samedi, août 06, 2022

L'organisation de la dissidence spirituelle








Considérations sur la Nation Libre


1 - La dissidence spirituelle 


La libération individuelle n’est possible que dans un cadre social harmonieux, où l’individu peut puiser la force de s’élever au dessus des systèmes de puissance matérielle. Or, aujourd’hui, l’emprise des réseaux électromagnétiques bloque la réception et l’assimilation des énergies cosmiques pures.

L’individu, sous tension constante de millions d’ondes, est le récepteur inconscient d’informations fausses dont l’atmosphère est saturée. Il doit s’en soustraire en transférant son potentiel vital dans un système social absolument différent que nous appelons la « Nation Libre ».

La Nation Libre n’est pas une entité fermée mais c’est la fédération des communautés réunies par affinités d’âme, et échappant au contrôle mondial.

L’individualisme est une attitude de liberté illusoire qui conduit à une plus forte dépendance par rapport à la sous-conscience collective.

La liberté intérieure ne peut s’exercer pleinement que dans un cadre véritablement humain, une communauté d’âme – une famille énergétique - unie dans la création, la production, la spiritualité et le gouvernement. 



Il faut s’organiser en nation politique indépendante pour semer le germe d’une nouvelle civilisation.

L’isolement de la fausse unité virtuelle fait retomber dans la sphère du système de masse qui domine la conscience collective. (exemple : les réseaux de « prière pour la paix » sous contrôle de services spéciaux et des gourous qu’ils manipulent ; les émissions « d’ondes d’amour » par la technologie ELF, la propagande pour « l’unité mondiale », et toutes les séductions anesthésiantes…)

L’espoir en une unité internationale – l’alter mondialisme ou le nouvel âge – est une propagande pour mettre l’humanité sous contrôle par la « douceur » avant l’usage de la violence effective – ou pour la masquer.

L’espérance en un sauveur providentiel, politique ou messianique, paralyse la volonté d’agir et anesthésie les ressources spirituelles profondes.

A l’avenir, une authentique communauté humaine devra être constituée d’un groupe d’individus unis dans un même but spirituel. Ils se seront choisis et acceptés, se connaîtront, pourront se voir, se parler, collaborer et s’aimer. Ils viseront un but supérieur de libération de groupe. Leur potentiel énergétique collectif se déploiera en une force donnant naissance à la « technologie morale ». (Machines éthériques réagissant à l’amour et protections neutralisantes.)

Il faut se soustraire à l’emprise psychique et culturelle collective pour recréer des foyers de civilisation qui seront comme des îles sur la mer houleuse des temps à venir.

L’idée de se constituer en Nation Libre est un acte de rupture. C’est l’amorce de la séparation de l’humanité en deux races distinctes. Ce processus de sélection est en voie de s’accomplir. D’un côté, la masse soumise aux autorités, et de l’autre, une minorité qui aspire à une vie radicalement autre.

Cette minorité doit s’organiser pour se protéger des nuisances de la « technologie noire », mais aussi, dans un proche avenir, elle devra repousser les pressions brutales exercées pour la remettre au pas. Plus tard, grâce à la technologie morale fondée sur « l’énergie libre intérieure », l’adversité sera tenue à distance, et cette minorité pourra créer une civilisation autonome.

Ceux qui ne peuvent pas encore lâcher le système, ou qui croient en son amélioration, pourront rejoindre la Nation Libre ultérieurement. Pour le moment, peu d’êtres comprennent ce qu’implique une rupture avec le système, et comment la réaliser spirituellement et pratiquement.

Lorsque des coercitions morales ou des persécutions surviendront, ils verront clairement à quel type d’esclavage et de robotisation on les amène dans l’ordre mondial. Alors, beaucoup voudront s’échapper. En attendant, ils rêvent que les loups vont se transformer en agneaux. Cette inertie est entretenue par la propagande idéaliste et pacifiste par laquelle on leur lave le cerveau.


