dimanche, septembre 12, 2021

11 Septembre 2001, la mystérieuse destruction d'une 3e tour


Le 11 septembre 2001, une troisième tour, la tour 7 du World Trade Center (WTC 7), s'effondra sur elle-même sans avoir été percutée par un avion. La Commission d'enquête a passé le cas sous silence.



A third building in New York's World Trade Center collapsed late on Tuesday - seven hours after the complex's twin towers were destroyed in a suicide air attack.

Commentaire d'un youtubeur : " (...) il est difficile d'en trouver beaucoup (de vidéos sur l'effondrement de la 3e tour). YouTube les supprime."


"(...) les télévisions ont été informées de l’effondrement de la Tour 7 avant qu’il ait lieu. 

Alan Dodds, correspondant sur place de CNN, rapporta au téléphone à 11 h 07 qu’un pompier venait de lui apprendre qu’un troisième immeuble de cinquante étages s’était effondré ; la Tour 7 ne s’effondrera que six heures plus tard. Aaron Brown annonça sur la même chaîne CNN vers 16 h 15, plus d’une heure avant les faits : « Nous recevons à l’instant l’information qu’un des autres bâtiments, le bâtiment 7, vient de s’effondrer ou est en train de s’effondrer. » À 16 h 54, Jane Standley, correspondante de BBC World, annonce à son tour l’effondrement de la Tour 7, qui est encore visible derrière elle au moment où elle parle. Richard Porter, directeur de l’information à BBC World, expliquera cette invraisemblable « erreur » par « the chaos and confusion of the day ».

L’homme qui pourrait certainement nous donner la raison de l’effondrement de la Tour 7 est son propriétaire Larry Silverstein, le requin de l’immobilier qui prit également en leasing les Tours jumelles à la ville de New York au printemps 2001. Interviewé pour le documentaire de PBS America Rebuilds en septembre 2002, Silverstein déclara au sujet de la Tour 7 : « Je me souviens avoir reçu un appel du chef du département des pompiers, me disant qu’ils n’étaient pas sûrs de pouvoir maîtriser le feu, et j’ai dit : “Nous avons déjà perdu tant de vies, peut-être que la meilleure chose à faire est de le tirer (pull it).” Et ils ont pris la décision de le tirer (pull) et on a regardé le bâtiment s’effondrer . » Parce qu’il est impossible de démolir (tel est le sens de pull dans le jargon du bâtiment) un gratte-ciel en quelques heures, Silverstein s’est repris par la suite en expliquant qu’il avait voulu parler d’« évacuer » l’équipe de pompiers, comme si une telle décision lui revenait. 

Mentionnons que durant l’été 2001, alors qu’il venait d’acquérir les deux Tours jumelles, Silverstein avait renégocié ses contrats d’assurance afin de couvrir chaque tour contre les actes terroristes à hauteur de 3,5 milliards de dollars, et de s’assurer qu’il aurait le droit de les reconstruire. Après les attentats, il a poursuivi ses assureurs en justice afin de recevoir le double de l’indemnisation prévue, en prétextant que les deux avions constituaient deux attentats séparés. Après une longue bataille juridique, il empocha 4,5 milliards. Un autre détail a son importance : depuis des années, les Tours jumelles devaient être désamiantées, mais le coût pharaonique du désamiantage, estimé à près d’un milliard de dollars en 1989, avait fait reculer indéfiniment ce chantier. L’Autorité portuaire de New York avait été trop contente d’en passer la responsabilité à Silverstein en 2001. [...]

Larry Silverstein

Selon l’agent renégat Victor Ostrovsky (By Way of Deception, 1990), le Mossad tire son efficacité de son réseau international de sayanim (« collaborateurs »), terme hébreu désignant des juifs vivant hors d’Israël et prêts à accomplir sur demande des actions illégales, sans nécessairement connaître leur finalité. Une opération de l’envergure du 11-Septembre nécessite la collaboration, non seulement d’un réseau infiltré dans le gouvernement, mais aussi de puissants collaborateurs dans la société civile. 

