. La seconde étape de ce processus est une organisation de ces signaux et de ces ordres : seuls les mammifères dont l’homme en ont la capacité. C’est une combinaison des signaux sensitifs qui aboutit à la reconstitution de l’objet perçu et, sur le plan moteur, une combinaison des ordres en mouvement préfabriqués. Mais, en plus de ces zones secondaires, l’homme est le seul animal à posséder des zones “tertiaires” développées (ébauchées chez certains animaux comme le singe) grâce auxquelles il peut raisonner, associer des perceptions, avoir des idées, faire des projets. Ce sont les structures de la connaissance.

Par contre, il est possible que cela vous agace fortement de ramener les opérations les plus limitées de l’intelligence au fonctionnement de petites cellules grises, à un morceau de cervelle. Et vous dire : “je n’y crois pas”. Vous n’y croyez pas, parce que vous croyez que l’esprit de l’homme est ailleurs que dans le cerveau ce qui est une autre hypothèse que nous ne pouvons développer ici. Ceci nous amène à considérer ce qui se passe lorsque nous “croyons” quelque chose.

Craindre et désirer sont des manifestations émotionnelles. La croyance est une manifestation, non pas intellectuelle mais affective. C’est une certitude “subjective” qui ne se réfère pas au monde extérieur, c’est-à-dire objective comme la certitude intellectuelle, mais qui est fabriquée de toutes pièces dans l’intimité même de la personne. C’est un schéma qui fait partie intégrante de la structure mentale, au même titre que tous les schèmes dits “instinctivoémotionnels”. L’évocation de l’un de ceux-ci, par exemple nous montrer une image que nous trouvons effrayante, ou bien nous faire entendre une musique que nous trouvons délicieuse, déclenche immédiatement, indépendamment de notre volonté qui ne peut ni la créer ni l’inhiber, une émotion. Ces schèmes instinctivo-émotionnels sont “inscrits” dans une partie du cerveau, dite “archaïque”, car elle est chez nous assez semblable à ce qu’elle est (déjà) chez le poisson. C’est le CERVEAU LIMBIQUE quelquefois appelé le “rhinencéphale”.

Le cerveau humain comprend donc des zones primaires (reptiles et oiseaux), des zones secondaires (mammifères), des zones tertiaires où se construisent le raisonnement.

Cette zone tertiaire où s’inscrit la connaissance par l’action psychique de connaissance.

En avant : une zone qui occupe la partie antérieure du lobe frontal, située sous les bosses du front. En arrière, une zone située sous la bosse que nous avons sur la face latérale du crâne. Elle correspond à une région “carrefour” entre les lobes pariétal, occipital et temporal. La zone tertiaire latérale “du carrefour” opère donc la synthèse simultanée de toutes les informations entrantes mais aussi, chez l’homme, les convertit en mots, ce qui permet de faire de ces informations une manipulation quasi infinie : opérations de classifications, de généralisations aboutissant aux concepts puis aux abstractions. A noter que les propagandistes opèrent toujours une manipulation sémantique pour “brouiller les cartes” chez leurs auditeurs-récepteurs.

La zone tertiaire frontale, responsable de l’intentionnalité, va utiliser le matériel fourni par la zone tertiaire, pour programmer les comportements, les raisonnements, prendre des décisions, maintenir notre activité dans le sens programme en fonction des informations reçues. Elle vérifie à tout instant qu’elle est bien en accord avec la situation de l’organisme, que les activités se rapprochent bien du but qu’elle a défini et que ce but est atteint. Chaque instant de ce fonctionnement de notre intelligence est donc toujours contrôlé par le contact avec la réalité ambiante, il est sans cesse modifié par tout changement de cette réalité. Le fonctionnement de notre intelligence, ainsi conçu en neurophysiologie, est donc en accord avec le monde extérieur – soit directement, lorsque nous nous servons de perceptions, comme matériel de raisonnement, soit indirectement, lorsque nous nous servons d’idées, de concepts, d’abstractions “fabriquées” à partir de nos perceptions.

La conséquence de cela est que tout raisonnement intellectuel ou rationnel est ou peut être continuellement remis en question et modifié par une information nouvelle, par un autre raisonnement dont les arguments sont plus étayés que le précédent. (C’est ce que le politique ne veut pas et qu’il interdit les débats contradictoires sur les plateaux TV). Le lobe frontal remanie sa stratégie et adopte celle qui permet le plus sûrement d’aboutir au but qu’il a fixé. Votre lobe frontal a mis au point une stratégie pour permettre de lire cet article et une autre pour l’écrire. Les résultats des travaux qui sont rapportés ici, sont de l’ordre de la connaissance donc modifiables par toute information nouvelle.

Le système limbique où s’impriment les croyances.

Dès la naissance, notre cerveau limbique possède des “signaux” d’émotions primordiales, de peur, de colère, de “désespoir” par exemple. Et au fur et à mesure de notre existence, nous enregistrons de nouveaux signaux, c’est-à-dire que nous mettons dans notre “mémoire émotionnelle” des images, des idées, qui déclencheront (quand nous les rencontrons) une émotion, aussi sûrement que nos signaux innés. La croyance est un schème appartenant à cette catégorie : nous la sentons nôtre lorsqu’elle est inscrite dans notre système émotionnel, inatteignable par la volonté, à plus forte raison par le raisonnement. En effet, le système limbique n’est pas soumis au système cortical “tertiaire”. Sa signification primordiale est de fournir à l’individu un stock d’automatismes coordonnés pour parer aux urgences vitales (dont la survie de l’individu et de l’espèce), et une surabondance d’énergie immédiatement disponible. Il ne faut pas que ce mécanisme de “premier secours” risque d’être retardé, entravé par des “tergiversations” intellectuelles. Par contre, les schèmes émotionnels, c’est-à-dire l’activité limbique, influencent considérablement les systèmes tertiaires, par des connexions très importantes. C’est le domaine de l’irrationnel.