Comment libérer l’énergie libre intérieure ? 

Cette question conditionne l’existence d’une Nation Libre. Sans énergie, pas de survie et pas de vie. L’acte de dissidence par rapport au « monde du mal » – qui est la civilisation fondée sur les énergies électromagnétiques violentes et le matérialisme – cet acte de dissidence est un acte de conscience. Celui qui est conscient de la souffrance qui règne ici-bas, l’exploitation des règnes vivants et l’esclavage humain, et qui réalise lucidement que la situation dépassera les cauchemars de la science fiction, cet être est en train d’acquérir la conscience de l’ère nouvelle.

Cette conscience sensible est capable de se relier à des courants spirituels qui peuvent régénérer la vie planétaire corrompue. Mais, ces forces ne sont assimilables que par des êtres humains acceptant les enjeux de ce renouvellement. Cela implique de fonder un groupe social, une civilisation fondée sur l’énergie libérée par un nouveau métabolisme organique et spirituel. Il faut une mutation intérieure pour parvenir à l’unité de la tête et du cœur et disposer d’une véritable science spirituelle.

Cette conscience morale ne peut se compromettre avec la civilisation actuelle. Un être qui s’attache au vieux monde ne peut pas éprouver cette force subtile. Il n’est pas encore sur la bonne fréquence. Par contre, un groupe d’êtres conscients, emplis d’un désir d’absolu, peut devenir le récepteur d’une grande force cosmique. C’est cela la Nation Libre.

2 - L’âme combattante 

Qu’est-ce qu’un esprit léger aujourd’hui ? C’est quelqu’un qui dit par exemple : « Moi , on ne m’obligera pas à recevoir la puce sous-cutanée ! »

A l’heure ou certains pays imposent la « puce » aux enfants des écoles sous prétexte de sécurité, on peut prévoir que de manière irréversible, ce processus aboutira à une loi « démocratique » nous obligeant à nous faire injecter une micro chip, au risque, en cas d’insoumission, de devenir des parias privés de droits et de moyens de subsistance. Il ne sera plus temps d’appeler au secours les ligues de défense des droits de l’homme, car celles-ci seront alors devenues les pires adversaires de la liberté. Il n’y aura aucun lieu où se réfugier dans l’empire mondial. Pas même une jungle.

Un esprit superficiel, c’est quelqu’un qui dit : « On en arrivera jamais là ». (C’est qu’il a déjà accepté).

Un esprit plus stupide encore, dira : « On verra pour se protéger le moment venu ». Quant à celui qui est débile, il en arrive à penser : « De toute façon, je serai mort d’ici là ».

Que peuvent faire les êtres sensibles et conscients ? Il faut examiner la situation sans se voiler la face, en restant sourd au chant des sirènes, ce qui est devenu une tâche de tous les instants.

Il faut anticiper les événements à venir, en déduisant les effets lointains de ce qui se prépare sous nos yeux. Il faut réaliser qu’un puissant esprit démoniaque est à l’œuvre, et qu’il attaque l’âme depuis l’intérieur de l’être – si bien qu’on ne peut que constater son inexorable avancée. Il faut savoir également que l’enjeu spirituel de cette bataille est d’opérer une sélection des âmes, en mettant l’homme au défi de résister au mal en refusant la robotisation de la culture binaire.

C’est le temps de la séparation entre les « bons » tournés vers l’esprit, et les « mauvais » tournés vers la matière. Ceux qui voient là un dualisme simpliste, ont déjà choisi leur camp. La minorité qui se démarquera sera constituée des êtres (encore humains) qui prennent conscience de l’enfer où l’on nous entraîne, enfer où nous descendons lentement et inéluctablement, par manque de vision des risques – comme si nous étions paralysés dans l’impasse du présent.

On ne voit pas ce qu’il serait possible de faire pour inverser le cours des choses. Alors, en attendant, nous nous perdons en conjonctures, en nous réfugiant dans notre séculaire attitude de l’autruche.

