Le Samouraï et l’Art de la « NON-épée ! ».
Il serait utile au lecteur qui ne les aurait déjà investiguées de comprendre les principales notions suivantes sans que puissions ici les développer. Elles sont utilisées par toutes les tyrannies politiques et religieuses depuis la nuit des temps pour asservir les masses et les dominer. C’est ce que nous vivons en direct au prétexte d’une fausse pandémie par des mensonges d’état et religieux.
Harcèlement moral ou vampirisme psychique par des pervers narcissiques. Dissonance cognitive. Dystopie. Fabrique du consentement. Inhibition de l’action. Inversion accusatoire. Chocs post-traumatiques.
Ce qui en résulte toujours est la recherche de la destruction psychophysique de celui qui les subit sans les comprendre. Les inquisiteurs de l’Eglise catholique les connaissaient et les pratiquaient. Ils rédigèrent leur « droit canon de l’inquisition » qui sera repris ensuite par des psychologues fascistes au service d’Hitler et autres pervers narcissiques. Au présent, le gouvernement français les pratique aussi.
Les notions suivantes font lien indissociable avec les notions précédentes :
1. Distorsion – Confusion – désinformation – incompréhension.
2. Entropie – néguentropie – homéostasie – rétroaction.
Des stratèges de l’Art de la Guerre
1. L’Art de la Guerre par SUN TZU, écrit il y a 2500 ans. “Si l’on veut détruire l’ennemi, il faut utiliser la “duperie”, c’est-à-dire la guerre totale du mensonge. C’est un classique qui sert à beaucoup de politiques, de chefs d’entreprises, de financiers, tous sans aucun état d’âme.
2. Vishnugupta Chânakya [350-275] avant notre ère était un Indien brâhmane hérétique. Son ouvrage Arthashâstra « science du politique » est un traité politique, d’économie et de stratégie militaire. Nommé « Kautilya » cet homme incarnait ce que signifie son qualificatif : “Savoir utiliser la malhonnêteté et la fausseté pour arriver à ses fins, sans aucune considération éthique pour gérer un royaume !”
3. L’Art de la guerre écrit en 1521et le Prince en 1532 par l’italien Machiavel.
4. De la Guerre par Carl Von Clausewitz [1780-1831]. La plupart des Tyrans récents jusqu’à Staline et Hitler avaient ce livre sur leur table de chevet … Ces livres sont étudiés à l’école des sciences politiques.
5. Mais un autre ouvrage se démarque totalement des précédents livres nommés : « L’Art de Gouverner » Le livre des Maîtres du Sud-de-Houaï. Ce livre émane d’un cercle de Sages au 2ème siècle en Chine. C’est un traité voué au contraire des quatre autres.
Origine des Arts Martiaux
Le Kalarippayatt est un art martial qui vient du Kerala au sud-ouest de l’Inde et du Tamil-Nadu au Sud-Est. Les deux états se touchent comme le Portugal et l’Espagne. Le Kalarippayatt, ancêtre des arts martiaux (?) signifie « lieu des exercices » pour s’exercer puissamment. Cet Art martial est aussi médical et fondé sur la médecine ayurvédique : « veda = connaissance, et ayur = vie ». Le moine Bodhidharma se rendra par bateau, du Tamil-Nadu en Chine en 520 de notre ère, y apportant des enseignements bouddhiques et la technique Yogique de méditation des « dhyâna » qui donnera le Ch’an-na chinois puis le Zen-na Japonais. Bodhidharma « serait » à l’origine du monastère de Shaolin pour apprendre aux paysans à se défendre contre leurs agresseurs.
Le Parfait Samouraï
Le vieux fabriquant de lampes
"Dans les montagnes du nord du Japon vivait un vieil artisan de nature paisible, connu pour son exceptionnelle habileté à la confection d’éventails et de lampes en papier. Il espérait finir ses jours comme il avait vécu, dans la plus grande sérénité, sans désirs ni remords …
Il avait une fille très belle qui avait été promise à un notable de la ville voisine. Le mariage était officiellement annoncé quand la fille s’était enfuie avec un jeune calligraphe… Des émissaires firent savoir à notre artisan que le notable s’estimait atteint dans son honneur et qu’il demandait réparation par les armes à un mâle de la famille.