Nous sommes donc la cible de toutes sortes de persuasions : celles de la publicité, de la propagande dont politico-religieuse sectaire, de notre entourage et de nous-mêmes… Persuader c’est déclencher directement “un mouvement émotionnel vers” ou “un mouvement contre”, c’est-à-dire faire adopter comme sien par la personne ce qu’on lui propose, sans qu’elle ait à raisonner.

Toutes nos conduites, même les plus intellectuelles, résultent d’un travail cérébral qui a besoin d’énergie. Cette énergie est fournie par le double système de récompense–plaisir et de punition–souffrance. Le système de récompense apporte une énergie pour atteindre un but programmé qui est lui-même la récompense. Le système de punition renforce la stratégie frontale pour “l’évitement” d’un aboutissement redouté et qui serait la punition.


Donc, l’astuce de la “persuasion” est d’offrir des récompenses et de faire craindre des punitions. Pour y arriver il faut que cette manipulation de persuasion soit “étoffée”. Pour que cela marche et puisse durer, le prophète de la secte parfois leader politique fait en sorte pour “qu’une seule récompense” prenne le pas sur les autres. Il faut donc la marquer par un apprentissage dans le cerveau du sujet. Et un apprentissage se fait soit par un gros choc émotionnel soit par la répétition (propagande continuelle par les médias).

Ces données de la neurologie sont évidemment connues de quelques éminences grises qui guident des politiques qui les utilisent abondamment. Depuis janvier 2020 nous aurons donc pu voir combien le système limbique était redoutablement sollicité et influencé pour bloquer la zone tertiaire de la connaissance et nuire à son fonctionnement légitime. La peur constante entretenue chaque soir par la TV par des mensonges maintenant presque tous démontrés, les “punitions” : masque, amendes de 135 euros, distanciation sociale, impossibilité de voir autrui comme avant, interdictions de se déplacer, confinement, maintenant la punition de l’injection transformée en récompense, etc… On aura tout vu de l’absurde et du sordide !

C’est pourquoi : “Nous tous et nos opinions, nous sommes tous fabriqués comme jamais par les médias chiens de garde des pouvoirs politiques et religieux. Seuls ceux qui ont le courage de réfléchir par eux-mêmes peuvent avoir accès à la connaissance, mais la peur nous retient dans l’esprit de troupeau, nous ne pouvons pas quitter le troupeau…”. Ajoutons que très peu de psychologues, psychiatres, psychanalystes connaissent et peuvent tenir compte dans leurs métiers du système limbique. La plupart ne le connaissent même pas et ignorent son influence, ignorance étrange. Le psychanalyste ne sait pas que sur son divan, se trouve à la fois : “un crocodile, un cheval et un humain … !”.

… Les neurosciences ont montré l’influence du système limbique sur le néocortex, mais cela n’empêche pas leurs découvreurs d’être eux-mêmes sous influence de ce système ! Car il est une autre chose essentielle dont ces découvreurs ne peuvent tenir compte car ils la refusent et l’ignorent tout simplement : c’est l’Intuition métaphysique ou Connaissance métaphysique. L’homme neuronal tel le neurologue psychopathe, même ministre de la santé, sont manipulables et manipulateurs, soumis à la doctrine de leur secte … qu’ils veulent imposer. Quand nous parlons d’Intuition métaphysique nous ne parlons pas de la catastrophe Cartésienne.

MAIS … L’homme qui a cette Intuition métaphysique développée, Intuition qui n’est ni intellectuelle au sens profane ni affective, ne peut plus être manipulé ni par quiconque, ni intoxiqué par son système limbique, ni par son lobe frontal agité, car il peut contrôler les deux hémisphères, le droit, siège-support des croyances, des fantasmes, des persuasions, des hallucinations, et le gauche, siège-support des mathématiques, de la linguistique, de la logique. Cependant, le corps calleux qui relie les deux hémisphères peut conduire à un comportement à la fois logique et illogique comme chez de grands scientifiques ! Par l’Intuition métaphysique, (la Prognosis des philosophes grecs), cet homme éclairé ne peut plus tomber dans le fanatisme irrationnel tant religieux que politique par les croyances (limbique) ni tomber dans le rationalisme scientiste (lobe frontal non contrôlé). Il n’appartient plus à aucun troupeau. Voilà la véritable liberté, libération, au-delà des conditions et des aberrations humaines. Ces notions ne sont certes pas faciles à comprendre et c’est cette Intuition métaphysique qui le permet. Ce qui est nommé Spiritualité garde sa valeur si cette Spiritualité est éclairée par l’Intuition métaphysique pour émanciper des croyances et du rationalisme quand cette Spiritualité ne s’appuie sur aucune “béquille”. Il est fondamental de réfléchir sur la différence entre la tête et le cœur libéré(s) des conditionnements … “débrancher le terminal” des folies vers la sérénité atemporelle. Les notions d’espoir et d’espérance légitimes s’apaisent dans la reconnaissance et l’acceptation (pas résignation) des choses “telles qu’elles sont”. Voir le spectacle tel qu’il est, passer par-delà du spectacle et du spectateur est l’impact irréversible sur le cœur de l’Intuition Métaphysique.


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