Vous pouvez encore agir, spirituellement et concrètement. Il y a une marge de manœuvre si vous vous arrachez à vos évasions. Mais il faut mettre de côté ce qui est personnel, alors que tout renforce notre individualisme.

Rassemblez-vous avec ceux qui refusent l’engloutissement matérialiste. Démontrez votre volonté de maintenir des foyers de vie décente sur cette planète, afin que les âmes qui doivent y descendre, trouvent des conditions d’incarnation préservées. Pensez à défendre la dignité de l’âme, maintenant et pour le futur.

Tout en travaillant à votre élévation de conscience dans le présent, vous pouvez préparer de bonnes conditions pour les âmes qui descendront ici-bas pour accomplir leur périple selon le plan divin. Car la vie continuera pendant des millénaires même si une guerre éclate entre les camps des « bons » et des « mauvais ». (Les forces libres seront protégées par leur technologie morale fondée sur l’énergie libre intérieure.)

La puissance démoniaque qui agit à travers la technologie actuelle n’en est encore qu’à ses débuts ! Sa victoire sur l’ensemble de l’humanité sera totale, à l’exception du petit nombre qui se démarque, avec encore trop d’hésitation, à cause de la névrose sécuritaire qui s’est emparée de tous.

C’est le temps de la grande séparation. Pour que personne ne s’échappe, l’ordre mondial nous met sous contrôle par tous les moyens : économiques, technologiques et même spirituels !

Comment s’échapper ? Regroupez-vous au sein de la nouvelle entité communautaire – la Nation Libre – qui forgera sa propre économie, sa technologie et sa jurisprudence. Quittez le courant de la mort.

Un noyau de personnes très déterminées constitue déjà le germe d’une nation libérée. C’est une force collective pouvant déplacer des montagnes. La séparation a commencé. Elle s’opérera durant les siècles à venir et sera définitive lorsque la planète, transformée en un immense appareil électronique ne permettra plus aux âmes de s’incarner.

Idéalistes, vous ne sauverez pas la nature de la dégradation, mais vous pourrez trouver refuge dans les enclaves des tribus de la « nation libre ».

Pour les plus téméraires, il n’est pas interdit de programmer une future reconquête de la planète. Cela est une belle éventualité, si l’on parvient à développer une puissance énergétique pouvant neutraliser les organisations qui détiennent la technologie noire. Pour l’heure, l’idée de combattre nous effraie, car nous sommes anesthésiés. Mais, lorsqu’on viendra nous implanter la puce ou pour toute autre raison abominable, il se peut qu’un sursaut se produise.

S’arracher à l’individualisme est le défi actuel car la culture binaire isole l’individu. En unissant nos forces, nous pourrons résister à la Bête.

Nous ne pouvons vaincre le Mal mais on peut le tenir à distance et construire une société hors de son influence. C’est la mission d’une âme combattante.

3 – Principes de fondation 

Sans craindre de passer pour un utopiste, ce qui est contraire à mon état d’esprit, puisque je dénonce le messianisme nouvel âge et les idéalismes planétaires, je prends le risque de poser les principes d’une société alternative. Cela paraît irréalisable aux esprits à la vue courte, mais il faut commencer à forer une issue. C’est le premier pas qui coûte. La théorie sera brève, car il ne s’agit pas de démonstration intellectuelle mais de compréhension du Cœur.

La plupart des penseurs sont prisonniers d’une vision internationaliste du destin humain. Tout au contraire, l’avenir dépend d’une minorité de conscience qui rompra avec l’ordre ancien pour prendre une voie nouvelle.
La Nation Libre est une dissidence, spirituellement armée, qui organise la défense des âmes qui s’incarneront longtemps encore sur cette terre pour y faire les expériences nécessaires à l’élaboration de leur « corps d’immortalité ».


