mercredi, août 25, 2010

Les sources occultes du matérialisme et du bolchévisme


« Selon Rudolf Steiner, l'anthroposophie n'est pas une religion mais elle cherche à élucider le contenu des diverses religions. Dans le christianisme, par exemple, ce n'est pas le message religieux qui serait le plus important, mais l'action objective du Christ, considéré comme « l'esprit guide de la terre ». D'un point de vue social, le renforcement de l'ego conduirait au chaos, à la « guerre de tous contre tous ». Pour éviter cela, l'entité christique pourrait imprégner les êtres humains de la force d'amour, ce qui leur permettrait de vivre ensemble en harmonie. » ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Anthroposophie#L.27entit.C3.A9_christique )

L'an 666, « on sait, écrit l'anthroposophe Serge O. Prokofieff, que ce nombre est celui qui, dans l’Apocalypse, est dit « nombre de la bête ou celui du démon solaire », adversaire principal du Christ au sein de notre cosmos, à cette date correspond en effet la première intrusion dans l’histoire de l’évolution humaine des forces dirigées contre l’évolution terrestre tout entière. Sous cette influence démoniaque est née en Asie mineure, près de la ville actuelle de Bagdad, l’académie de Djoundichapur.

Après qu’au VI° siècle l’empereur Justinien eut fermé sur le territoire de l’empire byzantin toutes les écoles grecques de philosophie, et que la plupart des philosophes et des savants grecs furent obligés de chercher refuge en Asie, leur sagesse fut réunie au VII° siècle dans ladite académie par un certain “ initié noir ”, qui en ce temps fut l’instrument humain du démon solaire lui-même.

C’est à l’aide de cette très grande sagesse pré-chrétienne réunie à l’académie de Djoundichapur que le démon solaire avait l’intention de séduire l’humanité en introduisant prématurément dans son âme des forces qu’elle n’était absolument pas prête à recevoir. Autrement dit, ce stade de la vie psychique qui ne devait apparaître sur terre que progressivement par les propres efforts de l’homme vers le milieu de la cinquième époque postatlantéenne actuelle, celle de l’âme de conscience (vers le milieu du troisième millénaire), devait, suivant les intentions du démon solaire, submerger l’humanité déjà au VII° siècle, comme une révélation suprême, ayant sur les âmes qui n’y étaient pas du tout préparées l’effet d’une impulsion satanique, d’une force de destruction terrible. Si cela s’était pleinement réalisé, toute l’humanité se serait trouvée sur la voie menant vers un état totalement démoniaque. (Il faut savoir que les démons ne créent rien. Ils récupèrent les données de la sagesse d’une époque passée pour s’introduire dans l’âme en la séduisant par ces connaissances dévoyées.)

La situation générale où se trouvait la population européenne peut être caractérisée comme suit : la majeure partie des habitants de l’Europe était en ce temps-là au stade du développement de l’âme de sensation. C’étaient pour la plupart des paysans, ne sachant ni lire ni écrire, mais ayant déjà majoritairement adopté le christianisme. Croyant ardemment à ses principes fondamentaux, ces gens très simples étaient dirigés par l’église de manière très autoritaire, ce qui semble normal au stade d’évolution de cette époque. Ce n’est qu’une couche de gens cultivés, peu nombreux, comprenant surtout à l’époque non pas la noblesse, mais le clergé, et particulièrement les membres de certains ordres monastiques, qui alors disposaient des forces de “ l’âme d’entendement ”. Ces gens se groupaient généralement dans les monastères qui étaient alors les principaux foyers d’érudition et qui communiquaient entre eux en latin. Cette impulsion culmina ensuite au XIII° siècle, à l’apogée de la scolastique.

C’est dans cet état de la conscience européenne que le démon solaire appelé Sorat - dont les nombres des lettres du nom forment 666 - voulait déverser sa révélation de manière prématurée, ce qui aurait eu pour effet de bloquer tout développement ultérieur du soi individuel au sein de l’humanité. Mais à ce moment, l’intention du démon Sorat n’a pas pu se réaliser pleinement. Elle a été contrariée de l’intérieur par les forces qui avaient été libérées au moment du Mystère du Golgotha et agissant au sein de l’évolution terrestre, et de l’extérieur – par l’apparition de l’Islam sur la scène de l’histoire, qui tel un ouragan, balayant tout sur son passage, s’est rapidement propagé sur tout le Moyen Orient. Cela brisa la pointe de l’impulsion de Djoundichapur.

Et pourtant, même sous une forme ainsi très affaiblie, les forces de Djoundichapur ont continué d’agir dans le monde chrétien. C’est ainsi que sous leur influence en 869, au concile “ œcuménique ” de Constantinople, le principe de l’esprit en l’homme fut officiellement soustrait de l’être humain. Depuis lors, suivant la dichotomie proclamée par le concile, seuls étaient reconnus à l’homme un corps et une âme, celle-ci ayant certaines qualités spirituelles limitées. La civilisation occidentale prit, de ce fait, une orientation matérialiste qu’elle a gardé jusqu’à nos jours. Le comble de cette évolution en Europe, ce fut la théorie de Darwin selon laquelle l’être humain descendait de l’animal, et également la doctrine de Marx sur la primauté de l’existence sociale sur la conscience individuelle, ce qui au fond n’était que l’application concrète du darwinisme au domaine des relations humaines. C’est ainsi que l’élimination de l’esprit au IX° siècle par l’église romaine a servi de fondement à ce que, dix siècles plus tard, dans le marxisme, l’âme humaine soit également éliminée. Dès lors, dans la conscience de la majorité des gens ayant reçu une formation scientifique, l’homme a continué d’exister en tant que forme corporelle privée d’esprit et d’âme, tel un mécanisme physique extraordinairement compliqué.

C’est justement l’orientation matérialiste au sein de la science qui a conduit au XIX° siècle au marxisme, et au XX° siècle – à sa réalisation concrète, le bolchevisme. Il est possible ainsi, même de façon purement historique, de mettre à jour un lien direct entre l’académie de Djoundichapur au VII° siècle et l’avènement du bolchevisme au XX° siècle.

Toutes les mesures prises par les bolcheviques, telles que le collectivisme, l’industrialisation et surtout ladite “ révolution culturelle ” ne servaient en réalité qu’un seul but : imprégner par les forces du démon Sorat (la bête de l’Apocalypse) un nombre aussi grand que possibles d’âmes humaines.

Le résultat fut que l’impulsion démoniaque liée au nombre apocalyptique de la bête, dont l’intrusion parmi la population européenne avait en partie échoué précédemment, a eu bien plus de succès en Russie à partir de 1917.

( L’académie de Djoundichapur - Jundishapur - fondée par le roi de Perse Chosroès. Les « nestoriens » y tenaient une place importante.)

Photo : God of materialism, Chen Wenling

http://madamepickwickartblog.com/?p=5167

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