Larry Silverstein, titulaire du bail des Tours jumelles depuis avril 2001, apparaît comme l’archétype de ces super-sayanim new-yorkais. Il est membre dirigeant de la United Jewish Appeal Federation of Jewish Philanthropies of New York, le plus grand leveur de fonds américains pour Israël (après l’État américain, qui verse chaque année trois milliards d’aide à Israël). Silverstein était aussi, au moment des attentats, l’ami intime d’Ariel Sharon et de Benjamin Netanyahou ; il est en conversation téléphonique chaque dimanche avec ce dernier, selon le journal israélien Haaretz. Le partenaire de Silverstein dans le bail du WTC pour le centre commercial du sous-sol était Frank Lowy, un autre « philanthrope » sioniste proche d’Ehud Barak et Ehud Olmert, et ancien membre de la Haganah. Le chef de la New York Port Authority, qui privatisa le WTC en concédant le bail à Silverstein et Lowy, était Lewis Eisenberg, également membre de la United Jewish Appeal Federation et ancien vice-président de l’AIPAC.

Silverstein, Lowy et Eisenberg furent sans aucun doute trois hommes clés dans la planification des attentats contre les Tours jumelles. Mais tout aussi crucial fut le rôle de ceux qui ont couvert les véritables criminels, au plus haut niveau des autorités policières et judiciaires.

Au premier rang vient Michael Chertoff, qui dirigeait la Division criminelle du Département de la Justice en 2001 ; ce fils d’un rabbin orthodoxe et d’une pionnière du Mossad fut responsable de la rétention et destruction de toutes les preuves concernant le 11-Septembre, des caméras du Pentagone aux poutres du World Trade Center. C’est à lui également que les « espions » israéliens (y compris les « Israéliens dansants ») doivent leur discret rapatriement.

En 2003, il est nommé à la tête du nouveau Department of Homeland Security chargé du contre-terrorisme sur le territoire américain, ce qui lui permet de contrôler la dissidence tout en continuant à restreindre l’accès au dossier du 11-Septembre à travers le programme Sensitive Security Information. 

Si une enquête impartiale était un jour ouverte, le maire de New York Rudolph Guliani et son successeur à partir de janvier 2002, Michael Bloomberg, devraient aussi s’expliquer sur leur rôle dans la vente des 70 000 tonnes d’acier du WTC à Metals Management (dirigé par le sioniste Alan Ratner), pour recyclage en Chine et en Inde. Sur le banc des accusés devrait aussi comparaître le commissaire de police de la ville Bernard Kerik, aujourd’hui en prison pour fraude fiscale suite à un « prêt » de 250 000 dollars reçu de l’homme d’affaires israélien Eitan Wertheimer lors d’un « séjour d’observation » en Israël début septembre 2001.

Selon le rapport gouvernemental du NIST (National Institute for Standards and Technology), le Boeing qui s’encastra dans la Tour Nord « a fait une entaille de plus de la moitié de la largeur du bâtiment et qui s’étendait du 93e au 99e étage. Tous ces étages étaient occupés par Marsh & McLennan, une compagnie d’assurance internationale qui occupait également le 100e étage. » Le PDG de Marsh & McLennan est alors Jeffrey Greenberg, fils de Maurice Greenberg, richissime sioniste qui contribua massivement à la campagne de George W. Bush. Maurice Greenberg se trouve aussi être le propriétaire de Kroll Associates (renommée Kroll Inc. en août 2001), la compagnie en charge de la sécurité dans tout le complexe du World Trade Center. Les Greenberg étaient aussi les assureurs des Tours jumelles mais, le 24 juillet 2001, ils avaient pris la précaution de réassurer leur contrat auprès de concurrents, ce qui leur évita d’avoir à indemniser eux-mêmes Silverstein et Lowy. Et, comme le monde est petit, en novembre 2000, le conseil d’administration de Marsh & McLennan accueille en son sein Lewis Paul Bremer, celui-là même qui interviendra le 11 septembre 2001 sur le plateau 
de NBC – sans rien laisser transparaître de la peine que lui cause la mort de ses employés (295 seront officiellement dénombrés parmi les victimes)."

Lire la suite dans JFK - 11 Septembre de Laurent Guyénot.

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