C’est du réalisme spirituel, en opposition au matérialisme qui va robotiser l’homme jusqu’à produire des monstres.

Au début de toute chose, il y a une idée qui a fait son chemin. Une idée est une graine. Placée dans un milieu propice, elle germera au bon moment si un nombre suffisant d’esprits lui en donnent la force. Ainsi vitalisée, l’idée déploiera sa vitalité et son champ de rayonnement dans le domaine approprié : artistique, scientifique, philosophique ou politique.

L’idée de la « Nation Libre » est spirituelle mais sans rapport avec une tradition. Elle est sociale mais sans rapport avec une idéologie.

L’idée de fonder une nation libre au cœur de l’ordre mondial impérial, peut être exprimée simplement, sans démonstration philosophique. C’est une idée évidente pour qui la capte. Mais elle ne concerne pas les foules, et ne fera pas l’objet de prosélytisme.

Rappelons ce qu’est une nation. 

Une nation est une « communauté humaine caractérisée par la conscience de son identité historique ou culturelle, et généralement par l’unité linguistique ou religieuse ».

Nous sommes des êtres humains, membres de la nation française dont les restes historiques, religieux et culturels surnagent dans la mare de l’ordre mondial. L’unité linguistique est le dernier lien entre nous, quoique menacé par la puissance de l’impérialisme anglo-saxon.

Bientôt, le dernier vestige authentique de la France, comme de toutes les nations historiques, sera dans un musée, et les nostalgiques de la « patrie » ne s’accrocheront qu’à des lambeaux de rêves à jamais perdus. Certains s’en contentent et continueront de crier « vive la liberté » avec une puce digitale implantée dans le cou. L’idéalisme c’est stupide quand on est incapable d’élaborer une stratégie. Nous vivons souvent dans un rêve. Le rêve d’un monde meilleur ou d’une société idéale. Les gens qui veulent refaire le monde empoignent le problème du mauvais côté.

L’état du monde est le reflet de la conscience globale de l’humanité. Tous les gouvernements sont légitimes, même s’ils nous révulsent, car ils sont à l’image des masses. C’est la première leçon de réalisme si l’on veut aller plus loin.

Allant au bout de la réflexion, on se dit : « Il faut se changer soi-même ». C’est le début de la sagesse. C’est une prise de conscience élémentaire mais que nombre d’idéalistes ne font pas. Elle couperait l’herbe sous le pied de l’activisme qui masque leur incompétence à penser les problèmes jusqu’au bout. Car il est plus difficile de se changer intérieurement que de militer pour une bonne cause ou d’adopter un mode de vie extérieur. Si un changement de conscience était facile, ceux qui descendent dans la rue pour contester l’ordre mondial, réaliseraient qu’ils sont les pions d’une partie macabre. Alors, ils feraient retour sur eux-mêmes, et commenceraient leur révolution intérieure. Mais c’est plus difficile que de brandir des slogans, au demeurant inventés par les maître de l’ordre mondial totalitaire.

S’il était facile de se changer soi-même, les gens le feraient car ils y verraient un avantage. Tandis que l’on bataille avec soi-même pour changer de mentalité, la société ne nous facilite pas la tâche. Certes, elle nous procure les épreuves dont nous avons besoin pour avancer, mais de plus en plus, le monde des gens ordinaires est pénible à supporter. Pour les âmes sensibles, la décadence moderne rend l’existence douloureuse.

La vie est devenue un combat dangereux, ne serait ce que par l’air qui véhicule une pollution spirituelle qui n’a rien de chimique.

Les expériences de « vie alternative » ont échoué, et qu’on ne vienne pas nous dire que des « écovillages gaulois » résistent à l’ordre mondial. Tout le monde respire l’air empoisonné, et cherche trois sous à gagner. L’individualisme est à son comble. Considérant cette situation, deux attitudes sont possibles : se lamenter ou accepter. Ces attitudes ne sont pas satisfaisantes. Les agressions que l’on endure ne sont pas acceptables, et le pire est à venir.