Le vieil homme n’avait pas de fils. L’entourage de l’artisan le pressa d’aller consulter un vieux maître d’armes de grande renommée. Le combat aurait lieu dans deux jours.
Le vieux maître écouta très attentivement le récit du fabricant de lampes et l’observa en silence. Puis il lui dit d’une voix douce et ferme :
« Je ne peux rien t’apprendre dans un délai aussi court, sinon à dégainer ton épée selon la tradition. Mais je peux te donner des conseils pour mourir ».
Le matin du combat, à l’endroit prévu, il retrouva son adversaire. Il le salua de loin. Il dégaina sans trembler d’un mouvement ample et harmonieux. Puis, se tenant droit, il éleva l’épée à deux mains au-dessus de sa tête, ferma les yeux et attendit.
Rien ne se passa. Il finit par rouvrir les yeux : son adversaire avait disparu.
La façon dont il venait d’engager le combat était connue des Samouraïs pour être réservée aux très grands maîtres de l’épée.
Tout le village se réjouit de l’artifice qui avait valu la vie sauve au fabricant de lampes et on loua la ruse du vieux maître.
MAIS, il n’y avait ni ruse ni artifice. Seule la parfaite maîtrise de soi – que procure une acceptation de la mort, aussi bien que de longues années d’apprentissage – avait pu donner au vieil homme une assurance propre à terrifier un samouraï imparfait.
Conseils pour devenir « Maître », « Guru », « Sensei »
2. Portez de belles robes, blanches, noires, jaunes, mieux : couleur pourpre avec broderies d’or. Ne vous laissez jamais voir en vêtements ordinaires, surtout si vous avez les jambes torses.
3. Si possible, mettez une mitre ou une tiare avec des signes mystérieux [n’importe lesquels].
4. Portez un beau plastron, brodé d’or également.
5. Vous pouvez boire des apéritifs, du vin, des alcools, fumer autant de cigarettes mais en « privé » ; éteignez votre cigarette au moment d’entrer dans la salle de méditation, vous pourrez la rallumer aussitôt sorti.
6. Dites n’importe quoi, vos disciples trouveront le sens de vos paroles. S’ils posent des questions, dites-leur : « Vous pensez trop, cessez de penser, méditez ! ».
Une histoire Chinoise
– Confondu, le pseudo-Maître regarde ici et là. Le visiteur s’exclame : « Bien, bien, j’ai compris ! Et qu’est-ce que le Dharma ? »
– Le Maître lève les yeux au plafond puis les baisse, ne sachant que dire … « Bien, bien, j’ai compris ! Et qu’est-ce que la Communauté des disciples ? » – Le Maître ferme les yeux, pensant : je suis perdu ! « Bien, bien, j’ai compris !».
Retrouvant ses amis, le visiteur leur dit : Ce Maître est extraordinaire, je lui ai demandé ce qu’est le Bouddha, alors il a regardé à droite et à gauche, me signifiant par-là que le Bouddha est partout ; pour le Dharma, il a regardé en haut et en bas, me faisant ainsi connaître que le Dharma ne doit être l’objet d’aucune discrimination entre le haut et le bas, le pur et l’impur, l’essence et le mot. Quant à la Communauté des disciples, il a fermé les yeux, voulant dire que la signification ultime de la Communauté est la Vacuité. Quel Maître !
Lorsque les deux disciples revinrent, le Maître les gronda : « Où étiez-vous ? Un visiteur m’a posé des questions, je n’ai pas pu répondre, que va-t-il penser de moi ?! »
Méfions-nous des « contrefaçons » politiques, religieuses, médicales. Elles sont apparues au grand jour et comme jamais aux yeux de ceux qui peuvent les VOIR.
Prajñâ
La mondialisation dans le monde
Noël acquiert 51% du capital de Pâques : le groupe Noâques est né, sa date est fixée au 21 juillet.