Tout en nous consacrant à notre éveil intérieur, on se demande ce qui est souhaitable pour le bien collectif ?

La solution est loin d’être évidente de prime abord. Puisque tout semble perdu, que le système n’est pas réformable, et qu’il serait même criminel de l’entretenir et de le faire durer à coups de thérapies miracles, il reste une issue pour qui n’accepte pas de sombrer.

Nous parlons à ceux qui ne supportent plus le matérialisme arrogant et la propagande cynique du « meilleur des mondes ». En aucune façon, il ne s’agit de troubler les gens satisfaits de leur sort, la masse soumise et les charlatans du new age. Non, nous parlons à une minorité de conscience – une minorité moralement persécutée – et sans doute à une minorité infime dans cette catégorie. Qu’avons-nous à lui annoncer qui pourrait la tirer de sa morosité et l’aider à faire face au temps présent ? Nous lui proposons d’imaginer ce que pourrait être la civilisation qui remplacera l’ordre des choses qui s’engage toujours plus dans la folie.

Il ne s’agit pas d’un « royaume terrestre ». Nous ne leur offrons pas une théocratie, mais nous leur proposons de devenir un peuple de la conscience. L’alternative est simple : soit constituer une fédération de nations indépendantes ou bien se résoudre à adopter la citoyenneté de l’ordre mondial. Aujourd’hui, la nationalité française ne recouvre que l’appartenance linguistique à la minorité francophone, laquelle est fondue dans le nouvel ordre mondial. C’est valable pour les indiens d’Amazonie comme pour les esquimaux. Tous les humains sont citoyens de l’ordre impérial planétaire dont la République française maçonnique n’est qu’une colonie, au demeurant bananière. L’idée de la Nation Libre est annoncée.

Comment définir la Nation Libre ? 

C’est une communauté humaine caractérisée par la conscience de son identité morale et spirituelle. C’est un groupe humain, difficilement quantifiable, qui ne s’identifie plus au monde actuel. Rien de spectaculaire pour le moment, et cette « migration spirituelle » n’est pas observée par les instituts. Les participants à cette mutation, ont un point commun, ils ressentent un appel indicible qui les détache du monde des gens ordinaires.

Sortir d’où pour aller vers quoi ?

L’histoire contemporaine nous a montré qu’un groupe ethnique dispersé sur la surface de la terre a constitué un état qui n’existait pas – l’Etat d’Israël – grâce il est vrai, à l’argent de financiers dont ce projet satisfaisait les visées politiques. Au début, personne ne voulait du projet « terre promise ». Personne ne l’aurait suggéré sans craindre le ridicule, et, Herzl le prophète du retour à Sion, fut pris pour un rêveur sans esprit pratique. Par l’effet de circonstances dramatiques – manipulées il est vrai par des agents sionistes – le monde a été mis devant l’évidence de la création d’un état juif. Alors, nous voulons aussi retrouver un territoire, pour y vivre en accord avec notre conscience.

Toutefois, avant de revendiquer un territoire, il faut d’abord justifier qu’il existe bel et bien un peuple qui est réellement fondé d’avoir cette exigence. Il faudrait d’abord être constitué en nation selon la définition de « communauté caractérisée par une identité culturelle ou spirituelle ». En principe, ce peuple existe dans les faits mais il doit manifester sa volonté de se couper de l’ordre mondial pour intégrer sa « terre promise » dans la nouvelle ère. Ce peuple, ce pourrait être vous.

Sur le territoire français, cela concerne un million de déportés placés sous le joug d’une civilisation d’occupation. Mais en réalité, nous sommes peut-être quelques milliers à comprendre ces choses. Et encore moins à vouloir quitter le courant…

Comment constituer la Nation Libre ? 

Il n’est pas nécessaire de la constituer puisqu’elle existe de fait. Ceux qui en acceptent l’idée, tout en rejetant l’ancien système autant que les idéologies réformistes, et qui savent que le temps d’une mutation est venu, sont déjà accordés à la fréquence de la nation Libre.

Cette fréquence spirituelle est indépendante des croyances particulières et exclusives. Cela présage l’apparition d’une nouvelle race sur la terre, comme un « peuple élu », un groupe qui se sépare.

Qui est citoyen de la Nation Libre ? 

La plupart sont en recherche d’une vérité qu’ils ne reconnaissent dans aucun système standardisé. Ils vivent dans un état de conscience limite, comme entre deux mondes, avec la nostalgie d’une perfection qui n’est pas de ce monde.

Ils seraient éventuellement prêts à laisser leur vie ancienne derrière eux, si l’opportunité se présentait de partir vers un autre monde. Sans doute, très peu d’entre eux ont vu cette aspiration autrement que comme un rêve lointain, car l’idée elle-même ne leur a jamais été présentée.

Les idéalistes de la vieille école ne parlent que de réformer le système, et aucun n’a le courage d’annoncer sa fin, et de préparer l’après ordre mondial.

Quelle que soit son orientation philosophique, quel que soit son statut social et son origine culturelle, sa psychologie ou ses goûts, le citoyen de la Nation Libre est une personne en voie de se reconnecter avec l’univers total et qui ne désire rien d’autre.

L’ouverture de la conscience et le désir d’une vie nouvelle sont les caractéristiques du citoyen de la Nation Libre. Il s’agit des qualités du pionnier. Ce pionnier est centré sur le pôle spirituel de son être, et quoiqu’il soit conscient des réalités de l’existence, il n’est pas matérialiste, ni séduit par un projet ou une idéologie matérialiste.

Le pionnier de l’ère nouvelle a rejeté les idéologies anciennes, et les idéaux qui ne cadrent pas avec la réintégration dans l’univers multidimensionnel.

La Nation Libre est-elle soutenue ? 

A défaut de recevoir le soutien des forces spirituelles anciennes, nous pensons que les hautes intelligences qui suivent le déroulement des affaires terrestres, ont déjà mis en place les lignes directrices de la civilisation qui naîtra à partir des nouveaux rayonnements cosmiques.

Contrairement à l’utopie new age qui espère la venue d’un sauveur, nous ne voulons pas sauver l’ordre ancien, ce qui est de toute façon impossible. Cette vision naïve est entretenue par des forces rétrogrades qui veulent neutraliser nos initiatives. Nous avons déjà réfuté l’idéologie nouvel âge et son néo-messianisme politique.

Si vous attendez un salut d’en haut, ou si vous espérez en un âge d’or sur la terre, cela vous rend inapte à changer les choses. L’espérance passive vous berce pendant que les maîtres du jeu blindent leur pouvoir. Il ne faut compter que sur nous-mêmes.

Les intelligences supérieures qui ont la bienveillance de s’intéresser à notre sort – ceux qui supervisent la situation dans ce coin mal famé de la banlieue galactique – n’interviennent jamais personnellement dans notre destin.

Exceptionnellement, ils lancent une incitation au respect du libre arbitre. Se référer aux puissances supérieures n’est pas utile. Il y a toujours une possibilité d’exploitation dès qu’on en réfère à une autorité invisible prestigieuse.

De grandes âmes sont incarnées sur la terre, et les vaisseaux de visiteurs de civilisations plus avancées suivent les opérations en cours.

Chacun d’entre nous est aidé si cela s’avère utile. Nous recevons les informations qui peuvent nous mobiliser et s’harmoniser avec la stratégie de la fraternité spirituelle qui veille sur le système solaire, mais qui nous laisse décider de notre sort. L’homme est libre de choisir son chemin. Or, il y a deux chemins qui s’ouvrent…

Quelle force fera naître la Nation Libre ? 

Le peuple qui se prépare à construire la civilisation nouvelle sera placé sous l’influence d’un champ spirituel spécial.

La nation Libre sera branchée sur un courant émanant de la source universelle. Dans le règne humain, cette énergie se manifeste comme une force intérieure harmonisant le mental et l’émotion. Elle peut devenir d’une grande puissance lorsqu’un groupe d’âmes se branche en unité sur cette force. Pour la différencier des qualités énergétiques répertoriées par les anciens systèmes ésotériques, nous l’avons nommé « énergie libre intérieure » car elle a le pouvoir d’être utilisée par des systèmes de « technologie morale », les appareils éthériques qu’utilisera la nation libre.

L’énergie libre intérieure est la propriété d’un collectif de conscience mais pas d’un individu isolé.

Sous la pression des événements, des groupes accordés spirituellement, se retrouveront unis au sein d’une confédération des peuples de la Nation Libre. Il recevront un afflux d’énergie qui les propulsera en avant car leur potentiel collectif servira de circuit de transmission aux rayonnements qui balaient actuellement notre planète. Voilà ce que signifie approximativement la Nation Libre et la mission planétaire qui l’attend.

Les êtres humains ont été conditionnés à remettre leur sort entre les mains d’une autorité. Pour la masse, cela ne changera guère, mais ce n’est pas la masse qui déclenche les initiatives historiques. C’est une minorité qui fait l’histoire.

Un jour ou l’autre, il faudra bien se dire : « et si l’on reprenait en mains les affaires de cette planète au lieu de se laisser guider par de mauvais bergers qui nous tondent la laine sur le dos. »

Cette prise de conscience rebute l’être humain habitué à la passivité car il n’y voit pas d’issue immédiate. Il ne peut concevoir que sa volonté, sa pensée et son amour sont des forces qui peuvent influer sur le destin collectif.

Au lieu de rejoindre la cohorte des mécontents et des braillards, au lieu de se morfondre, au lieu d’attendre un miracle, au lieu de se résigner, au lieu de devenir malade ou méchant, reprenons notre destin en mains car l’opportunité est dans l’air.

Comment accélérer ce processus ? 

Premier constat : une civilisation commence toujours avec quelques personnes réceptives qui sont là au bon moment pour incarner une idée.

Deuxième constat : les grandes intelligences qui supervisent les cycles terrestres travaillent avec ceux qui sont là pour passer à l’action. Il n’y a rien de pénible à faire si on se tient à l’écoute de l’univers. Rien de pénible ni de compliqué. Il suffit d’être ensemble, et d’être conscients.

Les esprits rassemblés dans l’intention de constituer le nouveau peuple qui construira la civilisation future, forment un champ de conscience particulier qui attire à lui la force universelle réservée à cet effet. A chaque nouveau cycle, une énergie nouvelle apparaît dans l’atmosphère. Ceux qui la captent forment le peuple élu de la nouvelle période.

Il n’est pas nécessaire d’enrober ce processus naturel avec de l’imagerie religieuse. Il est même déconseillé d’y projeter les bondieuseries de l’ère des Poissons. Cela ne sert plus à rien, et freinerait plutôt le flux de l’énergie pure qui se répand sur ceux dont le cœur est aujourd’hui ouvert.

Aide-toi et le ciel t’aidera 

Rien ne peut s’opposer à la détermination positive de ceux qui sont appelés à recréer une réalité qui est déjà inscrite dans le devenir du monde. Il n’y a aucun risque de défaite lorsqu’on se place du côté de la loi universelle fondamentale.

Sans doute, nous avons beaucoup de volonté lorsqu’il s’agit de nous battre pour notre survie personnelle, mais nous sommes moins dynamiques quand c’est la cause collective qui nous sollicite. Les humains attendent que le ciel fasse tourner le monde et pendant ce temps des pirates prennent les postes de commande. Après, il est trop tard, et l’on dit que c’est la faute aux méchants. Mais c’est la faute à notre paresse.


Joël Labruyère, La Nation Libre.




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